voeux-sexy-2015.jpg[...]

Mon téléphone vibre.
"Ma Muse".
J'ai soudain très chaud.
Une photo.
Je souris.
J'affiche l'image.
Ses seins, voluptueux, pâles, nus, son corsage baissé pour qu'elle puisse prendre la photo.
"Bonne et sensuelle année mon bébé. Ils sont là pour toi".
Je tape une réponse enflammée, l'esprit embrumé par les auréoles au centre desquelles se dressent des tétines dures comme des pointes de crayon.
"Et bien, ta copine a une sacrée paire" me fait un ami en regardant par dessus mon épaule.
Je masque le téléphone, gêné.
"Oui, merci".
"Tu aurais du l'inviter, moi... elle m'aurait bien plu".
Un peu fatigué, il s'éloigne pour me laisser répondre.
"Douce et érotique année à vous Ma Muse... vous me faites fantasmer".
La réponse arrive, presque immédiate.
"Conserve tous tes fantasmes, mon mari part en déplacement pour 15 jours... j'espère que tu seras reposé...".
Je deviens fébrile.
"Je vous attends."
"Je suis en chaleur... à bientôt".
Je retourne vers le bruit de la fête, un souhait vient de se réaliser.
Lorsque je vois mes amis, danser, s'agiter avec de jeunes femmes, j'ai soudain une idée...

A suivre...

[...]

Invitée par le patron de Marc à une soirée dans un château loué pour ce groupe d'amis et de connaissances plus ou moins proches, je ne quitte pas des yeux mon maitre, son patron.
Aux 12 coups de minuits nous nous offrons nos vœux et tout le monde s'embrasse.
Lorsque Monsieur me souhaite une douce et plaisante année, je frissonne en lui en souhaitant tout autant.
Puis arrive un curieux tirage au sort où les couples sont amenés à être... échangés.
Les "solitaires" sont réunis tout aussi aléatoirement dans les rires et les coups d'œil salaces des uns et des autres.
Je deviens rouge, de honte et de crainte.
Mon mari ne dit rien, il ne conteste plus aucune décision de celui qui dirige notre couple.
Lorsque j'entends "Béatrice" je sursaute.
Et mon sourire illumine aussitôt mon visage.
"Moi", dit mon maitre. Je suis soulagée.
Il me prend la main.
Marc a été invité par un couple à les accompagner.
"Je suis si contente d'être avec vous".
Il me sourit et mon cœur s'emballe.
"Pour un début d'année, j'ai triché, je ne voulais pas te partager". Me dit-il en caressant ma nuque.
"C'est... très gentil".
"Ne t'inquiète pas, j'aurais tout le temps de te prêter à d'autres durant cette nouvelle année..."
Je deviens écarlate à l'annonce de ce qui m'attend.
Il sait que, bien que l'épouse de Marc, je suis toute à lui.
Marc ne se rebelle pas, trop faible.
J'ai fermée les yeux.
Mes tétons se tendent instantanément.
"C'est fou... hoo..."
Pour cette première nuit de l'année mes gémissements se mêleront jusqu'au petit matin avec ceux des autres couples formés pour la nuit seulement.

A suivre...


[...]

Je portais Magalie jusque dans la chambre.
Elle ronflait, ayant un peu abusée de l'excellent vin qui accompagnait le dîner parfait que nous venions de faire pour fêter cette fin et ce début de nouvelle année.
Elle grommela lorsque je la bordais et tomba rapidement dans un profond sommeil.
Belle et sensuelle même dans cette attitude un peu moins glorieuse.
J'entendis la porte s'ouvrir derrière moi.
"Ma fille dort et elle n'a même pas souhaitée la bonne année à sa maman".
Ma belle-maman se tenait dans l'entrebâillement, une position lascive... simplement vêtue d'une nuisette qui mettait en avant sa poitrine opulente et dont je devinais déjà l'excitation.
"Et toi tu viens m'offrir tes vœux ?" me lance t-elle avec un sourire enjôleur.
Je lui souris à mon tour et m'approche d'elle.
"Je vous souhaite une merveilleuse année belle-maman. Pleine de joies et... de plaisirs". fais-je en posant ma main sur son sein droit.
"Ho... coquin... " fait-elle en me prenant la main pour que je lui presse un peu plus son sein si... lourd et attirant.
Je pétris et glisse bientôt mes doigts entre ses cuisses pour découvrir son sexe lisse sous le tissu soyeux.
Elle a déboutonné mon pantalon et enfoncée sa main dans mon boxer.
Elle s'est emparée de ma verge et me masturbe déjà, me faisant devenir de plus en plus dur.
"Vient par là mon gros cochon... baise-moi sous le gui".
Là... dans l'entrée... sous la branche de gui, alors que ma femme dort d'un sommeil de plomb, je saute ma belle-mère contre le mur en lui relevant une cuisse pour mieux la forcer profondément.
Ses mots crus me font un effet dingue.
Nous garderons le secret... un souhait partagé.
Même ses cris de jouissance n'auront pas éveillés sa fille que je rejoindrais une heure plus tard... pour la prendre à son tour, encore à demi endormie.


A suivre...


[...]


Lorsque la fin de l'étrange tirage au sort a lieu je souris à celle qui a "écopée" de mon nom.
Je m'éloigne dans la vaste véranda, afin de reprendre mes esprits et finir ma coupe de champagne.
Je ne m'attendais pas à ce genre de pratique.
Un ami m'avait invité sans me prévenir.
"Tu verras c'est l'occasion de te changer les idées et faire des rencontres" m'avait-il dit.
Seul depuis ma rentrée d'Irlande, l'idée d'une "relation d'un soir" ne me gênait pas mais j'avais la tête ailleurs. Encore envouté par ma maitresse aux cheveux roux... cette ange qui m'avait fait découvrir cette autre facette de ma sexualité.
"Heum.. heu..."
Je me retourne pour me retrouver nez à nez avec ma "compagne désignée".
Une charmante femme d'une trentaine d'année comme moi, cheveux châtains coupés courts, une paire de lunettes qui ne masque pas ses yeux marrons perçants.
"Je vous dérange peut-être ?"
Sa voix est douce.
Ses courbes sont moulées dans une robe de soirée noire.
Assez discrète je ne me souviens même pas d'elle ni de l'avoir remarquée durant le repas.
"Non, je vous en prie".
Elle se rapproche.
"Je ne suis peut-être pas à votre gout".
Sa moue boudeuse qui finit sur un sourire fugace me fait un pincement au cœur.
Je ne voudrais pas l'avoir froissé.
"Ce n'est pas cela, vous êtes charmante".
"Mais... ?"
"Mais... je ne suis pas comme cela. Je ne sais pas faire le premier pas, surtout dans ces conditions".
Les effluves de son parfum me parviennent.
Une fragrance capiteuse... envoutante.
"Moi non plus je ne suis pas comme cela".
Elle s'approche.
Le souvenir de ma "maitresse" est encore vivace.
Elle pose sa main sur mon entrejambe et flatte la bosse qui croit.
Je suis surpris et n'ose dire un mot ni faire un simple geste.
"J'aime choisir d'habitude... et toi ?"
Le ton doux et suave de sa voix masque une volonté que son geste ne cache en rien.
"Je... suis plutôt... "
J'hésite.
Elle dépose un baiser sur ma joue.
"Tu es plutôt... suiveur. Je l'ai senti dès que je t'ai vu" me fait-elle en me souriant "et je n'ai plus de soumis depuis 6 mois. Tu me plais".
Je rougis, soudainement envahit par un désir de me sentir de nouveau entier, lié, entravé dans les sentiments complexes d'une relation de domination.
Je baisse les yeux en lui souriant.
"Comment devrais-je vous appeler ?" lui murmure-je alors qu'elle presse ma verge un peu plus fort pour affirmer son emprise sur moi.
"Cela nous le verrons si tu es doué...".
Elle m'entraine en me tenant par le sexe.
Je la suis... la brillance rousse s'estompe un peu dans mes souvenirs.
J'ai envie de me dépasser.

A suivre...


[...]

Marie-Jo avait été invitée par l'homme qui tenait la galerie d'art un peu... sulfureuse... pour passer le réveillon de fin d'année.
Au milieu des tableaux et œuvres exposés, un banquet avait été dressé.
Des invités triés sur le volet riaient et s'amusaient.
Elle était venue sans son petit-ami, désormais un ex, depuis quelques semaines.
La secrétaire du collectionneur, cette asiatique aux yeux perçants, lui déposa un baiser sur la joue pour lui souhaiter une douce année après que son patron lui eu, lui aussi, offert ses vœux.
Elle lui glissa dans la main un petit objet.
"Un présent de la part de notre hôte" lui murmura t-elle.
L'objet était chaud.
Une chaleur étrange qui irradia son bras, enflamma ses seins et fit se tendre ses tétons sans aucune autre raison que celle de lui rendre le souffle court.
Une boule de désir enfla dans son bas ventre.
Elle ouvrit la main pour regarder ce qui venait de la mettre dans tous ses états.
Une sorte de petite tige en métal doré aux extrémités desquelles deux boules de tailles presque identiques.
Un faiblement mouvement de son poignet lui sembla faire tinter le métal.
Interdite devant le petit artefact qui semblait palpiter dans sa main elle ne vit pas arriver l'hôte des lieux.
"Il s'agit d'un objet ayant appartenue à Iwasaki. Une geisha célèbre du 19e siècle".
La voix sourde entretint la poussée de désirs impolis qui lui traversa l'esprit en une fraction de secondes.
"Merci mais... que... qu'Est-ce ?"
Elle vit son sourire se fendre un peu plus.
Il effleura du bout du doigt l'extremité la plus petite de l'objet.
"Il s'agit d'un objet de plaisir féminin".
Les joues de Marie-Jo s'empourprèrent immédiatement.
"Je vous invite à la porter".
Peu de temps après elle retrouvait la salle, un rapide détour par les toilettes lui avait permis d'introduire ce plug étrange dans son intimité.
Chaque mouvement faisait danser de petites perles dans les boules et enflammait son sexe qui devint liquide presque instantanément.
Au bord de la jouissance, lorsqu'elle croisa le sourire de cet homme aux objets insolites, elle sut qu'elle tombait de nouveau sous l'emprise de cette source de plaisirs défendus.
L'année commençait de façon exquise.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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mere-noel-sexy.jpg"Tu m'accompagnes ? Je sors avec des amies à moi. On va au marché de Noël."
La proposition est à peine voilée.
Son regard brillant au milieu de son doux visage encadré par ses cheveux blonds délicatement relevés sur l'arrière de son crâne pour en dévoiler la nuque gracile.
Son cou s'élance au dessus d'une poitrine déjà voluptueuse pour ses 24 ans.
Marion, a 1 an de moins que moi, et un regard de braise.
"Non merci, j'ai du travail".
Je vous à sa moue, qu'elle est déçue.
En tournant les talons et en s'approchant de la porte, elle ondule du bassin pour mettre en avant le galbe de ses jambes.
"A plus !" lance t-elle dans un dernier appel.
Sa mère ferme la porte et me regarde.
Sa mère...
J'en ai instantanément chaud.
Elle m'a invité à passer quelques jours chez eux pour fêter Noël.
En vacances, c'était un bon moyen pour me vider la tête du travail, quitter mon studio, et ne pas me retrouver tout seul chez mes parents, partis au ski avec des amis à eux que je n'aime pas.
Alors j'ai accepté.
Parce que tout cela mais surtout...
Surtout... il y a Sylvie... la mère de la jeune femme qui vient de partir.
Le portrait de sa fille en mille fois plus sensuel.
Elle est la muse de mes fantasmes depuis si longtemps et... depuis quelques mois... mon amante secrète.
De sa main elle flatte ma joue.
"Je crois que tu viens de repousser les avances de ma fille".
Je ne réponds rien.
Elle vient s'asseoir sur mes genoux.
"Ce n'est pas très gentil. Elle ne te plait pas ma fille ?"
3si, elle est mignonne mais..."
"Alors comme cela tu as des choses à faire ?"
Sa poitrine opulente devant mon visage.
La chaleur de ses cuisses sur les miennes.
Je sens mon rythme cardiaque s'emballer, ma respiration se faire plus courte, et ma verge... être trop à l'étroit dans mon boxer.
Sa main descend sur mon torse.
"Ma fille partie..."
Elle flatte mon ventre et ma ceinture.
"Mon mari en déplacement..."
Sa paume se pose sur mon entrejambe.
"Hum... sommes nous seuls ?"
Je pose mes mains sur ses hanches.
Elle me donne une petite tape sur les doigts et se lève sensuellement.
"Dis donc, coquin !"
Ses bas résille disparaissent sous sa courte jupe droite rouge sombre.
"Pas maintenant... j'attends quelqu'un."
Je suis surpris.
Elle sourit, visiblement elle me cache quelque chose et cela lui plait.
"Tu vas apprécier mon bébé".
Mystérieuse, elle me fait signe de la suivre.
Ce que je fais sans hésiter jusque dans sa chambre.
Hooo sa chambre... cossue, feutrée, qui étouffe les sons déjà velours qui nous proviennent de l'extérieur.
Elle se retourne et lentement je m'approche d'elle.
Mes mains trouvent les siennes.
Ma bouche trouve la sienne.
Nos langues se mêlent.
La fraicheur de ses lèvres et l'aisance avec laquelle elle enroule sa langue dans ma bouche me font chavirer.
Notre étreinte s'éternise dans le calme feutré de la chambre de madame et de son mari.
De petits baisers sur le coin des lèvres.
Elle frotte sa cuisse contre mon entrejambe.
"Mon cochon... tu es déjà tout dur".
"C'est à cause de vous Sylvie..."
Elle ronronne.
"Quand tu me vouvoies avec mon prénom tu me donnes chaud mon bébé".
Je la caresse. Je sens son corps onduler sous mes caresses, la chaleur de son être éveille des désirs dans le creux de mes reins.
Son chemisier noir se gonfle sous sa poitrine si désirable que j'ai tellement longtemps imaginé, que j'imagine encore dans mes nuits solitaires... et que je peux flatter... enfin.
La sonnette tinte.
Elle sourit et il faut une seconde sonnerie pour que nous nous éloignions l'un de l'autre."
"Cache toi dans la pièce voisine" me dit-elle avec un clin d'œil avant de faire claquer ses escarpins fins, hauts, qui donnent au balancement de ses hanches un érotisme torride.
Je m'y place. La pièce est dans l'obscurité.
Je peux voir la chambre par l'entrebâillement de la porte.

Ma muse parle, une autre femme lui répond.
Elles entrent toutes deux dans la chambre.
La femme a environ 25 ans, visiblement une vendeuse à domicile.
Elle ouvre sa valise qu'elle pose sur une commode.
Sylvie se tourne vers moi, son regard qui sait où me trouver, me transperce, pourtant je suis invisible mais il me semble apparaitre en pleine lumière.
Elle oriente un grand miroir... je peux voir l'intégralité de la pièce.
Puis elle retire son chemisier.
Un ensemble de lingerie, noire, très décolleté, moule ses seins et me fait immédiatement poser ma main sur mon entre cuisse douloureux.
Elle me lance un petit rictus puis se tourne et descend sa jupe.
Sa croupe devant moi... simplement recouverte d'un string dont la ficelle disparait dans ses fesses terriblement délicieuses.
La jeune femme sourit en admirant elle aussi la femme qui se dénude devant nous.
"Tu es terriblement ponctuelle Murielle."
"J'ai attendu que votre fille parte pour sonner."
"Tu as bien fait. " lui répond t-elle en lui flattant la joue de sa main si douce lorsque c'est sur moi qu'elle la pose.
"Je vous ai apporté des petites choses, spécialement sélectionnées pour vous".
"Hooo tu me combles".
Les deux femmes se connaissent donc.
Elle lui présente un ensemble de lingerie en dentelle et satin.
Je sens dans mon pantalon, un peu trop moulant, ma verge se dresser et être trop comprimée.
J'ai poussé la malice à ne pas mettre de dessous... ma verge libre frotte contre le tissu épais.
Et mon excitation ne cesse d'enfler, autant que mon manche.
Ma muse ôte son soutien gorge.
Des gestes lents, trop lents et si sensuels.
Elle enfile celui que lui présente la jeune femme.
Je suis hypnotisé par le harnais de dentelle noire, aux arabesques qui ne masquent en rien la profondeur de son sein et... qui révèle le mamelon, offert, non recouvert.
Je suis tellement sous le charme du galbe de sa poitrine qu'elle expose que je ne remarque pas tout de suite les caresses de la vendeuse sur les bonnets.
Plus que de l'ajustement, ses pouces aux ongles rouges frôlent, frottent, les tétines érigés de ma Muse.
Elles se sourient.
"Il vous va à merveille".
Je vois le corps de Sylvie onduler légèrement.
Elle se mord la lèvre inférieure avant que la caresseuse ne lui présente un autre soutien gorge.
Les essayages s'enchainent.
A chaque fois la vendeuse prend son temps pour effleurer et en profite pour flatter la poitrine attirante de mon amante.
Ma verge est si dure qu'elle en est douloureuse.
Je pose ma main sur mon entrejambe et ouvre les 3 boutons de mon pantalon.
Je manque lâcher un cri de soulagement lorsque je libère mon sexe en rut.
Je m'autorise une caresse.
Mes yeux se ferment un moment pour conserver en moi ces images excitantes.
Lorsque je les ouvre à nouveau...
L'ainée des 2 femmes ne porte plus rien.
Elle vient de faire glisser son dessous en se penchant vers le bas.
Elle reste les jambes tendues, montrant ostensiblement ses fesses et sa vulve à mes yeux et à ceux de sa cadette.
La jeune femme lui propose un slip transparent qu'elle enfile.
En un tour sur elle même, elle nous montre que le tissu ne cache rien.
Les mains fines de la vendeuse se posent sur l'avant du tissu et, sous prétexte de lui montrer la texture, je la vois caresser la fente aux lèvres ourlées d'humidité de ma muse qui est ravie de subir de si agréables caresses.
Les doigts fins flirtent avec l'abricot à peine voilé.
Sylvie avance légèrement son bassin sur la main qui la masse avec une extrême lenteur.
"J'ai quelque chose pour vous" lui dit-elle en s'agenouillant pour lui retirer la culotte qui, mouillée, semble vouloir rester accrochée à son entrecuisse.
Elle fouille dans sa valise et en sort un porte jarretelle.
Ma muse, nue, se laisse habiller par la jeune femme qui reste, accroupie devant elle.
"Voyez, une sorte de culotte fait partie du porte jarretelle..."
Les doigts, les ongles carmins passent et frôlent les hanches et les cuisses de celle qui me fait fantasmer.
"... mais elle est fendue".
Sa main passe entre les jambes qui s'ouvrent.
Elle la caresse sans préliminaire..
Et Sylvie... gémit.
"Hoo... j'aime bien ce dessous".
La brune continue de flatter l'abricot que je vois briller.
"Elle vous rend si accessible... à des doigts... ou à une bouche."
Ma muse pose sa main sur le crâne de la jeune femme et glisse dans ses cheveux pour l'attirer vers son sexe.
Sans résistance je vois s'approcher le visage de cette intruse, sa bouche s'ouvrir et sa langue laper le con trempé de celle que j'admire.
Elle la lèche consciencieusement.
Sa gourmandise fait gémir sa partenaire qui se tortille.
Je vois ses jambes flageoler.
Les bruits de succion sont des coups de fouets à mon sang qui me semble bouillir.
Je voudrais entrer dans la pièce et mettre un terme à cela mais je reste à la contempler, à admirer ces deux corps souples qui se font du bien.
La demoiselle se redresse.
Ma Muse déboutonne son chemisier.
Elle se laisse faire, caressant les hanches plus larges de sa vis à vis.
Elle rougit lorsque Sylvie lui palpe les seins.
Ses tétons pointent... trahison d'un désir innassouvi.
A force de lenteur elle dénude la poitrine orgueilleuse de la jeune femme.
"Tu sais que j'adore tes... mamelles"
"Je le sais... et j'aime lorsque vous les pétrissez".
Des pressions, des effleurements... la font soupirer.
Lorsque ma dame lui excite les mamelons, elle se dandine et lâche un râle.
"Tu n'as pas de petit copain en ce moment ?"
"Non... cela fait un moment..."
"Pas trop dur ?"
"Je me soulage toute seule" fait-elle en rougissant autant à ses aveux qu'aux plaisirs qu'elle retirent de ses bouts durcis qui sont pincés et étirés.
Ma muse qui donne du plaisir à cette jeune étudiante... me rend fou.
le contraste entre leurs deux corps... si sensuel... si intensément sexy, sexuel.
Face à face, elles se jaugent, se sourient.
Murielle caresse les seins de Sylvie alors que cette dernière déboutonne son pantalon qui tombe au sol.
Elle porte un tanga rouge.
Elle s'accroupit alors pour récupérer son soutif.
Ses fesses rondes forment un cœur que la transparence du voile rend suave et désirable.
La dentelle moule son abricot délicat, met en valeur ce postérieur gracieux où la raie semble une invitation à des plaisirs pervers et divins.
Ses hanches resserrées et sa cambrure exagérée m'échauffent les sens.
Je caresse mon sexe dressé.
Ma Muse vient se pencher derrière elle et elle lui baisse le dessous.
Murielle se relève un tout petit peu...
Et ma dame lape le sexe étroit aux lèvres serrées que la jeune femme lui présente en redressant sa croupe.
Toutes les 2 à 4 pattes par terre... l'une derrière l'autre...
Et ces bruits de langue...
Elle remonte et les mains fines viennent écarter les globes pâles de son séant oscillant.
La langue rose effleure la rosette brune de la jeune femme qui gémit lentement à chaque coup de langue sur son anneau palpitant.
Les figures s'enchainent.
Un ballet lascif et sensuel de corps et de caresses.
Ponctué de gémissements, de soupirs et d'invitations toutes plus osées les unes que les autres.
Elles frottent leurs sexes l'un contre l'autre.
Se tètent... mutuellement... leurs clitoris gonflés et étiré par de bouches expertes.
Elle se lapent, se doigtent.
Leurs vagins tours à tours ouverts, percés qui les fait couiner et râler.
Leurs étoiles étroites et si délicieusement intimes, s'entrouvrent sous les langues agiles et gourmandes.
Les nymphes de mon amante, écartellées à deux mains par cette délicieuses perverses qui la fouille et lui aspire le bouton tout à la fois.
Face à face, leurs poitrines gonflées qui se tendent et leurs bouches qui se cherchent, leurs langues qui s'enroulent, leurs lèvres qui se pressent les unes contre les autres...
Murielle vient sur Ma Muse pour se frotter et se faire caresser les seins.
Son séant ondule entre les cuisses de la maitresse de mes fantasmes.
"Hooo Murielle... tu me fais couler... petite chienne..."
"Sylvie... j'ai apporté un gode... pour nous faire plaisir".
L'ainée se redresse et lui sourit.
"J'ai mieux qu'un gode pour nous deux" lui dit-elle.
Je suis dans un tel état d'excitation que je ne suis même pas jaloux de ce qu'elles se font.
L'envie de ces deux bouches...
Je me caresse.
J'ai tant envie de les prendre l'une après l'autre
Envie de jouer moi aussi... de soumettre cette jeune chienne qui ose donner du plaisir à Ma Muse...
Les idées les plus osées, des désirs de stupre, de luxure... me traversent l'esprit.
Je mets un moment avant de remarquer que de son index, la plus âgée des deux femmes m'invite à approcher.

Sous le regard de ces 2 paires d'yeux brillants d'excitation, je sors de l'ombre, verge à la main, dressée vers le ciel comme un sabre.
Murielle me dévore du regard.
Elle se mord la lèvre inférieure en me voyant avancer vers elles deux.
"Voici notre cadeau de Noël" murmure mon amante.
Un murmure pour elles, pour moi, pour nous...
Leurs deux mains flattent ma verge.
Elles malaxent mes bourses lourdes.
Puis Sylvie se penche sur moi et embouche mon sexe devant la jeune femme qui, à son tour, la rejoint.
Ma verge passe d'une bouche à l'autre.
Elles utilisent mon glaive de chair pour se satisfaire de leurs envies.
Leurs langues se mêlent autour de ma queue et je les vois sourire comme deux affamées de sexe.
Mes doigts se glissent dans leurs cheveux.
J'accompagne les mouvements amples de leurs fellations alternatives.
La plus jeune apprend de Ma Muse et sous son regard semble devenir de plus en plus douée dans l'art délicat de la pipe.
Sylvie place elle même sa complice à 4 pattes.
Je déguste avec plaisir son abricot trempé.
Je n'ai qu'à tourner le visage pour déguster le second fruit défendu.
Côté à côté elles m'offrent leurs intimités... et ma bouche les dévore avec force et attirance.
L'un... délicatement ciselé, encore étroit... où ma langue s'insinue en forçant la dentelle fine.
L'autre... aux lèvres molles... béant... que je fouille de ma langue, mon visage plaqué à l'entrecuisse ruisselant.
Ma main droite titille le sexe frémissant de Murielle alors que la gauche doigte profondément celui de Ma Muse.
Leurs soupirs forment un chœurs d'anges qui, en cette période de Noël, me font croire à tous les cadeaux possibles.
J'enfile alors la première de ces deux femelles en chaleur.
Pour passer à la seconde sans même le temps de les prévenir de mes vas et vient dans leurs antres brulantes.
Syvlie vient s'allonger.
Murielle lui offre son sexe à lécher, accroupie sur le visage de son ainée.
Moi... je baise Ma Muse, allant et venant entre ses cuisses... ma bouche posée sur le velours du sein de la jeune femme qui me caresse le cou pendant que je la tête.
Lorsque nous changeons de position j'apprécie la lourdeur du pis de Sylvie et son téton tendu que ma langue agite pendant que Murielle m'aspire la verge en contractant son vagin envahit.
Nos corps se mêlent, s'entremêlent dans une sarabande de gémissements et de cris érotiques.
Un trio de déhanchements et de saillies.
Nos peaux sont moites.
Nos mains sollicitées par des courbes affolantes.
Nos bouches assoiffées et gourmandes.
Les orgasmes s'enchainent, se multiplient comme une réaction en chaine.
Une ode au plaisir...

A peine Murielle a t-elle passée la porte et fait vrombir le moteur de sa petite auto, que Sylvie dépose un baiser sur ma joue.
"Tu as aimé mon bébé ?"
"J'ai adoré".
"Je suis contente que tu ne sois pas exclusif... et que tu ais apprécié cette petite cochonne. C'est Noël... aimons-nous les uns les autres".
Me fait-elle dans un clin d'œil complice avant d'aller préparer le repas de ce jour exceptionnel.
Lors du diner ma cheville droite subissait les frottements du bout du pied de ma Muse... mon genou gauche, les caresses furtives de sa fille.
A minuit... je jouais le Père Noël en pénétrant dans la chambre de Marion, l'odeur de Sylvie encore sur ma peau.

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...

Mon amant m'a invité chez lui à passer quelques jours.
Mon époux ne lui a pas refusé, comme d'habitude, il ne s'y oppose pas.
Et si je ressens une forme d'humiliation pour lui, ce sentiment de force qui émane de mon maitre me rend plus excitée à chaque fois qu'il agit de la sorte dans notre couple.
Je suis devenue incroyablement sensible à cette emprise.

Sa maison est agréable et j'en fais le tour, à son bras.
Un peu honteuse et tellement fière qu'il m'emmène chez lui.
Nous passons un bon moment dans le jardin d'hiver à deviser de tout, de rien, de moi, de lui...
Puis il prépare un repas et je flâne dans son bureau dont un pan entier de mur est couvert de livres.
Je feuillette, détendue.
Lorsque la sonnette retentie je sursaute.
Il ne m'avait pas prévenu et a invité un couple de nos amis (à moi et Marc) pour venir diner.
Je suis toute à la fois heureuse de les voir et tellement gênée par l'absence de mon mari que je cherche du regard mon hôte pour puiser du courage dans son regard.
"Marc n'est pas là ?" demande Olivier.
Je bafouille un "non" en rougissant telle une pivoine.
Cécile, sa femme, me sourit et complimente aussitôt mon... maitre... même si elle ne sait pas qu'il s'agit bien de cette réalité, pour son invitation et sa maison.
Le repas se déroule sans que nous n'abordions le sujet une nouvelle fois.
Un moment sympathique et détendu où j'en viens même à oublier Marc.

Au dessert la musique est un appel à la danse.
Monsieur invite mon amie à danser.
Je le vois poser ses mains sur elle, nettement plus généreuse que moi.
Il caresse son dos et le haut de son séant opulent.
Olivier m'invite à son tour.
Bien qu'un danseur agréable je ne parviens pas à entrer dans la danse, ne cesse de jeter un regard vers le couple formé par Cécile et Monsieur.
Une pointe de jalousie me gagne, et comme par magie, il me lance un baiser alors que nous nous faisons face.
Il rit doucement avec mon amie et elle glousse à son tour quand il lui chuchote quelques mots à l'oreille.
Elle me regarde d'un air qui me parait étrange.
Puis nous changeons de partenaire.
Enfin ses bras autour de moi.
Je souris sans même m'en rendre compte, et je me blottis contre lui.
Sa main se pose sur mes fesses.
Il me caresse.
C'est tellement agréable que je me laisse faire avant de me souvenir qu'il y a d'autres personnes.
Je cherche à esquiver son geste mais il me maintient et Cécile et Olivier voient cet autre homme que Marc me peloter à deux mains.
Comme si... j'étais à lui... s'ils n'étaient pas là.
Ses doigts flânent sur mes cuisses et il remonte, à chaque mouvement un peu plus, le bas de ma jupe.
Mon couple d'amis s'est arrêté de danser et ils se sont installés dans le canapé.
Ils nous regardent.
Cécile sourit en me voyait ainsi caressée.
Olivier pose un regard très concentré sur mon arrière train qui se dévoile lentement, inexorablement.
Ils n'en perdent pas une miette.
Sa main se glisse sous la jupe.
Il agrippe ma culotte et la tire vers le haut.
Je gémis, étouffe mon soupir dans le creux de son épaule.
Il l'agite, le tissu me comprime le sexe.
Il tire de nouveau vers le haut et ma culotte s'étire et se rétrécit jusqu'à ne plus former qu'un filet de tissu qui coulisse entre mes globes fessiers.
Ses gestes de montées et de descentes opèrent un massage insidieux sur ma vulve.
Je me sens mouiller et mes seins se tendent rapidement.
Installés tranquillement sur le canapé mes amis voient ma déchéance
Mon amant remonte sa main et dévoile ma culotte... tirée... rentrée dans mes fesses.
Ils voient le bas de mes rondeurs.
Tellement impudique.
Il relache le tissu qui me recouvre.
Je souffle enfin.
Mais sa main remonte dans mon dos et dégraffe mon soutien gorge d'un geste habile.
Ho... pas ça...
Le "clac" sonore semble assourdissant.
Mon harnais ne tient plus que mes bretelles.
Il me fait tourner, danser, un mélange d'excitation et de honte me tourmente et m'emporte au rythme de la musique.
De ses doigts il fait tomber mes bretelle.
Mes seins presque libres ballottent à chaque mouvement, les pointes me brulent de désirs pervers.
Lorsque la dernière note retenti il me prend par la taille pour me faire m'asseoir à côté de lui, à côté de mon couple d'amis.
Je n'ai pas la force ni l'envie de lui résister.
Mes petits seins tendent le chemisier, mon tissu est déformé, trahissant mon excitation autant que ma gène.
Cécile me sourit.
" Béa, ça fait mongtemps ? "
Je sursaute, perdue dans mes pensées.
Elle se penche vers moi sur le ton de la confidence " Marc le sait ? "
Mon amant lui répond : " Oui, Marc est au courant ".
Son mari lâche un " Je m'en doutais ".
Cécile rougit un peu avant de poursuivre : " Et il accepte ? "
Les yeux bleus de mon adorable tourmenteur me percent et eveillent des sensations si fortes.
Je baisse les yeux, un volcan d'émotions me submerge.
La voix sourde, masculine, impérative et si sensuelle m'oblige à lui répondre.
Ma gorge est si serrée.
Mes seins me font mal, excités au possible.
Je laisse échapper un petit " Oui... il accepte. Il est bien obligé ".
Je me sens fondre, presque libéré d'avoir dévoilé ma condition.
" Montre lui tes alliances " m'impose t'il de nouveau comme une violation de nos désirs intimes.
La main tremblante je lui présente ma main gauche où brillent deux anneaux.
Elle les regarde, sa main prend la mienne.
Je suis rouge de honte.
" Dis lui ce qui est écrit dessus ".
Ma gorge est serrée.
Aucun son n'arrive à sortir.
Elle épelle en faisant touner l'anneau.
" Sou... mi...se ".
Mon couple d'amis sourit à l'unisson.
Les larmes me montent aux yeux.
Il remonte sa main et le bas de ma robe, dévoilant le haut de mes cuisses.
Il dépose un baiser sur ma joue.
Il sait qu'ainsi je ressens un plaisir qui s'accroit avec ma honte.
" Oui, ma soumise ".
Olivier lui demande si c'est vraiment le cas, comme incrédule.
Moi, si sage, comment auraient-ils pu l'imaginer.
" Marc lui a même donné l'alliance, il est totalement... soumis lui aussi. Il sait que Béatrice est à moi ".
Ses mots me réchauffent.
Oui, je suis à lui, impudique mais... à lui.
" Son corps... ses yeux... ses rêves... ses fantasmes... son cul. Tout est à moi ".
J'ose à peine les regarder du coin de l'œil.
Ils me jugent et doivent me trouver tellement dépravée.
Une nouvelle bouffée de chaleur monte dans mon ventre, plus intense, horriblement douce.
Je sens sa main qui me force à écarter mes jambes.
Je pose mon dos sur le dossier du canapé.
Olivier a le regard fixé sur mes cuisses.
J'ouvre un peu plus sous la main qui se presse et ma robe remonte, il va bientôt voir ma dentelle, déplacée...
Il pose sa main sur son pantalon.
Je me sens folle de le regarder et d'être aussi ... exhibée.
Mon... maitre... pose ses deux mains sur mes jambes et il m'ouvre... il m'offre à leurs regards.
Il caresse l'interieur de mes jambes.
Il pose son index sur le tissu de ma culotte, il le fait remonter.
Je voudrais disparaitre... pas devant eux... c'est... si...
Je gémis sous ses caresses.
La dentelle si légère lorsqu'il fait monter et descendre son doigt.
Ma culotte souillée de mes premières humidité.
Il me masturbe devant mes amis.
Je manque de défaillir.
Le tissu étiré, enfoncé dans ma vulve, offre mes lèvres humides à leurs commentaires murmurés.
Ils ne regardent que moi, pourtant ils se sont rapprochés, Cécile caresse Olivier à son tour.
Cette situation si inconvenante m'échauffe les sens.
Mon soutien gorge comme une relique.
Mes petits s'exposent à leurs yeux.
" Depuis le temps que j'avais envie de les voir " lance Olivier à ma grande surprise.
"Tu veux les toucher ?"
Il a sorti son sexe, Cécile le masse en même temps que lui.
Il tend ses doigts sur mon sein gauche et effleure ma pointe.
Je pousse un cri lorsqu'il pince mon extrémité de téton et qu'il le tire vers lui.
Obligée de m'approcher, de me pencher vers lui, vers eux pour ne pas avoir trop mal...
Une main de femme vient palper mon autre sein.
"Faites vous plaisir" leur dit mon... amant.
Derrière moi, je le sens, maitre de ces ébats.
Il me positionne à 4 pattes.
Si impudique.
Je ne lui refuse rien.
Il caresse mon dos, ma croupe et remonte ma robe qui ne forme plus qu'un bouchon autour de mes hanches.
Je dégouline, mon sexe est un lac.
Cécile tient la verge de son mari droite pendant que lui vient de poser sa main dans mes cheveux.
Mon maitre appuie alors sur mon crane et mes lèvres sentent la chaleur de ce sexe inconnu
Je sens simultanément sa verge se poser sur ma cuisse et ma culotte se baisser d'un coup.
Je suis trempée.
Je ruiselle.
Je voudrais pouvoir crier "non, pas devant eux".
Mais ma bouche est prise par un sexe alors qu'un coup de reins m'enfonce la verge large de monsieur dans le vagin.
Cécile m'encourage "Vas y Béa... tu es belle".
Olivier gémit sous les pressions de ma bouche, il est aux anges, il n'en espérait pas tant.
J'ai du mal à croire qu'il y a moins de 10 minutes nous étions tous si sages et là... je suis le dessert... je suis la gâterie qu'ils consomment tous.
Mes lèvres glissent le long du manche inconnu jusqu'à rencontrer les doigts de mon amie.
La main de mon amant m'appuie encore plus.
"Pompe le. Comme tu sais si bien faire, ma salope".
Ses mots si crus me rendent folle.
Mes yeux ouverts sur la forêt de poils bruns d'Olivier, mon nez qui aspire l'air que je ne peux plus prendre à pleine bouche.
Je suffoque.
Et j'apprécie.
Je pompe goulument le sexe d'Olivier, devant sa femme, devant mon Maitre.
Derrière moi ce dernier me caresse le dos et flatte les flancs de mes seins.
J'ai envie... de lui...
Il m'enfile alors comme s'il avait entendu mes pensées.
Son gros sexe me fait grimacer et pousser un cri qui s'étouffe dans la succion que je pratique à l'autre homme.
Il recule et j'aspire.
Il me prend plus loin, plus profondément, plus large à sa base, sa verge me déflore le vagin.
Je suis poussé sur la verge et ma gorge sent la gland pointu du mari de mon amie.
Je le gobe et le tête alors que mon entrejambe se fait posséder à grand coups de dards.
Mes seins bougent au rythme de l'enfilade.
Il frotte mes pointent, accroissant encore mon plaisir.
Olivier prend alors ma bouche et va loin, comme pour me punir.
Il se déchaine entre mes lèvres.
Cécile me palpe les seins.
Si fragile entre ces 3 pervers...
Si heureuse d'être ainsi utulisée...
Mon maitre me prend les hanches et me laboure.
Le mari de mon amie me baise la bouche.
Et elle... me traie les seins de façon ferme.
Je voudrais hurler de plaisir mais mes couinements se perdent dans la fellation que je pratique avec joie.
C'est alors qu'il me tire par les cheveux pour me désemboucher.
Un long filet de bave entre ma bouche et le sexe dressé d'Olivier, couvert de ma salive.
Il ne me veut qu'à lui
Il me fait monter sur le canapé, les mains sur le dossier, agenouillée sur l'assise.
"Vous en avez bien profité. Mais là... je la veux pour moi seule".
Offerte à ses désirs lorsqu'il me demande de tendre mon cul, je lui obéis, comme en chaleur...
" Regardez come elle est bien docile "
Ses mains prennent mes seins à pleine paume.
Il m'enfile alors d'un trait.
Je ne fais que gémir.
Une séance de baise si forte, si intense que je dégouline.
Ses mains sur mes épaules, il m'attire à lui à chaque fois qu'il me perce de son gros manche.
Il m'epronne.
Sans ménagement... il m'empale.
Je coule autour de sa gosse queue.
Tremblante, essouflée, ruisselante, je subis avec plaisir les grands coups de butoir qu'il me donne.
Je ne suis qu'une succession de cris et de gémissements rauques.
Mon vagin est envahit.
Mes lèvres sont écartelées.
Ma vulve cognée par cet homme à qui je me donne en rejetant mon visage en arrière dans un feulement orgasmique.
Sans honte je jouis devant le couple d'amis.
Je reste dans la même position pour reprendre mes esprit et mes forces.
Le sang cogne à mes tempes et m'assourdit.
Je sens les mains d'Olivier se poser sur mes hanches.
Puis c'est son sexe qui me pénètre.
Je voudrais refuser mais le désir me gagne instantanément.
Il va et vient en moi, prolongeant le plaisir que je viens de prendre.
J'ondule, sous les va et vient de cette verge heureusement moins large mais qui me prend en levrette avec énergie.
Un nouvel orgasme n'est pas long à venir.
Je pousse un feulement qui trahit mon plaisir.
Et Olivier éjacule sur mon dos.
Son liquide chaud s'étale et me coule sur les fesses.
Il me salit... sous le regard de sa femme qui pompe mon Maitre telle une affamée.
Tous les 3 m'observent.
Je la vois avaler le jus épais de mon amant qui vient venir dans sa bouche.
J'aurais tant aimé qu'il me donne son foutre...
Il me tourmente encore plus en lui faisant cette offrande, chose que je n'ai jamais accepté de Marc.
Ho... Marc... si loin en ce moment...
Comment allons-nous faire la prochaine fois que nous allons tous être réunis ?
Olivier remonte son pantalon et me caresse la joue.
" Merci Béatrice " me murmure t-il.
Je baisse le visage pour ne pas affronter leurs yeux.
Cécile replace ses gros seins dans son chemisier.
Elle m'embrasse sur le front.
" A bientôt... ma belle".
Mon Maitre les raccompagne.
Je n'ai pas bougé lorsqu'il revient.
Il frotte mon dos, étale le jus de l'autre homme sur ma croupe... que je tends... vers lui... écartant mes cuisses.
Je sais qu'il aime lorsque je suis à lui comme cela.
Offerte... comme une chienne.
Sa chienne.
Du coin de l'œil je vois son sabre de nouveau dressé.
Il effleure ma rosette...
Hooo...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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