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Entre mes lèvres la chaleur intense de la verge de mon amant me fait saliver.
Elle est si épaisse que je dois ouvrir ma bouche en grand pour accueillir sa tige virile.
Je monte et je descends autour de son manche raide, je bave, je dois respirer par le nez.
Je déglutis avec difficulté, la bouche pleine de son gros vit, et je l'entends gémir.
Les jambes tendues, bien droites, encore habillée, je suis penchée sur son entrejambe, le fessier vers le ciel.
Sa main me tient par la nuque.
Je le suce au rythme qu'il m'impose, heureuse.

Comment en suis-je arrivée là... ?
Cela faisait deux semaines que je ne l'avais pas revu.
Mon mari avait oublié un dossier chez nous.
Lorsqu'il a téléphoné à la maison, mon cœur a bondi dans ma poitrine, et je suis venu lui apporter ces documents aussitôt sur son lieu de travail, qui est aussi celui de mon époux, puisqu'il en est son patron.
J'avais peur qu'il ne se soit lassé de moi alors lorsqu'il m'a été possible de le voir je n'ai pas réfléchi, je suis venu jusqu'à lui aussitôt.
Il m'a embrassé à pleine bouche, à peine avais-je refermé la porte derrière moi.
Entre honte et désir je me suis laissé faire, à l'abri de son bureau, de ses stores baissés.
Il a alors ouvert sa braguette et m'a incliné pour que mes lèvres touchent son sexe tendu.
"Je suis si content de te revoir ma belle Béatrice". M'a t'il dit sans plus de préliminaires.
J'ai souris... et mes joues ont rougies.
Moi aussi j'étais aux anges.
Et je me suis inclinée pour lui donner ce qu'il voulait.

Voilà pourquoi je m'applique.
Mes lèvres se resserrent autour de son gland bien rond, ma langue joue avec le pourtour, cette couronne d'aspérités  et le col plus étroit du bout de son sexe.
Je titille le méat, fine fente au centre d'une surface lisse, large.
Mes dents se posent et mordillent très délicatement son casque si délicieux.
Puis j'écarte mes mâchoires et je redescends le long de son pylône de chair qui s'évase vers son embase jusqu'à ce que mes lèvres viennent toucher son pubis et la naissance de ses bourses glabres, lourdes, roses.
Il appuie légèrement sur ma nuque et ma gorge est envahit par son membre.
Je grogne, mélange de suffocation et de plaisir intense, alors que je le pratique d'une façon qui ne me ressemble pas, moi qui était si sage et prude avant de le connaitre.

Son téléphone sonne.
Il répond sans cesser de me faire monter et descendre sur son sexe.
Ma croupe est cambrée car il m'oblige à rester jambes droites.
Il raccroche et avant le déclic de fin d'appel me gratifie d'un "Oh oui comme ça ma petite salope".
Hoo ! Pourvu que son interlocuteur ne l'ait pas entendu.
Je sais que je devrais ne pas être là, comme cela, à lui faire cette fellation digne d'une fille de joie, mais je lui appartiens, je le sais, viscéralement.
Lorsqu'on frappe à sa porte j'ai un mouvement de recul.
"Ne bouge pas" m'ordonne t-il.
Immobile, j'avale avec peine ma salive, mes yeux grands ouverts, je relève le regard vers lui, je l'implore de me relâcher, je voudrais disparaitre sous terre.
Au lieu de cela son sourire me désarme, ses yeux bleus me brulent l'âme.
"Entrez".
Je panique.
Sa main me maintient la nuque, son sexe dans ma bouche, enfoncé jusqu'à la garde.
La porte se referme et les pas derrière moi claquent sur le sol.
Une voix féminine.
Sa secrétaire. La femme à laquelle je me suis présentée à mon arrivée.
Elle lui parle comme si je n'étais pas là.
Il me fait monter et descendre.
J'ai envie de pleurer... mais je continue de lui aspirer le sexe, envoutée par la situation.
Il me faut un temps de réflexion pour comprendre ce qu'ils disent, mes oreilles bourdonnent tant je suis perdu.
Les mains de la femme qui remontent ma robe me semblent tout d'abord irréelles.
Le contact avec la réalité arrive d'un coup.
"Allez-y Clémentine, je vous en prie. Dites-moi si elle est bien toujours intégralement lisse".
Sa voix grave et cette demande incongrue me figent.
Les mains de se secrétaire, une jeune femme brune aux fines lunettes et à la queue de cheval nouée d'une élastique rouge, se posent sur moi et remontent le tissu léger.
Je me redresse mais mon amant me force à rester dans cette posture.
Le souffle de l'air frôle mes cuisses nues, dévoilées, ma robe retroussée sur mes hanches.
Il y a quelques minutes je vivais un rêve, là... il tourne en cauchemar.
Jamais je n'ai eu envie de sentir des mains de femme sur moi.
Je ne suis absolument pas attirée par els femmes, je trouve cela répugnant, immoral.
"Baissez sa culotte".
Je ne parviens pas à lui dire "non s'il vous plait", mes mots se perdent en un gargouillis incompréhensible.
Il me sourit.
Les doigts fins de sa secrétaire font glisser ma culotte vers le sol.
"De là où je suis je peux admirer ton si joli cul ma coquine" me gratifie t-il tout en caressant ma cuisse et en maintenant ma nuque de ses mains.
Je me fige.
Elle me flatte...
C'est si dégoutant !
Ses doigts effleurent mes lèvres, me les pressent délicatement l'une contre l'autre.
"Oui, elle est toute lisse monsieur" lui confirme t-elle.
J'espère alors qu'il va faire cesser cette torture qu'il m'inflige.
"Je vous en prie Clémentine, vous avez bien mérité une petite récompense pour l'excellent travail que vous faites".
Elle pousse un soupir de plaisir et ses doigts me masturbent alors plus ouvertement.
Je lève de nouveau les yeux vers l'homme qui m'impose ce traitement honteux.
"Béatrice, ma belle salope, tu es à moi... si... désirable... si... cochonne."
Son sourire me désarme.
L'index qu'elle m'introduit dans la fente me fait l'effet d'un tison ardent.
J'ondule pour m'en soustraire mais elle s'attarde sur mon clitoris et...
"Elle est toute trempée" commente t-elle.
J'ai honte...
Elle me fouille délicatement, avec une expertise que seule une femme peut avoir.
Je sens mes fesses se lever vers le ciel, vers elle.
Je salive, la bouche remplit par le gros sexe de mon dominateur.
Et... elle me procure du plaisir... ho non... pas ça... pas avec une femme...
Son souffle se fait sentir sur mon intimité.
Je refuse de l'admettre.
Elle me lèche.
J'ai envie de crier, que tout ceci s'arrête.
Mon corps, lui, réagit différemment.
J'ondule bientôt sous les caresses buccales de cette femme qui me lape.
"Tu as l'air d'apprécier" me dit mon amant alors que me bouche recommence à le sucer avec envie.
Je suis trahis par mes actes.
Le plaisir d'avoir un sexe en bouche et une langue qui me lèche en même temps, peu importe qu'elle soit féminine, me donne chaud.
J'en oublie ses ongles manucurés qui m'écartent les chairs pour que sa langue s'enfonce loin en moi.
Elle aspire ma perle et la suçote tout en fourrant un doigt dans mon vagin pour cercler dans mon intérieur.
Je gémis, étouffé par le membre viril qui m'empêche de refermer la bouche.
Je salive sur ses bourses.
"Alors ? Comment est ma petite Béatrice ?"
"Délicieuse monsieur."
Il sait, j'en suis sure, qu'en la faisant parler, je n'oublie pas qu'il s'agit d'une femme derrière moi.
Il me tire par les cheveux et me désembouche.
J'halète. Au bord de l'orgasme.
Sa secrétaire retire ses doigts de mon abricot.
"Tourne-toi ma belle salope" m'ordonne t-il de sa voix douce.
Je n'ose dire un mot, je n'ose bouger.
Il caresse ma joue, mes lèvres et essuie la salive qui coule sur mon menton.
Puis, lentement, je lui obéis.
J'accède à ses désirs comme je le fais depuis le début.
Je suis à lui.
Incapable de le résister et terriblement excitée par cet horizon qu'il m'a ouvert depuis quelques mois.
Il me positionne, un genou sur son bureau, une jambe droite et tendue au sol, en appui sur un bras au milieu de ses dossiers, l'autre libre bientôt saisit par sa main et maintenu dans mon dos.
Ma vulve et mes fesses entièrement à la disposition de sa vue, sa secrétaire ayant bien retroussé ma robe sur mes hanches.
En face de moi je découvre celle qui m'a fait devenir si humide.
Plus jeune que moi, elle se mord la lèvre inférieure et replace ses lunettes sur son nez.
Elle est jolie, j'en conviens.
"Monsieur... balbutie-je... je ne suis pas attirée par les femmes. Je ne suis pas lesbienne".
Elle me dévisage et ses dents se dévoilent, blanches, dans un sourire charmant.
"Clémentine ?"
"Oui Monsieur ? "minaude t-elle.
Je comprends que le courage que j'ai réuni pour pouvoir parler n'aura été d'aucune utilité si ce n'est avoir excité encore plus mon amant.
"Enlevez votre jupe".
Ebahis, je vois cette femme défaire son vêtement.
Elle ne porte rien au dessous.
Hypnotisée par sa fente rose, uniquement ornée d'une petite touffe brune tout en haut.
Ses longs ongles viennent l'entrouvrir.
Je découvre pour la première fois de ma vie un sexe de femme à moins de 10 cm de mon visage.
Elle se rapproche et je sens son odeur, je peux distinguer qu'elle a mouillée.
"Lèche Béatrice" m'ordonne la voix de mâle.
Je reste bouge close.
Mes yeux fermés.
Et la peau intime de sa secrétaire se colle sur mon visage.
Je perçois la fente sur ma bouche hermétique.
Dans mon dos, Monsieur vient également de placer sa langue sur mon con.
Il me lèche doucement.
Puis un peu plus appuyé.
Son muscle m'ouvre et sa langue me fouille l'intérieur.
Je gémis.
Ma bouche s'entrouvre et...
La pointe de ma langue touche ce sexe inédit.
La peau douce et chaude de sa cuisse gainée de nylon me frotte le visage.
Je pousse un second soupir et ma langue s'agite, elle vient chercher la fissure féminine.
Il m'écarte... deux doigts en moi pour me dilater.
L'excitation me gagne comme une folie douce.
Je lape lentement à mon tour.
Les mains délicates dans mes cheveux me plaquent sur l'entrejambe de cette secrétaire lesbienne.
Je découvre les nymphes intimes, les replis féminins, j'imagine mon sexe et lui prodigue ce que j'imagine me faire plaisir.
Elle pousse des petits gémissements qui m'encouragent.
Mon sexe a son tour léché et sucé, je me tortille entre les mains puissantes qui me caressent.
"Tu es une belle petite chienne" commente t-il sans cesser de me dévorer le sexe.
Oui... je lèche... je lape... comme une chienne, de plus en plus rapidement.
Elle lâche des petits "Hinn ! Hin ! Hinnn !" étouffés.
Un bouillonnement de pensées contradictoires me tourmentent.
Puis sa cyprine se répand sur moi dans une giclée puissante.
Je suis surprise.
Son suc inonde ma bouche.
Ce sont comme des petits jets de foutre féminin.
Une femme fontaine... mon visage est bientôt dégoulinant de sirop vaginal.
Lentement elle se frotte la fente sur mon visage, barbouillant ma peau du fruit de son orgasme fulgurant.
Elle se recule.
Mon amant me caresse la croupe.
Elle s'essuie le sexe devant mes yeux.
Je contemple ses lèvres rouges et poisseuses, encore incrédule, honteuse d'avoir eu cette pratique homosexuelle avec cette femme... et malgré moi très excitée.
"C'est bon Clémentine, vous pouvez disposer".
Elle remonte sa jupe et me sourit avant de sortir et nous laisser seuls, déposant un mouchoir sale sur le bureau du patron de mon mari.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Cela fait quelques semaines que le patron de mon mari et moi entretenons une relation extra conjugale.
Depuis ce jour où il m'a possédé devant Marc, où ce dernier a du dormir sur un matelas à côté du lit, je ne l'ai pas revu.
Marc continue de lui obéir, et lorsqu'il me fait l'amour il... se... vide sur mon ventre mais plus en moi.
A chaque fois je pense à mon amant, à sa façon de me prendre, d'être osé, à ses mots crus, orduriers et je me surprends à espérer son retour.
Un pincement dans mon cœur a faillit me faire pleurer.
Sans nouvelles j'ai cru qu'il allait ne plus jamais revenir, après tout, il avait eu ce qu'il voulait, la femme de son employé.
Je n'étais qu'un jouet pour lui.
La tristesse m'a envahit.
Cruelle, elle témoignait de mon attachement, de mon envie de cet homme si différent de mon époux.
Et puis il a frappé à la porte.
J'étais en train de chercher quelque chose sur Internet sans parvenir à le trouver.
Comment créer une adresse mail... Habituellement c'est Céline qui s'en charge mais là elle travaille et je suis perdue.
J'ouvre la porte, je rougis instantanément.
Mon amant me prend dans ses bras.
J'ai envie de crier de joie.
Nos lèvres se soudent.
Je l'embrasse plus que de raison.
Lorsque nous nous délaçons, je prends conscience que je me comporte comme une mauvaise épouse en me donnant ainsi à un autre que mon mari.
Mon regard se pose un bref instant sur son entrejambe.
Dans son pantalon il m'a semblé sentir son érection.
Mes joues s'empourprent de carmin alors que je m'aperçois de la bosse de belle taille qui se dessine et m'apparait nettement visible.
Je détourne rapidement les yeux, ne voulant pas qu'il me voit l'observer à cet endroit là.
Nous échangeons quelques paroles.
Je suis satisfaite qu'il change de sujet.
Il se propose de m'aider pour mon souci d'informatique.
Sa main passe autour de mes hanches et je me retrouve sur ses genoux.
"Non... pas assise comme ça. C'est inconvenant" dis-je alors qu'il commence à utiliser mon clavier.
"Tu as raison, changeons de position" fait-il de sa voix calme.
Il me place alors dans une posture totalement impudique.
Mes cuisses sur ses jambes, je me retrouve écartée alors qu'il écarte ses genoux.
Mon dos collé à son torse, je me redresse pour me retrouver presque en équilibre, simplement retenue par mes cuisses.
Ma robe légère, estivale, remonte et je sens l'air venir caresser ma culotte de dentelle.
Sa main ne tarde pas à venir se poser dans l'intérieur de ma cuisse.
Il caresse ma peau.
Je redoutais ce moment car je savais que je n'allais pas pouvoir lui dire non.
Lorsque ses doigts viennent se poser sur la dentelle je pousse un petit cri.
Il frotte doucement mon intimité, ma toison semble crisser sous ses manigances et mes lèvres s'humidifient.
Je me concentre sur l'écran.
Il ne perd pas le fil de son idée et en quelques clics il me crée une adresse électronique.
"Quel mot de passe veux-tu ?" me demande t-il.
Son index et son majeur appuient sur le haut de ma fente.
Mon clitoris, gonflé, subit avec délice cette pression érotique.
Un soupir m'échappe.
Je suis incapable de lui répondre.
"On va mettre "bellesalope" tu t'en souviendras" sourit-il en inscrivant mon mot de passe, un mot si cru que je me mords la lèvre inférieure pour ne pas hurler.
Ses doigts puis sa main se glissent dans mon dessous.
Ecarté, le tissu ne me protège plus.
Il caresse, il flatte, il glisse sur mon abricot qui s'ouvre sous sa masturbation lente et continue.
Je ferme les yeux, je me cambre sous l'intrusion de son doigt en moi.
Je respire plus rapidement.
Je sens ses doigts m'écarter et me pénétrer.
Un gémissement plus long et je me retrouve les épaules sur son torse, le compas de mes jambes grand ouvert et mes mains sur ses hanches.
Tendue, électrisée par ses attouchements, je me livre à ses mains.
Il palpe mes seins tendus, mes tétons outrageusement dressés.
Ma robe s'ouvre, le tissu me fuit.
Il me déshabille avec dextérité et bientôt je ne suis plus qu'en culotte et en soutien gorge, sur ses genoux.
Lorsqu'il baisse mes balconnets, dénudant ainsi mes seins, je manque de crier tellement ma poitrine est tendue à m'en faire mal.
Sa main droite me caresse avec maestria, il me triture les tétines, les pince plus durement qu'il ne l'a jamais fait.
Et je me tortille sous ses gestes, incroyablement excitée.
Mes seins sont sensibles. Le traitement qu'il leur fait subir me fait mouiller en abondance.
Tirés, allongés, pincés, mes pointes sont sollicitées de façon rude.
Pétris, malaxés, pressés, mes mamelles sont une source de plaisir si fort que j'ondule sous ses gestes en lâchant de petits halètement continues.
Pendant ce temps son index fouille mon sexe, il flirte avec mes nymphes intérieures.
Ma culotte se baisse et fini sur mes chevilles, tendue elle m'empêche d'écarter mes pieds comme une entrave de coton.
Deux doigts s'enfoncent en moi.
Je suis étroite et il me fait gémir en me caressant de l'intérieur.
Soudain il me penche vers l'avant.
Je me retrouve mains sur le bureau.
J'entends sa braguette s'ouvrir.
"Non... pas comme ça... pas sur le bureau..." fais-je faiblement.
Mais je sais que je ne veux pas qu'il cesse.
Sa main me force à me baisser encore plus.
Cambrée, l'arrière train relevé, il me caresse doucement.
Il peut voir mes fesses, ma vulve... je suis totalement vulnérable à son regard.
Ses mains fermes se posent sur mes hanches et il m'attire... le fauteuil roule et c'est lui qui vient vers moi.
Son gland se pose sur ma fissure trempée.
Je le sens, dur, gros... si large.
J'ai un moment d'appréhension.
Le fauteuil repart en arrière et revient plus vite.
Son vit me force... d'un coup... comme si l'on m'enfonçait un concombre dans le sexe.
Je crie.
Son gros sexe va et vient lentement en moi.
Je m'habitue doucement à la largeur qui me donne l'impression à chaque fois d'être déflorée pour la première fois.
Mon visage, d'un masque grimaçant, se transforme en reflet de plaisir.
Bouche ouverte je gémis, je soupire alors que je me fais prendre d'une façon inédite.
Je vois l'écran qui scintille.
"belle salope" ... oui... ce mot de passe me va bien tout à coup.
Il me change de position.
Telle une poupée de chiffon entre ses mains je me laisse faire.
Je suis penchée vers le sol.
Les mains posées sur le parquet, les fesses en l'air, ma fente outragée par l'inclinaison qu'il donne à mon corps alors que son sexe... hoooo son sexe... sa grosse verge comme celle d'un âne... est plantée dans mon vagin.
Je dégouline de cyprine, gémissante, en sueur.
Les roulements du fauteuil accompagnent mes râles.
Il s'enfonce en moi avec une lenteur folle.
Lorsque le fauteuil repart en arrière je reprend mon souffle pour ensuite pousser un gémissement lorsqu'il avance et m'embroche plus profondément dans cette position déroutante.
Je perds pied, il me possède un peu plus à chaque fois...
Mon corps... mon esprit... tout lui appartient de plus en plus.
Lorsque il pose sa main sur le haut de ma fente, qu'il caresse ma perle gonflée, je crie.
Si sensible, mon clitoris est titillé et il m'arrache des râles qui ne font que trahir mon plaisir.
L'orgasme me submerge et emporte toute barrière de moralité avec lui.
Je me tortille et c'est dans une sorte de flou assourdissant que je suis vaincu, que je m'abandonne à cet homme, mon amant... mon... humm.
Il sort de mon antre féminine.
Je reprend ma respiration, à 4 pattes, immobile.
Mes seins se balancent, tétines tendues, gonflés, douloureux de désirs.
Abasourdie de jouissance, incapable de faire un seul geste.
Mon vagin inondé, ma vulve écartée.
Je relève le visage ca je l'entends parler.
Devant moi, ma fille !
Je deviens écarlate.
Je voudrais disparaitre, me cacher, mais je suis exténuée par le plaisir que je viens de prendre et ne peux faire autre chose que rougir et tenter de reprendre mon souffle.
Elle ne devait pas rentrer de son travail...
Elle me surprend... encore une fois... ho non...
Son sourire en dit long sur ce qu'elle pense de moi.
Elle se mord la lèvre en sillant des paupières vers mon étalon.
"Et moi ? Je n'ai pas droit ?" dit-elle d'un air ingénu.
Il lui flatte la croupe.
Je ferme les yeux.
"Je m'occupe de te mère d'abord".
Sa voix me flagelle comme un fouet.
"Avance et monte" m'ordonne t-il.
J'ai un instant d'hésitation.
Et puis... couverte de honte... j'avance.
"C'est bien. Comme une chienne".
Son commentaire me fait mal... et pourtant il fait palpiter mon sexe.
Céline lui murmure un "Moi aussi je peux être une vilaine petite chienne si vous voulez".
Je n'en crois pas mes oreilles.
Je continue d'avancer, sous leurs regards.
Mes genoux frottent sur le carrelage du couloir, mes mains avancent l'une après l'autre, mes seins balottent.
"Monte l'escalier".
J'obéis, les larmes aux yeux.
Derrière moi je leur offre une vue imprenable sur mes fesses, mes nymphes rougies et ouvertes, ma toison trempée...
Il me fait entrer dans la salle de bain.
Je lui obéis lorsqu'il me demande de me relever.
Je transpire de désirs... pervers...
Il demande un bas à ma fille et revient me nouer les poignets.
Debout dans la douche, il m'attache les mains, bras en l'air, à la fixation du pommeau de douche.
Il caresse ma poitrine, mon ventre, ma fente.
Je réagis aussitôt, oubliant toute dignité et en avançant mon sexe vers ses doigts.
Il flirte avec mes lèvres amollies.
Je me tends vers ses mains, liée au mur, je m'offre et me frotte à ses doigts.
Puis il s'empare de la bombe à raser de Marc.
Je crois comprendre.
"Non... pas ça s'il vous plait".
La mousse vient enduire tout mon triangle doré.
"Il va... s'en rendre compte... comment vais-je lui expliquer" murmure-je horrifiée.
Mon étalon me sourit.
"Une soumise se doit d'être lisse. Tu lui diras la vérité. Il comprendra."
Sa voix est grave, assurée.
Je manque de m'étrangler lorsqu'il me rase de façon lente.
La lame glisse, retire la crème blanche et mes poils pubiens.
Délicatement il passe sur le pourtour de mes lèvres.
Ses doigts jouent sur moi.
Je sens le feu monter dans mon corps, le long de ma colonne vertébrale.
Lorsqu'il passe un léger jet d'eau sur mon entrecuisse, je suis lisse...
Totalement glabre, lisse comme une... soumise.
J'ai honte.
Et terriblement chaud au creux des jambes.
Il pose sa bouche sur la mienne.
Il m'embrasse.
C'est si bon.
Je m'y abandonne.
Sa main pétris mon sein.
Il malaxe mon téton et m'arrache un gémissement.
C'est alors que je sens la morsure sur mon bout tendu.
Une pince à linge me mord la tétine.
Je crie.
La douleur me tétanise.
Il masse mon second sein.
"Ho... pitié" fais-je faiblement.
Mais une autre pince vient me faire hurler.
Mes seins sont meurtris, écrasés par des objets inflexibles.
Une irradiation constante qui me fait mal.
"Tu vas voir... attend un peu, tu vas prendre ton pied ma salope".
Il sourit, sur de lui.
Il s'éloigne, me laisse seule.
Je l'entends... il est avec ma fille...
"Et dire que j'avais un copain black à qui j'avais dit non car elle était trop grosse... humm la votre..." l'entends je dire avant de ne plus entendre que des bruits de succion, de soupirs.
C'est un supplice.
Attachée dans la douche je me tortille sous l'effet des pinces.
Chaque mouvement me vrille les tétons.
Et, petit à petit, la douleur devient différente... source de plaisir.
Je me surprends à frotter mes cuisses l'une à l'autre pour calmer... faussement... mon désir grandissant.
Je perds la notion du temps.
Mon sexe s'inonde alors qu'un orgasme étrange me parcourt.
"Ainsi je vois que cela te plait ma salope".
Il est revenu.
J'ouvre les yeux.
Je transpire.
Mes pointes de seins sont violettes d'être comprimées.
Il pose ses mains sur mes hanches et me tourne.
Il appuie sur mes fesses, mon sexe vient se poser sur le robinet d'argent.
Le métal sur ma peau douce me fait pousser un petit gémissement.
Il ne m'ordonne rien, seuls ses gestes m'y invitent.
Incroyable... jamais encore... non... pourtant l'envie est telle qu'elle me prive de toute inhibition.
Et je me frotte au robinet... comme une vulgaire trainée... débauchée...
J'assouvis mon désir avec un objet, pour la première fois de ma vie.
Je tressaillis, ma fente écartée, malmenée, mon jus s'écoule et je geins sans m'arrêter.
Il me regarde me tortiller, frotter mon abricot, les mains nouées en l'air, sur le métal de plus en plus chaud et gluant.
Je jouis... longuement... devant lui... mes jambes ouvertes pour me permettre de me masturber.
Que suis je devenu ?
Il retire les pinces et ma jouissance me terrasse une nouvelle fois.
Mes mains sont détachées.
Il me porte, dans ses bras, je m'effondre.
En larmes.
J'ai chaud, j'ai froid...
Il s'allonge a côté de moi et me caline... dans notre chambre.
Je sanglote en me laissant aller.
Mes doigts jouent avec la pilosité de son torse.
"Tu sais que tu es vraiment une belle petite salope comme j'aime" me dit-il en embrassant mon front.
Je me coule contre lui, un sourire m'éclaire le visage.
Je suis sa salope... ho oui...
Le sommeil me gagne presque instantanément, fourbue, exténuée... heureuse.

Lorsque je m'éveille, le soir est tombé.
La maison est vide.
Je file sous la douche et découvre... mon sexe... de soumise.
Ho... j'effleure mes lèvres nues.
Hummm... c'est doux... je glisse un doigt dans ma fente encore entrouverte de mes coupables activités.
Instantanément les paroles de mon... de monsieur, les actes obscènes me reviennent.
J'entame une lente caresse.
La clé dans la porte...
"Chérie ? C'est moi".
Ho non !
Comment vais-je expliquer cela à Marc ?
Je suis trempée.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]alliance

Ma main dans celle de mon amant, je descends l'escalier vers ma cuisine.
Je suis nue.
Mes pieds font craquer le bois puis se retrouvent sur le froid du carrelage.
Un frisson me parcourt l'échine.
Ce n'est pas le rayon du soleil matinal qui vient se poser sur ma peau, ni la fraicheur du sol, c'est une sensation plus intime, plus troublante, celle de parcourir ma maison avec un autre homme que le mien.
La porte est entrouverte et une odeur de café nous parvient.
Je vais entrer et y trouver mon mari, Marc, que l'homme qui me tient par la main à ordonné de nous préparer le petit déjeuner.
Mon époux me perd.
J'appartiens chaque seconde un peu plus à ce Monsieur qui est de plus son patron.
Je rougis quand je le voit affairé à nous servir café, croissants et un verre de jus d'orange.
Je me retrouve bientôt assise à la table sur les genoux de mon amant.
Sa main autour de ma taille, il caresse le haut de ma cuisse.
Ses doigts sur ma peau, devant mon mari, je n'ose pas croire que j'accepte ces gestes déplacés, et pourtant la chaleur qu'il fait naitre dans mon ventre ne cesse de croitre comme un feu dévastateur qui me consume.
Il se faufile entre mes cuisses et j'entrouvre mes genoux pour lui permettre de venir effleurer ma toison blonde.
Du bout de l'index il effleure mes lèvres.
Je me mords pour ne pas crier mon envie d'être prise là, de suite, sur la table.
Ceci ne serait absolument pas convenable.
J'en ressens un conflit de honte et de désir.
D'une main il boit son café, de l'autre il me caresse la fente.
Marc ne dit rien.
Ma poitrine se tend de plus en plus.
Le bout de mes seins est dressé de façon orgueilleuse.
Faufilé dans mon intimité, son index vient jouer avec ma perle par l'intérieur de mon sexe.
Il la titille délicatement et un gémissement m'échappe.
Mes jambes s'écartent encore un peu plus dans une attitude d'acceptation.
Son medius se joint à la délicieuse sarabande que son premier doigt joue sur moi.
Tel un guitariste, il alterne les pressions, les attouchements qui me font me dandiner sous ses gestes précis.
Il repose sa tasse après avoir dégusté le café et complimenté Marc, et sa seconde main me caresse le cou et les épaules.
Sa bouche vient déposer des baisers sur ma peau.
Je frémis, la vague de bonheur que je ressens est décuplée par la présence de mon homme.
Je dois bien me l'avouer, lorsque mon... amant... me fait devenir sensuelle devant Marc, j'en suis troublée à un point que la honte laisse place à un plaisir inouï.
Ses mots doux, crus, qu'il murmure à mon oreille me font m'empourprer.
Jamais Marc n'a osé dire cela, jamais il n'osera.
Il me présente ses doigts, gluants de cyprine.
Je reste bouche close mais sa voix... si chaude... sa demande si coquine... me fait sortir le bout de ma langue pour venir lécher mon propre jus.
Je passe entre ses doigts, sur ces splendides sources de plaisir.
Le gout ne me rebute plus... je suce doucement ses phalanges de façon lente et gourmande.
Il s'empare de ma main et la pose sur son membre.
Ho !  Qu'il est déjà gros !
Si large que mes doigts fins n'en font pas le tour.
Je le sens si raide et si chaud.

Mon alliance accroche la lumière comme un phare... sur un sexe qui n'est pas celui de mon époux.
Sans qu'il n'ait à me le demander je le masturbe lentement en le faisant monter et descendre pour le sentir dans ma paume.
Je le fais coulisser alors qu'il joue de nouveau avec mon sexe.
"Regarde ton mari" me susurre t-il.
Je pose le regard sur Marc.
"Il bande de nous voir. Tu lui fais de l'effet ma cochonne ".
Je deviens écarlate.
C'est vrai, son petit tuyau est dressé au centre de ses poils bruns.
Je n'en reviens pas, et en même temps j'en suis rassuré car je ne suis pas la seule à avoir soudain.. déviée... de la morale.
Ses mains fortes me soulèvent et il me place à cheval sur lui.
Son gland trop large force mes lèvres et me fait couiner lorsqu'il me pénètre.
Il relâche sa tenue et je glisse autour de son pieu qui me déforme le vagin.
Un "Haaan ! " m'échappe tant il m'empale profondément.
Mon sexe l'aspire.
Mes muqueuses sont trempées et j'accueille, bien que très étroite, sa virilité tout en moi.
Je gémis, mes hanches se balancent.
Son vit me chahute tout l'intérieur, le fond de mon vagin s'en trouve frotté.
J'ai envie de hurler mon plaisir.
Je monte et je descend sur sa verge.
Il me possède, je m'éloigne de Marc qui n'est plus qu'un contour flou dans la cuisine.
Mon vagin se contracte, je ruisselle abondamment.
Mes fesses claquent sur ses cuisses musclées à chaque fois qu'il me prend.
Je me cambre, mon visage rejeté en arrière, je me dandine sur le pylône de luxure.
Mon intérieur outragé par son gros engin.
"Caresse tes seins".
Je refuse... un tel geste est indigne d'une femme... mariée... sérieuse... sage.
Mais ma poitrine ne l'entend pas de cette manière.
Elle est douloureuse et mes mamelons sont durs de désirs.
Mes doigts se posent sur les côtés de mes seins.
J'effleure mes auréoles aux aspérités aussi érigées que mes tétines.
J'appuie.
Hooo... honteuse, je me malaxe les seins.
Je lui obéis et je l'en remercie car la tension s'apaise pour laisser place à du bonheur.
Pour la première fois de ma vie je ma fais du bien en me tripotant les seins, allant même jusqu'à faire rouler mes tétons entre mes doigts, les tirer vers le ciel pour assouvir mon plaisir.
"Une vraie petite salope" me dit-il.
Et ses mots me donnent chaud !
Ses mains me soulèvent de nouveau.
Je pousse un petit cri alors qu'il sort de mon sexe.
J'étais presque au bord de l'orgasme.
Je me trémousse pour qu'il me prenne encore...
Et je le sens.
Je voudrais m'enfuir.
Son manche se pose sur ma rondelle.
"Non... pas..."
Je n'ai pas le temps d'achever ma supplique.
Il me... fourre son dard dans l'anus.
Ma bouche s'ouvre en un cri muet.
Mes mains compriment ma poitrine, mes deux globes l'un contre l'autre.


Je me fige alors que son sexe, qui me parait beaucoup trop épais, s'encastre dans mes fesses.
Mon œil bistre est obligé de s'ouvrir, la pesanteur joue contre moi.
Son piston entre... me remplit lentement...
Je pousse un râle.
Mes yeux s'ouvrent.
Mes mains relâchent mes seins.
Mon anneau est traversé par un éclair qui irradie en tous sens jusqu'à mon sexe qui s'inonde.
Devant moi Marc me regarde ébahi.
Je suis en sueur.
Et mon amant me fait remonter autour de sa verge.
Je geins, incapable de me retenir.
Il me lâche presque et son sexe m'enfonce beaucoup trop loin, trop vite, trop largement !
Je glisse, je coulisse autour de la grosseur masculine, irrésistiblement.
Dans mon dos j'entends et je sens le souffle de celui qui me malmène avec une maitrise onctueuse.
J'ai toujours refusé cela à Marc mais là... je m'y abandonne...
Je me sens poupée si fragile entre ses mains.
Je sais que je lui appartiens.
Il sent qu'il peut faire de moi ce qu'il veut.
Mon refus ne fait qu'attiser encore plus le brasier qui nous habite.
Mon orifice le plus étroit est défoncé de plus en plus méthodiquement.
A chaque fois que son membre me force je crois qu'il me ravage l'intérieur et les parois.
Je m'aperçois que je ne cesse pas de gémir, de soupirer d'extase, d'onduler du bassin malgré la présence obscène de sa verge dans mon petit trou dilaté.
Il me... sodomise... et j'aime cela.
Jamais je n'aurais cru cela possible.
Et pourtant...
La grosseur me ramone contre nature.
Je jouis soudainement.
Mon abricot se gorge.
De mon petit orifice à ma fente douleur et plaisir se mêlent en une furie orgasmique.
Je me crispe, je me tends comme une corde d'arc.
Un long souffle rauque me transperce de part en part.
Je suis prise de façon indécente, devant mon mari, et lorsque mon amant me soulève les cuisses pour que je m'emmanche au plus loin sur son gros sexe, je lâche un "ha ouiiiii ! " de plaisir.
Je m'oublie dans ses bras.
Les secondes passent, toute à ma jouissance qui n'en finit pas, j'ai placé une main derrière la nuque de celui qui me procure tant de sensations, mon corps tendu, courbé et oscillant dans le plaisir.
Mon autre main dans la sienne, il me masturbe tout en continuant de me prendre les fesses.
Je suis cambrée et dans un frisson, je m'affale sur la table, vaincue, assouvie.
Je prends conscience qu'il s'est vidé en moi.
Il s'extirpe de mon anneau en m'arrachant un ultime gémissement.
Le long de mes cuisses coule le foutre que j'expulse par petites saccades.
J'ai mal au fondement... je déglutis, reprenant conscience de ma posture.
Je sens mon œil le plus intime palpiter et se contracter pour tenter de reprendre une dimension normale... il est évident qu'après une telle intromission il va lui falloir plusieurs heures pour se refermer totalement.
Mon amant me donne une petite claque sur les fesses.
" Allez ma Béatrice, va te laver tu es sale comme la dernière des putes ".
Il m'embrasse sur la bouche. Un baiser doux, lent.
Les larmes me montent aux yeux.
Non pas à cause de ses mots crus, non, eux me font de l'effet et ravivent mon sourire,
Mais parce que je sais qu'il va partir.
Quelle... folle je suis en train de devenir.
Je l'entends dire au revoir à mon mari.
Son " A bientôt " me réchauffe le cœur.

Marc ne dira rien pendant toute la journée.
Il accepte.
Nous ferons l'amour le soir même.
Mes pensées iront vers mon amant pendant l'acte.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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