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Elle s'approche du lit.

Sans un bruit, ses pieds sur le tapis, elle ondule des hanches.

A 40 ans passées il l'admire, elle, sa patronne, entièrement nue et extrèmement sensuelle.

Sa lourde poitrine aux larges mamelons se balance à chaque pas.

En haut de ses cuisses, son sexe bordé d'un court et étroit duvet brun attire son regard. Ses lèvres sont ammolies par la percée qu'elle vient déjà de subir.

Elle lui sourit, énigmatique, le visage légèrement penché. Il mesure sa chance d'avoir un tel employeur.

Sur la jambe musclée de Robin repose sa verge large.

Elle l'admire, lui, l'homme à tout faire de la maison, celui qui fait presque partie de la famille tellement il est là depuis longtemps et qu'il maintient la villa en ordre. C'est son amant également. Elle a oubliée depuis quand... peut etre un an ou deux... trois peut-être. Et son mari n'en sait rien.

Il a la peau hâlée par les travaux du jardin, les muscles saillants et fins.

Ses yeux noirs l’observent et la détaillent, elle en joue et accentue sa démarche féline pour l'envouter de ses charmes.

Elle grimpe sur le lit, à 4 pattes, l'envie chevillée au corps.

Sur son épaule quelques gouttes d’eau perlent encore de la douche qu’elle vient de prendre.

Elle respire le parfum du savon.

Il la dévore du regard, sa bouche aux lèvres pleines, les minces ridules aux coins de ses yeux et… cette paire de seins qu’elle fait frôler sur son torse.

Le bout des tétons, érigés, effleurent sa peau.

La poitrine, volumineuse, pend de façon envoutante.

Il l'admire. Il sent le désir monter en lui. Il la convoite.

Elle place un bras de chaque côté du corps de l’homme et poursuit ses caresses particulières à l'aide de sa poitrine.

Elle oscille de droite à gauche, descend sur ses abdominaux légèrement velus.

Sa voix est un murmure.

- Tu es encore tout sale…

Elle inspire.Ses mamelons effleurent l'homme.

- Et tu sens le sexe… encore tout couvert de ton foutre et de ma mouille… J'adore...

Les pointes de ses seins viennent frotter contre la verge qui se tend de plus en plus.

- .... SI tu savais comme... ça m’excite.

Il la laisse agir, profitant de ce moment de massage extraordinaire. Un duo de cercles aux pointes de mamelons.

Au dessus d’eux, comme un dais de velours, le tissu du lit à baldaquin forme un cocon.

Il ne dit rien, la laisse parler.

Elle remonte, ses tétons revenus sur son torse.

- J’ai été vilaine… de t’avoir parlé si durement cet après-midi. Et de t’avoir laissé dans une situation très inconfortable…

Les yeux clairs de sa patronne scintillent de milles feux alors que sa poitrine passe sur son corps dans un ballet lent et stimulant.

Il relève une mèche de cheveux qu’il lui place derrière l’oreille.

La peau de sa joue est si douce.

Elle incline le visage légèrement pour chercher à effleurer de sa bouche le bout de ses doigts.

- Vous êtes pardonnée madame.

- Tu es un chou…

Elle remonte son torse pour venir mettre à quelques millimètres du visage de Robin, les mamelons roses et tendus.

- Même pour avoir dit de ta … « conquête »… que c’était une "petite pute" ?

Au-dessus de lui, elle le surplombe de toute sa stature.

Il n’est nullement impressionné, bien au contraire, il lui rend son sourire.

Ce mâle la fait chavirer à chaque fois qu’elle le voit.

Jamais encore il n’était venu dans son lit conjugal mais l’envie était trop forte ce soir. Elle le voulait à elle, elle le veut entièrement.

Son corps est en feu, à nouveau… Elle suinte, elle le sait.

- Je mériterais d’être punie non ? Même si je suis jalouse d’elle, je la tolère si tu me reviens.

Des envies obscènes lui traversent l’esprit. Des idées qui la font s'enflammer.

Il pose sa main sur son bras.

Sa peau de satin est un délice au toucher.

Il sent qu’elle a envie de plus de masculinité mais il la fait languir.

Son membre s’agite, durcit, grossit.

- C’est vrai que vous n’avez pas été très polie.

Elle ronronne en le regardant, sa bouche légèrement entrouverte sur sa langue.

« Si elle savait qu’elle parle de sa fille... ma "conquète" », pense t-il sans rien laisser paraitre.

Elle se penche sur lui, sa poitrine se pose sur son torse.

- C’est que je n’ai pas l’habitude que l’on me résiste. D’habitude les gens me font des courbettes, me parlent très gentiment, sont… si obséquieux avec moi…

Il entend sa voix se casser sous le joug de l’excitation qu’il perçoit grimper en elle.

Elle dépose des baisers sur son front, sur ses joues.

- Alors que j’ai envie… d’être… malmenée…

Elle embrasse son oreille.

- De m’entendre dire des choses crues... que mes seins sont... gros...

Sa bouche parcourt son menton en une trainée de baisers légers.

- Que… j’ai un cul de cochonne… qui mériterait d’être fessé…

Elle suçote le lobe de son autre oreille.

- Que je ne suis bonne… qu’à être baisée…

Le bout de sa langue lèche l’intérieur de l’oreille de Robin dans une attitude perverse.

Du creux de ses reins jusqu’à sa nuque est montée une décharge électrique, une bouffée de chaleur, qui a enflé au fur et à mesure qu’elle devenait plus avide de luxure.

Elle pose sa main sur le sexe de son employé et le découvre de nouveau raide. Il bande comme un cerf. Elle avale sa salive avec difficulté, imaginant déjà les outrages qu'il va lui faire subir.

Elle l’enflamme.

Ses gestes, ses paroles, ces mots crus ne font qu’attiser le feu qui le consume.

Il reste troublé par cette femme, si guindée, polie, BCBG en société, et si différente lorsqu’elle est avec lui.

Il remonte sa main vers le cou gracile et lui indique la direction à prendre.

Elle se laisse faire et lèche sans plus attendre le vit qu’elle force à se lever.

Avec des gestes lents et habiles elle masturbe la base de son sexe tout en englobant bientôt l’entière largeur.

Elle le suce avec gourmandise, malaxant, tournant sa langue, enveloppant le gland… elle aspire, elle pompe, les yeux fermés, concentrée sur son œuvre.

Il gémit de plaisir.

Ses cuisses s’ouvrent pour lui permettre de le gober encore plus loin.

- Viens t-empaler. Lui ordonne t-il soudain.

Elle ouvre de grands yeux.

Il vient de la tutoyer… et de lui donner un ordre.

Elle abandonne le sexe désormais luisant de salive.

Dans sa bouche lui reste le gout de sperme et de cyprine dont il est recouvert.

Elle s’affole.

Ses genoux enjambent Robin et elle pose sa fente sur le pieu raide qu’il maintient droit vers le ciel.

Sans un effort il entre dans son puits ruisselant.

- Tu es tellement large et mouillée que ça rentre tout seul.

La voix rauque et sourde qu’il emploie la fait chavirer.

Elle tend ses fesses pour faire progresser le piton dans sa motte.

Elle remonte et descend lentement, glissant toujours plus profondément…

Ses parois s’écartent et le sexe la possède.

Elle gémit, embrochée jusqu’à la garde.

- Danse sur moi maintenant. Allez, bouge ton gros cul.

Il la voit rougir et le regarder d’un air ravi.

Elle entame une lente oscillation du bassin.

Sa vulve se contracte pour aspirer son manche planté en elle.

Il accompagne les mouvements d’ondulation.

Soudés l’un à l’autre son glaive est emprisonné dans le plus bel étau qui soit.

Il flatte ses seins. Elle semble faire la danse du ventre sur lui, aspirant son pieu turgescent dans son écrin brulant.

Sa motte entièrement remplie, assise sur lui, elle en a les yeux mi-clos.

Une pichenette du doigt sur son téton tendu le fait bouger, roide et pourtant sensible.

- Tu as une sacrée belle paire de loches…

Elle ouvre la bouche et laisse s’échapper un « haaaann » sourd.

De la paume il presse les deux seins l’un contre l’autre.

Une petite claque sur l’un d’eux… un son mat… auquel elle répond par un gémissement.

- Caresse-les tes grosses mamelles.

Elle pose ses mains instantanément sur sa poitrine et la malaxe.

- Ha oui… mes grosses mamelles.

Empalée sur Robin, elle passe d’une fesse sur l’autre pour sentir le sexe vigoureux la pénétrer jusqu’au fond de son vagin.

De ses doigts elle tire les tétines dures qui pointent vers l’avant.

Les paroles de son amant la brulent au fer rouge du plaisir.

- De vrais pis de vache…

Elle remonte sur ses genoux et se laisse entièrement glisser autour du sexe.

Sa comparaison est une insulte qui la fait réagir par un écoulement plus important.

Elle pousse de petits cris.

- Tu sais que tu es bandante ma grosse salope ?

Concentrée elle parvient à ne pas jouir dans l’instant.

Haletante elle n’ose plus bouger.

Elle résiste à ces mots crus qui lui chahute l’intellect.

- Relève toi que je vois ta chatte. Elle doit être bien trempée maintenant.

Réprimant une grimace, elle se redresse et la verge quitte son sexe.

A genoux au dessus de son ventre, elle a les cuisses marbrées de cyprine.

Il pose ses pouces dans la fente et, par un geste lent, les éloigne, il  ouvre ainsi son sexe.

Elle geint, son corps en sueur se cambre vers l’avant.

Délicatement il écarte les grandes lèvres l’une de l’autre et révèle son intimité dans toute sa béance.

Il les fait rouler dans ses doigts.

Elle halète, incapable de se retenir.

- Ta moule est baveuse… tu me coules sur le ventre comme une vraie cochonne.

- Haaa Robin… arrête… je vais…

Il maintient sa fente grande ouverte.

- Branle-toi devant moi.

Sa voix claque dans la chambre mais elle n’hésite pas un seul instant et pose sa main sur son clitoris.

Sa chatte est en feu, le moindre effleurement la fait crier et gémir.

Deux doigts… elle se masse à deux doigts.

Sa perle est totalement sortie de son logement, excitée comme rarement, offerte à la vue de son amant.

Elle dégouline.

Son sirop de femme lui échappe.

Elle jouit.

Ses doigts accélèrent.

Elle sent les pouces forcer sa vulve et lui élargir le sexe.

Elle pousse un râle.

- Tu jouis ma belle salope ! Lui dit-il.

Elle se tend, pose une main derrière elle, son bassin vers l’avant, se cambre et reste fente en avant, à couler sans retenue entre ses doigts poisseux.

Les halètements succèdent aux gémissements.

Son corps devient plus lourd et elle est prise de tremblements avant de s’asseoir sur le ventre de Robin.

- Je n’en n’ai pas fini avec toi.

Elle frémit.

Il peut tout lui faire. Elle veut tout.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Elle est allongée, son visage reposant dans sa paume de main, ses yeux clairs scrute son corps. De sa main libre elle caresse le torse musclé de Robin.
 
Lui est agenouillé à ses côtés. Il admire les courbes de sa patronne et amante. Les lignes sensuelles de ses épaules et la finesse de ses bras semblables à des lianes, la vallée de ses seins lourds aux larges mamelons bruns, aux tétons érigés qui attrapent la lumière de la chambre, l’ascension de ses hanches alors qu’elle relève sa jambe droite pour lui dévoiler son intimité : une fente aux lèvres déjà amollies, un étroit ticket de métro pileux ras encadrant l’humidité naissante.
 
Elle glisse sa main sous les bourses. Pleines, rondes, elle les palpe et les malaxe. Le vit semble pulser et grossir, s’épaissir encore.
 
D’un geste adroit elle l’oblige à se redresser et elle prend alors à pleine paume les deux boules dénuées de poils pour les faire s’agiter l’une contre l’autre.
 
Il voit dans ses yeux la gourmandise et le plaisir qui l’anime alors qu’elle lui masturbe les bourses.
 
- Raconte-moi tes fantasmes. Lui murmure t-elle en faisant remonter ses boules de l’arrière vers l’avant.
 
Il approche son corps près d’elle, son sexe palpitant, entièrement décalotté. Le gland rond, turgescent, à moins de 30 cm de la maitresse de maison. Elle est si désirable, si attirante. Il bande à n'en plus pouvoir, entièrement en son pouvoir, ensorcellé par cette magicienne du vice.
Les premiers mots qu'il émet lui paraisse venir des tréfonds de sa gorge, puis il se laisse aller, les images lui reviennent et il lui avoue, tout.
 
- J’imagine que je peux vous caresser… que votre peau est à moi... Je vous imagine totalement offerte, et je vous dévore… partout... Je vous lèche les seins... Je vous lape le sexe... Je titille votre rosette de ma langue avant de venir vous manger comme un goinfre.
 
Elle ronronne à ces idées et lui fait signe de continuer. Il se laisse emporter par son récit, par les manoeuvres habiles qu'elle impose à ses boules, oubliant le lieu, le temps et toute retenue.
 
- Je rêve que je vous prends… que je vous force…et que vous êtes… d’une chaleur incroyable.
 
- Ho oui. Si tu savais comme je suis chaude, là, maintenant. Continue mon vilain coquin.
 
Le sang bat à ses tempes, son sexe en est douloureux tellement l’envie d’elle lui parcourt le corps.
 
- Alors dans mes fantasmes, je vous possède, de multiples façons… face à face, de dos. Aucun de vos orifices n’est oublié… tous sont outragés. Vos fesses levées vers le ciel, vous hurler à chaque fois que je vous perce. Vous n'en pouvez plus mais pourtant je continue à vous chevaucher... nous sommes assoifés de sexe.
 
Elle roule ses grands yeux bleus et se mord la lèvre inférieure avant de s’allonger sur le dos, ruisselante de mouille, excitée par les paroles de Robin. Tant de fois elle a fouillé son antre en rêvant à ces mêmes actes immoraux... Sa voix se brise sur son ordre.
 
- Viens… lèche-moi. Fais-moi du bien.
 
Il se penche vers elle et ouvre sa bouche, obéissant, avide et goumand.
 
L’envie de la découvrir de la langue est intense. Il effleure les pourtours du mamelon pour en saisir les aspérités dans de petits cercles concentriques qui le rapproche inexorablement du téton qu’il aspire alors doucement.
 
Elle sent son ventre bouillir d’envie. Entre ses cuisses son sexe de femme n’en peut plus de cette attente intolérable. Il lui semble le sentir couler sans discontinuer. Elle presse plus fortement les deux bourses de cet homme qui la fait chavirer dans le désir le plus fou.
 
Elle muselle son envie de crier et de lui demander d’agir, là, dans l’instant. Il la fait languir et le plaisir en est décuplé.
 
Il suçote le sein voluptueux avant de lever les yeux vers elle. Elle lui sourit. Sans la quitter du regard il descend… sa langue glisse sous la courbe de la poitrine, slalom sur son ventre et laisse une trainée de feu sur ses cuisses. Son corps se tend, se cambre, ondule sous les arabesques qu'il lui inflige.
 
Les mains de Robin écartent alors les jambes de son employeur. Il la surplombe, il l’admire. Elle lui caresse les avant-bras. Sa respiration plus rapide fait se soulever son corps de femme. Sa motte renflée l'appelle, l'attire...
 
Il baisse la tête et vient humer la fragrance particulière de son intimité. Il tire la langue et lèche avec lenteur les lèvres, chacune à leur tour. Chaque touché la fait gémir. Sous son muscle le crissement des poils ras l’émoustille encore plus. Sa langue se fait alors plus large et plus entreprenante. Elle est humide et son gout dans sa bouche est un délice. Il appuie sur le haut de la fente qui s’ouvre comme une fleur. De sa langue il excite le pistil secret qui apparait, long, gorgé de sang. Il savoure le suc intime qu’elle répand entre ses muqueuses.
 
Elle s’entend gémir. Ce coquin est en train de lui pratiquer un cunnilingus d’une façon si douce et si habile qu’elle gravit les échelons du plaisir 4 à 4. Elle caresse sa nuque et son cou musclé, passe sa main dans ses cheveux bruns et appuie sur son visage pour qu’il la dévore plus fort.
- Oui... comme ça oui... hooo...
 
Il enfourne sa langue dans la grotte. Il lape l’intérieur de ce puits offert et délicieux. Le visage plaqué à l’entrecuisse qui se soulève à sa rencontre, il déguste le sirop qui coule. Sa langue agit par petits mouvements vifs qui alternent avec des moments plus lents où il lèche ce sexe de bas en haut, largement, goulument.
 
Elle lâche le visage pour poser ses deux mains sur ses seins. Elle les pétrit. Ils lui font mal tant son excitation est à son comble. Ses caresses la soulagent de sa tension. Elle en ferme les yeux, se laisse aller à ses mains qui pressent ses gros seins et la bouche qui lui pratique son abricot.
 
Il se redresse et souffle sur la fente avant d’écarter les lèvres de ses mains. Il la maintient béante. Elle gémit. Sa grotte ouverte et ruisselante est luisante; emplit de sirop. En son centre les petites lèvres, dentelles diaphanes, sont un appel à une gourmandise plus sucrée. Son bonbon ressemble à un petit sexe, rouge, gorgé, tremblant.
 
Il souffle de nouveau et elle se cambre. Du bout de la langue il titille les parois écartelées, les plis intimes. De ses lèvres il suce les nymphes ou le bourgeon de plaisir. Il s'infiltre dans des endroits oubliés, s'attarde et explore...
 
Elle ne peut bientôt plus se retenir et pousse de petits cris de plaisir. La force de ses doigts mâles qui l’ouvre et la bouche qui la mange littéralement la font chavirer. Elle pousse son bassin vers le visage de Robin à la recherche d’un plaisir infini.
 
Il relâche le sexe. Les lèvres restent entrouvertes. Ses doigts s’emparent de ses cuisses, remontent les jambes, saisissent ses genoux. Dans un mouvement simultané, il écarte en grand le compas de ses jambes.
 
-  Maintenant oui ! Viens… prend-moi mon bel étalon.
 
Il lui sourit. Elle a ce regard fiévreux qu’il lui connait.
 
Il positionne son sexe sur la grotte.
Elle sait que la percée ne va plus tarder. Ces quelques secondes sont un supplice délicieux.
Ellecontemple son visage lorsque d’un coup de rein il enfonce son gland en elle.
 
Elle ondule. Il vient de la pénétrer.
 
Il repart en arrière, ressort entièrement de la fente pour y rentrer de nouveau, un petit peu plus loin.
 
Elle se cabre.
 
Il continue, chaque fois plus loin. Encouragé par les soupirs d'extase de la femme qui se livre à lui.
 
Elle ne tarde pas à laisser filer par sa bouche ouverte un râle presque continu.
 
Un coup de reins plus important enfonce son sabre jusqu’à la garde.
 
Elle crie et cesse de respirer.
 
Il s’immobilise.
 
Elle se reprend. Expulse l'air dans un gémissement érotique.
Il sort de nouveau avant de la percer une nouvelle fois profondément et bouger en elle, lentement, inéxorablement.
 
Elle entend son cri, elle sent son fourreau outragé par l’épaisse verge. C’est un plaisir sans borne et, si elle a l’impression d’être déchirée à chaque assaut, elle n’a qu’une seule envie, c’est que cela ne cesse jamais. Elle a les jambes désormais maintenues par les chevilles. Entre ses cuisses le jeune homme la force en alternant les cadences. Parfois elle perçoit ses bourses frapper contre le bord de ses fesses. Il conserve le rythme, elle se sent fléchir, il la pilonne comme une machine. Son corps est secoué, son sexe est limé par une verge large… elle jouit alors… une vague fulgurante qui déferle sur tout son corps et qui s'attarde. Elle oublie l'endroit, le temps, sa moralité et ne profite que de ce plaisir exquis et inégalé.
 
Longuement il la maintient dans l’orgasme. Son pieu agissant dans le bas-ventre avec force mouvements de bassin. Lorsque son corps se fait plus lourd sur le lit, il relâche la pression sur ses jambes, et extraie son vit du con trempé et assouvit. Elle reste ainsi, jambes écartées, haletante, la matrice béante et inondée.
 
Il remonte entre les cuisses lisses et fuselées et vient positionner son glaive de chair entre les seins majestueux.
 
Elle le regarde, essoufflée, puis place ses mains de chaque côté de sa poitrine. Les gros globes se rapprochent et enserrent la tige dégoulinante de cyprine.
 
Il va et vient, usant des seins appuyés l’un contre l’autre pour se masturber.
 
Elle lui autorise ce plaisir de la cravate de notaire et, en inclinant son visage, lèche le gland lorsqu’il est à sa portée. Il lui maintient la tête pour qu’elle puisse tout juste gober le casque rond. Il a la gout de son sexe… elle s’affole de nouveau et suçotte le bout rond à chaque fois qu'il lui présente.
 
Il se dresse soudain, tel un diable, et elle est surprise par la première giclée. Le foutre vient la frapper au menton et à la joue. Elle ouvre la bouche et la seconde giclée s’étale sur ses seins, dégouline dans son cou. Il avance son bassin vers son visage et elle peut enfin gouter le jus blanc qui lui frappe le palais et la langue.
 
Il pousse un soupir lent et profond. Il vient de lui salir le visage, les seins. Il se replace sur ses genoux. Elle a la bouche grande ouverte. Saisissant son sexe par le dessous il presse sa veine pour faire couler les dernières gouttes dans la gorge de sa patronne qui avale et déglutit avec un plaisir non feint. Elle goute le précieux nectar et le déguste.
 
Il retombe à côté d’elle, essoufflé.
 
Pendant quelques secondes il n’y a d’autres sons que leurs deux respirations. Essouflés ils ne disent un seul mot. Leurs regards perdus dans les soieries du lit à baldaquin.
 
Elle se lève alors. Sur son corps, le sperme forme des dessins aux courbes alambiquées. Ses seins lourds sont maculés de liqueur d’homme. Elle est la première à rompre le charme du silence d'après coït.
 
- Ne bouge pas. Je vais me nettoyer. Toi… reste comme ça… Sali… Nous avons le temps, mon mari ne rentre pas avant le petit matin. Et j’ai des choses à me faire pardonner.
 
Elle lui fait un petit clin d’œil avant de s’éclipser dans la salle de bain.
 
Il ferme les yeux et savoure. Quelques minutes de calme où l'eau de la douche lui parvient, lointaine.
 
Lorsqu’il les ré-ouvre, il contemple la chambre et son mobilier de qualité, le petit fauteuil de bois rare, la table sur laquelle sont déposés des fleurs et un masque vénitien, les miroirs et les appliques murales qui donnent une ambiance tamisée.
 
Son attention est attiré par la porte. Par l’entrebâillement de celle-ci il lui semble voir un œil l’observer. Il se dresse sur un coude mais n’a pas le temps de voir s’il s’agit d’un mirage ou de Coralie car sa patronne entre de nouveau dans la pièce, de l'autre côté.
 
Elle est nue. Son corps lascif ondule en s’avançant.
Bien que repu par sa jouissance, la simple vue de cette silhouette et de ses formes, lui redonne envie. Son sexe qui était amolli sur sa cuisse reprend instantanément vigueur..
Elle le regarde avec envie.
 
 
A suivre…
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Le soir venu Robin se dirige vers la chambre de son employeur.

Il frappe.

La voix féminine, lointaine, qui lui dit d’entrer est aussi douce que ferme.

Il pénètre dans ce lieu avec calme malgré une tension sensuelle qui ne l’a pas quitté depuis l’après-midi, depuis qu'elle lui a dit de passer ce soir... lorsque son mari aura quitté la villa.

 Il est arrivé dès que le petit coupé sport est passé devant sa maison de gardien.

Il pénètre dans le lieu le plus intime de la maison, la chambre, haute de plafond, au sol de parquet de bois foncé. Elle est immense.

Un lit à baldaquin en son centre, une glace de grande taille, un mur de placards, des objets de décoration tous plus luxueux les uns que les autres… mais aucune trace de la maitresse des lieux.

« Mon mari vient de partir à son club de bridge et je voulais prendre un bain… »

Il localise l’origine de l’appel, par la porte ouverte de la salle de bain privative.

« … et la baignoire semble bouchée ».

Elle sort de la pièce, simplement vêtue d’une nuisette de soie noire et prune.

Il la dévisage des pieds à la tête.

Ses jambes nues légèrement hâlée disparaissent à mi-cuisses sous le tissu.

Son ventre très légèrement visible dans la fluidité de son vêtement un peu serré et ses hanches marquées lui font instantanément de l’effet.

Une main posée sur le chambranle de la porte, l’autre dans ses cheveux, elle lui sourit alors qu’il est hypnotisé par sa poitrine volumineuse qui tend le tissu.

De fines bretelles, dont l’une est glissée sur son bras nu, des arabesques prune qui mettent en avant la sensualité de cette tenue.

Il déglutit avec peine tant cette femme de 10 ans son ainée est désirable.

 

Elle l’observe également.

De bonne stature, il a les yeux brillants, le teint mat.

Les deux premiers boutons de sa chemise sont défaits. Elle admire les quelques poils visibles qui ornent son torse puissant.

Lorsqu’elle s’efface de côté pour le laisser passer devant elle, elle pose son regard sur son jean dont l’entrejambe est révélateur de son émoi.

Le parfum masculin lui fait fermer les yeux.

« Regardez Robin, la baignoire ne veut pas se vider ».

L’eau savonneuse au parfum délicat remplit un petit fond.

« Vous allez devoir entrer dans la baignoire… »

Il se retourne et plonge ses yeux dans les siens.

Elle sourit très légèrement.

 

Il sait que tout ceci est une mise en scène et l’excitation qu’il en retire n’en est que plus forte.

Elle se plaque au mur de la salle de bain pour le regarder défaire sa chemise.

Avec une lenteur excessive il dévoile ses pectoraux et son ventre aux muscles fins.

La bande sombre et pileuse qui marque son ventre disparait sous la ceinture.

Elle frotte ses cuisses l’une sur l’autre.

Tel un chippendale il pose sa chemise et dégrafe son pantalon de jean.

Un à un les boutons claquent.

Peu à peu apparait le tissu noir de son boxer.

 

Elle respire un peu plus fort, plus rapidement.

Son cœur s’accélère devant ce bel homme, plus jeune, bien bâti et… bien pourvu.

Il se penche pour se débarrasser de l’encombrant jean.

Elle mate ses fesses musclées.

Il se redresse et lui sourit de ses dents blanches.

Elle parcourt des yeux ses épaules, ses bras, sa poitrine, son ventre, ses cuisses…

Une force souple se dégage du corps de l’homme qui se tient dans sa salle de bain.

« Vous risquez… de mouiller votre boxer » minaude t-elle sans quitter l’entrejambe où se distingue nettement l’érection de Robin.

 

Il glisse un doigt de chaque côté de son dessous et le fait très lentement glisser le long de ses hanches.

Le membre apparait, large, dressé.

Une verge épaisse, une veine très marquée sur le dessous, un gland rond, déjà décalotté, aux pourtours parsemés d’aspérités.

Le cep qu’elle a tout loisir d’admirer est légèrement arqué, nervuré et il surplombe deux bourses dépourvues de poils.

Entièrement glabre, son pubis met en valeur ce sabre de chair.

Il l’observe, elle sent les pointes de ses seins, tendre le tissu au point de le déformer. Dans son intimité humide s’écoule les premières gouttes de son désir.

« Et mon mari qui est partit… comment aurais-je pu faire sans vous. » Son soupir est presque un gémissement.

 

Il enjambe le rebord et se retrouve dans l’eau.

Il se penche, droit sur ses jambes.

Il sait qu’elle le regarde et il a envie de lui faire plaisir.

Les cuisses légèrement écartées elle peut, à loisir, voir ses bourses pendre.

 

Elle ne se prive pas de déguster du regard les fesses musclées, nues, et au-dessous les monts lisses et lourds.

Il ouvre la bonde et l’eau s’écoule.

Au moyen du jet elle enlève les bulles qui s’accrochent à la paroi.

Maladroitement, elle arrose Robin, l’eau tiède perle sur son corps.

« Ho. Je suis désolée. » fait-elle faussement.

« Ce n’est pas grave Madame. Voilà, c’est réparé ».

 

Il sort comme elle lui tend une serviette, minuscule, afin qu’il s’essuie.

D’une main il passe le tissu éponge sur son corps, doucement il essuie ses abdominaux, ses cuisses, son sexe en s’attardant sur le haut de ses jambes, caressant plus qu’il n’essuie.

La serviette ne cache rien et elle s’aperçoit qu’elle se mord la lèvre inférieure en l’admirant.

« Et puis j’ai aussi le lit qui grince… ça doit être le baldaquin. »

Il passe devant elle, toujours aussi nu qu’un ver pour aller chercher une chaise et y grimper afin de vérifier la barre la plus haute du lit.

Des voilages transparents aux dessins de velours noirs sont accrochés sur la structure de métal.

Ainsi juché sur une chaise, son sexe est à hauteur de son visage.

 

Elle pose une main sur le haut de la cuisse de Robin, caresse la peau en remontant sur le côté des fesses fermes.

A moins de 20 cm de ses yeux la verge se dresse, palpitante, pointée vers le ciel comme un mat de bateau.

Il reste ainsi, les mains sur le métal, la tête penchée vers le bas, une vue plongeante sur la poitrine lourde de sa patronne.

La soie écartée par ses seins généreux, il savoure la vallée qui lui est agréable à regarder. Ses mamelons sont visibles jusqu’à la forme de ses auréoles tant ils tendent le tissu fin. De longues tétines semblables à des pointes de crayons.

« Au fait je voulais m’excuser pour tout à l’heure. » fait-elle d’une voix douce.

« Je n’aurais pas du dire que votre amie était une « petite pute », ce n’était pas très élégant de ma part. » poursuit-elle.

Elle ponctue cette phrase en faisant glisser sa main sous les bourses de son amant.

Avec le dos de ses doigts, feignant de caresser l’intérieur des cuisses, elle les fait remonter par petites secousses.

« Ce n’est pas très grave Madame, je n’ai pas été choqué par vos paroles »parvient-il à articuler alors que son cœur s’emballe sous les gestes hautement érotiques.

« Vous savez que parfois, avec vous, je peux être un peu crue… »

 

Sa main s’est retournée, elle soupèse maintenant les deux boules dans ses doigts puis dans sa paume.

Elle referme ses doigts et les malaxe avec délicatesse.

Il ouvre instinctivement les cuisses, elle s’empare alors de son paquet pour le masser entièrement.

« Vous allez la retrouver ce soir ? »

« Non Madame… humm » il ne peut s’empêcher de lâcher un soupir.

Elle a saisit la base large entre son pouce et son index, tout en continuant de caresser les boules glabres, le sexe se voit pencher et osciller sous le geste précis de sa main.

« Alors vous allez être seul ? »

Il répond en hochant la tête, affirmatif.

« Vous allez… vous caresser ? »

Elle relève son visage vers lui, ses yeux brillent du feu du désir.

« C’est possible oui » fait-il en la regardant le masturber avec lenteur.

« Vous allez penser à elle ? A moi ? »

Elle affermit sa prise et la verge oscille.

Il pousse un petit gémissement.

« A vous…Comme très souvent ».

Elle lui lance un grand sourire.

« Faites moi voir, comment vous faites. » dit-elle en relâchant l’appareil génital pour s’éloigner un peu et s’adosser au mur, les mains dans le dos, jambes croisées sur ses chevilles comme une étudiante.

 

Il fait descendre sa main sur son ventre.

Sans la lâcher des yeux il saisit son sexe et le flatte.

Ses doigts glissent jusqu’à ses bourses qu’il fait rouler.

Sa main remonte et caresse la hampe, lentement, doucement.

Du bout du pouce il forme de petits cercles sur son gland rouge, excitant le méat jusqu’à en faire perler une goutte qu’il étale sur la surface délicate.

Debout sur la chaise son membre maintenu entre pouce et index, il entame une lente masturbation.

Pris à la base il joue avec son manche de façon à la faire aller de droite à gauche, de haut en bas.

Elle pose une main sur un de ses seins, incapable de résister à la tension douloureuse qui les anime.

Elle le malaxe afin de calmer sa sensation.

« Oui…continue… à quoi penses-tu ? » l’interroge t-elle.

« A vous. A vos seins. A votre main… à votre bouche… »

Elle dandine, ses mains saisissent le bas de sa nuisette.

« A vos cuisses… »

Elle la soulève lentement avant da la laisser retomber et faire glisser ses mains sur sa poitrine lourde et les bretelles.

La soie dévoile petit à petit la blancheur pâle de sa poitrine.

« A la douceur de vos seins… »

Elle continue de se dévêtir et lui offrir son corps.

Le tissu tombe à ses chevilles.

« A cette fente adorable… »

Elle pose une main sur son bas ventre, une autre en travers de ses seins comme pour se cacher.

« A vos hanches… »

Elle se tourne doucement, lui montre son fessier.

« A votre séant somptueux… »

Elle se dévoile, s’approche de lui.

Il n’a pas cessé de se masturber devant elle, sans gène, prenant un plaisir intense à se mettre en scène autant qu’il lui semblait lui en donner.

« Descend… » lâche t-elle dans un murmure.

Il obtempère et va replacer la chaise dans le couloir.

Il laisse la porte légèrement entrouverte.

 

Elle s’est allongée sur le lit, ses seins libres, une jambe repliée sur l’autre, les hanches voluptueuses ondulantes.

« Quelqu’un aurait pu te voir ! » fait-elle.

« Il n’y a personne ».

« Si, ma fille ! »

« Mademoiselle Coralie doit –être couchée à cette heure-ci ». Ment-il en ayant aperçu un fin rayon de lumière sous la porte de sa chambre.

« Elle aurait découvert un homme… dans… toute sa puissance virile » lâche t-elle les joues un peu rouges.

« Elle a peut-être déjà eu un amant »

« Arrête, elle est encore trop jeune… 23 ans… je ne veux pas en entendre parler. Approche-toi plutôt. »

Il s’avance vers elle, son sexe en étendard.

Il monte sur le lit, s’agenouillant près de la femme qui pose une main sur son torse.

« Alors comme cela tu te caresses en pensant à mes seins… à mes fesses ? Explique-moi un peu plus précisément à quoi tu penses… » fait-elle en caressant sa peau musclée.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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