J'allais rendre visite à mes parents comme souvent le week-end, profitant d'un peu de répit dans le travail assez conséquent que m'imposaient mes études de médecine.less

J'étais vêtu d'un jean noir, d'un tee-shirt rouge vif, tenue décontractée qui me permettait de relâchée également la pression.

C'était toujours un moment agréable, loin du centre ville, du bruit, et de l'exiguité de mon studio.

Secrètement, en conduisant, j'espérais que l'amie de ma mère serait présente.

Cette femme avait depuis mes premiers émois, accompagnée mes pensées nocturnes, solitaires et parfois même mes choix de conquêtes féminines.

Elle représentait la muse sensuelle que je désirais.

Aussi, lorsque je me garais dans l'allée du jardin du vaste pavillon familial et que j'aperçus l'Austin mini de cette femme, mon cœur fit un bond.

Je souriais dans le rétroviseur.

Après un bref coup de sonnette, j'entrais dans la maison.

"Salut ! C'est moi !".

Ma mère me reçoit.

Les embrassades chaleureuses toujours aussi débordantes.

Et j'entre dans la pièce, le salon, où elle est là...

Assise sagement dans un fauteuil.

Elle se lève.

Une jupe portefeuille en tissu fluide imitant la soie, courte, un brin coquin en révélant des bas blancs qui galbent ses mollets, ses genoux.

Elle a des jambes splendides.

Je lui rends son sourire, appréciant intérieurement la tenue volante.

Elle dépose un baiser sur ma joue.

Son parfum est fort, un vrai parfum de femme mature; limite entêtant, je le voudrais encore plus longtemps sur moi.

Il flotte... j'inspire pour me délecter... il m'enfièvre.

La quarantaine passée elle est une femme superbe, dans la pleine force de l'âge, sure d'elle, confirmée.

Je rougis alors que j'aperçois furtivement son regard s'attarder sur mon pantalon moulant avant de remonter vers mon visage.

Un peu serré, je me demande si ce jean ne met pas trop en avant mes attributs.

Est-ce un regard automatique ou bien y a t-il dans ce regard réflexe... autre chose ?

Je me surprends à laisser trainer mes yeux quelques secondes sur sa poitrine.

Ma chemise à carreaux, cintrée... " un cadeau de maman", se soulève alors que je prends une profonde inspiration et me pose sur le canapé.

Le thé est servit, trop chaud comme d'habitude.

L'ambiance est cosy et les deux femmes m'assaillent de questions sur ma vie, sur mes études... mes amis et amies.

Je réponds évasivement, amicalement.

Je regarde sa bouche entrouverte souffler sur la tasse, des images plein l'esprit à la simple vue de ses lèvres aux plis sensuels.

Lorsqu'elle parle sa voix résonne en moi comme un carillon, une sonnerie d'appel.

Je me sens toujours si jeune face à elle, si humble.

Elle joue de la tasse avec le bout de ses doigts.

Sa bouche effleure la porcelaine blanche.

Je me surprends à envier cette anse qu'elle semble caresser de façon sensuelle.

Soudain le téléphone sonne, ma mère doit vite s'en aller pour aller à la gare retrouver ma sœur puis la ramener chez elle.

Dans ces embouteillages elles risquent de s'éterniser... mais elle ne veut pas que son amie ne parte avant d'avoir finit son thé.

Je n'en crois pas mes oreilles, je vais avoir un peu de temps avec cette femme, avec ma muse.

J'admire ses doigts pour ne pas la regarder dans les yeux.

Ma mère s'éclipse après un léger baiser sur le front.

La porte claque.

Nous voilà seuls dans la maison silencieuse... et je suis intimidé.

Je sursaute.

Elle vient de défaire son escarpin et de poser son bout de pied gainé de nylon sur mon entrejambe.

Sans un mot.

Je relève le visage vers elle, interloqué.

Je laisse le pied posé là où il est, mes yeux grands ouverts.

Elle fini sa tasse et la repose sur la petite table.

Je tremble en tenant la mienne que je ne parviens plus à boire.

Son regard bleu est pétillant.

De fines ridules aux coins de ses yeux en amande la rendent attractive, incroyablement belle.

"Tu as bien grandit" me dit-elle.

Ma cuillère tremble alors que je la remercie de cette remarque.

"Je te gène ?" poursuit-elle en accentuant sa pression sur mon entre jambe.

Mon sexe a aussitôt réagit, enflant sans que je ne puisse l'en empêcher.

Remontant mes flancs, parcourant mes cuisses, des myriades d'étincelles réchauffent mon corps.

"Ho non"... ma réponse me semble trop rapide, irréfléchie.

Elle continue de frotter délicatement du bout de son pied dont le tissu masque les orteils.

Par petits cercles, elle me fait écarter les jambes.

Elle me sourit, visiblement ravie de l'effet qu'elle me fait et de ce qu'elle sent sous ses doigts.

Ma verge enfle.

Sa jupe fluide remonte sur sa cuisse.

Je lorgne du coin de l'œil cette jambe imaginée tant de fois.

"C'est très... chaud tout ça". Fait-elle d'un ton plus doux, plus grave, plus intime.

Je déglutis avec peine le thé qui me parait être devenu aussitôt consistant que de la pierre.

"Chaud... et bien rempli" poursuit-elle en appuyant plus fortement sur mon sexe.

Je deviens rouge, écarlate.

Ses yeux captent les miens.

Je peux y lire l'étincelle brillante du désir.

Mon membre forme aussitôt une barre qui croît et remonte sur ma cuisse en déformant mon jean.

J'ose enfin lui dire quelques mots.

"Vous êtes très..." sans pouvoir achever ma phrase.

Son pied me masse doucement, je respire de plus en plus vite sous l'effet de l'excitation.

Je perds le souffle.

"Très quoi ?".

Je descends mon regard vers son top. Une sorte de tee-shirt ample presque sans manche, très échancré sous les bras, et largement ouvert sur sa poitrine.

Ses petits cercles sur ma bosse descendent sur mes bourses.

"Ravissante." Achève-je enfin.

"Humm "ravissante", j'aime. Moi je dirais que tu es... très très excitant".

Mes joues sont rouges de ce compliment.

"Vous m'enivrez depuis que je suis en âge de vous apprécier". Ma voix est celle d'un autre, ailleurs, loin. Je ne me reconnais pas dans cet aveu.

"Je suis ravi d'entendre ça" soupire t’elle d'aise.

Je plonge mon regard dans la vallée de sa poitrine qui se dessine sous le tissu.

"Tu es très attirant" fait-elle en pressant un peu plus fort mon membre, sa jambe dévoilée plus haut par la jupe qui remonte lentement.

Je pose ma tasse dont la cuillère, tremblante, fait tinter la matière.

"Merci. Vous aussi. Mais je ne devrais pas... vous êtes l'amie de ma mère".

Je regrette presque aussitôt mes paroles.

Je suis sur qu'elle va mal le prendre.

Au lieu de cela elle ne dit rien et continue ses manigances de pieds.

"Tu sembles bien mur pour ton âge".

"Je ne suis plus si jeune. 25 ans cela commence à compter".

Elle rit doucement. Un petit rire clair comme un torrent de montagne.

"Oublie cela. Ne pense qu'à mon pied qui te fait du bien."

Je ferme les yeux, accédant sans effort à sa demande, dans un soupir de plaisir.

Je crois rêver.

"Je n'ai vécu que pour cet instant" murmure-je.

Elle pousse un petit gloussement.

"A la fleur de l'âge. Tout connaitre. Un petit peu d'expérience." susurre t’elle doucement en massant délicieusement.

J'ouvre les yeux pour me rassurer. Ce n'est pas un fantasme, il ne fait pas nuit, et je ne me réveille pas.

"25 ans...suffisamment pour donner du plaisir... et endurant..." me dit-elle.

Je rougis jusqu'aux oreilles.

Son pied se faufile sous ma chemise.

Elle tâte mes abdominaux.

"Hummm. Et bien bâti en plus".

La chemise remonte.

"Défais les boutons un à un" m'ordonne t’elle.

J'obéis en commençant par la haut.

Les mains fébriles, je parviens cependant à lui exhiber mon torse musclé, légèrement velu puis mon ventre dont une frange noire de poils descend de mon nombril vers le pantalon avant d'y disparaitre.

Elle glisse une main jusqu'à son sein pointu.

Son top est tendu.

J'avale ma salive avec difficulté.

"Magnifique" dit-elle plus pour elle même que pour moi.

Je pose ma chemise à mes côtés.

"Défais ta ceinture également".

"Je..."

Me doigts se posent sur la boucle et font coulisser le cuir.

"La boucle et le premier bouton".

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Lorsque nous arrivons dans la salle de cinéma et Miss Kathleen opte pour le rang du fond.

Elle a revêtue une jupe crème et un chemisier vert sombre.

Son manteau ample masque ses hanches et sa poitrine altière et généreuse.

Ses cheveux roux maintenus en chignon serré lui donne cet air sévère que j'apprécie toujours autant.

Ses yeux vert turquoise me dévisagent et me rapelle qu'elle est "ma maitresse".

C'est elle qui a choisit ma tenue, un pantalon de toile très transparent, sans dessous, un pull fin et près du corps.

La lumière s'atténue.mots

Le film commence.

Malgré ma connaissance de l'anglais, j'ai un peu de mal à saisir les subtilités de ce film d'auteur.

Je vois Miss Kathleen écarter ses jambes et remonter sa jupe.

Elle se penche vers moi et me murmure :

"Agenouille-toi. J'ai envie que tu me lèches".

Surpris, je regarde aux alentours.

La salle est peu fréquentée et les spectateurs ne sont pas à proximité.

Je suis sur qu'elle a fait tous ces choix sciemment.

L'espace est exigue et je suis très proche des cuisses gainées de nylon de ma maitresse.

Elle fait refluer le tissu de sa robe jusqu'à ses hanches.

Ses cuisses s'ouvrent pour me laisser decouvrir son absence de culotte.

J'avance mon visage et son parfum intime m'enivre instantanément.

La pointe de ma langue effleure le pourtour de ses lèvres.

Je sens la fine frange pileuse qui cerne sa fente féminine.

Ma langue se fait large et ample pour parcourir l'intégralité de son abricot.

Elle ondule doucement son bassin, son sexe appuyé sur mon visage.

J'enfonce ma langue dans son antre humide.

mon muscle devient fin, raide comme un petit sexe.

Elle geint à l'intrusion avant de caresser mes épaules, comme pour m'empécher de m'en aller.

Je n'en ai nulle envie... heureux d'être là, entre ses cuisses.

Je lappe et son jus ne tarde pas à devenir très abondant au bout de quelques minutes de cunnilingus appuyé.

Je m'en délecte.

Il coule dans ma bouche comme un sirop onctueux au gout merveilleux, épicé.

J'extraie sa perle afin de pouvoir la titiller de façon lente.

Elle serre et desserre ses cuisses autour de mon visage.

Je suis troublé par la situation et l'envie grandit en moi.

Mon sexe commence à se tendre, libre dans mon pantalon.

Douloureuse sensation du tissu qui réfrène mes envies et qui ne fait que faire s'accroitre mon plaisir.

Je parcours ses larges lèvres au gout délicieux.

Je joue avec la dentelle de ses fines nymphes internes.

Ses ongles se plantent dans mon dos.

Mon érection est totale.

Ma bouche plaquée à son sexe, j'aspire le liquide qu'elle m'octroie dans sa coupe intime, J'avale le nectar sacré de son corps.

Je suce sa perle qui coulisse entre mes lèvres voraces.

Elle se tend, se cabre.

Son jus afflue. Le fruit de sa jouissance qu'elle me donne est un cadeau.

J'accepte son offrande et me délecte de sa cyprine qui coule dans ma gorge.

Son calice est emplit... je la bois.

Elle fait de lents mouvements de bassin avant de me repousser doucement.

Je la regarde.

Derrière ses lunettes qui me renvoient les lueurs du film, elle me dévisage.

Le long de mon menton coule ma salive mêlée au jus de son orgasme.

Je passe ma langue sur mes lèvres pour en recueillir les dernières gouttes.

Elle se penche vers moi.

Sa main glisse sur mon sexe.

Sa joue proche de la mienne.

Elle palpe mon sexe.

Sa voix est un murmure.

"Tu lèches divinement bien... et ça te fait bander..."

Elle masse mon vit au travers du tissu.

"Oui Maitresse."

Elle se recule après quelques instants.

"Je t'interdis de te caresser."

L'ordre me fait grimper en pression.

Je reste à genoux devant elle.

Sa robe vient doucement recouvrir le haut de ses cuisses sans masquer totalement son entrejambe.

Mon érection ne faiblit pas.

Mes pensées m'empêchent de ne voir autre chose que Miss Kathleen, ma maitresse, ma déesse, ma rousse amante.

J'ai perdu le repère du temps et elle retrousse de nouveau sa jupe.

Ses bas m'attirent.

L'orée de ses lèvres encore scintillante de sa jouissance précédente.

Je dévore son abricot.

La jupe me recouvre.

Elle ondule sous ma bouche qui se fait goulue.

Je la masturbe avec ma langue dans l'ombre de sa jupe.

J'explore ses plis les plus secrets.

Un bruit de succion, de marécage...

J'ai l'impression d'avaler une pèche juteuse.

Son jus me coule sur le visage, sur le nez, sur les joues... je m'en repais !

Goinfre...

Affamé...

Assoiffé de sa chatte.

Elle positionne sa jambe entre mes cuisses et mon sexe se retrouve collé à son galbe.

Sa voix me parvient, penchée sur mon, entrecoupée d'inspirations profondes qui trahissent son plaisir.

"Tu lapes comme un chien... alors frotte toi sur ma jambe".

Je lui obéis, mes sens exacerbés.

Mon pieu pressé sur sa jambe, je me force à venir le faire coulisser.

Dans une position particulièrement éloignée de la morale, je me caresse sur sa jambe en lui léchant la fente...

Et mon sexe ne désenfle pas...

Le plaisir grandit en moi.

Elle appuie sur mon visage.

J'accélère.

Elle se retient de gémir.

Notre jouissance est simultanée.

Un flot de foutre vient maculer mon pantalon.

Une vague de cyprine inonde ma bouche.

Nous restons immobiles de longs instants.

Ma respiration est courte, la sienne est profonde.

Elle m'oblige à rester dans cette position pour la fin du film.

Aux pieds de ma maitresse... je n'arrive pas à débander.

Lorsque la lumière revient, elle m'ordonne de la suivre, quelques mètres en retrait.

Je prends soudain conscience de mon état.

Le pantalon sali de façon très nette.

Mon sexe tendu et visible lorsque je suis debout.

Elle sourit.

La honte s'empare de moi.

Mon visage se tire sous son jus qui a séché sur mes joues.

Elle marche, fière, sans rien laisser paraitre de nos coupables activités.

Je tente de me cacher des autres spectateurs.

Le couloir vers la sortie est d'une longueur interminable..

Elle se tourne parfois pour me voir, ravie de ce qu'elle m'impose, elle a un large sourire.

Ma honte d'être exposé se mélange au plaisir que ma Maitresse prend à me savourer ainsi.

Et je ne peux arriver à endiguer mon érection qui déforme mon entrejambe déjà taché copieusement.

Elle passe devant l'ouvreuse.

Cette dernière me matte des pieds à la tête.

"Le film vous a beaucoup plus cher monsieur" me lance t elle en me demandant mon ticket, dans son accent irlandais.

La jolie jeune blonde; griffonne, vérifie; prend son temps, laissant ainsi aux autres personnes le temps de pouvoir remarquer mon indécente posture.

Si elle voulait me faire remarquer par la prochaine file d'attente, elle ne s'y prendrait pas autrement.

Elle me tend de nouveau mon ticket dans un "au revoir et à bientôt".

Je sors dans le hall de l'amphithéâtre.

Il me semble que tout le monde me remarque.

J'évite les sourires et les quelques regards qui se posent sur mon bas ventre tendu et souillé.

J'ai envie de courir... de pleurer... de disparaitre...

Sur le trottoir la voiture Miss Kathleen m'attend, portière ouverte.

Je m'engouffre dans l'habitacle.

"Tu te caches ?"

J'ai horriblement honte.

"Pourtant tu me fais de l'effet comme cela".

Je rougis de plaisir cette fois.

Elle me prend le ticket des mains.

"On dirait que ton érection et ta tenue de dépravé ont été remarqué" me lance t elle.

Sur le ticket, la blonde a inscrit son numéro de téléphone.

"Je sens que nous allons revoir cette jeune femme..."

Elle démarre en déposant un baiser sur ma joue.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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[…]soumise

 

A genoux, je reçus son ordre de plein fouet.

 

"Assieds-toi sur la table et écarte les cuisses".

 

Ce ton vulgaire me donna chaud.

Avec l'aide de ses bras vigoureux, je me retrouvais sur la table de jeu, au milieu des billets et des cartes, les jambes grandes ouvertes.

Il me semblait avoir perdu la raison.

Au dessus de moi il s'éleva, me surplomba, sa stature me dominait, me dépassait en tout.

Entre mes cuisses blanches écartées, son sexe était dressé comme un mat de bateau, comme un bélier devant une porte de château.

J'eu soudain peur.

"S'il te plait... non... je suis trop serrée". Murmurais-je avec une voix cassée.

Il me sourit avant de diriger son gland massif sur ma fente humide.

Trempée... j'étais trempée, ruisselante...

Et son bout entra... écarta mes lèvres... s'enfonça.

Je poussais un cri.

Trop large, sa verge me donnait l'impression de m'ouvrir en deux.

Ses pectoraux et ses biceps m'entouraient.

Ses mains en appui autour de moi, j'étais prisonnière d'une cage humaine.

Et ma porte s'ouvrait... incapable de résister à ces assauts lents et de plus en plus profonds.

La douleur ne dura qu'une seconde pour être remplacée par un déferlement de sensations magiques.

Outragée, j'accueillais maintenant sans effort cette chose énorme tellement j'étais lubrifiée.

Je posais mes doigts sur ses muscles qui se contractaient à chacune de ses poussées en moi.

Sa puissance m'enivrait.

"Tu sais que tu es bonne..." me dit-il.

Je rougissais... son langage cru me faisait vibrer.

Il passa une main derrière mon genou et me releva une jambe.

Il entreprit alors de me bourrer avec plus de vitesse.

Mes seins ballotaient, mon corps subissait avec plaisir, moitié allongé, moitié de côté.

Lorsqu'il vint relever ma seconde jambe son pieu s'enfonça profondément.

Je poussais un râle !

"Ho oui... t'es bonne... Super bonne à baiser..."

J'ondulais, je dansais en acceptant le vit qui m'écartait comme jamais encore je n'avais été déflorée.

Il me "baisait"... et j'en voulais encore.

Mon corps gravissait un à un les étapes vers l'orgasme à une vitesse incroyable.

Moi qui ne voulais pas me donner à un autre que mon mari il y avait moins d'une heure, je désirais que ce moment ne s'arrête jamais, qu'il continue de me faire atteindre la jouissance de cette façon animale...

Les minutes s'enchainaient, ses coups de reins me défonçaient et je gémissais.

Lorsqu'il ralentit son rythme je me rendis compte que j'avais les yeux fermés et que mes ongles étaient enfoncés dans ses bras.

Il sortit son sexe de ma fente.

Je grimaçais... ressentant la douleur... de ce qu'il venait de me faire subir... et de ce sentiment d'absence en moi.

Je venais de couler, de jouir de façon incontrôlable.

Je le dévorais des yeux.

Exténuée par le déferlement de jouissance... mais encore chaude et inassouvie.

Au milieu d'une table de jeu, quelques billets collaient à la sueur de mon dos... on eut une de ses filles de joie dans un film noir américain... et je souriais.

Il me saisit sous les reins et me releva comme une poupée de chiffon, sans effort.

"Tourne-toi."

J'obéissais et, sans même y penser, je me retrouvais devant mon mari.

Un peu surprise, je redécouvris, toujours dans le fauteuil, face à moi, mon époux cuvait.

Je l'avais oublié... j'eu honte.

Et mes mains agrippèrent les accoudoirs qui, de chaque côté, empêchaient mon illustre mari, de s'affaler au sol.

Ma poitrine généreuse se balançait mollement.

Les mains larges vinrent la saisir et la malaxer, la pétrir....

Je couinais... bouche grande ouverte...

Je ronronnais... ondulant de la croupe...

Puis il relâcha un de mes seins et positionna son sexe contre mon vagin.

"Tu dois aimer être prise en levrette" me demanda t il.

Il n'attendit pas la réponse et m'embrocha.

Je poussais un profond gémissement.

D'une main il tirait mes tétons, les faisait rouler, jouait avec mes seins comme il le voulait.

De l'autre il me maintenait pour que je ne tombe pas sur mon mari alors qu'il me chevauchait tel un hussard, un barbare.

Il s'enfonça entièrement en moi et je poussais un cri muet.

Il me malmenait avec une habileté et une frénésie sexuelle extraordinaire.

Ma vulve envahit par son pieu monstrueux, le moindre de mes mouvements était source de plaisir.

Une simple respiration et je contractais mon bas ventre, je coulais de nouveau sans pouvoir m'interrompre.

Ses coups de reins étaient lents, profonds, rapides, nerveux...

Il me parcourait...

Je poussais des cris...

Je jouissais sans m'arrêter...

Et il continuait de me pilonner...

Il poursuivait son offense... Les orgasmes s'enchainaient... incontrôlés...

La force de ses pressions appuyait sur mon clitoris qui subissait les pénétrations de cette énorme queue.

Ses mains sur mes épaules, il me labourait sans s'arrêter.

J'étais à bout de force.

Il me positionna sur le fauteuil, les genoux contre ceux de mon mari, ma poitrine sur son visage.

Et la sarabande de son érection recommença.

Inconscient, mon époux entrouvrit la bouche et léchouilla les pointes de mes seins.

Je me cambrais, le désir revint à la charge.

"T'aime ça... Tu aimes la bite ! " me lança t-il dans un grondement.

"Oui ! Ouiii ! " Répondis-je, essoufflée, enivrée.

J'offrais ma croupe à son soc qui me ramonait en tout sens.

Mes nymphes étaient pressées, écartelées.

Devant mes yeux le ballet lancinant d'étoiles, de lueurs... je cru perdre la raison et m'évanouir lorsqu'un éclair me parcouru l'échine.

Il venait de me mettre un doigt dans l'anus.

J'ouvris grand les yeux.

Il jouait de son doigt dans les quelques millimètres de mon petit orifice.

Je tournais la tête vers lui.

"Non..." murmure-je, à peine audible, mon corps secoué de tremblements alors que chaque coups de reins propulsait son sexe en moi et me faisait buter sur le dossier du fauteuil.

Le gros doigt tournait délicatement, écartait mes muqueuses jusqu'alors virginales.

"Non... pas là..." dis-je, modérant ma supplique, je ne voulais pas que mon époux se réveille.

Il continuait sans se soucier de ce que je venais de dire et m'assouplissait avec force mouvements lents et délicats.

Jamais je n'avais voulu que quiconque passe "par là". Je trouvais cela répugnant, animal. Surement source de douleurs également, et surtout immoral.

Ses cuisses plus larges que les miennes, ses hanches derrière moi qui me dépassaient, ses bras musculeux et ses grandes mains qui me maintenaient, son torse qui me surplombait de toute sa hauteur...

Je ne pouvais lutter contre cet homme.

Le gland vint se poser sur mon étroitesse.

Et la queue volumineuse força ma rondelle assouplit.

J’étais une vestale couverte par le dieu bouc, une villageoise souillée par un barbare, une bourgeoise offerte à un soudard...

Je gémissais, me forçais à ne pas trop crier, refusant l'intromission.

"S'il te plait... non... pas par là... non..."

Ses mains caressaient mon dos, mes seins avec une délicatesse incroyable.

Il faisait rouler mes tétons tendus.

Son sexe fiché dans mon anus, il me semblait que j'étais écartelée.

Je ne pouvais plus bouger, je n'osais plus faire le moindre geste car un simple mouvement irradiait une douleur dans mon arrière train.

J'avais honte.

Ses doigts vinrent masser ma fente.

Je sentis perler une larme à mes yeux... Je me sentais vaincue, toute résistance était inutile.

Il allait... me prendre... contre nature.

Il agissait avec une retenue, une expertise démente...

J'avais déjà jouit, j'avais mal... et pourtant le plaisir afflua de nouveau.

La douleur fit place instantanément à une source de sensations fortes et indescriptibles.

Il me semblait que mon sexe et mon anus étaient des puits de plaisirs.

Malgré moi, j'ondulais, j'avançais mon ventre, je poussais mes fesses autour de ce pal qui m'envahissait littéralement.

"Je savais que tu allais aimer te faire enculer" lâcha t-il derrière moi.

Je poussais un cri que j'étouffais en mordant dans le dossier du canapé.

Ma joue à quelques centimètres de celle de mon mari.

Lui qui n'avait jamais pu même me mettre un doigt dans l'anus, il ne me voyait pas me faire prendre entièrement, sodomisée pour la première fois, devant lui, par un autre, par un homme monté comme un âne.

"Tu es vierge ?" me lança t-il en donnant de légers coups de reins.

Je hochais la tête, affirmative, trop honteuse pour l'avouer à voix haute.

C'était un plaisir inédit, une révélation...

Je m'avouais intérieurement apprécier cette prise immorale.

Il accéléra...

"Tu aimes ça ?".

Je subissais avec délectation.

Il me violait l'anus... et je poussais mon premier "oui... ho... ouiii".

Je perdis le sens de la réalité...

Son sexe bandé dans mon petit interdit, il accompagna mes mouvements de bassins.

Ma virginité anale volait en éclat et avec elle mes barrières et les frontières de mes principes que je croyais éternelles.

Le mandrin se frayait un passage dans mes fesses.

Il enclencha une série de coups de pistons intenses.

J'eu l'impression que j'étais ouverte, fendue en deux, écartelée par l'énormité qu'il m'emmanchait dans les reins.

Ses doigts me masturbaient, son sexe me pilonnait.

Je gémissais, inarticulée.

J'ondulais, désarticulée.

Il me sodomisa jusqu'à ce que j'en jouisse dans un long et lent orgasme qui prit naissance dans les parties les plus cachées de mon être.

Arc-boutée, j'étais cambrée pour qu'il puisse me prendre le plus profondément que son appendice hors norme le permettait.

Le long de ma colonne vertébrale remontaient les flashs d'un plaisir mystérieux et incroyable.

J'étais domptée.

Il allait pouvoir me monter comme il l'entendait désormais.

...

Sa grosse queue força chacun de mes trous en alternance.

Il me fit le sucer encore et encore.

Parfois sur la table, d'autre fois au sol à 4 pattes, parfois encore je me retrouvais sur lui à le chevaucher.

Son sexe monstrueux s'enfonçait en moi, je l'accueillais en dansant sur lui comme une folle affamée de stupre.

Au milieu de cette pièce, à côté de mon mari ivre mort, je me livrais aux jeux du sexe et à des plaisir pervers.

Je masturbais sa grosse verge alors qu'il me léchait.

En 69, il aspirait mes sucs qui ne cessaient de couler pendant que je pompais et que j'aspirais avec envie.

Je me cambrais lorsqu'il me prenait avec cet air animal, bestial.

Mes orgasmes s'enchainaient, j'avalais même son foutre épais qu'il lâchait par grande giclées dans ma gorge, sur mon visage...

Parfois il se vidait sur mon dos, sur mes seins... dans mon anus.

Je ne me reconnaissais plus, je voulais du sexe... son sexe... son gros sexe. Encore et encore !

Il me fit même sucer mon mari sans qu'il ne s'en rende compte... et ça en même temps qu'il me prenait de nouveau par l'arrière de façon brutale.

J'étais un pantin.

Et lui le marionnettiste habile.

Assise sur lui je me dandinais pour forcer son pieu à me malmener.

Le sens commun m'avait abandonné, les heures se passaient entre ses mains, je me révélais gourmande, affamée, assoiffée, avide de sexe, ma sensualité exacerbée comme jamais auparavant, mes envies et mes désirs poussés à l'extrême.

Nous finîmes dans une chambre où je pu crier à loisir.

Il me posséda entièrement comme nul homme avant lui.

 

Je me donnais totalement.

Au petit matin je me hâtais de passer sous la douche et m'habiller pour retrouver mon mari qui émergeait difficilement.

Franck était déjà parti. C'était aussi bien, je n'étais pas sur de pouvoir accepter son regard sur moi.

J'avais du mal à marcher.

Mon sexe était un étui béant et mon cul était en feu.

Si mon cœur était en peine d'avoir trompé mon mari, mon corps était rempli de plaisirs qui me revenaient par vagues.

Je rougissais seule, à la simple idée de certaines scènes.

La maitresse de maison vint me réconforter d'un bras autour de mes épaules.

Je pleurais d'un coup.

Elle ne dit pas un mot, se contentant de me tenir contre elle.

Elle savait ce que j'éprouvais et il n'y avait pas besoin de parler.

"Tu reviendras le mois prochain" me murmura t elle.

Je séchais mes joues et lui souris.

J'acquiesçais... Evidemment, je faisais maintenant partie de leur « club ».

Avec l'envie chevillée au corps que ce mois se passe vite.

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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