Il devait faire au plus vite pour répondre à la demande de la propriétaire aussi courait-il presque dans les allées de la propriété.
Coralie lui avait dit, mais un peu tard, que sa mère voulait le voir en toute urgence.
C’était il y a une demi-heure… après qu’ils aient passé du bon temps ensemble. Son parfum était encore accroché à ses narines. Envoutante…comme sa mère.
20 ans séparaient les 2 femmes. Un peu plus de 20 ans… Un peu plus de 40… et toutes les deux aussi belles l’une que l’autre.
Lui, l’homme à tout faire de la maison, à la fois jardinier, réparateur et concierge, depuis quelque temps il était aussi l’amant de la fille… et cela sans que sa patronne n’en soit au courant. "Heureusement" pensait-il lorsque cela lui traversait l'esprit.
L’inverse n’était pas vrai. Coralie l’avait vu avec sa mère et savait qu’il répondait aux avances de celle-ci.
La situation était complexe pour lui mais pour le moment il avait du travail.
Et le premier point de celui-ci, c’est de répondre à la demande de son employeur.
La porte du bureau du mari est ouverte, à l’étage, et il l’entends parler. Sa voix féminine au téléphone, comme un air de harpe, lui échauffe l’esprit.
Il grimpe les marches 4 à 4 et s’immobilise pour frapper à la porte.
Elle raccroche, lui fait signe d’entrer.
Le bureau du maitre de maison est une salle aux murs recouverts de livres au centre de laquelle trône un bureau en acajou, deux larges fauteuils club en cuir rouges.
"Et bien ? Cela fait 20 mn que j'attends !" Crache la femme, la main encore posée sur le combiné.
Il se confond en excuse.
Elle se rapproche.
"20 minutes que mon mari est parti."
Sa voix, devient plus douce, plus suave.
Il observe son corps se balancer en venant vers lui comme elle avance vers lui avec la démarche chaloupée et sensuelle d’une femme désirable.
Les hanches bien dessinées dans un ensemble tailleur rouge carmin, ses talons claquent au sol à chaque pas.
« Un temps précieux… où il n’est pas là et où je fonds de t’attendre ».
La veste qu’elle porte se croise sur sa poitrine de belle proportion, rehaussée par la ceinture qui enserre sa taille.
Elle est si proche de lui qu’il sent son souffle lorsqu’elle parle, qu’il peut humer son parfum et être effleuré par une mèche de cheveux.
Sa bouche aux lèvres roses est un ballet hypnotique…
« 20 minutes pendant lesquelles je n’ai cessé d’avoir envie d’être prise ».
Elle pose sa main fine sur le tee-shirt de Robin qu’elle attire en avant vers elle alors qu’elle recule jusqu’au bureau sur lequel elle appuie son séant.
« 20 minutes… de perdues » lui murmure t elle en embrassant son cou et en faisant glisser ses mains jusqu’à la ceinture qu’elle détache avec dextérité.
Il pose ses mains sur les genoux, il sait pourquoi elle l’a fait venir et cette femme, son odeur, sa voix, son corps qu’il devine, l’attirent irrésistiblement. Elle a envie de sexe. Et il sent aussitôt dans son pantalon, durcir son vit.
« Tu étais occupé ? Avec ta petite pute ? » lui demande-t-elle. Sa main entre dans le pantalon, un léger sourire sur ses lèvres.
Elle lui masse la verge avec la paume de sa main, les doigts agrippent les boules qu’elle palpe.
« Cela vous plairait de savoir si c’était avec elle, n’est-ce pas ? » lui répond-il en dénouant la ceinture et en ouvrant les pans de la veste sans se départir d’une réplique qu’il veut cinglante.
Nue sous le tissu ses gros seins apparaissent, blancs, doux.
Elle bombe la poitrine pour lui offrir.
Il pose sa main sur chacune des mamelles attirantes et les pétris au même rythme qu’elle malaxe sa verge et ses bourses.
Elle pousse un léger gémissement.
« Oui. J’aimerais bien… et savoir que tu la quittes en vitesse pour venir me baiser m’affole encore plus… »
Il caresse les mamelons larges, attarde ses doigts sur les aspérités avant de taquiner les longs tétons tendus.
Sa voix féminine trahit une impatience que son vocabulaire cru ne fait que confirmer.
« J’étais avec elle… Et elle était très entreprenante. »
Devant lui, les yeux de la femme, plus agée, roulent, son sourire s’élargit, ses mains forcent le pantalon du jardinier à s’affaler sur le parquet ciré. Elle semble apprécier au plus haut point cette révélation.
La veste repose en tas sur la table et l’homme fait descendre ses mains sur les hanches… sur les cuisses… sur les genoux qu’il caresse avant de faire remonter lentement le tissu de la jupe.
« Je la connais ? » le questionne t elle dans un soupir alors qu’elle fait glisser le boxer pour en dévoiler le large sexe bandé, dressé vers le ciel.
Il a un moment d’hésitation.
Dans l’impossibilité de lui révéler qui est sa « conquête ». Si la mère venait à apprendre qu’il se tapait sa fille, il serait renvoyé sur le champ.
« Je ne pense pas… » se hasarde t-il.
Elle griffe son ventre et ses cuisses… « Menteur ! » lui lance t-elle.
« Tu ne veux rien me dire… je la connais alors. Ho, coquin, si ça se trouve c’est une fille d’un de nos amis. Tu sais que… cela m’émoustille énormément ».
Elle a saisit le sexe de Robin qu’elle masturbe avec une aisance digne d’une professionnelle. Ses yeux plantés dans les siens, elle l’observe, grogner de plaisir, sa pomme d’Adam oscille dans son cou de mâle musclé.
Il fait remonter le tissu de la jupe et sa peau apparait.
Elle ouvre ses jambes pour lui laisser voir sa fente ourlée d’une mince bande de poils bruns et courts.
Ses mains fortes la soulèvent et la font s’asseoir sur le bureau du mari.
« Humm… sur son bureau… dans son antre… viens, fourre-moi » lui ordonne t elle en caressant son torse musclé.
Il relève une des jambes de la femme qu’il a en face de lui, s’avance entre ses cuisses et enfonce son sexe sans préambule dans le puits intime de sa patronne.
Elle pousse un petit cri alors qu’il vient de la forcer.
Une main posée en arrière sur le bois du bureau, elle exhibe sa poitrine.
Il penche son visage pour venir happer un téton.
Il la tête en faisant entrer plus loin son vit dans le con trempé de son ainée.
« Hooo… Elle a des seins aussi beaux ? »
Il relâche son emprise, le mamelon semble osciller, couvert de salive, rouge de la succion.
« Non… moins gros… mais jolis également »
Il se penche à nouveau pour venir aspirer le second sein.
Elle ondule sous la poussée qu’il lui fait subir.
Lente et régulière il fait aller et venir son sexe en elle de façon rythmée.
Elle repousse son visage.
« Elle a un plus petit cul que le mien… c’est ce qui te plait ? »
Il lui sourit. A l’évocation de celui de Coralie son érection se fait encore plus forte, plus dure.
« Salaud… » elle n’a pas le temps de finir sa phrase qu’il la saisit par les hanches, la tourne et la force à se mettre à plat ventre sur le bureau.
Sa poitrine sur la veste en bouchon, les coudes sur le bois précieux.
« J’aime votre gros cul » fait-il en relevant la jupe jusqu’à sa taille, dévoilant les fesses blanches qui tranchent avec les tons sombres de la pièce.
Il ose une nouvelle fois aller dans son sens, très osé.
Il l’entend roucouler et elle cambre sa croupe en guise de réponse.
« Alors baise-le. Je suis en feu. Prends moi... prends mon cul... » fait-elle en le dandinant devant lui.
Il enfourne son sexe vigoureux dans la motte trempée.
Elle geint.
Il pose ses mains sur les fesses rondes et les écarte afin de faire couler sur la rosette un mince filet de salive.
Elle s'accroche, se tend alors qu'un doigt vient assouplir son petit orifice.
Du bout de l'index il sent la résistance faiblir, l'entrée palpiter puis accepter l'intrusion du doigt.
"Oui ! Baise mon gros cul !"
Sa verge dans le sexe de sa patronne il entame un assaut plus rapide.
Elle est secouée d'avant en arrière.
Les pointes de ses seins frottent sur le bois et le tissu, elle se tortille et coule de plus en plus.
Il se retire, la faisant pousser un soupir d'insatisfaction.
Son visage tourné vers lui, elle l'observe, nu, fier derrière elle. Il est celui que n'est pas, que n'est plus son mari s'il l'a jamais été.
Son sexe au large gland lui apparait, une révélation à chaque fois. Une envie qui la torture chaque nuit, chaque fois qu'elle le voit.
Elle ferme les yeux, baisse le visage, dans l'attente de la percée.
« Prends-le… Encule-moi. »
Il crache dans la raie écartée puis s’attarde sur l’anus plissé et palpitant.
Il se hisse sur la pointe des pieds et glisse son pal entre les rondeurs.
Elle cesse de respirer alors que la grosseur dilate ses chairs interdites, force son puits sombre.
Lorsqu'elle ouvre les yeux, quelques instants plus tard, ils sont toujours immobiles, le bout d’un sexe large écartant ses muqueuses anales.
Devant elle le fauteuil où son mari s'assoit, sur le côté droit son sous-main en croute de cuir sur lequel repose son stylo plume, sur le côté gauche un livre à la reliure craquelée... et derrière elle Robin, l'homme à tout faire, son amant, qui la sodomise au milieu de l'univers de son époux.
Elle pousse un râle alors qu'elle s'enfonce elle-même autour du pieu de chair, l'envie chevillée au corps.
Il la maintient par les hanches et accentue sa prise.
Sa verge coulisse doucement, à chaque fois plus loin, plus profondément dans le petit trou qu'il remplit.
Elle est serrée, le plaisir de la saillir par derrière en est décuplé.
Il admire le corps accepter le pal raide comme de l'acier qu'il lui fourre dans le cul, les fesses rebondir lorsqu'il vient taper son bas ventre, ses épaules onduler pour résister à la chevauchée sodomite qu'il lui inflige.
Elle crie, à chaque fois qu'il s'enfonce, elle pousse des "haa" , des "hoooo", des "hannn"...
Il passe sa main sur le sexe trempé.
Entre les lèvres largement ouvertes il s'enfonce et la masturbation qu'il lui fait subir est un supplice qui décuple son plaisir d'être sollicité par les deux trous.
"Elle ... haaaaa.... tu l'as... sodomisée aussi ? Hooooo"
Ses questions font grimper son excitation de femme déjà au paroxysme du plaisir. Une source stimulante qu'elle ne connaissait pas sous cette forme.
Il ne cesse de la besogner.
"Non. Pas encore... humpf... "
Ses coups de reins sont forts et puissants.
Le corps de la maitresse de maison se raidit, se cabre, ses chairs intimes se contractent.
Sans cesser leur danse sexuelle et contre-nature, la jouissance déferle sur eux comme une tempête inattendue, soudaine, soulante de plaisirs qui s’entrechoquent.
Elle feule longuement... le visage crispé... les doigts serrés sur le bord du bureau.
Il se tend comme un arc... la bouche ouverte dans un cri rauque... les mains fermement posées sur les fesses de la maitresse de maison.
Entre ses cuisses coule le fleuve de son orgasme.
Lorsqu'il sort son sexe du petit trou, celui-ci reste grand ouvert à expulser par secousses le flot blanchâtre de son foutre épais.
Il s'essuie et elle reste un moment, incapable de bouger.
Lorsqu'elle récupère ses habits et efface les traces de leur coupable activité, elle pose une main sur le sexe encore tendu.
"Tu es vraiment un homme à tout faire d'une grande utilité. Je vais demander à mon mari qu'il t'augmente".
Un bruit de crissements de roues sur les graviers et elle le toise.
"Tiens, le voilà justement. Tu ne devrais pas rester ici, et surtout pas nu." fait-elle avec une œillade.
Robin se rhabille en toute hâte, ouvre la fenêtre pour chasser l'odeur corporelle de leurs ébats, sort un tournevis pour faire semblant de réparer un des volets.
"Au fait... Ce soir, j'espère que ta petite pute ne vient pas te voir car mon mari n'est pas là et mon lit grince...".
Sur ces mots elle passe la porte et sans un regard, disparait dans un couloir.
Il se réajuste, tente de sa concentrer.
Qui des deux, de la mère ou de la fille, est la plus en chaleur ? Il n'en faut pas plus pour que son sexe s'anime de nouveau.
A suivre...