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Le patron de mon mari finit son café alors que j'entends la voiture de Marc arriver et  se garer.

Je sursaute, mes joues rougissent.

Assise sur l'accoudoir du fauteuil dans lequel cet homme qui est aussi mon amant, me flattait de ses doigts, j'avais oublié que le temps passait si vite.

Je réajuste ma robe car ce coquin avait glissé sa main dessous et me caressait le haut de la cuisse.

Ma petite culotte est humide.

J'ai l'esprit trouble lorsque mon mari me dit bonjour et dépose un léger baiser sur la joue.

Il se décompose lorsqu'il voit son supérieur chez nous et n'ose plus dire un mot.

Leurs deux mains se serrent.

Ces deux mains qui m'ont tenues toutes les deux.... si différemment.

Les hommes échangent quelques mots, je m'éloigne pour reprendre mes esprits.

Je verse quelques gâteaux dans un plat, je suis ailleurs.

Terriblement gênée de ma journée... le cerveau renversé et le corps encore en feu.

Après qu'il m'eu prise dans la chambre de notre grande fille, je l'ai rejoins dans la salle de bain où il me posséda le long du mur de la douche comme encore je n'avais jamais été possédée.

Marc me rejoint dans la cuisine.

"Ca n'a pas l'air d'aller ?" me fait-il.

Je balbutie une réponse évasive.

Sa main dans mon dos me fait frémir.

J'ai honte de l'avoir trompé... et en même temps c'était si bon !

L'interdit renforçait mon excitation.

"On garde mon patron à manger tu veux bien ?"

Je regarde mon époux.

Il est si doux, si calme. Je sais qu'il est impressionné par la présence de cet homme dans notre salon et qu'il n'ose rien lui refuser.

J'acquiesce pour sa présence ce soir avec nous.

Il est évident qu'il s'est imposé lui même.

Je me tourne vers le réfrigérateur, mon mari s'éloigne pour retourner auprès de son patron.

Un léger sourire me vient... hooo qu'il est gonflé ! Il ose s'inviter à notre table !

Un frémissement se fait sentir dans le creux de  mes reins.

Il parvient à me faire mouiller rien qu'en imaginant me retrouver à manger chez nous avec ces deux hommes.

Tout ceci me parait surréaliste mais tellement envoutant.

 

Je sens son pied se frotter au mien, sous la table, alors qu'il tient une discussion sérieuse avec mon mari, le "petit Marc" comme il prend plaisir à l'appeler alors que ce dernier est intimidé et n'ose pas le contredire quelque soit le sujet abordé.

Le long de ma colonne vertébrale remonte une décharge électrique qui me fait me redresser, presque cambrée, alors que sa main vient effleurer ma cuisse.

Mon sexe de femme est liquide... je devine mes lèvres luisantes et imagine son membre d'homme si large qui doit être dur alors qu'il est en train de me caresser ainsi, discrètement.

Mes petits seins se tendent, un renflement se dessine... mes tétons durcissent et je pointe outrageusement devant eux.

"Marc, avez-vous de la musique ? " lui demande t-il soudain.

Aussitôt mon mari s'empresse de mettre un fond musical.

"Cela ne vous ennuie pas si je danse avec votre femme pendant que vous débarrassez la table ?" lui ordonne t-il faussement dans une question déguisée.

En baissant la tête Marc s'exécute en un "Non, bien sur".

Je suis rouge de honte.

Mes mains dans celles de mon amant, je m'avance vers le centre de la pièce.

Lentement il me fait tanguer en rythme dans notre salon.

Les murs s'éloignent car la tête me tourne.

Lorsqu'il les pose sur mes hanches et qu'il plonge son regard dans mon décolleté je crois que le sol s'ouvre sous moi.

"Non, il ne faut pas... Marc... est là..." cet aveu qu'il soit là et que cela seul m'empêche d'aller plus loin me fait instantanément darder les tétons.

Il m'est impossible de masquer mon excitation, mes mamelons trahissant mon plaisir.

Il me fait tourner et je me retrouve dos contre son torse.

Marc nous regarde.

Derrière moi, un autre homme que lui me fait onduler... collé à moi dans une posture osée.

La main droite remonte sur mon ventre puis sur mon sein.

Marc ne me quitte pas des yeux.

J'ai le souffle court, mon cœur s'accélère.

Il voit mes seins qui sont gonflés, signe de mon envie.

Son patron me palpe un sein.

Je pousse un souffle qui s'achève en gémissement.

Incapable de lutter contre mon corps en chaleur, contre l'adresse de cet homme alors qu'il me faudrati el repousser, le gifler, l'injurier comme le dernier des salauds.

Mon mari baisse le regard lorsque son patron fait tomber sa main sur l'entre cuisse de ma jupe et qu'il me masse lentement le sexe au travers du tissu.

Par réflexe j'ouvre un peu mes cuisses et l'homme fait remonter ma jupe, glisse sa main sous le coton léger.

Ses doigts se posent sur le tissu trempé de ma culotte.

Je pousse un petit couinement comme il me masse le clitoris.

Je sais que je ne peux pas lui échapper.

Malheureuse pour Marc qui me découvre dans ce rôle de... vulgaire trainée... ces émotions contradictoires me tourmentent et m'envahissent avec une sensualité extrême.

Il dénude mon épaule et dégrafe mon chemisier.

Ses mains viennent saisir mes seins recouverts de dentelle rose transparente.

Lorsqu'il appuie sur mes deux petits globes, mes tétines se dressent comme des antennes.

Ses doigts passent entre le tissu et ma peau, il tire vers le bas et je suis seins nus devant mon mari en moins de temps qu'il ne m'en a fallu pour le dire.

Je ne me contrôle plus et mes fesses cherchent à se frotter à la raideur que je sens chez cet homme sur de lui, magnifiquement pervers.

La fermeture de ma jupe s'ouvre et elle tombe sur mes chevilles.

Ses doigts rentrent sous ma culotte.

Il me masturbe de tous ses doigts, forçant mes jambes à fléchir, à s'écarter.

Un sein étiré, mon soutien gorge sur le ventre, une main dans mon dessous... je gémis... de plaisir.

Ce vilain sait y faire et Marc n'en revient pas de ma totale soumission à ces gestes d'un vulgarité crue.

Entre deux de ses doigts il tourmente mon téton qui frétille, douloureux.

Ma fente se trouve écartée par ses doigts qui me fouillent.

Je pousse un petit cri alors qu'il extraie mon bonbon et le titille avec une meastria qui me fait basculer mon visage en arrière.

Mes lèvres sont gonflées d'excitation.

Il me masturbe, sa main tend ma culotte sur mes fesses, la détend largement sur le devant de mon minou.

J'ai l'esprit ailleurs, loin... perdue... éperdue.

Lorsqu'il retire ses doigts je balance mon bas ventre en avant avec un souffle plaintif.

Marc me voit, chercher la main qui me donne du plaisir.

J'en rougis de honte.

Le tissu sur mon sexe se trempe aussitôt tellement je coule abondamment.

Ses mains font rouler le coton de mon dessous.

Je baisse la tête, je sens sur moi le regard de mon époux.

Je ferme les yeux.

Ma culotte frôle mes fesses, file sur mes genoux et tombe sur mes chevilles.

Je suis nue devant lui, entre eux deux, seulement parée de mon soutif qui ressemble à un porte jarretelles de ... femme de petite vertu.

Il me fait mettre à genoux.

J'obéis dans un sanglot qui me vient sans que je puisse le retenir.

J'ai tellement honte... et tellement envie !

"Marc. Apporte-moi à boire".

Je vois mon époux, obéir.

Le gros gland décalotté dodeline devant mon visage comme le mat d'un bateau qui tangue.

Je me sens m'éloigner de Marc.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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Je pousse la porte entrouverte de la chambre de ma fille en prenant une respiration et en me faisant un masque imperturbable sur le visage.
Ma poitrine me fait mal tellement je suis pleine d'envies.
Je l'imagine déjà en train de détaler les escaliers et... mes mains... ensuite... que je vais autoriser à me caresser.
Mon sexe est humide, trempé, ruisselant.
Je sais que mes doigts vont aller et venir sans effort sur moi, une fois que j'aurais chassé ce jeune amant.
Je passe la porte en conquérante.

L'homme est allongé dans le lit.
Entièrement nu.
Les jambes entrouvertes je suis hypnotisée par son entrejambe, sans même remarquer autre chose.
Sur sa cuisse repose son sexe, un gros membre qui me fait penser à une saucisse de forte dimension.
Deux grosses bourses glabres, lisses donnent à son allure une impression de virilité puissante.
Ses jambes sont musclées et je suis sur son ventre le chemin brun de ses poils qui remontent jusqu'à son nombril, puis son torse.
Je deviens alors écarlate.
Le patron de Marc.
Je manque de m'évanouir.
Non... ce n'est pas possible !
Pas lui !
Pas avec Céline !
Il me sourit.
Sa voix grave et chaleureuse me tétanise.
"Bonjour Béatrice, j'étais un peu en avance et j'ai fait la connaissance de votre fille."
Ma voix s'étrangle, je voudrais dire quelque chose mais je ne peux pas.
"Je vois qu'elle tient beaucoup de vous".
Les larmes me montent aux yeux.
"Approchez".
Il a le regard sur mon chemisier entrouvert plus que de raison.
Jamais je n'aurais du déboutonner aussi bas.
Mon pied s'avance.
Il tapote sur le matelas pour que je vienne m'asseoir a côté de lui.
Je me sens sotte, ridicule et tellement honteuse.
Comme dans du coton je me pose, soulagée de ne pas devoir rester debout.
Sa main se pose sur ma cuisse.
Je sursaute.
Il me caresse.
De son autre main il s'empare de mon chemisier et le déboutonne entièrement.
Je sanglote.
"Elle a ces mêmes seins envoutants... profonds sans être gros..."
Ses paroles crues me blessent et me cinglent comme un fouet.
"Et sa bouche, comme la votre... toute aussi accueillante..."
Il effleure mes lèvres, déposant une larme salée sur moi.
Sa main glisse sous ma jupe, vient se poser sur ma culotte mauve.
Il me palpe l'entrejambe.
Mes cuisses s'écartent sans que j'esquisse un seul mouvement de refus.
Il sait que je ne peux pas lui résister.
"Elle a ouvert ses cuisses aussi vite... et elle mouillait tout autant que vous..."
Je me mords la lèvre inférieure pour ne pas gémir et crier.
Ce... salaud... me masturbe avec une dextérité d'orfèvre.
Il fait glisser ma culotte sur mes cuisses.
Mon chemisier totalement ouvert.
A l'aide de gestes fermes je me retrouve assis sur lui.
Mes seins bientôt à l'air, la jupe disparue.
j'ai l'impression de ne plus m'appartenir.
Au milieu des posters et des bibelots de ma grande fille, sur son lit...
Son amant...
Le mien...
Me masse la fente de son sexe.
Je suis nue sur ses genoux, face à lui.
Son gros gland lisse et luisant écarte mes lèvres.
"Vous avez les lèvres beaucoup plus molles... c'est un régal..."
Je pousse un petit cri alors que son bout rond m'appuie sur le clitoris.
Il m'empale soudain.
J'ouvre la bouche... exhalant un "hhhaaaaan !" rauque.
Son gros engin me force.
"Votre fille n'est pas moins étroite que vous... elle a du en voir passer quelques unes."
Je suis choquée, je voudrais le gifler mais mes mains se posent sur son torse et je me cambre pour m'abandonner à sa puissante percée.
Son manche progresse à force mouvements de bassin.
Il a ses mains sur mes hanches et m'enfourche.
Mon vagin envahit, je coule comme une fontaine.
Son soc me chavire et me fait me tordre de plaisir.
Les ondulations que je ne peux réprimer me font me fouiller sur son pal; son gros pieu brulant qui me donne l'impression d'être pleine.
Je pousse des petits gémissements alors que mon plaisir monte.
Il pince un de mes seins.
Je crie sous la douleur.
Lorsqu'il fait rouler mon téton je dégouline, rejetant mon visage en arrière.
La douleur... du plaisir...
Je feule comme une lionne en chaleur.
L'orgasme me ravage.
Mon visage de gauche à droite comme une possédée, le sexe dilaté par son membre trop gros, je ne me contrôle plus... je jouis... longuement... sans retenue, souillant mes cuisses et ses bourses lisses.
Il me soulève et me dépose sur le lit.
Ma tête sur l'oreiller.
Il saisit mes cheveux et m'attire sur sa cuisse.
Sa hampe est trempée de ma cyprine.
"Votre fille a commencé par ça..."
Je le regarde effrayée.
Il me caresse le visage de sa verge sale.
"C'est une vraie goulue..."
Je serre les dents mais le gland écarte mes lèvres.
Je cède... il m'envahit.
Un gout de... sexe... mon sexe.
Je déglutis, suçant son membre.
Il est si chaud, dans ma bouche, mes lèvres se plissent et il me baise doucement les lèvres.
"Elle m'a sucée avec une ferveur que je n'avais connu qu'avec quelques grosses cochonnes..."
Je suis outrée par le discours qu'il me tient et pourtant mon bas ventre n'y est pas insensible.
"Votre fille est une vraie salope. Comme toi".
Je ferme les yeux.
Son sexe en bouche je ne peux dire un seul mot.
Un "hummm" m'échappe.
Ma bouche le tête, l'aspire.
Je lui octroie une fellation telle que je ne pense pas encore en avoir fait une fois de telle dans ma vie.
Il maintient soudain mon visage et me fourre sa verge dans la bouche.
Coincée dans l'oreiller je subis les assauts de son gros sexe jusqu'au fond de ma gorge.
Je bave, je salive, à la limite de l'écœurement, profondément pénétrée.
Il m'impose son rythme, ses vas et vient.
Ma mâchoire est douloureuse, ma langue écrasée, ma gorge enfoncée.
Je grimace et je couine...
D'une main il me fouille le sexe.
Mon vagin semble insatiable car je mouille instantanément.
A cheval sur moi, sa grosse... b.... dans ma bouche, il me branle tout en me forçant à le sucer.
Mes gémissements de plaisir sont étouffés par son pilon monstrueux.
II se retire et je respire avec peine.
J'ouvre le yeux sur son sourire.
Il me retourne et me place la croupe en l'air.
Je me laisse faire, totalement offerte à lui, sur le lit de Céline.
Son sexe force sans effort mon vagin outragé et lubrifié.
Son pylône me bourre régulièrement.
Et...
Ses mains...
Caressent mes fesses, les ouvrent.
"Ho non... non" parviens je à murmurer.
Son pouce caresse mon petit trou.
"Tu as entendu ta fille crier son plaisir tout à l'heure ?"
Je n'ose répondre, alors que son doigts m'assouplis la rose brune, encore vierge.
"C'était par là que je la prenais."
Je mords l'oreiller, incrédule, incapable d'admettre une telle obscénité.
Il enfonce son doigt tout en me pilonnant la chatte.
La douleur de cette intrusion contre nature me fait me cambrer et son gros sexe cogne au fond de mon vagin.
Il enchaine les coups de reins.
Je suis prise comme une vulgaire catin.
Je refuse ce que mon corps accepte.
Et peu a peu... des sensations inédites... intenses... germent de son pouce planté dans mon anneau étroit.
Je le sens en moi qui s'agite.
Je lâche un souffle plus long que je sais annonciateur d'un nouvel orgasme.
Surprise par les plaisirs impolis de cette intromission, je gémis et me tends.
Mon corps s'emballe, s'échauffe, se tortille.
Pour la seconde fois je jouis sous les assauts de mon amant.
Pour la seconde fois ma bouche se retrouve de nouveau envahit... et il se vide dans ma gorge.
Son foutre inonde ma gorge alors qu'il râle.
"Vous êtes deux belles salopes... mais je crois que toi... tu me rend dingue" dit-il en déchargeant son sperme en moi.
Je l'avale.
Son jus épais coule dans ma gorge, je déglutis.
J'aime cela... depuis peu... mais je ne peux pas le nier.
Alors j'aspire son miel épais et me délecte de ce gout dans ma gorge.

Je l'observe gagner la douche.
Je suis affalée dans le lit de Céline, à l'endroit même où cet homme vient de nous... prendre... l'une après l'autre.
La tête me tourne.
Mon corps est souillé et encore agité de soubresauts de mes deux orgasmes successifs.
Je me lève et refais son lit.
Cela fait si longtemps que je fais plus ce geste machinal que j'en tire une nostalgie qui me fait venir les larmes aux yeux.
Elle a grandit et c'est une femme.
Et lui...
Ho lui...
Si... viril... puissant... avec une si grosse... hummm...
Le bruit de la douche...
Je referme la porte de la chambre et ouvre celle de la salle de bain.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]perle4

Je rentre plus tôt que prévu à la maison, les bras chargés de paquets de courses.
Une boule de tiède chaleur au ventre, issue du fait que je rentre enfin dans ma maison avec des envies sensuelles et que j'ai remarqué le regard de quelques hommes sur moi pendant que je faisais les courses.
Visiblement du haut de mes 40 ans, mes cheveux blonds, mes yeux bleus, ma poitrine petite mais ferme et mon déhanché qui met en valeur mon 38 bombé ne laisse pas encore indifférent.
Depuis quelques semaines je dois avouer que j'ai l'impression de revivre, d'être transformée.
Et ce depuis mon infidélité.
Je tente de chasser ces idées immorales, un sourire amusé aux lèvres.
Soudain un bruit régulier attire mon attention.
Un claquement.
Il provient de l'étage ce qui est étrange car je devrais être seule cet après-midi.
J'ai même prévue de me connecter de nouveau sur ce site où j'ai échanger des mots très... érotiques avec un homme.
C'est pour cela que j'ai réussi à écourter ma journée de travail.
Marc est en déplacement, Céline est partie travaillée et doit dormir chez une amie.
Alors d'où provient de bruit ?
J'ai soudain peur.
Et s'il s'agissait d'un voleur ?
Je saisis le téléphone.
Je suis prête à composer le numéro de la police lorsqu'un murmure étouffé me fait raccrocher.
Je ne rêve pas, il me semble entendre des gémissements.
Et puis un cri... un autre gémissement qui ne laisse pas de doute sur l'origine de ce son : le plaisir.
Je reconnais la voix de ma fille.
Comment ?
Pas toute seule j'espère !
Un grondement sourd me fait immédiatement penser qu'un homme est avec elle.
Mais qui ?
Sa voiture n'est pas devant la maison.
Elle devrait être partie.
J'ouvre la porte du garage, elle est encore là.
Elle pousse un " Haaaaaa ouii !" qui me fait un drôle d'effet.
Je n'ai encore jamais imaginée, ni entendue, ma fille dans une telle situation.
" Là ! Oh oui là ! Ha oui ! Encore... Encore ! Haaa ouiiiii c'est bon ! haaaaann !".
Elle sait que je ne suis pas là et ne se retient pas.
J'hésite entre le dégout de l'entendre et le ravissement de la savoir comblée par son petit ami.
A 21 ans, je sais bien qu'elle a déjà eu des amants, mais aucun n'est jamais venu ici, chez nous.
Celui-ci parait doué.
Je dois donc me réjouir pour elle.
Mais j'en suis extrêmement gênée.
Je pense faire un tour dehors et je me ravise, un peu émoustillée par ce que j'entends.
Elle gémit longuement.
Je suis attentive, une attention déplacée et je me fais l'impression d'une voyeuse.
Ma main est venue se poser entre mes cuisses.
Je la retire vivement.
Mais enfin ! Je suis devenue vraiment fan de sexe depuis quelques temps ! Il faut que je me calme !
Son "Ho non... pas... pas là... pas par là..." me fait un effet incroyable.
J'ai envie de monter l'arracher aux griffes de cet homme et lorsqu'elle soupir de plaisir, je fonds de l'entendre heureuse.
Mes doigts sont sur ma culotte.
J'ai honte de moi.
"Ha ! Oui ! haaaa ! hummmmm".
Je tente de ne pas imaginer et mes yeux se ferment.
Je suis à sa place dans mes pensées salaces, essayant de ne pas imaginer le pourquoi de ce "non", de cet endroit qu'elle ne voulait pas, et qui se transforma en une acceptation pleine et entière.
Elle geint par petites saccades puis elle râle... je devine un orgasme violent et je l'entends rire, son petit rire cristallin.
Puis les soupirs s'estompent, les coups de lit sur le mur aussi.
Je souris alors que je l'entends descendre précipitamment l'escalier en grommelant qu'elle est en retard.
Elle attrape son sac, et m'aperçoit.
Les cheveux ébouriffés, le chemiser encore à moitié boutonné, elle s'immobilise aussitôt, devient écarlate.
Elle veut bredouiller une excuse mais de geste autoritaire de la maman concernée je lui indique l'heure sans un mot.
Elle tourne les talons silencieusement et ouvre la porte du garage, démarre sa voiture et me laisse dans la maison avec son petit ami encore dans sa chambre.
J'ai joué la vilaine et dans le même temps je suis content qu'elle ait un amant qui lui fasse du bien.
Il est bien de savoir qu'elle dispose de ... mieux que moi avec son père.
Je tourne en rond, hésitante sur la conduite à tenir.
Son petit ami est encore à l'étage et je ne sais pas si je dois rester chez moi ou non.
Je découvre alors que mon bas ventre s'est humidifié bien malgré moi.
Une idée fugace, terriblement sensuelle et osée me traverse l'esprit.
A quoi ressemble t-il, ce jeune étalon visiblement adroit ?
Hoo.... je me mords la joue intérieure.
Comment puis-je avoir de si impures pensées !?
J'ai chaud.
Je déboutonne le bouton du haut de mon chemisier.
Mes seins sont tendus.
Des pointes fières déforment le tissu.
Je tremble.
Après tout, je suis chez moi !
Je gravis donc les marches de l'escalier une à une.
Lentement je cherche à me donner une contenance et une rigidité toute mature pour affronter ce jeune homme.
Je l'imagine déjà rougir en me voyant et ne sachant plus où se mettre.
Sera t-il vêtu ?
J'en ai les pommettes roses d'un plaisir coquin dont je ne me serais jamais cru capable.
Mon entrejambe est en feu.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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