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Son visage proche du mien, elle murmure… donnant le thème à notre rencontre.
 
- Mon immeuble est presque inhabité en ce moment…Je pourrais me retrouver entre les mains d’un homme qui pourrait abuser de moi sans que je ne puisse espérer de l’aide…
 
Je maintiens ma caresse sur sa nuque que je sens frissonner alors que son bassin se frotte au mien.
 
Face à moi, colée au mur, elle a dénouée ses cheveux blonds.
 
D’une petite voix timide elle poursuit.
 
- Un homme très… cochon… qui se livrerait aux pires outrages avec moi… qui suis si sage… si prude… Il pourrait m’obliger à faire des choses immorales… obscènes… très osées...
 
Nos langues s’enroulent, je profite de ce baiser donné avant qu’elle ne s’éloigne un peu de moi et relâche son étreinte lentement.
 
- En plus… je n’ai jamais été observé… par une « Maitresse ».Et je trouve ça très excitant.
 
Achève-t-elle de dire en prenant la direction de la salle de vie.
 
Je la regarde balancer son petit postérieur dans son jean serré, sa poitrine moulée dans son pull de laine blanche qui m’attire. Elle reprend sa voix normale, signe que le jeu est entamé.
 
- Je vous remercie de m’avoir raccompagné jusque chez moi.
 
Je la rattrape et pose ma main sur ses fesses.
 
- Mais enfin… arrêtez ! Fait-elle d’un ton offusqué.
 
J’affermis ma prise, le tissu me permettant une poigne franche sur l’une de ses rondeurs que j’évalue à un petit 38. Elle a ce bassin qu’ont les femmes n’ayant pas eu d’enfants.
 
Elle tente de se dégager.
 
Je pose ma main sur son épaule pour la retenir.
 
- Arrêtez s’il vous plait !
 
- Silence !
 
Ma voix se fait cassante, dure. Je la sens se raidir et un petit sourire naitre sur son visage fin.
 
Elle me fait face, à moins d’un mètre.
 
D’un geste vif je suis sur elle. Elle sursaute.
 
Ma main gauche vient se glisser entre ses cuisses alors que la droite la cueille par la taille.
 
Elle se cambre en feignant de vouloir s’esquiver.
 
J’appuie la pression de ma main sur son entrejambe.
 
Elle pousse un cri.
 
Ma main vient se poser sur sa bouche.
 
- Non ! Humpf… Pitié ! parvient –elle à gémir.
 
Je dégrafe les boutons pression de son pantalon et je le tire vers le bas.
 
Elle se débat et parvient à se dégager en tombant assise par terre.
 
- Ne vous jetez pas sur moi… implore t’elle, malicieuse.
 
J’obéis à cet ordre larvé et je me retrouve bientôt au-dessus d’elle, à même le sol.
 
Son jean est serré et elle m’aide à la faire glisser sur ses chevilles, en mimant de faux mouvements de lutte.
 
Lorsque mes doigts se posent sur le tissu de sa petite culotte, c’est un coton trempé que je caresse.
 
- S’il vous plait… pas ça. J’ai un petit ami… N'abusez pas de moi... je vous en prie.
 
Je m’insère sous l’élastique de son dessous et j’y glisse ma main.
 
Son sexe est entièrement rasé, lisse… et ruisselant.
 
Elle resserre les cuisses, mes doigts fouillent son antre intime. Elle pousse un gémissement alors que j'entre en elle et que je titille fermement son clitoris.
 
Il est gros et gorgé d’envie. Son puits est littéralement inondé.
 
Je déboutonne à mon tour mon pantalon.
 
- Non… non… ne me violez pas.
 
Ma verge enfin libérée, mon gland s’appuie bientôt sur sa fente.
 
Elle serre les jambes.
 
Je me redresse et, usant de mes pieds puis de mes genoux, j’ouvre le compas de ses cuisses pour venir placer mon sexe sur le sien.
 
Elle sursaute à ce geste significatif.
 
Elle se retrouve offerte en l’espace d’un instant.
 
D’un coup de reins j’enfonce mon pieu en elle.
 
Je la sais trempée et mon intrusion ne va pas lui faire mal.
 
Elle retient sa respiration, son visage forme une grimace.
 
Je recule et entre plus loin en elle.
 
- Han ! Non ! Vous me faites mal ! Arrêtez ou je crie.
 
Négligeant son appel je la fourre par deux ou trois coups de reins avant de lui placer ma main sur la bouche. Ma voix est lourde de sens.
 
- Tu crois que tu peux jouer les allumeuses et t’en tirer comme ça ?
 
Elle roule des yeux et je distingue un nouveau sourire de plaisir. Je joue son jeu et elle apprécie. Elle ondule sous mes mouvements.
 
- Je vais te baiser autant que je veux.
 
Ponctuant cette dernière phrase d’un assaut, elle gémit en accueillant mon sexe en elle une nouvelle fois, profondément.
 
Maintenue au silence je la force sans relever ma main de sa bouche. Elle respire par le nez à fortes inspirations, gémissant dans ma paume tout au long de la saillie rude que je lui impose.
 
Je ponctue mes vas et vient de quelques « tiens ! » « prends-ça ! » « tu es bonne… » qui la ravissent. J’exauce son vœu d’être prise par le méchant loup.
 
De longues minutes je la possède et je la vois se tendre, se cabrer et jouir sous mes coups de butoir.
 
Je libère sa bouche.
 
Elle halète.
 
- Vous êtes… un sauvage… sortez de chez moi…Parvient-elle à articuler.
 
Je lui prends le bras et je la soulève.
 
- Qu’allez-vous me faire… Partez ! Vous avez eu ce que vous vouliez !
 
- Je partirais lorsque j’aurais eu tout ce que je veux. Avant cela tu vas être obéissante.
 
Je la force à venir se placer à genoux dans la pièce de vie.
 
Ses chaussettes blanches semblent incongrues. Encore vêtue de son pull mais les fesses nues, elle a les jambes ouvertes. Son sexe parfaitement glabre montre les signes de mes percées. Ses lèvres sont rouges, écartées.
 
Un bruit nous fait nous retourner.
 
Une lampe s’allume et nous illumine.
 
Dans l’ombre un bruit de chaise.
 
Apparait de l’obscurité le bout d’un escarpin.
 
Miss Kathleen nous observe, silencieuse, sans être visible, mais manifestant sa présence.
 
Je repose mon regard vers l’ouvreuse. Elle me sourit avant de reprendre son rôle de composition.
 
Ses yeux se fixent sur ma verge qu’elle semble découvrir.
 
- Ho… elle est… large.
 
- Et tu vas la sucer.
 
- Non ! C’est sale !
 
- Ta, c'est de ta faute, mais tu vas la lécher d’abord.
 
Je force son visage à se rapprocher de mon sexe enduit de son orgasme.
 
Elle maintient sa bouche fermée.
 
Je passe mon membre sur ses lèvres, sur ses joues.
 
Elle tente de détourner la tête.
 
Je la gifle de mon manche poisseux.
 
Une fois, deux fois… Ma verge claque contre ses joues.
 
- Lèche ma queue. Comme une glace.
 
Timidement sa bouche s’entrouvre et le bout de sa langue apparait puis vient se poser sur la veine.
 
Elle fait remonter son muscle sur ma tige, de plus en plus large, de plus en plus gourmande.
 
- C’est bon, tu aimes.
 
- C’est dégoutant…
 
- C’est le gout de ta mouille de jouissance.
 
Sa langue passe de bas en haut, s’attarde autour de mon gland.
 
- Maintenant suce-moi.
 
- Non. S’il vous plait.
 
Elle lèche avec application.
 
- Je n’ai jamais… fait de fellation. C’est répugnant.
 
- Tu vas apprendre. Et tu vas aimer.
 
Elle ferme de nouveau sa bouche et commence à masturber ma verge de bas en haut.
 
- Et si je vous… caresse à la place ? Vous ne me forcerez pas ?
 
- Que veux-tu me faire ?
 
Elle prend un air gêné en continuant de faire osciller mon vit, et m’astiquant régulièrement. Ses doigts enserrés autour de mon manche dur et chaud.
 
- Vous… caresser.
 
- Tu ne me caresses pas là… que fais-tu ?
 
- Je… je… vous masturbe…
 
- Tu aimes mieux ça.
 
- Oui.
 
- Tu es une bonne branleuse ?
 
- Je ne sais pas…
 
- Continue on va voir.
 
Elle ne se fait pas prier pour me pratiquer, à une main, une masturbation lente et qui me fait monter lentement les échelons du plaisir.
 
Parfois elle s’aide de ses deux mains pour me presser, me masser jusqu’aux bourses.
 
D’autres fois elle irrite mon méat tout en malaxant mes boules ou en faisant coulisser mon pieu entre ses doigts fins.
 
- Tu es habile. Tu branles bien.
 
Elle ne répond rien, attentive, ses yeux navigant de ma verge dressée à mes yeux, en donnant quelques coups d’œil au bout de chaussure visible qui signale l’existence de ma Maitresse.
 
- Tu es une bonne branleuse. Dis-le.
 
- Je… je suis une bonne branleuse.
 
- Une bonne masturbatrice de bites, car tu aimes ça.
 
Elle hésite, les joues roses.
 
- Ne me forcez pas à dire des choses comme ça… c’est pas bien. Je ne suis pas comme ça.
 
Je tire ses cheveux en arrière légèrement.
 
Mon regard se plonge dans le sien.
- Mais si tu vas voir, tu vas être "comme ça".
 
Elle se lance, émoustillée.
 
- J’aime avoir… une… bite à branler.
 
- C’est bien, maintenant taille-moi une pipe.
 
- Ho non… pitié.
 
Je force mon gland à faire pression sur ses lèvres.
 
- C’est sale et elle est trop gross... hummpf….
 
Elle ouvre sa bouche pour parler et j’en profite pour m’introduire entre ses lèvres.
 
Sa petite bouche parait s’étirer alors qu’elle fait progresser ma verge de plus en plus loin.
 
Consciencieuse, elle suce avec une expertise que son discours ne laisse pas suggérer.
 
La pression de ses lèvres et de sa langue me réjouissent. Elle sait œuvrer et la turlutte qu’elle me pratique me pousse à gémir.
 
- Hum… tu pompes comme une vraie pro.
 
Elle s’enorgueillit du compliment et accélère ses succions.
 
- Je vais me vider dans ta bouche et tu vas tout avaler.
 
Elle libère ma verge d’entre ses lèvres, un filet de salive lie mon gland à sa langue.
 
- S’il vous plait… non… pas ça…
 
Sa bouche est meurtrie d’avoir embouchée et sucée longuement, ses lèvres sont un peu plus roses que la normale.
 
Saisit à deux mains, son visage me parait si délicat et si doux.
 
- Ouvre la bouche.
 
Elle obéit, mes pouces viennent la maintenir ouverte tel un mors.. Elle gémit faiblement.
 
- Branle-moi.
 
Sa main vient s’emparer de mon sexe et elle l’agite. Un geste rapide, efficace, expert.
 
- Oui c’est bon… ouvre bien grand.
 
Je sens l’orgasme monter, venir, sensation intense qui me parcourt derrière les cuisses, le long de l’échine, jusqu’en haut de la nuque.
 
Les jets viennent la frapper, longs, blanchâtres, gluants.
 
Sa joue gauche, son menton, sa bouche… mon foutre la salit jusqu’à tâcher son pull.
 
Elle maintient ma verge vers elle et accepte mon sirop à venir lui couler dans la gorge.
 
Elle me regarde en déglutissant.
 
- Tu aimes ?
 
- Non… Enfin... je ne sais pas…
 
 
De l’ombre provient la voix calme de Miss Kathleen. Elle tranche l'atmosphère d'une coupe sensuelle.
 
- Elle préfère peut-être une autre sorte de jus.
 
 
A suivre…
Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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Un appel téléphonique avait suffit pour qu’elle me donne rendez-vous à la fin de son service, devant le cinéma.
 
La nuit est déjà avancée et les derniers clients sont sortis pour regagner leurs véhicules ou prendre un dernier verre.
 
Elle sort. Malgré sa tenue qui n’est plus celle de l’ouvreuse de salle, je la reconnais aisément.
Ses cheveux blonds maintenus par un bandeau de tissu, ses yeux qui s'illuminent lorsqu'elle m'aperçoit.
Son accent est chantant.
- Je ne pensais pas que tu allais me contacter si vite. Et j'en suis ravie.
Elle porte un pull de laine blanche pour se protéger de la fraicheur de la nuit, un jean serré qui suggère les formes fines aux courbes sensuelles de ses jambes.
- Comment aurais-je pu faire attendre une si belle femme.
Elle rit, un petit rire joyeux et non feint.
- Tu m'offres un thé ?
Nous nous dirigeons vers un pub encore ouvert ou la chaleur et le ronronnement ambiant des clients nous isolent dans le nombre.
- Je vois que tu t'es changé. Me dit-elle en soufflant sur son mug.
- Je n'allais pas venir avec mon pantalon tâché.
- Evidemment. Et... tu peux me dire comment il est arrivé dans cet état là ?
Je jette un oeil aux alentours. Même si personne ne sait de quoi nous parlons et malgré le bruit qui empèche la table d'à côté de saisir le moindre mot de notre échange, je me sens un peu géné.
Elle me relance et me supplie de lui expliquer.
Après une seconde d'hésitation je me jette à l'eau.
- C'est à cause d'une femme...
Elle me regarde par-dessus la tasse fumante pour m'inviter à poursuivre.
- Nous avons... utilisé la salle de cinéma. Et le résultat de nos ébats fut la tâche qui ornait mon pantalon et que tu as pu voir.
Elle a un large sourire.
- Et elle ?
- Elle était en jupe.
Elle se penche vers moi par dessus la table et nous ressemblons à deux conspirateurs.
- Et que lui as tu fait toi ?
J'hésite. Elle incline doucement son visage ovale, passe un doigt sur ses lèvres pleines et roses pour essuyer une goutte de thé. Sa voix est à la limite de l'audible, douce, inquisitrice.
- Disons que j'ai beaucoup utilisé ma bouche et que je n'ai pas vu le film.
Elle part à nouveau d'un petit rire.
- Quelle chanceuse. Je suis sur qu'elle a du y prendre énormément de plaisir.
A mon tour j'ose une question.
- Pourquoi m'as-tu inscrit ton numéro sur mon ticket ?
Elle se cale dans le fond de sa chaise et me regarde quelques instants avant de revenir vers moi.
De sa main droite elle joue avec sa tasse. De la gauche elle réajuste une mèche dorée sous le tissu de son bandeau. Un peu génée elle ne se démonte pas pour autant.
- A cause de ton pantalon. On y voyait nettement ce que tu avais fait dans la salle et tu avais encore... une... belle animation nettement visible.
- Tu chasses les hommes de cette façon ?
Elle ne répond rien et ses yeux semblent vouloir me transpercer alors que ma question la surprend par sa franchise.
Après quelques instants de mutuelle observation elle se reprend.
- Cette femme. C'est ton amie ?
Dans mon esprit tout se bouscule. Elle ne répond pas. Elle m'entraine sur un autre terrain. "Cette femme"... je revois immédiatement le regard de Miss Kathleen... alors mais je lui avoue sans l'ombre d'une hésitation.
- C'est ma Maitresse.
- Hoo... Une maitresse ? C'est à dire ?
- J'en suis le "servant".
Elle est surprise mais je crois distinguer une lueur de curiosité.
Alors que je croyais qu'en lui avouant la vérité elle allait me laisser en plan, bien au contraire la voilà curieuse et interressée.
- Elle sait que tu es là ? Avec moi ?
Je glisse ma main sur la poche de ma chemise et en fait sortir mon téléphone délicatement.
En lettres vertes et larges un "CALL" lumineux en majuscules montrent que nous sommes entendus.
Elle rougit pour la première fois. Ses joues se pârent de la plus belle des couleurs.
- C'est aussi grâce à Elle que j'ai eu le droit de venir te retrouver.
Elle boit une gorgée de thé, lentement.
J'en profite pour admirer les formes de sa poitrine que le pull ne cherche pas à masquer ni à dévoiler.
Lorsqu'elle repose le mug, vide, elle se mord la lèvre inférieure. Elle s'approche de moi.
- C'est la première fois que je rencontre un homme soumis. J'avoue que je trouve cela très... intéressant.
Du bout des doigts j'effleure le dos de sa main. Douce, chaude. Ses yeux bleus plantés dans les miens.
- Elle t'a autorisé à faire... ce que tu veux ?
- A condition qu'elle entende.
- Peut-être même qu'elle nous voit ?
- Je ne sais pas. Peut-être.
Elle se laisse caresser les mains. Son regard ne me quitte plus.
- Tu me raccompagne chez moi ? La nuit, j'ai un peu peur de faire de mauvaises rencontres.
La dernière partie de phrase est d'un d'un ton sensuel. Je sens en moi croitre une envie d'être cette mauvaise rencontre.
Nous faisons chemin commun, son bras autour de ma taille, le mien sur ses épaules.
Légèrement plus petite que moi, je la trouve soudain menue et fragile.
- C'est gentil de me ramener.
- C'est normal.
Un peu perplexe je suis persuadé que la connaissance de ma maitresse irlandaise, l'a fait fuir. C'est alors qu'elle revient à la charge.
- La petite ouvreuse que je suis pourrait croiser le chemin d'un méchant loup.
Je ne dis rien, un instant surpris.
- Un méchant loup qui pourrait abuser de moi...
- Ce serait horrible.
- Oui. Il pourrait me faire des choses... Me forcer à faire des choses...
Je laisse glisser ma main le long de son dos.
Elle se rapproche de moi et sa main se glisse dans mon pantalon.
- Peut-être même qu'il pourrait être déguisé en gentil chevalier et en fait nourrir l'idée de... me violer.
Ma paume passe sur ses fesses. Je les presse doucement.
Loin de s'éloigner de moi ses doigts jouent avec l'élastique de mon boxer.
- Et peut-être même qu'il chasse en couple... ce serait effrayant.
Nos regards se croisent et elle me fait un large sourire.
- Nous sommes arrivés.
Au pied de son immeuble, elle s'immobilise puis se penche sur ma poche pour énoncer son adresse.
Ma Maitresse sait maintenant où nous sommes.
- Tu me raccompagnes jusque chez moi ? Ou tu me laisses à la merci de n'importe qui ?
Je pousse la poignée de son immeuble et nous gravissons les étages. Dans mon boxer ma verge se tend de plus en plus.
Elle ouvre sa porte et, au moment de la refermer, empèche le penne d'aller en bout de course.
La porte d'entrée reste ouverte. Quasi invisible.
Elle me regarde d'un air entendu. Ses yeux brillent d'un éclat que je reconnais entre mille : celui du désir sexuel.
- Te voilà à l'abri du grand méchant loup. Lui dis-je gentiment.
Elle minaude en déposant son petit sac sur une tablette murale.
- Il pourrait se cacher sous bien des déguisements et je pourrais me retrouver livrée en pâture a ses plus bas instincts.
Je m'approche d'elle.
Sa poitrine se soulève alors qu'elle me fait face.
Du bout des doigts je caresse son cou.
- Voyons monsieur... je ne suis pas comme cela... Fait-elle en mimant un geste de recul.
Je masse doucement sa nuque, affermissant ma prise sur elle.
Elle se retrouve dos au mur.
- Vous n'allez pas me faire de mal ?
C'est une petite voix qu'elle dissimule mal derrière un sourire, et un corps qu'elle cambre, ses épaules contre la tapisserie et son bassin en avant.
- Vous allez... me violer ?
Elle passe une de ses mains sur son bas ventre, a mi chemin entre la protection et la caresse.
Je me raproche d'elle, envouté par ce jeu qu'elle donne à notre rencontre.
- Ho... pitié...
Elle ferme les yeux alors que je dépose un baiser sur sa bouche.
La pointe de sa langue sort et rencontre la mienne.
Nos lèvres se soudent, nos muscles s'enroulent.
Je découvre la fraicheur de son baiser au gout de menthe.
Mes mains sur ses hanches je l'attire vers moi.
Elle se frotte à mon entrejambe qui durcit de plus en plus.
Je relâche sa bouche pour venir embrasser son cou gracieux.
- Humm... non... ne me forcez pas... à faire des choses... sales...
Ses mains caressent mon dos, glissées sous ma chemise.
 
Dans un très léger couinement la porte d'entrée vient de s'ouvrir.
Nous échangeons un regard complice.
Elle se saisit du téléphone et l'éteint avant de me murmurer :
"Je ne me suis jamais faite violer par un couple... Et je suis si timide... hummm".
 
A suivre...
 
Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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[...]b&wperle2

Encore haletante, elle se sent aidée, manipulée, pour descendre du lit.

Comme dans un état second, son orgasme à peine achevé, elle se retrouve à quatre pattes sur une petite table.

Elle reprend son souffle, avale avec difficulté sa salive et ouvre les yeux.

Son ventre repose sur le bois de sa table basse.

Elle se voit dans la psyché, cette grande glace qu'elle a dans sa chambre.

Cette glace que son mari n'utilise jamais.

Aujourd'hui le reflet ne lui renvoie pas l'image d'un tailleur chic qu'elle aurait pu mettre, non, aujourd'hui elle se regarde et se découvre, transpirante d'avoir éprouvé un plaisir intense, échevelée, sa lourde poitrine ballottant dans le vide.

Et, derrière elle, Robin, son employé, le concierge, le jardinier... son étalon... debout.

Son sexe est dressé comme un mât vers le ciel.

D'une main il flatte la croupe qu'elle tend aussitôt en sentant ses doigts la caresser.

Le lit est défait comme si une tempête était passée dans la pièce.

Elle veut dire un mot mais sa gorge est sèche.

Les doigts de l'homme effleurent son intimité douloureuse de plaisirs.

Il s'enfonce délicatement entre les lèvres rougies, molles et sensibles.

L'index la parcourt, elle gémit.

Elle ondule sous la caresse intime.

Il introduit un second doigt et elle sourit, ronronnant à la délicatesse qu'il lui pratique, le désir, le plaisir de nouveau en elle.

Robin s'attarde sur le clitoris gonflé et le fait osciller en tout sens avec lenteur.

Elle tend le bras en arrière pour sentir la puissance de ses cuisses, la musculature de ses fesses.

D'un mouvement coulé il appuie son gland rond sur le con trempé.

- Oui. Viens en moi. Lui ordonne t-elle dans un soupir.

Il entre doucement dans l'antre féminin.

Le fourreau est lubrifié, le glaive y coulisse sans effort.

Son sexe est en fusion, bien qu'encore sensibilisé par les saillies précédentes, il s'ouvre pour accueillir l'homme qui recule pour avancer en elle à force de lents va-et-vient.

Il caresse son dos et ses mouvements de bassin sont plus profonds, plus rapides.

Les gémissements de sa patronne l'enhardissent.

Il se saisit des deux mains de cette femme et les maintient sur ses cuisses.

Littéralement maintenue en levrette uniquement par son ventre posé sur la table, fortement cambrée, elle pousse un cri à chaque fois que son pieu la perce.

Dans le miroir il se délecte de la paire de seins qui balancent à d'avant en arrière dans une sarabande obscène.

Les larges auréoles saillantes, les tétons érigés... sa forte poitrine marque le rythme de la chevauchée en claquant à contre temps de son ventre sur le séant de sa patronne.

Sa bouche ouverte ne se referme jamais autrement que pour qu'elle reprenne son souffle.

Il lance un grand coup de reins qui la fait ouvrir grand les yeux et pousser un cri plus guttural.

Immobile au fond d'elle, il joue avec son vit pour la masser de l'intérieur.

Elle le regarde dans le miroir.

Son visage est marqué par le plaisir qu'elle prend.

- Tu aimes ça... Lui dit-il d'un ton emplit de stupre.

Elle hoche la tête, acquiesçant à sa question.

Il reflue en elle et recommence à la forcer.

Il la voit sourire avant de baisser la tête et encaisser les coups de boutoir qu'il lui assène.

Elle sait que le plaisir monte en elle.

Elle s'y livre sans retenue.

Son corps se tend, elle relève le visage et feule comme une chatte.

Fulgurant, l'orgasme la parcourt.

Le long de ses cuisses, dans le creux de son entre jambe, jusqu'aux pointes de ses seins, elle est électrisée par le divin plaisir.

Il s'attarde.

Son corps semble se satisfaire de faire durer la sensation onctueuse.

Loin de disparaitre, la jouissance se transforme, s'éternise...

- Baise-moi encore... Prends-moi fort. Fais-moi mal. Dis-moi des choses crues !

Elle se cabre et ses doigts s'agrippent aux fesses de Robin.

Ce dernier n'est pas long à reprendre ses assauts.

Son sexe est outragé par les coups de piston.

Elle s'oublie...

Elle gémit son bonheur sans se soucier d'autre chose que son plaisir.

Il la force pendant quelques minutes, régulier, attentif.

- Ton gros cul... je vais le défoncer. Fait-il en passant son pouce sur la rondelle plissée de sa patronne sans cesser sa saillie.

Elle ouvre de grands yeux et murmure un "ho ouiii".

Il enfonce son doigt large dans l'interdit.

Elle grogne et il poursuit ses attouchements.

- Et tu vas couiner comme une vulgaire trainée.

Il sort du sexe béant avant de s'y engouffrer de nouveau.

- Tu as un cul qui ne mérite que ça.

Il ressort pour cette fois se placer sur l'oeillet sombre.

Elle pousse un grand soupir.

- Hummm... oui... encule-moi Robin... je n'en peux plus...

Lorsqu'il pousse son sexe en elle, elle a l'impression qu'il va la déchirer.

Le large manche l'écarte.

Ses fesses sont transpercées par une lance trop imposante.

- Haaaa ! Tu me fais mal !

Il n'en a cure et continue d'aller et venir dans son étroitesse.

La douleur s'atténue, s'évacue pour laisser place à des sensations qu'elle connait bien.

Jamais son mari ne l'a sodomisé mais Robin n'est pas le premier à passer par là, et ce n'est pas sa première fois.

Elle apprécie l'ingéniosité de son amant, sa résistance et son langage cru.

Dans cette position les moindres mouvements sont sources de plaisirs.

Il la force.

Plus fort. Plus rude.

Elle se trémousse.

- Tu es une vraie femelle en chaleur.

- Ho.... Oui... une chienne...

- Baisée et enculée comme tu le mérites.

- Hannn salaud...

- Tu en veux encore ?!

- Ouii ! Fourre-moi encore... Tu me déchire le cul c'est si bon !

- Tiens ! Sens-la ma grosse queue qui te ramone la rondelle.

- J'en peux plus ! Tu me fais jouir ! Encore... oui.... dans mon cul ! haaaaa !! 

- Tu es bonne ! Ouii !

- Vas-y... défonce-moi comme si j'était ta petite pute... la salope... Han ! Hooo !

- Tiens salope ! Prends ma bite dans ton cul !  Comme ça oui ! Là encore !!

Elle crie pendant qu'il ponctue ses coups de sexe de petites claques sur le séant offert.

Son bas ventre cogne contre les rondeurs qu'il perce.

Ils jouissent en même temps.

Leurs orgasmes simultanés font tressaillir leurs corps, leurs gémissements se mélangent.

Il se vide en elle par de longs jets qui remplissent l'intérieur de son anus.

Elle explose de bonheur et la cyprine coule sur ses cuisses.

Un instant de silence s'en suit.

- J'espère que maintenant vous allez faire moins de bruit.

Ils se tournent vers la porte de la chambre restée entrouverte, pour voir apparaitre l'origine de cette réplique qui les a cueillis.

Coralie les observe, immobile.

- Ne... ma chérie ce n'est pas... enfin... Balbutie la femme qui tente de se relever, les fesses encore pleines de la verge tendue de Robin qui maintient son anus en rond large.

Celui-ci ne dit rien, faisant doucement coulisser son membre en dehors de la mère de la spectatrice qui lâche un gémissement incontrôlé.

- Ne cherche pas d'excuse. Tu te faisais "baiser".

Ce dernier mot lâché avec appui.

- ... Je suis désolée...

- Ne le sois pas. J'ai trouvé cela très intéressant, et instructif. Et ne t'inquiète pas, je ne dirais rien à papa. En plus, ce n'est pas la première fois que je te vois dans ce genre de positions.

La femme se relève et tente de cacher son corps.

Elle ne dit plus rien, l’arrière-train douloureux, les seins encore tendus d'excitation à peine résolue.

Sa fille vient de la voir avec un amant, dans une attitude des plus inconvenante.

Elle rougit en se remémorant les paroles qu'ils ont échangés.

La jeune femme, simplement vêtue d'un nuisette lui sourit.

- Maman, c'est normal. Je comprends que tu aimes le sexe. Mais la prochaine fois essaye de faire moins de bruit.

Elle relève une mèche sur son front pour se donner une contenance.

- Heu... d'accord... c'est... oui bien sur.

Alors que Coralie tourne les talons, elle se retourne une dernière fois.

- Et surtout ne t'avise pas de mettre Robin à la porte. Tu perdrais un amant très doué. Et puis, en plus j'ai justement du travail pour lui.

Devant sa fille qui la toise, elle se sent soudain minuscule.

- Robin, tu voudras bien venir également voir pourquoi mon lit grince ? Tu trouveras facilement ma chambre... c'est celle de "la petite pute"... tu la connais bien.

Elle sourit avant de refermer la porte délicatement.

La maitresse de la maison reste figée.

- C'est... avec... elle que tu... que ... c'est avec ma fille ? Dit-elle en regardant son amant.

Il ne dit pas un mot.

Le silence est lourd.

Elle le regarde et il n'ose plus dire un seul mot.

- Surtout ne lui fait pas de mal.

- Uniquement du bien Madame.

Elle pose une main sur le torse de celui qu'elle sait désormais devoir partager avec sa fille.

Il dépose un baiser sur le front de sa partenaire.

- C'était très bon Robin. J'espère que tu vas gâter Cpralie autant que moi.

- Madame, je reste à votre service… et à celui de votre fille.

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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