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Je n'étais pas retournée au bureau de mon mari depuis que son patron m'avait prise en ces lieux.
Je m'efforçais de ne plus y penser mais mes rêves étaient parfois agités et des images me revenaient, précises, persistantes... érotiques... perverses.
Il m'était ardu de résister à poser mes longs doigts fins sur ma toison courte et blonde.
Mes mamelons se gonflaient soudain de plaisir, en pleine journée, ou au réveil à la simple pensée de cette incartade aux principes de mon mariage.
C'était horrible, cela me mettait le feu au bas ventre.
Je ne lui avais rien dit, gardant mon coupable méfait pour moi, portant ce fardeau comme un boulet de forçat.
J'étais punie par mes remords.
Comment avais-je pu faire une telle chose alors que Marc était un époux aimant, doux, attentif ?
Depuis nous avions refait l'amour.
Cela n'avait aucun rapport avec la débauche de sens que j'avais connu, c'était beaucoup plus sensuel et réservé.
C'est à ce moment, perdue dans mes pensées, alors que je rangeais la chambre de notre grande fille, que la sonnette retentit.

J'ouvre la porte et je sursaute.
La directeur de mon mari me sourit.
Mes joues deviennent aussi rouges que des fleurs de coquelicot.
Mon premier réflexe est de claquer la porte, de barrer le verrou.
Au lieu de cela je l'invite à entrer.
Des idées en tous sens dans mon cerveau qui s'affole.
Le refus, l'envie, la honte, la surprise.
Je me sens perdue mais je garde contenance.
Le souvenir de la dernière fois où je l'ai vu me fait l'effet d'une gifle.
"Vous désirez ?" parviens je à énoncer sans avoir la voix trop chevrotante.
Il pose ses yeux sur moi.
Son regard de mâle, si sur de lui.
Plus grand que moi je sens ses yeux passer de mon cou à mes seins puis glisser sur mes hanches.
Je me sens si fragile dans cette robe légère.
Ma poitrine se soulève au rythme de ma respiration.
Il lève un sourcil, le coin de sa bouche en sourire.
Je croise mes bras et ses yeux de braise remontent se plonger dans les miens.
"J'avais à faire dans les alentours, je suis passé vous saluer".
Que sa voix est grave, forte. Si différente de Marc.
"Mon mari n'est pas là". Je tente de garder mon aplomb.
Je revois ses mains se poser sur moi et j'en frémis encore.
"Je sais" lâche t-il en s'avançant vers moi.
Je recule, légèrement apeurée.
Ho oui je suis effrayée... de ce qu'il peut me faire... mais tout autant de mes démons qui me tentent et m'incitent à la luxure.
Il s'approche.
Face à moi, son corps, sa bouche avide, son regard qui me fouille, son parfum qui m'enivre, son sourire qui me donne chaud.
Du dos de sa main droite il caresse ma joue.
J'ai un petit hoquet de surprise.
Ses doigts font filer mes cheveux pour remonter quelques cheveux blonds rebelles derrière mon oreille.
"Béatrice vous êtes... splendide".
Je rougis.
Mon dos rencontre le mur.
Sa main gauche se pose sur mon épaule et caresse mon bras.
Mon cœur s'emballe, je voudrais résister mais il est si proche, si présent, que je ne peux qu'émettre un faible gémissement négatif.
Ses mains jouent sur mes bras, sur mon cou.
Il caresse ma peau qui frisonne sous les sinuosités torrides que font ses doigts sur moi.
Lorsque ses doigts viennent déboutonner le devant de ma robe, je sens mon intimité d'humidifier instantanément.
Le son mat que font les boutons qui s'ouvrent, me semble un bruit de canon à chaque fois.
Ses mains se faufilent sous le tissu, il effleure le tissu de mon soutien gorge, passe sur mes seins, ouvre ma robe qui tombe sur mes hanches.
Je ferme les yeux.
"Non... s'il vous plait.. je suis une épouse sérieuse..." parviens-je à émettre entre mes lèvres sèches, la gorge nouée.
Il prend alors mes seins à pleines mains.
Ses mains, grandes ouvertes, appuient, malaxent mes petits seins dont les tétons qui se tendent, trahissent mes envies inavouables.
Il tire sur le soutien gorge, ma poitrine bondit en avant, le harnais de dentelle sur mon ventre comme un porte jarretelle placé trop haut.
Je gémis à chaque massage qu'il me pratique.
Mes seins nus subissent un délice de caresses.
Il tire délicatement sur mes tétines raides, les fait rouler dans ses mains.
Je m'abandonne à sa bouche qui vient se poser sur mon mamelon, l'aspirer.
Il me tête langoureusement, mon bout de seins aspiré dans sa bouche vorace, soupirant comme une midinette.
"Hooo... non... c'est fou...." ma voix est une plainte.
Sa main vient de glisser sur mon entre cuisse.
Il a remonté ma jupe, enfouit ses doigts entre mes jambes.
Il palpe le tissu de ma culotte, frêle rempart, et m'oblige à écarter les jambes.
"Tu mouilles dis donc" me murmure t-il de façon osée.
Mes yeux s'ouvrent et se referment aussitôt.
J'ai l'image de mon corps totalement à sa merci.
Il me masturbe avec une habileté qui me fait soupirer.
Ma culotte est tombée sur mes chevilles sans que je m'en sois aperçue.
Ses doigts dans ma toison courte, dorée, il presse mes grandes lèvres, son index écarte mes nymphes de haut en bas.
Mon dos contre le mur je ne lui oppose aucune résistance lorsqu'il entre son doigt en moi.
"Oui... tu es toute trempée... petite cochonne."
Je crispe mon visage pour réprimer un gémissement de plaisir qui s'étouffe dans ma gorge.
Cette façon si crue qu'il a de ma parler est toute à la fois un camouflet injurieux et un acte hautement érotique.
Il joue avec ma fente, s'amuse avec mon clitoris qu'il a extraie, qu'il appuie et tire alternativement.
Mes jambes sont molles, je manque de tomber assise au sol, sa main sur mes seins me masse la poitrine pour la soulever et pouvoir sucer mes tétons.
Il me redresse d'un geste, ses deux mains sur mes hanches... puis sur mes fesses.
Il fait glisser la fermeture éclair de son pantalon, sa braguette s'ouvre dans un sifflement obscène.
Un mouvement de côté, je cherche à m'esquiver mais sa main me rappelle à l'ordre en me soulevant une cuisse.
J'ai les jambes écartées et son gland vient se poser contre mon pubis.
Tel un serpent qui sait où est sa proie, son sexe vient trouver le mien.
Il me pénètre alors d'une traite.
Je pousse un cri.
Il a posé un de mes pieds sur une chaise.
Plaquée, il me cloue au mur au moyen de sa verge qui remplit ma matrice, déforme ma motte de femme mariée.
Ma jupe autour de la taille, retroussée en bouchon, mon soutien gorge défait, ma poitrine ballottant, je subis sa saillie.
"Haa ! Hoo... non... Haaa !"
A chaque mouvement de ses reins, son pal de chair me perce un peu plus loin et me fait crier.
Sa verge est si large comparée à celle de Marc, qu'il me donne l'impression de me déchirer.
Ma fente ruisselle, je ne résiste plus à l'acte d'infidélité qui me donne des frissons et... je refuse de me l'avouer... du plaisir.
Il accélère, mes fesses et mon dos frappent le mur dans un rythme de plus en plus rapide.
Sa verge coulisse dans mon vagin en fusion.
Mes doigts se crispent sur ses épaules, mon visage révulsé.
"Tient... petite cochonne... prend ça... allez... tu l'aimes ma bite... quand elle te défonce la chatte..."
Ses mots... hooo... des mots que jamais n'ira me dire Marc, des choses que je n'ai jamais entendue et qui m'affolent.
Je pousse alors un râle, submergée par ces sensations interdites.
L'orgasme que je ne voulais pas atteindre déferle sur moi dans un torrent de gémissements.
Je jouis et il me force encore, attirant ma croupe vers lui, mes cuisses ouvertes.
Longuement, sa grosse tige va et vient, je gémis, je me laisse aller, espérant que lorsque mes yeux s'ouvriront je n'aurais fait qu'un rêve...
Il se cabre en moi, il sort de ma vulve et son jus m'éclabousse le ventre et les poils pubiens.
Un liquide épais, chaud, poisseux qui s'étale sur ma peau d'épouse sérieuse...
Mon regard découvre ma tenue.
J'ai honte.
Ma poitrine se soulève au gré de ma respiration rapide, mes seins douloureux d'excitation.
Mon ventre et ma jupe, souillé de son sperme.
Mon sexe ouvert, rouge et luisant de mes sécrétions orgasmiques.
Il répond à son téléphone, son visage tourné vers la porte.
Je découvre alors son sexe qui dodeline entre nous.
Ho ! Cet engin est d'une épaisseur conséquente !
Son méat semble me regarder.
Je fais descendre ma jupe sur moi et je remonte mon soutien gorge.
Je veux oublier ce moment d'abandon.
Mais il en désire autrement... et sa main empêche le tissu de recouvrir mes seins.
Dans un sourire carnassier.
"Béatrice... nous avons encore du temps..."

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Béatrice.reve
40ans, 1m69 pour 52 kilos. Cheveux longs. Blonde jusqu'à sa toison pubienne, courte et entretenue. Des petites fesses fermes entretenues par la pratique du yoga, une poitrine ronde et menue (un 85B), un joli visage ovale où percent des yeux bleus étincelants et où rayonne une bouche souriante.
Voilà comme on peut me décrire lorsque l'on me voit pour la première fois.
Je suis mariée à Marc depuis 20 ans. Il est un mari doux, attentionné, discret.
Jamais d'aventure... jusqu'à ce jour d'avril.

Nous sommes invités à son entreprise pour l'inauguration d'une nouvelle succursale. Marc a mis son costume gris, j'ai passé une robe bleue pâle, légère car il fait bon en ce début de printemps.
Arrivés sur les lieux, Marc serre des mains, me présente à ses collègues, supérieurs et subalternes.
Il occupe un poste de chef de groupe qui mène son équipe sans heurt. S'il n'est pas le plus hardi des employés, il est apprécié pour sa gentillesse, je m'en rends compte dans les attitudes des personnes qu'il me présente.
Lorsqu'un homme plus grand se fraie un passage dans la foule pour venir vers nous, Marc semble se tasser.
Un sourire et des yeux pétillants nous font face.
Le patron de Marc vient lui souhaiter la bienvenue.
Il saisit ma main et la porte à ses lèvres.
Je sens son souffle chaud sur ma peau et je frissonne.
" Votre adorale femme je suppose ?" fait-il de sa voix grave et profonde.
Assez grand, il a une belle stature, des yeux gris perçants et ses gestes, ses mots, trahissent une assurance et un charisme fou.
Ma main semble si petite dans la sienne qu'il me semble pouvoir la broyer s'il n'y prenait garde.
Marc balbutie affirmativement.
Lorsqu'il s'éloigne, je m'aperçois que j'ai les joues rouges et une étrange boule de chaleur dans mon ventre. Chose étrange car je suis une femme fidèle, nullement tentée par aller voir ailleurs. Marc est si gentil avec moi.
Je passe une mèche de mes cheveux derrière mon oreille droite, machinalement, signe d'un énervement et d'une gène que je ne parviens pas à canaliser.
Je rends son sourire à mon mari qui s'inquiète de savoir si je vais bien.
Dans la suite de la soirée, je sens parfois le regard de son patron se poser sur moi. Et, lorsque je me retourne pour m'en assurer, ses yeux me fixent et sans un sourire, se maintiennent au point que je suis obligée de détourner mon regard.
Je suis Marc, grignotant, sirotant les jus de fruits qui sont à notre disposition sans toucher aux divers alcools disponibles.
Une main se pose sur mon épaule et je sursaute.
La voix sourde de son patron est à quelques centimètres de mon oreilles.
J'en perçois le souffle.
Son parfum me parvient, fragrances de musc et poivre mêlées.
" Je vous emprunte votre femme, je lui fais faire un tour de notre établissement".
Tétanisée, je ne peux que regarder Marc qui fait un faible "oui Monsieur" pour toute réponse.
La main large se pose dans mon dos et me pousse vers l'extérieur de la salle.
J'entends certains hommes de l'assistance murmurer les mêmes rumeurs que mon mari m'avait déjà parlé. Cet homme est un coureur, un dragueur... un homme à femmes.
Je suis horriblement gênée, honteuse.
Je n'ai qu'une envie, qu'il enlève sa main de sur moi.
Au lieu de cela il la laisse, ses bouts de doigts s'agitant même... jusqu'à me caresser presque imperceptiblement.
A peine un premier couloir passé, loin des éclats de voix de la réception, sa voix résonne.
Loin d'être l'horrible ogre que je m'étais imaginé, charmant, il me fait visiter et m'explique avec passion tout ce qui fait son entreprise.
Sa main reste posée dans mon dos.
J'en ressens un trouble mais lorsque je m'éloigne un peu et qu'il la repose, une subtile émotion me parcourt.
Il m'est difficile de l'éviter sans paraitre, pour le coup, indélicate.
Et en même temps... je suis flattée de l'intérêt qu'il me porte. C'est une chose qui ne m'est que rarement arrivée.
"Voilà le bureau de votre mari" me fait-il en ouvrant une porte.
Un joli espace sur lequel trône ma photo.
"Il vous a toujours un peu avec lui" fait-il en tournant le cadre, amusé.
Je rougis.
Marc pense donc à moi, lorsqu'il est ici. Il est adorable.
Son patron s'approche lentement.
Je suis comme pétrifiée.
Si proche, si près. Trop.
"Passons à mon bureau voulez-vous ?"
Un hochement de tête de ma part pour toute réponse il me guide et j'avale ma salive avec difficulté.
Je devrais lui demander de revenir auprès de Marc, je devrais fuir cet homme troublant, au lieu de cela je le suis, coupable de ne rien dire.
Sa main se cale de nouveau dans mon dos lorsqu'il me fait pénétrer dans son lieu à lui.
Il me pousse doucement et mes mains rencontrent bientôt le bois de son bureau.
Sa main remonte sur ma nuque.
"Que faites-vous... ?" dis-je, mal assurée.
Il caresse mon cou de ses doigts.
Une caresse légère qui remonte sous mes cheveux.
Et puis sa bouche... sur ma nuque.
Je frissonne.
Je veux m'esquiver mais sa main droite me maintient habilement le cou alors que la gauche vient de se poser sur mes hanches.
Je suis bloquée.
Sans un geste réellement physique pour me débattre je suis prise au piège des mains de cet homme.
Prise au piège de ses mains habiles et douces. Fermes... musclées.
Je n'en reviens pas de moi même car je ne parviens que faiblement à me refuser à ses caresses.
"Non, il ne faut pas, je suis une femme mariée..."
Ma voix me semble creuse, vide.
Sa bouche embrasse ma nuque, passe d'un côté à l'autre alors que du bout des doigts il me masse le haut du dos, la base du crâne... et ma hanche.
"Je sais que vous êtes mariée." susurre t-il à mon oreille. "Votre mari a une femme extraordinairement séduisante".
Je cherche à passer de côté mais sa main a anticipé mon geste et vient de remonter sur ma poitrine.
Il presse doucement mon sein.
Je sursaute.
Ho non... que fait-il !
Il masse doucement ma poitrine.
Je ferme les yeux, me mords la lèvre inférieure.
Son index passe sur le tissu léger de ma robe qui ne peut masquer la trahison de mon corps : mon téton s'est tendu.
Ma respiration se coupe, une boule dans la gorge.
Il palpe délicatement mes rondeurs qui se tendent, douloureuses d'envie.
"Non... non..." fais-je sans force.
Son autre main monte à son tour sur mes seins et il me caresse lentement.
Au lieu de le gifler mes mains se posent à plat sur son bureau et ma croupe se tend vers lui, indécente comme jamais je n'ai été.
Il dégrafe ma robe et mon petit soutien gorge, libérant ma poitrine.
Je pousse un soupir, surprise par ma réaction moi même.
Ses mains sont larges, douces, expertes.
Il joue de mes globes avec maestria et parvient à m'arracher un gémissement quand il tire délicatement mes pointes dressées.
Mon soutien gorge tombe sur le bureau et le faible bruit sonne le glas de ma résistance.
Sans un seul mot sa main passe entre mes jambes.
Je m'efforce de les maintenir serrées mais il force un peu et m'écarte les cuisses.
D'un geste incroyablement lent et précis, ses doigts frottent mon intimité jusqu'à m'humidifier.
Il retire alors ma culotte et la pose sur le bois de son grand bureau, à côté de mes balconnets. Il me dénude.
Elle est en boule, rose, la dentelle visiblement mouillée.
Je ferme les yeux, refusant de croire à ce que je suis en train de vivre, de lui autoriser.
Ses doigts frôlent mes grandes lèvres.
Je pousse un petit cri alors qu'il passe sur mon clitoris.
Au moyen de lentes pressions il s'attarde sur mon sexe en feu.
Je coule... trempée.
"C'est mal... arrêtez..." tente-je de dire alors qu'il entre un doigt en moi.
Jamais un autre homme que Marc ne m'a touché... et je m'abandonne au premier venu.
Mes mains se crispent sous la double sensation de culpabilité et celle du plaisir.
Il explore mes muqueuses.
Ma fleur s'ouvre sous ses gestes.
Il excite mon bonbon et je souffle un "hoo... non..." aussi faible que plein d'envies.
Ma robe se soulève sur mes hanches.
Le tissu retroussé il passe sa main sur mes fesses nues.
Mon sexe gonflé entre mes cuisses ne peut que lui être totalement visible, accessible.
Ho que j'ai honte.
Et je me cambre un peu plus lorsqu'il flatte mon abricot entrouvert.
"Vous êtes très appétissante. Une belle chatte".
Je rougis à ces mots osés que je n'ai jamais entendu.
Marc ne me murmure que des mots doux, d'amour.
Lorsque son patron se penche derrière moi et pose sa bouche sur mon sexe, je pousse un cri.
Il me lèche le mont de Vénus.
Je me tortille sans même m'en rendre compte.
Il me donne du plaisir à l'aide de sa langue.
Elle se fait large et gourmande ou bien étroite et intrusive.
J'halète et j'ai du mal à avaler ma salive, à reprendre mon souffle.
Ses mains de mâle sur mes fesses me font m'ouvrir pour permettre à son visage de se plaquer sur mon intimité.
Son muscle me tourmente comme jamais je n'ai été tourmentée.
Il titille mon clitoris et le prend entre ses lèvres pour l'aspirer.
Je gigote, mes seins ballottent, libres, mes fesses se trémoussent.
Je suis dans une position obscène.
Il me lape, je gémis.
Je dégouline... au bord de l'orgasme.
Il remonte contre moi.
Je panique lorsque je sens son sexe se coller sur ma cuisse.
"S'il vous plait..." murmure-je dans un souffle.
J'en viens à me demander si je n'ai pas fini ma phrase pour lui laisser une idée perverse de mon désir secret, enfouis.
Il me force.
Lentement.
Je me penche, incapable de résister à son glaive qu'il entre dans mon fourreau.
Mes pointes de seins raclent sur le bureau, faisant s'accroitre un peu plus mon excitation.
Je tente une dérobade qui n'a d'autre effet que de lui permettre de m'embrocher un peu plus profondément et m'arracher un petit cri.
Il a ses mains sur mes hanches.
Il me maintient.
Et me parcourt sans relâche, accélérant ma saillie.
Je réponds à ses assauts, irrésistiblement attirée par le plaisir qui inonde mon bas ventre.
J'ai fermé les yeux, des étoiles filantes passent devant moi.
Je gémis.
Il s'enfonce si loin que j'en ouvre la bouche dans un cri muet.
Mon vagin se contracte et l'orgasme me submerge d'un coup.
Une vague de jouissance qui semble ne pas vouloir arrêter de grossir, d'enfler, de déferler sur moi.
Elle m'emporte et l'univers disparait autour de moi.
Je suis encore abasourdi par le ravage de sensations qu'il vient de me prodiguer.
Telle une poupée, il me fait me mettre à genoux.
Je ne résiste pas, les jambes flageolantes, l'esprit embrumé.
Il caresse mon visage de sa verge.
J'ouvre les yeux et je me découvre dans une position des plus obscènes.
A genoux devant lui.
Ses cuisses ouvertes, il est assit sur son fauteuil et je suis presque sous le bureau.
Son gland rond passe sur ma joue, y déposant une trainée de cyprine, ultime témoin de mon infidélité s'il en est encore besoin.
Il a un sourire carnassier qui m'effraie autant qu'il me rend folle.
Il est à l'opposé de Marc, cru, vulgaire, jouisseur... macho...
Il appuie sur ma nuque.
Je sais que je ne vais pas résister longtemps à son désir de mettre son sexe dans ma bouche.
Lorsque l'on frappe à sa porte, le fauteuil de cuir roule et me projette dans l'ombre.
Mon dos cogne le fond de son bureau.
Sa verge ma gifle presque.
Je suis entre ses jambes, immobilisée.
Il appuie sur ma tête...
"Entrez" ordonne t-il.
Je m'affole.
La porte s'ouvre...
Le bout de son sexe force mes lèvres...
Ma bouche s'ouvre pour pousser un cri, un refus...
La voix me tétanise.
"Monsieur, vous ne sauriez pas où est ma femme ? Je la cherche et... je ne la trouve pas".
C'est Marc. Je me recule mais je suis coincée.
Totalement prise au piège.
Sa main puissante me maintient autour de son sexe.
Je viens de lui arracher un soupir en déglutissant, aspirant de fait sa tige qu'il fait coulisser plus loin contre ma joue, sur ma langue.
"Vous m'excuserez Marc mais je suis occupé" dit-il en m'impliquant un mouvement d'avant en arrière.
Son dard est plongé en moi, mes lèvres sont plissées autour de son membre viril au gout si particulier.
Il me faut quelques secondes pour me rendre compte qu'il est enduit de mon suc intime.
J'en ai un haut le cœur.
"Votre femme est restée dans votre bureau, je pense... vous allez bien la retrouver" poursuit-il.
"Très bien Monsieur".
"Là, vous voyez, je ne peux pas vous aider à la chercher, je me fais sucer par une prostituée... ce serait dommage de gâcher ce plaisir que je m'offre".
Je n'en crois pas mes oreilles.
Les larmes me montent aux yeux.
Et je pompe son sexe, de rage, de honte... envahit d'un plaisir pervers qui m'est inconnu.
Sa main ne me retient que faiblement.
Il n'en a pas besoin, je dévore son manche gluant et si gros qu'il m'en fait mal aux mâchoires.
"Voulez-vous en profiter ? Je pense que cette gourmande ne dirait pas non..."
Sa voix roule dans le bureau et l'écho de celle de mon mari... si faible en comparaison... si douce... hésitante
"Non... Je... Si ma femme... je vous laisse, pardonnez-moi Monsieur".
La porte claque.
Le fauteuil se recule.
Je pleure, tétant le bout rond de son sexe avec délice.
Il me regarde, relève une mèche de mes cheveux.
Sa main maintient mon crâne, ses doigts dans mes cheveux.
Je le vois se tendre, je sens son pieu de chair gonfler.
J'ouvre de grands yeux pour le supplier de me lâcher.
Jamais encore Marc ne m'a... éjaculé dans la bouche lors des quelques fellations que j'ai pu lui faire.
L'homme ne m'en laisse pas le choix.
Il inonde ma bouche.
Son jus, un sirop épais, vient tapisser ma gorge, sinuer sous ma langue.
J'ai l'impression d'étouffer.
Les giclées se succèdent.
Il me remplit, il se vide.
Ma main à la base de son sexe, mon visage va et vient sur sa tige roide.
J'avale alors une première gorgée.
Mes yeux sont clos, comme un dernier refus de croire à ce que je fais.
Moi, la femme sérieuse, fidèle, mariée... suis-je la trainée qu'il vient de décrire ?
Un feu ardent me consume.
Je l'apaise en buvant le foutre qui coule dans ma gorge.
Un goût fort, mélange de liqueur masculine et féminine.
Je manque de tout recracher, de... régurgiter.
Mais il me maintient.
Et bientôt ma bouche est vide.
Lorsqu'il m'autorise à me relever, je suis à demi-nue, les cheveux en bataille.
La toison de mon sexe est collante de mes excrétions orgasmiques.
J'essuie mes lèvres dont le rouge à lèvre à totalement disparu, ma bouche est pâteuse, endolorie.
Je pose alors mes yeux sur le bureau.
Y trône mon ensemble de dessous.
Ho non ! Marc a du les voir !
Son directeur surprend mon regard.
"Il vaut mieux que vous ne les remettiez pas, ainsi il ne vous découvrira pas avec" fait-il en les empochant.
Je ne dis rien et je me rhabille vivement.
Je sors de son bureau, les jambes fébriles, pour m'arrêter aux toilettes.
Mon visage dans ce miroir est accusateur.
Tout mon corps respire l'infidélité.
Je réajuste ma tenue, coiffe mes cheveux.
Ma poitrine nue sous le chemisier trahit mon désir encore récent.
Mes seins sont gonflés.
Mes mamelons douloureux... j'ai encore envie... odieusement.
Je les cache sous ma petite veste.
Ma jupe se fait plus nette mais chaque pas me rappelle que mon sexe a été défloré d'une bien auguste façon.
Mes cuisses glissent l'une contre l'autre, une sensation d'humidité constamment centrée sur mon bas ventre encore entrouvert.
Je regagne Marc, j'esquisse un petit sourire.
"Je me suis perdue et puis j'ai fait une pause aux toilettes".
Je lui mens, il ne dit rien.
Je tourne mon regard pour ne pas le voir.
Lorsque son patron arrive à son tour, rayonnant, je croise quelques regards qui passent de lui à moi.
"On peut rentrer s'il te plait ?"
Je me sens si... mal d'avoir pris autant de plaisir.
Il prend congé des personnes qui l'entourent.
Le sous directeur, un homme à l'allure vulgaire me salue d'un baiser sur la joue.
"Votre visite s'est bien passée je pense. Vous êtes la bienvenue..." me murmure t-il plein de sous-entendus.
Je reste silencieuse.
Lorsque son patron nous salue, respectueusement.
Son clin d'œil me fait rougir de la tête aux pieds.
A sa pochette de costume il porte ma petite culotte...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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dom[…]

 

Ses deux seins étaient deux pommes rondes, pleines, aux petits mamelons bruns.

Il admirait ce corps parfait dont les courbes de hanches disparaissaient sous le tissu grossier de toile bleu.

La badine vint alors frapper son fessier.

Elle se mordit les lèvres.

Elle se cru marquée au fer rouge.

Et elle cambra sa croupe pour en recevoir encore.

Il fit claquer une seconde fois la cravache.

Son regard de biche finit par se baisser.

Elle n'en revenait pas d'elle même. Si farouche, si fière d'être ce qu'elle était, là, devant cet homme qui manipulait ce... phallus... elle se voulait soumise.

"Je suis... votre". Murmura t-elle.

Ses joues rougirent.

Elle n'osait pas croire qu'elle tirait un plaisir incroyable de ce qu'elle venait de dire.

Son entrejambe était devenu humide en quelques secondes.

Trempée...

Il continuait à la caresser au moyen de la cravache.

Le cuir, le métal alternait sur elle.

Il soulevait ses seins, pressait ses tétons, filait sur son ventre, caressait les fesses encore recouvertes.

"Mets-toi nue".

Elle s'exécuta, tremblante d'excitation, faisant sauter les boutons trop rapidement.

"Plus lentement voyons"

Elle déglutit pour se calmer et fit descendre sa petite culotte avec plus de sensualité.

Son sexe était dégoulinant, le fond de son petit slip était collé à sa fente.

Lorsque le tissu s'écarta de son entre cuisse, une odeur de stupre envahit la pièce.

Il respirait avec joie.

Nul créateur de parfum n'avait réussi à créer un aussi voluptueux et subtil parfum.

Il admira alors la courbe de ses globes fessiers, parfaits, comme il  l'avait soupçonné.

Il y apposa le cuir.

Elle gémit.

Enfin elle sentait la cravache sur sa croupe offerte.

Et enfin il la fessa doucement, si délicatement que chaque piqure lui faisait monter un à un les échelons de l'orgasme.

Son sexe coulait.

"Venez. Vous n'êtes pas assez en beauté ici". dit-il en la flattant d'une main sur ses fesses.

Ce contact... la fit chavirer et grogner, sourire.

Il la touchait.

L'empreinte de ses doigts sur sa fesse droite sembla rester alors que la main était déjà parti.

Ce mâle avait un pouvoir sur elle qui la faisait bouillir.

Elle se sentait en chaleur... gourmande... affamée de sexe.

 

"Avec la cravache vous allez... me dompter ?" murmura t-elle en le suivant dans une petite alcôve attenante.

Il ouvrit un lourd rideau de brocard rouge.

Il l'enveloppait de son regard.

"Ai-je besoin de la badine ?" l'interrogea t-il en la regardant avancer fièrement, nue.

Elle hésita un instant, rougit et baissa le regard.

"Ho... non... je suis déjà... à vous".

Elle avait oublié son fiancé.

Ce moment était à elle.

Cet homme lui faisait un effet dingue.

Elle monta sur une petite estrade dans cette pièce sombre entourée de canapés club.

Il était l'unique spectateur de cette femme superbe.

Le bout de cuir claque contre sa fesse gauche... et elle se mit à onduler pour lui, une danse lascive.

Jamais encore elle n'avait spontanément eu cette attitude de call-girl, car, s'il lui eut arrivé de danser pour un homme c'était le sien, et surtout lorsqu'elle était passablement éméchée.

Mais là, elle le faisait pour lui faire plaisir et elle en tirait un délicieux tortillement dans le creux de son sexe.

La cravache passait sur ses fesses, sur son ventre.

La tige de cuir soupesait ses petits seins orgueilleusement pointés.

Lorsqu'elle frottait ses tétons, elle gémissait sans se retenir.

Le métal chaud lui caressa l'intérieur des cuisses.

Elle écarta les jambes aussitôt.

Lorsque le bout du manche vint lui effleurer les lèvres, elle ne pût s'empêcher de se cambrer, de gémir.

Son corps transpirait de désirs et de volupté.

Chaque ondulation formait une courbure artistique dont il se régalait.

Il enfonça lentement le gland métallique en elle.

Elle grogna, feula... et l'accepta.

Pourtant large, elle le sentit entrer en elle sans effort.

Sa cyprine dégoulinait sur l'acier... souillant la main qui tenait fermement l'objet.

Elle montait et descendait d'elle même sur le godemichet.

Sa fente s'écartait, s'ouvrait de plus en plus.

Ce pieu artificiel la remplissait, elle poussa de petits cris alors qu'elle sentait la jouissance arriver.

Il se retira, la frustrant de son plaisir trop immédiat.

Lorsqu'il vint face à elle, lui présentant le mandrin recouvert de mouille luisante.

Elle plongea ses yeux noisettes dans ceux de son adorable tourmenteur, et ouvrit grand sa bouche pour englober le pseudo sexe antique pour le nettoyer de sa souillure.

"Il est temps de passer à autre chose" lui dit-il en dégrafant sa ceinture.

Elle roula des yeux et hochant la tête, aspirant toujours le manche de la cravache.

Il retira l'objet d'entre les lèvres rougies.

Elle s'agenouilla et le déboutonna.

Sa petite main fine s'engagea dans le pantalon et elle découvrit en aveugle, l'ampleur de la masculinité de son dresseur.

Lorsqu'elle tira la verge à l'air libre elle ne put s'empêcher de pousser une exclamation.

"Ho... mon... elle est ! Si grosse... si belle".

Elle tira la langue pour la toucher.

Sa main enserrait la tige rose et raide.

Son doigts n'en faisaient pas le tour.

Il se laissait masturber doucement alors qu'elle goutait son pal au moyen de sa langue agile.

Le muscle sinuait autour de son gland, irritant les aspérités, léchant délicatement le méat.

Elle léchait la grosse glace avec plaisir.

C'était le sexe dont elle avait rêvé depuis qu'elle était en âge de penser à la bagatelle.

Elle releva son visage.

Un sourire éclairait son visage délicat.

"Je peux la sucer ?"

Il lui rendit son sourire en appuyant légèrement sur sa nuque.

Elle ouvrit la bouche en engloba le gland puis, doucement, fit coulisser le manche tendu de plus en plus profond.

Ses aspirations étaient gourmandes.

Elle pompait, le sexe en bouche. Elle tétait le gland au moyen de contractions de sa gorge, découvrant spontanément des gestes qu'elle ignorait savoir et pouvoir pratiquer.

Sa langue qui s'enroulait et frottait le morceau conséquent qu'elle prenait à pleine gorge lui fit monter un orgasme.

Il caressait les joues douces, remontant une mèche de cheveux pour mieux apprécier le visage angélique de cette démone qui lui taillait une pipe comme une véritable succube.

Il la repoussa lentement.

Elle semblait affamée.

Sans qu'il n'eu à dire quoi que ce soit, elle compris son invitation et se tourna, se plaçant à 4 pattes.

Il posa son sexe sur celui, trempé, de la jeune femme.

Doucement il la masturbait au moyen de son piston.

Elle roucoulait... elle dégoulinait.

Il l'enfonça.

Elle poussa un cri.

Son écrin était serré.

Elle sentit l'énormité la parcourir.

Il la posséda d'un coup de reins.

Brusque... animal... elle eu un orgasme immédiat.

Il la besognait pour mieux la voir, la sentir, dans les méandres du plaisir, perdue et gémissante.

Sous ses mains la peau chaude de la femme montait encore en température.

Son corps de liane se tordait et ses fesses gigotaient alors qu'elle se faisait prendre sans retenue.

Elle ne voulait pas fermer les yeux, elle voulait vivre ce moment totalement.

Dans son ventre, le manche la labourait et lui faisait enchainer les jouissances comme des perles sur un collier.

A peine avait elle l'impression d'être à bout de souffle que les poussées intimes du gros sexe de son inconnu la faisaient de nouveau gémir et de nouveau couler et être en fusion.

Elle se cambra, elle en voulait encore, oubliant qu'elle n'avait jamais été aussi assoiffée de sexe, oubliant où elle était, laissant aux orties ses derniers remparts d'éducation prude.

 

A peine avait elle l'impression d'être à bout de souffle que les poussées intimes du gros sexe de son inconnu la faisaient de nouveau gémir et de nouveau couler et être en fusion.

Elle se cambra, elle en voulait encore, oubliant qu'elle n'avait jamais été aussi assoiffée de sexe, oubliant où elle était, laissant aux orties ses derniers remparts d'éducation prude.

Il accéléra le rythme.

La colonne de chair la pilonnait.

Elle hurla de plaisir.

Il ne débandait pas, cette femme le maintenait en pleine action virile.

Il sortit de la matrice grande ouverte.

Son pieu était recouvert de jus de femme.

Elle se pencha vers le sol, posant son visage sur le piédestal.

D'une main sur sa fesse, elle ouvrit sa raie en signe de soumission.

De l'autre main elle agrippa son autre globe pâle et l'écarta à son tour.

Elle avait envie d'être entièrement à lui.

Il posa son pouce sur l'étroitesse palpitante.

A peine l'avait-il effleuré qu'elle soupira d'aise.

Il la sodomisa alors avec une extrême douceur tellement elle était serrée.

Elle comprit sans même s'en rendre compte qu'elle devait pousser pour la faire entrer dans son arrière train.

Un plaisir contre nature l'emporta plus loin que toutes les jouissances passées.

La verge la parcourait...

Elle adorait.

Ce n'était pas sa première sodomie, mais jusqu'alors la douleur avait été plus importante que le plaisir. Là, c'était l'inverse, elle était traversées de sensations incroyablement magiques.

Ses pensées n'étaient qu'étoiles filantes, feu d'artifices et vagues de bonheur.

Lorsqu'il lui sortit de son anus, resté béant, et qu'il lui présenta sa verge, elle l'engloutit, découvrant le gout de musc, mélange de saveurs.

Elle lui avalait le sexe.

Il éjacula en elle.

Sa bouche se gonfla du foutre blanc qu'il lui répandit jusqu'à la gorge.

Pour la première fois de sa vie elle avala sans rechigner.

Son jus était un délice, tiède, il nappait sa langue.

Il la sentit aspirer jusqu'à la dernière goutte.

Elle lécha le gland, la dernière goutte perlait et disparu dans la bouche de la jeune femme.

Marie Jo resta a genouillé.

Elle haletait.

Elle souriait.

Il la trouva artistiquement divine, une nouvelle fois, dans la position de fatigue, assouvie, le visage radieux, les seins encore tendus.

Il lui donna la main pour qu'elle se relève.

Sa main large était si douce, si chaude qu'elle lui fit monter des envies dans le creux de ses cuisses... à peine rassasiée, cet homme la faisait remonter en pression.

Elle se rhabilla sous le regard de gourmet de son admirateur.

Il remit son pantalon, faisant disparaitre le sexe qu'elle couvait d'envie.

"Alors mademoiselle ?" lui demanda t-il en lui ajustant son pull.

Elle respira et le regarda.

"Pourrais je revenir pour être de nouveau dressée ?" lui dit-elle doucement.

Il lui sourit.

"Autant que vous voulez".

 

Lorsqu'elle sortit dans la rue, retrouvant les agressions sonores et visuelles, son abricot était encore humide... Elle lança un dernier regard à la vitrine de la galerie d'art.

Il l'avait prise... avec l'art et le manière.

Ses pas l'entrainaient sans but.

 

"Elle est mignonne". La voix de sa secrétaire était suave.

"Oui." répondit-il sobrement.

"Dois-je l'inscrire sur votre répertoire ?"

"Ce sera avec plaisir... merci Carole".

 

A suivre ?

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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