Pour vous faire patienter, quelques photos que je trouve particulièrement sensuelles et qui m'invitent à l'écriture...71448295

Une chute délicieuse...

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Une rondeur pimentée d'une tension envoutante...

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Voilà qui m'invite à reprendre la plume.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]duonb

Marc avait apporté des fleurs comme son patron le lui avait demandé.
J'avais passé un chemisier et une jupe et nous préparions le diner, presque naturellement, sans avoir échangé un seul mot sur ce que nous avions fait dans la journée.
Lorsque la sonnette tinta nous suspendîmes tout geste.
Mon époux me regarda, un sourire las sur son visage.
Mon cœur s'emballait.
Son patron, mon amant, venait chez nous.

Le bouquet de roses rouges qu'il me tend me surprend autant qu'il me plait, et me dérange... des roses rouges... sombres... ardentes...
Leur signification me séduit mais mon mari... ho...
"Je voulais être sur que vous auriez des fleurs ce soir charmante Béatrice" fait-il de sa voix douce.
Je baisse les yeux et le remercie.
Le repas se passe d'une façon courtoise, sans geste déplacé, sans allusion.
Je me détends et abordons divers sujets de manière détendue.
Son regard bleu, la forme de son visage, de sa bouche.
Je m'égare à l'admirer et le détailler.
Ses mains et ses doigts, un sursaut me rappel à l'ordre comme je les imagine sur ma peau.
J'apporte le dessert, puis nous prenons un café.
"C'était délicieux. Je vais prendre ma douche" fait notre invité le plus naturellement du monde en se levant.
Je rougis un peu.
Sa main flatte ma croupe.
"Je vous rejoins dans la chambre" achève t-il en laissant ses doigts glisser sur le tissu de ma jupe.
Mon mari ne dit rien.
Notre hôte s'éloigne, monte l'escalier... comme chez lui.

Nous débarrassons et je vois le regard triste de Marc.
Je m'approche de lui.
Il me prend dans ses bras.
"Ma chérie. Je t'aime".
"Moi aussi" murmure je en retour.
Il m'enlace délicatement.
Aurait-il l'audace de s'opposer à celui qui s'impose dans notre couple ?
"Nous devons monter..." me dit-il en m'embrassant la joue.
Non.
Il a renoncé.
Il laisse cet homme s'emparer de son épouse.
"Je... ce n'est pas... je t'aime tu sais." Parviens-je à lui murmurer, honteuse de mes envies.
Il hoche la tête.
Pourquoi l'accepte t-il ?
Par amour... par respect ?
Alors que mon amant est si pervers et me rend si immorale ?
Par aspiration pour ma liberté ?
Alors qu'il me vole, qu'il me soumets à ses caprices empreints de luxure ?
Par... plaisir ?
Peut-être... si j'en crois ses réactions lorsqu'il nous voit ensemble.
Et si j'en crois aussi les miennes. Comment pourrais-je lui en vouloir...
"Viens, nous devons faire mon lit" me lance t-il dans un sourire gentil et triste.
Son acceptation de notre relation, de nos liens me donne soudain très chaud.
Mes joues s'empourprent et je suis mon mari dans l'escalier.
Le bruit de la douche accompagne nos gestes pour que mon mari puisse dormir à côté du lit conjugal que je vais partager avec mon amant.
Sans un mot, complices de devenir le jouet de mon amant, nous installons les draps sur un matelas à même le sol.

Dans un coin de notre chambre mon mari enlève ses vêtements, il passe un tee-shirt et enfile un caleçon.
Je l'observe du coin de l'œil.
Son sexe est dressé !
Il est excité.
Mais me semble si petit.
Il est en érection ! Je n'ose le croire.
Je me retourne pour ne pas croiser son regard.
J'enfile ma chemise de nuit bleue à petites fleurs.
Je replie mon soutien gorge, ma robe.

Un regard dans la glace me fait frissonner.
Je mesure 1m58 pour 44kg. Ma petite poitrine (un 85B un peu profond) est tendue et mes tétons forment deux bosses qui plissent le tissu.
Je me sens si fragile, perdue alors que la douche s'est tue.

Mon amant entre dans la chambre.
Torse nu, légèrement velu, il a ceint une serviette autour de sa taille.
Campé sur ses jambes musclées il nous sourit.
Les cheveux encore humides, bruns, courts, quelques gouttes d'eau roulent sur ses épaules larges. Il dépasse Marc de 10 bons centimètres.
Son regard bleu gris me transperce jusqu'à l'âme et mon cœur s'accélère.
C'est un bel homme, il le sait.
Mes joues sont écarlates.
Il pose ses mains sur mes épaules et me masse la nuque.
"C'est Marc qui t'a offert cette chemise de nuit ?"
Je hoche la tête, affirmative.
Ses doigts glissent sous mes cheveux blonds pour caresser mon cou.
Je suis nouée, et ses gestes me font du bien.
" Enlève là."
Son ton est dur, ferme et sans appel.
Hésitante, fébrile, je fais glisser le tissu sur mes épaules.
Il embrasse mon cou et s'éloigne, me laissant seule au milieu de la pièce.
Le tissu tombe, et je me retrouve dénudée, devant lui.
Mes pointes de seins sont tendues et mes joues se sont empourprées.
Marc a relevé la tête et me regarde également, allongé derrière le lit.
Son patron retire sa serviette et nous dévoile son sexe.
Mes dents se posent sur ma lèvre inférieure pour ne pas pousser un sifflement d'admiration.
Elle est dressée vers le ciel comme un mat de bateau.
Epaisse elle me surprend à chaque fois par sa largeur.
Je sens l'humidité me gagner.
Il s'allonge sur lit.
J'ai le regard fixé sur sa verge, comme hypnotisée.
"Viens".
J'obéis, ravie de me couler dans les draps et me cacher à mon mari.
Mon amant me caresse.
Je frémis au contact de ses mains si douces sur moi.
Il passe de mes bras à mes hanches, de mes cuisses à ma poitrine... et je me laisse faire.
Mon cœur bat la chamade.
"Viens sur moi" m'ordonne t-il.
Je l'enjambe, trop empressée, incapable de résister à mon envie.
Mes cuisses écartées, je m'immobilise lorsque je sens la raideur de son vit contre mon séant et contre mon Mont de Vénus.
Il appuie sur mes hanches et sa verge se presse contre mon bas ventre.
J'ai l'impression d'être en feu.
Ses doigts jouent avec mes auréoles.
Il me pince les tétons.
J'ondule.
Je me frotte sur son sexe chaud.
Il triture mes bouts.
Mes auréole s'élargissent, me brulent presque.
Oubliant Marc, mon mari me perd... je me cambre pour sentir son membre contre le haut de ma fente.
Mon clitoris palpite, presque douloureux d'envie.
"Ca me rappelle quand tu t'es frottée dans la salle de bain" me murmure t-il.
Je rougis... et j'appuie sur son sexe pour le sentir tout contre le mien, excitée.
"Ma petite garce..."
Je lâche un gémissement.
"Ma belle salope..."
Mes doigts se crispent sur sa poitrine.
Il me mord l'oreille.
"Petite gouine..."
Un cri m'échappe.
"Non... non... " parviens-je à lui dire, honteuse de ce souvenir.
Mais ses mains sont venues sur mes fesses et c'est lui qui dirige maintenant ma vitesse.
"Humm... Béatrice... quelle adorable pute tu fais. Si délicieusement... salope."
Mes yeux clos, je suis en sueur.
Ses gestes, ses mots si crus, si osés me font monter les échelons du plaisir.
"Chevauche-moi".
Je me redresse sur les genoux.
Mes seins orgueilleusement pointés vers l'avant.
Jambes écartées je le vois me regarder, offerte.
Mes lèvres entrouvertes, ruisselantes... lisses.
Le bout de son gland pourpre, bien rond, s'immisce entre mes nymphes lubrifiées.
Je me... l'enfonce doucement, lentement, dans le vagin.
Quelle grosseur !
Il m'écartèle le sexe.
Ma fente semble devoir s'ouvrir au delà de ce que je crois pouvoir possible.
Je grimace.
Je crie.
Il malaxe mes seins.
Mes mains sur ses genoux, cambrée vers l'avant, je me plante sur lui.
Bientôt je m'immobilise, son sexe presque entièrement enfoncé en moi.
Ses mains relâchent ma poitrine, gonflée et douloureuse pour venir soulever mes fesses.
Il me fait remonter sur son pieu dressé.
D'un mouvement sec il me force à redescendre sur son vit chaud.
Ma bouche s'ouvre, incapable d'émettre le moindre son, il vient de me forcer jusqu'à la garde.
Empalée sur son énorme sexe je parviens à émettre le râle bloqué dans ma gorge.
Il me rempli.
Il me fait monter et descendre, assise sur son pylône trop large.
Le plaisir monte sans cesse en moi, je coule littéralement, oubliant la présence de Marc à côté du lit.
Mes gémissements s'intensifient.
De ses mains il m'oblige à me tourner, dos à lui.
Son membre me vrille le vagin.
Je me tourne sans qu'il ne me quitte l'intérieur, des sensations intenses me font tourner la tête.
Les mains sur ses genoux, je me surprends à onduler du bassin.
Je me dandine sur sa verge.
Dans cette position son sexe me déflore et me distend au maximum.
Je ne suis plus que soupirs, mouvements obscènes et cris de plaisirs.
Lascive... fourrée.
Il parcours ma croupe de ses mains.
Je m'offre sans retenue à son regard, à ses doigts qui me caressent.
J'entrouvre les yeux et je vois mon mari qui me regarde faire ces choses que je n'ai jamais fait avec lui.
Monsieur me soulève, et me laisse retomber sur son sexe.
A chaque intrusion, sa verge plonge dans le fond de mon ventre en me labourant les entrailles.
Un son... humide... accompagne les saillies lorsque mon bas ventre vient se poser sur son pubis.
Un gémissement, un cri, ponctue mes descentes sur son mat rude.
Je suis dégoulinante, de sueur et de cyprine.
II me place en travers du lit.
Mes mains agrippées au rebord, crispées sur le drap.
Ma poitrine frotte sur le tissu.
Tétons rouges.
Il maintient mon séant en l'air.
Sexe ouvert.
Fesses... offertes.
Je sais... je le sens...
Je voudrais refuser.
Et sa virilité couverte de mon jus se place contre mon plus petit orifice.
Ses mains m'écartent les globes fessiers.
Mes petites fesses blanches qui, il y a quelques temps encore, n'avaient jamais été outragées de la sorte.
Je le sens entrer.
Contre nature, son soc me perce.
Je feule, incapable de dire un seul mot...
Il me sodomise lentement sans me laisser la moindre échappatoire.
Ses mots deviennent crus, osés.
Et son rythme de vas et vient dans mon anus, s'accélère.
Il me fait tourner la tête.
Ses mains parfois tirent mes cheveux blonds avant de se poser sur mes épaules et m'attirer sur lui, faisant rentrer son gros manche trop loin en moi.
Il me prend par les hanches et poursuit de me " défoncer le cul " comme il me le dit.
Chaque coup qu'il m'occasionne me fait crier.
Ses bourses cognent contre ma vulve.
Il me besogne comme un hussard.
Et Marc... juste devant moi... me regarde.
J'en ferme les yeux, je me mords la lèvre inférieure.
Je n'ose pas croire ce que je fais, et pourtant, la honte, si elle est toujours présente, s'efface...
Chaque fois que sa verge entre dans mon fondement, j'appartiens un peu plus à mon amant.
Chaque soupir lui est destiné.
Chaque mot cru qu'il exprime me donne chaud et m'enfièvre.
Marc le sait...
L'orgasme me submerge, la jouissance me terrasse, intense, fulgurante.
Les cuisses écartées, je jouis et les draps se salissent de ma souillure, pendant que l'homme derrière moi continue de me prendre sauvagement par les fesses.
Son explosion me donne l'impression d'être gorgée de foutre.
Ses giclées puissantes se fondent dans mon anus.
Je le sens, épais, chaud, me remplir puis couler le long de mes cuisses.
J'obéis à son "tourne-toi", sans même prendre le temps de réfléchir.
Les genoux sur le bord du lit, je me retrouve face à lui.
Mes seins pendent, se balancent.
Il parle à Marc, je ne comprends qu'avec deux secondes de latence qu'il l'oblige à "me nettoyer", lorsque la langue de mon mari vient lécher mon sexe grand ouvert, dégoutant de mon jus.
Il me caresse le visage.
J'ouvre la bouche... je gobe le sexe qu'il me donne à sucer.
Il oblige Marc à me nettoyer la raie... mon "petit trou bien dilaté".
J'entends mon mari, lécher, avaler le foutre de mon amant qui s'écoule de ma rosette béante et endolorie.
J'aspire le gros manche aux saveurs multiples.
La langue de Marc se faufile dans ma vallée intime et il lape le jus blanc que mon amant vient de déverser dans mon puits interdit.
Il nous complimente... nous ses "deux petites salopes".
Il se joue de nous, il joue avec nous, avec notre couple... et je suis dans un rêve.
J'ai tellement honte d'être si bien !
Je me retrouve lovée dans les bras de mon amant.
Nue dans le lit conjugal en bataille.
Je caresse le torse de celui qui me possède.
Un de ses bras autour de ma taille fine, il caresse ma cuisse qui est posée sur son sexe amollit.
De son autre main il effleure mes joues.
"Lève-toi" ordonne t-il à mon mari.
Celui-ci obtempère sans un mot.
Son sexe est tendu.
"Branle-toi".
Je le vois hésiter puis prendre son petit sexe en main et l'agiter.
Il est excité par nos ébats.
Je n'ose le regarder faire.
Sa verge me parait si mince comparée à celle de mon amant.
La voix douce et suave me murmure à l'oreille de tendre un mouchoir à Marc, et de le regarder faire, jusqu'à la fin.
Accompagné d'un baiser dans mon cou, je prends un mouchoir et je le tends à mon mari.
Il se crispe, son visage s'empourpre.
Sa main ralentit et il éjacule dans le mouchoir que je tiens.
Son sirop me colle aux doigts.
Son petit sexe dans une main, il se vide devant nous, soumis... comme je le suis aussi.
J'essuie son gland et notre... "maitre"... comment puis-je dire autre chose... l'envoie se laver.
Un sentiment de plénitude me gagne.
Et je m'endors sur le torse de mon amant, de mon... désir.
"Tu es à moi ma petite pute..." l'entends-je me murmurer.
Je souris...
"Oui... à vous... toute à vous... je suis votre pute Monsieur."
Morphée me tend les bras, je me laisse aller.
Heureuse.

A suivre... pour le dernier chapitre.

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Je me redresse devant mon amant.
Assis sur son fauteuil de cuir noir, son sexe est toujours dressé vers le ciel.
"On dirait bien que cela t'a plu".
Je deviens écarlate, debout dans son bureau, mes vêtements chiffonnés, mes cheveux décoiffés.
"Je n'avais jamais fait cela Monsieur".
"Mais tu y a pris du plaisir".
Je baisse la tête... aveu sans parole de ma condition.
Il glisse sa main sous ma jupe qui est retombée après la folie qu'il m'a fait commettre avec sa secrétaire.
Je réprime difficilement un gémissement alors qu'il frôle mon sexe en feu.
Il me caresse avec ses doigts agiles et la maestria que je lui connais.
J'écarte mes jambes sous l'effet qu'il me fait.
"Regarde-moi".
J'ouvre les yeux.
Il est si... mâle... magnétique...
Il a une étincelle dans les yeux qui me fait fondre.
Je ne peux lui résister, il le sait.
Mes nymphes enflent sous ses gestes précis, mon clitoris est agité, frotté, pressé.
J'émet un son plus fort. Je gémis.
Marc me perd un peu plus à chaque fois que je suis sous la coupe de mon... mâle dominant.
Il écarte ses cuisses et je sais ce qu'il veut.
"Tu as déjà la bouche pleine de cyprine, il te faut maintenant du foutre ma petite Béatrice."
Mon cœur s'emballe.
Ma poitrine me fait mal tant je suis surexcitée.
Ses mots crus me rendent dingue de désir.
Des paroles que jamais mon mari n'osera prononcer.
Des actes qu'il ne me fera jamais subir... dont il ne me fera nullement profiter.
Je m'agenouille.
Je passe sous le bureau telle une automate.
Au creux de mes jambes une envie irrésistible.
Et je lèche sa tige épaisse sans qu'il n'ait à me le demander.
Il soupire de plaisir.
Je deviens avide, je le prends en bouche, je l'aspire, je le suce avec une énergie décuplée par ce qu'il m'a forcé à faire quelques minutes auparavant.
Je le dévore pour ôter de ma gorge le gout de cette femme.
Son manche coulisse entre mes lèvres.
"Grosse gourmande... hummm".
Ho oui ! Je suis à ce moment là une "gourmande", sa gourmande.
J'en ai envie.
Une envie débordante, de lui, de son membre dont je rêve, d'être à lui.
Je ne l'entends même pas répondre au téléphone tellement je suis absorbé par la fellation que je lui prodigue.
Peu a peu je saisis des paroles.
"... vous me dérangez Marc"
Je suis alors tétanisée.
Soudain ma condition de femme mariée, adultère, me revient en pleine face.
"Heureusement que votre femme est venu me remettre le dossier que vous avez oublié chez vous"
Son ton est dur avec mon époux.
Ma fente se souille instantanément.
Je pose ma main sur ses bourses, soudainement très... excitée.
Je les malaxe comme il me l'a déjà ordonné auparavant.
" Et... Je suis en ce moment en train de me faire sucer par une femme mariée alors oui, votre oubli m'agace".
Ho non !
Il va se douter de quelque chose !
Ses doigts agrippent mes cheveux blonds pour me faire descendre sur ses boules.
Il le sait, la présence de Marc, même au téléphone, me fait un effet particulier.
J'ouvre ma bouche et aspire une bourse.
Elle est chaude, elle semble agitée d'une vie autonome car l'olive bouge toute seule dans ma bouche.
Je suce ce sac bien plein.
"... Très bien. ... Oui continue comme ça. Non, je ne vous parle pas mon petit Marc, j'encourageais cette belle salope à me bouffer les couilles".
Je suis rouge de honte et d'excitation.
Je n'entends même plus le reste de la conversation, les mots crus qu'il énoncent à mon époux sans me nommer, mon esprit embrumé, mon sang en afflux rapide... mon sexe ruisselle.
J'ouvre la bouche à mon maximum et tente de faire entrer ses 2 bourses entre mes lèvres.
Ma langue joue, tourne, presse, lèche copieusement.
Je le masse de ma langue puis le reprends en bouche, son sexe coulisse de nouveau dans ma bouche.
Il raccroche.
"Ton mari. Il a de la chance de t'avoir". me dit-il en sortant sa verge d'entre mes lèvres.
Le sourire que je lui lance et que je tente de réprimer aussitôt lui fait plisser les yeux.
"Tu aimes les boules je vois ça... lèche la bonne glace".
Je m'exécute à son ordre salace.
Ma langue part du bas de son membre et remonte vers le haut.
Mon muscle se fait large pour apprécier l'épaisseur conséquente de son barreau intime.
"Lèche lentement... voilà... et regarde moi... très bien..."
Je suis envoutée.
Il me force à adopter une telle attitude de luxure que je ne me reconnais plus.
On frappe de nouveau.
Je m'immobilise.
Son sourire est plus grand, carnassier.
Je frémis.
Je redoute le retour de sa secrétaire.
Mais je sais que je ferais ce qu'il me demande.
Il me pousse sous le bureau.
Dans l'ombre, à l'étroit, ses cuisses musclées de part et d'autre de mon visage.
"Entrez".
Je continue de lécher lentement, troublée par cette humiliation.
Je reconnais aussitôt la voix de mon mari qui le salue et s'excuse déjà.
Je fais le moins de bruit possible, hésitante entre l'envie de ce gros sexe et la peur d'être découverte.
Mon amant, son patron, le houspille sur son erreur.
J'incline la verge de Monsieur et la prend en bouche de nouveau, je veux apaiser sa colère.
Et surtout... la présence de Marc décuple mes envies...
Aucune main ne me tient, aucune pression ne m'oblige à le pomper comme je le fais.
J'aime ça.
La fellation que je lui pratique va au delà de ce que je me croyais capable de faire.
Mon sexe est un volcan en éruption.
Je glisse ma main sous ma robe, entre mes cuisses.
Je me caresse pour atténuer la tension qui me tourmente.
Tout en me masturbant lentement, son sexe entre mes lèvres, je lui agite la base de son vit.
Au bout de quelques minutes, au son des 2 voix de mes ... hommes... j'ai les doigts gluant de mon plaisir.
A la limite de la jouissance, je dois me freiner pour ne pas aller jusqu'au bout et crier, dévoiler ma présence.
Des "humm" disctinctement audibles m'échappent lorsque je reprends ma respiration
"... vous pourrez apporter des fleurs à votre femme, c'est grâce à elle que je vous pardonne".
Marc bafouille un " oui monsieur".
Mon amant se recule un peu sur son fauteuil, je suis son mouvement pour ne pas ôter son membre d'entre mes lèvres.
Un peu plus de clarté, j'ouvre mes yeux, relève le regard et je sens alors un coup d'œil de mon mari dans ma direction alors que son patron lui tend un document.
Le bureau ne me masque pas entièrement et il a pu m'apercevoir, me reconnaitre.
Je ne sais plus où me mettre.
La porte se ferme de nouveau et mon... et... Monsieur se recule encore plus pour me mettre en pleine lumière.
Je suis agenouillée devant lui.
La bouche entrouverte, les lèvres rouges tellement j'ai engloutis son manche, les mâchoires douloureuses.
Il se penche et prend mon bras.
Mes doigts couverts de mon jus, exhibés.
"Tu te branlais en même temps ma salope" fait-il d'un ton satisfait.
Ma tête s'incline vers le bas, je regarde le sol.
Il me relève en me tenant le menton.
Et il suce mes doigts, il m'oblige à le regarder faire.
"J'en veux encore".
Timidement je replace ma main entre mes cuisses et je me caresse de nouveau, pour lui tendre une seconde fois mes doigts couverts de ma mouille.
Il se délecte de mon miel.
Ces manigances se poursuivent et à chaque fois je me rapproche du bord de l'orgasme.
Obligée de me masturber devant lui, à genoux.
Il a posé ma main sur son sexe et je... nous caresse... simultanément.
"Tu branles bien Béatrice... et tu es, comme le dit Clémentine, "délicieuse"... une délicieuse petite salope. Ce soir je vais bien voir si ton mari t'a apporté des fleurs".
Ses paroles ouvrent les vannes de ma jouissance.
Crues...
Mélange de mes actes dégoutants et de la soirée à venir...
Je ne me retiens plus et succombe sous mes doigts.
Je gémis, je me tortille à ses pieds en dégoulinant, mon sexe ouvert, ma perle gonflée et maltraitée par mes soins.
Il me penche alors sur son vit et je n'ai que le temps d'ouvrir la bouche à son ordre avant qu'il n'éjacule dans ma bouche.
Son liquide épais tapisse ma gorge.
J'avale tout.
Ce que je n'ai jamais fait à Marc... à lui... je lui autorise.
Son gout est un nectar que je bois.
Il gicle sur mon visage.
Je lèche pour récupérer son jus chaud, entre deux râles de jouissance que je laisse sortir du fond de mon être.
Assouvis tous les deux après ce long moment de luxure, déshonorée et frémissante, j'accepte ses bras qui m'entourent et me cajolent.
Je tremble au souvenir de ce que je viens de faire.
Assise sur ses genoux, je sens son corps qui m'enlace.
Je suis... bien... heureuse d'être à lui.
Ravie d'être sa salope.

Lorsque je quitte son bureau, sa secrétaire me remercie pour ma venue.
Je n'ose pas la regarder.
Je m'engouffre le plus vite possible dans ma voiture pour retourner chez moi.
Et dire que ce soir... il revient chez nous...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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