[...]
Mon téléphone vibre.
"Ma Muse".
J'ai soudain très chaud.
Une photo.
Je souris.
J'affiche l'image.
Ses seins, voluptueux, pâles, nus, son corsage baissé pour qu'elle puisse prendre la photo.
"Bonne et sensuelle année mon bébé. Ils sont là pour toi".
Je tape une réponse enflammée, l'esprit embrumé par les auréoles au centre desquelles se dressent des tétines dures comme des pointes de
crayon.
"Et bien, ta copine a une sacrée paire" me fait un ami en regardant par dessus mon épaule.
Je masque le téléphone, gêné.
"Oui, merci".
"Tu aurais du l'inviter, moi... elle m'aurait bien plu".
Un peu fatigué, il s'éloigne pour me laisser répondre.
"Douce et érotique année à vous Ma Muse... vous me faites fantasmer".
La réponse arrive, presque immédiate.
"Conserve tous tes fantasmes, mon mari part en déplacement pour 15 jours... j'espère que tu seras reposé...".
Je deviens fébrile.
"Je vous attends."
"Je suis en chaleur... à bientôt".
Je retourne vers le bruit de la fête, un souhait vient de se réaliser.
Lorsque je vois mes amis, danser, s'agiter avec de jeunes femmes, j'ai soudain une idée...
A suivre...
[...]
Invitée par le patron de Marc à une soirée dans un château loué pour ce groupe d'amis et de connaissances plus ou moins proches, je ne quitte pas
des yeux mon maitre, son patron.
Aux 12 coups de minuits nous nous offrons nos vœux et tout le monde s'embrasse.
Lorsque Monsieur me souhaite une douce et plaisante année, je frissonne en lui en souhaitant tout autant.
Puis arrive un curieux tirage au sort où les couples sont amenés à être... échangés.
Les "solitaires" sont réunis tout aussi aléatoirement dans les rires et les coups d'œil salaces des uns et des autres.
Je deviens rouge, de honte et de crainte.
Mon mari ne dit rien, il ne conteste plus aucune décision de celui qui dirige notre couple.
Lorsque j'entends "Béatrice" je sursaute.
Et mon sourire illumine aussitôt mon visage.
"Moi", dit mon maitre. Je suis soulagée.
Il me prend la main.
Marc a été invité par un couple à les accompagner.
"Je suis si contente d'être avec vous".
Il me sourit et mon cœur s'emballe.
"Pour un début d'année, j'ai triché, je ne voulais pas te partager". Me dit-il en caressant ma nuque.
"C'est... très gentil".
"Ne t'inquiète pas, j'aurais tout le temps de te prêter à d'autres durant cette nouvelle année..."
Je deviens écarlate à l'annonce de ce qui m'attend.
Il sait que, bien que l'épouse de Marc, je suis toute à lui.
Marc ne se rebelle pas, trop faible.
J'ai fermée les yeux.
Mes tétons se tendent instantanément.
"C'est fou... hoo..."
Pour cette première nuit de l'année mes gémissements se mêleront jusqu'au petit matin avec ceux des autres couples formés pour la nuit
seulement.
A suivre...
[...]
Je portais Magalie jusque dans la chambre.
Elle ronflait, ayant un peu abusée de l'excellent vin qui accompagnait le dîner parfait que nous venions de faire pour fêter cette fin et ce début
de nouvelle année.
Elle grommela lorsque je la bordais et tomba rapidement dans un profond sommeil.
Belle et sensuelle même dans cette attitude un peu moins glorieuse.
J'entendis la porte s'ouvrir derrière moi.
"Ma fille dort et elle n'a même pas souhaitée la bonne année à sa maman".
Ma belle-maman se tenait dans l'entrebâillement, une position lascive... simplement vêtue d'une nuisette qui mettait en avant sa poitrine opulente
et dont je devinais déjà l'excitation.
"Et toi tu viens m'offrir tes vœux ?" me lance t-elle avec un sourire enjôleur.
Je lui souris à mon tour et m'approche d'elle.
"Je vous souhaite une merveilleuse année belle-maman. Pleine de joies et... de plaisirs". fais-je en posant ma main sur son sein droit.
"Ho... coquin... " fait-elle en me prenant la main pour que je lui presse un peu plus son sein si... lourd et attirant.
Je pétris et glisse bientôt mes doigts entre ses cuisses pour découvrir son sexe lisse sous le tissu soyeux.
Elle a déboutonné mon pantalon et enfoncée sa main dans mon boxer.
Elle s'est emparée de ma verge et me masturbe déjà, me faisant devenir de plus en plus dur.
"Vient par là mon gros cochon... baise-moi sous le gui".
Là... dans l'entrée... sous la branche de gui, alors que ma femme dort d'un sommeil de plomb, je saute ma belle-mère contre le mur en lui relevant
une cuisse pour mieux la forcer profondément.
Ses mots crus me font un effet dingue.
Nous garderons le secret... un souhait partagé.
Même ses cris de jouissance n'auront pas éveillés sa fille que je rejoindrais une heure plus tard... pour la prendre à son tour, encore à demi
endormie.
A suivre...
[...]
Lorsque la fin de l'étrange tirage au sort a lieu je souris à celle qui a "écopée" de mon nom.
Je m'éloigne dans la vaste véranda, afin de reprendre mes esprits et finir ma coupe de champagne.
Je ne m'attendais pas à ce genre de pratique.
Un ami m'avait invité sans me prévenir.
"Tu verras c'est l'occasion de te changer les idées et faire des rencontres" m'avait-il dit.
Seul depuis ma rentrée d'Irlande, l'idée d'une "relation d'un soir" ne me gênait pas mais j'avais la tête ailleurs. Encore envouté par ma maitresse
aux cheveux roux... cette ange qui m'avait fait découvrir cette autre facette de ma sexualité.
"Heum.. heu..."
Je me retourne pour me retrouver nez à nez avec ma "compagne désignée".
Une charmante femme d'une trentaine d'année comme moi, cheveux châtains coupés courts, une paire de lunettes qui ne masque pas ses yeux marrons
perçants.
"Je vous dérange peut-être ?"
Sa voix est douce.
Ses courbes sont moulées dans une robe de soirée noire.
Assez discrète je ne me souviens même pas d'elle ni de l'avoir remarquée durant le repas.
"Non, je vous en prie".
Elle se rapproche.
"Je ne suis peut-être pas à votre gout".
Sa moue boudeuse qui finit sur un sourire fugace me fait un pincement au cœur.
Je ne voudrais pas l'avoir froissé.
"Ce n'est pas cela, vous êtes charmante".
"Mais... ?"
"Mais... je ne suis pas comme cela. Je ne sais pas faire le premier pas, surtout dans ces conditions".
Les effluves de son parfum me parviennent.
Une fragrance capiteuse... envoutante.
"Moi non plus je ne suis pas comme cela".
Elle s'approche.
Le souvenir de ma "maitresse" est encore vivace.
Elle pose sa main sur mon entrejambe et flatte la bosse qui croit.
Je suis surpris et n'ose dire un mot ni faire un simple geste.
"J'aime choisir d'habitude... et toi ?"
Le ton doux et suave de sa voix masque une volonté que son geste ne cache en rien.
"Je... suis plutôt... "
J'hésite.
Elle dépose un baiser sur ma joue.
"Tu es plutôt... suiveur. Je l'ai senti dès que je t'ai vu" me fait-elle en me souriant "et je n'ai plus de soumis depuis 6 mois. Tu me
plais".
Je rougis, soudainement envahit par un désir de me sentir de nouveau entier, lié, entravé dans les sentiments complexes d'une relation de
domination.
Je baisse les yeux en lui souriant.
"Comment devrais-je vous appeler ?" lui murmure-je alors qu'elle presse ma verge un peu plus fort pour affirmer son emprise sur moi.
"Cela nous le verrons si tu es doué...".
Elle m'entraine en me tenant par le sexe.
Je la suis... la brillance rousse s'estompe un peu dans mes souvenirs.
J'ai envie de me dépasser.
A suivre...
[...]
Marie-Jo avait été invitée par l'homme qui tenait la galerie d'art un peu... sulfureuse... pour passer le réveillon de fin d'année.
Au milieu des tableaux et œuvres exposés, un banquet avait été dressé.
Des invités triés sur le volet riaient et s'amusaient.
Elle était venue sans son petit-ami, désormais un ex, depuis quelques semaines.
La secrétaire du collectionneur, cette asiatique aux yeux perçants, lui déposa un baiser sur la joue pour lui souhaiter une douce année après que
son patron lui eu, lui aussi, offert ses vœux.
Elle lui glissa dans la main un petit objet.
"Un présent de la part de notre hôte" lui murmura t-elle.
L'objet était chaud.
Une chaleur étrange qui irradia son bras, enflamma ses seins et fit se tendre ses tétons sans aucune autre raison que celle de lui rendre le souffle
court.
Une boule de désir enfla dans son bas ventre.
Elle ouvrit la main pour regarder ce qui venait de la mettre dans tous ses états.
Une sorte de petite tige en métal doré aux extrémités desquelles deux boules de tailles presque identiques.
Un faiblement mouvement de son poignet lui sembla faire tinter le métal.
Interdite devant le petit artefact qui semblait palpiter dans sa main elle ne vit pas arriver l'hôte des lieux.
"Il s'agit d'un objet ayant appartenue à Iwasaki. Une geisha célèbre du 19e siècle".
La voix sourde entretint la poussée de désirs impolis qui lui traversa l'esprit en une fraction de secondes.
"Merci mais... que... qu'Est-ce ?"
Elle vit son sourire se fendre un peu plus.
Il effleura du bout du doigt l'extremité la plus petite de l'objet.
"Il s'agit d'un objet de plaisir féminin".
Les joues de Marie-Jo s'empourprèrent immédiatement.
"Je vous invite à la porter".
Peu de temps après elle retrouvait la salle, un rapide détour par les toilettes lui avait permis d'introduire ce plug étrange dans son
intimité.
Chaque mouvement faisait danser de petites perles dans les boules et enflammait son sexe qui devint liquide presque instantanément.
Au bord de la jouissance, lorsqu'elle croisa le sourire de cet homme aux objets insolites, elle sut qu'elle tombait de nouveau sous l'emprise de
cette source de plaisirs défendus.
L'année commençait de façon exquise.
A suivre...