[...]

Mon mari est revenu de son déplacement.b&wperle3
Pendant le repas ma fille ne dit rien de ce qu'elle a surpris.
Marc me raconte ses nouvelles missions, j'écoute, distraite, anxieuse.
"Et toi alors ? Tu ne t'es pas trop ennuyée ?" me demande t-il.
Un coup d'œil à Céline, elle me fait un petit sourire, signe qu'elle va garder le silence sur ma coupable infidélité.
Je réponds par la négative, affirmant que rien ne particulier n'est à signaler.
Un frisson glacial le long de ma colonne vertébrale.
Dans une apparente décontraction le repas s'achève enfin.
Je souffle en me couchant, ravi que son retour se soit bien passé et qu'il n'est rien découvert ni suspecté.
Lorsque sa main se pose sur moi je frémis.
"Veux-tu que nous fassions l'amour ?" me murmure t-il doucement.
Après un instant de contraction, je me détends.
Mon bassin ondule.
J'aurais envie qu'il ne me demande pas... qu'il me prenne comme un... son patron.
Je déglutis pour chasser ses pensées immorales de mon esprit.
"Oui. Bien sur".
"Ma chérie." fait-il en se tournant vers moi.
Il vient au dessus de moi.
J'écarte mes cuisses.
Comme d'habitude, sur le dos.
Son sexe me semble petit lorsqu'il me pénètre.
Sans un effort il est entièrement en moi.
Ses mots sont si doux, des mots d'amour qui me flattent.
Il s'agite, je contracte mon vagin et bascule un peu mon bassin pour le sentir me faire du bien, un peu plus loin.
Il accélère.
Son dard me perce d'avant en arrière.
Je revis les scènes d'avec... un autre... et je pousse un petit gémissement.
J'aurais envie qu'il me retourne, pour une fois, qu'il m'agrippe les cheveux... qu'il me force à le prendre en bouche... qu'il... soit cochon dans ses paroles.
Je pousse un petit "hooo" qui m'échappe.
Il se contracte, se retire vivement et se vide sur mon ventre.
Je regarde l'horloge aux chiffres rouges électriques.
3 minutes...
J'en ai les larmes aux yeux.
Il s'affaisse sur le côté après m'avoir embrassé délicatement du bout des lèvres.
Je reste immobile.
Allongée.
Si rapide.
Les envies que je viens d'avoir me semblent si perverses et pourtant si gorgées de plaisirs impolis, charnels, émoustillant.
Ma main effleure ma cuisse, le pli de l'aine.
Marc s'est déjà assoupi.
Je sens mes joues rougir alors que mes doigts effleurent mes nymphes humides.
Pour la première fois en 20 ans de mariage, je frôle mon sexe à côté de mon époux.
Le désir est trop présent.
Je me caresse.
Mes doigts jouent, écartent mes lèvres et j'appuie sur mon bonbon tout juste sorti de sa petite grotte.
De cercles lents, pour ne pas le déranger.
Devant mes yeux fermés passent les images de mes incartades.
A mes oreilles résonnent encore les mots cochons de mon amant.
Je pousse un petit gémissement comme j'entre mon index dans mon vagin en feu.
Marc se tourne vers moi.
"Tu ne dors pas ?" fait-il, endormi.
Je suffoque.
"Non...non je n'y arrive pas". balbutie-je, le doigt enfoncé en moi, sans un geste.
Il souffle et me lance un "Regarde un film si tu veux..." avant de replonger dans les bras de Morphée.
Je reste ainsi, sans bouger.
J'ai honte.
Puis je me lève.
Je passe ma robe de chambre sur ma nuisette.
L'air frais sur mon sexe ouvert me donne encore plus chaud au bas ventre.
Le tissu fin frotte mes tétons dardés comme des canons.
Je descends l'escalier, allume la télévision.
Rien... je regarde d'un air distrait.
Une publicité tardive et "osée" me vante les mérites d'un site Internet.
Une boule dans mon ventre, enfle de plus en plus.
Non... humm... non... et puis zut !
J'allume l'écran.
Les doigts fébriles, je lance le site.
Un chat.
Je ne sais quel pseudo utiliser, je mets mon prénom, après tout personne ne peut me découvrir dans l'anonymat de ce genre de salons.
Je suis vite abordée par des demandes toutes plus crues les unes que les autres.
Les hommes se ruent sur moi sans même me connaitre.
Je prends peur, j'ai envie de tout couper mais mon désir reste présent.
L'un d'eux, plus calme, retient mon attention.
Très vite il m'entraine dans un tourbillon de mots, de paroles, d'histoire où le plaisir est central.
Je laisse aller à suivre ses désirs, refusant par principe ce qu'il m'évoque.
Je me caresse à sa lecture.
Il apprécie mes commentaires, peu a peu j'ose quelques remarques.
Je m'aperçois que mes écrits me font aussi du bien.
Mes doigts sur mon sexe, impudique, trop impudique, je me masturbe sans contrainte.
Je suis brulante, transpirante.
Je gémis, je me tortille sur mon doigt.
Mon bassin s'agite en tous sens.
Je danse sur mes doigts, deux... enfoncés dans mon vagin gluant.
Ils remontent et étalent le sirop sur mon bourgeon excité.
Un cri sort de ma bouche, a demi étouffé.
L'orgasme me surprend alors que mon partenaire d'écriture me dit me prendre à 4 pattes... "comme une chienne".
Je souille mon fauteuil et ma main.
J'ai honte.
Ma respiration ralentit lentement.
L'homme me demande si je suis partie.
Je n'ose répondre.
Comment avouer que je viens de jouir ?
D'un geste rapide je coupe l'ordinateur.
Je ne crois pas encore que j'ai pu faire ça.
Mes joues sont rouges.
Mon cœur bat fort.
Avec une lingette, je nettoie le cuir du fauteuil.
Mon bas ventre est sale.
Ma vulve est sensible à l'extrême.

La douche va me faire du bien.
Enfin... si le jet ne m'excite pas encore... ho !

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]sslt

Un mois s'est écoulé depuis mon incartade.
Mon mari ne sait pas.
Je lui cache que son patron m'a... possédé.
J'en ai trop honte, jamais je ne pourrais lui avouer et m'avouer ce manquement moral à ma fidélité.
Marc est si doux, si tendre... alors que son patron est si...
Hooo je rougis rien qu'en repensant aux mots osés qu'il m'a dit et aux positions qu'il m'a fait prendre.
Mon sexe, lui, a apprécié et il en vibre encore à ce simple souvenir.

Depuis Marc a eu une augmentation, une promotion.
Sans aucune raison particulière je me garde bien de lui dire le fond de ma pensée.
Il est parti depuis 2 jours car désormais son emploi l'emmène à se déplacer et découcher.
Je suis donc seule avec ma fille, devant mon café matinal.
Elle englouti un bol de lait avant de reprendre part à ses révisions.

La sonnette retentit.
Céline se lève d'un bon et va ouvrir.
Je l'entends dire "oui, entrez donc".
Dans l'embrasure de la porte se profile le patron de Marc.
Je deviens rouge et je me sens trembler.
D'un mouvement un peu maladroit, je ressers ma robe de chambre de satin sur ma nuisette.
Je me lève avec peine et lui serre la main.
Ma fille me regarde étrangement avant de s'éclipser vers sa chambre.

"Votre fille ?"
J'acquiesce en hochant la tête.
"Charmante... Quel âge ?"
Je sursaute.
Sa voix me perce comme une aiguille chauffée à blanc.
"21 ans..."
Il la regarde s'éloigner.
"Très intéressant..." fait-il en caressant son menton, le regard accroché dans la direction de ma fille.
"Que venez-vous faire ici ?" parviens-je à articuler, une fois la surprise passée, pour changer de sujet.
Il pose un doigt sur le tour du bol de lait de Céline avec un petit sourire.
"Marc a du oublier quelque chose ici. Avec ses nouvelles fonctions qui le font s'éloigner de chez lui et du bureau, je suis bien obligé de venir palier à ses manques".
Le son chaud et profond, grave, de sa voix me fait tressaillir.
Les sous-entendus sont nombreux et ils m'échauffent le bas ventre.
Est-ce moi qui donne un sens particulier à cette réponse ou bien Est-ce lui qui est habile dans le choix de ses mots ?
Je cherche à conserver une certaine contenance.
Ses yeux se sont posés sur ma poitrine.
Je découvre que mes seins ont gonflés, que mes tétons sont très visibles par les déformations qu'ils marquent à la robe de chambre, trop fine.
"Vous... vous voulez voir dans son bureau si vous trouvez ce que vous cherchez ?" Fais-je en me tournant pour ne pas lui présenter les témoins de mon émotion.
Je suis morte de honte.
"Je vous suis".
Il doit voir mes hanches se balancer, mes jambes seulement couvertes jusqu'à mi cuisses, mes pieds dans des petits chaussons roses.
Je me sens ridicule.
J'essaie d'entraver le balancement de mes fesses mais j'ai l'impression de l'accentuer.
"Superbe" commente t-il en m'emboitant le pas.
Mes nymphes deviennent humides, je le sens à chaque pas.
Un petit bruit de succion me semble résonner aussi fort qu'un torrent de montagne.
Nous entrons dans la salle à manger où Marc a un espace bureau.
Il me pose alors les deux mains sur les hanches.
Et sa bouche vient embrasser mon cou.
Hooo... non... je revis la même scène... je veux me refuser mais mon séant se cambre insidieusement.
Il me mordille la nuque avant de me retourner face à lui à l'aide de ses mains puissantes.
Les fesses sur le bureau de mon mari je déglutis avec peine.
Son patron me serre, ses jambes collées aux miennes.
Ses doigts s'agitent en caresses.
Son odeur de mâle m'excite les narines.
Il remonte une main très lentement sur un de mes seins.
Il le presse doucement dans un crissement léger de satin.
Son sourire me fait tourner le visage.
Mon corps reste immobile.
Sa seconde main se place elle aussi en coupe autour de ma poitrine.
Il me malaxe avec une dextérité que j'imagine acquise avec beaucoup d'expérience.
Je gémis.
"Non... Pas ça. Pas ici... ma fille pourrait..." je me mords la lèvre inférieure pour ne pas crier.
Il est venu se placer entre mes jambes.
Mes cuisses se sont écartées, dévoilées.
Ses doigts roulent sur mes tétons visibles, il me les saisis et les fait tourner.
La double couche de satin les irrite, les fait rougir.
Je lâche un soupir impudique.
"Haaaan...."
Mes jambes s'ouvrent sous un réflexe de sensualité.
"Béatrice, décidemment vos refus sonnent comme des demandes très coquines".
Je voudrais tellement qu'il me laisse... autant que je voudrais qu'il... me prenne tout de suite, là, sur le bureau de Marc.
Mes pensées se télescopent.
Je ne me contrôle qu'avec peine.
D'un geste coulé, il tire sur le nœud de la ceinture qui me resserre la taille.
Il dénoue ma robe de chambre.
Elle s'ouvre, elle s'écarte sur ma nuisette.
"Un cadeau de Marc ?"
Je deviens aussi écarlate qu'un coquelicot.
"Elle vous met en valeur" fait-il en soupesant un de mes seins de sa main chaleureuse.
Ses doigts flirtent sur mes épaules, et font glisser les attaches de ma nuisette.
Les fines bretelles tombent à bas et ma poitrine est bien visible, la vallée sombre de ma peau pâle attire sa bouche.
Penché sur moi il dépose de doux baisers gourmands sur mes globes qui se tendent encore plus.
Je pousse un petit gémissement.
Il dénude un sein, la bretelle tombe sur mon bras.
Et sa bouche... hummm... m'embrasse... effleure mon mamelon... suce mon téton.
Un cri rauque m'échappe.
Il aspire ma tétine et la fait se distendre dans sa bouche.
Du bout de la langue il titille ma pointe, ses doigts appuient et mon sein est malaxé, pétri, tiré vers l'avant jusqu'à faire grossir mon auréole.
Il me bascule sur le bureau...
Le bureau... de mon époux...
Le bas de ma nuisette remonte sur mon ventre.
Mon intimité offerte à son regard.
Ma toison blonde est humide.
Ses mots crus me font frémir, rougir... désirer.
"Ta petite chatte est toute mouillée ma coquine".
Je ne veux pas y croire.
Sa bouche se pose alors sur mon sexe.
Il embrasse mon abricot dans un bruit totalement obscène.
Sa langue s'enfonce entre mes lèvres brunes, ruisselantes.
Il aspire et je l'entends boire mes écoulements de plaisir.
Son muscle agile tourne et me fouille la vulve.
Cet homme sait y faire avec une femme et lorsqu'il suçote mon clitoris, je ne peux m'empêcher de pousser des petits gémissements de plus en plus longs et bruyants.
Il est gourmand, il est vorace.
Sa bouche plaquée à moi me colle telle une sangsue sensuelle.
Je crispe mes doigts dans ses cheveux et lâche un cri lorsqu'il me fait jouir sous les actions coupables de sa langue.
"Haaaa ouiii ! Ouiiiii !"
Ses mains sur l'intérieur de mes cuisses, ses doigts viennent de part et d'autre de ma fente, il m'ouvre en deux, écarte mes muqueuses jusqu'à dévoiler l'intégralité de mon sexe.
Je coule en abondance.
Je me sens perdue... livrée à son regard... offerte à ses doigts inquisiteurs... soumise à la jouissance qu'il me donne.
Il remonte alors entre mes cuisses et déboutonne son pantalon.
Je respire avec peine.
Son sexe se pose sur ma cuisse.
Essoufflée, je tente de le repousser d'un faible mouvement de mains, mais il a déjà enfoncé son gland rond dans mon intimité.
Je grimace.
Aussitôt après cet orgasme qui vient de me couper les jambes, je suis hyper sensible...
Alors, lorsqu'il s'enfonce en moi, je pousse un râle et je m'effondre, allongée sur le dos sur le bureau de Marc.
Il empoigne mes jambes et m'attire vers lui.
Sa large hampe de chair me transperce.
Ma bouche grande ouverte, incapable d'émettre le moindre son, je subis un aller et retour qui me force profondément.
"Hannnnnn !!! Non... pas.... haaaaaann !"
Ses va et vient me donnent l'impression d'être littéralement prise par un sexe de taille monstrueuse qui me défonce le vagin.
Le plaisir croit, enfle, me fait trembler.
Il me fourre son pieu de chair, me l'enfonce jusqu'à la garde et me fait pousser des gémissements, des cris sans retenue.
Je le sens me triturer les seins, me donner des petites pichenettes sur les tétons.
Tout ceci me rend folle.
Mais ses mots... crus... me font fondre.
Ce sont des murmures si osés et pourtant si érotiques que je les accueille comme des délices sucrés salés.
Je m'offre alors totalement, je bascule mon bassin vers lui, j'accroche ses avants bras pour qu'il accentue sa saillie.
Je me sens... femme... désirée... sexuellement désirée.
Ma gorge devient sèche, ma vulve se contracte autour du manche raide qui me parcourt sans relâche.
Les orgasmes s'enchainent.
J'ai les yeux grands ouverts, le regard dans le vide...
Son foutre chaud se répand en moi.
Je l'accueille sans le repousser.
Il gicle dans ma matrice et sans cesser ses ondulations, nos sirops se mélangent, dégoulinent sur mes fesses et mes cuisses.
Quand il ressort son pal, la sensation de vide est atroce, je voudrais le retenir.
S'il savait... il pourrait m'avoir à lui, totalement en cet instant.
"Ma belle petite cochonne" sourit-il en me caressant le sexe.
Je suis ouverte, béante, souillée, et je me laisse caresser.
Il étale le jus gluant sur ma toison.
Ce "ma" me fait un effet fou.
Oui je suis à lui. Je suis Sa chose... sa coch.... hoooo c'est tellement incroyable.
Je referme difficilement mes cuisses, mon sexe est en feu, douloureux.
Il remonte son pantalon.
Je jette un œil discret sur son  entrejambe, sa verge épaisse qui dodeline, son pubis et ses bourses glabres. Autant de nouveautés qui me donnent le tournis.
Je me rajuste et me relève.
Il prend un petit dossier tombé du bureau dans nos ébats.
"Ce dossier devrait me satisfaire, pour le moment".
J'ai baissé les yeux pour ne pas croiser son regard métallique.
Le bureau de Marc est en désordre.
Je le raccompagne jusqu'à la porte sans un mot.
"A bientôt, très bientôt, charmante Béatrice" fait-il en déposant un baiser sur mon front.
Je referme précipitamment derrière lui.
Adossée à l'entrée je me sens apaiser, Marc n'est pas là... il n'en saura rien.
Je découvre alors que ma fille me dévisage.
Les larmes me montent aux yeux.
"Maman... la prochaine fois, tu pourrais faire moins de bruit ? Et puis préviens-moi, j'irais faire un tour avec la voiture." fait-elle en souriant.
Mes joues sont carmins, cramoisies de honte.
Une douche me fera le plus grand bien... sauf si le jet redouble mes désirs.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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    [...] triolisme1.jpg 

Je suis tremblante.
Mes jambes en coton.
Le patron de mon mari, chez moi, me regarde en souriant.
Il raccroche son téléphone.
"Béatrice, nous avons encore du temps."
Il vient de me... prendre... contre le mur de mon entrée.
Moi qui suis une épouse sérieuse, fidèle, pour la seconde fois en 10 jours, cet homme vient de faire de moi sa maitresse.
Son sexe encore tendu, oscillant comme un métronome large, rose, luisant de ma cyprine, m'hypnotise.
Il m'empêche de réajuster mon soutien gorge et d'un geste sec, l'ouvre.
Je pousse un petit cri.
Ma poitrine est à l'air, nue, offerte à ses yeux et à ses doigts.
Mes tétons sont encore douloureux... de ses attouchements qui les ont tirés, fait rouler... mais aussi de l'envie qui ne me quitte pas.
Dressés vers le ciel comme des statues, au centre de mes mamelons roses, ils trahissent  mes émotions intenses et immorales.
"C'est mal... nous ne devrions pas... c'est trop fou... non" lui dis-je.
Sur ma peau je sens la chaleur de son liquide d'homme.
Ma jupe en porte les traces, comme ma toison blonde... mes poils collés par son sirop qui coule de mon ventre vers ma fente.
Hoooo ma fente... encore ouverte, suintante... en feu.
Il me prend par la main et par la taille.
Ma jupe se baisse d'un côté seulement.
Il me pousse en avant.
"Si Marc savait... ho non..."
Il pousse une porte au hasard.
"C'est votre chambre ?"
Il regarde.
"Non. Celle de notre fille".
Il prend son temps, sa main caresse ma fesse nue.
Il passe un baiser dans ma nuque, je frissonne.
"Montre moi ta chambre ma cochonne" me murmure t-il.
Je ferme les yeux et pousse la porte un peu plus loin.
Il a ce langage grossier qui me trouble.
Il m'entraine dans notre nid, dans notre endroit sacré.
Ses mains me positionnent à 4 pattes sur le lit.
"Non ! Pas... ici... pas comme ça..."
Sa main me donne une petite fessée.
Je veux descendre du lit, prendre mes jambes à mon cou, mais je me sens si fragile.
Et sa bouche... ho sa bouche... sur mon sexe.
Il m'embrasse d'une façon perverse et délicieuse.
Sa langue s'enfonce dans ma fente déjà offerte.
Ses doigts caressent mes fesses, mes cuisses, ouvrent mes lèvres pour lui permettre de me lécher plus profondément, intimement.
"J'aime ton jus... ta chatte a bon gout".
Ses paroles étouffées me font l'effet de claques.
"Tu es si belle en levrette".
Il est si cru ! Si osé !
Mon mari ne m'a jamais dit de telles horreurs, ne m'a jamais fait de telles... choses.
Son bout de langue titille mon petit œil.
Je me tends pour refuser mais ses mains me maintiennent fermement par les hanches.
Je perçois nettement son muscle sur mon orifice interdit, il lape, il presse, il pousse et... me détend la rosette sans que je n'y puisse rien faire.
Lorsque sa langue écarte mon petit trou, je pousse un cri.
Je voudrais que ce soit de douleur, mais non... c'est un plaisir inédit.
Il fait rouler sa langue, passe de mon sexe à mon étroitesse.
Je me surprends à onduler des hanches malgré moi.
"T'aimes te faire bouffer le cul et la chatte on dirait" dit-il de ce langage grossier qui me rend folle.
Il a du s'en rendre compte et ses mots sont si osés qu'ils me troublent.
Son visage plaqué à mon bas ventre, il me relève la croupe.
Je tombe en avant, mes seins frottent sur les draps de notre lit conjugal.
Je mords l'oreiller de mon mari pour ne pas crier alors que son patron me pratique un cunnilingus dégouttant... extrêmement plaisant... qui me fait monter dans les échelons du plaisir.
Sa bouche aspire mon petit bout de chair et le suçote.
Je ne peux qu'ouvrir mes cuisses, abandonnée par mon corps qui se livre à ce jeu sexuel obscène, qui se donne à cet homme aux pratiques perverses.
Je respire fortement, le visage dans le tissu moelleux, l'odeur de Marc...
Le trouble me saisit comme une pince et m'étreint à m'en faire mal.
Je le trompe, je me donne à cette débauche de sexe, et la honte, si elle me tourmente, ne parvient pas à restreindre mes désirs.
Sa langue semble explorer chacun de mes orifices.
Ses mains se sont posées sur mes fesses et les maintiennent largement ouvertes pour qu'il puisse me laper comme un être affamé.
Je couine sans me retenir, une plainte saccadée qui témoigne du plaisir inouï, inconnu, qu'il me donne.
Je sens sa main venir se poser sur ma tête et empoigner mes cheveux.
Je me laisse relever le visage, les yeux clos, totalement en sa possession.
Il pourrait faire de moi ce qu'il veut, il doit le savoir.
C'est seulement à ce moment là que je m'aperçois que ses mains sont restées sur mes globes fessiers.
Je pousse un cri de surprise.
J'ai 3 mains sur mon corps !
Face à moi, debout, le pantalon baissé, se tient le sous directeur de la société.
C'est lui que le patron de mon mari a du avoir au téléphone il y a quelques minutes.
C'est un homme que je trouve vulgaire, qui m'a toujours regardé avec un air salace, et là, dans notre chambre, il agite son sexe devant mon visage.
Je cherche à me reculer mais je suis maintenue par leurs deux paires de mains.
"Non ! Non !! Pas ça... !"
Il frotte son sexe long, fin, presque droit sur mes joues.
"Tu vas voir, elle mouille comme une vraie cochonne".
Le deuxième homme me caresse salement de son membre viril.
Son pieu appuie sur mes lèvres.
"J'espère qu'elle suce bien" dit-il de sa voix acide.
J'ai un réflexe de fermer ma bouche.
Mais lorsque le directeur enfonce sa langue loin dans mon abricot, je pousse un léger gémissement et l'homme en face de moi en profite pour enfoncer son sexe allongé entre mes lèvres.
Il s'enfonce et ma joue gauche s'étire, se déforme totalement sous la pression du gland pourpre.
Je voudrais disparaitre, m'enfoncer dans les draps et m'évanouir, m'évaporer.
Il viole ma bouche alors que derrière moi une langue se faufile de nouveau dans mon orifice le plus étroit.
Lorsque je sens le patron de Marc se redresser derrière moi j'ai peur.
Hoo... Marc... je ne préfère pas y penser.
Le gland épais vient appuyer sur mon sexe.
Les mains de mon vis à vis entourent mon visage.
Il entre et sort de ma bouche, avance et recule sur ma langue, bute dans le fond de ma gorge.
Je tente de refluer la longue tige mais chacun de mes mouvements me fait aspirer son sexe dur.
L'éperon qui se fraie un passage dans ma grotte féminine me fait chavirer.
A coups de lents mouvements de bassin, la large hampe me force et me remplit de nouveau.
Ma bouche... suce... comme indépendante de mon esprit.
Ma croupe se dandine, affamée et déconnectée de mes pensées.
Marc est loin, évanescent... sorte de souvenir fugace...
Je grogne, la bouche pleine, le sexe défoncé de façon systématique.
Ils rient de me voir dans cette position immorale.
Ma bouche est douloureuse.
Le sexe du patron de Marc vient s'enfoncer à la place de celle de son adjoint alors que ce dernier pose ses mains dans un claquement sur mes fesses et qu'il m'enfile sans perdre un instant, me faisant rugir, cri étouffé par la verge qui me bâillonne.
Prise en sandwich par deux hommes, je suffoque, un second orgasme me ravage.
Leurs commentaires me font l'effet de fouets érotiques.
Je suis mise à genou sur le sol de ma chambre... de notre chambre... hooo... de la chambre où je suis leur jouet.
L'un après l'autre ils me faut sucer leurs sexes couverts de mon jus.
Je n'en peux plus et pourtant leurs attouchements me donnent la fièvre.
Mes seins sont malaxés par leurs mains de males dominants.
Jamais je n'ai été traitée de la sorte, utilisée, salie, insultée... humiliée.
Je suis obligée de les masturber, de caresser leurs bourses, de les lécher, de gober les boules et de les aspirer.
Ils tirent mes pointes de seins, me font crier de plaisir.
Ma seule résistance est de garder mes yeux clos.
Ma mâchoire fatigue, mais je continue d'avaler les deux gourdins qu'ils me présentent.
Un nouvel orgasme monte...
Et puis je sens leurs verges palpiter dans mes mains, une dans chaque main... comme... hooo... la trainée qu'il me qualifient.
Ils éjaculent l'un après l'autre sur mon visage.
Maculant mes joues, ma bouche, mon menton et mon cou, de grosses nappes de foutre odorant.
Ils caressent mon visage, étalant leurs jus sur moi de manière obscène.
Leurs doigts couvert de sperme entrent dans ma bouche et passent sur mes dents, entre mes lèvres.
Leurs excrétions de jouissance me souillent l'intérieur comme l'extérieur.
Et l'improbable se produit...
Ma poitrine tiraillée, mon visage maquillé de jus d'homme...
Je jouis de nouveau.
Je m'imagine... livrée à ces deux hommes... et les images me font venir avec une fulgurance folle.
Mes cuisses se tapissent de la cyprine qui inonde ma fente.
Je pousse des gloussements rauques.
Ils continuent de me caresser jusqu'à ce que je m'effondre au sol, vidée... assouvie...
Le sous directeur me félicite d'être une "bonne salope".
Je sens les larmes me monter aux yeux alors qu'il s'en va.
Il a profité de mon corps et s'en détourne, comme un homme vicieux, sans morale.
J'ai envie de les maudire.
Le patron de Marc me prend dans ses bras et m'allonge sur le lit.
Il se colle à moi et me câline.
Je lâche alors les vannes, je pleure, sur ma condition, sur ma vertu, sur ma conscience définitivement assombrie.
Il est doux, et je me love dans ses bras rassurants.

Lorsque je reprends réellement pied dans la réalité je suis seule dans mon lit.
Le soleil est bas.
Ai-je rêvée ?
Les draps sont en torchon.
Mon bas ventre est encore endolori.
Et mon visage craquelle de sirop masculin séché.
Ho non...
Sur un coin de ma table de nuit la culotte et le soutien gorge que j'avais perdu lors de la soirée d'entreprise sont posés avec un mot écrit sur un papier blanc : "Vous êtes délicieuse. Marc a de la chance. A bientôt.".
Je froisse le papier.
.... "A bientôt"...
J'ai honte.
J'ai chaud... si chaud.
L'envie...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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