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Elle vient d'atteindre l'extase, la jouissance.
Dans ses yeux les éclats de lumière des lampes de son salon sont un kaléidoscope reflétant le plaisir intense qu'elle vient de prendre.
Son intimité encore douloureuse de l'intromission contre nature qui vient de lui arracher un cri et son abricot ruisselant, elle accepte docilement de se placer à 4 pattes et satisfaire à la demande de son amant.
Elle relève sa croupe, offrant une vision stupéfiante de son corps ondulant, de son étroit anneau toujours entrouvert, de ses lèvres molles suintantes...
Elle imagine cette scène et son esprit s'envolle de nouveau.
La main de Robin se pose sur le bas de son dos et elle réagit instantanément en écartant ses cuisses.
Il sait qu'elle peut jouir une seconde fois juste après son premier orgasme.
D'une main ferme il flatte le fessier généreux aux courbes douces qu'elle lui donne.
Son vit est une branche raide et gorgée d'envie innassouvie.
Sa main s'en saisit à la base et le pose sur la fente trempée de suc féminin.
Après deux petits mouvements destinés à faire s'ouvrir les lèvres souples, il l'enfourne sans ménagement et la fourre jusqu'à la garde.
Elle se crispe, son visage se serre, elle lâche un "hoo ouiii" qui se perd dans un souffle alors qu'elle sent le sexe s'immobiliser au fond d'elle.
Les mains caressent ses hanches, des mains mâles et habiles.
Elle se laisse faire, remplit, attentive aux contractions de l'appendice qui s'agite en elle.
Son fourreau lubrifié est une puit de sensations délicieuses.
Elle le sent plus attentif à son plaisir d'homme qu'au sien.
Il la chevauche, accentuant son mouvement de balancier.
Une force tranquille qui entame un va et vient profond, qui accélère, faisant refluer et avancer le pieu inflexible comme un piston mécanique.
"Hoo. Que vous êtes bonne ! " Dit-il en poursuivant ses allers et retours.
Il sait que ce langage va la révéler, que ces mots crus vont attiser les braises pour enflammer son corps.
Ses mains maintiennent fermement les sublimes hanches.
Elle se tend à cette appellation.
"Prends-moi comme une chienne. Tu es un salaud de baiser une étudiante dans mon dos". Lâche t-elle, encore perturbée par la révélation de son tourmenteur.
Le pubis vient cogner sur ses fesses.
"Elle pourrait être ma fille... ". Dit-elle sans se rendre compte de la portée de sa phrase.
"Si vous saviez comme elle a pris" lui répond-il, du ton du mâle dominateur qui la fait chavirer à chaque fois.
Robin, cet homme a sur elle une emprise qu'il ne soupçonne heureusement pas.
Cette candeur et cet orgueil de coq, tout ce que son mari n'a plus.
A ces mots il la fouaille de plus belle, jusqu'à la faire gémir de nouveau.
Il la saisit par les épaules pour la forcer à venir s'écraser contre lui à chaque coup de butoir qu'il assène avec une vitesse accrue.
Son pylone s'enfourne, ressort presque entièrement pour de nouveau écarteler les chairs féminines.
Il la domine de tout son corps musclé.
Derrière elle, il la prend ainsi qu'elle la exigée... "oui... comme une chienne".
Le ton de ses gémissements lui indique qu'elle suffoque de plaisir.
Les mouvements de son corps lui révèle qu'elle grabit de nouveau les marches vers la jouissance.
Sa gorge étouffe ses mots. Ses cris rauques, des râles, sont entrecoupés de silences pendant lesquels elle cherche à reprendre son souffle.
La grosseur du sexe de Robin déforme les parois de son vagin, sa vulve pulse à l'unisson.
La voix grave la surexcite.
"Elle a criée..." lui dit-il ce salaud qui la baise en lui racontant ce qu'il a fait à une autre.
Et elle transpire, sa cabre comme une chatte, incroyablement heureuse de cette situation.
Son sexe grossit, une éponge de sang aussi dure qu'une pierre.
Il la sent s'abandonner, s'affaler sur le sol, ses bras ne la retiennent plus.
Elle se laisse prendre, possédée, cambrée, malmenée.
Il en tire un plaisir décuplé et décide de la sauter comme un hussard.
Une fureur presque bestiale...
Elle lâche prise.
Des coups de reins qui la font progresser sur le tapis..
"Tiens ! Prends ! Prends ça ! " lui murmure t-il à chaque fois qu'il la perce au plus profond de sa grotte.
Elle voudrait encore plus de grossierreté mais est incapable d'articuler...
Le frollement sur sa nuque, elle accepte la main qui tire ses cheveux vers l'arrière et le force à se tordre comme un arc.
Un soupir lui échappe.
"Il te reste encore de l'entrain !" parvient-elle à lui dire.
La réponse lui fait arriver une première bulle de jouissance...
"C'est une vraie princesse. Mais là, j'ai la reine des salopes."
Un animal... en rut...
"Oui... je suis ta reine... haaaaa !"
Les perles de jouissance s'enfilent l'une après l'autre.
Un orgasme perlé qui la fait haleter.
Il la sent hocquetter et prendre son pied.
"Tu jouis encore..."
Il lime encore quelques secondes jusqu'à la voir se détendre dans ce moment d'extase ultime.
Il se retire vivement.
"Humm. Madame... approchez".
Le corps de sa patronne se retourne vers lui.
Ses deux obus magnifiques sont lourdement tendus.
Ses yeux sont clairs.
Sa peau semble aussi nacrée que le collier minéral qu'elle porte autour du cou.
Il a le sexe à la main comme un sabre recourbé, une épée en croissant.
Elle lui sourit.
Elle aime le ton qu'il met dans ses phrases, un ordre de fer dans une mélodie de velours.
Sans se faire prier elle vient gober la verge trop grosse.
Sa bouche forme un rond large.
Doucement, elle le fait progresser jusqu'à sa gorge, puis recule et le suce avec joie.
Le cri qu'il pousse la ravit.
Elle ouvre la bouche en grand et tape le sexe sur sa langue.
La base entre ses doigts, elle l'agite pour le masturber méthodiquement.
"Avalez tout" lui lance t-il avant d'onduler du bassin contre sa langue.
Elle, la maitresse de maison, les yeux grands ouverts vers lui, la bouche souriante lorsque les giclées lui maculent le front, lui tapissent la gorge, elle tire la langue, lèche, nettoie le foutre épais.
Elle ouvre en grand sa bouche pour lui montrer son jus d'homme
Il l'observe, repus d'avoir explosé de désir.
Le front et la joue enduits de sirop, il lui sourit, assentimment à ce qu'elle avale par gorgées.
"C'est délicieux." fait-elle en se léchant les lèvres.
Ses yeux brillent.
Elle presse la base du sexe qu'elle tient pour en faire sourdre l'entier nectar.
"J'espère avoir répondu à vos attentes Madame ? Vous servir est... un plaisir."
En nage, elle est en apesanteur.
Entre ses doigts le sexe s'ammolit lentement.
Ses jambes sont en coton et elle accepte la main tendue pour se relever.
"C'était parfait Robin. Tout simplement parfait. Comme d'habitude."
Il dépose un baiser sur sa joue comme une récompense pour un plaisir partagé.
Nue, elle laisse errer sa main sur le torse de son amant.
L'éclat de son alliance luit.
Elle souffle...
"Hoo... dans quel état je suis..."
Elle hasarde un dernier regard sur le membre ballotant.
"Il me faut aller me coucher avec... mon mari. A demain Robin. Reposez-vous. Soyez en forme."
Il l'observe s'éloigner, monter l'escalier, entièrement nue.
Ses hanches se balancent de droite à gauche.
Sans un regard vers lui alors qu'elle referme la porte de la chambre.
"Bonne nuit madame", murmure t-il dans le vide du salon.
Son corps récupère de la tension qui vient de l'habiter.
Dans l'ombre du couloir, un autre corps se détend et sourit.
Coralie referme la porte de sa chambre... les doigts encore souillés d'avoir vu et entendu Robin et sa mère.
Le feu encore en elle, elle murmurera encore son prénom avant de trouver le repos.
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(Une pensée en la mémoire de Sylvia Kristel).

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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    A peine suis-je rentré que je perçois l'ambiance festive de la fin d'année.

 

Des bougies bercent la pièce d'une lueur chaleureuse.
Dans le hall et dans la salle à manger, les flammes vacillent comme des lucioles sous une brise légère.

 

Je pose ma valise, range mon manteau.

 

Une semaine que je suis parti, alors le retour en cette veille de Noël est un ravissement.

   

Il fait chaud et je me détends instantanément.

 

"Chéri... Comme je suis contente de te revoir".

 

La voix de ma femme en haut de l'escalier.

 

Je lève le regard sur elle et je reste cois.

  noel.gif 

Elle est vêtue de rouge et de blanc.

 

A ses poignets deux bracelets de soierie carmin sont ourlées d'une fourrure blanche.

 

Deux cache-tétons masquent les bouts de sa poitrine adorable et voluptueuse. Une armature fine, de la même écarlate, avec deux pompons blancs au centre d'un carré minuscule la mettent en valeur.

 

Mes yeux sont grands ouverts de la retrouver en cette tenue.

 

Une lanière enserre ses hanches, rouge, à laquelle sont accrochés deux bas blancs.

 

En guise de culotte un string extrêmement fin forme un triangle sanguin cerné de fourrure blanche.

 

Et, posé sur le sommet de son visage ovale, un serre-tête aux oreilles de bunny lui donne la touche finale d'une Mère Noël Sexy.

 

Elle me voit surpris et son sourire s'élargit.

 

Ses yeux noisettes, parsemés de lueurs végétales étincellent, ravie de son effet.

 

A chaque pas qu'elle fait pour descendre vers moi, sa poitrine se balance avec grâce, ses hanches ondulent avec sensualité, ses cheveux dorés aux reflets roux cascadent sur ses épaules graciles.

 

Sans un mot elle pose ses lèvres roses sur ma bouche.

 

Sa langue sort tout juste pour venir caresser la mienne pendant 2 petites et trop courtes secondes.

 

"Bonjour Chérie... quelle... surprise... agréable".

 

Ses mains sur mes avants bras elle me donne soudain très chaud.

 

"Nous sommes le 24 et j'avais envie de te faire plaisir".

 

Je la suis dans la pièce de vie, décorée avec goût, encore sous le choc séduisant de cet accueil.

 

Dans un coin, près de la petite cheminée, un sapin scintille, une guirlande rouge le parcourt dans son intérieur. Il pulse avec une lenteur hypnotique.

 

Bougies, cierges, autant de flammes qui sont toutes moins intenses que celles que je vois flamber dans le regard de mon épouse.

 

Le champagne contraste en fraicheur avec la température de mes sens et de la pièce.

 

Simplement vêtu de ma chemise et de mon pantalon, ma ceinture même me donne chaud et l'exiguïté de mes vêtements ne tarde pas à se faire sentir lorsqu'elle se frôle à moi en apportant un toast chaud.
Sur mon bras elle laisse passer ses hanches presques nues.

 

Elle prend son temps pour repartir s'asseoir.
Je profite de ces instants pour admirer son séant qu'elle ondule devant moi.

 

Entre ses deux fesses bien rondes la ficelle rouge disparait pour rejaillir dans le bas de ses reins.

 

Les deux globes pâles sont encadrés par le porte-jarretelle qui se plisse à chaque pas et remonte les bas blancs jusqu'en haut de ses cuisses.
J'ai chaud, très chaud.

 

Elle sort de sous la nappe une grande enveloppe et me la tend.

 

"C'est ton premier cadeau". Me sourit-elle.

 

Mon premier cadeau... dans mon corps entier s'est déjà diffusé le premier cadeau, celui de sa tenue, de ses attitudes sensuelles qui me font bouillir le sang et se tendre ma verge trop à l'étroit dans mon pantalon.

 

Je décachette le pli de papier noir et rouge.

 

Deux couleurs que je retrouve dans les grandes cartes que j'extraie.

 

"Qu'est-ce ?" demande-je en dégustant sans me priver, la vallée profonde de ses seins qu'elle me permet de reluquer, le torse bombé devant moi, légèrement penchée sur la table.

 

Je n'obtiens qu'un sourire magnifique qui me chavire un peu plus.

 

Je tourne les cartes au décor éloquent. Un cœur carmin, des ombres chinoises aux postures suggestives, des empreintes de lèvres que je devine être les siennes.

 

Sur la première je lis sans parvenir à comprendre.

 

"Lis tout haut" me murmure t elle de sa voix érotisante.

 

Ma gorge est serrée par mon état.

 

Elle sait qu'elle me fait un effet extraordinaire.

 

"Aujourd'hui je suis ta soumise".

 

Ma voix s'étrangle... elle a osé...

 

"Mon chéri", dit-elle, " tu pourras utiliser ces cartes quand tu le voudras dans l'année. Selon tes envies".

 

J'ouvre une autre carte. "Aujourd'hui je suis ta maitresse". La coquine se fait également plaisir.

 

Quelques cartes toutes aussi osées nous font sourire, elle est mon amante, ma stagiaire...ou encore elle est " à mon entière disposition"...

 

Elle rougit alors que j'arrive sur une carte vierge.

 

"Celle-ci tu... peux... tu peux y inscrire tout ce que tu veux. Même très cru".

 

Sa voix décroit, ses joues sont rouges...

 

"...même... très... osé" achève t elle.

 

Je la regarde en silence avant de briser celui-ci.

 

"As-tu un exemple ?"

 

Elle baisse les yeux... se pince les lèvres.
Divine de timidité.
Torride de féminité.

 

"Viens me le dire dans l'oreille si tu préfères". Lui dis-je en souriant.

 

Elle se lève, son corps félin me fait tourner la tête.

 

Ses mouvements de reins, le balancement ostensible de sa poitrine... je réprime avec difficulté l'envie de me jeter sur elle.

 

Elle se penche à mon oreille.

 

Après quelques instants parvient à oser exprimer " ... ta petite salope".

 

Ces deux mots résonnent à mon oreille... me choquent... m'enflamment instantanément encore un peu plus.

 

Je pose ma main dans le bas de son dos, elle ronronne alors que je flatte le velours de ses globes fessiers.

 

Quelques mots charmants, quelques mots osés... nous nous chuchotons ce qui n'a jamais été dit encore.

 

Sa main vient flirter avec mon entre jambe.
Elle mesure l'étendue de l'impact que sa mise en scène a sur moi, sa main massant et appréciant la raideur croissante de ma verge.

 

Sa respiration s'accélère, sa poitrine monte et descend avec plus d'importance.

 

Je la sens onduler telle une liane à laquelle j'ai un désir ardent de m'accrocher.

 

A regret, elle s'éloigne. Le bout de mes doigts cherche son contact le plus longtemps possible.
Les yeux dans les yeux nous poursuivons le repas.
Je la dévore autant qu'elle me dévore.
Les aliments n'ont que peu de goût en comparaison avec Elle.

 

Du bout de son pied monté sur talon elle frotte mon mollet.

 

Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas fait du pied et ceci me ravi.

 

A mon tour je caresse le bas de sa jambe, ayant ôté ma chaussure je fais coulisser mon pied sur le nylon de ses bas couture blancs.

 

Elle se hasarde à venir s'appuyer dans mon entre-jambes. Délicatement ses pressions sont très vite une source d'excitation qui me met dans tous mes états.

 

"Tu veux peut-être la suite de tes cadeaux ?" me demande t elle, l'air de rien, comme si son activité sous la table n'existait pas.

 

"Je ne sais pas à quoi m'attendre. Je suis déjà comblé". Ma voix se casse parfois lorsqu'elle appuie légèrement plus fort et frotte mon intimité.

 

"J'ai décidé que ce Noël serait incomparable mon chéri. J'espère simplement que tu ne vas pas me trouver trop extravagante".

 

Ses sourires, ses œillades, le champagne et les mets délicats me font me sentir au Paradis.

 

"Tu es une Mère Noël ravissante".

 

"Je me suis inspiré de tes envies d'homme"

 

"Ho... alors nous risquons de dépasser la bienséance" fais-je en rentrant dans son jeu de séduction.

 

Elle m'offre alors une boite de taille moyenne.

 

Ne sachant pas si je préfère l'observer ou ouvrir pour découvrir mon deuxième cadeau, je décide de faire les deux.

 

A gestes mesurés je retire le papier d'emballage sans la quitter des yeux.

 

Sa voluptueuse poitrine s'élève plus rapidement, les petits pompons qui cachent avec peu d'efficacité ses tétines érectiles me laissent maintenant voir ses auréoles larges et sombres.

 

Je plonge la main dans le paquet pour en extraire... des sex toys.

 

"C'était aussi un peu mon Noël" dit-elle aussitôt.

 

Je découvre des boules de geishas, une petite paire de menottes, une cravache et un godemichet.

 

"Le plaisir va se partager... il n'en sera que plus intense".

 

Elle me lance un regard radieux, heureuse de ma réponse.

 

"Oui... nous allons partager notre plaisir..." sourit-elle largement avant de lever son verre dans ma direction.
Nous trinquons.
Nos bouches se joignent au-dessus de la table.
 Les bulles m'émoustillent.

 

Je me lève pour venir la rejoindre.

 

Ma bouche cherche à nouveau ses lèvres.

 

Nos langues se mêlent.

 

Notre baiser est celui de deux amants.

 

Son parfum est enivrant.

 

Ses lèvres sont douces et pulpeuses.

 

Sa main plaque mon sexe et le caresse.

 

Je pose alors ma main sur l'un de ses seins et le pétris doucement.

 

Ses doigts fins s'appliquent.

 

Ma paume soupèse l'obus délicat.
Elle gémit.

 

Je sens le cache téton glisser. Elle me laisse m'occuper de son téton pendant une petite minute... le faire rouler et le caresser de l'ongle... avant de me repousser.

 

"Pas tout de suite. Il te reste ton cadeau principal".

 

J'écarquille les yeux.

 

"C'est déjà beaucoup. Et puis, TU es mon plus beau présent".

 

Les ondulations de ses épaules et la petite moue réjouie sont les signes qu'elle est touchée par mes mots.

 

"Justement. Accompagne moi, ton cadeau est dans notre chambre..."

 

De dos, je suis subjugué par la ficelle qui barre ses fesses, les coutures qui gainent ses jambes, les lanières du porte-jarretelles qui ceint ses formes somptueuses.

 

Ses mouvements sont autant d'appels au pécher de chair.

 

Lorsqu'elle gravit chaque marche, je me place un peu en retrait pour admirer, à chacun de ses pas, le renflement de son sexe tout juste voilé par le tissu écarlate de ce string incroyablement bien porté.

 

Elle penche la tête et me lance un clin d'œil.

 

"Dis donc... cochon..." fait-elle en se cambrant un peu plus, son pas devenant plus écarté pour me permettre de l'admirer plus facilement.

 

Elle pousse la porte de la chambre.

 

Notre nid d'amour est baigné d'une lumière tamisée.

 

Quelques pétales épars donnent une note très féminine à l'endroit.

 

A côté du lit est posé un paquet cadeau dont tout enfant rêve.

 

Il est d'une taille hors norme, bleu nuit et orné d'un nœud géant.

 

"J'espère que ce n'est pas une poupée gonflable" lui dis-je un peu trop vivement.

 

Elle rit. Chaque note cristalline percute mon esprit comme les clochettes de fées.

 

Je pose la main sur le papier cadeau, caresse l'objet aussi gros qu'un meuble.

 

Adossée au mur, elle me laisse imaginer son contenu, chercher, sans me donner un seul indice.

 

J'exerce une poussée sans parvenir à faire bouger le cadeau.

 

Je suis bien incapable de deviner ce que cache cette boite énorme.

 

Sans une parole elle me tend une paire de ciseaux.

 

Je coupe le ruban sertisseur.

 

Elle enclenche une musique jazzy.

 

Je la sens inquiète, son index posé sur ses dents blanches, entre ses lèvres dont j'ai faim.

 

Je tire doucement sur un des côtés et soulève le haut du paquet de carton renforcé.

 

...

 

Telle une apparition...

 

...

 

Comme un génie sortant de sa lampe...

 

...

 

Aussi bleue et argent que ma femme est rouge et dorée...

 

...

 

Une seconde "femme de Noël" s'extraie de ce cadeau incroyable.

 

...

 

Brune, des yeux noirs en amande cerclés d'une paire de lunettes à montures bleue nuit, la peau doucement hâlée d'un métissage que je devine eurasien, son sourire m'est destiné.

 

"Joyeux Noël mon chéri" me dit mon épouse d'une voix extrèmement torride.

 

Je me tourne vers ma femme, incapable de prononcer un seul son.

 

"Elle te...enfin... NOUS te plaisons ?" dit-elle toujours plaquée au mur.

 

Je détaille alors de nouveau cette femme qui attendait là, cachée, mon coup de ciseau.

 

Une poitrine plus menue, des hanches fines. Un peu plus jeune que mon épouse.

 

Elle enjambe les restes du cadeau.

 

Un cadeau qu'un enfant ne pourrait pas avoir.

 

Un présent qui répond à un de mes fantasmes les plus présents.

 

"C'est... je..." balbutie-je difficilement.

 

"Elle te plait ?"

 

Je viens à côté de ma femme, la prends dans mes bras.

 

"Tu es la seule femme que je veux", dis-je.

 

"Je ne te parle pas de sentiments... Là, je te parle de sexe" me répond-elle avec un baiser sur ma joue. "A moi, elle me plait" me murmure t elle à l'oreille.

 

La femme s'approche de nous.

 

Ma femme vient vers elle.
Nos corps sont proches.
Je perçois les parfums de ces 2 splendides vestales de Noël.

 

Lentement elle pose sa main sur ses hanches.

 

Dans le même temps, avec une extraordinaire sensualité, elle pose sa main sur l'épaule de l'inconnue et dans un accord parfait leurs visages se font face, leurs bouches se frôlent, s'ouvrent et leurs langues se cherchent, s'emmêlent dans une langoureuse embrassade.

 

Mon sexe est tendu. Il me fait mal de voir cette scène dont j'ai rêvé bien des fois dans ma vie.

 

Je découvre chez elle une part secrète qu'elle ne m'avait jamais avouée.

 

Lorsque leurs visages s'éloignent, que leurs regards se quittent pour venir se poser sur moi, je les vois sourire toutes les deux.

 

"Joyeux Noël Monsieur", me dit la jeune femme d'une voix suave.

 

"Elle s'appelle Elia... et nous avons déjà passé l'après-midi ensemble à bavarder".

 

Les voix sont en harmonie.

 

Leurs corps si proches et si différents forment un ensemble à l'élégance artistique.

 

"Je suis l'homme le plus heureux de la terre je pense", lance-je en faisant un pas vers elles deux.

 

Je les vois sourire alors qu'elles insistent de leurs yeux charmeurs sur mon entrejambe.
Je le flatte en m'adressant à elles.

 

"Mesdames, il en est douloureux de vous admirer et de rester habillé".

 

Dans un ballet érotique elles viennent m'entourer et lorsque leurs mains se posent sur moi je ne peux empêcher un soupir de m'échapper. Soupir de plaisir.

 

Les deux femmes s'affairent à force de gestes délicats.

 

Ma ceinture claque en quittant les passants de mon pantalon qui n'est pas long à tomber sur mes chevilles et filer au sol comme ma chemise.

 

Je ne suis plus vêtu que de mon boxer.

 

Une tâche en décore la matière, signe de l'effet que ces deux naïades ont sur moi.

 

"Mon chéri, cette nuit, nous sommes toutes les deux... toutes à toi" murmure ma femme à mon oreille droite.

 

"Et prêtes à exaucer tous vos désirs", susurre l'eurasienne à mon oreille gauche.

 

Leurs lèvres se posent dans mon cou, elles viennent se pelotonner contre moi qui n'est d'autre possibilité que de poser mes mains sur leurs corps enfiévrés.

 

Je caresse les dos, les épaules pendant que je subis avec joie leurs effleurements.

 

Elia s'éloigne doucement.

 

Elles avaient convenu de ce moment car je les vois échanger un clin d'œil.

 

"Elle va aller chercher le champagne... et les jouets, pour cette nuit".

 

Ma femme pose une main sur mon torse, la fait descendre sur mon ventre.

 

"Tu es folle..."

 

"Folle de toi... folle de sexe..."

 

Elle prend mon vit sans le sortir du boxer et le caresse.

 

"Tu perles... il te plait mon cadeau de Noël ?"

 

"Il est incroyable. Tu es stupéfiante. Où as-tu eu cette idée ?"

 

Elle glisse sa main dans le boxer et pousse son geste jusqu'à mes bourses glabres.

 

"Tu parles parfois dans ton sommeil. Et puis... c'est aussi un peu mon cadeau, car cet après-midi nous avons fait connaissance et elle est très douce."

 

Cette révélation me fait grogner.

 

"Je n'aurais pas cru qu'une femme... et toi... et encore moins à trois."

 

Mon boxer s'efface, elle saisit la base de mon pieu et le fait coulisser doucement.

 

"Je ne l'aurais pas cru non plus. En buvant le café, je ne pensais pas que j'allais me laisser aller dans ses bras... mais elle m'a prise au piège."

 

Mes mains se saisissent des fesses délicieusement dodues et je les caresse.

 

"Tu as profité de mon cadeau !"

 

"Ho... un simple baiser et... quelques... caresses" dit-elle en rougissant.

 

"Aurais-je le plaisir de voir cela ?"

 

Elle se mord la lèvre.

 

"Tu peux... tout. Aller avec elle seulement... avec moi... avec nous deux... ou nous observer... je fais partie de ton cadeau et ton plaisir sera le mien."

 

Je quitte ses fesses pour venir saisir sa nuque et l'embrasser comme au premier jour.

 

Lorsque nos lèvres se décollent, Elia est déjà remontée dans la chambre et nous observe en souriant, les coupes sont servies.

 

3 coupes.

 

3 corps.

 

...
 
Lorsqu'au petit matin je prends une douche alors que le café coule, je ne peux m'empécher de repenser à nos ébats.
Les cris et gémissements comme un hymne à l'amour et au plaisir.
Les désirs impolis que nous nous sommes donnés dans une complicité langoureuse.
Je revois encore ma femme m'observer et me sourire alors que je chevauchais cette autre.
Je l'entends encore râler de jouissance pendant que nous la prenions tous les deux.
Et mon sexe redevient gros et dur aux souvenirs de leurs deux corps lascivements mélés.
Etait-ce un rêve ?
Je frotte mes joues avec de l'after-shave et je reste un moment à regarder la glace.
Lorsque je pousse la porte de la chambre la réalité me rattrape.
Notre invitée a la main glissée entre les jambes de ma femme.
Le simple drap posé sur elles ne cache en rien ce qu'elle lui pratique.
"Chéri... viens vite... c'est aujourd'hui Noël" me dit mon épouse en lâchant un "hooooo..." comme la femme collée à elle accentue son geste.
"Venez... jouer avec vos cadeaux" me dit cette femme en me souriant.
Joyeux Noël.
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Il glisse un doigt entre les fesses douces qu'elle tend vers lui.
Elle tourne son visage, sa joue posée sur son bras à plat le long du mur.
Les mains de Robin forcent ses jambes à s'écarter.
Il la caresse... partout... sa main palpe ses seins collé au lambris de bois rare, ses doigts effleurent son sexe trempé, caressent ses globes fessiers, passent sur sa rondelle...
Elle gémit.
Les paroles de cet homme lui reviennent : « je vais vous faire ce que votre mari n'a pas l'autorisation ».
Son corps n'est que sensations.
« Oui... écartelle-moi. Joue de moi ».
Docile elle se cambre encore plus, délibérement.
Il se baisse lentement, embrassant sa colonne vertébrale, de la nuque... jusqu'à arriver à ses fesses.
Il mord le velours délicat de ses rondeurs ondulantes, en apprécie la fermeté sous ses dents.
Il enfonce sa langue dans la raie qui, serrée, profonde, le force à s'appuyer tout contre elle dans une position de gourmandise.
Elle pousse en réaction son corps vers l'homme qui la lèche dans son pli le plus secret.
Il découvre de la pointe de sa langue, la rose intime et ses aspérités.
Avec une lenteur extrème il presse l'anneau, s'amuse de ses palpitations avant de glisser vers la chatte béante dont il lappe le suc.
Son souffle chaud sur son bas ventre est un délice.
Elle se laisse faire par l'habileté de son amant.
L'humidité de sa langue, ses lèvres sur son sexe de femme lui fait monter les echelon du plaisir un à un, irrémédiablement.
Il remonte le liquide vers la raie, dégustant le goût intense de cette femme, sa patronne, son ainée.
Son membre est tendu mais il ne se soucie que de la rosette avec laquelle il s'amuse.
« Oh oui, ouvre moi, j'ai envie de te sentir partout ».
Il force alors sa langue à entrer pendant que d'une main libre il vient branler le sexe ouvert, s'attardant sur la délicieuse texture du clitoris dur comme une perle.
« Tu l'as déflorée de là aussi ton étudiante ? ».
Elle se mord la langue, prenant conscience de son ton cassant.
Si elle imagine que non, elle ne veut pas le faire fuir. Cette rivale doit rester une source de plaisir.
Elle gémit ...
Il saisit les épaule de cette femme offerte et la tire vers l'arrière, la forçant à se positionner dans une attitude de luxure évidente.
Il regarde les pointes des seins frotter contre le mur.
Puis il place son sexe sur les fesses bombées et cambrées.
« Cela vous aurait plus de la savoir... prise de là ? »
Elle sent la raideur s'installer entre ses rondeurs blanches.
« Je ne sais pas ».
Il fait descendre ses mains le long des bras de son amante, en apprécie la douceur, une soie tiède.
Il l'embrasse dans le cou.
« Si elle t'excite au point de vouloir aussi me baiser après, je ne dis pas non » lui lance t-elle « Mais si je passe aux oubliettes, non », achève t-elle, autoritaire.
D'un geste habile il se pose sur sa motte et la masse alors que de son autre main il vient exciter l'un des téton écrasé contre le mur.
« Elle est douée... mais vous avez... l'expérience... ce « je ne sais quoi » qui fait que je ne peux pas me passer de vous ». lui répond-il.
Il s'empare de ses seins, les malaxe.
Les pressions sont précises, il en apprécie la ferme molesse.
« Hummm Robin... oui... »
« Et puis, vous êtes ma... maitresse. »
Elle est au bord de l'explosion alors qu'il monte et descend entre ses fesses bombées.
Il se masturbe en utilisant sa raie et la verge qui frotte sur son oeillet la fait vibrer comme la corde de l'archet.
« Ecartez-le » lui ordonne t-il soudain.
Elle hocquette... n'ose croire ce qu'il lui fait faire.
« Robin... voyons... vous êtes un vrai salaud. »
Ses mains fines se posent sur ses fesses et elle les ouvre doucement.
Elle écarte les deux globes, en grand, elle sent alors son anus s'ouvrir à son tour.
Il pose son gand sur le petit orifice.
« Ho oui... j'ai envie de jouir par là »
Il ondule, se frotte, elle pousse, se cambre.
Le conduit anal se détend, se prépare à accepter, et vient peu a peu emprisonner le gland rond.
Il la laisse s'empaller à sa vitesse.
Elle s'ouvre en douceur, comme une fleur.
Elle se pince les lèvre, la douleur est là, présente...
« Tu es... trop... »
Il sent l'étroitesse enserré son vit.
Sans un mouvement il l'observe onduler avec lenteur.
Le corps cambré, elle se dandine, s'immobilise, s'agite doucement pour accueillir sa verge dans son interdit.
« Oui ? »
Il admire sa chute de reins, ses hanches et la peau de ses fesses.
Le trou forcé forme un O dont les bords plongent puis se hissent vers le haut au rythme des mouvements de celle qui se fait introduire contre nature.
« Trop... gros... tu bandes trop... haaaa... tu vas m'écateler ».
La fine peau de son anus se tend alors qu'elle ondule sur le pal fiché en elle.
La douleur de l'intrusion, le plaisir de cet acte qu'elle refuse à son mari.
Le soulagement lorsque la douleur s'eteint et fait instantanément place à une avalanche de sensations.
« Quand je pense que Monsieur n'a pas droit à ce cul ! » l'encourage t-il.
Lentement, en douceur, elle accepte la présence du sexe tendu, en apprécie l'épaisseur et accueille la joie de se sentir plaine.
Il donne un coup de rein.
Il sent les pulsions internes de son anus
« Hummmm. Bien sérrée... »sa voix est grave.
Elle souffle fort et il en savoure les tonalités de plaisir qu'il l'entend émettre.
Il entame un mouvement de balancier.
« Oh bouge ! Oui ! »
Elle s'abandonne à la sodomie, désormais ouverte...
« Défonce moi ».
Elle sent qu'il fait ressortir presque l'entière longueur de son sexe, avant de le ré enfoncer dans le conduit sombre.
L'étui se décontracte.
Le sexe masculin la parcourt.
Elle s'agite.
Les mains s'emparent de ses hanches et la chahutent.
Leurs « ouii » sont à l'unisson.
Elle coule... « c'est une honte »pense t-elle.
Il vient branler sa perle tout en continuant de la prendre ainsi, contre le mur, par le cul.
Bientôt la jouissance arrive.
Branlée, sodomisée, pétrit, elle se cambre, s'offre, s'ouvre.
Son jus s'écoule entre les doigts de son amant.
Il se retire de ses fesses pour s'enfoncer dans son sexe béants.
Elle vient de jouir dans un cri.
Il regarde le trou largement ouvert de son anus qui refuse de se refermer, parcouru de palpitations.
Magnifique vision qui lui donne une envie d'elle encore plus exacerbée.
« Je vais vous prendre... comme une chienne... et me vider en vous ». Ose t-il lui dire en l'invitant à se mettre à 4 pattes.
Il sait qu'à peine la première jouissance passer il peut la posséder à nouveau et qu'elle peut jouir encore.
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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