Elle est blonde ... de jolis yeux bleus ... un regard coquin, la trentaine. PJ1
Pour le regard coquin, c'est ainsi que je l'interprète en la regardant.
Habillée d'une robe noire très courte, de collant assez épais, et de bottes cuissardes à talons droits qui lui relèvent les hanches... je la croise dans les escaliers ... Elle monte ... Je descends.
Elle me dit bonjour, me matte des pieds au visage, puis sourit ... ses yeux brillent.
Son maquillage est léger et régulier. Un peu de rose sur les joues, les yeux cernés de noir, les lèvres délicatement ourlées d'un rouge à lèvre carmin pâle.
Lorsqu'elle passe auprès de moi nos regards s'accrochent.
Dans la lueur jaune des appliques murales, le temps parait se figer pour s'éterniser.
Seuls les battements de mon cœur se font entendre, je perds un instant le contact avec l'environnement pour me perdre dans l'azur qui pétille.
Du coin de l'œil j'aperçois son sourire et le bleu de ses yeux qui me suit, sous ses paupières qui s'étrécissent sensuellement.
Son parfum parvient à mes narines.
Je le hume, l'inhale profondément pour le garder en moi, longtemps.
Une fragrance fruitée, légère, printanière.
Le froissement de sa robe me fait me retourner.
Elle s'est arrêtée devant les boites aux lettres dans le hall d'entrée, d'un rapide mouvement de doigt, où scintille le rose de ses ongles et l'or d'une bague, elle vérifie l'absence de courrier.
Son visage ovale se tourne alors vers moi avant de se retourner dans un sourire pour disparaitre au dehors.
Je reste immobile, encore sous le charme de cette rencontre inattendue aux cheveux blonds, longs et aux petits anneaux créoles dores.
Timidement, redoutant qu'elle ne fasse demi-tour et ne me voit faire, je redescends jusqu'aux boites afin de relever son nom et son prénom puis je remonte dans mon appartement, tel un automate, encore sous l'effet particulier qu'à eu cette femme sur moi.
J'ai les mains qui tremblent d'avoir osé être relever son identité, comme si j'avais chapardé un bonbon dans une boulangerie.
Un bulle de chaleur s'est installée dans mon bas ventre et est venu irradier mon cœur, mes bras, faisant bouillir mes joues et se serrer ma gorge.
Je me fais un café, maladroitement.
Des images, des envies interdites effleurent ma conscience.
Elle m'a troublée.
La chaleur du café, son gout me parait fade, inexistant.
Elle revient à ma mémoire, s'impose à mon esprit même lorsque je souhaite l'en chasser.
Son regard lumineux... la fluidité de ses cheveux... ce sourire mutin, espiègle... à ma destination, très flatteur.
Alors je décide soudain d'assouvir ma curiosité.
Sur un réseau social... quelques recherches avec son nom... son prénom... je la trouve.
Une photo d'elle, reconnaissable entre mille.
Une sensation étrange qui sert ma gorge, qui me fait déglutir avec difficulté, lorsque je la vois en image... seule... puis avec une femme... au bord de mer... dans un restaurant.
Je consulte tout son album de photos disponibles.
J'ose regarder son statut. "Célibataire".
Mon cœur s'emballe, je connais cette impression suave de désir, de trouble qui m'envahit.
Un sentiment d'excitation, de désir, s'impose.
Je m'attarde sur ses photos.
L'une d'elle me fait sourire et attire toute mon attention.
Elle porte une robe très courte qui laisse voir le galbe de ses cuisses, des bottes à talon carré de 2cm qui s' arrêtent en dessous du genoux et lui confèrent un charme indéniable.
Elle est magnifique... j'ai envie d'elle... au delà des convenances et de la moralité.
Sa poitrine est moulée dans un chemisier violine à l'échancrure en dentelle qui met divinement en valeur la vallée de ses seins.
Un léger renflement de ses mamelons sur le tissu laisse imaginer son émoi lorsque le cliché a été pris.
Un petit diamant orne son cou, il pend au bout d'une chaine en or, assortie aux boucles d'oreilles qui décorent joliment ses petits lobes.
Elle a ce même sourire coquin que je lui ai vu il y maintenant presqu'une heure.
Déjà une heure...
Et je n'ai rien fait que penser à cette femme.
Son sourire... les mouvements de son corps.
Et son parfum me hante encore... des effluves épicées.
J'en ferme les yeux pour respirer et m'en souvenir.
Pourquoi avait-elle ce regard sur moi ?
Je rougis... l'idée d'une envie mutuelle me tord le ventre.
Sur l'image, elle a une main dans ses cheveux, l'autre sur sa hanche.
Une partie de sa galerie ne m'ait pas accessible.
J'hésite puis me lance.
Un simple clic pour une demande d'amis.
Si elle ne connait pas mon nom, aucun risque... et puis je n'ai mis que mon prénom sur mon profil.
Mais si elle accepte, elle va me voir aussi...
Le doigt sur la touche pour annuler, je suis dans l'incertitude.
Le téléphone sonne et m'arrache à mes pensées.
Tant pis, je laisse... elle n'est pas chez elle, je l'ai vu partir avec son sac, surement travailler, donc elle ne va pas vérifier cette demande...
Je me donne le temps du coup de fil pour réfléchir au fait de laisser ou retirer ma demande.
J'ai à peine le temps de dire "bonjour" que je vois la validation se faire.
Ou bien elle est rentrée, ou alors elle est connectée.
Je bloque sur l'icône qui est passée de "demande" à "amis".
A l'autre bout du fil mon correspondant me demande si tout va bien.
Je bredouille et fuit la pièce pour achever rapidement la communication.
Mon écran scintille toujours sur sa page.
J'ai accès aux images qu'elle partage.
"Belle tenue ce matin". m'a t-elle écrit.
Les mots sont persistants... j'avale ma salive sur ce compliment de bienvenue, signe qu'elle a regardé mes images et qu'elle sait qui je suis.
Une galerie m'attire l'œil : "shooting sexy pour mes 30a".
Elle s'y dévoile dans des tenues plus légères et moins habillées, des poses plus suggestives.
Son ventre semble si doux, sa croupe si attirante.
Une séance qu'elle a réalisée avec un pro, et qu'elle partage en souvenir de son 30e anniversaire.
Je me régale.
Et puis un message m'apparait.
"On habite la même immeuble et il faut se retrouver par le réseau, c'est un comble".
Je lâche un petit "Oui, c'est la modernité".
La réponse immédiate : "Mais au moins c'est un moyen de lier contact".
Je frotte mes mains l'une contre l'autre, ne sachant que dire.
Elle me prend en dépourvu.
"Jolies photos" poursuit-elle... "les miennes te plaisent ?"
Mes temps battent du sang qui afflue trop vite.
"Oui. Beaucoup".
Le silence.
Que fait-elle ?
Et la réponse enfin.
"Je dois quitter. Travail. A très vite j'espère".
"Bon courage. Merci pour l'acceptation. Bonne journée. A bientôt je l'espère aussi."
Ce que j'écris est décousu... signe qui trahit mon émotion.
Je flâne encore un peu sur son profil avant de remarquer mon statut : "en couple".
L'écran devient noir alors que je l'éteins.
J'ai l'esprit embrumé et soudainement aussi sombre que mon état d'esprit.
Mais... mes mains, mes pensées frivoles et intimes, à l'abri dans mon intimité, m'entraine à des gestes que la morale réprouve... à des caresses où cette femme joue un rôle de fantasme orgasmique.
La barrière physique de mon désir flanche et je me libère de toute cette tension par un gémissement lent qui ne parvient pas à la chasser totalement de mes idées.

 

Lorsque le soir je reçois un nouveau message "toc toc"... mon cœur se serre de nouveau... je ne suis plus dans la solitude de ce premier moment où nous avons échangé rapidement.
Mon mari est devant la télé...

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Entre Elles
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[...]sodomie

Ses caresses sur moi m'éveillent.
Avec délicatesse, ses mains flattent mon corps.
Mes épaules, mon dos, faisant naitre des frissons sur mes bras et dans le creux de mes reins.
La sensation chaude et apaisante de ses paumes qui effleurent mes courbes sous le drap. Je m'étire un peu pour profiter de ce traitement délicieux.
Ses doigts effleurent ma nuque. Ils sont bientôt suivis de sa bouche qui me dépose un léger baiser dans le cou.
Il remonte ses doigts sous mes cheveux blonds.
Il respire, hume, mon parfum de femme encore endormie.
Un nouveau baiser me fait ronronner. Il sait que mon cou est sensible et me rend féline.
Dos à lui, je sens sa main se poser sur mes hanches. Flatter mes cuisses.
Je pousse ma croupe, un peu indécente.
Son baiser dans le cou m'a émoustillée.
Sa main se fait coupe et palpe mes fesses. Cet homme me donne chaud.
Je sens son bas ventre contre mes reins, sa verge... ho... déjà si dure et si large. Ce gros sexe que je sens et contre lequel je me plaque. Si différent de celui... de mon mari.
Mes joues ne rosissent que légèrement à ce souvenir malgré le fait que je sois dans mon lit, avec un autre homme que mon époux.
Je l'entends d'ailleurs.
Ce dernier est sous la douche car il travaille tôt.
L'eau dans la salle de bain, coule... comme mon sexe depuis que mon amant s'est plaqué à moi.
"Bonjour ma petite geisha" me murmure t-il doucement.
"Bonjour... coquin" fais-je sans même y penser.
Ses doigts glissent sur ma poitrine, effleurent les pointes de mes seins qui réagissent immédiatement. Tendues, il les caresse et mes bouts deviennent si durs que je me cambre pour venir moi même me frotter sur sa main de velours.
"Moi un coquin ? Alors toi... Tu es une sacrée coquine... une adorable cochonne..."
Je rougis, incapable de retenir le balancement et l'agitation de mon corps. Un soupir de contentement s'échappe de ma bouche entrouverte.
Je me laisse aller à ses caresses matinales. J'en apprécie la douceur et le fait qu'il s'impose à moi sans me demander si j'en ai envie... Et de lui... j'ai envie tout le temps.
Il me soulève lentement et vient m'allonger sur lui.
J'ai le dos sur son torse, mes fesses sur son bas ventre, ma tête sur son épaule.
Si fragile, sur cet homme qui me semble un roc massif.
Mes cuisses s'ouvrent de part et d'autre de ses jambes, exposant ma féminité au ciel.
Mon ventre et ma poitrine se soulèvent vers le plafond au rythme de mes respirations de plus en plus prononcées.
Mes petites mains se posent sur ses avant bras, musclés, qui se prolongent par des mains qui savent se faire sévères ou être si douces que j'en fonds. Elles suivent ses mouvements sur moi. Il explore mon corps, la vallée de mes petits seins, le velours de mon ventre qui se tortille, le haut de mon pubis qui me fait souffler et respirer plus fort.
Son sexe est dur, calé dans le bas de mon dos.
Le mien est entrouvert, palpitant.
"Caresse-toi ma petite poupée". Son murmure est un ordre.
J'obéis.
Ma main vient passer sur ma fente. Si fine avant de le connaitre, il me semble qu'elle est désormais plus ouverte, que mes grandes nymphes sont plus molles depuis qu'il... m'utilise à loisir... que je me donne sans compter.
Je me flatte, allongée sur lui. Encore incapable de réaliser cette posture obscène il y a seulement quelques mois, désormais j'en ai envie... c'est ma source de plaisir.
Mes renflements sont humides. Du bout des doigts je passe dans la fissure trempée. Je cherche mon bourgeon... un soupir... il est gorgé de sang et d'envies. La caresse est si douce, je la voudrais plus forte mais je me retiens pour prolonger ces moments indécents.
J'entre mon index lentement dans ma motte qui me semble dégoulinante. Je me fais du bien, enfonçant mon doigt en moi, titillant ma perle ultra sensible, écartant mes petites lèvres pour venir me solliciter de façon profonde.
Mon bassin se tortille sous ma masturbation.
Il appuie sur les pointes de mes seins, presse mes tétines durcies contre ses doigts.
La douleur est là... nimbée de plaisirs ennivrant...
Il étire mes aréole et allonge mes tétons puis malaxe mes seins avant de recommencer... faire rouler mes bouts, les presser...
Je râle, ma main accélère ma masturbation.
"Tu sais que je préfère pourtant les grosses mamelles... les gros culs... mais toi... ma petite poupée... je ne peux plus me passer de toi".
Son langage cru à mon égard et cette comparaison qu'il fait de moi... ce compliment cru me fait tourner la tête.
Ma respiration s'accélère.
Je rentre mon doigt loin en moi.
Il me soulève doucement pour ôter son sexe, pris en sandwich entre mon dos et son ventre.
Il le place à 90°... un angle droit qui le fait venir s'appuyer sur mon abricot ouvert.
Je me caresse.
Mes doigts frottent le bout lisse au méat fin, son gland rond et large.
J'appuie mes grandes lèvres contre la barre de chair.
De deux doigts j'ouvre légèrement mon sexe pour venir me plaquer à cette grosse verge qui me rend dingue d'envies toutes plus perverses les unes que les autres.
Je me frotte comme un ver lubrique.
Soufflant mes envies par petits gémissements incessants.
D'un mouvement de la main sur ma nuque et sur mes reins il me place assise sur lui.
De dos il doit pouvoir voir mes fesses, mes cuisses ouvertes.
Je suis agenouillée sur le lit, son bas ventre entre mes jambes.
Ma main glisse sur son sexe.
Hooo... il est... énorme et d'une raideur qui me fait peur.
Je me redresse pour le placer sur ma fente.
Sa verge est un pieu sur lequel je vais m'empaler.
Sans même qu'il me l'ai demandé, je sais ce qu'il aime, ce qu'il veut que je sois.
Lorsque je me pose sur le large gland, je réprime une grimace tant j'appréhende l'introduction de ce volumineux engin. Cependant, je suis tellement trempée, qu'il s'enfonce en moi presque sans effort.
J'ondule, je danse sur son bas ventre.
Sa verge progresse, plus profond en moi à chaque fois que je glisse autour de cette chose énorme qui m'arrache des petits cris presque continus.
Mon bassin va de droite à gauche, obscène pour lui qui peux m'admirer à loisir.
Dans les miroirs du placard je me découvre, haletante, cambrée, affamée de sexe.
Hypnotisée par mon image j'ondule plus encore pour accentuer ma position lubrique. Je geins. Impudique. Je veux le rendre fier, fou, autant que je me révèle dans mon côté le plus cochon.
Il caresse mon séant, son regard ne semble pas le quitter jusqu'à ce qu'il lève ses yeux azur et croise le mien.
Mes joues s'empourprent.
Je ne cesse pas mes ondulations sensuelles.
Au bord de la jouissance, celle-ci ne semble pas vouloir me ravager.
Il me laisse faire, venir, m'enfoncer sa verge dans mon vagin...
Je m'agite, je m'offre sans compter sans que l'orgasme ne me terrasse.
Et je comprends.
L'odieuse vérité.
J'ai besoin d'être soumise pour atteindre ces sommets qu'il m'a fait découvrir.
Je ralentis alors et je vois son sourire de conquérant.
"Mon... maitre... " murmure-je... "je suis toute à vous".
Que j'ai honte de me sentir si bien !
Il me redresse.
La perte de son membre viril en moi me laisse un gout de néant.
"Non..." ose-je lancer sans m'en rendre compte.
Mais il est déjà debout et moi... je m'allonge sur le lit pour venir lécher son sexe trempé de mon suc.
Je lape le bout pourpre, turgescent.
De ma langue je m'enrouler autour du manche et aspire mon miel.
Ma bouche se fait ronde, s'ouvre, je le prends entre mes lèvres.
Sa grosseur me fait plisser les lèvres, m'étire les joues.
Je le suce... comme il aime... en levant mes yeux vers lui... lentement... à pleine bouche... jouant de ma langue pour caresser sa veine large.
Je le pompe goulument.
Il appuie sur ma nuque, rentre son membre au fond de ma gorge, appuie sur mon muscle pour le fourrer si loin que je manque d'air et que je suis obligée de respirer par le nez, comme une forge.
Il baise ma bouche...
Son sexe pousse mes joues, force mes lèvres, frotte contre ma langue... un délice...
J'aspire, son gout est unique, délicat, musqué.
Sa texture est un velours d'acier.
Il reflue et je reste bouche ouverte encore demandeuse de son sexe, un filet de salive s'écoule sur mon menton pour finir sa course sur mes seins dardés.
Il tire sur mes cheveux pour redresser mon visage.
"Qu'est ce que tu suces bien ma petite cochonne. Tu le sais ?".
Je lui souris timidement. Son compliment me fait rougir.
"Mais j'ai envie d'autre chose."
Je me sens perdue... et je lui appartiens... il le sent, il le sait.
"Montre moi que tu es à moi".
Je baisse la tête, ferme les yeux et je me tourne.
Je remonte mon bassin, face à lui.
Mon visage sur le bord du lit.
J'ouvre mes cuisses.
Mes mains viennent se poser sur mes globes fessiers.
Il me regarde faire, je le vois savourer son plaisir à l'avance.
Jamais je n'aurais pensé qu'un jour... je me mettrais dans une position si honteuse.
Offerte...
Dépravée...
Le compas de mes cuisses grand ouvert.
Avant de le rencontrer, je n'aurais jamais accepté de m'offrir... par là.
Et depuis lui, depuis qu'il est devenu mon maitre... j'en ai envie, j'en éprouve du plaisir, un plaisir sans nom... tellement intense qu'il me semble surnaturel.
Mes doigts se placent sur ma raie culière.
Mon petit fessier tendu vers lui.
Je m'écarte pour lui offrir ma rosette brune.
En même temps que je m'ouvre, mon sexe dégouline, une première vague de jouissance déferle sur moi.
Il prend son temps.
Il sait que je ne vais pas bouger, en attente de ses demandes, de ses ordres.
Je me mords la lèvre inférieure.
Mon anneau palpite... bien malgré moi je dois reconnaitre que j'attends son intromiscion.
Au lieu de cela il choisit... de m'humilier encore plus.
"Doigte toi."
Deux mots.
Je sens ma gorge se serrer.
J'hésite.
Mon index, déjà souillé de cyprine, se rapproche de l'œil bistre.
Je l'effleure, je m'effleure.
Il ne m'avais encore jamais demandé une action si vile.
Mon petit trou est chaud et pris de petites secousses qui le font s'entrouvrir.
J'en découvre la texture plissée.
"Caresse-toi le cul".
Hooo... ces mots osés !
J'accède à sa requête, je me caresse, obéissante.
Sous mes effleurements mon petit orifice s'ouvre, s'assouplit.
Je gémis... incrédule de prendre autant de plaisir à cette pratique odieuse.
"Allez, doigte -toi".
L'ordre me claque les oreilles.
J'enfonce mon doigt dans la partie la plus intime de mon anatomie.
Pour la première fois je me... mets un doigt... dans les reins.
Mes yeux s'ouvrent en grand.
Je pousse un petit cri.
La deuxième vague de ma jouissance monte, enfle, inonde mon vagin.
"Tu veux ma queue ?"
Ce langage cru ! Si différent de Marc... mon mari si loin... qui s'éloigne... dont la douche s'est tue.
"Oui... Monsieur..."
"Demande-le".
Je me mords la lèvre.
Il y a quelques temps les larmes me seraient montées aux yeux.
Si je rougis encore, et je rougirais toujours car c'est dans ma nature, je n'ai plas envie de faire couler une larme, je sais au contraire le bien que je vais ressentir et combien j'apprécie cette position indécente... ma position de soumise.
"Prenez-moi les reins. Enculez-moi... s'il vous plait".
Ma supplique résonne dans mon esprit.
Oui, c'est bien moi.
Et Marc, qui doit s'habiller... va m'entendre...
Et son gland se pose sur mon anneau ouvert.
Les aspérités qui couronnent son gland me frottent les parois intimes.
Je crie alors que sa grosse tige s'enfonce entre mes fesses.
Mon mari a du entendre. Il sait ce que me fait mon maitre. Il comprend que je suis à lui comme je ne serais jamais avec mon époux.
Son pieu de chair me laboure.
Etroite, je subis les pressions intérieures qui m'écartent l'anus et me donnent l'impression d'être ouverte en deux.
Ses mains posées sur mes hanches il me ramone sans discontinuer.
Les déferlantes de jouissance s'enchainent.
Mes doigts crispées sur le bord du lit, agrippés au drap.
Je mords un bourrelet de tissu pour étouffer mes cris d'orgasme.
Son sexe puissant me déflore le plus intime orifice.
Et je me cambre pour l'accueillir plus loin, comme une vestale lubrique.
Il est Pan, je suis la nymphe qu'il chevauche à loisir.
Il y a quelques temps j'aurais refusée, mais là je reste offerte, et j'ecarte mes cuisses.
Pour lui.
J'écarte mes fesses.
Pour qu'il me baise et me soumette encore.
Les coups de reins s'enchainent.
Ses coups de butoirs me déchirent.
Mes cris sont rauques et mes soupirs à la hauteur de l'intensité du plaisir que je prends.
Il passe d'un orifice à l'autre.
Je ne sens plus mon bas ventre.
Il prend mes cheveux et me force à me regarder dans le miroir.
Sur les genoux, le cul en l'air, une main pour m'ouvrir à lui. Je suis une femme de petite vertue lorsqu'il me prend à loisir.
Je suis transpirante.
Sa main vient flatter et me donner une fessée.
"Ca, c'est pour le plaisir que tu as pris hier."
La piqure de la claque légère sur ma fesse blanche, me fait l'effet d'un tison.
Il me punit d'avoir pris du plaisir avec tous ces hommes, hier... tous ceux auquel il m'a offert et qui n'ont pas eu le droit à mon puits sombre.
Un seconde fessée sur l'autre rondeur me fait dégouliner de bonheur.
J'aime lorsqu'il est sévère... lorsqu'il me soumet.
Ses coups de sexe, de reins, sont rudes, bestiaux.
Il me domine... et... hoooo.... que j'aime cela.
Un second orgasme, me terrasse.
Et me laboure plus doucement, plus lentement.
Ses mains se font flatteuses, ses caresses plus lentes.
Il me cajole les hanches, le dos.
Je suis liquide.
"Ca, c'est pour le plaisir que tu m'a donné hier".
Il me fourre profondément, son calibre large me défonce avec lenteur, m'arrache un râle animal.
A ce compliment je me sent grandit, honorée... fière de le rendre heureux.
Il me chevauche encore, me faisant gémir, prenant possession de chacun des orifices, à sa guise, sans se hater.
Il sait que je suis à lui et que je ne suis qu'un pantin entre ses liens de sensualité.
Je m'offre totalement.
Je me donne à ses envies, je me livre à mes désirs innavouables.
Mes bas instincts mélés de plaisirs cérébraux ont raison de ma dignité dont je me moque.
Seuls compte la délectation de nos appétits de délices.
Pour lui... pour moi... je jouis... une nouvelle fois... à l'unisson avec lui.
Ses bruits rauques me donnent chauds, ils sont empreints de virilité et de masculinité.
Je sens les jets chauds venir m'inonder l'intérieur.;
Il se retire de mon petit trou et m'arrache un dernier cri... celui du manque terrible...
Je suis essouflée, incapable de bouger, cambrée.
De mon orifice intime, telle une source de sperme, je recrache son foutre gluant qui me ruisselle sur les cuisses jusqu'aux genoux.
Je suis une fontaine de liquide primaire.
Ravie.
Il me caresse les cheveux. Son gros sexe dodeline entre ses jambes, luisant.

 

Il ouvre la porte, mon mari avait du frapper et je ne l'avais pas entendu.
Il pose ses yeux sur moi, nous échangeons un regard.
Je ne fais pas un mouvement pour me cacher et il passe devant moi en baissant les yeux, avant d'aller prendre une cravate et ressortir dans le même mouvement.
Il est mon mari oui, mais mes plaisirs ne lui appartiennent plus.

 

Je souris à mon Maitre qui m'accorde sa main pour m'entrainer sous la douche.
Si sale, souillée, et si heureuse d'être soumise.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Mon époux gare la voiture, ouvre la porte, j'entre à sa suite.
Il referme et me regarde.
Le bras de son patron autour de mes épaules. J'ai le visage niché sur son torse.
Dans le secret de notre maison je ne me cache plus pour être si souvent proche de celui qui est devenu mon Maitre.
Après la soirée de réception et l'état de ma robe, de mes cheveux... Marc sait que je ne suis plus à lui mais que j'appartiens désormais à l'homme qui dort chez nous, qui m'a révélé à des plaisirs insoupçonnés... à des désirs qui me rendent folles.
Je suis à lui et je le suis dans les chemins détournés de la morale qu'il me fait prendre.
Il caresse mes cheveux blonds... salis du jus de ses collaborateurs.
Mon entrejambe encore douloureux d'avoir été pris si longtemps par de nombreux sexes, j'avance, ma main dans celle de celui que je regarde en rougissant alors qu'il interpelle mon mari.
"Béatrice a été splendide. Elle a également bien récompensée les meilleurs collaborateurs".
Marc baisse la tête.
"Je ne voulais pas que tu vois ça."
Sa voix douce est pour moi un rappel suggestif et pour Marc une évocation qui doit lui faire étrange... de ce à quoi je me suis livrée, de cette orgie de débauche dans laquelle j'étais l'actrice principale et qu'il ne fait qu'imaginer.
"Mais tu as bien mérité toi aussi d'en profiter".
J'ai un frisson, je sursaute.
Mes yeux cherchent le regard de mon Maitre.
Va t-il me livrer à mon époux ?
Je me sens si sale, encore souillée dans mon intimité, la robe tachée.
"Agenouille toi sur le tapis" m'ordonne t-il.
J'obéis sans rechigner.
Il fait s'approcher Marc.
Je dois lui ouvrir le pantalon et lui caresser le sexe au travers du tissu de son slip.
Je le fais et mon mari s'excite.
Je me sens fille de joie.
Ce n'est plus mon époux... c'est un homme... simplement.
Son sexe durcit dans son dessous.
Mon Maitre se joue de nous.
Je lui lance un coup d'œil, il ne regarde que moi et cela me fait un effet dingue, un sentiment de réconfort et de fierté.
Lorsqu'il me demande de sortir sa queue je suis surprise de la taille si réduite de ce membre.
Je l'agite au gré des ordres puis le lèche comme il me le commande.
Comparée aux manches que je viens de déguster, celui-ci est modeste et ma bouche, bien que meurtrie d'avoir tellement sucée, n'a aucun mal à l'engloutir.
Je fais ce que je lui ai si souvent refusé.
Mais là... obéissante... pour celui qui me donne chaud... je gourmanderais n'importe quelle verge.
Les soupirs plus forts de mon homme me rappellent à lui. Dans mon désir de plaire à mon Maitre j'en ai oublié celui a qui je suis mariée.
La voix suave me murmure qu'il faut que je sois "une belle petite cochonne pour Marc".
Je m'applique.
Jamais je ne lui ai pratiqué une telle fellation.
Ma langue et mes doigts sont au service de ces plaisirs buccaux tellement osés que j'en rougis.
Je mets en œuvre tout ce que j'ai appris depuis que je suis soumise et obéissante. Je déguste et aspire le bout du gland avant de titiller le méat, envelopper le col et le bout rond de ce petit dard jusqu'à en faire sortir une goutte de plaisir.
Mon muscle presse la veine comme mes lèvres enveloppent le manche et viennent se coller à la base de sa verge pour mieux remonter lentement... et redescendre rapidement pour l'emmener au plus loin dans ma bouche.
Mon Maitre me félicite et je cesse mon action à sa requête.
Nous savons tous les deux que Marc est en rut...
Il ordonne, j'obéis.
Nous savons tous les trois que cela pourrait être n"importe quel sexe.
Pour mon Maitre, j'obéis.
Je m'allonge et je relève ma robe devant mon époux.
Je retire ensuite la culotte gluante qui recouvre mon sexe lisse.
J'ai honte... mais j'ai envie d'être obéissante, je le fais, et mon mari découvre mes lèvres, rouges, molles... entrouvertes... dégoulinantes de foutres de plusieurs hommes.
Le tissu est trempé des jus différents. Il colle. Il fait un bruit d'humidité lorsque je le pose sur le sol à côté de moi.
"Baise-la. Tu l'as mérité, comme les autres".
Il me semble recevoir une claque, surement la même que celle que prend Marc.
Il s'allonge sur moi et... sans remettre en cause son statut de soumis lui aussi, enfonce son membre dans mon vagin.
Je suis visqueuse, poisseuse, de sirops.
Le sexe fin de mon mari touille dans mon puits inondé.
Il s'affaire en moi.
Une sensation de honte... de plaisir tellement fort...
Devant mon Maitre, notre Maitre, nous "baisons".
Il ne dit pas un mot, se contente de nous regarder.
Je gémis bien malgré moi, terriblement emportée par une rafale de luxure.
C'est mon époux qui me chevauche, après tous les autres... dans leurs semences encore tièdes... sur l'ordre de celui avec lequel des liens plus étroits qu'une cordelette de soie autour des mes poignets se sont tissés.
Le plaisir que j'éprouve est tout à la fois physique et mental. Mon esprit chavire dans un délice osé.
J'entends à peine les souffles de Marc.
Mes yeux cherchent mon autre homme.
Il m'observe.
Les jambes ouvertes, les genoux relevés, Marc me prend, comme d'habitude.
Mes cuisses nues n'attirent pas l'attention de mon admirateur. Il ne lâche pas mon visage, mon regard dans le sien.
Il me sourit et ma jouissance arrive comme une lame de fond, comme une autorisation, comme un agrément à mon plaisir. Je fonds. L'orgasme me traverse comme un arc électrique.
Il ordonne à Marc d'éjaculer sur mon ventre.
Le petit sexe sort de mon antre et son jus chaud vient éclabousser mon nombril. Son foutre se mélange à ceux qui me décoraient déjà la peau.
Mon plaisir continue, enfle malgré l'absence de membre en moi. Simplement en m'abandonnant à mon Maitre.
Lui... par qui j'ai découvert le plaisir de façon plus intense que je ne l'aurais imaginé.
Un cri m'échappe.
Je suis trempée, essoufflée... contente de lui appartenir.
Je suis sa petite putain... sa poupée... sa s...

Lorsque je rejoins notre chambre après un long bain où je me suis nettoyé de tous ces hommes, Marc n'y est pas. Il a été envoyé dormir dans la chambre de Céline, absente la semaine depuis qu'elle à son studio.
La lumière de le lampe de chevet est allumée.
Je suis nue, comme le désire celui qui me regarde en souriant et qui m'invite à le rejoindre dans le lit.
Toujours honteuse et pourtant si heureuse.
Je me love contre lui.
Son cœur bat si fort.
Sans un mot nos lèvres se soudent, nos langues se cherchent, se trouvent, s'emmêlent.
Ses mains trouvent mon corps parfumé.
Mes doigts glissent sur son torse et sur ses bras.
Il éteint.
L'obscurité nous enveloppe.
Enlacés dans notre chambre...
Sait-il l'effet qu'il me fait ?
Je sombre dans des rêves voluptueux...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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