Nous venions souvent passer quelques jours chez ma belle-mère.
Ma femme aimait se retrouver là où elle avait grandi, retrouver son environnement, évoquer avec sa mère (divorcée depuis 5 ans) ses souvenirs, ainsi que prendre un moment avec ses amies d'enfance.bleu

Ce matin je n'ai plus sommeil, je lis tranquillement dans la chambre alors qu'Estelle, ma femme, est partie tôt pour un rendez-vous shopping "entre filles".
Bien que passionnant, mon roman finit pas me lasser et je décide de ma lever pour profiter de la véranda, et prendre un petit déjeuner.
En passant devant la chambre d'Annie, ma belle-mère, je suis surpris car, entrouverte, celle-ci laisse échapper un soupir étrange.
Je m'arrête donc et, curieux, je jette un œil dans la pièce éclairée simplement par un lampe de chevet.
Le spectacle est surprenant !
Ma belle-mère est allongée, entièrement nue, un genou relevé, et son visage forme un masque extatique de plaisir.
Elle a une main posée sur un sein, l'autre entre ses cuisses.
Je ne vois pas son geste, masqué par sa jambe relevée, mais je le devine à ses ondulations lentes.
Cela ne laisse aucun doute sur sa coupable activité.
Dans le même temps elle presse sa poitrine.
De forte taille elle comprime ses tétons, longs, au centre d'auréoles brunes, pour les pincer et les étirer.
Je n'en crois pas mes yeux, belle-maman, si sage, se masturbe dans son lit !
J'hésite... puis je reste pour me rincer l'œil.
Après tout, je suis dans l'ombre et elle est tellement occupée qu'elle ne prête pas attention à moi.
Sas seins sont voluptueux, cela je le savais, mais c'est la première fois que je les vois "en vrai"... Quelle belle paire !
Ce sont deux gros globes pâles aux tétines sombres.
Elle semble aimer se les malmener car elle les malaxe fortement, étirant ses tétines sublimes, plus que de raison.
Ses hanches, larges, révèlent une souplesse que je ne lui aurais pas imaginé.
Sa bouche s'ouvre pour laisser exhaler un petit gémissement.
Dans un mouvement lent, sa jambe se pose sur le drap froissé.
Je peux alors admirer son sexe qui s'offre à ma vue.
Une frange brune, de poils courts, qui me semble impeccablement entretenue, se fait caresser par ses doigts aux multiples bagues, donnant des reflets précieux à son trésor intime.
Il me semble apercevoir 2 de ses doigts, qui glissent, recourbés, dans son antre.
Elle se cambre un peu et l'index et le médius disparaissent entièrement en elle.
Lorsqu'ils ressortent, elle s'attarde sur son clitoris dans de petits cercles qui la font se trémousser comme un serpent.
Elle change de main et elle étale sa cyprine sur son téton au moyen de ses doigts salis alors que son autre main vient la pénétrer à son tour.
La lumière faible et rasante me la rendre presque spectrale.
Son sirop de femme est luisant sur ses corolles mammaires.
Elle se révèle, frémissante, soupirante, sous un aspect que j'ignorais d'elle.
Ses dents qui mordent sa lèvre inférieure alors que, jambes grandes ouvertes, elle s'enfonce de plus en plus vite ses doigts dans sa fissure féminine, elle m'apparait comme une femme ayant des envies, et pas simplement la mère de mon épouse.
Perdu dans mes pensées, hypnotisé par sa masturbation, je me rends compte qu'elle a le visage tourné vers la porte.
Je me recule vivement.
Je rougis d'un coup, espérant que, dans l'obscurité, elle ne m'ait pas vu.
Mon cœur bat si fort que j'ai l'impression qu'elle doit l'entendre de son lit.
Elle soupire de nouveau, un mouvement sur le lit et puis... un gémissement étouffé.
Je ne devrais pas mais je me penche de nouveau pour observer.
Elle est de côté, dos vers moi.
Elle ne semble pas m'avoir repéré !
Je respire, soulagé, et continue de la mater.
Ses doigts glissés entre ses jambes, j'ai un superbe point de vue sur sa vulve et son fessier.
Son cul est large, et lorsqu'elle hasarde un doigt dans sa raie, je me surprends à espérer qu'elle se fasse du bien de façon contre nature.
Je suis agréablement surpris car elle étale le jus de son sexe sur sa rosette et, dans un petit cri étouffé, elle s'enfonce son majeur dans l'anneau.
Devant mes yeux... une cuisse relevée... elle se doigte le fondement.
Je n'en reviens pas.
C'est si osé... si sensuel... et à la fois si délicieusement pervers... que je me rends compte que je bande tel un taureau.
Mon caleçon est littéralement distendu, mon sexe dressé dans une érection douloureuse tant le tissu me contraint.
Je flatte ma bosse...
Hummm...
Ma caresse m'apaise un peu.
Mes doigts filent sous le tissu, mes bourses sont presque à l'air du fait de mon sexe qui relève mon dessous.
Je les palpe, douces, lisses, chaudes...
Me masser me fait du bien.
Et je reprends mon observation de belle-maman.
Elle s'est tournée, vers moi.
Sa main écarte ses lèvres rose sombre.
Elle se titille la perle, une longue langue de chair rouge qui contraste avec ses courts poils bruns.
Mes yeux sont écarquillés vers elle.
Elle s'enfonce 3 doigts, très rapidement et les agite avec de plus en plus de frénésie.
Son corps se cabre, elle se tend, ses seins lourds s'agitent, généreusement posés l'un sur l'autre.
Elle regarde en ma direction...
Et elle jouit dans un doux râle.
D'un mouvement instinctif de recul, je me coule derrière la porte.
Le cœur battant...

Je m'éclipse rapidement, ne voulant pas tenter le diable par 3 fois... et espérant de nouveau qu'elle ne m'a pas vu.
Pourquoi suis-je resté si longtemps à regarder !? Quel idiot !
Mais... que je suis excité par ce que j'ai vu, et pourtant...
Pourvu que personne ne s'aperçoive de mon indélicatesse.
J'espère que mon érection va décroitre rapidement.
Il me faudrait me convaincre que je n'ai jamais vu cette scène si érotique.
Il ne faudra jamais que j'en parle.
Au lieu de cela, mes pensées coupables ne font qu'attiser le feu de mon désir.
Je cherche dans la véranda, un lieu plus calme.
Le jardin ne me rassérène pas, bien au contraire, la fraicheur de la pièce m'excite encore plus.
Le verre de jus de fruit que je me suis servi, au lieu de m'apaiser, lui aussi me rappelle sa bouche, son sexe, alors que je passe ma langue sur mes lèvres pour en recueillir les dernières gouttes.
Mon sexe est gonflé au maximum, prêt à exploser.
Je sursaute soudain.
"Alors Antoine ? Je vois que tu n'es pas parti avec Estelle."
La voix de ma belle-mère me surprend.
Je ne l'ai pas entendu arriver.
Peut-être le sang qui afflue à mes tempes est-il trop fort et me résonne t-il trop fortement dans le crâne jusqu'à m'assourdir et me faire surprendre.
Elle porte un déshabillé rose ourlé de fanfreluche rouge, maintenu serré par un nœud noir en satin.
Si transparent...
Il moule sa poitrine que je sais désormais si attirante.
Je détourne pudiquement mon regard.
- Non. Elle avait rendez-vous avec ses amies. Dis-je en tentant de reprendre mon calme.
Elle est un peu plus petite que moi et si proche que lorsque je la regarde je peux voir la vallée de ses seins disparaitre dans le satin carmin.
- Tu t'es bien rincé l'œil tout à l'heure. Me lance t-elle sans préambule d'une voix calme.
Je déglutis avec un peu de peine, incapable de dire un seul mot, mes yeux rivés sur ses seins, sur ce déshabillé qui est tendu de tant de poitrine.
- C'est du 100E si tu veux savoir.
Je remonte mon regard, horriblement gêné.
Sa main se plaque sur mon sexe.
Elle me fait sursauter.
- Annie ! Enfin... parviens-je à balbutier.
Ses doigts écartent mon caleçon et elle flatte ma verge bandée et dure comme une barre de fer chauffée à blanc.
- Tu ne t'es pas privé, espèce de voyeur.
Je gémis alors qu'elle entoure la base de mon sexe avec son pouce et son index et qu'elle m'incline avec de petits mouvements masturbatoires.
C'est si bon, si soudain, si osé que je la laisse ma flatter.
- Je ne voulais pas... mais ta porte était ouverte... je suis désolé.
- Ca t'a plu ?
Je tente de m'écarter mais son emprise sur moi est si forte que je ne peux reculer.
- Excuse-moi Annie.
- Il ne faudrait surtout pas que ma fille l'apprenne.
De sa main libre elle tire sur le lien noir et son déshabillé s'ouvre sur son corps nu.
Deux énormes seins aux tétons dressés me sont offerts.
J'ouvre mes yeux en grand.
Elle remonte ses doigts, bien haut sur ma tige masculine avant de redescendre à la base.
- Estelle m'avait dit que tu étais bien pourvu, elle n'avait pas tort.
Elle prend mon verre et le pose sur une tablette.
Ses doigts glissent sous mes bourses qu'elle masse à pleine main.
- Tu ne m'as toujours pas dit si ça t'avait plu. Sourit-elle en me regardant.
Ses yeux noisette sont brillant.
- Heu... Tu es très sensuelle. Mes mots ont du mal à sortir.
- Merci. Tu dis ça parce que tu veux t'excuser.
Sa tenue glisse au sol, dévoilant totalement son petit ventre et sa toison brune en forme de brosse.
- Non... Non... c'est vrai.
De sa main libre elle caresse un de ses seins.
- Depuis mon divorce, tu sais ce qui m'a le plus manqué ?
Je hoche négativement la tête.
Incrédule devant tant d'assurance et l'esprit en ébullition.
Elle s'agenouille et ouvre la bouche, d'un coup elle gobe mon gland.
Elle l'aspire et le caresse de sa langue.
Je pousse un petit cri de surprise.
Ma verge dodeline devant elle.
Mon bout est pourpre.
Elle m'astique lentement la verge.
- Une queue... c'est ce qui me manque le plus. Minaude t-elle en me regardant avec des yeux coquins.
Sa bouche s'ouvre de nouveau et elle engloutit littéralement mon vit avant même que je me sois remis de ce langage si cru qu'elle vient d'utiliser.
Elle s'agite et me suce avec une énergie et une application qui me donne l'impression que son existence en dépend.
Je pose alors ma main dans ses cheveux.
Pour seule réaction elle m'avale totalement, allant jusqu'à se coller mon gland au fond de sa gorge.
Sa lèvre inférieure vient flirter avec mes bourses.
Elle grimace en s'octroyant une gorge profonde.
Sa tête s'incline de gauche à droite, et elle m'avale le membre de manière obscène.
Après quelques aspiration gourmandes elle me relâche.
J'ai envie qu'elle continue tellement sa maitrise de la fellation est grande.
Elle se redresse et s'éloigne.
- Tu sais où me trouver...
Son fessier large se balance, pâle, aguicheur.
Je reste figé, le sexe en l'air.
C'est tellement improbable... que je m'empare de sa tenue qui git au sol et je m'avance vers sa chambre.

La porte est entrouverte.
Allongée sur le côté, face à la porte, sur son lit, une jambe repliée sur sa féminité, elle se caresse un sein, une main soutenant son visage souriant.
- Tu avais oublié ton vêtement... dis-je, analysant que ma piètre excuse ne tient pas deux secondes face à cette femme d'expérience.
De son doigt elle me fait signe d'avancer.
Je viens sur le lit à côté d'elle sans quitter des yeux se corps généreux.
- Enlève ton caleçon. Me murmure t-elle sans changer de position.
Je le fais glisser, piètre couverture de ma masculinité tellement je bande, et le laisse tomber au sol.
Elle regarde ma verge en érection.
- Ma fille a de la chance... tu as une belle queue.
Elle porte sa main a sa bouche et crache dans sa paume avant de me prendre en main.
Sa salive s'étale sur mon manche lorsqu'elle me masturbe à force gestes lents et habiles.
Son attitude est si éloignée de ce que je connais d'elle habituellement.
Elle relève sa cuisse et me révèle son sexe.
Je laisse flâner mes yeux sur son corps.
- Ca te plait toujours ?
- Bien sur.
- Mes gros seins te plaisent ?
- Ho... oui...
- Caresse-les si tu veux... Tu en as envie on dirait.
J'y pose mes doigts et j'entame une caresse.
- Enormément.
Elle rit doucement.
- Il ne va vraiment pas falloir que ma fille soit au courant.
Je reste muet, mon ongle effleure son auréole sombre.
- Moi je ne lui dirais rien.
- Moi non plus.
Un silence s'installe, uniquement troublé par le bruit de nos caresses sur nos corps.
- Tu as toute la journée pour baiser ta belle-mère mon cochon... j'espère que tu es en forme.
Je la regarde un peu surpris d'un tel discours.
Elle vient alors se mettre à califourchon sur moi.
De sa main elle se caresse au moyen de ma verge, agitant mon membre pour exciter son con trempé.
Dressée sur ses genoux, sa forte poitrine se balance devant moi.
J'y pose mes mains et lui caresse les seins.
Elle se mord la lèvre et gémit en se frottant mon gland contre sa vulve ouverte.
- Haa oui... presse moi les seins...
J'appuie sur ses deux globes lourds et je m'attarde sur les tétons, les faisant rouler entre mes doigts.
- Continue... n'arrête pas... plus fort !
Je pince et étire ses bouts durs.
Elle se tortille.
- Humm... salaud... tu me fais du bien...
Je les allonge lentement et lorsqu'elle se penche vers l'avant, j'y pose ma langue pour lui lécher le bout des tétons.
- Tête-moi... oui... mordille moi les seins... mes gros seins... ils t'excitent mon cochon...
Je les aspire, englobant l'auréole entièrement pour la faire se tendre dans ma bouche en suçant comme une sangsue.
Elle se tortille et s'empale de plus en plus sur mon pieu.
Un cri rauque lui échappe.
Mon manche de chair est entouré de sa matrice liquide.
Elle me masse de façon intime, agite son corps et balance son bassin sur moi.
Une danse lascive et suggestive, elle se cambre, m'oblige à voir s'éloigner ses seins de ma bouche.
Je la maintiens par les hanches et me propulse en elle.
Elle souffle, soupire...
- Ho mon salaud... hooo... tu me fais du bien...
Ses mouvements de bassin sont irréguliers et je me retiens de crier à mon tour tant le plaisir monte.
Elle se retire et vient en 69.
Je pose ma bouche sur son sexe pendant qu'elle me pompe méthodiquement.
Je lèche cette fente trempée et dégoulinante de cyprine.
Son bassin se presse sur ma bouche, grande ouverte, langue tirée pour la laper et l'explorer.
Je sens à ses ahanements qu'elle jouit sur mon visage.
Soudain son jus arrive en un flot poisseux.
- Avale !  Hooo ouiiiiii...
J'aspire et j'ingurgite son jus de femme.
Elle est abondante et je suis ruisselant de mouille.
- Ahhh... tu me fais jouiiiir ! Hummm...
La masturbation qu'elle le pratique est alors plus rapide.
Ses coups de langue sur mon méat ne sont pas longs à me faire éjaculer à mon tour.
Elle me boit, elle me tête le gland jusqu'à ce que je me sois vidé entre ses lèvres, emplissant ses joues de mon foutre chaud.

Allongée à côté de moi, elle me caresse le torse.
- Tu es bien foutu. Me sourit-elle.
Ses doigts frotte mes petits tétons.
- Merci. Toi aussi.
- Parce que tu aimes les gros culs en plus des gros seins ?
Je rougis.
Ma main caresse son épaule.
Je lui dépose un baiser sur le front et me relève.
- Tu ne t'en vas pas déjà ?
J'hésite... tiraillé entre le désir de rester avec ma belle-mère et celui d'oublier cet écart à mon mariage.
- La journée n'est pas encore fini... et j'ai envie, encore.
Je la regarde.
Elle écarte ses jambes.
- Viens me bouffer la chatte.
Ses doigts ouvrent ses grandes lèvres molles.
Son sexe est rose, ses nymphes scintillantes de cyprine.
Je me place à côté d'elle et je me penche, incapable de résister à l'envie.
J'effleure de la langue.
Je caresse la dentelle intime et elle ondule lascivement presque immédiatement.
Mon muscle se fait étroit et plonge en elle pour la déguster et explorer le moindre de ses replis.
Plus large, ma langue lèche sa vulve qu'elle maintient béante.
Elle appuie sur ma tête.
- Broute-moi... oui... ho oui... comme ça...
Je plonge ma langue en elle et je m'applique à la masser, à aspirer ses lèvres.
Sa main vient se saisir de mon sexe.
Elle me fait me mettre à 4 pattes sur son lit.
Je me fais masturber par sa main agile.
- Tu as un beau soc... tu bandes encore comme un taureau...humm...
Mon vit enserré par sa main, ses gestes sont fluides, elle maitrise le plaisir que je lui donne, loin de la frénésie de nos premiers ébats, elle me témoigne son expérience du sexe.
- Lape. Comme un petit chien.
J'obéis et mes coups de langue son plus secs, plus rapides.
Elle se cambre vers moi, presse mon visage sur son sexe.
Je la maintiens ouverte à l'aide des mes doigts qui entourent sa fente.
De son pouce elle tourne sur mon gland tout en continuant de m'astiquer le manche.
Elle frotte mon méat et étale une goutte de plaisir sur ma peau lisse.
Son doigt étale le liquide tiède et me procure une légère brulure qui me fait gémir...
Très doucement ses doigts flattent tour à tour mes bourses sans cesser de me caresser de la paume de la main, puis me tend la verge vers le sol et l'agite vigoureusement, et enfin me caresse le gland, son col resserré, mes aspérités qui s'enflamment sous l'expertise de ses cercles insidieux.
J'en viens à mimer un coït, malgré moi, tant elle me fait du bien par cette masturbation hors normes.
Elle ralentit, je me sens perdu dans les vagues du désir.
Sa main abandonne mon sexe.
Une sensation de délaissement imprévisible me submerge.
Elle s'agenouille sur le lit.
Un temps immobile elle me fait lui faire face.
Sa bouche se rapproche de la mienne.
- Estelle n'en saura rien. Me murmure t-elle.
Nos lèvres se touchent.
- Tu vas me baiser autant que je le veux... et je garderais le silence.
Sa langue caresse mes lèvres.
Je devrais fuir mais au lieu de cela je lui offre ma langue.
Notre baiser scelle ce pacte d'infidélité.
Sa bouche est divine, sa langue s'enroule me flatte.
Sa poitrine sur mon torse, je sens ses pointes dures qui se frottent.
Mon gland est posé sur son pubis.
Elle se frotte tout en m'embrassant langoureusement.
Elle me sourit en s'éloignant un peu, déposant de légers baisers sur les commissures de mes lèvres.
Sa main descend et flatte mon vit.
- Tu as déjà trompé ma fille ?
- Non ! Jamais.
Elle minaude et me jauge.
- Je t'assure Annie... jusqu'à aujourd'hui... avec toi.
Elle palpe mes boules glabres.
- Tu es déjà allé voir une pute ?
Je rougis instantanément.
- Non !
- Tu deviens écarlate... tu en as déjà eu envie petit salaud.
Je ne réponds rien.
- Ma fille ne te suffit pas ?
- Si bien sur.
- Mais un autre petit cul, ou un gros comme le mien, de temps en temps, tu ne dirais pas non...
- J'avoue que... parfois l'idée me traverse l'esprit.
Je caresse son fessier si ample.
Sa voix est un murmure sensuel.
- Alors tu as l'occasion de pouvoir donner libre cours à tes penchants... mon gros cochon. Vas-y... ne te prive pas. Baise-moi autant que tu veux...

Au soir, lorsqu'Estelle est revenue, nous étions encore au lit quand sa voiture s'est garée.
Nous nous sommes habillé rapidement.
Annie n'a rien laissé paraitre, même lorsqu'elle m'a caresser la verge alors que ma femme tournait le dos.
Son murmure à mon oreille résonne encore dans mon crâne.
"Tu as intérêt à être bien sage et ma fille n'en saura rien".
Bien sage... avec belle maman... je venais de comprendre que cela voulait dire être un étalon à sa disposition...

A suivre ?

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Lorsque je rentre chez moi je suis loin d'imaginer ce qui m'attend.
A peine ai-je déposé mon manteau que je vois le visage de Monsieur, qui me sourit.
"Bonjour ma belle Béatrice" me lance t-il.
Il est assit dans notre canapé, comme s'il était chez lui, ce qui est un peu le cas depuis qu'il s'est imposé dans notre couple.
Je le salue
"Bonjour..." 
Je me sens si peu à mon avantage devant lui dans ma tenue si sage, une jupe volante, un pull sans forme.
Je ne m'attendais à le voir et je n'ai pas spécialement fait d'effort pour être comme il apprécie que je sois... un peu plus sensuelle.
Je me rapproche, surprise de ne pas voir Marc alors que sa voiture est garée dans l'allée.
Ses yeux bleus sur moi me font fondre instantanément.
Une étrange sensation m'envahit dès que je le vois.
Un sentiment que je connais désormais, celui de l'envie, de l'appartenance, du plaisir.
L'envie de me coller à lui dans le canapé me gagne.
Je m'approche encore.
J'ai un instant d'arrêt lorsque je vois mon mari...
Il est là, il est rentré.
Il est à genoux devant le canapé.
Presque nu.
Je remarque en premier lieu qu'il porte une de mes culottes.
Puis je découvre son acte... il a la verge de mon Maitre en bouche.
Il lui fait une fellation.
Je lui en veux presque de prendre ma place.
Et cette situation est tellement humiliante pour mon époux... et pour moi... qu'immédiatement mon bas ventre s'humidifie malgré moi.
Mes yeux passent de sa bouche, grande ouverte autour du manche épais de celui qui est désormais au cœur de notre foyer, à ma dentelle qui lui recouvre bien impudiquement ses bourses.
"Venez vous asseoir ma douce Béatrice".
J'obtempère, sans parvenir à détourner le regard de mon homme qui va et vient sur ce sexe mâle d'une si conséquente taille.
Monsieur me dépose un baiser sur la bouche.
Je me laisse faire... sa bouche est si agréable à embrasser.
Il a une main sur le crâne de Marc à qui il impose le rythme de cet acte contre nature.
De sa main libre il prend mes doigts et les embrasse.
Marc me regarde, perdu... carmin de honte.
"Nous vous attendions. Alors j'apprenais à Marc à être bien docile".
Je rougis.
Honteuse d'être autant attiré par cet homme qui joue avec nous.
"Elle vous plait ma petite cochonne ?" fait-il en désignant mon mari.
Les mots me manquent.
"Caressez-le" m'ordonne t-il d'un ton doux mais que je sais désormais identifier comme un ordre impérieux.
Je pose ma main sur son dos.
Il a chaud.
"La dentelle de votre culotte...".
Comme un automate je fais glisser mes doigts sur le tissu.
Puis j'y appose ma main.
Le tissu est si fin
"caressez-lui les couilles".
Il ne le protège en rien, comme il ne me protège guère.
Je hasarde mes doigts sous les deux boules et je les palpe.
Il s'amuse de notre couple que tout le monde croit si sage, si sérieux.
Ma caresses sont automatiques, derrière mon mari qui subi l'intrusion dans sa bouche comme si c'était... notre normalité depuis quelques mois.
"Faites glisser la dentelle".
Je le fais lentement, dévoilant sa raie, ses fesses d'homme.
"Et toi écarte bien les cuisses".
Il hocquette, Monsieur vient de lui poser la main sur la nuque et lui enfoncer son sexe plus loin.
Il obéit et ouvre ses jambes devant moi.
Je suis hypnotisée par mon mari et mon Maitre.
Lorsque ce dernier prend ma main et pose mes doigts sur la petite rondelle de Marc, je sursaute.
Ho non... pas ça...
Ses doigts autour des miens, il me force à le palper... contre mon gré.
Je n'entends pas ce qu'il lui dit mais je vois la main de Marc se lever et... se poser sur une fesse puis venir écarter un de ses globes.
Mon propre mari... s'ouvre.
Mon cœur bat trop fort.
Il s'ouvre devant moi.
La tête me tourne.
Je m'assois sur le divan, prête à m'effondrer.
Assise, les yeux fermés je tente de reprendre mon souffle et mon calme.
Il appuie alors sur mes doigts et je sens mon index s'enfoncer dans l'étroitesse de Marc.
Mon époux grogne... totalement sous contrôle.
Il me fait agiter mon doigt, le tourmenter.
Je suis bientôt seule à le ... doigter...
Monsieur ne me tient plus.
Jamais je n'aurais pensé que je ferais cette chose si obscène.
Et... je continue de l'agiter, de lui enfoncer mon index dans son anneau le plus intime.
C'est.... plaisant de le voir se tortiller, de le sentir si... dominé par notre maitre.
Marc se tend, se raidit.
Je mouille comme une folle.
J'ai tellement envie de lui... pas de mon mari... mais de mon maitre.
Sous mes percées il éjacule sur ma culotte en dentelles.
Mon... notre Maitre nous emmene tellement loin.
Marc s'effondre sur le tapis, terrassé par son orgasme et la honte. Il est recroquevillé.
"Tu vois mon petit Marc, ta femme n'avait même pas besoin que je lui tienne la main. Elle t'a doigtée par plaisir".
Ces mots résonnent dans ma tête... la terrible vérité.
"Enfin... je dis "ta" femme. Oui, car autour de ton doigt il y a l'alliance que tu lui a donné".
Je rougis à ce souvenir, le plus beau jour de ma vie... enfin... je crois.
Il se lève et vient m'embrasser.
Il est nu... son torse me donne chaud, ses hanches me rappellent de délicieux souvenirs trop impudiques.
Sa grosse verge dressée et couverte de salive.
La salive... de Marc.
Je n'ai plus la force de le repousser, ni l'envie.
Mon mari, allongé au sol, regarde... Il n'ose pas bouger.
Il soulève ma jupe et la remonte sur mes hanches.
Sa main de mâle dominant vient flatter ma croupe.
Je tends mes fesses, sans même m'en rendre compte.
"Quel joli petit cul".
J'en sursaute.
"Marc, vient enlever sa culotte".
Mon mari obéit sans tarder, ses mains sur moi me font un effet contrasté... tellement sensuel d'immoralité.
Je sens ses mains sur moi, les deux regards des deux hommes... de ma vie...
Mes joues son pivoines, ma respiration plus courte.
Il me dévoile, si proche que je sens son souffle, si près, plus près qu'il ne l'a jamais été.
Je sens alors le contact de son visage sur ma raie.
Monsieur vient d'appuyer son visage.
"Lèche".
La langue de Marc... qui n'a jamais été là... me lape.
Je sens sa respiration sur ma plus secrète intimité.
Il le recule en riant un peu "Ca suffit petite salope".
Mon époux obéit.
Il accepte d'être "une petite salope".
La tête me tourne.
Son doigt vient flatter mon étoile striée, brune...
Je me contracte.
Mon cœur bat trop fort alors qu'il étale la salive de Marc sur ma rosette.
Je vois mon mari regarder le gros sexe se coller à ma cuisse.
Il a si souvent désiré en secret cette pratique que je ne lui ai jamais autorisé.
La verge vient frotter ma fente, appuyer contre mes lèvres, presser mon clitoris encore caché.
Je gémis doucement, totalement trempée.
Ruisselante sous cette masturbation de son gland sur mon abricot.
Le gros bout pourpre remonte.
C'est si bon... si chaud... si doux.
"La voilà l'alliance que j'aime chez ta femme".
Il pousse.
Je crie.
Son pal coulisse, lubrifié par ma cyprine qui goutte et la bave de Marc.
A quelques centimètres, mon époux voit le large soc m'envahir et glisser dans mes fesses.
Il m'enfonce d'avant en arrière, je crie.
"Je la prends sa plus belle alliance".
Mes seins bougent dans mon soutien gorge, si tendus.
Un claquement et l'agrafe cède sous ses avances.
Le tissu effleure mes pointent, accroissant mon excitation.
Il accélère et mon étroit anneau subit sa percée.
Mes cris deviennent gémissements.
Ma douleur... plaisirs impolis.
Il entre plus loin, plus profond.
J'ondule du bassin.
Les mouvements plus amples, son vit cercle, m'élargit et me sodomise à m'en faire couler sur mes cuisses.
"Tu vois comme elle m'appartient là ? Elle est... à moi... ma queue autour de son anneau".
Ses mains libèrent mes seins... mes petits seins qu'il masse.
Je ne suis que gémissements.
Ma fente suinte de plaisirs.
Ses bourses viennent claquer contre mes lèvres.
Emmanchée profondément par le bâton dur qui me ramone en profondeur.
Je pousse un râle lorsque le piton bandé me soulève.
Mes doigts serrés sur le tissu du canapé.
Il me bourre les fesses, l'anneau, mon... alliance intime.
"Alors, à qui elle est Béatrice ?"
Je l'entends, je suis incapable d'émettre autre chose que des gémissements orgasmiques.
Je voudrais pourtant lui dire "Non !" et "Oui !".
Et la voix de Marc... si faible..
"Elle est a vous Monsieur... Béatrice vous appartient".
Je jouis instantanément.
Mon esprit à l'unisson avec mon corps.
Je hurle de plaisir.
"Haaaa Ouiiiiii !"
Des veines de feu partent en tous sens, mon bas ventre est un creuset de plaisirs qui irradient vers mon cœur, mes cuisses, ma ventre... le long de ma colonne vertébrale...
Mes cuisses se tapissent de mon sirop qui me fuit.
Glissantes...
"Regarde comme elle aime ça cette chienne... en chaleur... elle me tend son cul ma belle salope".
Ses mots osés m'étourdissent.
Il continue de me prendre ainsi, en levrette, par l'arrière... comme une vulgaire chienne.
Et Marc nous regarde.
Il me voit, jouir et atteindre l'extase en me faisant sodomiser.
Je n'en peux plus mais Monsieur poursuit l'offense qu'il fait à mes fesses.
Ses doigts pétrissent mes tétons et m'arrachent un hoquet déplacé.
Il tire sur mes pointes rendues dures, si sensibles...
Je ferme les yeux et m'abandonne.
L'espadon masculin me pilonne les reins.
Des délices de sensations.
Il se contracte.
Je sens la chaleur de son jus d'homme m'inonder le fondement.
Il halète derrière moi, je l'accompagne en ondulant de la croupe de façon sensuelle et lascive.
Mon anus est totalement ouvert... uniquement source de bonheur.
Je m'effondre. Son foutre me dégouline sur les cuisses. Rassasiée.

"Marc, va chercher le paquet que j'ai préparé pour Béatrice".
Mon mari se lève et revient avec un petit paquet enveloppé d'un ruban doré.
Monsieur m'a pris dans ses bras.
Mes vêtements sont en vrac, mes cheveux emmélés.
Il tend la boite à notre maitre qui me l'offre.
J'ouvre.
Un anneau.
Doré.
"Qu'Est-ce Marc ?"
Mon époux hésite, baisse le regard avant d'oser parler.
"Une alliance".
"Et pour qui est-elle ?"
" Pour votre Béatrice, monsieur".
Je deviens écarlate.
Il me glisse au doigt, une nouvelle alliance.
Sur celle-ci sont gravées des lettres.
Je la fais tourner pour distinguer les fines ciselures... "SOUMISE".
Sans même m'en rendre compte j'embrasse le patron de mon mari, mon maitre, Monsieur, à pleine bouche... je suis aux anges.
Des larmes coulent sur mes joues.
Cette alliance contre nature éveille en moi une reconnaissance et des désirs de débauche.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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    [...]


"Tu es si beau quand tu baises".
Je rougis, encore sous l'effet de cette partie à 3, une nouveauté pour moi.
"Merci mais.. ce n'est pas mon habitude".duonb
"Tu n'avais jamais eu plusieurs partenaires en même temps ?"
"Non. Je vous l'avoue, c'est une première".
Je n'ose lui demander pour elle de peur d'être surpris de sa réponse.
"Pour mon cadeau j'aimerais aussi avoir plusieurs hommes" rit-elle sans me quitter des yeux sur le palier du dernier étage.
Je suis troublé par cette idée de la voir avec d'autres hommes...
Troublé et agité d'une envie de la voir dans cette situation que j'ai imaginé tant de fois.
"Tu m'as follement excitée, je coule tellement que mes bas ne tiennent plus".
Ses seins arrogants dans son pull moulant se balancent à chaque marche que nous descendons.
Derrière elle, je sens la fragrance de son sexe qui m'enivre.
Je respire avec plaisir ce parfum si sensuel.
"Elle te plaisait" me sourit-elle.
"Non."
"On aurait dit pourtant".
"C'était car j'étais avec vous".
"Hooo mon adorable bébé" fait-elle en me caressant la joue.
Son fessier va de gauche à droite à chaque pas.
Nous arrivons dans le sous-sol, là où la voiture est garée.
Je la saisis par les épaules et la plaque soudain contre le mur de parpaings.
"Que fais-tu ?"
Je passe prestement ma main sous sa jupe.
'Hoooo".
Elle geint alors que je masse vigoureusement son sexe.
Mon doigt entre dans sa grotte ruisselante.
"Que faites-vous jeune homme ?" ronronne t-elle en s'agrippant à mes épaules.
Je plonge un second doigt et la fouille.
Son vagin est inondé de jus.
Je défais ma braguette, ma verge encore tendue de la saillie précédente.
"Je pourrais crier..."
Mon pal extraie, je le place entre ses nymphes ouvertes.
"Voyou... vous voulez abuser de moi dans un sous-sol..."
Ses hanches se tortillent pour se frotter contre moi.
Sa bouche exhale un souffle de plaisir lorsque je rentre en elle.
"Haa..."
Je recule et la force de nouveau.
Sa jupe remontée sur ses fesses, sur ses hanches.
Mon bassin entre ses cuisses écartées.
Je lui relève une jambe pour mieux la pénétrer.
"Au secours..." murmure t-elle.
Je recule lentement.
"On me viole..." sa voix est susurrée.
Je lui plante alors mon pieu au plus profond de sa matrice, durement, sauvagement.
Elle crie.
Sa voix, ses soupirs résonnent dans le sous-sol sombre et gris.
Je la plante contre le mur, à grands coups de reins, rudes.
L'ambiance glauque du lieu me fait devenir animal.
Elle pousse des petits "oui.. ho oui... oui... ouiiii" tout au long de la saillie, debout.
Mon pieu coulisse dans sa cheminée intime de façon aisée tant elle est lubrifiée.
Autour de ma verge je sens les contractions de son vagin en fusion.
Elle gémit.
Je la perce.
Un éclairage de voiture balaie notre coin dans l'ombre.
Je m'immobilise, planté en elle.
Nos deux corps soudés l'un à l'autre.
Sa respiration dans mon cou.
Une portière claque.
Mon sexe palpite dans sa fente.
Elle y répond par des mouvements internes qui m'aspirent et me font un bien exquis.
"Je pourrais appeler à l'aide..." me murmure t-elle.
"Vous pourriez oui" lui réponds-je en l'embrassant dans le cou.
"Un homme pourrait venir me sauver..."
Je ne réponds rien, j'ondule en elle, doucement, sans bruit.
"Tu serais obligé de me partager mon bébé..."
Je donne un coup de reins un peu plus prononcé.
"Hum... Il me violerait en même temps que toi..."
Je la retourne brusquement.
Ma main sous son pull je masse sa poitrine dont le soutif est baissé sans ménagement.
Echauffé par ses allégations sulfureuses, je bande comme rarement.
Le sous-sol redevient silencieux.
"Hooo... au viol... on veut m'enculer..." fait-elle mine de dire en me lançant un regard enfiévré.
Mon gland force, entre, étroitement engoncé dans ce puits serré et résistant.
Un premier coup de butoir...
Je la sodomise sans douceur.
Elle pousse un cri plus fort et je vois son visage se crisper.
Ma longue tige s'enfonce et perce sa rondelle étroite.
Je recule.
Elle souffle... reprend conscience de son corps.
Un deuxième assaut, mon sexe comme un bélier pour défoncer la porte de son... cul.
Elle pousse un râle.
Mon pylône reflue et s'enfonce de nouveau.
Je lui ramone l'anus avec une rage folle, lui provoquant des cris entrecoupés de gémissements.
Le fait qu'elle m'ait utilisée, qu'elle me fasse autant fantasmer me rend ivre de désir et d'envies.
Mes coups de reins deviennent assauts de pilon.
Je la force contre nature avec une énergie chaque fois renouvelée par ses petits cris, entre douleur et bonheur.
Ses fesses enserrent mon piton en feu.
Je sens ses tétons durcir d'un coup.
Je les pince et elle pousse un soupir rauque.
Elle roule des hanches autant qu'elle peut, accompagnant la sodomie que je lui inflige.
A peine visible dans l'ombre, j'imagine son visage adorablement crispé dans le plaisir.
Je me vide en elle.
D'un seul coup le plaisir est venu.
Elle y répond avec un feulement que je connais... celui de son orgasme.
Nos jouissances simultanées sont fortes, violentes.
Je gicle en abondance dans son fondement, résultat de mon excitation durable.
Mon foutre lui dégouline sur les fesses, sur les cuisses, s'ajoute à la cyprine qu'elle expulse de son vagin inondé.
Ses cuisses maculées de jus.
Je me retire lentement.
Sa jupe se baisse sur son séant encore ouvert.
Elle reste en position, contre le mur, oscillant des hanches.
"Tu m'as violé comme une vulgaire femelle en chaleur mon bébé."
J'ai encore la verge tendue vers le ciel.
Sa croupe qui oscille devant moi m'empêche de débander tellement je l'ai imaginé dans mes rêves, tant je l'ai désiré et à quel point elle m'ensorcelle.
"J'en veux encore dans ma chatte."
Je prends ses hanches et le bascule vers moi.
Elle à les fesses vers moi, en arrière, elle se cambre.
Son visage si doux sur un bras replié contre le mur rugueux.
De sa main libre elle remonte sa jupe sur ses hanches.
Ses bas sont trempées de nos sucs.
Elle ouvre le compas de ses cuisses et tend ses fesses vers le ciel pour me révéler sa vulve lisse dans le clair obscur de ce sous-sol vide.
"Prends moi encore... comme une catin... comme ta putain".
Je m'introduis lentement.
Nos mouvements sont souples, coulés, à l'unisson.
Elle accompagne mes vas et vient en aspirant mon sexe de son vagin, en ondulant des hanches pour que je la prenne profondément.
Je lime en elle, calmement, je profite de son antre après l'avoir possédée comme un hussard.
"Vous êtes si bonne Sylvie".
Elle gémit.
"J'aime violer votre... fessier".
"Hooo... tu veux dire : mon cul ?"
"Oui..."
"Mon petit cul en feu"
"Oui... j'aime baiser votre petit cul en rut, ma... putain".
Je me surprends à lui parler ainsi mais je sais qu'elle aime ce langage car elle pousse vers moi pour se faire enfoncer plus loin.
Et le résultat ne se fait pas attendre.
Tout en continuant de la baiser, je lui caresse le clitoris.
Je rencontre ses doigts, la coquine s'amusait avec.
Elle a de petits soubresauts.
Ses doigts serrent les miens.
Nos mains se couvrent de mouille... tiède...
Elle jouit en silence.
Nos doigts souillés.
Je me retire doucement.
Elle se réajuste.
"Sylvie... vous..."
Son doigt gluant se pose sur ma bouche.
"Chut. Rentrons vite. Je suis toute sale".
Je lèche son doigt.
Il sent son sexe, il a le gout de son trésor.
"Et j'ai encore... très envie".

A suivre... 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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