[…]
Le tissu ne
fut bientôt plus qu'un fichu autour de son ventre.
Il passa sa
main droite sur l'agrafe du soutien-gorge et sans un mot le fit claquer.
Elle sentit
sa lourde poitrine peser vers le bas, seulement retenue par les lanières sur ses épaules...
Avec
lenteur il la vit poser sa main sur la bosse qui déformait copieusement son bas ventre. Cette femme se dévoilait et il avait une folle envie d'elle, de plus en plus intense à mesure qu'il la
découvrait sous l'emprise du démon du sexe.
Une
nouvelle fessée la fit crier.
- Raconte
moi tout cela. Vilaine.
Elle roula
des hanches, ravie de l'effet qu'ils se faisaient.
- J'ai usé
de ma bouche... Haaa...
Il passa sa
main entre ses cuisses alors qu'elle caressait son membre au travers de son pantalon.
- Il a pris
mes seins... aie ! Hummmm...
Elle
appuyait sur la bosse dure, palpant la virilité de son amant alors qu'il lui caressait le sexe entre deux fessée.
- Et tu ne
portes pas de culotte.
- Non...
j'aime avoir les fesses à l'air... j'ai l'impression que les hommes le sentent et me... regardent. Haaaaiie ! Hoooo...
Il fit
glisser le soutient gorge. Ses seins pendaient, se balançaient doucement.
Elle
soupira comme la disparition du tissu permettait à ses tétons de durcir librement.
- Et il m'a
baisé. Acheva t-elle, anticipant une fessée qui ne vint pas.
Il posa son
pouce sur la rosette plissée de sa patronne.
- Et là
?
- Non...
pas là. Je n'ai pas voulu.
- Ton amant
aimerait surement te voir te faire... prendre par là.
Elle devint
écarlate. Robin lui avouait des désirs qui la tenaillaient elle aussi depuis bien longtemps.
Lorsqu'il
caressa son petit orifice, elle le sentit palpiter et s'ouvrir presque aussitôt.
Il avait un
doigt entre ses lèvres, son pouce dans l'extrême entrée de son anus et elle le masturbait maladroitement à cause de son pantalon.
- Je
ferais... ce qu'il veut.
- Et il
fera ce que tu veux. Ce qu'il fait avec... d'autres, ne doit pas te faire croire qu'il n'a pas envie de toi... bien au contraire.
Ces aveux
de débauche les excitaient l'un comme l'autre.
Une
dernière fessée la fit crier.
Elle ne
retint pas son plaisir, perdue de ses désirs.
Il la fit
s'asseoir sur ses genoux, face à lui.
Simplement
vêtue de ses bas, les cuisses écartées, une sur chaque jambe de son robuste amant.
Ses seins
pointés vers lui, son sexe aux lèvres ourlées d'une frange pileuse courte, ses lèvres entrouvertes pulsaient et montraient une humidité qu'elle ne cherchait pas à cacher.
Il pouvait
à loisir mater chaque parcelle de son corps.
- Tu es...
vraiment canon.
-
Hooo...
Il soupesa
ses seins, effleura ses hanches et s'attarda sur l'abricot ouvert.
-
Bonne...
-
Hummm...
- J'hésite
entre une petite coquine et une belle salope.
Il savait
que ces mots crus allaient éveiller en elle des pulsions de sexualité intenses.
Elle se
pencha sur lui, ses mamelons effleurèrent le torse velu de Robin qui déboutonna son pantalon pour en faire sortir sa verge tendue à l'extrême.
- Et que
dirais-tu d'une grosse cochonne doublée d'une putain gourmande ?
- Je n'en
dirais que du bien.
Il écarta
les jambes un peu, elle fut obligée de s'accrocher à son cou, sentant ses cuisses s'ouvrir largement.
Il palpait
ses gros seins.
-
Branle-toi... comme tu le fais lorsque tu es seule.
Elle se
redressa et sa main se posa sur sa toison étroite.
A deux
doigts elle malmenait sa fente.
Elle
appuyait sur son bouton qui ne tarda pas à se dégager.
Elle le
tirait doucement, à l'instar de ses tétines qu'elle pinçait et faisait rouler entre les doigts de son autre main.
Dans une
sarabande de gestes totalement indécents, elle s'enfonça deux doigts dans l'intimité pour lui montrer comment elle se masturbait... sur ses genoux...
Il avait
son manche en main et il le faisait aller et venir.
Il sentait
le regard de son amante, sur son sexe en feu, nettement offert à sa vue.
Elle sortit
ses doigts de son antre et le lécha.
Un
mouvement de langue lent avant de les sucer puis de les faire disparaitre dans son sexe de nouveau.
Elle se
livrait à lui.
Lorsqu'elle
lui proposa ses doigts, couverts de mouille, il se jeta dessus, affamé de son miel.
Longuement
elle se caressa, lui faisant sucer ses doigts, les nettoyant elle même de sa bouche dont tout rouge à lèvre avait disparu.
Elle
poussait des petits couinements.
- Je ne
peux pas continuer... si je continue je vais jouir. Fit-elle alors que son corps était en proie à des mouvements circulaires de plus en plus anarchiques.
Il posa ses
mains sur les poires lourdes de sa poitrine et les pressa.
-
Hoooo...
Il faisait
rouler les pointes qu'il savait sensibles.
-
Continue... je veux te voir et t'entendre gémir comme une... comment dis tu ? Grosse cochonne ?
Elle feula
et ses doigts s'agitèrent en elle, excitant sa perle gorgée de sang.
Son corps
se tordait, ses petits gémissements faisaient place à des petits cris...
Elle se
cambrait, s'arc boutait sur les jambes de Robin.
Le long de
ses doigts enfouis en elle coulait le nectar de son plaisir.
Elle
plongeait et replongeait encore son index et son medius, touillant par a coups.
Il la
sentit s'amollir, retomber sur lui.
Elle poussa
un long râle...
Le visage
levé vers le ciel... une louve... une tigresse...
Elle était
assouvie.
Il pris sa
main couverte de mouille et l'embrassa.
La sueur
coulait entre ses seins.
Le parfum
capiteux de son jus l'émoustillait, il lapa chaque doigt, aspirant le sirop de son amante.
- Et ta
bouche ? Ne me disais-tu pas que tu avais taillé une pipe ?
Elle était
essoufflée mais une lueur s'illumina dans ses pupilles.
Elle se
leva et vint s'agenouiller entre ses cuisses.
Sa main
encore salit s'empara de la large verge et entama de lents mouvements de coulisse.
- Si. Je
l'ai sucé... comme une vilaine gourmande.
Elle ouvrit
la bouche et l'avala.
L'épais
manche de Robin l'obligeait à ouvrir sa bouche en grand et elle l'engloutit avec voracité.
Elle
tétait, elle pompait, aspirait et tournait autour du gland turgescent avant de prendre en bouche l'entier pieu brulant qu'elle massait de sa langue.
Ses joues
se creusaient sous les aspirations qui faisaient gémir Robin.
Elle
l'avale avec une telle envie qu'il doit la repousser pour calmer le plaisir qui monte en lui.
De sa main
il lui indique de remonter, elle suit ses gestes, jetant un dernier regard, presque à regret, vers l'auguste hampe de chair tendue vers le ciel.
Ses pointes
de seins effleurent son ventre.
Il
l'immobilise et elle comprend.
A deux
mains, la femme resserre sa poitrine autour du sexe de l'homme.
- Et comme
cela aussi j'imagine que tu l'as branlé.
- Oui...
avoue t-elle en roulant des yeux, ravie que son amant la questionne, honteuse de son plaisir.
Elle pointe
sa langue et caresse la peau du chapeau de Robin à chaque fois que la coulisse lui donne accès à sa tige.
Enserré
dans les seins voluptueux de sa patronne, il grogne de plaisir.
Chaque
petite caresse linguale est un supplice intense.
- Tu vas
avoir droit au bâton pour être une si vilaine cochonne.
- Hooooo
minaude t-elle en se redressant pour venir s'accroupir au dessus de la tige tendue.
Robin
s'empare de ses fesses.
A pleines
mains il la soutient et la présente au dessus de son vit.
Elle pose
ses doigts fins autour du cou de son amant et se laisse aller, descendre, empaler par la rondin de chair dur comme l'acier.
Sa bouche
s'ouvre et expulse un cri.
Sans
retenue elle gémit alors qu'il la fait monter et s'enfoncer autour de lui.
Ses hanches
roulent et ondulent, elle est insatiable, son sexe est en feu... elle danse sur l'homme qui happe ses seins.
Lorsqu'il
remonte ses mains sous ses genoux, le membre large de son amant la perce au plus profond.
Il l'écoute
haleter, soupirer, émettre des petits cris de plaisir tout au long de cette lente pénétration.
Sa verge
est aspirée par la vulve de sa patronne, littéralement plantée en elle.
Elle ne
tient sur lui que par son fessier.
Il la
bascule alors vers l'avant.
Elle
s'offre, à 4 pattes à même le sol.
Les mains
de l'homme lui resserrent les jambes.
Sa croupe
cambrée, elle se dandine... pleines d'envies...
- C'est
ainsi qu'il t'a baisé ?
- Oui... en
levrette...
- Comme une
putain gourmande.
-
Hoooo...
Il saisit
son sexe et la fesse de son poteau viril.
Elle
roucoule.
- Oui... il
m'a prise comme la sale petite cochonne que je suis.
Fait-elle
en le regardant de côté.
Il lui
sourit et l'embroche d'un trait.
Les jambes
proches, le piton de Robin force pour se frayer un passage dans le vagin pourtant détrempé et accueillant de son amante.
Elle pousse
un "Haan !" qui résonne dans le salon.
Derrière
elle il la besogne de plus en plus rapidement.
Elle est
secouée par les coups de reins, véritables coups de boutoirs, que lui assène Robin.
A chaque
couple de percée, une fessée lui fait rougir les globes.
L'orgasme
revient en elle, puissant, submergeant.
- Haaa !
Haaaaa !
Il la voit
agiter son visage de droite à gauche, prise de spasmes orgasmiques.
Son con se
contracte, se relâche, elle jouit sous les assauts sans fins de son fougueux amant.
Il n'a rien
à demander, elle se retourne vers lui et lèche son sexe souillé de cyprine, prenant à peine le temps de remonter une mèche de cheveux derrière son oreille.
- Très
gourmande.
Elle hoche
affirmativement de la tête tout en savourant le sexe de Robin.
- J'aime
ça. Continue... Béatrice.
Elle rougit
d'un coup.
Jamais
encore son employé ne l'avais appelé par son prénom.
Une telle
familiarité... alors qu'elle le suce... fait enfler une boule de chaleur dans sa poitrine.
Il la voit
se figer un court instant avant de fermer les yeux et le pomper avec une voracité à l'image de leurs ébats précédents.
Dans les
reflets des boules de Noël, Robin se tend, se cabre.
Les murs
épais de la petite maison absorbent les râles de l'homme alors qu'il éjacule par grosses giclées dans la bouche de sa patronne, remplissant sa gorge de son foutre blanc.
Elle avale
en ne ménageant pas son plaisir à l'engloutir.
Après un
dernier coup de langue, toujours à genouillée devant lui, elle pose sa joue sur sa cuisse.
- Tu as été
bien punie.
- Hummm
oui. Je vais pouvoir recommencer à ne pas être sage en attendant l'année prochaine.
- Je
l'espère bien.
- Dès
demain... je vais m'occuper de mon employé. Fait-elle en le regardant avec un sourire.
- Je suis
sur qu'il va apprécier.
Elle se
rhabille et quitte la maison de gardien, soudain silencieuse.
Ses fesses
la piquent, Robin a été dur... et elle n'en peut plus... assouvie...
Toute la
maison est plongée dans le noir.
Elle a
l'impression de rentrer chez elle en catimini, pour ne pas se faire prendre.
Lorsqu'elle
se couche auprès de son mari endormi, c'est avec un sourire, celui du plaisir.
Elle
s'empare de son téléphone... cachée sous sa couette.
Robin
tourne la clef et retrouve sa demeure solitaire.
Son sexe
dodeline entre ses jambes.
Ses bourses
vident, il s'allonge et son esprit vagabonde entre ses deux amantes.
Lorsque son
téléphone vibre et qu'il y découvre le nom de sa correspondante, il sourit.
Le texte
est osé...
Une simple
signature : "Béa".
Il a à
peine le temps de répondre qu'un autre contact s'allume... "Coralie".
L'année
finit et commence bien.
A suivre...
Bien sur !