[...]
A quelques mètres de moi, derrière la vitre qui séparait mon bureau du sien, Léa rajusta l'attache qui maintenait ses cheveux bruns en arrière.
Sur mon écran s'affichait son pseudo, Mado, et l'écran de dialogue juste au-dessous.
Elle semblait compulser les pages d'un dossier que je venais de lui donner.
Mes doigts sur le clavier, je me demandais comment lier la conversation avec elle. J'avais envie d'en savoir plus sur cette femme que je croyais connaitre mais qui, semblait-il, cachait bien son jeu. Un jeu sensuel... osé.
motsÉtait-ce un passe-temps pour elle de conserver en second écran, un tchat coquin, ou bien était-ce plus charnel et y prenait-elle un réel plaisir qui débordait sur sa vie personnelle ?
En tout cas, ce que j'avais lu auparavant était très cru et elle semblait apprécier.
Mes doigts glissèrent sur les touches. Il me semblait qu'elles faisaient un bruit assourdissant.
"Bonjour Mado".
L'attente... rien. Elle ne répondait pas.
Peut-être n'était-elle pas connectée et m'étais-je fais des idées. J'étais presque soulagé.
Mon écran s'illumina.
"Bonjour".
Mon cœur bondit dans ma poitrine. Je me lançais, décidé à démasquer ma secrétaire.
"Tu es au travail ?
"La réponse fusa, immédiate.
"Oui".
Je devais maintenir la pression si je voulais l'hameçonner et lui faire dépasser un mot pour toute réponse.
"Tu as répondu à mon pseudo. Il te plait donc comme le tien me séduit".
Je n'avais pas mis de question, décidé à la considérer comme déjà dans le dialogue.
"On se connait ? "
Hésitait-elle... ou bien tentait-elle de déceler sous mon pseudo un ancien compagnon de ses jeux lubriques ?
"On va apprendre à se connaitre. Tu vas apprendre."
L'écran resta sans vie pendant quelques secondes. J'y étais peut-être allé un peu fort.
"Vous allez me donner des cours ?"
J'esquissais un petit sourire, satisfait car elle semblait soudain intéressée.
"C'est possible. Mais j'ai envie d'en savoir plus sur toi pour commencer. Tu vas être obéissante... et répondre à mes questions."
Fallait-il que j'écrive "obéissante" ? C'était totalement déplacé... obscène... limite vulgaire.
J'appuyais sur Entrée tout de même, après tout, si c'était trop, je pourrais toujours revenir avec un autre pseudo.
Sa réponse me fit la regarder au travers de la vitre.
Elle esquissa un petit sourire et de ses doigts, remis en place une mèche de cheveux derrière son oreille délicate.
"Hoo... Monsieur, vous savez, je suis très obéissante."
Je n'en revenais pas et... au creux de mon ventre s'allumait une petite étincelle de plaisir.
"Tu as intérêt à l'être." Ecrivais-je un peu trop vite.
Je me prenais au jeu et je découvrais quelle était l'occupation de ma secrétaire pendant que je la croyais au travail.
"Sinon ?" écrivit-elle aussitôt.
Je restais interloqué.
Un rapide coup d'œil vers elle me fit un drôle d'effet. Elle souriait en coin. Je tapais les mots sur le clavier, surveillant sa réaction réelle."
Tu pourrais être fessée".
Elle remonta une nouvelle fois une mèche de ses cheveux derrière la branche droite de ses lunettes. Elle se mordait la lèvre inférieure.
Aussi incroyable que cela puisse paraitre, elle semblait y prendre une certaine forme de plaisir.

A Suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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J'étais rentré plus vite que prévu de déjeuner, le travail plein la tête, l'agenda chamboulé par une annulation de réunion de chantier
 l'après-midi même.Il s'agissait de profiter de ce temps libre pour mettre à jour les projets qui étaient en cours.
secret03.jpgEvidemment à cette heure-ci il n'y avait personne dans les bureaux, ni dans les ateliers, c'était la pause et je me retrouvais dans le silence de ma petite entreprise.
Au milieu de l'effervescence habituelle, je me sentis soudain détendu. Un léger bip sonore attira mon attention tant il troublait le calme des locaux.
Ma secrétaire, Léa, n'avait pas éteint le bouton de volume de son ordinateur et c'était lui qui émettait ce son incongru.
Je décidais d'y mettre un terme.
Ma main fit bouger la souris et l'écran de ma secrétaire s'alluma. Des tableaux, mon agenda... et une petite fenêtre ouverte avec une icone clignotante que je ne connaissais pas.
D'un nouveau glissement de souris je fis apparaitre ce petit programme. Elle avait oublié d'éteindre un logiciel de tchat. Ce que je découvris me laissa interdit.
Un homme lui demandait si "sa petite trainée était revenue".
Je restais interloqué. Était-ce son petit ami ? Même si je ne lui en connaissais pas, je trouvais un peu étrange que celui-ci lui fasse une telle remarque alors qu'elle était censée être au travail.
Une nouvelle phrase apparut.
"Je vois que tu n'es plus en absence. Réponds à ton maitre".
Je me pris à sourire devant l'énormité de la chose.
J'observais l'environnement du logiciel et découvrit son pseudonyme : "Mado".
Elle passait donc une partie de son temps à tchatter en même temps qu'elle travaillait. Bon, je n'avais rien à lui reprocher mais cela m'agaçait un peu. Certes elle travaillait bien et au-delà même de mes attentes, mais profiter de son temps pour flirter sur le net me décevait de sa part.
J'allais lui fermer le programme lorsque je relus les phrases... Elle faisait du ciber-sexe... J'avais peut-être là le moyen de mettre un terme à cette activité sur son temps de travail. Je décidais donc de répondre à ce fameux interlocuteur.
- je suis revenu. Je corrigeais rapidement en ajoutant un "e" final. Prenant la place de "Mado", ma secrétaire, je me devais d'écrire au féminin.
"Bien. J'espère que tu as fait ce que je t'ai dit".
Je n'en avais aucune idée... J'hésitais pour tapais :
- Oui.
Quelques secondes à peine s'écoulaient entre les phrases, juste le temps pour chacun de les écrire, assez pour se relire, apprécier la situation ubuesque.
Elle m'en voudrait ? C'était un outil de travail, sur du temps de travail, elle n'aurait rien à dire. N'empêche, je m'immisçais dans sa vie personnelle. Et, après tout, ce logiciel ne l'empêchait pas de bien travailler.
"Alors tu as appréciée d'être sans culotte ?"
J'ouvris de grands yeux. Tout cela devenait totalement étrange et incroyable.
Avait-elle vraiment fait ce qu'il lui avait demandé ou bien jouait-elle avec lui comme je le faisais à mon tour ?
- c'était une sensation très agréable.
La réplique arriva immédiatement.
"Pourquoi "c'était" ? Je ne t'ai pas dit de la remettre."
Il avait un ton très catégorique et j'était étonné que Léa accepte de jouer ce rôle de soumission.
- Je ne l'ai toujours pas remise.
"Bien". Il tapait vite.
"J'en étais sur. Tu es bien docile. Tu seras récompensée, comme d'habitude".
Parce qu'en plus ce n'était pas la première fois ?!
Je comprenais pourquoi parfois elle partait tard alors.
Et dire que j'étais persuadé que c'était parce qu'elle travaillait d'arrache-pied.
Je décidais d'en savoir un peu plus.
- Quelle sera ma récompense ?
"Tu auras le droit de te toucher ce soir". Alors là, j'étais pétrifié.
Leur petit jeu semblait déborder le cadre de l'imaginaire, du temps d'activité pour s'immiscer dans les moment personnels.
Mais... était-ce vrai  ou n'était-ce qu'une façade ?
- Merci Monsieur.
"Tu m'as excité. C'est bien. Je dois y aller. Je te recontacterais".
- Au revoir.
"A bientôt petite trainée".
Je coupais le logiciel afin d'effacer les traces de cette discussion et regagnais mon bureau. Je m'en voulais un peu d'avoir pris sa place. c'était une intrusion dans sa vie intime et j'en avais presque un remord qui s'estompa lorsque je la vis entrer. Elle posa sa veste sur son dossier de fauteuil et se mit aussitôt au travail, allumant en premier son écran.
Avait-elle un doute sur le fait d'avoir éteint sa discussion ?
En tout cas elle était affairée. Tu m'étonnes...
J'oscillais entre le fait de lui dire que j'avais surpris son logiciel, et l'envie d'en savoir plus.
Je l'appelais.
Elle entra dans le bureau et je lui remis un dossier à envoyer.
Alors qu'elle se retournait pour sortir, j'observais avec attention son fessier.
Sur sa jupe, nulle trace d'une quelconque marque de slip... Aurait-elle vraiment jouée le jeu de son "Maitre virtuel" ? Ou bien portait-elle quelque chose de plus discret ?
Je la détaillais un peu plus.
Grande, brune, les cheveux accrochés par une pince sur l'arrière de son crâne, une franche courte balayant le front de son visage ovale, c'était une belle femme.
Ses yeux marrons clairs légèrement maquillés par un surlignage noir avait un regard doux et posé. Des lunettes qui lui donnaient un air sage. Bien loin de ce que j'avais pu lire. Ses hanches étaient mises en valeur par une jupe noire qui lui tombait juste au dessus du genou. Sa taille resserrée par une ceinture de cuir rose fantaisie lui donnait un petit air enfantin. Là encore à des millénaires de ce qu'elle écrivait. Sa poitrine, de belle taille, était au chaud dans l'écrin d'un chemisier noir sage lui aussi.
Décidemment elle cachait bien son jeu. Sous son apparence de petite bourgeoise presque fade, était-elle en réalité une vraie furie de sensualité ?
Et j'avais envie de le piéger... d'en savoir beaucoup plus...
Je lançais le même logiciel qu'elle.
Maintenant que je connaissais son pseudo, si elle était connecté, je la remarquerais.
Je misais sur le fait qu'elle n'en changerait pas afin d'être reconnu par son interlocuteur lubrique.
L'ergonomie du site de tchat était simple et je décidais de choisir le même salon qu'elle.
Il me fallait un pseudo.
J'optais instantanément pour "Master&Servant". Une référence à un ancien morceau de musique qui me vint à l'esprit.
La liste des utilisateurs ne faisait pas apparaitre son pseudo.
Il y avait des idées amusantes et des pseudos sans intérêt, voir ridicules.
Soudain je vis apparaitre "Mado - en ligne".
Je me surpris à esquisser un sourire et je jetais un œil au travers la vitre qui séparait nos bureaux.
Elle n'avait pas bronché, continuant de faire comme si seul son travail l'accaparait.
J'hésitais.
Le flèche du pointeur sur son pseudo, prêt à lancer une discussion avec elle.
Elle remonta un cheveux rebelle d'un geste de la main.
Son buste se tendit un peu et je me surpris à admirer sa poitrine... joliment bombée.
Je cliquais...

A suivre... 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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back[…]

 

Le tissu ne fut bientôt plus qu'un fichu autour de son ventre.

Il passa sa main droite sur l'agrafe du soutien-gorge et sans un mot le fit claquer.

Elle sentit sa lourde poitrine peser vers le bas, seulement retenue par les lanières sur ses épaules...

Avec lenteur il la vit poser sa main sur la bosse qui déformait copieusement son bas ventre. Cette femme se dévoilait et il avait une folle envie d'elle, de plus en plus intense à mesure qu'il la découvrait sous l'emprise du démon du sexe.

Une nouvelle fessée la fit crier.

- Raconte moi tout cela. Vilaine.

Elle roula des hanches, ravie de l'effet qu'ils se faisaient.

- J'ai usé de ma bouche... Haaa...

Il passa sa main entre ses cuisses alors qu'elle caressait son membre au travers de son pantalon.

- Il a pris mes seins... aie !  Hummmm...

Elle appuyait sur la bosse dure, palpant la virilité de son amant alors qu'il lui caressait le sexe entre deux fessée.

- Et tu ne portes pas de culotte.

- Non... j'aime avoir les fesses à l'air... j'ai l'impression que les hommes le sentent et me... regardent. Haaaaiie ! Hoooo...

Il fit glisser le soutient gorge. Ses seins pendaient, se balançaient doucement.

Elle soupira comme la disparition du tissu permettait à ses tétons de durcir librement.

- Et il m'a baisé. Acheva t-elle, anticipant une fessée qui ne vint pas.

Il posa son pouce sur la rosette plissée de sa patronne.

- Et là ?

- Non... pas là. Je n'ai pas voulu.

- Ton amant aimerait surement te voir te faire... prendre par là.

Elle devint écarlate. Robin lui avouait des désirs qui la tenaillaient elle aussi depuis bien longtemps.

Lorsqu'il caressa son petit orifice, elle le sentit palpiter et s'ouvrir presque aussitôt.

Il avait un doigt entre ses lèvres, son pouce dans l'extrême entrée de son anus et elle le masturbait maladroitement à cause de son pantalon.

- Je ferais... ce qu'il veut.

- Et il fera ce que tu veux. Ce qu'il fait avec... d'autres, ne doit pas te faire croire qu'il n'a pas envie de toi... bien au contraire.

Ces aveux de débauche les excitaient l'un comme l'autre.

Une dernière fessée la fit crier.

Elle ne retint pas son plaisir, perdue de ses désirs.

 

Il la fit s'asseoir sur ses genoux, face à lui.

Simplement vêtue de ses bas, les cuisses écartées, une sur chaque jambe de son robuste amant.

Ses seins pointés vers lui, son sexe aux lèvres ourlées d'une frange pileuse courte, ses lèvres entrouvertes pulsaient et montraient une humidité qu'elle ne cherchait pas à cacher.

Il pouvait à loisir mater chaque parcelle de son corps.

- Tu es... vraiment canon.

- Hooo...

Il soupesa ses seins, effleura ses hanches et s'attarda sur l'abricot ouvert.

- Bonne...

- Hummm...

- J'hésite entre une petite coquine et une belle salope.

Il savait que ces mots crus allaient éveiller en elle des pulsions de sexualité intenses.

Elle se pencha sur lui, ses mamelons effleurèrent le torse velu de Robin qui déboutonna son pantalon pour en faire sortir sa verge tendue à l'extrême.

- Et que dirais-tu d'une grosse cochonne doublée d'une putain gourmande ?

- Je n'en dirais que du bien.

Il écarta les jambes un peu, elle fut obligée de s'accrocher à son cou, sentant ses cuisses s'ouvrir largement.

Il palpait ses gros seins.

- Branle-toi... comme tu le fais lorsque tu es seule.

Elle se redressa et sa main se posa sur sa toison étroite.

A deux doigts elle malmenait sa fente.

Elle appuyait sur son bouton qui ne tarda pas à se dégager.

Elle le tirait doucement, à l'instar de ses tétines qu'elle pinçait et faisait rouler entre les doigts de son autre main.

Dans une sarabande de gestes totalement indécents, elle s'enfonça deux doigts dans l'intimité pour lui montrer comment elle se masturbait... sur ses genoux...

Il avait son manche en main et il le faisait aller et venir.

Il sentait le regard de son amante, sur son sexe en feu, nettement offert à sa vue.

Elle sortit ses doigts de son antre et le lécha.

Un mouvement de langue lent avant de les sucer puis de les faire disparaitre dans son sexe de nouveau.

Elle se livrait à lui.

Lorsqu'elle lui proposa ses doigts, couverts de mouille, il se jeta dessus, affamé de son miel.

Longuement elle se caressa, lui faisant sucer ses doigts, les nettoyant elle même de sa bouche dont tout rouge à lèvre avait disparu.

Elle poussait des petits couinements.

- Je ne peux pas continuer... si je continue je vais jouir. Fit-elle alors que son corps était en proie à des mouvements circulaires de plus en plus anarchiques.

Il posa ses mains sur les poires lourdes de sa poitrine et les pressa.

- Hoooo...

Il faisait rouler les pointes qu'il savait sensibles.

- Continue... je veux te voir et t'entendre gémir comme une... comment dis tu ? Grosse cochonne ?

Elle feula et ses doigts s'agitèrent en elle, excitant sa perle gorgée de sang.

Son corps se tordait, ses petits gémissements faisaient place à des petits cris...

Elle se cambrait, s'arc boutait sur les jambes de Robin.

Le long de ses doigts enfouis en elle coulait le nectar de son plaisir.

Elle plongeait et replongeait encore son index et son medius, touillant par a coups.

Il la sentit s'amollir, retomber sur lui.

Elle poussa un long râle...

Le visage levé vers le ciel... une louve... une tigresse...

Elle était assouvie.

Il pris sa main couverte de mouille et l'embrassa.

La sueur coulait entre ses seins.

Le parfum capiteux de son jus l'émoustillait, il lapa chaque doigt, aspirant le sirop de son amante.

- Et ta bouche ? Ne me disais-tu pas que tu avais taillé une pipe ?

Elle était essoufflée mais une lueur s'illumina dans ses pupilles.

Elle se leva et vint s'agenouiller entre ses cuisses.

Sa main encore salit s'empara de la large verge et entama de lents mouvements de coulisse.

- Si. Je l'ai sucé... comme une vilaine gourmande.

Elle ouvrit la bouche et l'avala.

L'épais manche de Robin l'obligeait à ouvrir sa bouche en grand et elle l'engloutit avec voracité.

Elle tétait, elle pompait, aspirait et tournait autour du gland turgescent avant de prendre en bouche l'entier pieu brulant qu'elle massait de sa langue.

Ses joues se creusaient sous les aspirations qui faisaient gémir Robin.

 

Elle l'avale avec une telle envie qu'il doit la repousser pour calmer le plaisir qui monte en lui.

De sa main il lui indique de remonter, elle suit ses gestes, jetant un dernier regard, presque à regret, vers l'auguste hampe de chair tendue vers le ciel.

Ses pointes de seins effleurent son ventre.

Il l'immobilise et elle comprend.

A deux mains, la femme resserre sa poitrine autour du sexe de l'homme.

- Et comme cela aussi j'imagine que tu l'as branlé.

- Oui... avoue t-elle en roulant des yeux, ravie que son amant la questionne, honteuse de son plaisir.

Elle pointe sa langue et caresse la peau du chapeau de Robin à chaque fois que la coulisse lui donne accès à sa tige.

Enserré dans les seins voluptueux de sa patronne, il grogne de plaisir.

Chaque petite caresse linguale est un supplice intense.

- Tu vas avoir droit au bâton pour être une si vilaine cochonne.

- Hooooo minaude t-elle en se redressant pour venir s'accroupir au dessus de la tige tendue.

Robin s'empare de ses fesses.

A pleines mains il la soutient et la présente au dessus de son vit.

Elle pose ses doigts fins autour du cou de son amant et se laisse aller, descendre, empaler par la rondin de chair dur comme l'acier.

Sa bouche s'ouvre et expulse un cri.

Sans retenue elle gémit alors qu'il la fait monter et s'enfoncer autour de lui.

Ses hanches roulent et ondulent, elle est insatiable, son sexe est en feu... elle danse sur l'homme qui happe ses seins.

Lorsqu'il remonte ses mains sous ses genoux, le membre large de son amant la perce au plus profond.

Il l'écoute haleter, soupirer, émettre des petits cris de plaisir tout au long de cette lente pénétration.

Sa verge est aspirée par la vulve de sa patronne, littéralement plantée en elle.

Elle ne tient sur lui que par son fessier.

Il la bascule alors vers l'avant.

Elle s'offre, à 4 pattes à même le sol.

Les mains de l'homme lui resserrent les jambes.

Sa croupe cambrée, elle se dandine... pleines d'envies...

- C'est ainsi qu'il t'a baisé ?

- Oui... en levrette...

- Comme une putain gourmande.

- Hoooo...

Il saisit son sexe et la fesse de son poteau viril.

Elle roucoule.

- Oui... il m'a prise comme la sale petite cochonne que je suis.

Fait-elle en le regardant de côté.

Il lui sourit et l'embroche d'un trait.

Les jambes proches, le piton de Robin force pour se frayer un passage dans le vagin pourtant détrempé et accueillant de son amante.

Elle pousse un "Haan !" qui résonne dans le salon.

Derrière elle il la besogne de plus en plus rapidement.

Elle est secouée par les coups de reins, véritables coups de boutoirs, que lui assène Robin.

A chaque couple de percée, une fessée lui fait rougir les globes.

L'orgasme revient en elle, puissant, submergeant.

- Haaa ! Haaaaa !

Il la voit agiter son visage de droite à gauche, prise de spasmes orgasmiques.

Son con se contracte, se relâche, elle jouit sous les assauts sans fins de son fougueux amant.

Il n'a rien à demander, elle se retourne vers lui et lèche son sexe souillé de cyprine, prenant à peine le temps de remonter une mèche de cheveux derrière son oreille.

- Très gourmande.

Elle hoche affirmativement de la tête tout en savourant le sexe de Robin.

- J'aime ça. Continue... Béatrice.

Elle rougit d'un coup.

Jamais encore son employé ne l'avais appelé par son prénom.

Une telle familiarité... alors qu'elle le suce... fait enfler une boule de chaleur dans sa poitrine.

Il la voit se figer un court instant avant de fermer les yeux et le pomper avec une voracité à l'image de leurs ébats précédents.

 

Dans les reflets des boules de Noël, Robin se tend, se cabre.

Les murs épais de la petite maison absorbent les râles de l'homme alors qu'il éjacule par grosses giclées dans la bouche de sa patronne, remplissant sa gorge de son foutre blanc.

Elle avale en ne ménageant pas son plaisir à l'engloutir.

Après un dernier coup de langue, toujours à genouillée devant lui, elle pose sa joue sur sa cuisse.

- Tu as été bien punie.

- Hummm oui. Je vais pouvoir recommencer à ne pas être sage en attendant l'année prochaine.

- Je l'espère bien.

- Dès demain... je vais m'occuper de mon employé. Fait-elle en le regardant avec un sourire.

- Je suis sur qu'il va apprécier.

 

Elle se rhabille et quitte la maison de gardien, soudain silencieuse.

Ses fesses la piquent, Robin a été dur... et elle n'en peut plus... assouvie...

Toute la maison est plongée dans le noir.

Elle a l'impression de rentrer chez elle en catimini, pour ne pas se faire prendre.

Lorsqu'elle se couche auprès de son mari endormi, c'est avec un sourire, celui du plaisir.

Elle s'empare de son téléphone... cachée sous sa couette.

 

Robin tourne la clef et retrouve sa demeure solitaire.

Son sexe dodeline entre ses jambes.

Ses bourses vident, il s'allonge et son esprit vagabonde entre ses deux amantes.

Lorsque son téléphone vibre et qu'il y découvre le nom de sa correspondante, il sourit.

Le texte est osé...

Une simple signature : "Béa".

Il a à peine le temps de répondre qu'un autre contact s'allume... "Coralie".

 

L'année finit et commence bien.

 

A suivre... Bien sur !sexy_new_year.gif

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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