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Lorsque Robin passa devant la cuisine il aperçu sa patronne qui rangeait quelques restes du repas.
Elle le regarda et il cru déceler un petit sourire.
- Je rentre Madame. Lui dit-il sans s'empêcher d'admirer la robe de soirée noire qui la moulait et faisait ressortir la généreuse volupté de ses formes sensuelles.
- Très bien Robin. Fit elle.
Il traversa la grande salle désormais vide où seuls les clignotements du sapin témoignaient que Noël venait d'avoir lieu.
Toute l'excitation de l'avant était retombée. Les guirlandes pourtant inchangées, avaient même un teint un peu plus terne.
L'air frais du dehors le fit frissonner.
Il marchait lentement dans l'allée de gravillons pour atteindre sa petite maison de garde dans laquelle il logeait, tout à l'autre bout de cette longue allée qui sinuait dans le parc.
Un sourire large éclaira son visage.
Derrière lui se faisaient entendre des pas, un son caractéristique de chaussures à talons.
Il accéléra à l'ombre d'un arbuste et s'éclipsa derrière l'angle de son modeste logement.
Elle lui avait emboitée le pas, le désir chevillé au corps. Ce rendez-vous nocturne, jamais encore elle n'avait osée lui rendre visite chez lui.
Ce jour était exceptionnel. "J'aurais peut-être droit à rencontrer le Père Fessard" lui avait-elle dit... "Il ne faut pas sortir le soir quand on est vilaine alors..." lui avait-il murmuré.
Son mari dormait, ses invités aussi... aucun d'eux ne remarqueraient son absence.
Un frisson passa entre ses seins. Ce n'était pas le froid, mais l'envie d'indécence.
Elle avait devant elle la maison de Robin. Une petite bâtisse de briques rouges et de stuc ocre. Une maison de gardien, coquette, à l'unisson de la villa. Simplement éclairée par la Lune.
Un bruit la fit sursauter.
Il faisait nuit et elle eut un peu peur.
Sortant de sous une frondaison un peu basse Robin l'accosta.
- Il est tard pour se balader une nuit de Noël. Le gentil monsieur en rouge et blanc est déjà reparti.
Elle continua d'avancer d'un pas ou deux avant de s'immobiliser devant les 3 marches qui menaient au perron de pierre.
Il admirait les courbes de ses hanches que la robe mettait en valeur.
Elle respirait un peu plus profondément.
L'homme regardait le 95D de sa poitrine se soulever sous le joug de l'excitation, la peau rendue blanche et laiteuse sous la clarté de l'astre sélénien.
- Il n'y a plus que le Père Fouettard qui rode encore... à la recherche de vilaines filles à punir.
Elle restait immobile, électrisée.
Pourvu que personne n'ai l'idée de se promener comme elle... La voyait-on d'une fenêtre ? Sa sœur dormait-elle ? Un sentiment d'inquiétude, mélangé à l'ivresse de l'éventuelle prise en faute la consumait.
Lorsqu'il posa sa main dans le creux de son dos, elle cru qu'elle allait défaillir.
Il la pressa à avancer.
- Rentrons. Lui dit-il sommairement.
Elle avait envie de courir à l'intérieur mais, au lieu de cela, elle monta chaque marche en roulant des hanches.
Robin fit descendre sa main... du haut des fesses, jusqu'à palper un globe lorsqu'ils entrèrent.
- Bienvenue chez le Père Fessard, lui murmura t-il en fermant la porte à clé.
Elle rougit.
Elle découvrait son habitation, soignée, rangée... moderne au sein d'un bâtiment plutôt ancien.
La main qu'il avait conservé sur ses fesses la poussa vers le salon.
- Tu as été vilaine.
- Oui... très.
Ils se laissaient emporter par la voix l'un de l'autre.
Leurs paroles si éloignés de leurs habitudes... lui l'homme à tout faire de 10 plus jeune, elle la patronne et maitresse de maison... les enflammaient.
- Tu vas me raconter tout cela.
- Oui...
Il la tutoyait. Elle adorait ces moments où il était tout autre...
Assit dans un fauteuil il l'invita à s'allonger sur ses genoux.
Elle se posa, dans une position sans équivoque, le ventre sur les jambes de l'homme, son séant vers le ciel, sa poitrine dans le vide.
En position de fessée.
Il remonta avec une lenteur extrême, le bas de la riche robe qu'elle portait, dévoilant peu à peu les fixations des bas autocollants, crèmes, et la courbure d'une fesse.
- J'ai eu des pensées coquines. Fit-elle doucement.
- C'est à dire ?
Le tissu lui arrivait à mi fesses.
- J'ai eu des envies sexuelles... des pensées érotiques.
Une petit tape accompagna sa révélation.
Elle souriait... "Enfin"... pensa t-elle.
- Et puis je me suis caressée... toute seule.
Une claque un peu plus forte tomba sur sa première fesse, désormais totalement visible.
- Souvent ?
- Tous les jours.
Un nouvel impact, sur l'autre globe.
- Dans mon lit et même dans le salon... en plein jour.
La robe retroussée sur ses hanches elle poussa un gémissement qu'elle voulu étouffer alors qu'une fessée plus franche lui fut administré par Robin.
- Ici tu peux et tu vas tout dire. Personne ne t'entendra parler, ni gémir.
- Ni crier... ?
Il caressait le fessier bien rond de sa patronne. Une belle taille... que sa main pouvait caresser à pleine paume.
Elle ondulait lentement de la croupe à chaque claque qu'il lui donnait, à chaque caresse qui accompagnait la fessée.
- Ni crier.
Sa main s'abatis plus fort.
- Aie... hummm...
- Est-ce tout ?
- Non... j'ai aussi espionné mon amant.
Il ralentit son geste, un moment désarçonné par les révélations qu'elle lui faisait.
Elle avait décidé d'avouer... tout.
- Alors qu'il... qu'il était avec ma fille.
Elle cria alors que la fessée se fit plus dure.
- Je n'ai pas envie de recommencer. Même si j'ai aimé le voir, lui, en train de... baiser.
Robin caressa l'intérieur de la fesse droite et y fit tomber sa main.
Elle grogna et soupira d'aise.
Elle se libérait de ses démons.
Cette rencontre sensuelle prenait des allures de psychanalyse.
- J'ai cru qu'il n'allait plus vouloir de moi.
- Tu lui en as parlé ?
- Non. Je n'ai pas osée. J'aurais eu honte qu'il me trouve dépendante de lui et encore plus qu'il me rejette car plus à son gout, ou parce que je l'avais observé.
Elle sentit ses fesses lui piquer alors qu'un couple de mains venaient de la fesser.
- Il t'apprécie... toujours autant. Je suis même sur qu'il adore lorsque tu l'obliges à venir te voir.
Elle ronronnait de bonheur... ses fesses, elle le savait, allaient être rouges... et elle aimait ça.
- Et peut-être que lui aussi aimerait te regarder pendant que tu te fais prendre.
En un instant elle sentit monter le plaisir en elle.
Robin était plus... pervers qu'elle ne le pensait... et ses envies lui firent cambrer les reins.
- Est-ce tout ?
Elle se mordait la lèvre inférieure, hésitante.
L'homme s'en aperçu et après une longue caresse dans le creux de la raie culière, vint donner une petite tape très osée à la lisière de son œillet.
- Comme j'ai cru qu'il ne voulait plus de moi, j'ai dragué un autre homme.
Cette fois la caresse fut courte, la claque symétrique à la précédente.
- Haa... et... je me suis donné à lui.
Son visage légèrement incliné elle regardait celui de son amant.
Il avait les yeux brillant de désirs.
Au milieu des boules et guirlandes qui décoraient son salon, milles feux semblaient étinceler dans son regard qu'il posait sur elle.
Il la couvait des yeux, reluquant ses fesses nues.
Il posa sa main sur la fermeture de la robe et l'ouvrit.
A suivre…