Ce récit se situe dans la suite de ceux de Miss Kathleen.hp8zj5bt

 

Il s'est écoulé 3 jours depuis mon serment de soumission à Miss Kathleen.

Pendant ce temps mon hôtesse et moi avons repris notre "collocation" agréable et sympathique comme auparavant.

Ne seraient quelques effleurements de mes fesses par ses mains douces, je pourrais imaginer avoir rêvé cette éducation qu'elle m'a donnée.

Toujours aussi belle et altière, elle vient de me laisser après le souper pour regagner sa chambre.

Son parfum flotte encore dans le salon, mélange suave d'épices et de mandarine.

Je n'ose lui demander si notre aventure va avoir une suite.

J'en crève d'envie mais redoute une réponse négative.

Peut-être a-t-elle suffisamment jouée avec moi, ou bien s'est-elle lassée...

Et si le fait de lui poser la question me valait un refus définitif ? Ou une fessée ?

Hooo... je sens la braise de mes désirs honteux reprendre ardeur.

Ses mots me reviennent... ses gestes... mes attitudes et positions... osées et terriblement sources d'excitation et de jouissance.

Je décide d'aller me coucher à mon tour.

Elle s'est enfermée et lorsque je passe devant sa porte je n'entends nul bruit.

Je prends un livre pour m'enlever de l'esprit mes images et mes idées sensuelles où je suis son jouet, son "servant".

La lecture se fait avec peine, je dois relire de nombreux passages, tant je vagabonde en dehors de mon roman.

Son appel me fait jaillir d'un bon hors du lit.

Mon livre tombe, je l'enjambe et me précipite en dehors de ma chambre pour venir toquer à la sienne.

Ma Maitresse m'appelle... et j'accoure.

Mon cœur bat la chamade.

"Entre".

Sa voix sonne comme une flute irlandaise, douce mélodie elfique, envoutante dont je sens les fils s'emparer de mon corps et de mon âme.

Je pénètre dans son sanctuaire.

Telle une vénus callipyge, elle est allongée sur son lit.

Les draps d'un vert profond presque noir tranchent avec sa peau blanche constellée de petites tâches de rousseur.

Une lumière indirecte nimbe la pièce d'une clarté dorée.

Ses cheveux flamboyants détachés de leur sévère chignon habituel, cascadent sur ses épaules et sur sa poitrine opulente.

Ses larges mamelons roses et saillants, sont dressés vers l'avant, vers moi.

Ses hanches découpées et ses fesses bombées l'apparente à une statue d'Aphrodite.

Son corps est alangui, un genou relevé, une jambe posée sur le lit.

Au creux de ses cuisses, son sexe s'offre à mon regard.

Une fente entrouverte, cernée d'une courte toison rousse perlée de quelques gouttes de rosée corporelle.

D'une main, elle fait osciller un godemichet transparent sur son intimité.

Elle pose son regard bleu turquoise sur moi, détaille mon torse nu qui monte à chaque respiration, mon ventre aux muscles fins, mon entrejambe qui témoigne de mon vif intérêt pour elle malgré le caleçon qui cache ma masculinité.

Elle sourit, éclairant son visage, attisant le feu qui brûle en moi.

"Mon bel étalon... enlève ton caleçon..." m'ordonne t elle en se caressant avec son ersatz de phallus dans un geste ample, sans autre forme de procès.

Lentement je fais descendre le rempart de ma nudité.

Ma verge se tend, se décalotte seule sous l'excitation...

Mes bourses, qu'elle souhaite glabres, pendent entre mes cuisses.

Je me penche pour faire descendre et ôter définitivement mon caleçon.

Son regard est étincelant.

"Tu es vraiment bien monté." Lance t elle à mon égard.

Elle a fait entrer le bout de son jouet dans sa fente.

Avec lenteur elle le fait parcourir son orifice, de la proximité de son clitoris à celle de son anus.

Je reste immobile, nu, debout devant elle pendant de longues minutes.

Elle m'observe et se régale de me voir offert à elle. Elle se caresse en se trémoussant.

Je la dévore des yeux.

Elle gémit en enfonçant le manche en elle.

Enserré entre ses doigts fins, j'aimerais tant qu'il s'agisse de mon sexe.

Je suis contrains à la voir se procurer du plaisir, sans pouvoir la toucher, pourtant si proche.

Je bande de façon douloureuse.

Mes olives montent et descendent dans mes bourses sur lesquelles l'air qui les effleure suffit à m'exciter.

Elle extraie le pilon qui vient de la faire grogner et souffler, ravie.

"Approche".

J'obéis.

Elle me tend le gode, souillé de son jus.

"Lèche-le... il a mon gout" sourit-elle.

Je m'agenouille devant son lit et pose ma langue sur le plastique chaud et poisseux.

Lentement je fais remonter ma langue sur l'entière hauteur qu'elle me propose.

Mes lèvres se posent sur ses doigts, mon muscle recueille sa cyprine.

Obéissant je nettoie l'objet indécent.

Elle ne me quitte pas du regard avant de m'enlever le jouet de la bouche pour le plonger de nouveau dans son étui vaginal.

Elle a une petite grimace de plaisir qui me donne encore plus chaud.

Quelques va-et-vient puis elle me le présente à nouveau.

"Suce-le. Tu aimes ?"

J'ouvre ma bouche et embouche l'objet pour me délecter de son sirop de femme.

"Oui Miss Kathleen, votre jus est délicieux. Merci". Dis-je avant de reprendre l'objet entre mes lèvres.

A chaque fois elle le plonge en elle pour le ressortir, nappé de son humeur.

Dans sa main, je viens sucer son gode à chaque fois qu'elle m'y invite.

"Dis donc... tu à l'air de vraiment apprécier. Je pourrais t'ordonner de sucer... un vrai sexe d'homme". Me dit-elle soudain.

Je m'interromps, bloqué.

Mes joues rougissent.

Je retire le pseudo sexe de ma bouche.

"Continue". Ordonne t elle d'un ton sec.

Docile, je recommence à... sucer ce qu'elle me propose.

Mon esprit est en ébullition. Elle, oui, mais un homme non ! Je m'imagine dans cette position, alors qu'elle m'obligerait...

"Tu le ferais... pour mon plaisir ?" Sa voix est un murmure aussi doux que l'eau qui coule dans un sous-bois.

Je cligne des yeux en la regardant... mes paroles m'échappent, sincères, excitantes.

"Oui Maitresse. Pour votre plaisir".

Je n'en reviens pas de moi-même.

Mon visage s'empourpre, je baisse la tête, incapable de lui résister.

"Humm" gémit-elle en enfonçant son godemichet loin dans son abricot.

"Tu es vraiment un vilain petit cochon... que j'adore !"

J'avale le pseudo sexe dans une fellation intense.

Avec elles les barrières de mes tabous tombent l'un après l'autre... pour elle ma morale disparait au profit d'un plaisir complice.

Elle se redresse et saisit ses seins, abandonnant le sex toy sur ses draps froissés.

A genoux à côté de son lit j'admire sa voluptueuse poitrine se faire presser.

Le téton saillant parait gonfler en taille, en présence.

En son centre le téton est tendu, tel un pic.

"Viens me téter baby".

J'obéis, impatient, heureux d'avoir l'autorisation de poser mes lèvres sur sa poitrine si belle, si ample.

Le large bout de sein disparait dans ma bouche.

J'aspire avec délice ce cadeau qu'elle me fait.

Elle se trémousse, je suçote avec de plus en plus de gourmandise.

De ma langue je joue avec la tige, l'agitant de droite à gauche avant de la sucer, puis la relâcher et recommencer, plus fort, plus intense...

Elle gémit, ses mains ont abandonnées sa poitrine.

L'une d'elle masse sa fente ouverte, l'autre appuie sur ma nuque pour me maintenir en contact étroit avec ses seins.

Je passe de l'un à l'autre, enivré par leur molle fermeté, la texture de velours indicible.

Ses tétines sont des bonbons que je savoure.

"Hummm... arrête... tu pourrais me faire jouir rien que comme cela... tu sais..."

Je délaisse à contre cœur sa généreuse poitrine.

Elle tapote sur le lit.

Je monte la rejoindre.

Avec d'habiles gestes elle me caresse, et lie mes poignets aux barreaux de son lit...

Je me retrouve bientôt presque à 4 pattes, mains et pieds liés.

Elle flatte mon corps de ses doigts délicats, de ma nuque à mes cuisses.

Elle n'oublie aucun endroit, elle prend possession de mon être, ses doigts s'insinuent le long de ma verge, sur ma bouche...

Elle masse fermement mes bourses pendantes.

Son index se pose sur mon œil intime.

Elle s'y attarde par petits cercles.

Je me dandine, incapable de résister à ses manigances délicieuses.

"Tu as déjà été doigté..."

Je prends une grande inspiration quand son bout d'index flirte avec le centre de mon anus.

"Oui Miss Kathleen".

"Et tu aimes..."

"Ho... (Elle enfonce le bout de son doigt en moi)... oui Miss Kathleen..." soupire-je.

"Pour moi, tu accepterais de te faire... sodomiser ?"

Je me raidis une nouvelle fois.

"Je... "

Sa main vient me claquer doucement les fesses.

"Non... Miss Kathleen... non... je ne veux pas qu'un homme me prenne". Ose-je lui avouer.

Une nouvelle fessée tombe sur moi avant de se transformer en caresses.

Elle s'éloigne, ouvre une porte de placard.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[…]  

Ses yeux semblent s'illuminer.rousse2.jpg 

 

Le silence, l'obscurité est tombée sur la pièce. 

 

Docile, je pose mon ventre sur ses jambes. 

 

Excité comme je ne me souviens pas l’avoir été, le bout de mon sexe frotte contre sa cuisse ferme. 

 

Sa main se pose et caresse ma fesse gauche. 

 

"Cambre-toi" m'ordonne t elle d'un ton rude. 

 

J'obéis, faisant remonter mes fesses qu'elle flatte de ses doigts chauds. 

 

Un court moment je ne sens plus son toucher sur moi. 

 

Ma respiration est profonde mais elle se coupe soudain lorsque sa main s'abat sur moi dans une fessée franche. 

 

Je laisse échapper un petit cri. 

 

Sa claque est doublée par une autre. 

 

La morsure de sa main sur ma peau me fait l'effet d'un tisonnier, cependant, au lieu d'en ressentir une douleur, celle-ci fait de suite place à une vague de plaisir.

 

Incrédule je regrette presque que la fessée ne cesse déjà tellement j’en ressens un sentiment d’onctueuse et perverse excitation. 

 

Sa main tourne, apaise l'endroit où elle vient de tomber. 

 

Puis elle glisse entre mes cuisses. 

 

Ses doigts fins et délicats se faufilent sur ma verge en effleurant mes bourses lisses et fraichement rasées, jusqu'à l'enserrer.

 

Je me cambre instantanément. 

 

"Lorsque tu es vilain tu es puni." dit-elle en caressant mon sexe tendu. 

 

"Et lorsque tu es sage, tu es récompensé". Continue t elle en me masturbant doucement, ma verge entre son pouce et son index. 

 

J'écarte les cuisses et tend mes fesses en l’air sans même m'en rendre compte. Je grogne de plaisir. 

 

"Tu aimes ça... être fessé on dirait." 

 

Je ne réponds rien et sa main claque de nouveau mon fessier offert à ses mains, à son regard. 

 

"Oui Miss Kathleen" dis-je aussitôt, sous le coup de sensations contradictoires. 

 

"Tu dois répondre plus vite". 

 

Délicatement ses doigts rencontrent alors de nouveau mon sexe en érection. 

 

"Bien large... et dur. J'aime cela mon bel étalon." me murmure t elle. 

 

Ses doigts sur mes bourses sont telles des langues de glace.

 

Glabres, je les sens extrêmement sensibles à un simple effleurement. 

 

Le moindre de ses attouchement me fait me dandiner, me cabrer. 

 

Lentement elle revient faire des cercles sur mes fesses charnues. 

 

"As-tu déjà eu une Maitresse ?" 

 

"Non…" Réponds-je trop vite. 

 

Je me rends compte de mon erreur. 

 

Elle me donne de nouveau une fessée. 

 

Je réprime un petit cri. 

 

Ce n'est pas la douleur mais le plaisir qui me fait gémir. Elle le sait et devient aussitôt douce et caline. 

 

"Non... Miss Kathleen". Me corrige-je. 

 

Dans sa paume de main, mes boules se font soupeser. 

 

Elle les fait rouler, les malaxe fermement.

 

Maitrisant son geste elle tire sur mes sacs gorgés, les malmène en tous sens. 

 

Mes cuisses s'ouvrent sous l'effet de ses doigts agiles. 

 

Bouche grande ouverte, à cheval sur ses genoux, je gémis mon plaisir sans plus de retenue, toute pudeur totalement évaporée. 

 

"Tu seras... my servant..." dit elle en pressant mes bourses de façon ferme. 

 

"Hooo... ouii... Miss Kathleen". Je déglutis avec difficulté. 

 

Des conflits de sensations il ne reste qu'une seule : le plaisir. Je me livre alors à elle.

 

Les olives pétris dans ses mains, elle écrase mes bourses l’une contre l’autre.

 

Loin d’être douloureux, la sensation est infiniment exquise. J’en perds la notion du temps. 

 

Ses doigts forment alors un anneau autour de mon sexe, anneau qu'elle fait monter et descendre. 

 

Sa main libre caresse mes cheveux. 

 

"Sweet honey... Allonge-toi. Je veux chevaucher." 

 

Je me retire de ses jambes douces. 

 

Elle m'observe, ses seins arrogants aux tétons dressés comme des mines de crayons. 

 

Ses yeux ne se privent pas de détailler mon cep en pleine érection.

 

Je me pose à plat dos, devant elle.

 

Mes bourses s'agitent et je les sens onduler.

 

Mon sexe est en feu.

 

Elle se redresse, me surplombe de toute sa hauteur.

 

Le long de ses cuisses de fines marbrures blanches témoignent de sa jouissance passée.

 

Elle caresse mon épaule du bout de son pied, le fait passer sur mon torse.

 

Ma respiration s’accélère.

 

Son pied sur moi, j’ai l’impression d’être un animal terrassé par une amazone aux cheveux roux et arborant encore fièrement ses deux seins aux courbes envoutantes.

 

Elle pose son orteil sur ma joue, son bout de pied caresse ma bouche, j’ose entrouvrir mes lèvres pour lécher du bout de la langue ses orteils manucurés.

 

Elle descend lentement son pied, passe sur mon ventre.

 

Je la vois apprécier la domination qu’elle m’impose.

 

Elle me sourit alors que ses doigts de pied pressent et massent mes bourses.

 

« Humm… Elles sont bien gorgées tes couilles… ».

 

J’en ferme les yeux. Cette alliance entre la réserve anglo-saxonne et le caractère cru de son vocabulaire me tourne les sens.

 

Son pied caresse mon manche.

 

« Et cette verge… très appétissante… ».

 

Sa voix est un feulement.

 

Elle m’enjambe et s’accroupit lentement.

 

Son sexe vient effleurer mon ventre pour finalement se frotter au mien de façon lente et sensuelle.

 

Les genoux relevés, sa fente est obligée de s’écarter.

 

Elle pose ses mains sur mon torse et délicatement force son écrin de soie à venir enlacer mon glaive brulant.

 

Elle ondule son bassin… Dehors l’orage fait rage.

 

« Hooo… il est… gros… doucement… »

 

Avec souplesse elle accueille mon sexe en elle et, à force de mouvements félins, le fait progresser dans son vagin.

 

Sa poitrine comprimée entre ses bras, explose devant mon visage.

 

La pluie martèle les carreaux dans un bruit apocalyptique.

 

Mes mains sur ses hanches je la laisse me chevaucher, se fourrer à son rythme.

 

Dans une lancinante danse du ventre, sa matrice aspire, avale, engloutit mon pieu.

 

Elle gémit, grimace lorsqu’elle l’enfonce plus loin, souffle quand elle remonte et pousse de petits cris une fois empalée de toute ma longueur.

 

« Haaan… han ! »

 

Elle plonge ses yeux dans les miens. Ses lunettes légèrement descendues sur l’arrête fine de son petit nez mutin.

 

« Baby tu es bon… hummm ta … queue…elle me force… hooo ».

 

Ses doigts s’enfoncent dans mon torse, griffent ma peau.

 

Mes doigts encouragent ses fesses à venir s’appuyer sur mon pubis.

 

Elle s’immobilise et entame un massage interne qui me fait monter la sève au plus haut degré. Maitrisant parfaitement mon plaisir, elle se relâche avant de recommencer. Je n’ai pas de repos, pas de répit… son sexe est affamé du mien.

 

Soudain, elle se rejette en arrière et pousse un puissant gémissement. Ses ongles s’incrustent dans ma peau, elle lâche un râle, gémit. Autour de ma verge coule le flot moite de son coït. Elle jouit, plantée sur moi, sans retenue, longuement avant de se retirer rapidement et s’emparer de mon sexe au gland turgescent, recouvert de sa cyprine.

 

Il ne lui faut que quelques secondes à me masturber pour que je gicle sur mon torse et mon ventre.

 

Mon pénis saisit à pleine main, elle en extraie la dernière goutte.

 

Ses cheveux défaient de son chignon, elle est ravie.

 

Sa main se pose sur mon foutre, l’étale, me caresse.

 

Elle prend ma main, nos doigts se joignent, unis, poisseux de ma jouissance, paume contre paume.

 

« Main dans la main, le serment de la maitresse et de son servant » me murmure t elle en se penchant sur moi, les pointes de ses seins si proches de ma peau que je peux sentir leur chaleur.

 

Je serre ma main dans la sienne et répète après elle le serment qui me lie alors à Miss Kathleen…

 

Lorsque les derniers mots résonnent dans la pièce obscure, l’orage s’est calmé.

 

Elle se redresse, sublime, prétresse d'Aphrodite.

 

« Va te coucher » me dit-elle… « …mais reste souillé de ma jouissance ».

 

Je me couche donc avec pour seul vêtement nos sucs orgasmiques et l'écho de sa voix...

 

A suivre…
Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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[...]  

Debout devant moi, je regarde cette femme dont les yeux m'hypnotisent.rousse.jpg 

 

Ses grands yeux bleus-verts, couleurs des eaux des îles, cerclés d'écailles de lunettes noires, assemblages de contastes entre sensualité primitive et austérité monacale. 

 

Son visage ovale, parsemé de petites tâches de rousseur, sur lequel tombent quelques mèches de cheveux flamboyants qui ont échappés à son chignon sévère, me surplombe de haut. 

 

Je l'admire... à 4 pattes devant elle. Entièrement nu. 

 

Ses longues jambes fusellées, ses rondeurs de hanches, la découpe souple de sa taille mise en valeur par la culotte de coton blanc qui cache son intimité, les formes généreuses de sa poitrine masquée par un top trop étroit, ses bras fins dont les bracelets d'or tintent à ses poignets... tout son corps est un appel au désir. 

 

Les pointes de ses seins tendent le tissu. Le balancement qui les agite tel un métronome, me donne le tempo de ses envies. Leur générosité arrogante rempli le tissu qui en dévoile son ventre pâle à la peau douce. 

 

Les doigts fins et manucurés de sa main droite viennent se poser sur le tissu de son entrejambe. 

 

Ses cuisses légèrement écartées, elle glisse sur sa culotte. Une tache forme une ombre, signe de son humidité abondante en décore l’intime pli. 

 

"Approche baby". Me dit-elle. 

 

Sa voix est une mélodie envoutante. Avec un accent irlandais son français parfait est riche de sensualité. 

 

J'obéis. Ainsi qu'elle me l'a fait comprendre, ainsi que je le veux. 

 

Notre plaisir mutuel vient de prendre le chemin de la douce soumission. 

 

Et j'obéis à ce que me demande ma maitresse, Miss Kathleen, mon ainée de presque 10 ans. 

 

Mon visage à quelques millimètres de son entre cuisses, mes narines s'emplissent de l'odeur chavirante de son suc. J'ai envie de me jeter sur elle pour la dévorer, mais elle m'oblige à agir selon ses désirs. La restriction, la contrainte, l'attente ne font qu'accentuer mon érection et attiser le feu qui me brule le ventre. 

 

J'ouvre la bouche et ma langue se pose sur le coton. La saveur de son sirop de femme me parvient enfin. Je passe mon muscle sur le dessous souillé. Il poisse à son intimité et je peux deviner les formes de sa fente, les renflements de ses lèvres, la texture délicate de sa fine toison invisible. 

 

Avec application je passe ma langue sur son sexe caché. 

 

Elle recule d'un pas, me regarde d'en haut sans un sourire. 

 

"Viens... " murmure t-elle de façon catégorique. 

 

J'avance, docile, pour de nouveau venir lécher sa culotte et la mouille qui la souille, bien vite encore plus trempée sous l'effet de ma langue et de ma salive. 

 

D'en bas, je lève les yeux. Sous son top se distinguent ses seins fiers qui s'agitent et sur lesquels elle passe ses mains. 

 

Ses yeux sont fermés, sa bouche entrouverte... elle se tortille lentement au rythme de mes lapements sur sa féminité suggérée. 

 

Elle recule, m'appelle à chaque fois pour me voir avancer, le sexe en pleine érection, mes bourses glabres pendantes, la bouche affamée de son abricot. 

 

Après quelques minutes elle fait rouler lentement le tissu de sa culotte. Tout doucement son intimité se dévoile... La frange pileuse, rousse, encadre des lèvres molles et ruisselantes. 

 

Le tissu colle à son sexe. Mon visage est rouge d’envies toutes les plus osées les unes que les autres. 

 

Au milieu de ses cuisses ouvertes, le fond de son dessous est maculé d'une épaisse poisse de cyprine. 

 

Elle remonte ses lunettes et m’indique de venir lécher son jus étalé sur le fond de sa culotte de coton. 

 

Docile je m'exécute. Le visage contre ses cuisses, je viens gouter son sirop féminin déposé sur le tissu tendu. 

 

Son gout est délicieux, délicat, savoureux. 

 

Ses mains dans mes cheveux, elle me relève le visage.

 

Elle a ôté son top et ses seins lourds, se balancent majestueusement au dessus de moi.

 

Blancs, parsemés de petites tâches rousses, ils lui confèrent une prestance inégalée. Ses mamelons sont larges, roses, en surépaisseur de ses seins. En leurs centres elle caresse un téton long et pointé vers l'avant.

 

"Lape... "

 

Ses doigts écartent ses lèvres et me dévoilent une fente aux couleurs chatoyantes que les éclairs de l'orage extérieur rendent encore plus mystérieux.

 

Mon muscle se fait large pour déguster son sexe offert. Je passe sur l'intégralité de ses lèvres trempées.

 

Plus étroite, ma langue s'enfouit dans son antre chaude. Je fouille, frôle, dévore...

 

"Hooo yes... suck... suck-me baby..." Gémit-elle.

 

Je lèche plus vite, mon visage plaqué à son sexe, affamé.

 

Son jus coule, mêlé à ma salive.

 

Elle gémit, grogne, ondule son bassin et frotte son bas ventre sur ma bouche qui embrasse son sexe béant.

 

"Hannnn suck me... sweety little dirty pig ! Haaa... ".

 

Je sens son corps se cambrer, sa vulve palpiter.

 

Ses paroles me reviennent... je suis son doux petit cochon... un vilain cochon... j'en rougis… de honte, de joie, de ravissement.

 

La lumière s'éteint soudain dans un craquement d'éclair.

 

Mes lèvres aspirent les siennes.

 

Ma langue extraie son bonbon d'amour gorgé d'envie.

 

Je le suce, l'attire vers ma gorge. Son petit pénis féminin excité par ma langue, suçoté, tété par ma bouche gourmande et vorace.

 

Elle rejette son visage en arrière, bouche grande ouverte dans un cri muet qui finit par exploser, un râle... alors que son corps se tend.

 

Je déguste le jus qui coule de son corps et inonde ma bouche, dégouline sur mon menton.

 

Sa jouissance se prolonge, je m'affaire à lui pratiquer un cunnilingus lent et savoureux.

 

Je la bois. Son sirop de femme coule dans ma gorge et j’en veux encore.

 

Elle repousse mon visage doucement.

 

"Tu es vilain... je ne t'avais pas demandé de venir me faire jouir aussi vite." Sa voix est un ronronnement de chat.

 

Elle se recule, s'assoit dans un des fauteuils de cuir vert, ce vert irlandais à la fois chaleureux et tendre.

 

D'un geste de la main elle tapote ses cuisses lisses.

 

"Viens baby. Viens recevoir ta fessée."

 

 

A suivre…
Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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