[...]
L'orage est arrivé, violent, sans prévenir, noircissant le ciel en quelques minutes et je rentre complètement trempé de l'extérieur.
Sur la côte irlandaise, un vent glacial et violent emporte des paquets de pluie au gout salé qui forcent chaqun à rester cloitrer chez lui.
 monture.jpg
Mon hotesse est sur son balcon couvert, à l'abri des élements déchainés.
Elle contemple les mats de bateaux qui oscillent dans le port.
Vêtue de sa tenue d'équitation elle raccroche le téléphone d'un "bye" chantonnant.
Elle se retourne et me salue d'un sourire un peu court.
"Hello Miss Kathleen" dis-je en me d"barrassant de mon mateau dégouttant de pluie.
Ses yeux blues-verts, clairs, me fixent.
Elle réhausse ses lunettes à écailles noires, larges, en saisissant un verre entre pouce et index.
Son visage constellé de tâches de rousseur, sa bouche aux lèvres roses, ses cheveux roux retenus en chignon serré... je sens une pointe d'agacement dans la raideur de sa nuque.
"Ma séance est annulée. Le temps évidemment".
Son accent irlandais dans son français parfait me séduit toujours à chaque fois et lui donne un charme particulier, sévère et tellement sensuel.
"Quel dommage oui."
Je ne sais que lui répondre, me contentant d'admirer sa veste ouverte en haut, qui comprime sa poitrine et masque la beauté de ceux-ci mais laisse appercevoir un fin tee-shirt mauve, et son pantalon serré qui met en valeur ses hanches et ses fesses somptueuses.
Elle se laisse observer, se déplace avec lenteur pour reposer le combiné téléphonique.
Je sens la boule de chaleur s'éveiller dans mon ventre, signe qu'elle ne me laisse pas indifférente.
Hésitant je romps le contact avec elle et pénètre dans la cuisine afin d'y chercher un peu de jus d'orange dans son réfrigérateur.
Elle m'occupe l'esprit d'une façon si intense que je dois m'efforcer de rester calme et reprendre ma respiration.
Je bois, repose le verre, rentre la bouteille de carton au frais, troublé au plus haut point.
Elle m'a déjà... vu... et obligée à ma caresser jusqu'à l'orgasme.
Elle m'a déjà... eu... dans la douche.
Et je sais qu'elle n'a qu'un mot à dire pour qu'elle fasse de moi ce qu'elle veut, comme aucune autre femme avant elle.
Je ressens une pression sur mes reins.
Elle se tient derrière moi, une cravache à la main.
Le baton de cuir noir tapote une nouvelle fois ma fesse.
"Je me désespère de ne pas pouvoir aller à mon cours d'équitation." Dit-elle en faisant une moue boudeuse.
Ma verge enfle sans que je n'y puisse rien. La simple vue de cette femme, sa voix douce et ferme est d'une sensualité infernale.
"Et tu sais à quel point j'aime avoir une monture entre les cuisses..."
Son regard me scrute, me déshabille.
"Oui... c'est dommage". Hasarde-je à répondre.
"Oui... Miss Kathleen". Me reprend-elle, accompagnant sa réprimande d'une tape de la cravache.
Je reformule ma réponse, de nouveau, et je sens mes joues rougir.
Entre honte et plaisir, mon corps me trahi.
Le bout plat et souple de la cravache se pose sur ma joue, descend sur mon cou, passe sur chaque bouton de ma chemise, lentement, instillant en moi les braises du désir.
"Enlève ta chemise".
Je défais un à un les boutons, incapable de résister à son ton de voix.
Ma chemise ouverte, elle frole ma peau, écarte les pans de tissu à l'aide de sa badine sombre jusqu'à les faire tomber sur mes avants bras.
Je suis hypnotisé par son visage, mélange d'austérité, de fraicheur et d'érotisme.
La cravache descend le long de mon torse, sur mon nombril, jusqu'à ma ceinture puis poursuit son chemin sur mon entrejambe où elle s'attarde, pressant la dure souplesse de son ustensile sur la déformation de mon pantalon.
"Ton pantalon. Now".
Je m'exécute, dégraffe ma ceinture et le pantalon pour ne plus être devant elle qu'en boxer.
Il ne peut masquer mon émoi et l'effet qu'elle me fait.
Ma verge est tendue et le tissu de mon dessous moule mon érection de façon prohéminente.
Elle passe la cravache entre ses doigts dans un geste masturbatoire, avant de venir palper mon paquet masculin de son bout de cuir.
La badine passe entre mes cuisses, elle frotte d'avant en arrière et remonte la baguette.
Mes bourses roulent, pressées par ses gestes.
"Un boxer... Il va falloir que je t'achète d'autres dessous. Enlève moi cela".
Une nouvelle petite tape sur ma fesse ponctue son ordre.
Je l'ôte lentement alors qu'elle tourne autour de moi.
Je me sens, évalué, épié, ausculté sous tous les angles.
Nu, debout en plein milieu de la pièce, devant cette femme qui me fait chavirer les sens, j'ai du mal à me calmer.
Ma verge est tendue, dressée vers le ciel comme un mat, ignorante de la honte que je ressens soudain.
Elle flatte mon érection de la cravache, remonte de la base de mon sexe jusqu'à mon gland décalloté.
"Une monture bien montée." Se palre t-elle à elle même, augmentant mon émoi.
"Juste comme j'aime... ni trop long, ni trop court... et bien épais".
Tel une bête de foire elle poursuit son "tour du propriétaire", soupesant mes boules de son manche de cuir, forçant mon cep nervuré à s'incliner à l'horizontal pour en apprécier la raideur.
Je lâche quelques soupirs qui m'échappent.
La badine passe sur mon torse, sur mon dos, glisse entre mes cuisses, remonte sur ma masculinité, écarte mes fesses... sous son oeil attentif.
"Come on... viens". Dit-elle en faisant un pas en avant.
Je la suis mais elle s'arrête, se retourne sur moi.
Ses deux yeux bleus verts brillent d'un feu intense.
"Depuis quand une monture marche t-elle... debout à côté de sa maitresse ?"
Je reste interdit, immobile, incapable de prononcer un seul mot.
Je sais ce qu'elle veut, ce qu'elle m'impose.
Vais-je lui donner raison ?
Vais-je me rebeller et ne pas courber l'échine ?
J'hésite à rétorquer de façon négative mais mon esprit me crie d'obéir, de me laisser aller à cette douce perversité qui m'inspire et me chavire de nouvelles sources de plaisirs.
Elle me toise, son regard ne vacille pas, fière, sa badine tape dans sa paume.
Je baisse les yeux.
Puis, gorgé de honte, je me mets à genoux.
A la hauteur de sa ceinture, je lève mon regard vers elle.
Sa veste légèrement ouverte révèle son cou et le port altier qu'elle arbore en tout instant.
Je pose mes mains au sol.
A 4 pattes.
Un feu d'une intensité inconnu explose alors dans mon ventre, se répand dans mes épaules, dans ma poitrine, et attise de façon insensée mon érection.
Nu et à 4 pattes, j'accepte sa main mise sur moi et j'en éprouve une explosion de bonheur.
Elle se mord la lèvre inférieure, ravie.
Elle avance et je suis lentement.
Telle une "monture", je la suis... observant à loisir le balancement de ses fesses voluptueuses qu'elle semble faire onduler encore plus qu'à l'habitude.
Derrière elle j'avance au rythme qu'elle m'impose.
La honte reléguée au second plan, loin derrière un plaisir et une joie quasi orgasmique de suivre ma "Maitresse".
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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[...]
 
Morphée me refuse ses bras.
 
Mon vit est tendu, mon esprit ne parvient pas à se calmer.
 
Allongé sur mon lit, entièrement nu, je repasse les images de la soirée, et les mots de mon hôtesse me reviennent... ils me troublent, attisent les braises qui forment peu à peu un véritable feu dans mon bas ventre.
 
L'appartement est silencieux. Aucun bruit ne provient de la chambre de mon hôtesse.
Ma main se pose sur mon pubis, d'envie, sans pouvoir me retenir.
 
Je ferme les yeux, oublie la tapisserie cosie, les meubles cirés et les bruits du port à l'extérieur. Plus rien ne me parvient que le parfum encore présent de la douche que j'ai partagé avec cette femme sulfureuse.
 
Un geste lent, une caresse... solitaire...
 
Lentement, mon pouce se pose entre mon ventre et la base de ma verge.
 
Elle est raide et brulante à m'en faire mal aux entrailles. Je me laisse guider par mes envies... mes doigts pressent doucement mes bourses.
 
Je fais rouler les olives dans les sacs gonflés tout en maintenant mon sexe dressé vers le ciel.
 
Une masturbation lente où je la revois... splendide. Mes mains ont pu caresser son corps... ses seins aux formes généreuses... la fermeté de son séant... la douceur de ses mains sur moi... hoooo je gémis doucement.
 
Mon autre main caresse mes cuisses, mon ventre, effleure mes tétons.
 
Je me donne du plaisir dans un rythme extrêmement lent.
 
Ses paroles me reviennent... "Miss Kathleen..." murmure-je avant de me raviser et réprimer un soupire qui me fait m'agiter et grincer le lit.
J'ouvre les yeux soudainement en alerte.
 
Elle est là, dans l'embrasure de la porte.
Elle, dans l'ombre, les lueurs formant autour d'elle un halo bleuté.
 
Je sursaute, tente de remonter le drap pour couvrir ma nudité et mes gestes obscènes.
 
Ma salive a du mal à passer alors que je déglutis avec difficulté.
 
Son regard me transperce.
 
Au travers de ses lunettes à larges montures, elle semble me juger et me condamner.
 
Son visage est sévère. Un ton accentué par son chignon de cheveux flamboyants.
 
Elle porte son peignoir long qui cache son corps dans son intégralité.
 
J'ai l'impression d'être pris en faute par la surveillante générale d'une pension stricte.
 
Ses bras croisés, je devine que cela fait quelques minutes qu'elle m'observe faire, qu'elle voit ma main astiquer ma verge large, qu'elle m'a vu me caresser les bourses.
 
Je rougis comme un adolescent.
 
"Kathleen je..."
 
Elle me coupe sèchement : "Miss Kathleen ! ". Sa voix est un coup de fouet dans l'air.
 
Je balbutie un "Miss Kathleen... " Sans pouvoir continuer, coupé dans mon élan je m'aperçois cependant que j'apprécie son attitude, le fait de me faire reprendre... de m'être fait prendre en flagrant délit.
 
Ses yeux sont deux lacs scintillants qu'un léger reflet de lunettes rend glacial.
 
"Continue" déclare t-elle en faisant un pas vers le lit, "Ne t'arrête pas en si bon chemin".
 
Elle détache son regard de mes yeux que pour aller se poser sur ma verge .
Sa main délicate saisit le drap et le tire en arrière...le retire, et me livre, nu, à ses yeux gourmands.
 
Je caresse ma hampe, posée sur mon bas ventre. Je poursuis mon geste vers mes deux monts...
 
Elle s'assoit sur le bord du lit.
 
Ma main force mon cep nervuré à se positionner à angle droit avec mon corps. Il se gonfle très vite à nouveau, enfle et palpite.
  
"Hum... " Soupire t-elle en me regardant me faire plaisir "Caressez aussi vos... comment dit-on déjà..." me dit-elle en plissant ses yeux, son visage légèrement penché... son accent irlandais délicieusement sensuel.
 
"Ha oui. Vos... couilles... Vos belles couilles."
 
Une boule d'excitation m'emplit et tout du long de ma colonne vertébrale je sens serpenter le désir qui grimpe et se distille dans mon corps comme une bulle qui explose et se répand.
 
Je pose ma main et malaxe mes bourses qui bougent dans mes doigts alors que je fais monter et descendre mon vit de façon osée et indécente.
 
Elle écarte ses cuisses et passe une main dans son peignoir. Je vois ses joues rosir, et son bras bouger très lentement.
 
Je me redresse, excité par la situation.
 
"Non. Reste comme ça. Continue de faire tes gestes odieux. C'est ... un ordre".
 
Le mot, le dernier mot me saisi, aussi incroyable que cela paraisse mon sexe se tend, mon cerveau réagit et je sens pulser mon sirop qui monte le long de ma tige épaisse.
 
De longues giclées s'élèvent avant de maculer mon ventre et ma poitrine.
 
Le jus s'étale... je pousse un gémissement rauque... la jouissance me fait me cabrer.
 
Je mets quelques secondes avant de reprendre mes esprits, vivant, survivant de cette petite mort orgasmique.
 
Elle est debout. Son regard me transperce. J'ai honte de moi.
 
Sa main se pose sur moi, elle étale mon foutre sur mon corp. De ses doigts fins elle passe dans la pilosité de mon torse, fait de larges cercles. Son visage est fermé, sévère, ses yeux étincellants.
 
Ses caresses montent le long de mon cou jusqu'à ma bouche.
 
Je sens la texture poisseuse, l'odeur de mon sperme qui est sur ses doigts, sur mes lèvres.
 
"Suce" m'ordonne t'elle d'un ton ferme.
 
J'ouvre la bouche, tenant toujours mon sexe en main, incapable de résister à cette femme au charme surnaturel.
 
Le gout est amer, je passe cependant ma langue sur son index et son médius recouvert de mon jus d'homme.
 
Pour la première fois de ma vie je me goute.
 
Elle sourit, retire son doigt et se penche.
Sa poitrine voluptueuse frole mon torse, nos peaux simplement séparées par le tissu en éponge de son peignoir. La lourdeur de ses seins pèse sur moi.
Pris en faute, obligé de me caresser devant une femme qui... m'ordonne... je découvre que j'apprécie cette situation, ce fantasme incroyable.
 
"Ta maitresse t'autorise à lui faire un baiser sur la bouche, vilain cochon" me murmure t elle d'une voix douce et sensuelle.
 
J'embrasse ses lèvres au gout de miel qui se détachent trop tôt des miennes.
 
Elle referme la porte.
 
"Maitresse Kathleen..." mes paroles accompagnent le claquement de sa porte lorsqu'elle regagne son lit.
J'apprécie ce titre. J'apprécie, plus que de raison, pour la première fois de ma vie, le statut de dominé.
Et son matelas... grince... et mon esprit chavire.
A suivre...
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mshs38ky [...]

Lorsque ce soir je suis arrivé, je l'ai vu tendue.

J'ai posé une main sur ses épaules pour la détendre et lui demander ce qui n'allait pas.

Elle a fondu en larmes avant de vider son sac.

Une mauvaise date, un souvenir trop fort, la solitude qui était la sienne, ses parents absents, son mariage raté, l'éloignement avec ses enfants... elle s'est accablée de mille travers pendant presque une heure.

...

"Détendez-vous. Je vous fais un thé". Dis-je doucement.

"Thank's Honey... Je veux bien oui."

D'un regard je vois qu'elle essuie ses joues et les larmes qui ont coulées.

"Je suis horrible. Like a... comme un épouvantail".

Je la regarde, ses cheveux défaient du chignon roux, ses tâches de rousseur et ses grands yeux verts... Elle est superbe. Elle remonte ses lunettes qui lui font se regard grave. Les expressions anglaises se mélangent au français, un signe de son émotion.

Un chemisier bleu au col rond, un pantalon noir serré. Ses formes sont moulées et presque cachées à les rendre encore plus... désirables.

"Vous êtes splendide". Ma voix me surprend.

Elle se lève sans un regard à mon attention et décide de passer dans la salle de bain le temps que le thé chauffe. Peut-être n'aurais-je pas du être si familier avec elle.

A peine a-t’il infusé qu'elle revient, ses cheveux ondulés remis en boule stricte, son chemisier mouillé de larmes changé pour un autre, vert sombre avec des boutons dorés, le visage rafraichit.

La discussion devient plus calme, plus intime également. Kathleen se dévoile et je bois ses paroles.

J'apprends qu'elle est heureuse que je sois là et qu'elle a également pensé au fait qu'un jour je m'en irais. Je ne peux que lui répondre à quel point j'apprécie son offre de m'avoir hébergé et que je l'apprécie également en tant que femme, qu'il m'arrive d'avoir une pointe au cœur à savoir que dans quelques mois je devrais retourner en France.

Elle pose alors sa main sur mon genou, comme le premier jour. Ce geste innocent qui me trouble à chaque fois.

Doucement penchée vers moi, dans un silence, les éclats de ses yeux plantés dans les miens...

"Tu es un homme comme je les aime" me dit-elle, ses doigts exercent une légère pression sur ma jambe.

Son chemisier tendu par sa poitrine généreuse, je rougis un peu, sans pouvoir me retenir de glisser un œil sur ces rondeurs que j'imagine. Elle se redresse, un léger sourire aux lèvres, son regard encadré du noir de ses montures d'écaille, sur mon entrejambe.

"Merci pour ta présence. Je te laisse prendre ta douche, je vais faire le repas".

J'obéis à son ton devenu ferme, gêné, m'apercevant que mon sexe, en érection, forme une bosse nettement visible dans mon pantalon et qu'elle n'a pas pu manquer de s'en apercevoir.

Je ne parviens pas à faire descendre la tension qui m'habite malgré la chaleur de la douche.

Lorsque le rideau se tire doucement, je sursaute, une main devant ma verge pour tenter, en vain, de cacher l'effet qu'elle me fait.

Elle passe une main dans ses cheveux et dénoue son chignon.

J'arrête machinalement l'eau sans parvenir à couper totalement le débit.

Elle secoue doucement son visage et ses cheveux roux tombent en cascade sur ses épaules.

"Je m'excuse de mon attitude de tout à l'heure et de t'avoir ennuyé avec mes soucis". Me dit-elle en défaisant un à un les boutons de son chemisier qui tombe de ses épaules pour filer au sol.

Son soutien-gorge, noir en dentelle, révèle sa poitrine généreuse aux pointes saillantes qui tendent le tissu sur toute la surface du mamelon. Une surface que je devine large.

Elle dégrafe les boutons de son pantalon pour le faire glisser le long de ses cuisses fuselées.

Je suis hypnotisé par son corps.

Ses seins se libèrent, m'apparaissent pour la première fois. Lourds, orgueilleusement tendus, charnus avec deux grandes auréoles brunes en surépaisseur de sa peau et des tétons comme des mines de crayon.

Je suis sans voix... mon érection à son summum.

Elle glisse deux doigts dans les côtés de son petit slip accordé et se penche pour le quitter.

Sa poitrine ballote dans un mouvement d'une extrême sensualité avant qu'elle ne se relève et s'offre à ma vue, entièrement nue.

Un petit triangle de poils roux et courts, semble me happer, singulièrement dessiné au centre des ses hanches aux formes avenantes. Sa peau est constellée d'étoiles formées par ses tâches de rousseur. Ses fesses sont deux beaux globes musclés, bien pleins et généreux.

Elle retire ses lunettes avant de me rejoindre sous la douche sans un mot.

J'ouvre ma bouche sans pouvoir en sortir un seul son.

Elle écarte mes mains pour poser son regard sur ma verge tendue vers le ciel.

Son corps est proche, ses pointes de seins effleurent mon torse. Elle sourit. Un petit sourire qui m'enflamme les sens.

Sa main gauche passe sur ma peau, glisse sur ma toison légère, ses ongles griffent mes petits tétons.

Sa main droite se saisit de mon sexe, à la base.

Elle se colle à moi, se frotte lentement.

Je sens son ventre onduler contre le mien, sa poitrine posée sur moi, sa main gauche caresser mon dos, passer de la nuque à mes fesses.

Sa pilosité entretenue posée sur ma verge, elle guide mon membre qui glisse dans son conduit intime.

Je veux que ce moment ne cesse jamais.

Elle ferme les yeux, sa bouche se fige en une petite grimace alors que je perçois autour de ma verge, la chaleur et l'humidité de son étui.

Incrédule je la laisse mener la danse, maitriser son introduction silencieuse.

Le filet d'eau coule sur mes épaule, ruisselle sur sa large poitrine, se faufile entre ses seins fantastiques, poursuit sa course sur les montagnes russes de ses hanches et de ses fesses pour finir en cascade sur ses jambes qu'elle écartent pour faire entrer plus profondément mon vit dans son territoire personnel.

Son vagin se contracte, semble aspirer mon sexe, avec un minimum de gestes elle ondule et parvient à me mettre dans un état de surexcitation.

Mes mains se posent sur ses hanches, je les caresse autant que je m'y agrippe, acceptant son activité coupable.

Ses grands yeux sont plongés dans les miens, son visage est sérieux, elle est concentrée sur le plaisir. Deux lagons dans lesquels je me noie.

Sa vulve se contracte, son regard se voile, elle pousse un gémissement... unique... long... et je la sens couler autour de ma verge. Sa jouissance chaude m'entoure, épaisse et abondante, elle tend son corps, sa main maitrisant à grand peine l'intrusion encore plus profonde de mon sexe.

Elle se hisse sur la pointe des pieds pour extraire mon pieu de son bas ventre. Elle gémit... soupire. Il n'y a pas plus belle mélodie à mes oreilles.

De sa main toujours posée sur moi elle exerce une masturbation de plus en plus vive qui me mène inexorablement à l'orgasme.

Mon sirop gicle par gorgée entre nos deux corps, maculant son ventre autant que le mien.

Sa main experte appuie et agite mon sexe pour en faire sortir les ultimes gouttes de désir.

Elle relâche ma verge.

Je rougis de honte et de plaisir.

Elle me donne un gant de toilette dans lequel j'enfile ma main, toujours sans un mot.

Sans comprendre pourquoi dans les premiers instants, elle faufile sa petite main à son tour dans ce gant.

Nos doigts se mêlent et je sens une boule s'allumer dans mon ventre... cette femme est exquise et me fait un effet rare.

Elle guide mes gestes pour que je la nettoie... je n'ose aller contre ce moment érotique, pas plus que je n'ai envie que s'arrête cette situation où je découvre son corps.

J'apprécie, au travers du gant, la délicatesse de son cou... les rondeurs de sa poitrine... l'onctuosité de ses hanches frémissantes...

Elle me fait m'attarder sur son sexe. Ses yeux amusés alors qu'elle me fait nettoyer consciencieusement sa fente aux lèvres béantes, souillée par sa jouissance. Je ressens la poisse humide qui a coulé, je perçois son tourments alors qu'elle me fait effleurer son intimité.

Sans un mot elle se tourne, pose ses avant bras sur le mur de la douche et tend sa croupe vers moi.

Son splendide séant offert, à ma vue, à ma main gantée.

Je passe le gant sur son dos, descend jusqu'à ses fesses rondes et généreuses qui ondulent.

Elle écarte ses jambes. Je passe alors dans sa raie, entre ses cuisses... provoquant une cambrure et des oscillations de son bassin qui me donnent envie d'encore plus. Je prends mon temps à laver son arrière train de belle taille. Je passe sous les fesses charnues, faufile ma main entre ses jambes. Elle accueille ma main, mes gestes avec quelques gémissements retenus, avec quelques mouvements de bassins qui m'indiquent qu'elle n'est pas insensible à mes attentions.

Elle se redresse, se saisit de la douchette et passe le jet sur elle pour se rincer en me souriant avant de sortir de la douche.

"Dépêche-toi, nous allons bientôt manger" me lance t elle en passant la porte, enveloppée dans une large serviette.

Je me lave rapidement, encore tout émoustillé de sa venue.

L'eau chaude détend mes muscles tendus, je me rince, l'esprit ailleurs... et m'habille avant de la rejoindre.

A suivre...

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