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J'ai passé le petit déshabillé que mon maitre m'a offert.
Très court, simplement fermé par un lien mince et soyeux, bleu pâle presque transparent, il m'arrive à mi fesses.
Jamais je n'aurais osé porter cela s'il ne m'avait pas... perverti avec une telle délicatesse que j'en prends désormais plaisir.
Comme tous les matins je me lève et je lance le café à couler.
La maison est silencieuse.
Un léger vent d'hiver souffle derrière les volets clos.
Il fait encore nuit.
Je remonte dans la chambre.
Tout est calme.
J'entends les respirations de Marc et de mon maitre.
Mon mari dort au pied du lit, quand à celui qui s'est imposé chez nous... je délasse ma tenue trop osée et me glisse à ses côtés dans notre lit.
Son corps chaud me fait frissonner.
Je me coule contre lui.
Par la lumière qui filtre au travers des volets je distingue son profil masculin.
Je sens sa main venir caresser ma nuque.
"Bonjour ma petite poupée" me murmure t-il.
Une bulle de chaleur envahit mon être.
Ses mains m'enveloppent, il me serre contre lui.
Sa bouche cherche la mienne, j'entrouvre mes lèvres, nos langues se frôlent, s'enroulent.
Nous nous embrassons, Marc est bien loin de mon esprit.
Ses mains puissantes me hissent sur lui.
Je me sens fragile, légère.
Sa peau est brulante... la mienne aussi mais je frémis.
Sur mon bas ventre je sens durcir son sexe.
Il me caresse... les épaules... les bras...
Je suis allongée sur mon amant.
Ses mains sont douces et expertes, il m'enveloppe et le creux de ses paumes, les bouts de ses doigts, m'emportent instantanément si loin hors des sentiers battus.
Je me surprends à me frotter contre sa verge.
Elle est si grosse, si dure.
Je la perçois s'élargir.
Il me pousse vers le bas, ses mains sur mes épaules.
J'embrasse son torse tout au long de cette descente que j'accepte sans rechigner.
J'ai envie d'avoir son sexe dans ma bouche, chose que je ne concevais pas il y a encore peu de temps.
Il me guide, je me laisse faire, docile, soumise comme il aime.
Son membre entre mes seins je ressers mes petites poires autour de lui.
Je le masturbe lentement.
Ma croupe se relève, je suis agenouillée, penchée sur son bas ventre.
Le drap me recouvre à demi.
Le bout de son gland vient frotter sur mon menton, j'entrouvre ma bouche pour sentir son casque lisse avec ma langue.
Humm ce délicieux méat d'où perle une goutte.
Je lape doucement le gros fruit pourpre.
Il me fait descendre encore.
Ma langue se pose sur son sexe.
Si large !
Je la passe sur le pieu conséquent en en faisant le tour.
Sa chaleur me donne envie...
J'ouvre ma bouche et je la fais entrer.
Son gland est si gros que j'ai l'impression d'avoir les lèvres écartelées lorsque je l'aspire.
Il m'incline le visage, je manque de m'étouffer, il déforme ma joue.
Je me fais plus gourmande car je connais son envie.
Je coulisse autour du sexe trop gros pour le prendre au plus loin.
Je salive... je bave sur ses testicules...
Il appuie encore, un cri étouffé m'échappe, son sexe au fond de ma gorge, je suis au bord de l'écœurement.
Mais je tète, j'aspire, je l'avale autant que je peux.
Il me relève le visage, sa main dans mes cheveux.
"Ma belle salope, qu'est-ce que tu suces bien" me sourit-il.
Je rougis à ses mots si crus.
"Continue".
Je m'active,
Ma bouche liquide autour de son manche raide.
Je le masturbe en même temps.
Ma seconde main vient lui caresser les boules.
Ses deux bourses si douces, toutes lisses.
Il pousse un gémissement, je ralentis la vitesse de ma fellation.
Il a tiré le drap et je suis nue sur le lit, penchée en avant.
Il a une vue trop impudique sur mon dos et ma croupe dressée.
Je ferme les yeux.
Je me concentre sur cette pipe que je lui pratique avec délice.
Son vit palpite, je l'agite de ma main, plus vite.
Je suis à bout de forces, mes petits doigts autour de ce trop gros manche que je peine à astiquer.
Il me repousse et je sens son jus venir éclabousser mon visage.
Il sait qu'il peut tout me faire... tout...
Je me laisse salir, je n'ose m'essuyer je sais que cela lui déplairait.
Son foutre gluant sur mon front, coule sur mon nez.
Une giclée me trempe la joue droite jusqu'au cou.
Une nouvelle rasade me salit la bouche et le menton.
J'en ai partout.
Je respire et je sens son liquide d'homme qui me ruisselle de partout.
J'ouvre la bouche, son sirop s'immisce entre mes lèvres.
Je le goute, honteuse.
Il me regarde, je le sais.
Ses mains me dirigent.
Je sens un lien sur mon poignet droit, la ceinture de mon déshabillé.
Il m'attache au pied du lit.
Pour le poignet gauche... avec une cravate.
Je baisse le visage... il cambre mes reins.
Son souffle me réchauffe la fente.
Ma matrice est en fusion.
Sa langue vient s'y poser.
Il me lape en alternant une langue large et étroite.
Elle s'enfonce entre mes lèvres après que sa bouche les ai sucée l'une après l'autre.
Si fragile, si docile à ses désirs...
Je gémis...
Il titiller mon clitoris et le prends entre ses lèvres, il le tire...
Hummm...
Il le soumet à des pressions indécentes, lui fait faire de petits cercles qui le font gonfler encore plus.
Il l'aspire et me tète.
Il est affamé, assoiffé de mon suc qui s'écoule.
Deux de ses doigts rentrent dans ma fente.
Je crie et j'ouvre les yeux.
Marc est allongé sur son matelas.
Je l'avais oublié... il dort au pied du lit.
Une goutte de sperme roule sur mon menton et lui tombe sur le ventre.
Je deviens écarlate.
Autant de honte que de plaisir alors que mon bonbon se fait sucer par la bouche experte de mon amant.
Mon mari... se caresse.
Il ne dit rien.
Il m'observe.
Mes bras en croix, mes seins aux tétons arrogants, douloureux, pointés vers le sol sous le joug de l'excitation qui ne se calme pas.
Je lâche un "haaa ouiiiii".
Bouche grande ouverte, je passe ma langue sur mes lèvres trempées du jus de mon maitre.
Il touille dans ma matrice, il m'explore de ses doigts.
"Tu mouilles ma poupée".
Aucun homme ne m'a jamais parlé ainsi avant lui.
Mon bas ventre réagit automatiquement.
Je ne résiste pas... offerte...
Et son sexe se pose sur mon sexe.
Enfin... j'en trémousse du bassin.
Il pousse... je hurle... son pieu est trop gros...
Je me cabre pour lui permettre de m'enfiler plus loin.
Les secousses qu'il me donne me font rouler des hanches, bouger la tête.
Marc voit sa femme prendre du plaisir de façon obscène... et je trouve cela encore plus excitant.
Alors je ne me cache pas...
"Han ! Oui ! Encore ! Plus fort ! Hooo elle est bonne... si grosse !"
Je ne me cache plus.
Je subis avec une montée croissante de mon plaisir, la saillie de mon maitre.
Il s'affaire dans mon vagin liquide.
Je ne suis qu'ondulations animales sous les coups de butoirs de ce piton de chair.
"Ta moule... bien baveuse... ma salope..."
Ses mots si crus me font tourner la tête.
Il m'enfile sans effort... tant je suis lubrifiée.
La saillie est bestiale.
Ses mains passent de mes hanches à mes épaules pour m'attirer encore plus contre lui.
Puis il s'empare de mes seins et me les malaxe sans ménagement et avec tellement de sensualité que je commence à jouir à peine m'a t-il effleuré
"Tu jouis ma femelle ? Quelle chienne en chaleur..."
Je crie...
L'envie me submerge.
"Ecarte tes fesses ma jolie salope. Je vais te défoncer le cul".
Il me délie les poignets.
Je m'effondre, le visage au dessus de Marc.
Mes seins écrasés, frottent sur le drap blanc.
Je pose mes mains sur mes fesses.
Je me suis toujours refusé à Marc dans cette pratique et là, il me voit une fois de plus, écarter ma raie la plus intime pour accueillir la verge de mon amant.
"Tu aimes ça maintenant... tu t'ouvres toute seule..."
Oui j'aime.
Je ne me l'avoue que timidement mais j'aime être prise contre nature.
"Hooo ma petite pute, Tu la veux plus profond dans ton cul ?"
Je gémis plus fort... un râle.
"Prenez mes reins.. je suis à vous..." lance-je sans même y penser.
Je l'autorise, je le veux dans cet endroit qu'il a été le premier a déflorer.
Il m'a dit que personne d'autre n'irait par là... "à moins que"... ces paroles me reviennent, me hantent... un frisson... de crainte et de fantasme.
Puis il me possède entièrement.
Il me sodomise si loin.
Mon petit orifice souffre de son épaisse tige qui ramone mon conduit anal.
Il m'attire, se colle à moi.
Je suis emmanchée.
Je crie en tenant mes fesses écartées pour qu'il me tourmente encore plus fort.
Sa main droite se glisse sous mon ventre et il me masturbe.
Je ne suis que couinements et gémissements.
Ses bourses cognent à ma vulve.
Il me prend sauvagement.
Je suffoque.
"J'aime t'enculer... ma salope..." dit-il en me besognant sans tendresse.
Mon corps se tend, mon ventre s'enflamme.
Je me vide sur ses doigts, sous ses mots, autour de son sexe.
L'orgasme est un volcan dont l'éruption ne semble pas avoir de fin.
Je m'entends hurler de plaisir.
Il jouit une nouvelle fois.
Il me baise par derrière et son sirop sort de mes entrailles à chaque fois qu'il s'enfonce en moi.
Le jus tiède se répand sur mes cuisses, sur mes lèvres outragées et meurtries, se mêle au mien.
Je pousse pour m'empaler sur la queue raide qu'il me garde planté dans l'arrière train.
Un ultime soubresaut... je suis affalée sur le lit.
Il sort de mon œil intime qui ne parait pas vouloir se refermer.
J'ai mal... mais je me sens divinement bien.
Le souffle court, je regarde mon mari.
Marc a jouit dans son caleçon.
Je ne peux m'empêcher d'éprouver de la peine pour lui.
Puis je me retourne et sourit à mon Maitre qui m'invite à le rejoindre dans ses bras.
Souillée, je lui obéis.
Le jour s'est levé.
Le café sent bon... jusqu'ici.
Nous nous levons, tous les 3.
Marc derrière nous, à sa place.
Ma main dans celle de mon amant, l'homme de la maison.
Je suis folle... de lui.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]Sensuelle-et-glamour

Lorsque ma muse sonna à ma porte, je ne pu m'empêcher d'avoir un peu d'anxiété.
Allait-elle apprécier le cadeau que je lui faisais ?
Et si j'avais été trop loin ?
Elle fut d'abord surprise, puis son sourire s'éclaira.
"C'est pour votre anniversaire" lui murmure-je.
Elle posa ses mains sur mes joues, ses doigts fins et frais qui m'enveloppaient, puis plaqua sa bouche sur la mienne pour m'embrasser.
"Bonjour" fit-elle... à mes 3 amis en retirant son manteau, dévoilant ses courbes.
Une poitrine orgueilleuse moulée dans un chemisier qui laissait deviner un soutien gorge rouge vif, des hanches aux balancements insolents qu'une jupe courte rendait torride.
Visiblement radieuse, elle contemplait chacun des 3 hommes que j'avais convié à ce moment insolite et totalement inédit pour moi.
R., un brun aux accents ibériques, qui partageait le même service que moi et qui était réputé pour ne pas laisser insensible les infirmières.
G., le grand blond du quatuor, aux yeux bleus azurs et que j'avais rencontré lors d'une soirée... arrosée.
Et enfin S., celui qui avait surpris la photo que Sylvie m'avait envoyé lors du réveillon.
Assise au centre du canapé, elle était le centre de l'attention de ces 3 mâles qui ne cessaient de la reluquer.
J'avais un peu de mal à réfréner une jalousie que je savais inutile et aussi stérile que stupide, mais c'était ainsi... j'avais peut de me voir déposséder, qu'elle parte avec l'un d'eux au lieu de rester avec moi.
Irrationnels, mes doutes ne s'envolèrent que bien plus tard... au petit matin.
Elle croisa les jambes très haut.
S., en face d'elle, semblait hypnotisé.
"Oups... fit-elle... je crois que j'ai oublié de mettre une culotte".
Elle posa sa main droite sur la cuisse de R. et sa gauche sur celle de G..
Ce dernier s'enhardit à effleurer sa jambe, remontant le dos de sa main jusqu'à la lisière du bas autofixant qui donnait à sa peau une couleur ambrée.
R. ne semblait pas vouloir se laisser distancer et fit des petits cercles sur son genou féminin, délicat.
Elle me lança un regard pétillant dans lequel je reconnu très vite le désir et l'envie.
Les discussions, pleines de sous-entendus, ne laissaient pas un seul moment nos mains et nos yeux sans avoir un contact avec celle qui resplendissait.
Convoitée, admirée, caressée, elle était aux anges.
Après quelques verres et gourmandises, j'apportais un gâteau.
"Je peux avoir les bougies ?" me lança t-elle, d'un air coquin.
Je ne devais pas perdre "la main". Il me fallait oser, me dépasser, aller plus loin que je ne pensais jamais le faire.
Mais pour elle, devant elle, je me sentais invincible, irrésistible.
Lentement, avec un brin d'anxiété, je déboutonnais alors mon pantalon pour en sortir ma verge.
Je voyais ses yeux me dévorer.
Mon sexe fin et long se dressait comme un "i".
J'étais partagé entre la honte de dévoiler ainsi mon intimité devant 3 autres hommes et le plaisir de lui offrir ce moment.
Les 3 autres suivirent le mouvements.
Après tout, ne leur avais-je pas dit qu'ils venaient pour ça ?
Très vite elle fut entourée de 4 verges qui dodelinaient, différentes, fine ou épaisse, longue ou trapue, émergeant d'un taillis de poils bruns ou blonds.
"Une... queue pour chaque dizaine ?" minauda t-elle en me regardant.
"Oui Sylvie" j'avais la voix qui se fêlait d'excitation.
"Vous me faites un merveilleux présent". Une œillade complice à mon attention
Et ses mains... de femme... passèrent d'un sexe à l'autre.
Elle flattait, elle caressait, décalottait et titillait les méats les uns après les autres.
Ses ongles effleuraient en griffant nos glands et les cols, descendaient jusqu'à la base de nos membre érigés pour venir palper et soupeser nos bourses lourdes.
Elle s'agenouilla et sa bouche prit le relais de ses mains.
Mes amis ne disaient plus rien.
Seuls des gémissements et le bruit... aquatique... des succions de Sylvie sur nos verges troublaient le silence de mon studio.
Elle ne passait pas plus de 3 ou 4 secondes par sexe, passant de l'une à l'autre, masturbant celle qu'elle ne pouvait pas prendre en bouche.
De plus en plus goulue elle léchait puis pompait les glands avant d'engloutir, toujours plus loin dans sa gorge, chaque tige couverte de sa salive.
Elle leva les yeux sur moi en passant sa langue de l'embase vers le col.
Heureuse... le regard que je lui connaissais lorsqu'elle prenait du plaisir.
Elle me lança un sourire des plus éloquent.
Sa main nous branlait longuement, sa bouche aspirait nos sexes en feu.
Nous la fîmes alors se mettre à genoux sur le canapé.
S. était assit. Elle poursuivit une lente fellation sur son sexe qui disparaissait entièrement dans sa bouche pulpeuse.
Quant à G. il prit place derrière elle, il entreprit de lui dévorer la chatte.
Sa langue entrait profondément dans son sexe qu'il maintenait écarté à l'aide de ses mains.
R, lui, s'allongea sous Ma Muse pour lui téter les seins... ses augustes mamelles tombaient et aucuns d'eux ne se privaient de les palper, de les pétrir, de les malaxer jusqu'à en faire devenir les tétons, rouges d'excitation.
Elle ondulait sous leurs caresses.
Ils changèrent de place les uns après les autres.
Chacun voulait gouter... à sa poitrine généreuse, à son sexe liquide...
Et elle se cambrait pour leur permettre de se repaitre de son corps.
Elle offrait ses seins, les maintenant haut, assise sur des genoux sur le canapé, pour qu'ils puissent être deux à la téter en même temps.
Elle tendait ses fesses pour que les langues s'enfoncent loin en elle, la lapent longuement jusqu'à la faire gémir de plaisir.
Son menton était couvert de salive tant elle enchainait les fellations.
R. entreprit de lui mettre son sexe entre les seins.
Elle se retrouva donc allongée sur lui, ses mains pressant chaque côté de sa lourde poitrine, pour le masturber.
J'eu envie d'elle, instantanément.
Je me plaçais derrière elle.
Mes amis savaient que je ne leur permettrais de la prendre qu'une fois que je l'aurais moi même saillie.
Elle le saurait après... et en rougirait de cet honneur.
Mon sexe s'enfonça sans peine dans sa fente ruisselante.
Je labourais le sillon de sa fente à l'aide de mon soc.
Chacun de mes coups de reins s'accompagnait, de la part de Sylvie, d'un petit cri qu'elle étouffait dans le coussin.
Le rythme que je lui imposais activait la masturbation qu'elle donnait dans ses seins.
Je me retirais alors.
G. vint à son tour l'enfiler.
Je pris un peu de recul pour admirer la scène... les scènes qui s'enchainaient.
Comment avais-je pu avoir une telle idée ?
J'au soudain honte et un terrible sentiment de jalousie vint remonter en moi pour s'estomper lorsque Ma Muse m'envoya un baiser et un "merci" du bout des lèvres.
Je savais qu'elle avait déjà eut de nombreux amants... mais là... de la voir... chez moi... livrée en pâture à ceux que j'avais invité !
N'étais-je pas allé trop loin ?
Une main lui tirait les cheveux pour la forcer à se cambrer, permettant à l'homme qui l'empoignait, de la saillir profondément.
Elle gémissait, poussait parfois des cris qui s'étouffaient dans un pubis, ses joues déformées par une verge toujours différente.
L'un après l'autre ils prirent place en elle.
Elle ondulait de plus en plus.
Il me semblait devenir étranger à la scène de luxure qui se déroulait dans mon studio.
C'était un film... le film de mes fantasmes qui se développait devant mes yeux.
Ils migrèrent vers ma chambre.
Là, Sylvie fut chevauchée par mes amis, qui passèrent l'un après l'autre entre ses cuisses ouvertes.
Elle se retrouva à 4 pattes, à subir avec plaisir les assauts de ses 3 amants d'un soir.
Et moi... j'ordonnais.
Je leur donnais les positions à prendre.
Sur le dos, sur le côté, à prendre sa bouche, son abricot... ses fesses...
Ma Muse fut surprise et ravie.
Je n'avais rarement été aussi excité.
Elle s'offrait, elle se donnait, elle savourait ce moment de sexualité intense.
Mes encouragements se mêlaient aux bruits et aux cris qui emplissaient l'atmosphère d'une ambiance aussi sirupeuse que les odeurs qui vinrent bien vite embaumer et salir les draps.
R. fut le premier à répandre sa semence sur le ventre de la femme qui me tourmentait adorablement.
Ce fut ensuite à G... sur son visage.
Sa bouche grande ouverte, les joues maculées du liquide épais qui lui dégoulinait sur le menton... qu'elle était belle.
S. se vida sur son dos, masturbant son sexe entre les fesses rondes qu'elle tendait, son petit orifice palpitant encore des saillies qu'elle venait de subir avec joie.
Elle me souriait... comme si les autres n'existaient pas... son attention se portait uniquement sur moi.
Elle se leva pour venir me caresser.
Sale, souillée, j'éprouvais un mélange d'attirance et de répulsion.
Elle avait une odeur de foutre, de cyprine...
Le liquide mâle lui coulait sur la peau.
J'avais envie de cette... salope.
Ses doigts experts me firent très vite un bien fou et je me laissais aller à cette masturbation qu'elle m'imposait devant mes compagnons.
"Tu me combles mon bébé" me murmura t-elle avant de s'agenouiller et me prendre en bouche.
Elle me suça comme elle n'avait aspiré aucun des autres hommes qui se rendaient compte de ma chance.
Je posais mes mains sur chacune de ses joues et je me laissais aller à mon envie d'elle... de la punir d'avoir été avec eux... d'être aussi belle et insolente... d'avoir donné et pris du plaisir... et avec l'envie de lui donner mon plaisir.
Je baisais alors sa bouche avec furie.
Elle plissait les yeux lorsque ma longue tige lui butait dans le fond de la gorge.
Un râle lent et aussi puissant que mes coups de reins vint accompagner mes giclées.
Elle avala tout sans en laisser une seule goutte tomber au sol.
Sa langue s'enroulait autour de mon pieu et ses mouvements de succion aspiraient chaque perle de foutre que je vidais en elle.
Elle savourait mon miel, je savais qu'elle adorait.
Ils entonnèrent alors un chant d'anniversaire.
Sylvie se mit à rire, à genoux sur le tapis, alors que nous l'entourions, nus, nos verges qui ballottaient de l'avoir honorée.

Ses amants partir l'un après l'autre en la remerciant et en lui souhaitant tous un bon anniversaire et en me complimentant.
Puis Sylvie vint me retrouver, elle avait pris une douche et sentait mon savon.
Elle se lova dans mes bras.
J'avais terriblement envie d'elle.
"Tu m'as fait le plus beau cadeau que je n'ai jamais eu. Mais c'est toi que je veux comme cadeau." me dit-elle en frottant doucement son corps contre le mien.

La suite fut plus intime et douce.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[...]

Je porte une robe d'intérieur.trio4.jpg
Mi-cuisses, noire, légèrement décolleté mais sage, très sage. 3 jolis boutons sur le devant.
Lorsque la sonnette retentit je ne suis que moitié surprise.
J'ouvre pour découvrir le patron de Marc, mon maitre.
"Bonjour ma petite poupée" me dit-il en déposant un baiser sur ma joue.
Je lui souris.
"Tu as fait du thé ? Cela sent divinement bon."
Il accroche son manteau sur la paterre, dépose son attaché-case sur le bureau... comme s'il était chez lui, ce qui est un peu vrai.
"Il est tout chaud" dis-je en le regardant faire.
Il s'approche et pose ses mains sur mes hanches.
"Tu es très en beauté ce matin".
Mon cœur bat plus vite.
Sa bouche se pose sur la mienne.
Nos lèvres se frôlent, se soudent.
Il m'embrasse, il attend ce moment où je vais lui offrir le baiser qui me donne chaud.
Nos langues s'enroulent, se cherchent, il a cette façon de m'embrasser, tel un amant dévorant de désir, qui me fait chavirer.
Je ne peux m'empécher de penser que mon mari vient juste de partir.
Je rougis un peu.
A force de petits baisers sur les commissures de lèvres, il s'éloigne.
Je suis tétanisée.
Il s'éloigne vers la cuisine.
"J'ai envoyé ton mari dans un rendez-vous important, j'espère qu'il est parti."
"Oui, oui" bafouille-je un peu.
Il me tends ma tasse et s'en verse une.
Ses yeux bleus me transpercent.
"Ho, j'oubliais, j'ai un paquet pour toi. Tu veux bien aller chercher le sac à côté de ma mallette ?"
Je le fais et l'apporte, un peu intriguée.
"Ouvre".
Mes mains tremblent un peu.
Une paire de bas blancs...
"Mets-les".
Je suis confuse.
Je me dirige vers la chambre lorsqu'il me stoppe et m'impose de rester ici et de les passer... devant lui, dans la cuisine.
Rougissante, je me retourne pour les passer.
Je sens son regard reluquer mes genoux, mes cuisses.
Toujours gênée de m'habiller devant quelqu'un.
"Ils te vont très bien".
Je sens une peu de fierté lorsqu'il me complimente.
Il me tends alors une paire de chaussures à talons.
"Que va dire Marc s'il me voit ainsi ?"
"Il fera ce que je lui dirais" fait-il en sirotant son thé.
Je mets les deux chaussures, obligée de me pencher, de me cambrer pour enfin me relever, plus haute de quelques centimètres, les jambes galbées.
Il ne perd pas une miette de mon habillage.
Je plonge de nouveau ma main dans le sac pour en sortir une jupe, courte, noire, si courte...
Ecarlate.
Je sais qu'il savoure ce moment autant que son thé.
Il me caresse la joue pour m'encourager.
Je vais devoir me dévêtir devant lui.
Mes mains ne sont pas sures alors que je déboutonne ma robe.
Si impudique... je perds mes repères.
Elle tombe à mes pieds.
Son regard passe lentement sur moi, de mon cou à mes seins déjà tendus dans mon soutien-gorge, sur mon ventre, jusqu'à ma culotte de coton blanche.
"Regarde ce qu'il y a d'autre dans le sac".
J'hésite et j'en sors un chemisier noir décoré de dentelle blanche.
En lieu et place de boutons, un simple laçage.
Il retourne le sac...
"Je t'en prie, habille-toi avec les vêtements de ce sac"
... il est vide.
Je rougis alors que je viens de comprendre.
"Ho... non..."
"Allez ma petite Béatrice, retire ton soutien-gorge".
Je le fais, obéissante, un secret désir enfle en moi.
Il dévore ma poitrine aux tétons saillants et mon pubis... totalement lisse depuis qu'il m'y a obligé.
Je m'y suis habituée désormais.
Il est le symbole de ma soumission.
Ma jupe est courte, arrive en limite du liseré des bas.
Ma poitrine, libre, frotte contre le tissu et concourt encore plus à ériger mes tétons presque douloureux qui ne sont pas longs à réagir.
Je me sens si... osée dans cette tenue...
"Il reste du thé, parfait. Car j'ai invité un client à venir signer un contrat ici. Et il adore le thé".
Je voudrais dire "nonnnn !" mais je suis tétanisée par ce que je crois comprendre.
Il me serre dans ses bras, me réconforte de mots tendres.
Cet homme me fait chavirer...
Toute rouge, de honte et de désir, je tremble légèrement.
"Tu vas voir, cela va être un très bon moment" me murmure t-il.
Il passe sa main sur ma jupe, remonte sous un sein et caresse mon cou.
Je suis si bien contre lui.
"Mais et... Marc... il ne faut pas..."
Son doigt se pose sur ma bouche.
"Tu es à moi".
La sonnette...
Je panique.
"Tu vas être merveilleuse".
Je me dirige pour ouvrir la porte en cherchant à garder un peu de contrôle sur mes jambes flageolantes.

Le client me sourit, ses dents blanches au milieu de son visage sombre.
Sa peau noire, sa main manucurée, entretenue, qu'il me tend et que je sers, intimidée.
"C'est bien ici ?"
"Oui, oui je pense".
Je le fais entrer, comme dans un état second.
Les présentations faites, j'apprends qu'il vient du Sénégal et qu'il n'est ici que pour signer le contrat avant de s'envoler de nouveau.
Ils s'installent au salon et discutent.
Je leur apporte du thé.
Je sens les yeux noirs plonger dans mon décolleté.
Devant lui, je suis gênée, lorsque mon maitre pose sa main derrière ma cuisse, me caresse la jambe jusqu'à faire disparaitre ses doigts sous la jupe, effleurant mes fesses nues.
La base de mon séant, effleuré, me rend instantanément humide... et honteuse.
Il lui tend le crayon pour signer...
Je surprends leurs sourires complices.
L'objet tombe sur le tapis entre ces deux hommes qui viennent de faire affaire.
S'il se penche il va me découvrir si impudique.
Je n'ose bouger.
Il ramasse l'objet et son visage se tourne. Ho non....
Je le vois mater longuement mes jambes. Son regard remonte si haut... il doit voir mon absence de culotte et la main de mon maitre sur moi.
Je ne suis pas à l'aise mais ce dernier me lance un regard rassurant qui contrebalance mon désarroi.
Lorsqu'il remonte s'asseoir et signer il lance un "Votre assistante est ravissante".
"Nous voilà partenaires".
Ils échangent une poignée de mains.
"Je peux ?" fais le grand noir en souriant.
"Bien sur... je vous en prie".
Il pose alors sa grande main sur mon genou.
Je sursaute et il remonte sur ma cuisse.
Sur le bas blanc sa main contraste outre mesure.
Je m'affole.
"Ce n'est pas mon assistante vous savez."
"Ha bon ? Peut-être une fille de joie ?"
Mon maitre rit de bon cœur.
Je m'empourpre d'être ainsi considérée.
"C'est ma soumise, et également la femme d'un de mes employés, celui qui avait les précontrats, le petit Marc".
Je ne sais plus où je suis, je danse d'un pied sur l'autre, incapable de garder une allure digne.
La main de Monsieur presse ma fesse, plus fermement, et je gémis sans pouvoir me retenir.
Ils trinquent devant moi, leurs mains sur moi, ma cuisse, mon fessier, caressés.
Son client ne dit rien, il détaille chacune de mes courbes.
Son regard... pervers sur ma poitrine qui se soulève trop fortement... les caresses de ma fente, effleuré par l'index de Monsieur... me font mouiller de plus en plus.
Leurs deux mains remontent encore.
L'une effleure l'aine... et se met à flatter mon pubis lisse.
Je ferme les yeux.
"Elle n'a pas de poils"
"Non, je la contrains à être ainsi, en signe de soumission".
Leurs rires me font l'effet d'une claque.
"Et son mari ?"
"Il ne dit rien, c'est un mou. D'ailleurs je loge ici et il dort au pied du lit"
"Je m'en souviendrais la prochaine fois que je le verrais".
Ils plaisantent en me caressant.
Une main flatte ma raie et mon petit œil brun pendant que l'autre masse mon abricot en fusion.
"Je l'ai dévergondée. Désormais elle est très ouverte. elle accepte tout".
"Vraiment tout ?"
"Ho oui... vraiment. Et elle n'a pas le choix et puis surtout... elle aime ça".
Son doigt se glisse entre mes lèvres molles.
"Humm elle est trempée".
Je mords mes lèvres pour ne pas crier, pour ne pas m'affoler à ce qu'ils disent de moi.
"Ca l'excite."
Mon maitre me force à écarter mes jambes tout en restant debout.
Et son client me fouille le vagin dans un bruit lacustre.
Les mains de Monsieur m'attirent alors vers lui.
Je me sens si fragile entre ces deux hommes.
Si sensible... chez moi... et pourtant... ailleurs.
Le doigt noir, retiré de mon corps, luit de ma cyprine.
Je me retrouve bien vite assise sur mon maitre.
Cuisses écartées, ma jupe est remontée haut, elle découvre le porte-jarretelle et offre à son vis à vis une parfaite vision de mon sexe ruisselant.
Ma poitrine se tend de façon indécente, ma poitrine forcée vers l'avant jusqu'à tendre le chemisier au maximum.
La main ferme de mon maitre appuie sur ma nuque... je me penche vers l'avant... offrant le balancement de ma poitrine libre, à la vue de l'homme noir qui suce son doigt... qui goutte mon sirop intime.
Je me sens devenir folle.
Il ouvre alors son pantalon et sort son sexe.
Je panique en voyant le gros boudin noir, déjà dur, qu'il exhibe.
Une si grosse chose... peut-être même encore plus grosse que celle de mon Maitre.
Il se décalotte.
Son gland est violacé, turgescent.
Je le trouve, lui aussi, trop gros pour moi. Je n'ai jamais vu de sexe noir... une crainte... et un désir subtil.
Je suis forcée de me pencher.
Mon visage touche le membre viril... son odeur me plait.
Mes cuisses ouvertes en grands, cambrée... ma jupe est relevée sur mes fesses.
Il prend mes cheveux et se frotte la verge contre mon visage.
Mes fesses à l'air subissent les caresses délicieuses de mon maitre pendant que mes joues ressentent la chaleur de la verge raide de cet inconnu.
Je me retrouve soulevée, mes genoux posés sur le canapé, mes mains sur les cuisses de l'homme en face de moi, tel un pont au dessus du vide.
Une petite fessée claque.
Je sais... j'obéis... j'ouvre la bouche.
Il rit.
"Elle est bien dressée".
A ces mots si crus, si forts, je mouille... à la limite de l'orgasme.
Le gros sexe entre dans ma bouche entrouverte.
Il me force à écarter mes mâchoires... douloureuses... tellement le membre est large.
Ma langue glisse et lèche la veine volumineuse.
Déjà loin... au fond de gorge... sans se soucier de moi, il baise ma bouche.
Sa main noire dans mes cheveux blonds, il m'oblige à l'accepter.
Son sexe va et vient.
"Vous pouvez y aller, elle adore sucer, sa bouche est une vraie pompe à bites".
Il s'enfonce si loin.
J'en ai des hauts le cœur.
A m'étrangler, je bave, comme il me maintient dans cette position où je ne reprends mon souffle qu'avec peine.
Puis il recule brusquement.
"Pompe mon gland" dit-il sèchement.
Je peux enfin respirer.
Je l'aspire, de moi même, sans qu'il n'ait plus besoin de me retenir... comme folle... comme prise d'une envie inouïe de stupre... depuis que mon Maitre m'a initiée à ces plaisirs lubriques.
Il glisse ses mains dans mon chemisier dont les boutons sautent les uns après les autres.
Et il malaxe mes seins, il les caresse et tire sur mes tétons... douloureux... apaisés par ces gestes osés.
"Branle-le avec tes seins" ordonne mon maitre derrière moi, alors que mes fesses sont tendues vers lui.
J'avance vers lui, il se glisse dans ma poitrine.
Je sens la ... queue... si large, si chaude... qu'il comprime entre mes poires opalines.
Elle bute contre mon menton, contre mes lèvres.
Je lape son méat.
Et puis... là... contre ma fente... un autre sexe... je le connais... je sais qu'il va me déchirer lui aussi.
Il me force.
Je crie.
La saillie est courte mais me rend dingue car les deux hommes se redressent.
Le noir me soulève comme une paille et me pose sur la table...
Mes seins écrasés sur le bois.
Je regarde mon ... maitre.
J'ai envie de lui, pas de cet inconnu, j'ai envie de lui faire plaisir de lui rendre ce qu'il me donne.
"Baisez-la" lui ordonne t-il cependant.
Je hurle lorsqu'il me prend d'un coup.
Son sexe trop épais me défonce la fente.
Il accélère, la table bouge, il me possède comme un animal.
Son pieu me parcourt sans discontinuer.
J'en ai les larmes aux yeux, devant mon maitre qui me sourit, ma bouche grande ouverte pour laisser échapper mes râles.
Je crie sous les assauts brutaux et terriblement sexuels.
Tel un soudard, il jouit, répandant sa semence blanche sur mon dos.
Je suis haletante.
J'entends vaguement son départ, mon maitre qui revient.
Je n'ai pas bougée.
Allongée à plat ventre sur la table.
Il caresse ma croupe, effleure ma fente outragée, gonflée.
Ses doigts sont divins sur mes lèvres en feu.
Il me masse doucement et son souffle vient apaiser mes muqueuses rougies.
Sa langue s'y pose, il me lèche... passionné... attentionné...
C'est trop fou... je gémis.
Je sursaute lorsqu'elle vient déborder et... laper ma petite rondelle.
Il me déguste, je n'ai plus la force ni la volonté de dire non.
Mes deux orifices sont lapés, léchés.
Il m'assouplit l'anneau brun qui palpite d'envie.
Il m'embrasse le sexe.
Je coule... ma motte me semble brulante, saillante.
Je soupire d'envies... de plaisir.
Il accentue la pression, mon intimité s'ouvre pour que sa langue s'enfonce.
Il me mange...
Je sais ces mots crus qu'il va me dire.... et j'en perds la raison.
Je frissonne lorsqu'il me dit aimer me bouffer la chatte, le cul...
Lorsque je l'entends commenter comment son client m'a défoncé.
Je dégouline de cyprine sans pouvoir m'arrêter.
J'ai envie... de tout...
Il se redresse.
Je me cambre pour m'offrir totalement.
Je le sens m'envahir... si raide et si gros.
Les pointes de mes seins frottent, légèrement soulevée, il me donne des coups de reins qui me font gémir sans discontinuer.
Le rythme change, il oscille en moi et je me tends comme une liane.
La poupée fragile devient... lascive... chienne...
Il bute au fond de mon intimité.
Je pousse des petits cris, entièrement, à lui, je lui appartiens.
Mon corps... mon cœur... mes envies les plus obscènes... sont à lui.
Je me sens chienne, je me cambre, lui offre mes reins pour qu'il me saute sur notre table.
Oui, j'aime ça.
Je lui présente ma croupe dans sa plus intime expression.
"Tu sais ce dont j'ai envie".
"Oui... humm oui je le sais"
"Alors écarte-toi".
Je pose mes mains sur mes fesses... et je les ouvre.
"Prenez-moi comme vous voulez... prenez mes reins".
Il présente son sexe devant mon petit œillet qui palpite.
Sa force se fait ressentir.
Sa raideur, sa dureté.
Je sais que je vais crier.
Je crie toujours un peu plus fort, par là.
"Sois plus crue ma douce poupée".
"Ho... je..."
Ce mot si... obscène...
"Na te fait pas prier" me murmure t-il en appuyant contre mon orifice serré.
"Ho oui... enculez-moi" ose-je dire.
Je crie.
Il pousse son gland trop large en moi.
Il prend ce que Marc n'a jamais eu.
Je suis ballottée.
Chaque coups de reins me propulse vers l'avant.
Je me surprends à me masturber en même temps.
Je n'ai jamais été aussi excitée.
Il étale le jus de l'autre homme sur mon dos et me présente ses doigts.
Je n'en crois pas ma raison... je suce les doigts sales.
J'en veux encore, je me tortille pour sentir sa grosse verge profondément dans mon cul.
Mes orgasmes s'enchainent.
Je coule sur la table, autour de mes doigts.
Une sensation brulante me fait chavirer de honte et de plaisir... il vient d'éjaculer dans mes fesses.
Son foutre épais me coule sur la fente, sur les cuisses, se mélange sur mes doigts à mon sirop de femme.
J'ai chaviré dans l'univers de mon Maitre...
Il me chevauche sur les rives du plaisir.
Et je le suis... je suis à lui...
Son baiser dans ma nuque m'enflamme.
Hooo non... je sens déjà l'envie enfler.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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