Lui.coeur rouge
L'ascenseur ralentit.
 
Elle m'a remarqué.
 
Déjà son étage ?
 
Elle a vérifié ses boutons... un geste hautement érotique.
 
Non, il s'arrête en plein milieu de notre ascension.
 
Ho non... nous allons être rejoint dans la cabine.
 
Pourvu qu'elle ne me prenne pas pour un déséquilibré...
 
J'ai du mal à équilibrer mes pensées lorsqu'elle est là.
 
La porte s'ouvre.
 
Une énorme armoire métallique entre avec peine et remplit presque entièrement l'habitacle.
 
"Désolé, M'sieurs dames" lance une voix aigre. "On doit livrer ça tout en haut et c'est gros".
 
Elle fait un pas de côté pour laisser le meuble disgracieux emplir l'espace.
 
Sa hanche droite vient toucher le dos de ma main.
 
Je rêve.
 
Elle frotte son bassin pour se dégager et s'éloigner quelque peu... en vain tant le volume de l'objet est important.
 
"Va falloir s'serrer. Faut que j'aille appeler la cage main'nant " finit par rire l'invisible déménageur.
 
Je ne prête pas attention à la fin de sa phrase, je frémis lorsque le tissu de sa jupe crisse contre ma peau.
 
En me tortillant, je tente de lui faire un peu de place.
 
Le bout de mes doigts effleurent son dos.
 
Je devine l'armature de son soutien-gorge.
 
Mon regard se pose sur ses seins et leur galbe envoutant.
 
Mon bras est coincé et ne peut pas monter plus haut que son cou.
 
J'hésite un instant à caresser sa nuque et ses quelques petits cheveux dorés qui caracolent librement.
 
Je la vois déjà ondulante et hochant de la tête sous les assauts que je pourrais lui procurer... ses cheveux défaits allant de gauche à droite au rythme de ses gémissements...
 
Ma main redescend.
 
"Excusez-moi" dis-je en faisant s'abaisser mon bras.
 
Je passe sur son séant.
 
Malgré moi...
 
L'excuse est aussi grosse que l'armoire, mais je profite de ce moment jusqu'à en avoir les oreilles rouges de confusion.
 
Mon cœur s'emballe.
 
Ma main sur ses fesses...
 
Lentement je la fais glisser...
 
Le tissu...
 
La fermeté que je sens sous la jupe...
 
J'ose... non...
 
J'en ai envie mais je n'ose pas...
 
L'envie de presser mes doigts doucement.
 
La lumière s'éteint soudain.
 
Elle sursaute.
 
"Ne craignez rien, c'est normal. Il va appeler l'ascenseur à l'étage supérieur. L'obscurité est temporaire".
 
Ma voix me semble lointaine, étouffée par l'exiguïté des lieux.
 
Doucement ma main passe sur son fessier avant de s'éloigner. A regret.
 
Si proche... son parfum est enivrant.
 
Si loin de mon univers...
 
Je profite de ses quelques secondes d'immobilité où son souffle seul trouble le silence de l'ascenseur.
 
La lumière revient et un cliquetis signale la reprise imminente de la montée.
 
 
 
...
 
 
 
Elle.
Mon souffle est très court ... j'ai senti comme une caresse au bas de mes reins, dans mon dos ...
 
J'ai accentué ma cambrure naturellement attirée par ce frolement, je ressens comme des petits picotements dans le creux des reins
 
Comme il serait bon de se laisser aller dans ses bras
 
Les effluves de son parfum me parviennent, elles m'enivrent
 
L'obscurité de l'ascenseur me fait sursauter, je prends peur.
 
Sa voix est rassurante, un souffle à mon oreille que j'ose imaginer cru ...
 
Prise d'un léger vertige, je déplace mon buste légèrement, mon regard croise le sien, mes bras le long de mon corps,
 
Je bascule vers son côté lorsque l'ascenseur démarre, je tente de me redresser
 
"excusez moi ... je vous tombe dessus"
 
Mes cheveux ont frôlé son visage, j'ai senti son souffle sur ma joue
 
Ma cuisse contre la sienne, je tente de m'éloigner de lui en posant ma main contre la paroi de l'ascenseur, juste à côté de son épaule
 
Je le fixe, hypnotisé par son regard, ses lèvres que je dévore en pensées.
 
"Je ... j'ai un peu chaud , excusez moi ...c'est gênant cette situation"
 
Mon souffle est de plus en plus saccadé ... ma poitrine se gonfle, je suis troublée, je mordille ma lèvre supérieure, l'humidifiant ... j'ai tout d'un coup très soif.
 
J'ai l'impression que les boutons de mon chemisier vont lâcher un par un, mes jambes me semblent de plus en plus de coton.
 
Une main contre la paroi pour me repousser, l'autre qui tente de s'accrocher à l'armoire, je me sens ridicule.
 
Je souffle en l'air pour chasser ma mèche de cheveux qui tombe invariablement contre ma joue et voile mes yeux
 
Je lui souris, prise d'un fou rire de cette situation des plus incongrues
 
"Elle est rebelle ..."
 
Il approche sa main de mon visage .. attrape la mèche rebelle du bout de ses doigts ....
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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7h50.
kimono
 
Lui.
L'ascenseur de service de la tour est le moins utilisé et on y croise peu de personnes, encore moins celles que l'on va devoir subir toute la journée à venir.
 
Certes, il est plus lent, ce n'est pas pour cette unique discrétion que je le prends chaque matin.
 
C'est pour elle.
 
Elle...
 
Les paroles de la chanson me reviennent instantanément. "J'arrive à me glisser avant que les portes ne se referment... Elle me dit "quel étage ? " et sa voix me fait quitter la terre ferme."
 
Je connais son étage.
 
Le 43e.
 
Un étage avant le mien.
 
Tous les matins elle prend ce même ascenseur.
 
Elle...
 
Ses cheveux blonds attachés en chignon strict, ses yeux d'un vert lumineux.
 
Une jupe de tailleur au dessus des genoux... un tissu fluide, léger, de couleur crème avec quelques arabesques plus ombrées...
 
Un chemisier blanc en satin qui laisse deviner le galbe de ses seins voluptueux, cachés, suggérés par les plis qui tendent son haut gracieux...
 
Un interstice me permet de distinguer la dentelle de son soutien-gorge. Une dentelle fine et transparente, rouge.
 
Sa bouche au rouge à lèvre d'un rouge-rosé...
 
Sa main droite, à la peau satinée, serrée sur sa mallette...
 
Sa main gauche qui remonte une mèche délicieusement rebelle sur son front pour la fixer derrière son oreille délicate et ornée d'un petit anneau d'or...
 
Elle rejoint l'étage de son cabinet de courtage.
 
Une femme de pouvoirs, d'ordres, de bourse...
 
Combien de fois j'ai imaginé cette femme qui respire l'autorité et l'assurance...
 
Tant de fois je l'ai rêvé...
 
Je l'ai voulu...
 
Je l'ai fantasmé...
 
Sa bouche autour de ma verge... goulue... gourmande...
 
Parfois forcée...
 
Ses mains sur mon membre... s'activant en souriant...
 
Ou... obligée...
 
A 4 pattes... ondulante d'envie...
 
Ou attachée par les poignets... dominée... fessée... chevauchée... en...
 
Je suis troublé.
 
Mon regard braqué sur elle je ne me suis pas rendu compte que je ne la lâchais pas des yeux.
 
Elle s'aperçoit que je ne fais que l'observer, perdu dans mes pensées lubriques.
 
J'en suis un peu gêné mais totalement hypnotisé par cette sensualité cachée.
 
Que doit-elle penser ?
 
 
 
 
 
   
 
Elle.
Humm quel homme!! et ce regard ... ses yeux d'un bleu glacial me troublent ... bel homme 
Pourtant il a un côté vestimentaire, artiste qui ne font point rêver ... Il est loin de ressembler aux hommes d'affaire dans leur costume impeccablement bien coupé, leurs chemises bien cintrées et leurs chaussures de cuir italiennes
Qui est-il? le peintre de l'étage supérieur? à moins qu'il ne soit écrivain ... musicien .. je ne sais pas, des rumeurs ont bien couru sur lui ... un artiste avec des rumeurs de libertinage, sur son métier, ses fréquentations ...
Ce doit être lui ou bien je me trompe, peut-être un coursier ou un client.
 
Pourtant je le croise souvent dans cet ascenseur
En tous les cas il a un côté sombre et énigmatique qui le rende encore plus attirant ... ces yeux ... je rêve ou il me dévisage? j'ai l'impression d'avoir surpris son regard furtif vers mes hanches ... ma poitrine
Il faut reconnaitre que ce chemisier me serre un peu
Troublée j'approche ma main de mes seins, je vérifie rapidement que tous les boutons sont en place
Mes yeux suivent son corps pour se poser sur ses hanches ... son bassin , j'adore ses courbes, son jean délavé, usé le moule parfaitement ...
Je rougis de mes pensées qui me viennent comme des flashs ... son bassin, son sexe, son coté animal. Je l'imagine droit, dur, le gland brillant.
 
Ce lieu, un ascenseur ... mon imagination me joue des tours
 
Je relève légèrement le menton, mes yeux dans les siens 
je replace ma mèche de cheveux derrière mon oreille, la main légèrement tremblante
Mon cœur s'emballe, je commence à avoir chaud, il me fait chaud ... il dégage une chaleur ...
Je distingue son torse dans le v de son col, une large échancrure
Troublant, sa peau semble fine et douce, elle est recouverte de quelques poils
Je me plais à imaginer mes doigts glissant dans le revers de son haut en coton fluide, mes lèvres qui effleurent sa peau à la recherche de ses tétons ... stop!!
 
Je vérifie rapidement ... pas d'alliance à ses doigts, juste un anneau en argent au majeur de sa main gauche et un autre à son pouce droit.
Je pince mes lèvres, serre mon attaché case
 
Ressaisie toi!! je lève les yeux vers le haut de l'ascenseur ... les chiffres lumineux s'égrainent, enfin mon étage
 
Je me sens gauche face à cet homme que je domine du hauts de mes talons, je le surplombe de quelques centimètres, mais cela ne suffit pas ... sa présence et son regard me troublent, je me sens toute petite.
 
J'ai quand même eu cette impression qu'il me contemplait, il semblait bloquer.
 
Peut-être est-il fou ...
 
Je suis folle!! Concentre toi ... bientôt ton étage, du travail t'attend.
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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    [...]

J'enchainais les moments où j'imposais à Léa, ma secrétaire, des missions sensuelles où sa sexualité, sa honte et ses désirs et nos plaisirs étaient excerbés, avec les longues discussions en ligne... toutes aussi osées.PJ2
Elle me faisait le récit de ce qu'elle ressentait lors de l'exécution des ordres que je lui donnais.
Parfois également nos échanges dérivaient pour des mises en scènes imaginées et virtuelles où elle se livrait à moi.
Peu à peu elle était tombée totalement sous mon emprise et c'est bien volontiers qu'elle acceptait de se livrer à mes envies les plus crues.
Ce qu'elle ignorait c'est que j'étais son patron dans le réel.
Petit à petit ce mensonge pris de plus en plus de place et me fit douter.
Avais-je le droit de jouer avec elle de cette façon ?
Il faut dire que plus le temps passait et plus je m'attachais à ma "soumise".
Moi aussi j'étais envouté par ce qui nous unissait.
Un étrange lien s'était tissé entre nous.

Elle me confia son numéro de téléphone.tel
Ainsi je pouvais la contacter et l'entendre...
Mon numéro à moi était en appel masqué et ,je ne disais rien de peur qu'elle ne reconnaisse ma voix.
Sa voix... le claquement du décrochement du téléphone... sa respiration et le premier mot "Maitre... je suis à vous".
Nous échangions parfois sur ce double fonctionnement.
J'écrivais donc et je l'entendais réagir... soupirer... répondre à mes questions... ou réagir à mes affirmations.
"Ohhh hummm... je suis accroupie. Vous pouvez tout me demander. Je suis obéissante."
Sa voix était si suave, si sensuelle.
Je bandais comme un cerf alors qu'elle reprenais des morceaux de mes écrits, pendant que je lui écrivais et qu'elle se faisait plaisir..." Ouiii je suis votre cochonne... votre petite salope..."
Elle y prenait un plaisir incroyable.
Plus d'une fois je l'entendis ainsi jouir à l'autre bout du fil, sa respiration haletante puis le râle de la petite mort.
Et au moins autant de fois je giclais à mon tour, en communion avec elle.

Elle me fit un jour une révélation alors que nous étions seulement séparés par une vitre, elle dans son bureau, moi dans le mien.

"Mon maitre adoré.
Hier soir je vous ai désobéis.
Je me suis caressée sans votre autorisation."

Elle souriait, je le voyais. Elle savait qu'elle allait être puni et c'est ce qu'elle cherchait.
Puis elle poursuivit...

"J'aimerais vous rencontrer.
Et vous sentir.
C'est à ceci que je dois mon plaisir d'hier que je n'ai pas pu retenir.
Je serais la même, toujours aussi obéissante..."

J'étais estomaqué.
Elle désirait aller plus loin.
Combien de fois en avais-je eu aussi envie... sans oser passer le pas.
Je la regardais.
Elle était concentrée.
Son visage semblait tendu et ses yeux étaient rivés à son écran.
Elle avait oublié le lieu où elle était, elle n'était plus que concentrée sur sa relation charnelle distanciée.
L'envie me tenaillait.
La raison me hurlait de me contenter de l'intimité que nous partagions.

"Et si je te donnais cette autorisation ?" formulais-je après avoir conservé un petit moment d'attente.
Mon sexe avait pris le pas sur mon cerveau.
Mon cœur battait à 100 à l'heure.

Elle se plaça dans le fond de son siège de bureau.
Ses joues étaient légèrement plus roses qu'avant.
Ses yeux brillaient et elle eu de petits regards de côté pour s'assurer que personne ne lisait par dessus son épaule.

"J'en serais la plus heureuse des femmes... et la plus docile des soumises". Répondit-elle.

Tout ceci prenait une envergure qui risquait, là encore, de me dépasser. Mais j'avais tenu le coup et assuré jusqu'alors ! Alors pourquoi me priver d'aller plus loin encore...

"Nous pourrions nous rencontrer dans un ascenseur...". Mes mots venaient sans aucune projection dans l'avenir.
"Un lieu étroit où vous sentiriez ma main caresser votre croupe..."

"J'en serais gênée... mais je ne pourrais pas bouger, alors le moindre mouvement me ferait me frotter à vous..." répliqua t-elle aussitôt.

Un scénario improvisé d'une sensualité et d'une complicité intense naquit sous nos doigts, devant nos regards... pour faire naitre des plaisirs impolis aux creux de nos ventres.
Ses pommettes s'empourpraient tout au long de notre discussion.
Je bandais... ma verge en était douloureuse.
J'avais envie de lui dire qui j'étais et de la prendre sur son bureau, là de suite... et envoyer paitre la bienséance.
Seuls mes écrits témoignaient de mon désir.

Elle me signala qu'elle allait bientôt jouir.
Je lui donnais l'autorisation de se soulager dans les WC de son entreprise.
Devant mes yeux elle se leva et se dirigea vers les toilettes.
Mû par un désir irrépressible, je lui emboitais le pas.

Dans la cabine étroite, se pensant seule, elle se permit de soupirer un peu plus fort par deux fois.
Je souriais.
Elle venait d'atteindre l'orgasme.
Elle sortit alors et me découvrit en train de me laver les mains
En un instant son visage fut plus rouge qu'une fleur de pivoine.
Sans un mot elle lava ses mains rapidement juste à côté de moi.
Une odeur de sexe trahissait son plaisir impoli.
Elle avait honte, sans aucun doute.

Je revins à mon bureau.
Ravi.
Elle tardait à me répondre : "Alors... tu as bien joui ?"
Je la voyais pourtant, assise devant l'écran.
Immobile.
Les mos s'affichaient, phrases courtes après phrases courtes.

"Mon patron m'a surpris.
Je suis sur qu'il m'a entendu.
Je n'ose plus le regarder.
C'est horrible.
Car j'adore cela.
Il doit me prendre pour une folle de sexe.
Et... je sens que je le deviens.
Grace à vous.
Hoo... j'en suis de nouveau humide.
Je fais des choses que je ne me serais jamais cru capable de faire.
Et j'ai envie de vous obéir, d'être guidée...dirigée...
Mon Maitre adoré.
Aidez-moi.
Prenez-moi en soumise... réelle.
J'en perds le sommeil.
C'est de la folie... j'ai besoin de vous."

Une idée me traversa l'esprit.
Démente.
Quelques minutes plus tard, après un coup de téléphone, je lui donnais rendez-vous dans un hôtel.
Elle devait laisser la porte ouverte et se bander les yeux.

Je la vis se lever de son bureau.
Elle venait de répondre simplement "Merci".

Elle prenait un café dans la salle de repos.
Je m'en versais un également.
Elle alluma sa seconde cigarette.
Ses mains tremblaient.

"Vous avez un souci Léa ? " lui dis-je.
"Non monsieur, non non."
Elle souriait.
"Vous semblez fébrile..."
Je la fixais du regard.
Mes yeux coulèrent sur sa poitrine.
Elle s'en aperçu mais, au lieu de se tourner, elle me rendit mon sourire et reporta sa cigarette à sa bouche divinement sublime.
"J'ai... un rendez-vous. Que j'espérais depuis longtemps". Elle rougit en baissant le visage.
"Heureux homme. Je vous accorde de partir une heure plus tôt" lui répliquais-je aussitôt.
Elle en resta bouche bée.
"Merci monsieur".
Je la laissais sur place en emportant ma tasse à café.

Mon sexe formait une bosse monstrueuse dans mon pantalon.
Je ne m'en étais pas rendu compte mais...
Cela n'avait pas pu lui échapper.
Peut-être était-ce là l'origine de son rougissement ?
Je ressentais un mélange de culpabilité et d'envie.

Elle partit rapidement en me faisant un signe de la main et un sourire.
Je quittais le bureau à mon tour un peu plus tard.
J'avais réservé une chambre à l'hôtel.
Elle m'y attendait.
La porte était entrouverte...

Le réel vint se mêler au virtuel.
Pour nos plaisirs communs.

A suivre ?

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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