[...]

 

douche

Après notre nuit très agitée, je suis éprouvée alors que je me lève.

Le soleil est déjà haut dans le ciel et il fait chaud.

Cette chaleur bienfaisante du sud de la France m'enveloppe avec douceur, dès la sortie de notre toile de tente.

Je n'ose pas regarder Marc de peur qu'il me juge ou me rejette.

Malgré ce qu'il m'a dit je n'en reste pas moins très troublée.

Les images me reviennent...

 

Je m'assois en face de lui.

Il boit son café et a servi le mien.

Il se lève déposer un baiser sur ma bouche puis poursuit son petit déjeuner.

Je n'ose pas prendre la parole.

Hier... cette nuit...

Il m'a prise par derrière alors que je n'ai jamais voulu cela et qu'il sait que ce n'est pas dans mes habitudes.

Il m'a regardé me faire... prendre par un autre... Un inconnu.

Il en même été excité.

Il a été excité que je me fasse violer... sodomiser.

Et il s'est joint à lui...

Mes joues sont rouges de honte.

Le pire est que j'ai jouis.

J'ai aimé cela...

J'ai aimé que Marc ait laissé faire, qu'il se soit joint à l'inconnu.

Et surtout, j'ai aimé cette pratique humiliante.

 

Du regard je parcours l'ensemble des alentours.

J'ai l'impression que tous les campeurs savent que je suis une... sodomite.

Pivoine, je découvre le regard amusé de notre voisin, et celui courroucé, de sa femme.

"Je crois qu'ils nous ont entendu" me dit mon homme en me souriant.

Je baisse la tête, avale mon café et disparait dans la tente.

 

Je reste silencieuse tout le reste de la journée malgré la bonne humeur qu'affiche mon homme et ses attentions pleines de tendresse.

 

Le soir venu, dans la fragile intimité de notre toile aux parois si minces, nous abordons le sujet.

Il ne m'en veut pas.

Il a même trouvé cela très agréable.

Il m'est impossible d'avouer, au risque de mentir, que la situation m'a déplu. Tout autant que je ne peux nier que cette pratique m'a apportée beaucoup de plaisir.

Un inconnu...

Deux hommes...

La jouissance.

Ma jouissance...

Et de la douceur, de l'amour.

Je sens en moi enfler le désir.

Marc se rapproche, relève le grand tee-shirt qui me sert de tenue de nuit, pour me livrer nue à son regard.

Je suis entièrement rasée, je sais qu’il apprécie, il promène ses mains sur mon corps qui devient brulant.

Il palpe mes petits seins tendus.

« Tu as appréciée lorsqu’il est venu… entre tes belles fesses… » me murmure t-il.

Il prolonge l’interdiction par l’évocation de mes plaisirs défendus.

« Lorsque tu t’es offerte ensuite à moi… tu était douce… sauvage… chaude comme une étoile… »

Ses mots d’amours mélangées à la rudesse de la scène…

L'évocation de la nuit précédente me donne la fièvre.

Allongée, il me caresse des épaules aux cuisses, s'attardant sur mon entre jambe humide qui trahit mon excitation.

Il vient se coucher sur moi et me possède sans effort.

Je suis totalement trempée.

Il me parcourt lentement.

Je me laisse aller.

Son sexe s’enfonce dans le mien, accélère ses va-et-vient.

Je l’entends claquer contre ma peau.

Enfourné en moi je pousse de petits cris.

Il me semble plus rude ce soir qu’à l’habitude.

Sa bouche vient se saisir d’un de mes téton, long, tendu.

Il me suce les seins tout en continuant de me posséder presque sauvagement.

Il n'est pas long à jouir et m'emporter avec lui dans la vague de plaisir qui me secoue entièrement comme une tempête.

Je m’aperçois avoir pousser un long gémissement sonore qui me porte le feu aux joues.

 

Nos respirations se calment.

Le bruit des grillons revient.

J’abandonne mon homme après l’avoir embrassé langoureusement, pour me rendre au bloc sanitaire.

 

Devant la caravane de nos voisins, je hâte le pas, espérant ne pas avoir fait de bruit et qu'ils ne nous aient pas entendu de nouveau.

Lovée dans mon tee-shirt qui me descend jusqu'à mi-cuisses, je ne traine pas et tiens fermement ma trousse de toilette et ma serviette.

Une lueur dans une tente un peu plus loin m'indique que je ne suis pas seule à être éveillée.

Un éclat de rire dans le lointain témoigne de la vie alors que le camping parait totalement endormi.

J'entre dans le bloc massif.

Les pas de mes claquettes résonnent sur le carrelage blanc et légèrement recouvert du sable qu'on déposé avant moi tous les autres utilisateurs.

La lumière blafarde du néon attaque mes yeux.

Je bascule le loquet et l'eau coule pour devenir progressivement chaude et agréable.

Le savon coule sur mon corps.

Mes mains massent mes seins.

De petite taille, 85B, ils s'agitent à peine les ai-je frôler et mes tétines se dressent au centre de mes fines auréoles.

Ma main gauche descend vers mon intimité encore entrouverte après notre acte d'amour.

L'eau frappe ma peau, cogne contre le sol et se répercutent dans le bâtiment vide.

Une sensation intense m'envahit.

Je masse ma perle.

Seule... dans un lieu public... mais protégée...

Mes doigts s'agitent lentement.

Le rose me vient aux joues.

Si Marc savait cela !

Hooo...

Ou pire...

Hooooo....

Je glisse un doigt dans mon intimité, désireuse de me faire du bien, lorsque la lumière s'éteint soudain.

Le minuteur sans doute.

Zut.

Dans le noir...

L'eau ruisselle sur mes courbes.

Mes hanches fines, mes cuisses sinueuses.

A 25 ans, mon homme me trouve ravissante.

Je me laisse emporter par le plaisir que me donnent mes doigts.

Que m'importe la lumière, je me caresse.

Mes lèvres encore entrouvertes par l'amour que vient de me faire mon homme.

Elles me livrent un passage chaud et humide.

Il me faut quelques secondes avant de me rendre compte que la douce brise qui me caresse provient de ma porte ouverte.

J'ouvre les yeux.

Apeurée, dans l'ouverture se dessine la forme d'un homme.

"Bonsoir. Je t'avais dit que je reviendrais."

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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Cela fait 5 jours que nous sommes installés.sdm

La tente, plantée dans le terrain de camping sous les pins, constitue notre abri et notre nid pour ces vacances sous le soleil.

Pour notre deuxième année de vie commune avec Marc, nous avons choisi l'éloignement et la mer.

 

Ce soir il fait chaud et, comme les autres soirs, à peine dans la tente, il entreprend de douces caresses.

Je me laisse aller sous ses mains chaudes et le parfum de sa peau bronzée.

Mon tee-shirt glisse par dessus mes épaules et ses mains s'aventurent sur mes petits seins ronds.

Lentement je sens l'envie monter en moi.

Je fais descendre mon maillot, émoustillée par sa respiration.

Il frôle ma peau, je frissonne.

 

Délicat et attentionné il respecte mes principes mais lorsque je le vois se redresser et entrouvrir la "porte" de notre frêle abri, je ne peux m'empêcher de rougir.

Il est parvenu à me faire accepter que la toile soit légèrement ouverte.

Au départ il s'agissait d'aération me disait-il.

Puis, dans son sourire canaille, j'ai décelé un désir plus intime, celui de rendre possible l'éventualité d'un regard extérieur.

J'ai d'abord refusé pour finalement accéder à son souhait, sans lui avouer que j'appréciais aussi ce petit piment à nos unions.

Le coin de la porte de notre toile de tente claque doucement en retombant.

 

Je l’observe, nimbé de bleu, la couleur de notre toile, ses yeux étincelants et ses cheveux bruns en bataille.

25 ans… un corps qui me donne envie de le toucher, de le caresser. 

Il s'allonge.

Je sens l'air chaud de la nuit du Sud se couler jusqu'à nous dans le chant des grillons.

Je l'enjambe.

Son sexe est tendu.

Je m'assois sur le haut de ses cuisses.

Je me frotte doucement à lui.

Il aime cette position que je trouve un peu coquine.

Ses mains palpent ma poitrine.

Mes tétons, très sensibles, pointent et trahissent mon excitation.

Son membre glisse en moi.

Lentement je l'accueille dans mon intimité.

Ses murmures sont des mots doux.

Je suis "sa fleur", "son papillon"...

Ses mains sur mes hanches me maintiennent avec délicatesse.

J'ondule à sa recherche, sans plus me soucier des bruits extérieurs, de la mince paroi qui nous sépare des autres.

Je plonge mes yeux bleus dans les siens.

Mes cheveux blonds me collent un peu à la nuque sous l’effet conjugué de la chaleur et de nos ébats.

Je me retiens de soupirer d’aise pour ne pas éveiller les voisins alors que mon monte et descends doucement sur son pal raide et dur.

 

 

Je suis soudain saisi de peur.

Une main vient de se poser sur ma bouche.

Une poigne forte, puissante.

Une autre main appuie sur le bas de mon dos et je me retrouve plaquée contre mon homme.

La panique m'envahit.

Je veux crier mais je suis muselée par la force de l'homme qui est entré dans notre tente.

Mes yeux grands ouverts fixent Marc qui réalise avec retard ce qui nous arrive.

Je cherche à me débattre.

La force de l'homme, notre position inconfortable nous prive de notre liberté.

Sa voix résonne, sourde, calme, grave.

"Silence. Du Calme".

Je suis pétrifiée.

Ma bouche est close de force par la main ferme et large de l’intrus.

Me parvient l'odeur de cet individu. Mélange de parfum onéreux et de peau halée par le soleil.

Mon homme veut se soulever, aussitôt plaqué au sol, maintenu par mon corps.

Il gémit sous la douleur de l'effort.

Je sens en moi son sexe se rétrécir.

Je m'en veux de penser à une telle futilité dans ces circonstances aussi dramatiques.

Sur le bas de mon dos, les doigts de l'inconnu se font plus légers, plus caressants.

C'est une souillure sur ma peau.

Il effleure mes hanches puis mes fesses.

Du bout des doigts il n'a aucun mal à découvrir l'intérieur de mes cuisses du fait de mes jambes écartées autour du corps de Marc.

Il prend son temps et se faufile sur mon bas ventre, touche l'extrémité de ma fente.

Je sursaute.

Je veux crier mais mes mots se perdent dans sa main.

Il remonte entre mes rondeurs.

Charnues, petites et bombées, ce vil individu les palpe à loisir.

Il pose sa paume de main sur l’une de mes fesses et la malaxe lentement.

L'un de ses doigts effleure ma petite rosette.

Je secoue la tête en tout sens en pure perte.

Il joue de mon interdit.

Il s'amuse de son étroitesse, et de son total accès.

Je supplie mon homme des yeux.

Il parait totalement désarmé alors qu'un autre que lui fait rouler son index sur mon entrée la plus secrète.

 

Le bruit d'une fermeture éclair.

L'homme descend sa braguette.

Je suis tétanisée.

Son membre vient se poser sur mon petit orifice.

Je crie "Non ! "

Mais ce n'est qu'un faible "mmfff" qui s'échappe d'entre sa main de fer.

Je tente de me débattre mais la poigne de fer de ce mâle me prive de toute liberté.

Son gland se pose sur mon anneau.

Je le sens, dur, chaud.

Il s’enfonce lentement et écarte les muqueuses de mon anus.

Il me perce.

Je sanglote.

Son gland écarte mes fesses, mon plus petit trou… mon interdit.

Pour la première fois de ma vie un sexe me pénètre par cet endroit.

Je n'ai jamais autorisée Marc à me posséder ainsi, de façon si... sale.

La douleur est vive.

Il est immobile, le bout de son sexe planté en moi.

Je lâche une suite ininterrompue de grognements.

Il me fait mal.

Il m'humilie.

Je le supplie de me laisser, mais mes paroles sont inaudibles.

Au lieu de cela il s'enfonce encore plus loin.

J'ai l'impression qu'il m'ouvre en deux.

Littéralement éventrée.

Il recule.

Je crie, les fesses meurtries, l’âme souillée.

Je crois que mes prières ont été entendues mais ce n'est que pour s'enfoncer encore plus loin en moi et m'arracher un nouveau cri.

Il poursuit ses lents mouvements de va-et-vient.

Il me viole l'anus...

Je prends soudain conscience de la situation.

Je suis en train de me faire violer sous le regard de Marc.

Il nous viole !

Et dans mon sexe se remet à durcir celui de mon homme...

Je le regarde, horrifiée.

Son regard planté dans le mien, il ne dit rien mais son membre parle pour lui.

Incrédule, je le sens osciller des reins.

Ma virginité anale disparait et Marc en est excité !

Je n’en crois pas mes sens.

Il ferme les yeux et je le vois soupirer en poussant son vit dans mon vagin… loin…

Bientôt ce sont deux verges qui coulissent dans mon ventre.

Je voudrais hurler.

Et la douleur s'estompe...

Alors que je n'aurais jamais cru cela possible, l'intromission laisse place à des sensations nouvelles... qui me font me cambrer malgré moi.

Je suis maintenue, forcée... et j'en éprouve du plaisir.

La honte me submerge.

Je sens mes joues rougir, ma respiration s’accélérer, mon cœur entamer un galop que je voudrais refuser.

Son pal me semble énorme.

"Je vais enlever ma main de ta bouche si tu promets de ne pas crier" me murmure la voix derrière moi.

Je hoche la tête, affirmative, trop heureuse de pouvoir oublier un peu la force qu’il exerce sur moi.

Avec douceur il libère ma bouche.

Je veux appeler à l'aide mais le premier son que j'émets est celui d'un gémissement.

Il poursuit son lent labour dans mes fesses ouvertes.

Mon homme se tend vers moi.

Le violeur doit sentir la verge de Marc coulisser en moi, de l'autre côté de la fine paroi qui sépare mes deux orifices.

Il accélère.

Mon corps me trahis, il ondule...

Dans mon esprit les pensées les plus confuses s'entrechoquent.

Entre le refus, la trahison, le plaisir... le plus puissant s'impose peu à peu : la honteuse jouissance incompréhensible qui envahit mon corps.

Je reprends conscience de la situation.

Marc ne cache plus son plaisir, gémissant sous moi.

Je suis en appui sur mes mains, le buste cambré, les reins relevés.

J'offre mon arrière-train à l'inconnu qui vient de dépuceler mon anus.

"Tu as un beau cul" me complimente t-il en enfonçant profondément sa verge dans mon étui.

Je soupire... je gémis...

Ses mains fortes et inconnues saisissent mes hanches.

Il me force de plus en plus vigoureusement.

Je lâche un cri de plaisir sans pouvoir me retenir.

Ho que j'ai honte !

J'entends ses cuisses frapper contre mes fesses.

"Bien serré... C'est ta première fois ?"

Je grogne, incapable de répondre tellement mes sens sont en fusion.

La toile de tente à disparue...

Il n'y a plus que moi...

Moi et deux verges qui me prennent à l'unisson.

« Tu es vierge du cul ? » me lance t-il en me bourrant régulièrement.

"Ouiiiii ! " parviens-je à lâcher dans un râle.

Mes fourreaux sont pilonnés et contre toute attente je monte un à un les échelons du plaisir.

Mon violeur enchaine les coups de reins.

Je subis...

"Tu en veux encore..."

Je gémis...

Comment est-ce possible ?

Il se cabre.

Je pousse mon bassin vers lui.

Je découvre le plaisir de la sodomie en même temps que celui de la double pénétration et je refuse d'avouer que j'aime cela.

Son large manche se contracte.

Ses doigts s'enfoncent dans mes cuisses.

Il jouit.

Je suis immobilisée entre les deux hommes.

Son foutre épais inonde ma fente déjà ruisselante.

Son bas ventre frappe mon fessier.

A chaque élan il se vide en moi en poussant un grognement rauque qui m'excite encore plus.

Il sort de mon anus.

Un sentiment de vide.

J’ai l’impression que mes fesses sont grandes ouvertes… totalement offertes.

Marc est toujours tendu dans mon abricot.

La braguette se referme.

Je geins... agitant mon bassin... inassouvie...

Sa main ferme caresse ma croupe qui danse.

"A bientôt" fait-il avant de repartir et refermer la toile de tente.

Tel un esprit il s'est évaporé.

 

Je regarde Marc qui ne me quitte pas des yeux.

La nuit est totale dehors.

Seules nos respirations, profondes, saccadées, troublent le silence qui s'est installé.

Il me semble que mon petit trou est béant.

Dans un spasme j'expulse un peu du sperme qui me remplit l'intimité.

Marc m'embrasse.

Je m'abandonne à sa bouche.

Je lui en veux... et je m'en veux...

Qu'il me pardonne !

Il se redresse et se place derrière moi à son tour.

Ho non !

Il me maintient en position, à 4 pattes dans la toile de tente.

Je suis excitée, trempée, honteuse... humiliée.

"Tu en veux encore ?" me lance t-il doucement, reprenant à son compte la phrase de l'inconnu.

Je n'en reviens pas de lui.

Comment peut-il avoir ces paroles obscènes alors que je viens de me faire prendre de la plus dégoutante des façons ?

Comment peut-il me demander de rester à genoux, l'arrière-train en l'air comme un animal ?

Comment puis-je lui répondre "Oui !" et en avoir une folle envie ?

Je n’en ai aucune idée…

Je lâche l’assentiment tout en ondulant du derrière.

Il se glisse là où un autre que lui vient de faire un passage pour la première fois.

Dans la mixtion d'un autre il enfonce son sexe.

Je me cambre sous cette nouvelle introduction.

Il me force les fesses pour la première fois.

De sa main droite il masse ma perle.

De la gauche il caresse mon dos.

Ses mots d'amour accompagnent ma sodomie.

Il me parcourt l’intimité la plus secrète.

Je me donne à lui comme j’ai toujours refusé de me donner à un homme jusqu’alors, comme une bête.

La jouissance arrive, fulgurante, plus intense que jamais.

Un éclair qui me transperce de la nuque à la fourche de mes cuisses.

Je pousse un long gémissement alors que je le sens me percer encore et se cabrer...

 

Le calme revient.

Je suis haletante.

Le long de mes fesses coule les deux liqueurs d'hommes.

Elles ruissellent sur ma fente, se mêlent à ma cyprine.

Je m'effondre sur le côté.

Epuisée.

Marc me prend dans ses bras.

Il caresse mes cheveux.

Je lâche prise et mes yeux se baignent de larmes.

"Mon amour... tu es splendide".

Je fonds sur son torse.

 "Pardonne-moi" ai-je tout juste la force de lui murmurer.

Il pose ses lèvres sur les miennes.

"Tu seras toujours pardonnée".

Nous nous embrassons avec l'intensité des premiers jours.

Au cœur de cette tourmente, les liens qui nous unissent se solidifient encore plus.

Morphée m'accueille... trouble et ravie.

 

 

 

 

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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Il fut surpris de la demande.
Elle qui paraissait si fragile, si douce, oser dire de telles obscénités dans sa chambre sage.
Sa requête lui fit l'effet d'un coup de sang.
Il l'embrocha d'un trait, son large pal forçant les chairs humides de sa partenaire.
Elle poussa un cri à la limite du hurlement.
Il se retint, recula et s'enfonça plus loin.
Il lui releva les genoux par dessus ses épaules.
Elle ouvrit grand la bouche pour émettre un râle de bonheur après un court instant de silence, privée de souffle.
Il entama une lente série de coups de butoirs qui le faisait aller loin, de plus en plus loin, dans sa matrice.
Elle l'accompagnait en balançant ses reins au rythme qu'il lui imposait.
Coralie voulait être prise... baisée... comme une chienne... comme... sa mère...
Ses mots tournaient en rond dans son esprit et décuplaient la fureur de sa masculinité.
Les assauts qu'il lui faisait subir la poussaient à chaque fois plus à remonter dans le lit.
Son sexe était une barre d'acier qu'il faisait entrer et sortir d'un brasier trempé.
Il ne tarda pas à émettre, lui aussi, des ahanements sourds en la prenant comme un hussard.
 
Elle glissait sur le lit, propulsée par les coups de reins de son amant.
La largeur du sexe qui l'embrochait lui écartelait les chairs.
Elle s'agrippait au dos de Robin, ses ongles plantés dans ses muscles tendues.
C'était un animal qui la prenait...
Un mâle dominateur...
Le plaisir s'empara d'elle, enflant et se diffusant dans tout son être.
Elle en voulait encore plus.
Elle l'encourageait... incrédule devant sa propre frénésie et son langage.
"Oui... vas-y ! Plus fort ! Haaannn !! Ouiii !  Baise-moi encore ! Ho oui... HAAA !"
Son bassin relevé, la verge qui la ramonait était enfoncée en elle jusqu'à la garde.
Son sexe n'était plus qu'un puits détrempé, coulant sur ses fesses.
Elle eu une envie...
Subite...
Elle repoussa Robin d'un geste ferme.
Son cerveau était sur le point d'exploser, elle était une femme affamée de sexe.
 
Il fut interrompu dans son élan.
L'esprit brouillé, embrouillé pendant un court instant.
Alors qu'il sentait qu'elle arrivait aux portes de la jouissance, Coralie lui intimait l'ordre de cesser leurs ébats.
Il était dans un tel état d'excitation qu'il eu du mal à ralentir puis extraire son vit du con accueillant qui était le sien.
Elle le regardait avec ses grands yeux qui scintillaient de désirs.
Sous lui il la voyait respirer rapidement, son corps excité et perlé de sueur, sa poitrine orgueilleusement dressée vers le ciel.
Il admirait sa gorge, sa bouche, ses épaules...
"Robin..."
La voix était si cristalline, un son de flute dans le matin brumeux.
"Oui ?"
Il tentait de conserver son calme.
Ils étaient en travers du lit, essoufflés.
Elle avait son regard planté dans le sien.
"Je... j'ai envie que... "
Elle peinait à formuler sa demande.
Il lui caressa la joue.
Elle s'abandonna à sa caresse en fermant les yeux.
 
Il était si doux.
Elle osa... elle devait oser...
"J'ai envie de te sentir... dans... dans mes fesses."
Ses joues furent en feu instantanément.
Son corps et ses envies la trahissaient.
Elle se tourna lentement, autant pour éviter son regard de jugement que pour donner raison au désir ardent qui l'animait.
A 4 pattes sur le lit en bataille, elle ondulait de la croupe, relevant son fessier.
Lorsqu'elle sentit les doigts de Robin serpenter sur ses deux globes fermes, elle sut qu'il allait être doux pour son initiation.
Une nouvelle initiation dans cette même chambre.
Elle soupira...
A deux mains il la caressait.
Ses fesses ondulaient sous les attentions de l'homme.
Son plaisir était près à éclater.
Lorsqu'elle sentit sa raie s'écarter doucement sous les doigts de son amant, elle poussa un petit cri de surprise.
Il lui caressait son interdit le plus secret et même si elle désirait cette pénétration, elle l'appréhendait.
Elle se tortilla sous la pression digitale, découvrant une source de sensations inédites.
Il allait et venait lentement autour de son œil sombre.
Ses jambes s'écartèrent et elle releva son bassin pour lui permettre de mieux la flatter.
Sur ses cuisses son sirop de femme semblait couler sans discontinuer.
 
Il massait la délicate rondelle vierge.
Son corps de femme ressemblait à un violon...
Son violon d'Ingres...
Sa passion...
Il laissa temporairement les fesses rondes pour épouser de ses mains les courbes de Coralie.
Des épaules, de la nuque, à ses hanches... il massait, caressait, ses seins, son dos, ses cuisses.
Elle était un délice.
Le parfum de son plaisir lui vint aux narines.
Une fragrance de femme, enivrante, qui lui donnait l'eau à la bouche.
Une autre envie...
Il se pencha près de sa croupe offerte.
Sa langue lapa de bas en haut l'abricot dégoulinant de Coralie pour remonter dans la vallée de son séant.
Elle ondulait.
Il s'attarda sur la rose.
De la pointe de la langue il titillait l'entrée de l'orifice.
Prenant soin de pousser et se retenir en oscillant son muscle sur elle, il la sentit se détendre, s'assouplir.
"Tu es si douce" lui dit-il. "Je vais l'être aussi".
Il la vit se poser sur ses avant-bras, le visage sur son oreiller.
Dans cette position elle semblait totalement offerte.
Sa verge effleura la fesse de sa complice.
 
Elle voulait se donner entièrement.
Que sa langue sur son intimité était une caresse agréable ! Elle aurait voulu que cet instant ne cesse jamais... et qu'il aille un peu plus loin...
Il écarta une de ses fesses d'une main.
La peur vint soudain l'envahir... la peur de la douleur.
Il massait son anus de son doigt d'homme habile.
Elle, la jeune vierge, et lui, l'étalon expérimenté.
Lorsqu'elle sentit le gland rond remonter contre sa peau et se poser contre l'anneau étroit, elle ferma les yeux.
Il poussa lentement.
Une résistance rendue futile après les manigances qu'il lui avait prodigué.
Sa petite caverne était ouverte.
Elle émit un petit gémissement, l'intromission était douloureuse tellement elle était étroite et lui large.
Il resta immobile en elle.
Elle soufflait fort malgré l'absence de mouvement de son empaleur.
Le moindre de ses soupirs la faisait bouger autour du pieu qu'elle avait de planté en elle.
Elle eu envie de tout arrêter...
Et son fessier lui envoya un tout autre message... une sensation qui se répandit au travers son corps... le plaisir.
Un plaisir nouveau, totalement inédit.
Elle gémit... longuement... faiblement...
Fiché en elle, Robin lui caressait les fesses, les écartant délicatement par intermittence.
Elle releva le visage et fit bouger son bassin, la douleur disparaissait... le désir montait en flèche.
 
Il lui donnait le temps de s'habituer à cette position.
A son corps féminin qui tanguait il sut qu'elle appréciait.
Il la prit par les hanches et recula en elle, lui arrachant un gémissement rauque.
Sa verge était à l'étroit dans le fourreau de son arrière-train.
Il s'enfonça avec délicatesse.
Elle poussa un long cri.
Son manche forçait son conduit anal à l'accepter, à s'agrandir.
Quelle était belle et désirable !
 
Elle avait l'impression que son intimité se déchirait.
Il venait de planter son sexe dans ses fesses, plus loin, et ce n'était pas le gland qui l'écartait désormais mais bien le manche qu'elle savait large et raide.
Instantanément le plaisir fut plus intense que toute autre sensation.
Elle se cambra et la verge s'enfourna encore plus loin.
Elle n'était plus que gémissements continus... et plaisirs défendus.
 
Il allait et venait, accélérant sensiblement la cadence qu'il menait.
Son vit se frayait un passage dans l'anus virginal de Coralie qui subissait, avec délice, cette initiation à la sodomie, à en croire les cris qu'elle émettait et sa main fine qui, posée sur sa fesse gauche, ouvrait son petit trou pour qu'il la force plus loin encore.
Autour de son pieu l'étroitesse de sa compagne était un plaisir pour lui, emprisonné, allant et venant dans un étau délicieux, un écrin de soie.
Ses mains se posèrent sur les hanches de la jeune femme et il accentua ses percées.
 
Elle le sentait en elle, là où jamais elle n'avait senti un homme.
Il ruait de plus en plus loin et elle n'était plus qu'une poupée ballotée par ses sens exacerbés.
Elle s'effondra sur son oreiller, incapable de se maintenir écartée...
Le bas ventre de son amant frappait contre ses fesses qu'elle sentait rebondit à chaque fois qu'il la forçait profondément.
Chaque intrusion lui arrachait un râle.
Chaque reflux la faisait haleter et espérer une autre saillie contre nature encore plus rude.
 
Robin se pencha sur son amante pour lui murmurer qu'elle était splendide.
Elle gémissait.
Il sentit son corps de femme se tendre et se contracter.
Ses coups de reins furent plus forts, plus rapides.
Il la bourrait littéralement, lui défonçait l'anus et elle explosa de jouissance, longuement.
 
Son être s'abandonnait.
L'orgasme la submergea.
Un plaisir incroyable et issu d'une partie de son corps qu'elle ne croyait pas capable de cela.
Elle perdit pied, oublia le lieu, le temps et sa virginité pendant les minutes où il la sodomisa à grands coups de sexe.
 
Il sortit de son étroitesse pour se répandre à son tour.
Sur le dos de son amante, son foutre s'étala en giclées blanches.
Il l'accompagnait dans la jouissance.
 
Ils restèrent immobiles, couverts de sueur.
Coralie se retourna vers Robin et l'embrassa.
Leurs bouches restèrent soudées, leurs corps enveloppés dans leurs bras joints.
Par la serrure de la porte, la maitresse de maison venait de voir sa fille se faire dépuceler l'anus par son employé et amant.
Elle se mordit la lèvre.
Il avait été doux et fougueux... comme avec elle.
Ses pensées oscillaient entre jalousie et satisfaction.
Sa fille était honorée par un homme qui savait y faire et leurs plaisirs étaient visibles.
Et cet homme ne la délaissait pas pour autant, mettant même plus de fougue à la prendre depuis qu'il se... tapait... Coralie... désormais une femme... une autre femme qu'elle.
Elle regagna sa chambre.
Dans le creux de ses reins elle glissa ses doigts.
"Ho... Robin..." murmura t-elle avant de se satisfaire en solitaire.
 
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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