[…]
"Alors ?" Gronda t-il à quelques centimètres de mon visage.
Son parfum d'after-shave mêlé à celui de sa masculinité m'enivrait.
On eu dit un prédateur moderne.
Je me sentais petite, fragile devant lui.
Au milieu des deux autres hommes aux sexes dressés, je n’avais aucune difficulté à mesurer que celui que je tenais en main était le plus imposant, et de loin…
Si les 2 autres verges étaient de calibres normaux, celui de Franck était un éperon monstrueux.
"Vous... c'est vous qui avez... la plus ..."
Les mots me fuyaient.
"C'est la votre, la plus grosse." parvins-je à articuler.
Je reste immobile, son sexe dans ma main.
Le temps semblait s'être arrêté.
J'oubliais l'environnement, les femmes, leurs maris, le mien... simplement attentif à cette grosse verge chaude et dure que je ne parvenais pas à saisir entièrement.
Dans ma poitrine ma respiration se faisait profonde et j'entendais mon cœur battre à tout rompre.
Dans mon ventre une bulle de chaleur enflait et se diffusait dans tout mon être.
Le sang battait mes tempes, je n'entendais plus rien, mes yeux étaient voilés.
Et un bruit me ramena à la réalité.
Je contemplais le torse musclé et velu de l'homme en face de moi.
Il avait enlevé ses vêtements.
Son sourire et ses yeux brillants m'étaient uniquement destinés.
Autour de moi les femmes avaient "emportées" leurs hommes, sauf la rousse qui chevauchait sur le canapé son mari dans le fond de la pièce... agissant plus pour elle que pour lui, vu l'état de coma dans lequel il semblait être.
Je rougis un instant de la voir faire.
Avant de devenir encore plus écarlate en me rendant compte de ma position.
Je n'avais pas lâchée le sexe de mon vis à vis.
Et j'avais même entrepris quelques mouvements de bas en haut, sans m'en rendre compte.
Son vit était gorgé de sang, dur, large comme je n'en n'avais jamais tenu de pareil.
Je sursautais, osant soudain un regard vers mon mari.
Il était toujours affalé sur un fauteuil, l'œil vitreux.
La honte s'empara de moi, et la colère.
Je relâchais mon étreinte de sa masculinité.
Il avança sa grande main vers mon visage.
Je ne pouvais faire un geste, captivée...
Sous son apparence rude, il caressa ma joue avec une délicatesse inattendue.
"Tu es très belle" me dit-il da sa voix sourde.
Je n'osais rien dire.
Sa main glissa sur mon cou.
Ses doigts étaient des langues de feu sur ma peau.
Il frôla ma poitrine qui se tendit instantanément sous la caresse.
Du bout du doigt il s'attarda longuement sur mon téton, saillant sous le tissu.
Je me tortillais, mon ventre comme un brasier de désirs.
"Je... non... mon mari..." balbutiais-je.
Sa seconde main se posa dans le creux de mes reins et il m'attira à lui.
Je me retrouvais collé à son corps puissant.
Il palpait mes fesses à pleine main.
Et je me sentais impuissante à lui résister.
Il dégrafa mon chemisier d’un seul geste, comme on se débarrasse d’un insecte d’un coup de doigt.
Il tomba à terre, vite suivi de mon soutien-gorge qui libéra mes seins.
Ma poitrine, lourde, était palpée, malaxée par des mains inconnues.
Mes tétons, tendus, trahissaient mon émotion.
D'un geste ferme il me retourna face à la table de jeu.
Et je me retrouvais penchée en avant.
Mes seins ballottaient, pendant vers le tapis vert.
Incrédule, je n'arrivais pas à m'extraire de son attraction.
Ses mains firent remonter ma jupe sur mes hanches.
Ignorant mes suppliques, de faibles "non... pas ça"... il fit glisser ma culotte le long de mes cuisses jusqu’au sol.
Elle était trempée et lorsqu'elle s'éloigna de mon intimité, il ne put que remarquer la mouille qui en maculait déjà le fond.
Il caressait mes fesses rondes et bombées.
Jamais aucun homme, depuis que j'étais mariée, ne m'avait plus touché, autre que mon époux.
J'en voulais plus même si je continuais de dire le contraire.
Le tissu retroussé en ceinture, je fis un mouvement pour m'écarter, ultime sursaut de raison.
Il m'attira alors à lui, de nouveau de face.
Son visage radieux, son allure de dominant, il était le mâle alpha...
Lorsqu'il pencha sa bouche vers moi, j'ouvris mes lèvres pour accueillir sa langue.
Magnétique, il m'hypnotisait.
Il m'embrassa. Délicieusement.
Et ma jupe disparut.
J'étais nue lorsqu'il éloigna son visage massif.
Il appuya sur mes épaules.
Je compris immédiatement son désir.
Lentement je m'agenouillais pour découvrir de nouveau l'énormité de son sexe.
Je n'osais pas l'effleurer du bout des lèvres.
J'hasardais alors ma main sur ce manche hors du commun.
Je la caressais, je la flattais, j'en appréhendais les moindres contours.
Du gland rond, lisse au méat fendu, jusqu'à la base épaisse et la broussaille sombre de sa toison.
Je passais mes doigts sur la veine tendue pour remonter aux bords de son bout et découvrir les aspérités de sa couronne.
J'osais l'enserrer de mes doigts.
Trop grosse je ne pus en faire le tour.
Avec lenteur j'entrepris de masturber de bas en haut ce soc impressionnant.
J'étais sous le choc de découvrir un aussi gros membre.
Sa main vint appuyer sur ma nuque.
La peur s'empara de moi.
Jamais je ne pourrais engloutir un tel engin ! Me disais-je.
Timidement je posais ma langue.
J'allais le lécher... peut-être cela suffirait-il à calmer ses envies.
Elle avait un gout particulièrement doux.
Elle était dure comme une poutrelle d'acier.
J'enroulais ma langue autour du pieu dressé, lapant de plus en plus largement.
Dans le fond de mon esprit reptilien, elle me faisait envie...
Mais sa taille me faisait peur.
Je m'attardais sur son gland.
Le casque était aussi lisse et tendu que mes seins.
Du bout de la langue j'écartais sa petite fente.
Je n'avais que peu de fois fait cela... mais l'envie grandissait en moi.
"Allez... suce moi maintenant". Me lança t-il de sa voix impérieuse.
J'eu un mouvement de recul.
Elle ne rentrerait jamais !
Mais le désir fut plus intense que la raison.
Et j'ouvris la bouche...
Pour aspirer le gland.
J'eu l'impression que mes mâchoires allaient se déboiter.
Il caressait ma nuque.
Je fermais les yeux pour ne pas voir la taille de sa verge.
Lorsque son gland fut dans ma bouche, ma langue se faufila, s'enroula, chercha à apprécier l'ampleur de ma gourmandise.
L'envie vint d'un coup en moi.
J'avançais mon visage, faisant progresser le sexe dans ma bouche trop petite.
D'avant en arrière, je m'efforçais de prendre tout en bouche.
Je soufflais par le nez, incapable d'ouvrir plus ma bouche meurtrie
Ce n'était pas un sexe... c'était une queue, un membre de cheval, que je pompais avec de plus en plus d'avidité.
Une verge rare et incroyable.
Je grimaçais, je m’efforçais de la prendre entièrement entre mes petites lèvres desquelles le rouge à lèvre ne tarda pas à disparaitre.
Je bavais, tentant péniblement, mais avec voracité, de la faire entrer dans ma bouche.
Je ne me reconnaissais plus, lui pratiquant une fellation goulue.
Il tira mon visage vers l'arrière, agrippée par les cheveux.
Ma bouche était douloureuse.
Grande ouverte.
"Tu suces bien dis donc" me félicita t-il.
J'en reçus un sentiment de grande fierté.
Je me trainais à ses pieds comme la dernière des catins, et j'étais heureuse !
Incroyable.
"C'est ton mari qui doit être heureux".
Je rougis et hasardais un nouveau regard vers mon homme qui n'avait pas bougé et ronflait dans le fauteuil à moins de 2 mètres de nous.
Ivre mort, il me laissait entre les mains d'un rustre...
Alors j'ouvris la bouche et je gobais, une à une les boules velues qui pendaient sous le piton de chair.
Mon mari n'aurait pas ma bouche, je la donnais à un autre.
Mes doigts découvraient la puissance des muscles de ses cuisses, de ses fesses.
Je le caressais, défiant ainsi mon époux impuissant à m'en empêcher.
L'homme me fit signe de me relever.
Avare de paroles il n'y allait pas par quatre chemins.
"Assieds-toi sur la table et écarte les cuisses".
A suivre…