[...]  

La cabine d'ascenseur qui nous monte jusque chez son amie est propice à un baiser lent et doux qui me ravit.chapeau1.jpg
Ses lèvres contre les miennes sont si délicates et fraiches....
Sa poitrine généreuse, contre mon torse, dont je perçois les battements et qui me donne chaud...
Ses mains, sur ma nuque, sur mes fesses, qui me palpent à m'en faire devenir encore plus dur...
Et ses hanches que je caresse... ondulantes... me rendent fou.
Sylvie, ma "muse", me sourit alors que le couloir apparait.
Elle réajuste sa jupe moulante sur ses bas coutures.

Son amie nous ouvre, une petite brune aux yeux marrons, qui lui sourit immédiatement alors qu'elle la voit.
Elles se font la bise.
Elle me regarde, nous fait entrer et me salue de la même façon, visiblement heureuse de recevoir la visite de son amie.
"Sylvie je suis très contente de te voir" dit-elle en nous entrainant vers son salon.
Vêtue d'un jean, d'un chemisier ample, elle marche pieds nus devant nous.
Un odeur de café charme nos papilles.
"Je t'avais dit que je viendrais te rendre visite Martine, me voilà".
Nous sommes côte à côte dans le canapé.
Ma muse croise ses jambes, j'y jette un œil, incapable de m'en empêcher.
"Est-ce... le jeune homme dont tu m'as parlé ?" questionne la petite brune, ses joues rosissent un peu.
Je me fige soudain, la tasse à la main.
"Oui... c'est lui" rétorque mon amante en me lançant une œillade.
"Il est très... mignon. Je te comprends. Craquant".
Je ne sais plus où me mettre.
"Nous sortons à peine du restaurant... où il m'a fait du bien..." minaude ma complice.
Son amie rougit.
Je vois sa respiration s'accentuer et ses petits seins se dresser sous le tissu.
"Je n'en doute pas, si j'en crois ce que tu m'a raconté de lui".
Les deux femmes se jouent de moi et une étincelle de désir s'allume.
"Que lui avez-vous raconté ?", ma voix s'éraille un peu.
Mon amante pose se main sur mon entrejambe.
"Tu peux me croire" fait-elle en accompagnant ce geste osé d'une parole sans ambiguïté en direction de la femme que je découvre pour la première fois.
J'ai du mal à retenir la tension qui m'habite et mon pantalon ne masque bientôt plus mon érection.
La petite brune roule de grands yeux en nous regardant.
Sylvie me masse le sexe et je me retrouve bien vite les cuisses écartées à subir cette caresse déplacée devant une inconnue.
"Tu veux la voir ?" lui demande Sylvie sur le ton de la conversation.
Son amie sourit largement.
"C'est vrai ? Je peux ?"
Ma muse se penche vers moi.
Elle déboutonne un premier rempart de ma braguette.
Je me tortille, un peu mal à l'aise d'être utilisé par celle qui me fait fantasmer.
"S'il te plait..." me murmure t-elle à l'oreille en me mordillant le lobe.
Un second bouton se détache.
"Je ne peux rien vous refuser" lui glisse-je en relevant ma tête vers l'arrière, tendu comme rarement.
"Alors... enlève ton pantalon".
Sa langue vient me donner chaud en caressant mon oreille.
Je baisse mon pantalon devant les yeux de ces 2 femmes.
Simplement en boxer sur le canapé, ma chemise relevée par mon amante.
Je m'offre devant elles deux.
J'ai chaud, une sensation étrange d'être désiré et de les rendre, elles aussi, moites d'envies.
"Hooo... il en fait des tâches !" glousse la brune en me voyant.
J'ai honte car il est vrai que le tissu de mon dessous est maculé de gouttes de sperme, témoins de mon excitation.
"Oui, c'est un coquin tu sais... plein de sève... et de plaisirs en ébullition".
La femme caresse ma tige masquée par le tissu sombre.
Je réagis immédiatement en me cambrant.
Leur discours est si déplacé...
Au centre de leurs attentions, et de celle de la femme que je vénère, je me sens étrangement bien.
Elle prend mon boxer et me libère.
Mon sexe se dresse devant elles deux.
"Ho ! Bel engin. Il est... long... ".
La brune commente sans même nous regarder, l'attention entièrement fixée sur mon vit qui se balance et vient se poser au dessus de mon nombril.
"Oui. Et fine... elle rentre comme un charme bien profondément".
"Elle doit aller trop loin..."
"Non. Il faut l'apprivoiser, mais c'est si bon".
Elles parlent de moi comme d'un vulgaire jouet.
"Elle doit... aller jusqu'à buter..." roucoule la petite brune en caressant ma cuisse.
"Hum oui... quand elle vient cogner ça me rend folle".
Et un sentiment subtil d'humiliation et de plaisir vient me donner encore plus de fièvre, me faire palpiter la verge.
"Regarde... vas y je t'en prie... si tu la veux... . Hein bébé, tu lui prête ta queue ? Tu veux bien ?"
Je balbutie un "oui, oui".
Et la main qui me flattait se referme et me masturbe doucement.
Un soupir de plaisir m'échappe, incontrôlé.
Elle se penche et bientôt je ne vois que sa chevelure...
La délicate sensation, incomparable, d'une bouche qui vient m'avaler le gland.
Je gémis.
Un œil vers Sylvie qui à l'air de se régaler.
"J'aime être excitée, et exciter... et là... te voir te faire sucer... ça me rend dingue." Me dit elle en m'embrasant et en posant ma main entre ses jambes.
"Tu sens comme je suis mouillée ?
Je caresse son sexe à l'air libre, gluant...
"Et ce n'est pas seulement du foutre que tu m'as giclé dedans mon bébé... c'est aussi de te voir gémir avec mon amie".
Elle me sourit doucement, si belle.
Nos murmures, nos baisers alors qu'une autre femme me pratique une fellation, me rendent ivre de désir.
Je rentre deux doigts dans son antre.
Je touille en elle, si sexy, si désirable, si trempée.
Mon gland est aspiré, tété et pompé délicatement, puis la bouche de son amie coulisse le long de mon pal et ses mouvements sont plus rapides pour me déguster la verge.
Je pose ma main dans les cheveux de cette gourmande, j'accompagne sa succion.
"Ho coquin... force la jusqu'au fond de sa gorge."
Elle a posé sa  joue dans le creux de mon épaule et elle observe son amie arc-boutée sur mon sexe.
Je pousse sur l'arrière du crâne et un grognement accueille ma pression.
Elle résiste puis cède, elle a un haut le cœur lorsque mon bout dur vient se loger dans sa gorge.
Je la maintiens et la laisse se redresser.
Elle salive, souriante.
"Sa bite est longue !" fait-elle en essuyant sa bouche.
Sylvie a une jambe relevée, je la masturbe, sa jupe remontée haut sur ses cuisses.
"Oui... bien longue. C'est bon n'Est-ce pas ?"
"Humm ouii..."
Elle replonge sur mon entrejambe et m'avale de nouveau, allant et venant au rythme de ma main.
Nous observons, tels deux complices, cette femme qui me suce avec envie.
"Tu devrais la baiser mon bébé"
Son amie semble apprécier l'idée car elle grogne et redresse son visage, souriante, les lèvres rosies de la pipe qu'elle vient de me faire.
Elle dégrafe son pantalon et se place à 4 pattes sur le canapé.
"Dans cette position... j'aime".
Ma muse me caresse la nuque.
"Hoo... en levrette. C'est vrai que tu aimes ça Martine, je m'en souviens, tu me l'avais dit".
Elle se dandine devant nous.
"Oui. Ca fait longtemps que je n'ai pas reçu une longue bite comme ça. Je vais me régaler".
C'est ma Muse qui m'aide à me mettre en position.
Sa main délicate autour de mon sexe, elle me positionne contre l'abricot humide de cette autre femme.
La brune pousse son corps contre moi et mon glaive entre dans son fourreau sans rencontrer aucune  résistance, sous l'encouragement sensuel d'un gémissement féminin.
"Tu es si beau quand tu es comme ça bébé... vas-y... prends-la".
Ma muse m'encourage...
Je m'agite, je possède la brune sous le regard complice de la blonde.
"Oui. Laboure-là".
La femme gémit, elle ondule sous mes coups de reins qui se font plus forts comme Sylvie m'y invite.
Ses petits cris entrecoupés de soupirs sont accompagnés par le rythme régulier des claques que font mes cuisses qui butent contre ses fesses.
Son vagin se contracte.
J'accélère.
Plus loin... plus profond.
Elle crie quand je touche le fond de sa matrice.
"Aie ! Non !"
"Si... continue..."
Entre les deux suppliques, je suis celle de mon amante.
Ma tige vient cogner encore et encore, dans le sexe ruisselant de son amie qui se cabre telle une jument en poussant un cri de plaisir.
La petite femme emmanchée par ma longue tige qui semble disparaitre au fond de son ventre, se tortille.
Elle feule et me parait si frêle que je ralentis.
Son sirop inonde sa grotte, son vagin me comprime par saccade.
Je la lime en lenteur, accompagnant son orgasme qui s'achève dans une sonnerie de porte.
A peine ai-je le temps de m'extraire de son con trempé qu'elle se rhabille apeurée.
"Ho non... c'est Jean... il rentre plus vite que prévu !"
Elle replace ses cheveux trop vite, lisse son chemisier par dessus son pantalon remis en hâte.
"Son mari" me commente ma belle complice en se levant.
Je m'habille vivement.
"Je t'ouvre chéri" lui dit-elle par l'interphone.
Sylvie lui rend sa culotte.
"Tu as oublié ça".
Elle rougit et lui fait la bise.
"Filez vite..."
Elle dépose ses lèvres sur mes joues.
"Tu m'as fait du bien toi... " me gratifie t-elle avant de refermer derrière nous.

Nous prenons l'escalier, son mari monte par l'ascenseur.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[...]

Lorsque j'ouvre la porte de mon studio, découvrant ma Muse, mon cœur s'emballe.PJ2
De plus de 15 ans mon ainée, cette blonde merveilleuse est devenue mon amante après avoir hanté mes fantasmes d'adolescent lorsqu'elle venait rendre visite à mes parents.
Juchée sur ses talons, elle fait ma taille.
Ses bas noirs galbent ses jambes et se perdent sous la jupe grise, étroite, qui met en valeur son séant séduisant.
Un pull blanc moule sa poitrine généreuse.
J'avale difficilement ma salive.
Je lui souris.
Ses yeux étincellent.
Elle me rend mon sourire.
"Bonjour mon bébé. Je suis venu faire des courses en ville. Tu m'accompagnes ?"
Sa voix est un torrent de douceur, une cascade sensuelle qui me donne instantanément chaud.
"Avec plaisir", dis-je en passant ma veste sur ma tenue décontractée tout heureux de pouvoir avoir un moment à ses côtés.
A peine dans l'ascenseur nos mains se frôlent, se saisissent, nos corps se rapprochent.
Je dépose un baiser sur sa bouche, pris d'une hardiesse peu commune.
Elle répond à mon envie en ouvrant ses lèvres délicates.
Nos langue se mêlent, s'enroulent.
Je sens ma verge gonfler...
Le tintement de l'arrêt nous ramène à la réalité.
"Tu m'as manqué" me sourit-elle.
"Oui... tellement" lui murmure-je.
Elle passe son index sur ma bouche.
"Tu embrasses divinement mon bébé".
Le balancement de ses hanches est un appel à l'envie.

Je prends place à ses côtés dans l'habitacle étroit de sa petite voiture.
Mon regard s'attarde sur ses cuisses dont la jupe dévoile la pleine beauté.
Sa poitrine fièrement dressée captive mon attention.
Elle me sourit et les minutes s'écoulent d'une si agréable façon que je ne vois pas le temps passer.
Nous prenons un café, puis faisons les magasins.
Elle place devant elle des tenues toutes plus ridicules les unes que les autres et nous rions de bon cœur.
Puis nous entrons dans une parfumerie.
Elle dépose quelques gouttes de parfum dans son cou.
"Il te plait celui-là ?" me demande t-elle en inclinant son visage pour m'offrir sa peau.
Je la hume... délicieuse.
Penché sur elle je suis à quelques millimètres de son corps.
"Il est parfait, envoutant".
Mêlé à son odeur de femme je sens l'effet immédiat de sa fragrance sur ma virilité.
Au comptoir la serveuse encaisse..
"C'est gentil à votre fils de vous accompagner" croit-elle bon d'ajouter.
Ma Muse la regarde, bat des cils, sourit de ce sourire ravageur qui me fait rougir et, en se penchant un peu sous l'air de la confidence, lui lance doucement :
"Ce n'est pas mon fils."
La femme me regarde, s'empourpre et baisse le regard.
Nous sortons du magasin sous l'œil envieux de cette femme qui n'en revient pas.
"Je suis sure qu'elle aurait aimé te croquer cette coquine" me dit-elle.
Nos rires s'unissent.
"Elle n'est pas assez bien pour vous éclipser".
"Hoo... mais tu sais que je pourrais être plus exigeante avec toi..." laisse t-elle planer.
Je n'ai pas le temps de la questionner plus qu'elle m'entraine dans un magasin de lingerie.
Elle me montre un pyjama rose en pilou.
A mon regard et mes sourcils froncés elle le repose.
Je lui montre alors des chaussons à oreilles de lapins.
Elle pouffe d'amusement.
Lorsqu'elle me présente un bustier de dentelles, notre réaction est radicalement différente.
Sans un mot elle le place sur son bras.
Elle s'empare de plusieurs ensembles de dessous, toutes aussi affriolantes les unes que les autres puis se dirige vers les cabines d'essayage.
Je laisse flâner mon regard sur la jeune femme aux cheveux roux qui veille et conseille les femmes qui viennent essayer leurs tenues.
Bien qu'agréable et ave un beau sourire, elle ne parvient pas à éclipser le simple souvenir de mon amante.
Lorsque je me retourne vers la cabine, son visage ovale, doux, dans lequel brille ses yeux, encadré de sa chevelure dorée est passée entre une cloison et un rideau sombre.
Elle me sourit.
Je rougis d'avoir été surpris en train de regarder une autre femme.
"Tu me donnes ton avis ?"
J'approche sans me le faire demander une seconde fois.
Elle écarte le rideau, recule d'un pas pour que je puisse mieux la contempler.
Divine !
Son clin d'œil me rappelle à l'ordre.
Généreusement engoncée dans son soutien gorge de dentelles transparente, sa poitrine laisse apparaitre ses auréoles brunes et des tétons longs qui déforment le tissu.
"Il te plait ?"
"Beaucoup"
Elle se tourne et le retire, faussement pudique.
Son dos est un plaisir pour les yeux.
Sa chute de reins que la robe moulante rend splendide me rend instantanément fou d'envie.
Elle passe un second harnachement, très décolleté où sa peau pâle est mise en valeur par le contraste avec les arabesques noires.
"Je vais être obligée de prendre les deux" me dit-elle "Si j'en crois ta mine".
Le rideau se tire sur mon fantasme féminin.
Une érection difficile à cacher me prend.
J'ai beau placer mes mains devant mon entrejambe je surprends le regard de la rouquine sur moi.
La jeune vendeuse me regarde sévèrement.
Lorsque nous sortons du magasin mon sexe me fait mal tant il est gonflé dans mon boxer.
"Elle te plaisait elle aussi ?"
Ben que je m'attendais à cette remarque, je la redoutais.
"Je... non !"
Elle pince sa lèvre inférieure.
Même fâchée elle est sexy.
"Elle n'est pourtant pas vilaine".
"Trop jeune pour moi"
"Tu dis cela pour me flatter mon coquin."
Nous déambulons jusqu'à entrer dans un restaurant.
Notre conversation se poursuit, seulement troublée par la prise de commande du serveur sur lequel elle jette un œil gourmand qui me laisse froid.
"Un jour tu me laisseras pour une autre mon bébé".
Du dos de sa main elle me caresse la joue.
"Je ne veux pas vous perdre madame".
Ma main trouve la sienne, elles s'étreignent.
Sa bouche dépose un baiser sur la mienne.
"Appelle-moi Sylvie, s'il te plait... ce "madame" m'excite surtout lorsque tu me prends comme tu sais si bien le faire".
Ma gorge se noue.
Lorsque je relève les yeux sur elle, son sourire me réchauffe.
"Vous êtes irremplaçable".
Mon pied trouve sa cheville.
Au milieu des autres convives nous nous effleurons tout au long de notre collation.
"Tu n'as même pas eu de partenaire depuis ma dernière venue ?"
Je m'empourpre.
"Je ne t'en veux pas... tu sais... tu as le droit, je trouve même cela... excitant".
Sa voix me transporte.
"Elle n'était pas à votre hauteur" murmure-je un peu honteux.
"Pas aussi cochonne que moi ?"
"Non... "
Elle sait lire en moi.
"Je te fais devenir difficile. C'est mieux, je n'aimerais pas que tu t'entiches d'une prude indécrottable".
Nos sourires, nos yeux qui se plissent...
La complicité est au cœur de notre repas.
Le dessert se poursuit sur des badineries plus sensuelles par un jeu de bouches sur nos cuillères.
Elle se penche soudain vers moi en reposant son couvert qu'elle a léché de façon érotique.
"J'ai envie de toi. Maintenant".
Ses yeux s'ouvrent, roulent, sa bouche se fait mutine.
"Je vais payer... rejoins moi aux toilettes".
Ses fesses se balancent et elle se retourne pour me faire un clin d'œil aguicheur.
Ramassant ma veste je me dirige vers les WC.
Une femme se lave les mains.
Je vais pour me diriger vers la porte des hommes et me ressaisie.
J'hésite.
J'attends.
La femme me regarde d'un air surpris.
Je me lave les mains à côté d'elle.
Son regard se baisse sur mon pantalon et je vois qu'elle vient de découvrir mon érection.
Elle se hâte de sécher ses mains, gênée, autant que moi surement, et se trouve nez à nez avec ma complice, toutes deux se croisant dans la porte.
Je pousse la porte à l'étiquette féminine.
Elle m'y suit et referme derrière elle le petit loquet d'argent.
Je la plaque alors au mur.
Ma main vient se glisser sous sa jupe serrée, entre ses cuisses.
"Haa oui... écarte-moi".
Je palpe son entre jambe.
Sa culotte est souillée.
Je la masse, découvrant à chaque fois avec délice ses lèvres qui se dessinent sous la dentelle.
"J'ai envie de vous madame".
"Moi aussi mon bébé... je mouille depuis que je sais que je viens te voir..."
"Vous êtes en chaleur."
Je pose ma main libre sur son pull moulant, je pétris le sein ample.
Elle flatte ma verge.
"Oui... hum... ta petite chienne est en chaleur mon bébé".
Je crochète son dessous et le tire à mi cuisses, retenu par ses bas résilles et le porte jarretelle que je découvre sous mes doigts.
Elle roule des hanches, mes doigts fouillent son sexe ouvert.
Ma verge sort de mon pantalon, de mon boxer qu'elle a dégrafé avec une expertise digne d'une illusionniste.
Je flatte son clitoris.
Sa perle gorgée de sang est déjà libre.
Elle grogne lorsque je tire doucement sur son bonbon intime, puis lâche un gémissement plus sourd, à moitié retenu par le plaisir trop rapide qui monte en elle.
Sa main ma masturbe lentement, elle me décalotte le gland et se frotte avec mon bout pourpre.
J'entrouvre ses grandes nymphes.
Elle positionne mon vit tendu sur son abricot dont le jus me coule sur les doigts.
D'un mouvement du bassin je la perce.
Elle soupire.
"Ho... madame... oui... vous êtes si... han !"
Je l'enfile plus profondément.
Mon sexe long s'enfonce en elle et je geins à mon tour, de plaisir.
"Je suis si... bonne ?" me murmure t-elle en se déhanchant pour s'empaler plus loin encore.
"Oui... si bonne à baiser".
Son visage se rejette vers l'arrière.
"Haaaa mon coquin... tu es long... tu me tapes au fond du vagin... aie... hummm..."
Ses grimaces, lorsque je cogne tout au fond de son intimité, se métamorphosent immédiatement en souffles extatiques et ses ongles me griffent le dos.
Ses mains sous ma chemise, elle s'agrippe à moi.
J'ai relevé ses cuisses, je la maintiens par les genoux, seulement tenue par ma verge sur laquelle elle ne peut que s'empaler jusqu'au fond de sa matrice.
"Sylvie... j'aime vous prendre".
Je sais qu'elle aime lorsque je suis dans cette retenue très osée.
Elle me laisse la posséder, sa vulve se contracte et me masse le sexe.
J'accélère.
"Haaa oui ! Encore ! Vas-y ! Baise-moi !! Haaaaa !!"
Mes assauts la font taper contre le mur.
Je fais aller et venir ma verge en elle, son jus tiède que je sens sur mes bourses me rend fou de désir.
Son cou, sa bouche, ses soupirs...
Son corps qui ondule, presque en transe sous mes coups de sexe.
Je gravis avec elle, les barreaux de l'échelle du plaisir.
Nous ne sommes plus que grognements et gémissements.
Gênée par sa culotte qui se distend sous l'écartement de ses jambes, par sa jupe droite qui remonte sur ses hanches, ses sensations en son accrues.
Nos bouches se trouvent, nos langues se lient.
Son orgasme arrive.
Elle se cabre telle une furie.
Je la rejoins quelques secondes plus tard.
Nos jouissances sont simultanées, violentes, rapides.
J'éjacule à grands jets dans son con détrempé de cyprine odorante.
Notre baiser s'éternise alors que nos corps ralentissent d'eux-même.
Je pends doucement, à peine amollis.
La plaisir vient de nous terrassé.
Nos regards plongés l'un dans l'autre.
Jamais femme n'a été plus belle qu'elle.
Cet endroit est le palais le plus somptueux, loin de moi l'exiguïté des lieux...
Un tapement à la porte nous rappelle à la réalité.
Elle remonte son string.
Je reboutonne mon pantalon, fourrant ma verge dans mon boxer.
Nous sortons des WC pour femme.
Celle qui vient de nous en déloger est furibonde.
Son visage est rouge.
Ma muse lui sourit et réajuste son soutien gorge puis sa jupe.
"Vous pouvez y aller madame... ces toilettes sont parfaites" lui dit-elle, ironique.
Je la suis, amusé par la malice qu'elle met dans ses paroles.
La traversée du restaurant se fait sous les observations stupéfaites des clients qui étaient proches des toilettes.
"Vous avez du crier Sylvie" lui dis je alors nos mains se captent et que nos doigts se croisent.
"Toi aussi. Tu ne t'en es pas aperçu ?"
Dans la rue l'air frais nous fait frémir.
"Moi ?"
"Oui... tu m'as lancé 2 mots... très crus... qui m'ont fait venir encore plus vite... hum mon délicieux coquin".
Mon souvenir en a été perturbé par mon plaisir et je n'en ai même pas eu conscience.
"Cela vous a plu ?" hésite-je.
"J'adore être ta "petite catin"..."ta salope", si tu veux vraiment le savoir". sourit-elle.
Je lui rends.
"Je suis trempée. Ton foutre me dégouline au fond du string et me coule sur les cuisses mon bébé." poursuit-elle en serrant ma main.
"Vous voulez rentrer ?"
"J'ai une autre idée. Nous sommes très proche de chez une amie."
"Mais, vous..."
"Tu m'avais dit que tu ferais "tout" pour moi. Tu vas voir que je suis une vraie... salope".
Dans mon boxer mon sexe se durcit de nouveau.
Le ronronnement de sa voiture, la fragrance de son entrejambe et ses paroles sibyllines me laissent dans l'expectative.
"Tu es d'accord pour me suivre ?"
Elle me lance ce sourire désarmant qui me fait bander instantanément.
"J'irais au bout du monde avec vous ma Muse".
La petite auto se lance.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]

Cela fait un an que le patron de Marc est devenu mon amant.
Un an que mon mari n'est plus le seul à... me posséder.douce.jpg
Mon époux a pris l'habitude de dormir à côté du lit, sur le matelas, au ras du sol, libérant ainsi la place pour celui qui me fait gémir et crier lorsqu'il me prend comme il le souhaite.
Notre vie, nos habitudes ont changées.
J'ai changé.
Ho, j'ai toujours honte, je rougis toujours lorsqu'il me fait faire des choses si... osées.
Mais je suis libérée, à l'écoute de mes plaisirs, à l'écoute des siens.

Nos amis aussi ont été choqués.
Certains sont partis et ne sont jamais revenus.
D'autres se sont révélés.
Comme cette soirée où mon amant, mon... maitre, le patron de Marc,  était là alors que Véronique et Pierre étaient venus nous rendre visite.

J'étais dans la cuisine à préparer le dessert.
Il m'a rejoint.
Nos amis étaient déjà surpris de le voir ici, faire ce qu'il voulait, comme s'il était chez lui.
Mais ils n'osaient rien dire, souriant juste aux allusions un peu sensuelles qu'il faisait.
J'étais mal à l'aise, je me demandais ce que nos amis allaient penser de cette situation.
Ses mains sur mes hanches me firent frissonner.
La porte était ouverte et je craignais qu'ils ne le voient me caresser de cette façon déplacée.
Il remonta ses mains sous mes seins pour me palper.
Je me mordis la lèvre pour ne pas gémir.
Il savait qu'il me faisait de l'effet.
Dans le creux de mes cuisses, bien malgré moi, mon abricot devint un fruit juteux alors que ses mains palpaient mes globes et faisaient rouler mes tétons qui se tendaient.
Il me caressa la croupe d'une main agile.
Mes fesses se tendirent plus que de raison.
Je jetais un œil inquiet par l'ouverture.
"Non... il ne faut pas, ils pourraient nous voir".
Je n'arrivais plus à couper le gâteau, mes mains devenaient moites et je sentais ma poitrine devenir dure, douloureuse.
Il flattait ma nuque, passant ses doigts sous mes cheveux, sur de lui.
Ses doigts passaient dans mon dos sur le chemisier de coton pâle.
Je me cambrais de la croupe en une invitation honteuse.
Une pression me fit sursauter.
Mon agrafe de soutien-gorge venait de se défaire sous ses doigts.
"Donne moi ton soutif" me murmura t-il.
D'une main fébrile, hésitante, je glissais sous le tissu de mon chemisier pour lui tendre ce qui retenait mes seins.
Il le lança sur la table voisine et remonta ma jupe.
Je poussais une petit cri de stupeur.
"Ho... non... pas ça."
Il crocheta avec lenteur ma culotte jusqu'à la faire glisser au sol.
Je n'osais rien dire.
Mon bas ventre était humide, je le sentais.
Le tissu retomba et recouvrit mes fesses nues qu'il avait observé pendant quelques instants sans que je ne fasse un seul geste pour l'en empêcher.
J'étais à lui, il le savait, il en jouait.
"Tu nous apportes le dessert ?" fit-il en s'éloignant et en rentrant dans la salle de séjour où nos amis discutaient avec mon époux.
Je pris le plat dans mes mains, tentant de cacher mes seins qui tendaient le tissu...
C'était une tentative bien vaine qui ne faisait que rajouter à la curiosité du couple d'amis.
Il me semblait que chaque regard se rendait compte de ma nudité sous ma jupe.
Je m'assis enfin et je servais.
Véronique, la femme qui était là avec son mari, Pierre, me scrutait de façon étrange.
Elle savait que je ne portais rien sous mon chemisier, son regard de femme avait décelé mon absence de soutien gorge dès mon premier pas dans la pièce.
Son mari lui avait sourit et j'avais vu son regard se poser sur ma poitrine lorsque, penchée en avant, je lui avais servi sa part de tarte.
Mon chemisier un peu trop lâche pour masquer la vallée de ma poitrine, libre sous le coton.
Marc ne disait rien, il avait même baissé le regard.
Je sentis le pied de Monsieur venir se poser entre mes cuisses.
Sous la table il appuyait ses doigts sur mon entrejambe.
Je hoquetais de surprise.
Sa force m'obligea à écarter mes jambes.
Je ne pouvais pas prendre le risque d'être surprise ainsi, alors j'ouvrais mes cuisses...
Je le laissais appuyer sur mon sexe, me caresser de son pied, fermement.
Je dus lutter pour ne pas gigoter.
Il me... masturbait sous la table, mes joues devinrent rouges.
Ma gorge était sèche.
Mes pointes de seins étaient tendues à en déformer le tissu.
J'étais incapable de répondre à un question, l'esprit totalement en fusion.
Il se leva, je pus reprendre un peu contenance.
Il vint à côté de moi.
"Je propose que nous levions nos verres à ma charmante Béatrice qui nous réjouit".
Ho non ! Il venait de dire "ma Béatrice"...
Véronique plissa les yeux et me sourit en dégustant son verre sans me lâcher un seul instant du regard.
Son mari ajouta un "ha oui, c'est vrai : charmante !".
A chaque fois qu'il venait se poser sur moi son regard me déshabillait, là il semblait ravi de la tournure que prenait les évènements.
Mon amant se tenait à quelques centimètres de mon épaule.
Sa main vint s'y poser.
Il caressait mon cou, faisant s'écarter la manche de mon chemisier.
Je frissonnais de nouveau.
Quel sort m'avait-il jeté pour que son contact, son esprit, me chavire autant ?
Ses deux mains étaient maintenant sur mes épaules.
Il me massait devant nos amis et devant Marc qui ne disait rien, sa cuillère à la main.
"C'est indéniable, Béatrice est délicieuse..."
Il continuait de me flatter.
Ses mains aussi...
Le long des flancs de mes seins.
Ma respiration s'accéléra.
Je baissais le regard.
C'était si déplacé, si osé, génant... et pourtant mon cœur s'accélérait, mon vagin se contractait... j'étais excitée.
Ses paumes s'emparèrent de ma poitrine libre sous le tissu trop léger.
Le couple en face de nous se délectait du spectacle.
Il ouvrit mon chemisier lentement.
Chaque bouton faisait un claquement sonore qui résonnait dans ma tête.
Ses doigts écartèrent les pans de tissu fluide.
Il me fit me lever une fois que les pans de tissu ne recouvraient plus que mes auréoles roses.
Mon chemisier ouvert ne me cachait que bien peu.
Véronique avait posée sa main sur la cuisse de son mari qui, lui, avait sa propre main sous la jupe de sa femme.
Elle me regardait : "Tu es vraiment belle, Béatrice". Ses yeux étincelaient autant que ceux de Pierre qui me dévorait littéralement du regard. "Pierre, tu dois être ravi, toi qui adore les petits seins".
Je rougissais, debout dans la salle de séjour comme un animal que l'on exhibe.
Les mains de Monsieur vinrent se poser sur la glissière de ma jupe.
J'étais pétrifiée.
Elle s'ouvrit, s'écarta, glissa sur mes jambes, simplement tenue par les doigts de l'homme qui me faisait faire les choses les plus honteuses et délicieusement perverses que je n'avais jamais faite.
Pierre siffla d'admiration "Hummm et toute lisse... décidemment, tu nous surprends Béatrice".
Ils voyaient tous mon intimité, totalement glabre depuis que Monsieur m'en avait donné l'ordre.
Ses doigts effleurèrent mon abricot.
Mes grandes lèvres légèrement proéminentes étaient luisantes, humides et je ne pouvais plus me cacher.
Lorsque son doigt vint s'appuyer contre le logement de mon bourgeon, je ne pus retenir un soupir de plaisir.
"Marc, tu nous avais caché ce joyau ! Et ces pratiques" lança le couple.
J'ouvris les yeux.
Marc avait le regard sur nous, tête basse, vaincu comme à son habitude.
Véronique avait sorti la verge de son homme.
Ho ! Une autre verge... de belle taille... dans mon salon.
Je ne pus m'empêcher d'avoir une envie salace.
Etais-je vraiment normale ? Soudain j'avais des envies si... obscènes.
Et mon corps donnaient raison à ces désirs impolis.
La scène était incroyable.
Véronique, penchée sur son mari, sa lourde poitrine à l'air, se faisait malaxer lentement pendant qu'elle masturbait avec lenteur la tige rose qui émergeait d'une forêt de poils bruns.
Mon chemisier vint rejoindre ma jupe sur le tapis.
J'étais nue devant ces 4 personnes, mon mari, mes amis et... Monsieur.
Mes pointes de seins étaient tendues vers le ciel.
La main de mon amant continuait de me masser la fente et je ne pouvais qu'onduler sous ses gestes précis qui enflammaient mes sens.
"Et Marc ?" demanda Pierre.
La réponse de Monsieur claqua.
"Il est à sa place".
Véronique ria doucement, "Je vois que tu as trouvé un bon maitre ma chérie" me murmura t-elle entre deux soupirs.
Un "Maitre"... le mot marqua au fer rouge mon esprit... oui... il était mon maitre... et j'aimais cela.
Lui appartenir, ses désirs me mettaient dans tous mes émois, ses plaisirs les plus crus me surexcitaient.
J'acceptais tout... même d'être nue devant d'autres... de faire des choses si osées... pour lui.
Il posa son regard azur sur moi.
Dans ses yeux je lus autre chose que du désir. Du respect, de l'admiration... une forme d'amour.
Il y eut comme un verrou qui se brisa.
Ma voix était faible mais plus affirmée que jusqu'alors.
"Que voulez vous que je fasse, Monsieur".
Lui demande-je.
J'avais envie de lui rendre cet amour étrange qui nous liait.
Son sourire me fit l'effet d'un soleil d'été.
Je me fis plaisir à lui obéir.
Mon corps irradiait de bonheur.
Je savais que tout ce que nous faisions était uniquement pour nous deux, les autres n'étant que des jouets.
A partir de ce soir là, rien ne fut plus pareil.
Bien sur j'avais une pointe de jalousie lorsqu'il s'occupait d'une autre femme mais toujours il me jetait un œil pour me rassurer.
Et je prenais plaisir à satisfaire ses envies même dans d'autres bras.
Sans lui, sans Monsieur, sans mon Maitre, cela n'aurait eu aucun intérêt.

Il prit Véronique sur la table.
Elle avait admiré son sexe lorsqu'il m'avait ordonné de m'agenouiller pour lui sortir.
Je me souviens de l'exclamation de mon amie : "Wahoo quelle belle queue !".
J'avais du le lécher devant eux.
Ma langue s'enroula de nombreuses fois autour de ce manche de chair si dur et si doux.
Mes lèvres se plissèrent et mes joues se creusèrent lorsqu'il me fit le sucer de la façon la plus goulue qui soit.
Il m'obligea à lui aspirer les boules, lisses, l'une après l'autre.
Je bavais devant mes amis et mon mari en le suçant comme une affamée.
Véronique était à demi nue, son mari lui tétait les seins en la caressant, son sexe à l'air.
Marc nous regardait comme en transe.
Puis Monsieur sortit son vit de ma bouche pour s'approcher de mon amie qui le regardait avec un air des plus gourmand.
Véronique s'allongea à plat ventre sur notre table, sa jupe retroussée.
Elle gémissait sous les poussées de ce calibre qui la ramonait durement.
Monsieur m'avait obligé à rester à 4 pattes et m'occuper de Pierre.
Je le léchais, l'aspirais à pleine bouche comme l'avait exigé le patron de Marc.
Son sexe, plus trapu que celui de mon amant était plus conséquent que celui de mon mari.
Il était adapté à ma bouche trouvais-je en le pompant avec gourmandise.
J'entendais les mains de mon maitre donner de petites claques sur le fessier rond de Véronique.
J'avais envie que ce soit à moi qu'il fasse subir ce traitement.
Au lieu de cela il continua de m'échanger avec la femme de mon couple d'amis.
Ses mots résonnèrent dans mon esprit.
"Tu peux la baiser autant que tu veux, Béatrice adore la bite".
Il n'en fallu pas plus pour que Pierre me place à côté de sa femme.
De concert les deux hommes nous chevauchaient.
Je voyais Véronique grimacer et souffler de plaisir.
Je me fis percer d'un trait par son mari.
Je poussais un petit cri.
Marc reçu l'ordre d'aller chercher; à boire, puis la vaseline.
Mon mari obéissait.
Mes amis n'en semblaient pas s'en soucier. S'ils lui parlaient avec gentillesse, ils savaient qu'il était tout autant soumis que je l'étais.
Monsieur m'obligea à me mettre allongée au sol et à lécher Véronique.
Celle-ci se frottait, salement, à mon visage.
Son sexe était trempé et ses nymphes béantes bordées de poils noirs me caressaient le visage.
Je la buvais cependant avec plaisir, poussant même ma langue dans son vagin à la recherche de ses plis les plus intimes, de ses sécrétions féminines qui la faisait pousser des petits halètements continues.
Elle me pratiqua un cunnilingus qui me fit perdre la tête.
Nous avons du jouir ensemble une première fois.
La suite de la soirée fut des plus torride.
Pour la première fois de ma vie, j'étais au service de mon Maitre avec un abandon total.
Il ordonnait, j'obéissais.
Il proposait à mes amis, et ceux-ci abusaient de moi comme il le leur avait proposé.
J'étais un jouet, une poupée entre les doigts, leurs mains, leurs envies sexuelles débridées.
J'étais sa chose... et je ne cessais d'être enivrée de plaisirs.

Véronique se fit prendre par les deux hommes en même temps, l'un devant qu'elle du sucer l'autre derrière qui la chevauchait ardemment, puis se fut mon tour.
Leurs sexes me prenaient la bouche, la fente, ils changeaient de place et recommençaient à me pilonner.
J'ai jouis... en cascades... un nombre de fois incalculable.
Je dus avaler le foutre de Pierre un couple de fois, celui de sa femme au moins autant.
Monsieur lui, se déchargea dans ma gorge et j'appréciais de le boire.
Son sexe avait l'odeur du mien, de celui de mon amie.
J'étais devenue folle.
Une verge dans chaque main, je branlais les deux hommes alors que Véronique me malmenait la fente, meurtris de tant de saillie.
Pierre enfila sa femme par tous les orifices, monsieur en profita également... et elle cria lorsque le large piston de mon amant lui déchira l'anneau étroit, pourtant aidé par la vaseline qu'avait apporté Marc.
Mon petit trou resta vierge, "celui-ci n'est que pour mon plaisir" avait précisé mon maitre.

Marc ne fut pas laissé un reste.
Véronique vint le sucer et le faire éjaculer à son tour, mais il n'eut pas le droit de participer à plus que cela et se contenta de regarder. Il du jouir 2 autre fois, seul, en se masturbant devant nous, devant sa femme qui se faisait prendre comme "une belle salope".
Il me regarda être la "chienne" qu'ils voulaient que je sois.
Agir comme "la petite pute" que je me plaisais à être pour eux.
Leurs commentaires cochons ne faisaient que me rendre plus ardente.
Je souriais désormais, heureuse.

Au petit matin, lorsque nous nous couchâmes, je me retrouvais enfin seule avec Monsieur.
Marc dormait au pied de notre lit.
Mon amant me caressa.
La douche m'avait apaisée.
Mon sexe était en feu.
Mon clitoris n'avait jamais été autant stimulé.
Mon vagin semblait un puits de lave.
Il effleura mes tétons, si souvent sucés, mordillés, qu'ils irradiaient de douleur à peine la douceur du drap sur eux.
Je me coulais dans ses bras de mâle.
Je voulais lui appartenir, me coller à lui.
Il était fier de moi.
Sa voix me transportait.
Ses mots si doux, après ceux, si crus, qu'il avait proférés, mes faisaient l'effet de sensuelles caresses.
"Je suis à vous Monsieur" lui dis-je alors en me plaçant à 4 pattes.
Un désir fou me vint.
Je voulais qu'il sache que j'étais sa chose, sa poupée de luxure.
D'une main que je posais sur ma croupe j'écartais une fesse.
Mon cœur s'emballa. Je demandais... je m'offrais à cette pratique qui me faisait tellement honte.
Mais plus anxieuse encore du fait que je l'invitais, que je lui demandais sans que ce soit lui qui m'oblige.
J'espérais ne pas le décevoir.
Ma grimace finit en sourire lorsqu'il me pénétra par l'arrière.
Il me sodomisa avec une douceur qui me fit feuler durant toute l'action.
Son sceptre me posséda comme une vestale.
Je lui appartenais.

Véronique m'avoua, plus tard, qu'elle nous avait entendu et qu'elle avait eu envie de nous rejoindre mais que nos murmures et nos gémissements étaient si complices, qu'elle n'osa pas.

Pierre et elle sont de bons amis chez qui nous passons de délicieuses soirées.
Depuis, j'ai rencontré d'autres partenaires et Monsieur me livre à des jeux sexuels qui ne font que renforcer nos liens... si forts.
Marc a accepté son rôle de mari dévoué, soumis et discret.
Il n'est pas en reste car bien souvent il est pris en main...
Je suis sa femme mais j'appartiens à mon amant.
Je suis Béatrice, la poupée salope de Monsieur.
Et j'aime ça.

Fin ?

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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