Il devait faire au plus vite pour répondre à la demande de la propriétaire aussi courait-il presque dans les allées de la propriété.

soumise

Coralie lui avait dit, mais un peu tard, que sa mère voulait le voir en toute urgence.

C’était il y a une demi-heure… après qu’ils aient passé du bon temps ensemble. Son parfum était encore accroché à ses narines. Envoutante…comme sa mère.

20 ans séparaient les 2 femmes. Un peu plus de 20 ans… Un peu plus de 40… et toutes les deux aussi belles l’une que l’autre.

Lui, l’homme à tout faire de la maison, à la fois jardinier, réparateur et concierge, depuis quelque temps il était aussi l’amant de la fille… et cela sans que sa patronne n’en soit au courant. "Heureusement" pensait-il lorsque cela lui traversait l'esprit.

L’inverse n’était pas vrai. Coralie l’avait vu avec sa mère et savait qu’il répondait aux avances de celle-ci.

La situation était complexe pour lui mais pour le moment il avait du travail.

Et le premier point de celui-ci, c’est de répondre à la demande de son employeur.

La porte du bureau du mari est ouverte, à l’étage, et il l’entends parler. Sa voix féminine au téléphone, comme un air de harpe, lui échauffe l’esprit.

Il grimpe les marches 4 à 4 et s’immobilise pour frapper à la porte.

Elle raccroche, lui fait signe d’entrer.

Le bureau du maitre de maison est une salle aux murs recouverts de livres au centre de laquelle trône un bureau en acajou, deux larges fauteuils club en cuir rouges.

"Et bien ? Cela fait 20 mn que j'attends !" Crache la femme, la main encore posée sur le combiné.

Il se confond en excuse.

Elle se rapproche.

"20 minutes que mon mari est parti."

Sa voix, devient plus douce, plus suave.

Il observe son corps se balancer en venant vers lui comme elle avance vers lui avec la démarche chaloupée et sensuelle d’une femme désirable.

Les hanches bien dessinées dans un ensemble tailleur rouge carmin, ses talons claquent au sol à chaque pas.

« Un temps précieux… où il n’est pas là et où je fonds de t’attendre ».

La veste qu’elle porte se croise sur sa poitrine de belle proportion, rehaussée par la ceinture qui enserre sa taille.

Elle est si proche de lui qu’il sent son souffle lorsqu’elle parle, qu’il peut humer son parfum et être effleuré par une mèche de cheveux.

Sa bouche aux lèvres roses est un ballet hypnotique…

« 20 minutes pendant lesquelles je n’ai cessé d’avoir envie d’être prise ».

Elle pose sa main fine sur le tee-shirt de Robin qu’elle attire en avant vers elle alors qu’elle recule jusqu’au bureau sur lequel elle appuie son séant.

« 20 minutes… de perdues » lui murmure t elle en embrassant son cou et en faisant glisser ses mains jusqu’à la ceinture qu’elle détache avec dextérité.

Il pose ses mains sur les genoux, il sait pourquoi elle l’a fait venir et cette femme, son odeur, sa voix, son corps qu’il devine, l’attirent irrésistiblement. Elle a envie de sexe. Et il sent aussitôt dans son pantalon, durcir son vit.

« Tu étais occupé ? Avec ta petite pute ? » lui demande-t-elle. Sa main entre dans le pantalon, un léger sourire sur ses lèvres.

Elle lui masse la verge avec la paume de sa main, les doigts agrippent les boules qu’elle palpe.

« Cela vous plairait de savoir si c’était avec elle, n’est-ce pas ? » lui répond-il en dénouant la ceinture et en ouvrant les pans de la veste sans se départir d’une réplique qu’il veut cinglante.

Nue sous le tissu ses gros seins apparaissent, blancs, doux.

Elle bombe la poitrine pour lui offrir.

Il pose sa main sur chacune des mamelles attirantes et les pétris au même rythme qu’elle malaxe sa verge et ses bourses.

Elle pousse un léger gémissement.

« Oui. J’aimerais bien… et savoir que tu la quittes en vitesse pour venir me baiser m’affole encore plus… »

Il caresse les mamelons larges, attarde ses doigts sur les aspérités avant de taquiner les longs tétons tendus.

Sa voix féminine trahit une impatience que son vocabulaire cru ne fait que confirmer.

« J’étais avec elle… Et elle était très entreprenante. »

Devant lui, les yeux de la femme, plus agée, roulent, son sourire s’élargit, ses mains forcent le pantalon du jardinier à s’affaler sur le parquet ciré. Elle semble apprécier au plus haut point cette révélation.

La veste repose en tas sur la table et l’homme fait descendre ses mains sur les hanches… sur les cuisses… sur les genoux qu’il caresse avant de faire remonter lentement le tissu de la jupe.

« Je la connais ? » le questionne t elle dans un soupir alors qu’elle fait glisser le boxer pour en dévoiler le large sexe bandé, dressé vers le ciel.

Il a un moment d’hésitation.

Dans l’impossibilité de lui révéler qui est sa « conquête ». Si la mère venait à apprendre qu’il se tapait sa fille, il serait renvoyé sur le champ.

« Je ne pense pas… » se hasarde t-il.

Elle griffe son ventre et ses cuisses… « Menteur ! » lui lance t-elle.

« Tu ne veux rien me dire… je la connais alors. Ho, coquin, si ça se trouve c’est une fille d’un de nos amis. Tu sais que… cela m’émoustille énormément ».

Elle a saisit le sexe de Robin qu’elle masturbe avec une aisance digne d’une professionnelle. Ses yeux plantés dans les siens, elle l’observe, grogner de plaisir, sa pomme d’Adam oscille dans son cou de mâle musclé.

Il fait remonter le tissu de la jupe et sa peau apparait.

Elle ouvre ses jambes pour lui laisser voir sa fente ourlée d’une mince bande de poils bruns et courts.

Ses mains fortes la soulèvent et la font s’asseoir sur le bureau du mari.

« Humm… sur son bureau… dans son antre… viens, fourre-moi » lui ordonne t elle en caressant son torse musclé.

Il relève une des jambes de la femme qu’il a en face de lui, s’avance entre ses cuisses et enfonce son sexe sans préambule dans le puits intime de sa patronne.

Elle pousse un petit cri alors qu’il vient de la forcer.

Une main posée en arrière sur le bois du bureau, elle exhibe sa poitrine.

Il penche son visage pour venir happer un téton.

Il la tête en faisant entrer plus loin son vit dans le con trempé de son ainée.

« Hooo… Elle a des seins aussi beaux ? »

Il relâche son emprise, le mamelon semble osciller, couvert de salive, rouge de la succion.

« Non… moins gros… mais jolis également »

Il se penche à nouveau pour venir aspirer le second sein.

Elle ondule sous la poussée qu’il lui fait subir.

Lente et régulière il fait aller et venir son sexe en elle de façon rythmée.

Elle repousse son visage.

« Elle a un plus petit cul que le mien… c’est ce qui te plait ? »

Il lui sourit. A l’évocation de celui de Coralie son érection se fait encore plus forte, plus dure.

« Salaud… » elle n’a pas le temps de finir sa phrase qu’il la saisit par les hanches, la tourne et la force à se mettre à plat ventre sur le bureau.

Sa poitrine sur la veste en bouchon, les coudes sur le bois précieux.

« J’aime votre gros cul » fait-il en relevant la jupe jusqu’à sa taille, dévoilant les fesses blanches qui tranchent avec les tons sombres de la pièce.

Il ose une nouvelle fois aller dans son sens, très osé.

Il l’entend roucouler et elle cambre sa croupe en guise de réponse.

« Alors baise-le. Je suis en feu. Prends moi... prends mon cul... » fait-elle en le dandinant devant lui.

Il enfourne son sexe vigoureux dans la motte trempée.

Elle geint.

Il pose ses mains sur les fesses rondes et les écarte afin de faire couler sur la rosette un mince filet de salive.

Elle s'accroche, se tend alors qu'un doigt vient assouplir son petit orifice.

Du bout de l'index il sent la résistance faiblir, l'entrée palpiter puis accepter l'intrusion du doigt.

"Oui ! Baise mon gros cul !"

Sa verge dans le sexe de sa patronne il entame un assaut plus rapide.

Elle est secouée d'avant en arrière.

Les pointes de ses seins frottent sur le bois et le tissu, elle se tortille et coule de plus en plus.

Il se retire, la faisant pousser un soupir d'insatisfaction.

Son visage tourné vers lui, elle l'observe, nu, fier derrière elle. Il est celui que n'est pas, que n'est plus son mari s'il l'a jamais été.

Son sexe au large gland lui apparait, une révélation à chaque fois. Une envie qui la torture chaque nuit, chaque fois qu'elle le voit.

Elle ferme les yeux, baisse le visage, dans l'attente de la percée.

« Prends-le… Encule-moi. »

Il crache dans la raie écartée puis s’attarde sur l’anus plissé et palpitant.

Il se hisse sur la pointe des pieds et glisse son pal entre les rondeurs.

Elle cesse de respirer alors que la grosseur dilate ses chairs interdites, force son puits sombre.

Lorsqu'elle ouvre les yeux, quelques instants plus tard, ils sont toujours immobiles, le bout d’un sexe large écartant ses muqueuses anales.

Devant elle le fauteuil où son mari s'assoit, sur le côté droit son sous-main en croute de cuir sur lequel repose son stylo plume, sur le côté gauche un livre à la reliure craquelée... et derrière elle Robin, l'homme à tout faire, son amant, qui la sodomise au milieu de l'univers de son époux.

Elle pousse un râle alors qu'elle s'enfonce elle-même autour du pieu de chair, l'envie chevillée au corps.

Il la maintient par les hanches et accentue sa prise.

Sa verge coulisse doucement, à chaque fois plus loin, plus profondément dans le petit trou qu'il remplit.

Elle est serrée, le plaisir de la saillir par derrière en est décuplé.

Il admire le corps accepter le pal raide comme de l'acier qu'il lui fourre dans le cul, les fesses rebondir lorsqu'il vient taper son bas ventre, ses épaules onduler pour résister à la chevauchée sodomite qu'il lui inflige.

Elle crie, à chaque fois qu'il s'enfonce, elle pousse des "haa" , des "hoooo", des "hannn"...

Il passe sa main sur le sexe trempé.

Entre les lèvres largement ouvertes il s'enfonce et la masturbation qu'il lui fait subir est un supplice qui décuple son plaisir d'être sollicité par les deux trous.

"Elle ... haaaaa.... tu l'as... sodomisée aussi ? Hooooo"

Ses questions font grimper son excitation de femme déjà au paroxysme du plaisir. Une source stimulante qu'elle ne connaissait pas sous cette forme.

Il ne cesse de la besogner.

"Non. Pas encore... humpf... "

Ses coups de reins sont forts et puissants.

Le corps de la maitresse de maison se raidit, se cabre, ses chairs intimes se contractent.

Sans cesser leur danse sexuelle et contre-nature, la jouissance déferle sur eux comme une tempête inattendue, soudaine, soulante de plaisirs qui s’entrechoquent.

Elle feule longuement... le visage crispé... les doigts serrés sur le bord du bureau.

Il se tend comme un arc... la bouche ouverte dans un cri rauque... les mains fermement posées sur les fesses de la maitresse de maison.

Entre ses cuisses coule le fleuve de son orgasme.

Lorsqu'il sort son sexe du petit trou, celui-ci reste grand ouvert à expulser par secousses le flot blanchâtre de son foutre épais.

Il s'essuie et elle reste un moment, incapable de bouger.

Lorsqu'elle récupère ses habits et efface les traces de leur coupable activité, elle pose une main sur le sexe encore tendu.

"Tu es vraiment un homme à tout faire d'une grande utilité. Je vais demander à mon mari qu'il t'augmente".

Un bruit de crissements de roues sur les graviers et elle le toise.

"Tiens, le voilà justement. Tu ne devrais pas rester ici, et surtout pas nu." fait-elle avec une œillade.

Robin se rhabille en toute hâte, ouvre la fenêtre pour chasser l'odeur corporelle de leurs ébats, sort un tournevis pour faire semblant de réparer un des volets.

"Au fait... Ce soir, j'espère que ta petite pute ne vient pas te voir car mon mari n'est pas là et mon lit grince...".

Sur ces mots elle passe la porte et sans un regard, disparait dans un couloir.

Il se réajuste, tente de sa concentrer.

Qui des deux, de la mère ou de la fille, est la plus en chaleur ? Il n'en faut pas plus pour que son sexe s'anime de nouveau.

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[…]

Je lèche son ventre tout du long de ma descente au Paradis.

Je faufile mes mains sous le tissu de sa jupe et mes joues frôlent contre ses cuisses.

Elle me sourit, caresse ma joue du bout de ses doigts où brillent les diamants de son alliance, rouge-copie-1.jpgsertis dans l'or étincelant.

J'ai mauvais conscience... mais elle est balayée par mon envie ancestrale de la déguster.

Je souffle sur le sexe offert qu'elle me dévoile.

Ma langue sort, effleure, arpente lentement ses larges lèvres gonflées.

Molles, trempées, je les lèche lentement en me laissant enivrer par son parfum et l'écume qui est venue les mouiller.

Elle ondule à petits mouvements.

Je l'accompagne.

Sa fente se frotte à ma bouche.

Ma langue, plus large, lèche généreusement ce bel abricot.

"Hoooo... hummm oui, ma chatte ! Bouffe-la..."

Je m'empare de tout son sexe, lentement de bas en haut puis de nouveau, lentement et de plus en plus vite.

J'appuie mon muscle sur son intimité.

"Tu es doué ! Houuuu... ouiiiii c'est bon continue ! "

Je fais entrer ma langue, loin, pour laper.

Des petits coups de langues rapides, nerveux qui s'enfoncent dans les chairs intimes.

Ses ongles me griffent le crâne, la nuque.

"Ho oui, soulage moi, j'en peux plus là... avale tout !!"

Elle plaque mon visage, mes mains sur le haut de ses cuisses, j'entre ma langue loin dans son vagin ouvert.

Ma bouche se remplit soudain d'un afflux de sirop... son sirop...

Je la fais jouir.

Mon rêve se réalise.

Elle pousse de lents gémissements et son corps se contracte.

Je me goinfre de son jus et de ses cris de plaisir.

"Lèche bien partout.... hummmm...."

J'aspire les sucs, je lèche la dentelle interne de son sexe dégoulinant.

Elle se frotte contre ma bouche, le bassin en avant, avachie sur le fauteuil, les genoux au dessus de moi, les pieds sur le bord de la table basse.

Je passe ma langue entre les nymphes.

Je bave, incapable de me retenir, je grogne en la dévorant.

Le trop plein de miel coule dans ma bouche comme un nectar.

Sa respiration est forte, son souffle court, saccadé.

Elle pose un pied sur mon épaule.

Je lape avec ferveur.

"Ouiiiii... ouiiii oh c'est bon...."

Son clitoris a doublé de volume.

D'un coup de langue je le force à se dévoiler.

Je le titille à grand coups larges.

Je le saisis entre mes lèvres et je le tire.

Elle se cabre, sa jouissance redouble.

Je suis dur, raide, en feu !

Je pousse sur cette perle sacrée, je la masse avec ma langue, je la fais rouler pour la sentir si onctueuse.

Son clitoris, sucé comme un petit sexe, elle a un soubresaut, un second, sa cyprine sort soudain, plus épicée, plus intense.

Un second orgasme coup sur coup.

Elle râle et c'est tout son corps qui est animé de secousses incontrôlables.

Je maintiens son entrejambe sur ma bouche, mes mains agrippées à ses fesses pour poursuivre mon cunnilingus.

J'avale le suc... lentement...

Elle se calme, s'assagit.

Je me délecte de sa saveur.

Elle repousse mon visage.

Je suis sale.

Du bout du doigt elle caresse ma joue.

Son pied redescend.

"A moi maintenant" dit-elle doucement.

J'ai le menton et les joues trempées...

Je la contemple, sa poitrine libérée, sa jupe retroussée.

Elle se lève et se place à genoux devant moi.

Je m'assois sur la table basse.

Son beau visage tant de fois imaginé à cet endroit, levé vers le mien.

Elle ouvre sa bouche et approche de mon sexe.

Je fais descendre mon boxer, n'y tenant plus.

Ses yeux fixés sur mon sexe tendu qui se libère dans un "haaa" de soulagement.

"Humm elle est belle."

Longue, en arc, fine... une tige gracile qui remonte jusqu'à mon nombril.

"Merci"

Je sais que cette longueur plait aux femmes mais qu'elle me complimente, elle, Elle ! C'est un compliment à nul autre comparable.

"Très belle queue..."

Elle dodeline entre nous.

Sa main frôle ma verge.

Je réprime un gémissement, je me cambre, je me raidis.

"Si douce... toute belle..."

Sa langue pointe vers le bout.

Elle récupère la perle qui suinte de mon méat.

Je soupire, un bruit obscène...

Entre sa langue et mon gland un fil de foutre s'étire lorsqu'elle retire sa langue pour venir avaler ma première goutte.

J'avance ma main pour caresser sa joue.

Elle ouvre sa bouche qui forme un O parfait.

Je remonte une mèche blonde.

Elle se penche et m'engloutit.

Sa langue joue du gland et de ma petite fente.

Elle ouvre grand et me fais entrer dans sa bouche sans toucher les bords de ses joues.

J'ai l'impression de pénétrer un vide moite dont la chaleur m'entoure..

Je laisse s'échapper un "haaaaa...."

Elle souffle sur mon gland avant de se reculer, de laisser ma verge osciller.

"Tu la veux ma bouche ?"

"Ho ouii..."

Elle pose sa main sous mes bourses et entame de délicats mouvements.

"Il va falloir demander..."

Elle caresse mes boules qui roulent sous ses doigts.

"Je veux votre bouche."

Elle glisse sa bouche sous mes couilles et les masse de sa joue.

"Tu sens bon le sexe".

Son nez s'enfonce entre mes bourses pleines.

"Je veux votre langue. Je veux tout..."

Elle pointe sa langue dans les stries de mon paquet pendant.

Elle lèche de bas en haut en remontant vers la hampe mes olives qui roulent et se trouvent massées d'une façon jusqu'alors inconnue.

"Hooo ouii... comme une glace" dis-je, prenant un peu d'assurance.

"Tu sais qu'elle est très belle ta queue... tu veux que je la prenne en bouche alors ?"

"Oh vous êtes si... oui je le veux."

Elle sourit, un sourire énigmatique.

"Alors... demande-le-moi..."

Ma verge dans devant son visage.

"Vous voulez me prendre en bouche ?"

Elle la regarde telle une gourmande, les yeux brillants.

"Non. Pas comme ça..." réplique t’elle.

Je la sens tendue et pourtant résistante.

Elle me fait languir.

"Mieux. Demande le mieux que ça"

J'avale ma salive.

"Vous voulez bien.... me sucer ?"

Un peu plus hardi.

"Hummm c'est déjà mieux. Mais pas suffisant."

Elle pince son téton tout dur et tout tendu.

"Vous voulez bien... me pomper.... l'avaler..."

Elle flatte ma tige du bout des ongles, approche son visage...

"Encore... plus... cru..."

Je déglutis avec peine et l'envie me submerge, la honte disparait en une vague rugissante...

Elle est la femme qui me fait envie, la source de tous mes désirs, de mes fantasmes les plus osés.

"Avale ma queue ! Viens me sucer."

Elle lâche un "Wahooo... j'aime".

Elle ouvre sa bouche et, ses obus tendus vers l'avant, m'embouche d'un seul mouvement de tête.

je pousse un cri.

Elle referme ses lèvres sur mon sexe tendu en grognant.

J'admire ses joues se creuser, ses lèvres se plisser, qui se tirent alors qu'elle me suce fortement, rapidement, avide de tout, gourmande, goulue, comme une folle.

Mes jambes flageolent... je maintiens son visage autant pour la conserver autour de mon sexe que pour m'accrocher à elle.

Elle se retire pour pousser un "humm tu es bon" avant de replonger et me pomper encore.

"Continue... suce... ho oui... suce la... ma queue".

Elle continue, sans s'arrêter, parfois me glissant des "tu aimes ma bouche ?"..." j'aime ta queue..."

Je donne quelques coups de bassins qui font s'enfoncer mon manche dans ses joues, dans sa gorge.

Sa voix est gutturale, "Baise moi la bouche..."

J'obéis et je maintiens ses joues pour me livrer à une pénétration de ses lèvres.

A demi relevé, je donne de grands assauts dans sa bouche offerte.

Sans résistance elle me laisse l'utiliser avec de plus en plus de vigueur.

Je la besogne et elle m'accompagne de coups de langue sur mon gland et de massage de mes couilles.

Je me retire, à bout de souffle.

"Je vais jouir" lui dis-je.

Elle se jette alors sur ma verge.

"Je vais tout avaler" me dit-elle avant de m'emboucher et de tirer sur mon sexe.

Je ne suis pas long à sentir le frémissement annonciateur de la petite mort.

Elle pétrit alors plus légèrement mes bourses.

Sa bouche s'ouvre, mon éperon de chair repose sur sa langue.

Grande ouverte elle reçoit ma première giclée.

Ses yeux se ferment en recevant l'onctueuse décharge.

Elle me masse de la langue.

Je gicle à nouveau.

Sa bouche se referme.

Je me vide dans sa bouche accueillante.

Sa langue et ses sucions sont voraces.

Elle déguste mon sperme et n'en perd pas une goutte.

Sa bouche aspire l'intégralité de mon foutre dans un bruit de délicieux gémissements.

Lorsqu'elle relâche ma verge, je suis assouvi.

Elle passe sa langue sur ses lèvres.

"Très bon gout... J'aime ça."

Je la regarde, admiratif.

"Tu m'as encore donnée chaud mon cochon." Fait-elle en venant s'asseoir sur un de mes genoux.

"Touche... touches comme tu m'excites de nouveau".

J'entre ma main au milieu de ses cuisses.

Son sexe est souillé, trempé.

"Je suis toute mouillée..." fait-elle d'une petite voix.

Mes doigts caressent sa motte aux lèvres ruisselantes.

"Et j'ai... le cul en feu... par ta faute."

Elle saisit ma main et l'entraine jusqu'à son petit orifice.

Sans un mot elle me regarde.

Le doigt posé sur sa rosette, j'ai un instant d'arrêt avant de la masser d'un petit mouvement circulaire.

Elle ferme alors les yeux et se mords la lèvre.

Incrédule, j'excite son anus.

Elle ouvre le compas de ses jambes.

"Et en plus... tu n'es pas à ta première fois de ce côté là... hummm"

Je tourne encore, assouplissant son entrée pour favoriser l'introduction de mon index.

"Non. Pas ton doigt. Ta langue... je veux ta langue."

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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bnb[...]

Sans un mot je fais claquer le premier bouton.

Sa main descend de son sein à sa cuisse.

Je ne peux plus détacher mon regard de cette femme envoutante.

Le tissu fluide laisse apercevoir le haut du bas.

Un liseré... une attache... une vraie paire de bas. Je suis aux anges.

De son pied elle masse toujours mon sexe à travers le tissu du jean.

Il est devenu dur.

Elle se penche vers moi, son pied me quitte.

Proche de mon entrejambe je perds mon regard dans la vallée de ses seins.

Une de ses mains dans ses cuisses a remonté sa jupe.

L'autre se pose sur ma braguette et, sans me quitter du regard, elle défait les autres boutons de mon pantalon.

Je respire vite, fort.

Mon sexe est chaud, agité.

Il déforme mon boxer gris.

Elle se recule, les yeux fixés sur ma bosse.

Puis, brisant le silence après quelques instants à contempler mon pantalon ouvert sur mon dessous déformé, mes bourses qui remplissent le tissu, me lance sèchement :

"Tu sens le sexe".

Je rougis.

"Tu aimes comme je te parle ?"

Je parviens à murmurer un "oui madame", impressionné.

"Tu sais, je sens aussi le sexe..." Sa voix est douce, suave.

Elle se lève et s'approche de moi.

Ses mains sous sa jupe elle se trémousse pour retirer son string en gigotant.

Ma respiration s'accélère encore, mon cœur frappe comme un sonneur dans ma poitrine.

Je ne cherche plus à cacher à quel point mon érection est intense.

Sa culotte tombe au sol entre ses cuisses.

Je découvre le tissu roulé en boule.

Elle glisse un pied puis l'autre en dehors de la dépouille de son string.

L'odeur me parvient, épicée, boisée.

"Tu veux le sentir ?"

Je la sais désormais sans culotte sous sa jupe".

"Hoo. oui..."

"Ramasse alors..."

Je suis surpris. Je m'attendais à ce qu'elle me parle de sa fleur intime...

Néanmoins je me penche, incapable de résister à ce qu'elle exige de moi.

Je prends le string souillé et l'approche de mon visage sans oser croiser son regard qui me brule.

Une couleur un peu blanchâtre en tapisse le fond.

Je sens sous mes doigts la poisse de ses écoulements.

Un mélange de désir, de sécrétions vaginales...

Je le hume."Tu aimes ?"

J'ose la regarder.

"Oui. Ho Oui. Vous sentez si bon."

"Il parait que cette odeur a des vertus sur les sens de l'homme... Cela éveille son côté animal... Ce côté que j'aime."

Je perds pied.

A quelques millimètres du tissu sali je le respire plus fort pour m'imprégner de son intimité.

"Lèche. Lèche-le".

J'ai un moment de recul.

"Lèche. Aspire mon suc".

Je ne l'imaginais pas comme cela, si... dirigeante... si... perverse !

Et l'idée me chavire de plaisir.

J'ouvre ma bouche et sors le bout de ma langue...
Je touche le tissu souillé.

Elle se radoucit.

"Mange moi à travers de bout de chiffon que tu m'as fait salir".

Je passe le bout de ma langue sur sa souillure.

Je lèche... lentement.

Son gout me parvient, puissant.

"Ferme les yeux et mange tout."

Je n'ose à peine croire ce que j'entends et encore moins ce que je fais.

Lentement je le suçote, désormais les yeux clos.

J'aspire, je tète le tissu, j'ai honte mais j'avale sa saveur qui se mêle à ma salive.

Sa main se pose sur mon front et me caresse, m'apaise.

Je tends le tissu entre mes doigts.

Je lape l'onctueuse nappe blanche, ravi intérieurement d'avoir ce plaisir.

Elle se place à genoux devant moi, sa main toujours dans mes cheveux.

"Vous avez très bon goût" lui dis-je en ouvrant mes yeux pour la contempler entre mes cuisses largement ouvertes.

"Meilleur que tout ce que j'ai pu découvrir auparavant".

Elle approche son visage du mien et me souffle à l'oreille en se hissant sur la pointe de ses pieds et de ses genoux :

"Alors mange, aspire, lèche tout et nettoie".

Je frissonne de la savoir si proche, je prends le tissu en bouche et je suce goulument.

Le souffle de sa respiration à mon oreille, dans mon cou...

Je tête son dessous.

Elle se glisse entre mes jambes.

Ses seins sur mes abdominaux.

Je pousse un hoquet en sentant leurs pressions contre moi.

Ses lèvres délicieuses effleurent ma joue.

Je poursuis mes sucions.

Elle s'approche, sa bouche à la commissure de mes lèvres.

"Mange moi la bouche maintenant que tu as bon gout".

C'est si... cru... et osé que je tourne le visage.

Nos lèvres s'effleurent, nos bouches s'ouvrent.

Ma langue sort et s'enroule autour de la sienne.

Un baiser lent, langoureux, passionné.

Ses mains douces ont quitté mon visage pour venir se poser sur mes cuisses.

Elle goute à mes lèvres, mélange de salive et de son odeur intime

Je profite de ce moment hors du temps.

"Hummm" je gémis sans me retenir.

Je m'applique alors à l'embrasser, à dévorer sa bouche, explorer ses dents, chercher sa langue, l'aspirer.

Ses mains quittent mes cuisses après les avoir massées doucement pour ma bosse sous le boxer.

Je pousse un "Hoooommmm"

Elle réplique d'un "C'est bon, tu es bon..."

Le compliment le plus beau de toute mon existence.

Elle masse, appuie sur mes bourses.

Je redouble d'intensité dans ce baiser que je veux éternel.

"Bon et dur..."

Lourdes, mes boules roulent entre ses mains.

Elle alterne avec des caresses appuyées tout au long de la tige à travers le tissu fin de mon boxer.

"Je sens que tu vas me faire beaucoup de bien..."

Je grogne sous ses caresses et relâche sa bouche à regret.

"Tout ce que vous voudrez madame"

Elle sourit.

"Tout ?"

"Je... oui..."

Elle a un large sourire.

Elle se recule, s'assoit et s'enfonce dans le fauteuil.

Quasiment nu, mon boxer en triste état, tâché, détendu, je la regarde lascive et excitante.

"J'ai beaucoup d'idée à ce "tout" tu sais..."

Je rougis jusqu'à ne plus sentir mes oreilles.

"Alors viens me téter un petit peu."

Je me lève, hypnotisé par son ordre.

"Mes seins sont tellement tendus..."

Je m'agenouille à mon tour devant elle comme devant une déesse.

"J'en rêve, de vous téter".

"Vraiment ? Tu es un sacré coquin".

Je pose mes mains de chaque côté de ses jambes.

Elle écarte ses cuisses.

Je m'avance entre elles.

Je peux admirer sa courte toison fine, découvrant ce sexe qui me fait entrer en érection comme jamais auparavant.

"Tu aimes ?" me questionne t’elle.

"Hoo... c'est splendide".

"Elle te fait bander ma chatte ?"

Je garde le silence, surpris par cette attitude chez cette femme que je croyais si BCBG.

"Tu aimes les mots crus mon jeune ami ?"

Je hoche la tête, affirmatif mais timide.

"Moi aussi..."

"Vous ne direz rien alors... à mes parents..." ose-je avancer.

"Dire quoi ? A qui ? Je ne te dirais... que des mots très crus..."

J'effleure ses cuisses du bout des doigts.

L'extérieur... le liseré... puis la peau.

"Viens me téter".

Près, de plus en plus près de sa poitrine cachée.

"Pas un mot à tes copains non plus". Me dit-elle.

J'ouvre ma bouche et la pose, grande ouverte sur le sein recouvert.

"A moins que ... enfin nous verrons plus tard..." finit-elle avant de pousser un petit soupir et de s'agiter.

"Humm oui... tête bien".

J'aspire le tissu, le téton se dévoile sous ma langue.

Je lèche le top. J'aspire.

Je découvre l'absence de soutien-gorge qu'elle a pris soin d'enlever sans que je ne m'en rende compte.

L'odeur de son sexe me vient.

Mes mains saisissent le tissu.

Je le remonte lentement, puis plus vite, presque brouillon.

Il passe par dessus ses épaules puis son visage et ses cheveux qu'elle replace délicatement.

Muet, admiratif de cette poitrine.

Elle a posé une main entre ses cuisses. Je la vois s'agiter sur son intimité.

Je l'observe faire.

Elle remonte son doigt gluant.

Elle le pose à sa bouche et elle le suce en plongeant ses yeux dans les miens.

Je repose ma bouche sur son sein nu... lourd... en poire... profond...

Ma bouche aspire profondément.

L'auréole disparait...

Le téton se tend...

Du bout de la langue je titille la longue tétine.

Goulu, gourmand, je le serre.

Elle gigote... son doigt alterne entre son sexe et sa bouche.

Je libère le premier sein avant de me jeter sur le second.

Lapé... léché... j'en apprécie les aspérités qui ponctuent le mamelon large et sombre ainsi que lé tétine longue et dure.

Je mordille doucement.

"C'est un supplice... si tu continues comme ça je ne vais pas tenir !!"

Elle gémit.

Ses effluves m'enhardissent.

Je le suce alors de façon intense comme j'ai toujours rêvé de la téter.

Entre mes mains je perçois l'onctuosité de sa poitrine, je la palpe tout en la mangeant.

Je ne peux me retenir à grogner de plaisir en profitant de sa paire de seins qu'elle m'offre.

Son bassin effectue de petits mouvements, des soubresauts.

Je plaque ma bouche à son gros pis et, gourmand, je l'avale entier.

"Haaa oui Encore ! Tête moi encore comme ça mon cochon"

Je le tire vers l'intérieur de ma bouche, sa main posée sur ma nuque, mes joues creusent à force de sucer.

Je joue de ma langue pour l'exciter et le titiller, si long, si dur.

Elle avance ses reins et colle son sexe au plus près de mon corps.

Je l'aspire, il s'étire.

Je sens le corps mur qui me frôle.

Mon sexe au-dessus de l'assise effleure ses poils pubiens.

Ses jambes ouvertes, je suis dans un rêve, un fantasme.

Elle appuie fort sur ma nuque et je tête avec une envie renouvelée.

Dans mon boxer ma verge est douloureuse, à l'étroit.

Je me laisse plaquer contre son sein... elle gémit... je le mange...

De ces deux mains elle me force à descendre.

Je résiste mais si peu, avant de me laisser diriger vers son sexe.

"Bouffe moi la chatte maintenant... bouffe moi... "

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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