[…]

 monture

"Alors ?" Gronda t-il à quelques centimètres de mon visage.

Son parfum d'after-shave mêlé à celui de sa masculinité m'enivrait.

On eu dit un prédateur moderne.

Je me sentais petite, fragile devant lui.

Au milieu des deux autres hommes aux sexes dressés, je n’avais aucune difficulté à mesurer que celui que je tenais en main était le plus imposant, et de loin…

Si les 2 autres verges étaient de calibres normaux, celui de Franck était un éperon monstrueux.

"Vous... c'est vous qui avez... la plus ..."

Les mots me fuyaient.

"C'est la votre, la plus grosse." parvins-je à articuler.

Je reste immobile, son sexe dans ma main.

Le temps semblait s'être arrêté.

J'oubliais l'environnement, les femmes, leurs maris, le mien... simplement attentif à cette grosse verge chaude et dure que je ne parvenais pas à saisir entièrement.

Dans ma poitrine ma respiration se faisait profonde et j'entendais mon cœur battre à tout rompre.

Dans mon ventre une bulle de chaleur enflait et se diffusait dans tout mon être.

Le sang battait mes tempes, je n'entendais plus rien, mes yeux étaient voilés.

Et un bruit me ramena à la réalité.

Je contemplais le torse musclé et velu de l'homme en face de moi.

Il avait enlevé ses vêtements.

Son sourire et ses yeux brillants m'étaient uniquement destinés.

Autour de moi les femmes avaient "emportées" leurs hommes, sauf la rousse qui chevauchait sur le canapé son mari dans le fond de la pièce... agissant plus pour elle que pour lui, vu l'état de coma dans lequel il semblait être.

Je rougis un instant de la voir faire.

Avant de devenir encore plus écarlate en me rendant compte de ma position.

Je n'avais pas lâchée le sexe de mon vis à vis.

Et j'avais même entrepris quelques mouvements de bas en haut, sans m'en rendre compte.

Son vit était gorgé de sang, dur, large comme je n'en n'avais jamais tenu de pareil.

Je sursautais, osant soudain un regard vers mon mari.

Il était toujours affalé sur un fauteuil, l'œil vitreux.

La honte s'empara de moi, et la colère.

Je relâchais mon étreinte de sa masculinité.

Il avança sa grande main vers mon visage.

Je ne pouvais faire un geste, captivée...

Sous son apparence rude, il caressa ma joue avec une délicatesse inattendue.

"Tu es très belle" me dit-il da sa voix sourde.

Je n'osais rien dire.

Sa main glissa sur mon cou.

Ses doigts étaient des langues de feu sur ma peau.

Il frôla ma poitrine qui se tendit instantanément sous la caresse.

Du bout du doigt il s'attarda longuement sur mon téton, saillant sous le tissu.

Je me tortillais, mon ventre comme un brasier de désirs.

"Je... non... mon mari..." balbutiais-je.

Sa seconde main se posa dans le creux de mes reins et il m'attira à lui.

Je me retrouvais collé à son corps puissant.

Il palpait mes fesses à pleine main.

Et je me sentais impuissante à lui résister.

Il dégrafa mon chemisier d’un seul geste, comme on se débarrasse d’un insecte d’un coup de doigt.

Il tomba à terre, vite suivi de mon soutien-gorge qui libéra mes seins.

Ma poitrine, lourde, était palpée, malaxée par des mains inconnues.

Mes tétons, tendus, trahissaient mon émotion.

D'un geste ferme il me retourna face à la table de jeu.

Et je me retrouvais penchée en avant.

Mes seins ballottaient, pendant vers le tapis vert.

Incrédule, je n'arrivais pas à m'extraire de son attraction.

Ses mains firent remonter ma jupe sur mes hanches.

Ignorant mes suppliques, de faibles "non... pas ça"... il fit glisser ma culotte le long de mes cuisses jusqu’au sol.

Elle était trempée et lorsqu'elle s'éloigna de mon intimité, il ne put que remarquer la mouille qui en maculait déjà le fond.

Il caressait mes fesses rondes et bombées.

Jamais aucun homme, depuis que j'étais mariée, ne m'avait plus touché, autre que mon époux.

J'en voulais plus même si je continuais de dire le contraire.

Le tissu retroussé en ceinture, je fis un mouvement pour m'écarter, ultime sursaut de raison.

Il m'attira alors à lui, de nouveau de face.

Son visage radieux, son allure de dominant, il était le mâle alpha...

Lorsqu'il pencha sa bouche vers moi, j'ouvris mes lèvres pour accueillir sa langue.

Magnétique, il m'hypnotisait.

Il m'embrassa. Délicieusement.

Et ma jupe disparut.

J'étais nue lorsqu'il éloigna son visage massif.

Il appuya sur mes épaules.

Je compris immédiatement son désir.

Lentement je m'agenouillais pour découvrir de nouveau l'énormité de son sexe.

Je n'osais pas l'effleurer du bout des lèvres.

J'hasardais alors ma main sur ce manche hors du commun.

Je la caressais, je la flattais, j'en appréhendais les moindres contours.

Du gland rond, lisse au méat fendu, jusqu'à la base épaisse et la broussaille sombre de sa toison.

Je passais mes doigts sur la veine tendue pour remonter aux bords de son bout et découvrir les aspérités de sa couronne.

J'osais l'enserrer de mes doigts.

Trop grosse je ne pus en faire le tour.

Avec lenteur j'entrepris de masturber de bas en haut ce soc impressionnant.

J'étais sous le choc de découvrir un aussi gros membre.

Sa main vint appuyer sur ma nuque.

La peur s'empara de moi.

Jamais je ne pourrais engloutir un tel engin ! Me disais-je.

Timidement je posais ma langue.

J'allais le lécher... peut-être cela suffirait-il à calmer ses envies.

Elle avait un gout particulièrement doux.

Elle était dure comme une poutrelle d'acier.

J'enroulais ma langue autour du pieu dressé, lapant de plus en plus largement.

Dans le fond de mon esprit reptilien, elle me faisait envie...

Mais sa taille me faisait peur.

Je m'attardais sur son gland.

Le casque était aussi lisse et tendu que mes seins.

Du bout de la langue j'écartais sa petite fente.

Je n'avais que peu de fois fait cela... mais l'envie grandissait en moi.

"Allez... suce moi maintenant". Me lança t-il de sa voix impérieuse.

J'eu un mouvement de recul.

Elle ne rentrerait jamais !

Mais le désir fut plus intense que la raison.

Et j'ouvris la bouche...

Pour aspirer le gland.

J'eu l'impression que mes mâchoires allaient se déboiter.

Il caressait ma nuque.

Je fermais les yeux pour ne pas voir la taille de sa verge.

Lorsque son gland fut dans ma bouche, ma langue se faufila, s'enroula, chercha à apprécier l'ampleur de ma gourmandise.

L'envie vint d'un coup en moi.

J'avançais mon visage, faisant progresser le sexe dans ma bouche trop petite.

D'avant en arrière, je m'efforçais de prendre tout en bouche.

Je soufflais par le nez, incapable d'ouvrir plus ma bouche meurtrie

Ce n'était pas un sexe... c'était une queue, un membre de cheval, que je pompais avec de plus en plus d'avidité.

Une verge rare et incroyable.

Je grimaçais, je m’efforçais de la prendre entièrement entre mes petites lèvres desquelles le rouge à lèvre ne tarda pas à disparaitre.

Je bavais, tentant péniblement, mais avec voracité, de la faire entrer dans ma bouche.

Je ne me reconnaissais plus, lui pratiquant une fellation goulue.

Il tira mon visage vers l'arrière, agrippée par les cheveux.

Ma bouche était douloureuse.

Grande ouverte.

"Tu suces bien dis donc" me félicita t-il.

J'en reçus un sentiment de grande fierté.

Je me trainais à ses pieds comme la dernière des catins, et j'étais heureuse !

Incroyable.

"C'est ton mari qui doit être heureux".

Je rougis et hasardais un nouveau regard vers mon homme qui n'avait pas bougé et ronflait dans le fauteuil à moins de 2 mètres de nous.

Ivre mort, il me laissait entre les mains d'un rustre...

Alors j'ouvris la bouche et je gobais, une à une les boules velues qui pendaient sous le piton de chair.

Mon mari n'aurait pas ma bouche, je la donnais à un autre.

Mes doigts découvraient la puissance des muscles de ses cuisses, de ses fesses.

Je le caressais, défiant ainsi mon époux impuissant à m'en empêcher.

L'homme me fit signe de me relever.

Avare de paroles il n'y allait pas par quatre chemins.

"Assieds-toi sur la table et écarte les cuisses".

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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J'avais décidé d'accompagner mon mari, pour une fois, à sa soirée "poker".

D'ordinaire je n'apprécie pas ce genre de soirée masculines ou les hommes boivent plus qu'ils ne jouent.

Je savais que les femmes des autres joueurs allaient aussi être présentes alors j'accompagnais mon époux.

La femme qui nous hébergeait était une brune charismatique au physique avantageux, son mari avait installé un tapis vert de taille phénoménale.

Comme tous les premiers vendredi du mois, son salon servait de salle de jeux.

4 autres hommes étaient là, tous accompagnés de leur femme, sauf un.

Nous étions donc 4 couples et un célibataire.

Très vite, nous, les femmes, nous retrouvâmes à part, dans une sorte de bibliothèque pendant que les hommes entamaient leurs parties.

Les heures s'écoulaient.

Les femmes se connaissaient toutes et je participais à leurs conversations, jouant avec elle à quelques quizz.

Nous buvions quelques mojitos.

L'ambiance était détendue.

Dans la salle d'à côté, les hommes criaient, d'énervaient, parfois s'invectivaient. Ambiance masculine particulièrement fine et délicate...

Je découvrais l'univers mensuel de mon homme... son défouloir, sa liberté.

La porte s'ouvrit soudain pour laisser apparaitre le seul célibataire du groupe masculin.

Dans "leur pièce", nous vîmes les bouteilles qui s'entassaient aux pieds des hommes et leurs voix qui laissaient transparaitre l'état d'hébriété avancé dans lequel ils étaient déjà.

L'homme s'avança, l'air furibond.

Instantanément nous nous arrêtâmes de parler pour le regarder.

Grand, massif, il devait faire 1m95 et au moins 100kg.

Il avait les cheveux bruns, courts, une coupe un peu militaire que son visage mal rasé venait contredire.

Son tee-shirt blanc, sans manche, mettait ses muscles volumineux en valeur.

Un jean élimé moulait ses muscles fessiers.

Il se saisit de mon cocktail après avoir observé chacune des femmes autour de la table.

Ses yeux noirs, brillants, brulants me firent un effet mmédiat.

Une sensation que je connaissais... mon ventre se contracta... cette montagne me faisait de l'effet.

Il avala le breuvage d'une gorgée avant de s'en retourner, deux bouteilles d'alcool dans chaque main, dans le salon devenu un tripot.

Je refoulais l'étincelle qui venait de me parcourir.

A peine eut-il fermé la porte que la blonde soupira, le regard perdu dans sa direction.

La brune, à mes côtés, la maitresse de maison, me resservit.

Une rousse, fine, se rajusta sur sa chaise, siffla entre ses dents avant de faire claquer sa langue et avaler une gorgée.

Elles semblaient toutes avoir un air bizarre...

"Alors ?" me dit notre hotesse.

Devant mon incompréhension elle me sourit et murmura.

"C'est la première fois que tu viens... tu as le droit de savoir".

"Je crois qu'elle peut oui" enchaina la rousse.

"D'autant plus qu'il n'a regardé qu'elle" continua la blonde avant de soupirer de nouveau.

"Mais de quoi parlez vous ?" demande-je sans trop savoir ce que tous ces mystères voulaient dire.

"Lui, c'est Fred, il n'a pas de femme"...

Derrière moi la blonde soupira profondément.

"Lorsque nos hommes jouent, ils boivent... beaucoup".

"Je sais, le lendemain lorsqu'il revient d'ici, il est très... amoindri" enchérissais-je.

"Oui.. exact... Je vois que cela t'agace".

Je répondis par l'affirmative.

"Nous aussi, nos hommes finissent dans le même état"

"Sauf Fred" lança la rousse.

Un instant la salle fut plongée dans le silence.

Un éclat de voix puis un rugissement de joie retentit à côté ! Il ne fallait pas être devin pour savoir qu'il émanait de l'homme qui venait de faire frémir toutes ces femmes... et moi-même.

"Ne me dites pas que vous venez là, une fois par semaine, parce que vous soupirez devant ce mec ?" lance-je en souriant.

Les visages étaient figés.

"Pas uniquement pour soupirer" me sourit la rousse.

Je commençais à percevoir le but de leur présence sans trop y croire.

"Je suis fidèle." Entama la brune. "Je n'ai jamais eu d'amant. Sauf... lui".

"C'est un peu comme lorsque nos maris s'abreuvent... nous leur laissons cette liberté. D'être grossier, ivres, livrés à eux-mêmes, une fois par mois" poursuivit la rousse.

"On ne peut pas nous reprocher de faire un pas de côté 2 à 3 fois l'an..." acheva la blonde qui revint dans la discussion.

J'étais atterrée.

"Mais... c'est... ignoble ! Vous attendez qu'ils aient finis pour... espérer être "choisit" par ce... tas de muscles !" répliquais-je, outrée.

Le silence revint une nouvelle fois, troublé par le bruit délicat des gorgées de cocktails que nous sirotions.

"Tu ne l'as jamais... vu... senti en toi". Me murmura doucement notre hôtesse.

Je devins rouge pivoine alors que l'image me traversait l'esprit.

"Je.. Je..." les mots me fuyaient.

Elle me sourit avant d'ajouter qu'elle non plus ne se serait jamais cru capable d'avoir des envies aussi coupables... comme toutes les autres femmes ici présentes.

Son cri de joie résonne dans la maison, aussitôt suivi par de nombreuses envolées de voix.

Je les voyais se trémousser sur leurs chaises, souriantes... dans l'attente.

L'ambiance devint électrique.

Chacune dégageait son décolleté, s'apprêtait.

La blonde sortit son miroir de poche pour remettre du rouge sur ses lèvres.

Je ne pu m'empêcher de porter attention à ma tenue à mon tour...

Une étincelle s'était allumée en moi... celle de la compétition.

Et la porte s'ouvrit quelques minutes plus tard.

Le mari de notre hôtesse entra, titubant.

"Nous avons besoin d'un arbitre !" lança t-il à la cantonade.

Après un sursaut de l'ensemble des femmes, je descellais un certain rougissement chez certaines de mes nouvelles amies.

Un moment j'avoue avoir espéré qu'il serait entré, lui, pour jeter son dévolu sur l'une d'entre nous.

Je refoulais ce sentiment humiliant et pourtant excitant, sous le drap de ma morale.

La rousse se leva, aussitôt suivit par les autres femmes.

J'arrivais en dernier dans la pièce enfumée.

Un spectacle désolant...

En l'espace de quelques heures ils avaient répandus bouteilles, reliquats de nourriture, billets, cartes, dans l'ensemble de la pièce.

Sur un canapé dormait le mari de la rousse.

Affalé dans un fauteuil mon mari avait les yeux mi clos, la tête oscillant de droite à gauche.

Face à nous les 3 hommes avaient leurs pantalons baissés.

Le mari de notre hôtesse avait une verge de taille classique, celui du mari de la blonde également, mais elles étaient toutes les deux éclipsées par l'énorme mât de chair dressé qu'arborait Franck.

J'en restais interdite, suffoquée.

"Il faut savoir… qui c'est qui a la plus... la plus grosse !" parvint à énoncer le mari, aussi ivre que les autres.

Les femmes avisaient leurs hommes... et les regards revenaient inévitablement au mâle qui souriait de toutes ses dents.

Il n'y avait pas de doute... et pourtant, dans leur ivresse, la raison les avait fuit.

"Toi !" rugit alors Franck de sa grosse voix en me désignant.

J'étais incapable de faire un geste, de dire le moindre mot.

"Tu mesureras". Acheva t-il dans un ordre.

Hypnotisée, j'avançais au milieu des autres femmes.

Telle une vestale choisit par son dieu, il n'y avait pas de reproches dans leurs yeux, seulement de la joie à ce que cela m'arrive.

Je compris instantanément leurs façons de penser.

Je jetais un coup d'œil à mon mari... cherchant vainement une aide pour échapper à ce que je redoutais... à ce que je me refusais de désirer.

Il souriait, béat, le regard dans le vide, fixant l'horizon.

Sa grosse main s'empara de mon poignet.

Je sursautais.

Il me fit toucher une verge inconnue... celle du mari de la maitresse de maison.

Puis me fit prendre la mesure de celle de l'homme à ses côtés.

Ses deux sexes en main, je me refusais à croire que « j’évaluais" leur érection.

Enfin il mena mon poignet, et posa ma main sur sa verge.

Ma respiration s'arrêta.

Mes doigts entrèrent en contact avec le monstre de chair.

Il était chaud, dur.

J'enroulais mes doigts autour de la colonne... incapable d'en faire le tour...

Son diamètre dépassait ce que j'avais pu voir jusqu'à présent.

Elle me fit peur.

J'étais tétanisée...

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[…]  

 

 

Vitrée, la porte me renvoie mon image.

 

Attaché, la croupe en l'air, mon sexe est bandé à l'extrême.

 

Je me vois onduler malgré moi sous l'effet de plaisirs contradictoires.

 

Elle se dévoile, somptueuse, ses seins arrogants, lourds, vers moi.

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Un harnais enserre sa taille resserrée qui met en valeur ses hanches aux fesses voluptueuses.

 

Au centre des liens de cuir noir, au dessus de sa fente rousse, une verge fictive se dresse comme un phallus de satyre.

 

"Qui te parlais d'un homme ?" me sourit-elle.

 

Je deviens écarlate.

 

Une goutte de plaisir perle au bout de mon gland.

 

Elle avance, le membre se balance jusque devant mon visage.

 

J'ouvre la bouche sans même qu'elle n'ait eu à me la demander.

 

J'en ai envie... un plaisir nouveau... un désir subit.

 

J'embouche la verge de ma maitresse et m'applique à effectuer une fellation digne de ce nom à ce qui ressemble trait pour trait à une véritable verge.

 

Le gland, la veine, l'arc de cercle... je le déguste.

 

Elle maintient le gode ceinture à sa base, et en profite pour se caresser franchement, son clitoris, titillé par ses doigts fins.

 

Elle pousse de petits grognements.

 

D'un mouvement coulé, elle extraie le faux sexe de ma bouche.

 

Un filet de salive unit pendant un court instant mes lèvres à ce pilon de bakélite.

 

Je la sens, je la vois se glisser derrière moi.

 

Je me contracte malgré moi, resserre mes fesses sur lesquelles elle pose ses mains.

 

"Je vais te déflorer..." me dit elle gentiment tout en massant mon petit trou..." Je vais te sodomiser... tu vas voir... tu vas aimer." continue t elle en passant sur mon orifice une vaseline à l'odeur boisée.

 

A côté de mon manche de chair se faufile le piston de plastique.

 

Elle appuie le bout de la verge sur mon anus qui ne résiste presque pas, pour le laisser entrer.

 

Une intromission douloureuse que facilite néanmoins le corps gras.

 

Je crie.

 

Elle entame une série de longs et lents va et vients.

 

Progressifs, je sens la coulisse pénétrer de plus en plus loin à chaque poussée.

 

"Haaaa... non... hooo non...." Ose-je lancer.

 

Elle plante ses ongles dans mon dos.

 

"Humm… tu cries... ça m'excite."

 

Je redouble alors... pour son plaisir... et pour le mien.

 

"Aiiie... non... maitresse... non... Haaa !"

 

Elle s'immobilise après de longues minutes où elle me force avec régularité.

 

Mon conduit anal est ouvert, il me semble que le manche est entièrement planté en moi.

 

La douleur est diffuse, elle irradie mes cuisses, mon bas ventre... mon sexe... qui est dur comme de l'acier.

 

Je respire avec difficulté, le moindre de mes gestes fait osciller le pal dans mon anus. Mes mains sont crispées sur les barreaux de son lit.

 

Mes jambes, entravées, maintenues écartées.

 

Ses doigts frôlent mes fesses.

 

"Regarde-toi dans la glace, baby". Me suggère t elle.

 

Je penche le visage et me découvre.

 

La moitié simplement du gode ceinture est entré dans mes fesses.

 

Androgyne, à la fois Eros et Aphrodite, ses seins sont gorgés de féminité, ses fesses rondes et bombées... et une verge lui forme une queue satyrique.

 

Un soupir m'échappe et je pousse mon corps... sur le pieu qui me sodomise.

 

La douleur s'est évanouie, le plaisir a pris sa place... un plaisir obscur, obscène, intense.

 

"Hummm... tu veux que je te chevauche..."

 

"Ho oui Maitresse..."

 

Et ma cavalière me force... me prend... comme un mâle prend une femelle...

 

Pour la première fois de ma vie je découvre cette source d'orgasme.

 

Sa main droite me masturbe avec autant de vigueur que ses coups de reins me déflorent.

 

Je ne suis plus que plaisirs diffus.

 

Je me tends, je me vide, gicle dans sa main.

 

Mes longues coulées de sperme s'échappent de mon corps électrisé.

 

Elle me place sa paume devant ma bouche.

 

Je lape, j'avale mon foutre dans un bruit de succion sans même en avoir honte.

 

Elle peut faire ce qu'elle veut de moi... je suis à elle... j'appartiens à ma Maitresse... les paroles de mon serment de soumission me reviennent d'un coup.

 

Je l'entends gémir et atteindre l'orgasme.

 

Elle se tend, défonce mon arrière train dans l'arc que son corps prend alors qu'elle coule à son tour.

 

Nous restons figés, haletants... avant que la verge ne sorte entièrement de moi.

 

L'anus meurtri elle passe ses doigts sur l'ouverture béante pour apaiser la douleur.

 

Elle ôte lentement son harnais et vient se placer juste derrière moi.

 

Son souffle est une caresse sur mon anus et mes bourses.

 

Sa main vient me palper avec délicatesse.

 

Sa langue lape ma rosette.

 

Je soupire... je grogne... et me cambre.

 

Par petites touches elle me fait accepter sa langue sur les frontières puis dans l'intérieur de mon puits sombre.

 

Ma verge est caressée, mes boules sont malaxer de plus en plus fortement.

 

"Tu bandes encore... " L’entends-je dire, autant pour elle que pour moi.

 

Elle me maintient dans un état proche d'un nouvel orgasme.

 

Les liens de mes poignets et de mes chevilles me font mal à force de me maintenir dans cette position de soumission.

 

Sa langue passe, large, englobe mes couilles pour venir pécher l'intégralité de ma raie.

 

Ses doigts défont alors mes liens.

 

Je masse ma peau, à genoux sur le lit.

 

Elle vient se placer face à moi.

 

Tel un reflet, agenouillé elle aussi.

 

Sans me quitter des yeux, elle s'allonge sur le dos, ouvre ses cuisses fuselées, son intimité offerte.

 

"Viens mon bel étalon... fais moi l'amour" me sourit-elle.

 

Je m'allonge sur elle et mon sexe en feu plonge dans sa grotte lubrifiée.

 

Malgré ma largeur elle accueille mon soc dans son ventre avec un soupir de soulagement.

 

Son corps ondule lascivement au rythme de mes pénétrations lentes et précises.

 

En appui sur le lit, mon torse frotte contre les pointes de ses seins.

 

Elle me griffe le dos à chaque fois que je la laboure de toute la longueur de mon vit.

 

Sa bouche laisse échapper des gémissements, des suffocations, au gré de mes vas et vients incessants.

 

Ses yeux azurés se font plus clairs, son regard se perd dans le plafond...

 

Elle jouit en silence...

 

J'honore ma déesse, ma Maitresse, continuant de la parcourir alors que ses ongles se sont figés dans ma peau.

 

Lorsque je ralentis ses mains m'accaparent.

 

"Non... encore... baise-moi encore".

 

Je l'enfourche d'un coup de reins.

 

Elle avance sur le lit, son corps propulsé vers le haut.

 

J'accentue mon agissement.

 

Elle pousse un petit cri, ses mains saisissent les barreaux de son lit au dessus de sa tête.

 

Ses cheveux roux en étoiles sur l'oreiller, son beau visage se crispe à chaque assaut.

 

Mes coups de butoir la forcent.

 

Elle râle... son corps s'agite, féline elle joue de son vagin pour m'aspirer.

 

Ses yeux se plantent dans les miens.

 

Je ne la lâche pas du regard.

 

Sauvage, je la prends avec une gaillardise hussarde.

 

Elle ne cache pas ses cris de plaisir.

 

Je me livre à ses désirs... animaux... doux... puissants... attentifs... sauvages.

 

Elle ferme les yeux et son sourire se fige.

 

Les derniers assauts la maintiennent au septième ciel pendant quelques minutes.

 

Je me retire alors qu'elle ronronne et s'étire.

 

D'une main elle me masturbe vigoureusement et je ne suis pas long à venir cracher sur sa peau lisse, mon foutre chaud qui recouvre ses grains de beauté.

 

Assouvi je tombe à côté d'elle sur le lit.

 

Mon dos est zébré de ses griffures.

 

Nos mains ne sont que caresses...

 

Nos sourires l'un pour l'autre que délicatesses...

 

Nos souffles que vie de l'un vers l'autre.

 

"Tu veux dormir avec moi cette nuit ?" me dit-elle avec un sourire en coin.

 

Je hoche la tête, affirmatif.

 

Elle se lève, ses hanches sensuelles ondulantes, et pose un gros édredon pourpre par terre.

 

"Tu vas dormir au pied de mon lit..."

 

Je reste interdit... entre étonnement et excitation.

 

"... si jamais j'ai envie de me faire baiser pendant la nuit ".

 

Son clin d'œil est éloquent... délicieux.

 

Je m'y allonge, telle une offrande sur un dais de carmin.

 

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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