[...]

Les jours passaient et je prenais plaisir à assumer mon rôle de Maitre virtuel.secret02
Léa, ma secrétaire réelle, Mado de son pseudo en ligne, acceptait les missions, les ordres que je lui donnais et les exécutais avec promptitude et sérieux.
Elle était devenu peu à peu plus soumise et obéissante.
De mon côté je m'enhardissais à lui proposer des défis extrêmement sensuels.
Cela lui plaisait et j'en étais ravi.
J'avais découvert une source de satisfaction dont j'ignorais encore la possibilité il n'y avait que quelques semaines.
C'était un travers que je m'autorisais et je ne pouvais plus m'en passer...
Comme elle ne pouvait plus se passer de "son Maitre adoré" comme elle avait fini par me dire.
Une relation intime s'était nouée entre nous.
Il y avait un élément que Léa ignorait...
Elle ne connaissait rien de la réelle identité de qui était son "Maitre".
Comment aurait-t-elle pu imaginer que son propre patron, s'amusait autant avec elle... et vice-versa.
Elle avait son bureau séparé du mien par une simple vitre.
Lorsque j'échangeais avec elle par l'intermédiaire de l'ordinateur, je devais faire attention à ne pas me dévoiler.
De son côté elle cachait son écran.
Mais je maitrisais là aussi la situation et je pouvais donc m'assurer et profiter encore plus de ce que je lui imposais.
Parfois je la voyais rougir ou venir travailler avec les yeux nettement plus brillants.
Elle me disait ensuite ce qu'elle avait fait et éprouvée.
Je n'avais aucun doute... elle prenait son pied à jouer les soumises obéissantes.
Et de retour chez moi je me dépêchais de la rejoindre et de lui faire faire d'autres choses toutes plus érotiques et osées les unes que les autres.
Ceci allait crescendo et n'était pas pour nous déplaire.

Elle me relatait comment elle avait obéit sans sourciller dans sa vie quotidienne réelle.
"... comme vous me l'avez demandé.
J'ai récité ce mantra que vous m'aviez imposé... "Je suis la soumise obéissante de mon Maitre".
Tout du long de ma douche.
Je sentais le plaisir croitre en moi alors que l'eau coulait sur moi et ruisselait sur mes courbes.
C'était difficile de résister au plaisir de me caresser.
Et lorsque j'ai murmuré ces mots... osés.
Je me suis entendue. Ma voix... j'ai eu un orgasme à peine avais-je prononcé ceci pour la troisième fois"

"... je n'ai pas mis de culotte aujourd'hui.
Pour vous faire plaisir.
Je sentais le vent sur mon sexe... c'était... je suis sur que les hommes me regardent et s'en apperçoivent.
J'adore cette sensation.
J'accepte de ne plus en mettre, en signe d'obéissance."

"... comme vous me l'avez demandé.
J'ai nettoyé le sol de mon couloir, a 4 pattes.
Dos à la porte que j'avais laissé entrouverte.
J'avais peur et en même temps je dois vous avouer que j'imaginais à chaque instant que vous pouviez entrer et... me prendre... à même le carrelage.
Ou un inconnu. Et vous auriez tout vu.
Hooo
C'était si fort... j'étais mouillée, trempée..."

"Pour nettoyer mes vitres je me suis mise en petite tenue.
Je n'ai pas osé regarder si quelqu'un me voyait.
Le haut de mes cuisses portent les traces de mon émoi.
Merci mon Maitre adoré."

"J'ai obéit. Sur ma voiture, dans la poussière, avec mon doigt j'ai écris "soumise à bord".
J'ai honte de rouler tant cela se voit.
Je me suis garé loin sur le parking pour aller travailler mais certains l'ont vu et n'ont rien dit.
Ils sourient.
S'ils savaient, mon maitre adoré comme je suis fière.
Le soir même, je me suis caressée en y pensant, je n'en pouvais plus. J'étais... en chaleur."

Cette inscription, je l'avais vu sur sa voiture mais elle m'envoya une photo pour prouver son obéissance.
Nettement visibles, ces 2 mots lui avaient demandé un effort conséquent.
Son acceptation l'avait troublé, excité.
Et je partageais ce plaisir.
Je m'immisçais dans sa vie sexuelle, j'adorais cela.

"Cela fait 3 jours que je ne me suis pas caressée mon Maitre.
Je n'en peux plus, surtout lorsque je vous lis.
J'ai l'impression d'avoir mon entrejambe douloureux en permanence.
..."
"Aujourd'hui cela fait 7 jours.
J'ai coulée sur mon siège de bureau.
En regardant mon patron comme vous me l'avez demandé.
J'ai mangé cette pomme de façon sensuelle.
J'avais des images plein la tête.
Mon abstinence est une réelle punition que vous avez doublé en m'imposant de croquer ce fruit si... langoureusement... mais tout en retenue...
Il m'a vu.
Ses yeux se sont posés sur moi et il a observé ma bouche et mes lèvres qui glissaient sur la peau verte et charnue.
C'est à ce moment là que j'ai... coulée."

"Mon Maitre.
Je vous envoie la photo que vous désiriez.
On y voit mes doigts. Ils sont recouvert de mon jus.
C'était si intense.
Après autant de jours sans en avoir le droit... je n'ai pas été longue à jouir.
Ma perle était tellement gonflée qu'elle me faisait mal.
J'ai à peine eu le temps de frotter mes mamelons que je ruisselais.
J'ai eu l'orgasme en répétant mon mantra "Je suis le soumise obéissante de mon Maitre". Ho oui...
Merci."

"... Ce n'était pas facile mon Maitre.
Tout le temps de la préparation j'avais les joues rouges.
Je ne pouvais pas m'empêcher de penser au résultat.
Il m'a fallu emprunter du matériel sur mon lieu de travail et je n'en suis pas fière.
J'espère que vous serez content de moi.
Vous trouverez en pièce jointe l'image qui montre mon obéissance.
J'ai construit seule le panneau avec la lanière.
Lorsque j'écrivais... j'étais transportée de désirs.
Voilà, vous pouvez voir votre soumise, poser devant sa glace de salle de bain, avec autour du cou, masquant la vallée de ses seins mais laissant visible ses mamelons durs et tendus, l'écriteau indiquant "soumise à mon Maitre".
J'ai tellement honte.
C'est si bon."

"Je suis venue au bureau aujourd'hui avec l'inscription.
Merci de ne pas avoir exigé de moi que je vienne avec l'écriteau.
Mon chemisier en dentelle est transparent et une collègue m'a demandé si j'avais un tatouage.
Par transparence elle a vu...
Je suis devenue écarlate.
J'ai bredouillé une réponse qui l'a fait sourire.
Elle m'a demandé si c'était un peu coquin. J'ai répondu oui.
Si elle avait su que j'avais écrit sur ma poitrine "salope soumise"...
Elle m'a avoué qu'elle aurait aimé aussi "oser".
A la fin de ma journée, je ne me cachais plus.
Mon patron a même posé sur mon son regard qui a glissé sur la dentelle.
Mes pointes se sont dressées.
Je pense qu'il a cherché à voir ce qui était inscrit.
Puis-je l'effacer ? Et me caresser en même temps ? S'il vous plait mon Maitre adoré..."

"... C'est dans un pub, hier soir avec une amie.
Après avoir fait les magasins.
J'ai fait du charme au serveur.
Il m'a donné son numéro de téléphone.
Jamais je n'aurais cru que j'aurais osée.
Mon amie m'a trouvée changée, radieuse.
Je dois l'avouer, vos missions, nos échanges, ma soumission me remplit de joies et de plaisirs.
Je l'ai fait en pensant à vous mon maitre."

Je me permettais même de la faire agir au bureau de façon plus intense.

"... comme vous le voyez en photo ma tenue est des plus osée.
Ma jupe est très courte et elle dévoile mes bas.
Mon haut moule ma poitrine et j'ai mis un petit gilet qui me donne l'impression de rehausser la générosité de mes seins plutôt que de la dissimuler.
Je n'ose pas imaginer les yeux que vont faire les personnes à mon travail...
On dirait une... ho..."
[plus tard le même jour)
"Mon Maitre,
Je suis en ce moment à mon bureau.
Je me suis faite siffler par des  hommes dans la rue.
Et mon patron, ainsi que deux collègues, m'ont souris d'une façon que j'imaginais salace.
Alors j'ai roulé des hanches en me répétant que j'"étais la soumise de mon Maitre.
Vous me faites faire des folies et j'adore".

"Notre "scénario" de ce jour m'a donné chaud.
Vos mots m'ont excités.
J'ai du m'absenter de mon bureau pour aller me soulager comme vous m'en avez donné la permission.
C'est la première fois que je me caresse dans les toilettes de mon lieu de travail.
C'était risqué, j'ai manqué gémir plusieurs fois.
Lorsque je suis revenu à ma place je n'avais qu'une seule envie... vous retrouver mais vous n'étiez plus là.
Je me suis sentie seule et abandonnée.
Un sentiment que je ne croyais pas possible au travers d'une liaison simplement virtuelle.
Vous faites partie de ma vie intime.
Répondez-moi mon Maitre."

"... Cela fait 2 jours que je n'ai pas de nouvelles de vous.
C'est difficile.
Si vous ne voulez plus de moi dites-le moi s'il vous plait.
Ai-je fait une bétise ?
En ce cas punissez-moi... j'accepterais tout.
Mais ne me laissez pas dans cet état.
Je me rends compte que je suis accro à vous.
Le mantra que je me répète me vient spontanément et il accompagne ma vie."

Ce break improvisé et dû à une mauvaise grippe qui m'avait tenue éloignée d'un ordinateur avait renforcé nos liens virtuels et surtout sensuels.
Je devais admettre que la lecture de ce mail m'avait chamboulé.
Lorsque je lui avais répondu, sans lui donner de raison, elle avait littéralement explosée de joie.
Quelque chose de très fort était né entre nous.
Je passais donc à la vitesse supérieure...

"C'est la première fois que je regarde un film... porno, mon Maitre.
Je me suis forcé à le regarder.
Il m'est difficile d'admettre que je me suis caressée devant les images et les sons.
Comme vous me l'aviez indiqué je me suis imaginée dans chacune de ses femmes.
Et... j'ai jouis deux fois.
Une première fois devant l'écran... presque brutalement.
Et une seconde fois après que la lumière se fut éteinte.
Je repensais à ces scènes, toutes plus osées, et c'était moi... l'héroïne de ces lubriques positions.
J'étais inondée...
J'aurais tant voulu que vous traversiez l'écran et que vous me soumettiez... entièrement..."

"... J'ai rencontré cet homme que vous m'avez autorisé à voir.
Il m'a fait l'amour et tout le temps j'ai pensé à vous.
C'était fou.
Il était là mais je vous voulais."

"... Pour la seconde fois que je vois mon amant, j'ai mis les dessous que vous m'avez demandé.
Il a été très surpris de me découvrir uniquement en porte-jarretelles et en bustier.
Mais j'ai vu ses yeux briller d'envie.
Je lui ai refusé ma bouche conformément à vos ordres.
Et je l'ai chevauché en lui demandant de me dire des mots crus.
Ce cochon n'avait pas la langue dans sa poche.
C'était très excitant de penser que j'allais tout vous raconter ensuite."

"Ho... mon Maitre adoré.
Ce que vous m'avez fait faire est... si obscène.
Je me sens honteuse.
J'espère que vous allez apprécier ce petit film de mes ébats solitaires..
SI seulement vous pouviez me donner l'autorisation de vous rencontrer et de me baiser... je serais obéissante... vous le savez bien."

Il en fut de même avec son amant.
Une caméra, cachée, m'a permis de la voir, le chevaucher et se faire prendre en levrette.
Quel plaisir !
Et j'en voulais toujours plus d'elle.

"Mon Maitre adoré.
Cette mission a été très tendancieuse.
Je me suis rendu à ce super marché de sex toys...
J'avais déjà honte de prendre un gode et un collier où il était écrit "soumise".
Mais lorsque, sur le parking, j'ai aperçu mon patron !
J'ai cru que le sol s'ouvrait sous mes pieds.
Il m'a sourit...
Il n'y avait aucun doute possible, j'avais un sac au nom de l'enseigne.
Je suis devenue écarlate.
Surtout devant lui.
Il n'a rien dit.
S'il vous plait donnez moi l'autorisation de me soulager.
J'ai les seins en feu et l'abricot dégoulinant de désirs tous plus osés les uns que les autres."

"Vous connaissez mon attirance pour mon patron.
C'est vrai qu'il est très... plaisant.
Je vais exécuter ce que vous voulez, rester en dernier au bureau et lui faire croire que ma voiture ne peut plus démarrer.
Ensuite je vais lui faire du charme.
Vous ne m'avez cependant pas dit si je pouvais... aller plus loin.
S'il me plait, sa position me gène un peu.
Dans tous les cas, je ferais ceci en pensant à vous, mon Maitre... adoré".

Elle m'avait alors fait un numéro dans lequel je jubilais.
Je n'avais pas poussé le bouchon jusqu'à son terme.
Elle m'avoua qu'elle se serait laissée faire.

J'eu alors d'autres envies...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]


Ses cheveux bruns remontés sur l'arrière de son crâne, sa frange courte, son regard doux caché dans ses lunettes lui donnaient un air sage.
Sa jupe noire et son chemisier sans aucune exubérance continuaient de donner d'elle l'image d'une parfaite femme aux mœurs calmes.
secret01Je savais pourtant que cela n'en était rien.
Elle ne savait pas que j'avais découvert qu'elle discutait sur Internet... des échanges où elle se faisait dirigé... où je venais de me faire passer pour un homme qui la voulait en "soumise".
Et elle avait accepté.
Novice à ce jeu, je devais penser à toute vitesse pour alimenter cette affamée de sensualité qui cachait bien son jeu.
Elle s'était assise à côté de mon bureau, un peu plus loin que les 2 clients avec qui je m'entretenais, les jambes serrées pour y poser son petit ordinateur.
Elle prenait en note notre discussion.
Je lui avais fait enlever son soutien-gorge et sa poitrine de belle taille, un 95C m'avait-elle assurée, se balançait parfois lorsqu'elle se redressait.
Un de mes interlocuteur semblait avoir remarqué cette absence ô combien excitante.
Je devais, moi aussi, faire un effort pour ne pas trop regarder les renflements qui tendaient le tissu de son chemisier.
Ce qu'il ne savait pas, que je savais moi, c'est qu'elle ne portait pas non plus de culotte...
Et, le plus fort, c'est qu'elle ignorait que j'en avais connaissance.
J'eu un peu de mal à me concentrer, puis la loi du travail reprit son importance et la réunion fut menée de façon classique, les devis signés. C'était une bonne journée.
Au moment de se dire au revoir, je vis les regards des deux hommes se repaitre de Léa, ma secrétaire, toujours sagement assise. Elle se leva pour leur serrer la main et il ne purent s'empêcher de sourire en la dégustant du regard.
J'admirais moi aussi la courbe douce de ses hanches et le tissu de sa jupe nullement déformé par un quelconque dessous.
"Je remets mes notes en forme et je vous apporte le compte-rendu Monsieur." fit-elle de sa voix délicieuse.
"Très bien".
Elle s'esquiva et je me ruais sur mon ordinateur.
J'avais laissé la session ouverte et je l'attendais à arriver.
Je n'avais aucun doute, elle allait venir.
Lorsque je vis son pseudo apparaitre, Mado, je me pris à sourire.
"Monsieur, je suis revenue".
J'attendis un peu.
Mon sexe gonflait... malgré moi.
Ce petit jeu m'excitait, il n'y avait pas de doute possible.
"As-tu fais ce que je t'ai demandé ?"
"Oui Monsieur".
Elle m'envoya un mail sur la boite créée a cet effet.
"Je vais lire et voir si cela me convient".
"Oui Monsieur".
J'ouvrais le document.
Au fil de ma lecture je découvrais Léa sous un angle encore inconnu et, le fait d'avoir la preuve qu'elle m'avait obéit une fois, me confortait dans l'idée qu'elle allait bien faire ce qu'elle disait. J'étais sous l'emprise d'un plaisir intellectuel intense que je n'avais encore jamais connu.
"Monsieur,
Je m'appelle Léa, je suis brune, de taille moyenne, les yeux marrons.
Vous me connaissez sous le pseudo de Mado.
Je vous écris afin de vous demander de bien vouloir me prendre comme soumise.
Je serais obéissante et ferais ce que vous voudrez.
Je vous donne le droit de gérer ma sexualité, mes désirs...
Cet après-midi vous avez exigez de moi quelque chose que je n'avais encore jamais fait.
J'ai du participer à une réunion avec mon patron et deux clients, sans soutien-gorge.
Le plaisir était au rendez-vous. Leurs yeux sur moi et les pensées que je les imaginais avoir m'ont fait mouiller.
Comme vous m'aviez interdit de porter de culotte j'ai du me retenir pour ne pas me salir.
J'avais honte mais c'était extrêmement plaisant de savoir mes seins de bonne taille, attirer les regards.
Il me tardait de vous dire combien j'ai aimé ce que vous m'avez imposé.
J'accepte d'être obéissante et de vous raconter et vous prouver que ce que vous m'ordonnerez de faire.
Je ne prendrais pas d'autre Maitre et vous pourrez me punir ou me répudier si je ne vous conviens pas.
Mon plaisir sera de vous faire plaisir.

J'espère que vous accéderez à ma supplique.

Léa... Mado... ou tout autre nom que vous me donnerez"

J'étais assis, heureusement. Elle avait écrit ce texte en même temps que nous avions notre réunion.
Tout à la fois elle avouait ses sensations et m'offrait le luxe suprême de diriger sa vie sexuelle.
"Mado ?"
"Oui Monsieur ?"
"Ton texte est plaisant. Raconte moi un peu plus sur ce moment où tu étais avec ses 3 hommes."
"Mon patron avait remarqué je pense, que je ne portais pas de soutien gorge, puis un autre, un de ses clients. Ils jetaient de coups d'œil et je me sentais nue. J'avais honte mais c'était une source de plaisir impoli."
"Ils te plaisaient ?"
Elle eu un temps de latence avant de répondre.
"Pas tous non".
"L'un d'eux t'aurait plu ?"
"Oui Monsieur. Mais vous ne m'aviez rien dit".
"Lequel ?"
Mon cœur battait la chamade. Tenaillé entre l'espoir et la crainte.
"Mon... mon patron Monsieur."
Je n'osais pas y croire.
Je restais figé.
"Pourquoi ?"
Je ne parvenais pas à écrire autre chose. Ma secrétaire m'avouait, sans le savoir, qu'elle me trouvait pas mal.
"Je... son regard, ses mains aussi... et il ne me laisse pas indifférente"
"D'accord... mais n'oublie pas que je suis là".
Je devenais schizophrène.
"Revenons à ta demande. A partir de maintenant... je t'appellerais Léa. De ton vrai nom. Et pour toi, je serais "Maitre". Est-ce clair ?"
"Ho oui monsieur"
Elle se reprit rapidement.
"Oui Maitre. Dois je comprendre que je suis acceptée ?"
"Tu l'es."
"Je suis contente"
Elle passa sa main dans ses cheveux et je la vis sourire de l'autre côté de la vitre.
Elle l'était... et pas seulement en virtuel.
"Très bien. Ce soir tu peux te satisfaire. Demain je te veux sans culotte. Tu peux conserver ton soutien gorge pour le moment. Je t'attendrais, tu devras venir me voir."
"Oui Maitre. Bien sur."
Je coupais notre discussion.
Mon sexe était en érection.
Si j'avais encore envie de lui parler, je devais absolument faire celui qui était un peu détaché, enfin je l'imaginais.
Elle entra quelques secondes plus tard dans le bureau en m'apportant les copies de la réunion.
Lorsqu'elle se pencha pour déposer les feuilles je plongeais dans son décolleté.
Que ses seins avaient l'air doux et chauds ! Pleins et fermes comme deux belles pommes à la pointe saillante.
Ses joues rougirent un peu et elle me souhaita une bonne soirée.
"Vous aussi Léa. A demain".
Mon ton était un peu plus ferme que prévu.
Elle marqua un temps d'arrêt dans son déplacement vers la porte.
"Oui Monsieur, à demain. Mais je n'ai pas encore fini ma journée".
Je bredouillais une excuse à mi voix.
Elle reprit son travail et moi le mien.
Troublé, je l'étais au plus haut point.
Comment allais-je donc pouvoir alimenter cette relation dont j'ignorais tout mais qui me palpitait comme un nouveau challenge à remporter ?
Des idées me vinrent... Elle allait apprécier je l'espérais.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]

Je lui demandais de se décrire.
Elle répondit avec un "Oui Monsieur".
De l'autre côté de la vitre qui nous séparait, j'allais pouvoir à loisir observer qu'elle représentation elle voulait donner d'elle-même et à quel point cet univers virtuel qu'elle côtoyait sur son temps de travail, et peut-être en dehors, était proche du sien.
"Je suis brune. 1m75. Des yeux marrons."
Elle donnait une description sommaire de la réalité.
"Mais encore ?" Elle poursuivait.
"Une poitrine de belle taille, je suis très sensible des tétons".

secret04
Elle me livrait des détails sur son intimité, chose qu'elle n'aurait jamais osée faire si elle avait su qui était caché derrière mon pseudo.
"Décris moi un peu plus tes seins." Je m'étonnais de mon audace, réfugié derrière mon anonymat.
Je la voyais, elle reçu un appel téléphonique, et ne pu répondre dans l'instant.
"Allez, plus vite" lui lançais-je pour lui mettre la pression.
Je l'entendais répondre au téléphone, de façon professionnelle, tout en écrivant."95C".
Elle ne s'idéalisait pas. Je pouvais imaginer que c'était bien là la taille de sa poitrine. Et je me prenais au jeu.
J'avais envie de pousser plus avant ce jeu amusant et sensuel, de lui en demander plus... et tout ceci me donnait un peu chaud, je devais me l'avouer.
"Décris-moi ta tenue".
Je la voyais et ce qu'elle me disait était conforme en tout point à la réalité. Une jupe, un chemisier...
"Je ne porte pas de culotte" finit-elle par écrire.
Je le savais déjà, ayant surpris son dialogue avec son contact précédent. Je restais un instant stupéfait par la tournure de nos échanges. Elle aimait cette part de dirigisme à distance. Et, il me faut l'avouer, je sentais ma verge pulser par intermittence sous l'afflux de pensées érotiques qui m'envahissaient.
Comment cette femme particulièrement efficace au travail pouvait en même temps être aussi... dévergondée !
Je l'avais accroché à ce jeu de séduction mais, je m'en doutais, elle avait beaucoup plus d'expérience que moi et je voulais "la conserver" car j'avais envie de plus encore.
"Un soutif je suppose, pour prendre soin de tes seins ?"
Sa réponse fut immédiate.
"Oui Monsieur. En dentelle, noir."
Elle devait avoir d'autres demandes, sans nul doute. Il me fallait donc aller croissant dans la sensualité, sans faire d'écarts pour ne pas qu'elle parte avec un autre homme.
"Pourquoi n'as-tu pas de culotte ?"
Même si je connaissais la réponse, simplement parce qu'un autre que moi lui avait demandé, j'étais persuadé qu'elle aimait se dévoiler, j'avais donc un moyen de la maintenir en contact avec moi.
"Parce que je suis... obéissante".
Elle venait de me tendre une perche. Et ma perche à moi, se tendait carrément maintenant.
"Un autre homme ? Ton mari ? Un... Maitre ? te l'a demandé ?"
Je la vis se passer la main dans les cheveux et recaler ses lunettes qui n'en avaient pas besoin.
Était-ce bon signe ?
"Un autre homme qui m'a dirigé lui aussi tout à l'heure."
Très franche, j'y voyais le signe qu'elle appréciait mes questions. Il ne fallait cependant pas que je reste dans l'interrogation car je savais qu'elle aimait être contrainte.
"Dernière question. Tu es au travail je suppose".
"Oui".
Elle avait une vitesse de frappe incroyable. Mais j'avais noté un détail...
"Oui qui ?"
"Oui Monsieur". Elle replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille de façon craquante, je commençais à la cerner.
J'avais envie de la faire évoluer et... de la faire approcher, physiquement.
"Tu as un chef de service ?"
"Oui Monsieur. Mon patron."
"Il est comment ?"
Aie ! Etais-je trop prompt dans cette demande et surtout quelle allait être sa réponse. J'envisageais mal une réflexion désobligeante sur ma personne.
Elle osa un regard au travers de la vitre qui séparait mon bureau du sien. Je m'échinais à conserver une attitude étrangère.
"Plutôt pas mal."
Sa réponse me fit un effet intense. Je savais, je pouvais savoir, ce qu'elle pensait de moi.
Si c'était risqué... car elle m'aurait trouvé "laid et idiot" j'en aurais piqué une crise... c'était aussi un moyen extraordinaire de pouvoir détenir des savoirs, des connaissances.
"Très bien. Tu vas faire quelque chose pour moi."
Elle attendait. Je la vis répondre au téléphone de façon plus sèche, concentrée sur son écran.
"Tu vas enlever ton soutif et aller dans le bureau de ton boss (je décidais d'employer un mot que je n'utilisais jamais), le dernier bouton de ton chemisier ouvert. Je veux qu'il puisse voir que tu ne portes pas de soutif."
Elle eu un rougissement léger avant de tourner son visage vers moi.
Je replongeais dans mes dossiers dont je ne pouvais plus lire une seule ligne, pour éviter qu'elle ne me remarqua en train de l'épier.
"C'est... très osé Monsieur".
"Fais-le de manière délicate et tu me diras toutes les sensations que tu auras ressenti. Si tu es douée, alors tu seras récompensée".
Je me demandais-bien ce que j'allais pouvoir lui donner comme "récompense", mais j'avais un peu de temps pour y réfléchir.
"Très bien Monsieur".
Elle se leva, sans un regard vers moi et fila dans le couloir.
Je m'adossais à mon fauteuil. J'avais chaud. Très chaud. Dans quoi m'étais-je lancé ?
D'un côté je pouvais couper à tout instant et ceci ne serait qu'une histoire sans suite. Mais... j'étais piqué par l'envie de la voir se dévoiler et surtout je commençais à prendre du plaisir à ce jeu.
Elle revint à son bureau, le visage bas.
"Je me sens... nue" m'écrivit-elle aussitôt.
"Tu es déjà allé le voir ?"
"Non Monsieur. J'ai juste... obéis... et ma poitrine est libre."
C'était incroyable mais elle ne simulait pas. Elle aimait ce type de relations.
"Si tu ne veux pas, je comprendrais." J'avais soudain un peu de compassion.
"Mais si tu y vas..."
"Je reviens Monsieur". Elle se mit debout et je la vis prendre un dossier et le serrer sur son chemisier.
Elle frappa à ma porte.
"Entrez". Ma voix se cassa, j'étais intimidé, j'allais devoir assurer mon rôle var tout à coup le réel entrait dans notre petit amusement anodin. Je tentais de détourner le regard de ses formes à grand peine.
"Vous avez une réunion dans 20 mn et... j'ai... heu... pensé que vous voudriez avoir le dossier complet."
Je n'en avais absolument pas la nécessité mais son astuce était parfaite.
"Merci Léa, vous êtes très prévenante." J'étais embarrassé mais je parvins à lui sourire. Son regard brillait. Etais-ce moi ou bien y avait-il dans ses yeux, une étincelle différente de l'habitude ?
Elle déposa le dossier sur le bureau. J'accrochais, sans le vouloir, son décolleté des yeux.
Le bouton de son chemisier ouvert, légèrement penchée en avant pour me remettre les documents... la vallée profonde et ombragée qui séparait ses seins se dévoila.
Le doute n'était pas permis, elle avait obéit.
Son absence de soutien-gorge me fit l'effet d'une boule de feu qui remonta dans tout mon corps. J'étais captivé par la peau que j'imaginais douce, chaude, souple.
Elle se redressa lentement et croisa ses mains devant elle en attendant que je lui dise quelque chose. Ses pommettes étaient roses et elle cligna des yeux plusieurs fois, signes d'une émotion forte.
"Vous êtes parfaite Léa..." Je laissais mon regard flâner sur les courbes de ses seins et sur les renflements nettement visibles que formaient ses tétons de par leur érection.
Elle avala sa salive et je lui fis un grand sourire.
"Merci Monsieur". Elle me tourna le dos pour quitter le bureau.
Je regardais son fessier se balancer. Somptueux. Nulle trace de culotte et j'en avais la certitude, elle ne portait rien. Qu'il devait être délicieux d'y laisser courir ses mains...
Lorsque la porte se referma j'avais l'esprit embrumé et ma virilité était exacerbée.
"C'est fait Monsieur". Sa phrase scintilla.
"Bien. Raconte".
Je la vis hésiter et manipuler ses lunettes.
"Il a du remarquer car je me suis penché et il a plongé le regard dans mon chemisier."
Je ne pouvais rien dire, rien écrire.
"J'avais un peu honte. Mais c'était si... fou..." Elle parlait et je buvais ses paroles en visionnant en souvenir ce moment décalé.
"Mes tétons sont durs Monsieur, et j'ai une réunion... tout le monde va s'apercevoir que je n'ai pas de soutien-gorge."
Mes doigts enfoncèrent les touches, guidés par mon subconscient.
"Je suis sur qu'ils vont apprécier le spectacle. Et que tu vas aimer qu'ils te regardent. Car tu as aimé cet ordre que je t'ai donné, n'est-ce pas ?"
Je me découvrais une aisance dans ce rôle de dirigeant.
Sa réponse ne venait pas. Elle m'avait fait une sorte de demande et je ne voulais pas en tenir compte. Était-ce trop ?
Je levais les yeux de mon écran, faisant semblant de compulser les données incluses dans le dossier, pour l'observer.
Elle détourna le regard lorsqu'elle me vit.
"Oui Monsieur. J'ai aimé. Je crois que j'ai chaud. Vous me donnez chaud."
A moi aussi elle donnait chaud ! Si elle savait !
"Je vois que tu es bien obéissante. Alors je vais peut-être te prendre comme soumise. Cela te plairait ? "
"Hoo... Oui. Merci Monsieur".
Me revint en mémoire quelque chose que j'avais lu, sans pouvoir savoir quand ni précisément de quoi il s'agissait.
"Ce sera ta récompense. Tu auras des ordres et tu devras les exécuter, puis m'en faire état. Est-ce clair ?"
"Oui Monsieur". Elle avait le regard rivé sur son écran. Captivée... j'avais trouvé le moyen de la ferrer.
"Mais pour cela, pendant ta réunion, tu vas devoir m'écrire une lettre de demande, pour que je vois si tu es motivée pour devenir ma soumise".
Encore une fois sa rapidité me surprit.
"Et, par exemple, que devrais-je faire pour vous, si vous m'honorez de votre emprise ?"
Je devais trouver... les mots dépassèrent ma pensée.
"Je gèrerais ta sexualité. Y compris dans le choix de tes actes, de ta tenue, de ce que tu pourras dire... Tu auras parfois des photos à me remettre en tant que preuves."
L'absence de réponse immédiate me fit douter de la pertinence de mes exigences.
"Très bien Monsieur. Je vais vous écrire ce que vous exigez. J'espère que je serais... prise".
J'étais suffoqué.
"A l'issue de ta réunion je veux ta lettre."
"Vous serez encore connecté ?"
"Je t'attendrais. Pour cette fois seulement". Je lui mettais la pression.
"Je fais faire ce que vous voulez."
Et elle adorait, visiblement.
Mais comment allait donc se passer la réunion ?
Avant je devais me calmer et faire descendre l'érection qui déformait mon pantalon.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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