[...]
Les jours passaient et je prenais plaisir à assumer mon rôle de Maitre virtuel.
Léa, ma secrétaire réelle, Mado de son pseudo en ligne, acceptait les missions, les ordres que je lui donnais et les exécutais avec promptitude et
sérieux.
Elle était devenu peu à peu plus soumise et obéissante.
De mon côté je m'enhardissais à lui proposer des défis extrêmement sensuels.
Cela lui plaisait et j'en étais ravi.
J'avais découvert une source de satisfaction dont j'ignorais encore la possibilité il n'y avait que quelques semaines.
C'était un travers que je m'autorisais et je ne pouvais plus m'en passer...
Comme elle ne pouvait plus se passer de "son Maitre adoré" comme elle avait fini par me dire.
Une relation intime s'était nouée entre nous.
Il y avait un élément que Léa ignorait...
Elle ne connaissait rien de la réelle identité de qui était son "Maitre".
Comment aurait-t-elle pu imaginer que son propre patron, s'amusait autant avec elle... et vice-versa.
Elle avait son bureau séparé du mien par une simple vitre.
Lorsque j'échangeais avec elle par l'intermédiaire de l'ordinateur, je devais faire attention à ne pas me dévoiler.
De son côté elle cachait son écran.
Mais je maitrisais là aussi la situation et je pouvais donc m'assurer et profiter encore plus de ce que je lui imposais.
Parfois je la voyais rougir ou venir travailler avec les yeux nettement plus brillants.
Elle me disait ensuite ce qu'elle avait fait et éprouvée.
Je n'avais aucun doute... elle prenait son pied à jouer les soumises obéissantes.
Et de retour chez moi je me dépêchais de la rejoindre et de lui faire faire d'autres choses toutes plus érotiques et osées les unes que les autres.
Ceci allait crescendo et n'était pas pour nous déplaire.
Elle me relatait comment elle avait obéit sans sourciller dans sa vie quotidienne réelle.
"... comme vous me l'avez demandé.
J'ai récité ce mantra que vous m'aviez imposé... "Je suis la soumise obéissante de mon Maitre".
Tout du long de ma douche.
Je sentais le plaisir croitre en moi alors que l'eau coulait sur moi et ruisselait sur mes courbes.
C'était difficile de résister au plaisir de me caresser.
Et lorsque j'ai murmuré ces mots... osés.
Je me suis entendue. Ma voix... j'ai eu un orgasme à peine avais-je prononcé ceci pour la troisième fois"
"... je n'ai pas mis de culotte aujourd'hui.
Pour vous faire plaisir.
Je sentais le vent sur mon sexe... c'était... je suis sur que les hommes me regardent et s'en apperçoivent.
J'adore cette sensation.
J'accepte de ne plus en mettre, en signe d'obéissance."
"... comme vous me l'avez demandé.
J'ai nettoyé le sol de mon couloir, a 4 pattes.
Dos à la porte que j'avais laissé entrouverte.
J'avais peur et en même temps je dois vous avouer que j'imaginais à chaque instant que vous pouviez entrer et... me prendre... à même le carrelage.
Ou un inconnu. Et vous auriez tout vu.
Hooo
C'était si fort... j'étais mouillée, trempée..."
"Pour nettoyer mes vitres je me suis mise en petite tenue.
Je n'ai pas osé regarder si quelqu'un me voyait.
Le haut de mes cuisses portent les traces de mon émoi.
Merci mon Maitre adoré."
"J'ai obéit. Sur ma voiture, dans la poussière, avec mon doigt j'ai écris "soumise à bord".
J'ai honte de rouler tant cela se voit.
Je me suis garé loin sur le parking pour aller travailler mais certains l'ont vu et n'ont rien dit.
Ils sourient.
S'ils savaient, mon maitre adoré comme je suis fière.
Le soir même, je me suis caressée en y pensant, je n'en pouvais plus. J'étais... en chaleur."
Cette inscription, je l'avais vu sur sa voiture mais elle m'envoya une photo pour prouver son obéissance.
Nettement visibles, ces 2 mots lui avaient demandé un effort conséquent.
Son acceptation l'avait troublé, excité.
Et je partageais ce plaisir.
Je m'immisçais dans sa vie sexuelle, j'adorais cela.
"Cela fait 3 jours que je ne me suis pas caressée mon Maitre.
Je n'en peux plus, surtout lorsque je vous lis.
J'ai l'impression d'avoir mon entrejambe douloureux en permanence.
..."
"Aujourd'hui cela fait 7 jours.
J'ai coulée sur mon siège de bureau.
En regardant mon patron comme vous me l'avez demandé.
J'ai mangé cette pomme de façon sensuelle.
J'avais des images plein la tête.
Mon abstinence est une réelle punition que vous avez doublé en m'imposant de croquer ce fruit si... langoureusement... mais tout en retenue...
Il m'a vu.
Ses yeux se sont posés sur moi et il a observé ma bouche et mes lèvres qui glissaient sur la peau verte et charnue.
C'est à ce moment là que j'ai... coulée."
"Mon Maitre.
Je vous envoie la photo que vous désiriez.
On y voit mes doigts. Ils sont recouvert de mon jus.
C'était si intense.
Après autant de jours sans en avoir le droit... je n'ai pas été longue à jouir.
Ma perle était tellement gonflée qu'elle me faisait mal.
J'ai à peine eu le temps de frotter mes mamelons que je ruisselais.
J'ai eu l'orgasme en répétant mon mantra "Je suis le soumise obéissante de mon Maitre". Ho oui...
Merci."
"... Ce n'était pas facile mon Maitre.
Tout le temps de la préparation j'avais les joues rouges.
Je ne pouvais pas m'empêcher de penser au résultat.
Il m'a fallu emprunter du matériel sur mon lieu de travail et je n'en suis pas fière.
J'espère que vous serez content de moi.
Vous trouverez en pièce jointe l'image qui montre mon obéissance.
J'ai construit seule le panneau avec la lanière.
Lorsque j'écrivais... j'étais transportée de désirs.
Voilà, vous pouvez voir votre soumise, poser devant sa glace de salle de bain, avec autour du cou, masquant la vallée de ses seins mais laissant visible ses
mamelons durs et tendus, l'écriteau indiquant "soumise à mon Maitre".
J'ai tellement honte.
C'est si bon."
"Je suis venue au bureau aujourd'hui avec l'inscription.
Merci de ne pas avoir exigé de moi que je vienne avec l'écriteau.
Mon chemisier en dentelle est transparent et une collègue m'a demandé si j'avais un tatouage.
Par transparence elle a vu...
Je suis devenue écarlate.
J'ai bredouillé une réponse qui l'a fait sourire.
Elle m'a demandé si c'était un peu coquin. J'ai répondu oui.
Si elle avait su que j'avais écrit sur ma poitrine "salope soumise"...
Elle m'a avoué qu'elle aurait aimé aussi "oser".
A la fin de ma journée, je ne me cachais plus.
Mon patron a même posé sur mon son regard qui a glissé sur la dentelle.
Mes pointes se sont dressées.
Je pense qu'il a cherché à voir ce qui était inscrit.
Puis-je l'effacer ? Et me caresser en même temps ? S'il vous plait mon Maitre adoré..."
"... C'est dans un pub, hier soir avec une amie.
Après avoir fait les magasins.
J'ai fait du charme au serveur.
Il m'a donné son numéro de téléphone.
Jamais je n'aurais cru que j'aurais osée.
Mon amie m'a trouvée changée, radieuse.
Je dois l'avouer, vos missions, nos échanges, ma soumission me remplit de joies et de plaisirs.
Je l'ai fait en pensant à vous mon maitre."
Je me permettais même de la faire agir au bureau de façon plus intense.
"... comme vous le voyez en photo ma tenue est des plus osée.
Ma jupe est très courte et elle dévoile mes bas.
Mon haut moule ma poitrine et j'ai mis un petit gilet qui me donne l'impression de rehausser la générosité de mes seins plutôt que de la dissimuler.
Je n'ose pas imaginer les yeux que vont faire les personnes à mon travail...
On dirait une... ho..."
[plus tard le même jour)
"Mon Maitre,
Je suis en ce moment à mon bureau.
Je me suis faite siffler par des hommes dans la rue.
Et mon patron, ainsi que deux collègues, m'ont souris d'une façon que j'imaginais salace.
Alors j'ai roulé des hanches en me répétant que j'"étais la soumise de mon Maitre.
Vous me faites faire des folies et j'adore".
"Notre "scénario" de ce jour m'a donné chaud.
Vos mots m'ont excités.
J'ai du m'absenter de mon bureau pour aller me soulager comme vous m'en avez donné la permission.
C'est la première fois que je me caresse dans les toilettes de mon lieu de travail.
C'était risqué, j'ai manqué gémir plusieurs fois.
Lorsque je suis revenu à ma place je n'avais qu'une seule envie... vous retrouver mais vous n'étiez plus là.
Je me suis sentie seule et abandonnée.
Un sentiment que je ne croyais pas possible au travers d'une liaison simplement virtuelle.
Vous faites partie de ma vie intime.
Répondez-moi mon Maitre."
"... Cela fait 2 jours que je n'ai pas de nouvelles de vous.
C'est difficile.
Si vous ne voulez plus de moi dites-le moi s'il vous plait.
Ai-je fait une bétise ?
En ce cas punissez-moi... j'accepterais tout.
Mais ne me laissez pas dans cet état.
Je me rends compte que je suis accro à vous.
Le mantra que je me répète me vient spontanément et il accompagne ma vie."
Ce break improvisé et dû à une mauvaise grippe qui m'avait tenue éloignée d'un ordinateur avait renforcé nos liens virtuels et surtout sensuels.
Je devais admettre que la lecture de ce mail m'avait chamboulé.
Lorsque je lui avais répondu, sans lui donner de raison, elle avait littéralement explosée de joie.
Quelque chose de très fort était né entre nous.
Je passais donc à la vitesse supérieure...
"C'est la première fois que je regarde un film... porno, mon Maitre.
Je me suis forcé à le regarder.
Il m'est difficile d'admettre que je me suis caressée devant les images et les sons.
Comme vous me l'aviez indiqué je me suis imaginée dans chacune de ses femmes.
Et... j'ai jouis deux fois.
Une première fois devant l'écran... presque brutalement.
Et une seconde fois après que la lumière se fut éteinte.
Je repensais à ces scènes, toutes plus osées, et c'était moi... l'héroïne de ces lubriques positions.
J'étais inondée...
J'aurais tant voulu que vous traversiez l'écran et que vous me soumettiez... entièrement..."
"... J'ai rencontré cet homme que vous m'avez autorisé à voir.
Il m'a fait l'amour et tout le temps j'ai pensé à vous.
C'était fou.
Il était là mais je vous voulais."
"... Pour la seconde fois que je vois mon amant, j'ai mis les dessous que vous m'avez demandé.
Il a été très surpris de me découvrir uniquement en porte-jarretelles et en bustier.
Mais j'ai vu ses yeux briller d'envie.
Je lui ai refusé ma bouche conformément à vos ordres.
Et je l'ai chevauché en lui demandant de me dire des mots crus.
Ce cochon n'avait pas la langue dans sa poche.
C'était très excitant de penser que j'allais tout vous raconter ensuite."
"Ho... mon Maitre adoré.
Ce que vous m'avez fait faire est... si obscène.
Je me sens honteuse.
J'espère que vous allez apprécier ce petit film de mes ébats solitaires..
SI seulement vous pouviez me donner l'autorisation de vous rencontrer et de me baiser... je serais obéissante... vous le savez bien."
Il en fut de même avec son amant.
Une caméra, cachée, m'a permis de la voir, le chevaucher et se faire prendre en levrette.
Quel plaisir !
Et j'en voulais toujours plus d'elle.
"Mon Maitre adoré.
Cette mission a été très tendancieuse.
Je me suis rendu à ce super marché de sex toys...
J'avais déjà honte de prendre un gode et un collier où il était écrit "soumise".
Mais lorsque, sur le parking, j'ai aperçu mon patron !
J'ai cru que le sol s'ouvrait sous mes pieds.
Il m'a sourit...
Il n'y avait aucun doute possible, j'avais un sac au nom de l'enseigne.
Je suis devenue écarlate.
Surtout devant lui.
Il n'a rien dit.
S'il vous plait donnez moi l'autorisation de me soulager.
J'ai les seins en feu et l'abricot dégoulinant de désirs tous plus osés les uns que les autres."
"Vous connaissez mon attirance pour mon patron.
C'est vrai qu'il est très... plaisant.
Je vais exécuter ce que vous voulez, rester en dernier au bureau et lui faire croire que ma voiture ne peut plus démarrer.
Ensuite je vais lui faire du charme.
Vous ne m'avez cependant pas dit si je pouvais... aller plus loin.
S'il me plait, sa position me gène un peu.
Dans tous les cas, je ferais ceci en pensant à vous, mon Maitre... adoré".
Elle m'avait alors fait un numéro dans lequel je jubilais.
Je n'avais pas poussé le bouchon jusqu'à son terme.
Elle m'avoua qu'elle se serait laissée faire.
J'eu alors d'autres envies...
A suivre...