Partager l'article ! Léa, secrétaire... 3: [...] Je lui demandais de se décrire. Elle répondit avec un "Oui Monsieur". De l'autre côté de la v ...
[...]
Je lui demandais de se décrire.
Elle répondit avec un "Oui Monsieur".
De l'autre côté de la vitre qui nous séparait, j'allais pouvoir à loisir observer qu'elle représentation elle voulait donner
d'elle-même et à quel point cet univers virtuel qu'elle côtoyait sur son temps de travail, et peut-être en dehors, était proche du sien.
"Je suis brune. 1m75. Des yeux marrons."
Elle donnait une description sommaire de la réalité.
"Mais encore ?" Elle poursuivait.
"Une poitrine de belle taille, je suis très sensible des tétons".
Elle me livrait des détails sur son intimité, chose qu'elle n'aurait jamais osée faire si elle avait su qui était caché
derrière mon pseudo.
"Décris moi un peu plus tes seins." Je m'étonnais de mon audace, réfugié derrière mon anonymat.
Je la voyais, elle reçu un appel téléphonique, et ne pu répondre dans l'instant.
"Allez, plus vite" lui lançais-je pour lui mettre la pression.
Je l'entendais répondre au téléphone, de façon professionnelle, tout en écrivant."95C".
Elle ne s'idéalisait pas. Je pouvais imaginer que c'était bien là la taille de sa poitrine. Et je me prenais au
jeu.
J'avais envie de pousser plus avant ce jeu amusant et sensuel, de lui en demander plus... et tout ceci me donnait un peu
chaud, je devais me l'avouer.
"Décris-moi ta tenue".
Je la voyais et ce qu'elle me disait était conforme en tout point à la réalité. Une jupe, un chemisier...
"Je ne porte pas de culotte" finit-elle par écrire.
Je le savais déjà, ayant surpris son dialogue avec son contact précédent. Je restais un instant stupéfait par la tournure de
nos échanges. Elle aimait cette part de dirigisme à distance. Et, il me faut l'avouer, je sentais ma verge pulser par intermittence sous l'afflux de pensées érotiques qui
m'envahissaient.
Comment cette femme particulièrement efficace au travail pouvait en même temps être aussi... dévergondée !
Je l'avais accroché à ce jeu de séduction mais, je m'en doutais, elle avait beaucoup plus d'expérience que moi et je voulais
"la conserver" car j'avais envie de plus encore.
"Un soutif je suppose, pour prendre soin de tes seins ?"
Sa réponse fut immédiate.
"Oui Monsieur. En dentelle, noir."
Elle devait avoir d'autres demandes, sans nul doute. Il me fallait donc aller croissant dans la sensualité, sans faire
d'écarts pour ne pas qu'elle parte avec un autre homme.
"Pourquoi n'as-tu pas de culotte ?"
Même si je connaissais la réponse, simplement parce qu'un autre que moi lui avait demandé, j'étais persuadé qu'elle aimait se
dévoiler, j'avais donc un moyen de la maintenir en contact avec moi.
"Parce que je suis... obéissante".
Elle venait de me tendre une perche. Et ma perche à moi, se tendait carrément maintenant.
"Un autre homme ? Ton mari ? Un... Maitre ? te l'a demandé ?"
Je la vis se passer la main dans les cheveux et recaler ses lunettes qui n'en avaient pas besoin.
Était-ce bon signe ?
"Un autre homme qui m'a dirigé lui aussi tout à l'heure."
Très franche, j'y voyais le signe qu'elle appréciait mes questions. Il ne fallait cependant pas que je reste dans
l'interrogation car je savais qu'elle aimait être contrainte.
"Dernière question. Tu es au travail je suppose".
"Oui".
Elle avait une vitesse de frappe incroyable. Mais j'avais noté un détail...
"Oui qui ?"
"Oui Monsieur". Elle replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille de façon craquante, je commençais à la
cerner.
J'avais envie de la faire évoluer et... de la faire approcher, physiquement.
"Tu as un chef de service ?"
"Oui Monsieur. Mon patron."
"Il est comment ?"
Aie ! Etais-je trop prompt dans cette demande et surtout quelle allait être sa réponse. J'envisageais mal une réflexion
désobligeante sur ma personne.
Elle osa un regard au travers de la vitre qui séparait mon bureau du sien. Je m'échinais à conserver une attitude
étrangère.
"Plutôt pas mal."
Sa réponse me fit un effet intense. Je savais, je pouvais savoir, ce qu'elle pensait de moi.
Si c'était risqué... car elle m'aurait trouvé "laid et idiot" j'en aurais piqué une crise... c'était aussi un moyen
extraordinaire de pouvoir détenir des savoirs, des connaissances.
"Très bien. Tu vas faire quelque chose pour moi."
Elle attendait. Je la vis répondre au téléphone de façon plus sèche, concentrée sur son écran.
"Tu vas enlever ton soutif et aller dans le bureau de ton boss (je décidais d'employer un mot que je n'utilisais jamais), le
dernier bouton de ton chemisier ouvert. Je veux qu'il puisse voir que tu ne portes pas de soutif."
Elle eu un rougissement léger avant de tourner son visage vers moi.
Je replongeais dans mes dossiers dont je ne pouvais plus lire une seule ligne, pour éviter qu'elle ne me remarqua en train de
l'épier.
"C'est... très osé Monsieur".
"Fais-le de manière délicate et tu me diras toutes les sensations que tu auras ressenti. Si tu es douée, alors tu seras
récompensée".
Je me demandais-bien ce que j'allais pouvoir lui donner comme "récompense", mais j'avais un peu de temps pour y
réfléchir.
"Très bien Monsieur".
Elle se leva, sans un regard vers moi et fila dans le couloir.
Je m'adossais à mon fauteuil. J'avais chaud. Très chaud. Dans quoi m'étais-je lancé ?
D'un côté je pouvais couper à tout instant et ceci ne serait qu'une histoire sans suite. Mais... j'étais piqué par l'envie de
la voir se dévoiler et surtout je commençais à prendre du plaisir à ce jeu.
Elle revint à son bureau, le visage bas.
"Je me sens... nue" m'écrivit-elle aussitôt.
"Tu es déjà allé le voir ?"
"Non Monsieur. J'ai juste... obéis... et ma poitrine est libre."
C'était incroyable mais elle ne simulait pas. Elle aimait ce type de relations.
"Si tu ne veux pas, je comprendrais." J'avais soudain un peu de compassion.
"Mais si tu y vas..."
"Je reviens Monsieur". Elle se mit debout et je la vis prendre un dossier et le serrer sur son chemisier.
Elle frappa à ma porte.
"Entrez". Ma voix se cassa, j'étais intimidé, j'allais devoir assurer mon rôle var tout à coup le réel entrait dans notre
petit amusement anodin. Je tentais de détourner le regard de ses formes à grand peine.
"Vous avez une réunion dans 20 mn et... j'ai... heu... pensé que vous voudriez avoir le dossier complet."
Je n'en avais absolument pas la nécessité mais son astuce était parfaite.
"Merci Léa, vous êtes très prévenante." J'étais embarrassé mais je parvins à lui sourire. Son regard brillait. Etais-ce moi
ou bien y avait-il dans ses yeux, une étincelle différente de l'habitude ?
Elle déposa le dossier sur le bureau. J'accrochais, sans le vouloir, son décolleté des yeux.
Le bouton de son chemisier ouvert, légèrement penchée en avant pour me remettre les documents... la vallée profonde et
ombragée qui séparait ses seins se dévoila.
Le doute n'était pas permis, elle avait obéit.
Son absence de soutien-gorge me fit l'effet d'une boule de feu qui remonta dans tout mon corps. J'étais captivé par la peau
que j'imaginais douce, chaude, souple.
Elle se redressa lentement et croisa ses mains devant elle en attendant que je lui dise quelque chose. Ses pommettes étaient
roses et elle cligna des yeux plusieurs fois, signes d'une émotion forte.
"Vous êtes parfaite Léa..." Je laissais mon regard flâner sur les courbes de ses seins et sur les renflements nettement
visibles que formaient ses tétons de par leur érection.
Elle avala sa salive et je lui fis un grand sourire.
"Merci Monsieur". Elle me tourna le dos pour quitter le bureau.
Je regardais son fessier se balancer. Somptueux. Nulle trace de culotte et j'en avais la certitude, elle ne portait rien.
Qu'il devait être délicieux d'y laisser courir ses mains...
Lorsque la porte se referma j'avais l'esprit embrumé et ma virilité était exacerbée.
"C'est fait Monsieur". Sa phrase scintilla.
"Bien. Raconte".
Je la vis hésiter et manipuler ses lunettes.
"Il a du remarquer car je me suis penché et il a plongé le regard dans mon chemisier."
Je ne pouvais rien dire, rien écrire.
"J'avais un peu honte. Mais c'était si... fou..." Elle parlait et je buvais ses paroles en visionnant en souvenir ce moment
décalé.
"Mes tétons sont durs Monsieur, et j'ai une réunion... tout le monde va s'apercevoir que je n'ai pas de
soutien-gorge."
Mes doigts enfoncèrent les touches, guidés par mon subconscient.
"Je suis sur qu'ils vont apprécier le spectacle. Et que tu vas aimer qu'ils te regardent. Car tu as aimé cet ordre que je
t'ai donné, n'est-ce pas ?"
Je me découvrais une aisance dans ce rôle de dirigeant.
Sa réponse ne venait pas. Elle m'avait fait une sorte de demande et je ne voulais pas en tenir compte. Était-ce trop
?
Je levais les yeux de mon écran, faisant semblant de compulser les données incluses dans le dossier, pour
l'observer.
Elle détourna le regard lorsqu'elle me vit.
"Oui Monsieur. J'ai aimé. Je crois que j'ai chaud. Vous me donnez chaud."
A moi aussi elle donnait chaud ! Si elle savait !
"Je vois que tu es bien obéissante. Alors je vais peut-être te prendre comme soumise. Cela te plairait ? "
"Hoo... Oui. Merci Monsieur".
Me revint en mémoire quelque chose que j'avais lu, sans pouvoir savoir quand ni précisément de quoi il s'agissait.
"Ce sera ta récompense. Tu auras des ordres et tu devras les exécuter, puis m'en faire état. Est-ce clair ?"
"Oui Monsieur". Elle avait le regard rivé sur son écran. Captivée... j'avais trouvé le moyen de la ferrer.
"Mais pour cela, pendant ta réunion, tu vas devoir m'écrire une lettre de demande, pour que je vois si tu es motivée pour
devenir ma soumise".
Encore une fois sa rapidité me surprit.
"Et, par exemple, que devrais-je faire pour vous, si vous m'honorez de votre emprise ?"
Je devais trouver... les mots dépassèrent ma pensée.
"Je gèrerais ta sexualité. Y compris dans le choix de tes actes, de ta tenue, de ce que tu pourras dire... Tu auras parfois
des photos à me remettre en tant que preuves."
L'absence de réponse immédiate me fit douter de la pertinence de mes exigences.
"Très bien Monsieur. Je vais vous écrire ce que vous exigez. J'espère que je serais... prise".
J'étais suffoqué.
"A l'issue de ta réunion je veux ta lettre."
"Vous serez encore connecté ?"
"Je t'attendrais. Pour cette fois seulement". Je lui mettais la pression.
"Je fais faire ce que vous voulez."
Et elle adorait, visiblement.
Mais comment allait donc se passer la réunion ?
Avant je devais me calmer et faire descendre l'érection qui déformait mon pantalon.
A suivre...