Lorsque nous arrivons dans la salle de cinéma et Miss Kathleen opte pour le rang du fond.

Elle a revêtue une jupe crème et un chemisier vert sombre.

Son manteau ample masque ses hanches et sa poitrine altière et généreuse.

Ses cheveux roux maintenus en chignon serré lui donne cet air sévère que j'apprécie toujours autant.

Ses yeux vert turquoise me dévisagent et me rapelle qu'elle est "ma maitresse".

C'est elle qui a choisit ma tenue, un pantalon de toile très transparent, sans dessous, un pull fin et près du corps.

La lumière s'atténue.mots

Le film commence.

Malgré ma connaissance de l'anglais, j'ai un peu de mal à saisir les subtilités de ce film d'auteur.

Je vois Miss Kathleen écarter ses jambes et remonter sa jupe.

Elle se penche vers moi et me murmure :

"Agenouille-toi. J'ai envie que tu me lèches".

Surpris, je regarde aux alentours.

La salle est peu fréquentée et les spectateurs ne sont pas à proximité.

Je suis sur qu'elle a fait tous ces choix sciemment.

L'espace est exigue et je suis très proche des cuisses gainées de nylon de ma maitresse.

Elle fait refluer le tissu de sa robe jusqu'à ses hanches.

Ses cuisses s'ouvrent pour me laisser decouvrir son absence de culotte.

J'avance mon visage et son parfum intime m'enivre instantanément.

La pointe de ma langue effleure le pourtour de ses lèvres.

Je sens la fine frange pileuse qui cerne sa fente féminine.

Ma langue se fait large et ample pour parcourir l'intégralité de son abricot.

Elle ondule doucement son bassin, son sexe appuyé sur mon visage.

J'enfonce ma langue dans son antre humide.

mon muscle devient fin, raide comme un petit sexe.

Elle geint à l'intrusion avant de caresser mes épaules, comme pour m'empécher de m'en aller.

Je n'en ai nulle envie... heureux d'être là, entre ses cuisses.

Je lappe et son jus ne tarde pas à devenir très abondant au bout de quelques minutes de cunnilingus appuyé.

Je m'en délecte.

Il coule dans ma bouche comme un sirop onctueux au gout merveilleux, épicé.

J'extraie sa perle afin de pouvoir la titiller de façon lente.

Elle serre et desserre ses cuisses autour de mon visage.

Je suis troublé par la situation et l'envie grandit en moi.

Mon sexe commence à se tendre, libre dans mon pantalon.

Douloureuse sensation du tissu qui réfrène mes envies et qui ne fait que faire s'accroitre mon plaisir.

Je parcours ses larges lèvres au gout délicieux.

Je joue avec la dentelle de ses fines nymphes internes.

Ses ongles se plantent dans mon dos.

Mon érection est totale.

Ma bouche plaquée à son sexe, j'aspire le liquide qu'elle m'octroie dans sa coupe intime, J'avale le nectar sacré de son corps.

Je suce sa perle qui coulisse entre mes lèvres voraces.

Elle se tend, se cabre.

Son jus afflue. Le fruit de sa jouissance qu'elle me donne est un cadeau.

J'accepte son offrande et me délecte de sa cyprine qui coule dans ma gorge.

Son calice est emplit... je la bois.

Elle fait de lents mouvements de bassin avant de me repousser doucement.

Je la regarde.

Derrière ses lunettes qui me renvoient les lueurs du film, elle me dévisage.

Le long de mon menton coule ma salive mêlée au jus de son orgasme.

Je passe ma langue sur mes lèvres pour en recueillir les dernières gouttes.

Elle se penche vers moi.

Sa main glisse sur mon sexe.

Sa joue proche de la mienne.

Elle palpe mon sexe.

Sa voix est un murmure.

"Tu lèches divinement bien... et ça te fait bander..."

Elle masse mon vit au travers du tissu.

"Oui Maitresse."

Elle se recule après quelques instants.

"Je t'interdis de te caresser."

L'ordre me fait grimper en pression.

Je reste à genoux devant elle.

Sa robe vient doucement recouvrir le haut de ses cuisses sans masquer totalement son entrejambe.

Mon érection ne faiblit pas.

Mes pensées m'empêchent de ne voir autre chose que Miss Kathleen, ma maitresse, ma déesse, ma rousse amante.

J'ai perdu le repère du temps et elle retrousse de nouveau sa jupe.

Ses bas m'attirent.

L'orée de ses lèvres encore scintillante de sa jouissance précédente.

Je dévore son abricot.

La jupe me recouvre.

Elle ondule sous ma bouche qui se fait goulue.

Je la masturbe avec ma langue dans l'ombre de sa jupe.

J'explore ses plis les plus secrets.

Un bruit de succion, de marécage...

J'ai l'impression d'avaler une pèche juteuse.

Son jus me coule sur le visage, sur le nez, sur les joues... je m'en repais !

Goinfre...

Affamé...

Assoiffé de sa chatte.

Elle positionne sa jambe entre mes cuisses et mon sexe se retrouve collé à son galbe.

Sa voix me parvient, penchée sur mon, entrecoupée d'inspirations profondes qui trahissent son plaisir.

"Tu lapes comme un chien... alors frotte toi sur ma jambe".

Je lui obéis, mes sens exacerbés.

Mon pieu pressé sur sa jambe, je me force à venir le faire coulisser.

Dans une position particulièrement éloignée de la morale, je me caresse sur sa jambe en lui léchant la fente...

Et mon sexe ne désenfle pas...

Le plaisir grandit en moi.

Elle appuie sur mon visage.

J'accélère.

Elle se retient de gémir.

Notre jouissance est simultanée.

Un flot de foutre vient maculer mon pantalon.

Une vague de cyprine inonde ma bouche.

Nous restons immobiles de longs instants.

Ma respiration est courte, la sienne est profonde.

Elle m'oblige à rester dans cette position pour la fin du film.

Aux pieds de ma maitresse... je n'arrive pas à débander.

Lorsque la lumière revient, elle m'ordonne de la suivre, quelques mètres en retrait.

Je prends soudain conscience de mon état.

Le pantalon sali de façon très nette.

Mon sexe tendu et visible lorsque je suis debout.

Elle sourit.

La honte s'empare de moi.

Mon visage se tire sous son jus qui a séché sur mes joues.

Elle marche, fière, sans rien laisser paraitre de nos coupables activités.

Je tente de me cacher des autres spectateurs.

Le couloir vers la sortie est d'une longueur interminable..

Elle se tourne parfois pour me voir, ravie de ce qu'elle m'impose, elle a un large sourire.

Ma honte d'être exposé se mélange au plaisir que ma Maitresse prend à me savourer ainsi.

Et je ne peux arriver à endiguer mon érection qui déforme mon entrejambe déjà taché copieusement.

Elle passe devant l'ouvreuse.

Cette dernière me matte des pieds à la tête.

"Le film vous a beaucoup plus cher monsieur" me lance t elle en me demandant mon ticket, dans son accent irlandais.

La jolie jeune blonde; griffonne, vérifie; prend son temps, laissant ainsi aux autres personnes le temps de pouvoir remarquer mon indécente posture.

Si elle voulait me faire remarquer par la prochaine file d'attente, elle ne s'y prendrait pas autrement.

Elle me tend de nouveau mon ticket dans un "au revoir et à bientôt".

Je sors dans le hall de l'amphithéâtre.

Il me semble que tout le monde me remarque.

J'évite les sourires et les quelques regards qui se posent sur mon bas ventre tendu et souillé.

J'ai envie de courir... de pleurer... de disparaitre...

Sur le trottoir la voiture Miss Kathleen m'attend, portière ouverte.

Je m'engouffre dans l'habitacle.

"Tu te caches ?"

J'ai horriblement honte.

"Pourtant tu me fais de l'effet comme cela".

Je rougis de plaisir cette fois.

Elle me prend le ticket des mains.

"On dirait que ton érection et ta tenue de dépravé ont été remarqué" me lance t elle.

Sur le ticket, la blonde a inscrit son numéro de téléphone.

"Je sens que nous allons revoir cette jeune femme..."

Elle démarre en déposant un baiser sur ma joue.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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