Je venais d’arriver en Irlande et je me retrouvais avec mes bagages devant un souci de taille.

Pour des raisons professionnelles j’allais passer 6 mois sur l’île verte, aussi avais-je décidé de louer un petit studio dans le centre de la petite ville en bord de mer, non loin de mon lieu de travail.sdj-10-07-25.jpg

Malheureusement le propriétaire n’avait pas du bien comprendre les dates et le logement était en travaux.

L’immeuble de deux étages se situait non loin du port et j’errais pour trouver une solution mais les hôtels étaient pleins ou fermés. Si le lieu, une petite bourgade sympathique et encore relativement typique, aurait dû me réjouir, mon problème d'habitat me tracassait au-delà de toute mesure.

Je revins donc sur le pallier, devant « mon »studio. Impossible d’habiter là-dedans, les sols étaient éventrés, l’électricité inexistante…

Je pestais donc au téléphone, mon anglais luttant contre l’irlandais du loueur de mauvaise foi.

Et la porte de l’appartement d’en face s’ouvrit.

Elle sortit avec un large sourire pour me proposer de m’aider. Un peu plus âgée que moi, elle avait ce port altier qu'arborent les anglo-saxons en toute circonstance.

Un peu désemparé j’acceptais et c’est ainsi que se réglèrent tout à la fois, mon différend avec le propriétaire et mon souci de logement.

C’est arrivé peu à peu, jusqu’à aujourd’hui… je m’en souviens…

Avec ses yeux bleus pétillants dans ses lunettes à bord noir, son chignon serré qui retenait ses cheveux roux, ses tâches de rousseur et les petites rides de sourire au coin des yeux, elle se proposa de m’héberger, clôturant sa proposition d'un « Pour ne pas vous laisser dans l’ennui. On trouvera bien de quoi s’arranger» ferme et souriant.

Elle parlait un français parfait avec un accent chantant. Son irlandais impeccable eu vite raison de la difficulté de communication que j'avais avec mon propriétaire. Rapidement les difficultés disparurent et il me rendit même ma caution.

J’avais à ma disposition une chambre d’amis, d’ambiance très« cosi » dans laquelle je pu m’installer.

Son appartement était relativement grand et bien orienté. De son grand balcon couvert, aux allures de forêt équatoriale, je voyais les mats des bateaux osciller.

Un appartement dont elle avait héritée après son divorce.

Kathleen, elle avait un peu plus de 40 ans, presque 10 ans de plus que moi, de taille moyenne, des formes qu’elle cachait dans des tenues toujours aussi strictes que son chignon, mais toujours indéniablement pleines de charme et de classe.

Et puis il y eu quelques signes…

Tout d’abord sa main qui se posa sur mon genou dès le premier soir, pour me rassurer. Geste anodin mais qui me donna chaud instantanément. Habitude qu’elle avait de flatter mon genou de ses doigts fins lorsqu’elle assenait une réponse imparable ou qu’elle se voulait confiante.

La porte de la salle de bain ne fermait pas, par absence de verrou installé. La première fois, je fus surpris de la voir rentrer et ne laisser comme seul rempart de mon intimité, que le rideau de douche. Elle sifflotait, se maquillait ou se séchait les cheveux, parfois simplement vêtue de son seul peignoir. Je partageais la salle de bain et je devais tout de même m'en contenter. J'avais vécu pire de toute façon.

Un soir, alors que je l’entendais prendre sa douche, je passais devant la porte entrebâillée, jusqu’à l’apercevoir, une serviette écrue retenant ses cheveux sur sa tête, une autre ceignant son corps… elle me rendit mon regard dans un sourire en relevant son visage. J'avais laissé errer mon regard sur l'échancrure de sa poitrine que je devinais pour le première fois, plus généreuse qu'elle n'osait le montrer d'habitude, et j'avais rosi des joues.

Ce soir là, lorsque, devant la télévision elle arriva sur un programme de deuxième partie de soirée où les femmes étaient en petite tenue légère elle me sourit et me lança un « Cela devrait vous plaire, monsieur le voyeur… »En riant avant de se lever et de se diriger vers sa chambre.

Je coupais la télévision et partis me coucher un peu honteux. J’entendis alors le lit grincer à côté… de son côté... quelques gémissements étouffés…pendant de longues minutes. Avait-elle conscience que je pouvais l'entendre ? Je revoyais alors notre situation et mon esprit vagabonda... je ne résistais pas au plaisir solitaire à mon tour.

Le lendemain matin elle me déclara qu’il fallait absolument qu’elle pense à huiler les montants de mon lit… car il grinçait lui aussi. Son demi-sourire m’arracha le mien. Dans le lac de ses yeux brillait une étincelle qui m'enflamma pour ne plus jamais s'éteindre.

Kathleen faisait du cheval et je pu l’admirer, moulée dans sa tenue avec toujours ce charme anglais, tirée à 4 épingles, ses hanches ondulantes, ses fesses bombées et sa poitrine maintenue étroitement dans la veste de cuir fauve. « J’aime chevaucher » me lança t elle, d’un ton ambigüe. J'aimais ses séances d'équitation où je pouvais admirer à loisir son postérieur engoncé dans le tissu épais.

Peu à peu nous primes l’habitude de passer la soirée dans une tenue plus décontractée. Elle en chemise de nuit, ce qui me permettait d’admirer l’opulence de la poitrine qu’elle ne révélait qu'à ce moment là. Moi en boxer et en tee-shirt, conscient qu’elle observait parfois mon entrejambe. Elle laissait également ses cheveux libres, de longs cheveux roux ondulés qui encadraient son visage ovale et faisait rayonner son sourire.

Nous passions le temps, parfois devant la télé, d’autre fois à jouer aux cartes ou à discuter.

Elle faisait des traductions en français et en anglais, ses parents, irlandais, avaient vécus en France et elle-même y avait passée les 25 premières années de sa vie, y faisant toute ses études. Sa culture était incroyable, et elle avait choisis de quitter l’université pour un travail moins contraignant, chez elle, dans cet appartement qui lui permettait d'assouvir ses passions.

Je partageais les frais de nourriture et nous avions convenu que je la dédommagerais de la moitié de ce que j’aurais du payer en logeant à côté. C'était, il faut l'avouer, une bonne affaire car je bénéficiais d'un logement plus grand, d'une compagnie, et si parfois je faisais la cuisine, la plupart du temps elle nous préparait à tous les deux de succulents repas.

Parfois elle recevait des amies, pour le thé le plus souvent, ou pour un repas et alors je m'éclipsais même si jamais elle ne me le demanda.

Au sortir de la douche, un soir, je ne parvins pas à mettre la main sur mes affaires. J'eus simplement le temps de placer ma serviette devant mon bas ventre qu'elle était déjà entrée dans la salle de bain en portant dans sa main un de mes boxers. "J'ai fait une lessive. Vous avez bien meilleur goût que mon ex mari pour vos dessous, you know". Elle resta un moment, le bras tendu, à me regarder, avant que je prenne mes affaires et qu'elle ne sorte de la salle de bain. Pour ma part, je ne me lassais pas d’admirer ses dessous lorsqu’ils séchaient. Si elle ne s’habillait jamais de façon sensuelle, ses dessous, eux par contre, étaient du plus bel effet. Bas, soutien-gorge en dentelles, strings, tangas, culottes ouvragées… Elle avait du gout... le même que le mien.

Il ne se passait pas deux soirs de suite sans que je ne l’entende se faire plaisir. Elle n’avait jamais graissée son lit, ni le mien.

C’était devenu un jeu. Lorsque je commençais à me caresser, elle s’y mettait aussi, provoquant une réponse en écho aux mouvements de son lit. Lorsqu'elle entamait ses coupables activités, je lui répondais, imaginant souvent qu'elle m'accompagnait dans mes étreintes fantasmées.

Parfois nous nous croisions en allant à la salle de bain.

Mais jamais nous ne dîmes un seul mot de nos gestes intimes.

Elle inspirait mes nuits et mes pensées… j’imaginais qu’elle aussi.

Les 5 premières semaines se passèrent ainsi, de petits coups d’œil en allusions, d’indiscrétions en remarques légères, de craquements de sommiers en grincements de ressorts, sans toutefois jamais briser l’équilibre qui nous unissait.

Une complicité retenue. Une sensualité britannique…"Irish !" comme elle me le faisait remarquer fièrement à chaque fois, me reprenant d'un air sévère.

J'admirais, je l'imaginais. Elle conservait une certaine distance, brisant parfois les tabous de façon indirecte, jamais ouvertement.

Et puis il y eut aujourd'hui...

A suivre...

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[...]

 

 

2-

 

"Robin... j'en ai rêvé... que tu baisais ma bouche". Ose t elle lui avouer en rougissant.

 

Il lui sourit.images.jpg

 

"Coralie... tu es... une adorable petite coquine".

 

Il saisit le visage ovale et opalin entre ses mains.

 

"Ouvre grand ta bouche..."

 

Elle obéit.

 

Il force son sexe à entrer en elle.

 

Immobilisée, il enfile sa bouche, lime dans son orifice, de plus en plus loin.

 

Elle hoquette, manque d'avoir un haut le cœur.

 

La tige entre et sort de la bouche, arrachant salive et grimace, faisant se tendre les lèvres, creuser les joues.

 

Debout devant elle, maintenant fermement le visage féminin, seules ses hanches vont et viennent dans un rythme soutenu.

 

Il gémit de plaisir, la tension de son corps semble s'apaiser alors qu'il bourre sa bouche avec lenteur et profondeur.

 

Lorsqu'il sort d'elle, elle aspire l'air dans une grande inspiration.

 

Ses lèvres sont devenues rouges par l'action qu'il lui a imposé.

 

Elle le regarde, à genoux devant lui, le mâle dans toute sa splendeur.

 

Lentement elle fait jouer ses mâchoires pour les détendre.

 

"J'aimerais..." elle n'ose plus rien dire, soudain honteuse.

 

Il l'encourage, ses mains caressent son visage.

 

"Coralie, vous pouvez tout me dire".

 

Sa poitrine se soulève d'excitation

 

"J'ai envie d'avaler, de sentir votre sirop... de vois boire." dit elle trop rapidement.

 

Elle pose de nouveau sa langue sur la tige brulante, et lèche en fermant les yeux.

 

"Hummm c'est si bon..."

 

Inclinant le visage elle saisit le sexe entre ses lèvres et exerce une masturbation douce.

 

Il gémit, elle sent son plaisir enfler dans le manche qu'elle enserre et la jouissance gonfler dans son bas ventre comme une bulle qui électrise tous ses nerfs.

 

Parvenue en bas du manche elle aspire une à une les 2 boules lisses et les tire vers l'intérieur de sa bouche puis relâche la pression avant de recommencer.

 

Il s'agite, ses bourses sucées avec délice.

 

Il a du mal à contraindre son plaisir à ne pas éclater.

 

De l'intérieur de ses cuisses jusqu'à sa nuque il ressent les picotements de l'orgasme qui croit.

 

"Je vais ... jouir... "dit-il dans un souffle.

 

Elle relâche la pression autour des deux orphelines et tire la langue, la bouche grande ouverte comme elle l'a vu faire.

 

Les jets explosent, giclent avec puissance dans sa bouche.

 

Le foutre chaud et épais tapisse sa gorge.

 

Elle tape le sexe contre sa bouche en le masturbant doucement à sa base.

 

Ses bourses remontent, se libèrent de leur jus.

 

Elle avale par gorgées le liquide amer et onctueux.

 

Ses sens surexcités elle goute le plaisir défendu du résultat de sa fellation.

 

Au dessus d'elle, Robin râle son orgasme... un son qui l'enchante.

 

Elle le regarde, il sourit, un peu de jus blanc au coin de ses lèvres elle est aux anges.

 

"J'aime te tailler une pipe Robin. Peut-être ne suis je pas aussi douée que... d'autres, mais j'aime ça." Lui lance t elle en continuant de faire osciller de sa main le large membre qui se détend, toute honte disparue.

 

Elle se relève et il apprécie les yeux azurs qui étincellent alors qu'elle se retrouve presque collée à lui.

 

Il dépose un léger baiser sur les lèvres chaudes qu'elle entrouvre immédiatement.

 

Leurs langues se mêlent et s'enroulent dans la passion.

 

Elle a un parfum de suc d'homme et il s'étonne de l'embrasser avec encore plus de vigueur rien qu'à le ressentir.

 

Il s'écarte un peu d'elle pour l'admirer.

 

Son top est marqué par les pointes saillantes de ses seins qui, tels des phares, attirent son regard et sa convoitise.

 

"Tu es superbe" lui dit-il en la contemplant.

 

"Je ne suis pas la "reine des salopes" pourtant" lui rétorque t elle en utilisant les paroles qu'elle a du lui entendre proférer à sa mère.

 

"Non... Tu es la plus belle fleur de la roseraie. Une rose qui donne envie de butiner." Adoucit-il de sa voix grave.

 

"Et je suis toute... lisse, douce comme des pétales" lui avoue t elle en rougissant.

 

Les doigts de Coralie abandonnent son sexe pour caresser son torse et faire remonter son tee-shirt.

 

Il est nu devant elle, et son pieu reprend force.

 

Ses mains se glissent alors sous les fesses de la femme qu'il soulève et dépose sans effort sur un meuble de rempotage de chêne clair.

 

Sans un mot il dégrafe son jean et lui retire avec une vigueur mesurée, lui en levant son string dans le même temps.

 

" Hoo Robin... je suis toute mouillée" gémit elle.

 

Maintenue par les genoux, il ouvre le compas de ses cuisses fuselées pour découvrir sa rivière aux rives perlées de gouttelettes de plaisir.

 

Entièrement lisse, son abricot fendu lui donne envie.

 

"Elle est très appétissante" lui murmure t il.

 

Elle se contorsionne, agite son bassin, ses mains viennent s'emparer de ses seins et les masse devant lui qui la maintient fortement écartée, jusqu'à en faire s'ouvrir ses lèvres, son mont de venus offert à sa vue.

 

"Humm..." gémit elle doucement.

 

Il se penche en avant, souffle sur le sexe glabre qu'elle arbore avec insolence, lui provoquant aussitôt un gémissement plus fort.

 

Il pointe le bout de ses lèvres pour effleurer les lèvres nimbées de cyprine.

 

"J'ai envie de te bouffer" lui lance t il en posant sa langue large sur son sexe.

 

Il sent son corps réagir, entend sa voix douce gémir, ses cuisses s'ouvrir dans ses mains, il déguste son miel aux fragrances enivrantes.

 

Sa langue remonte lentement jusqu'à exercer des pressions sur le pistil qu'il fait s'extraire de son logement.

 

De deux doigts il écarte les lèvres délicates de son amante et lui arrache un cri.

 

Son corps se tend comme un arc, elle n'est que désir et sens exacerbés.

 

" Haaaa oui...Ouiii... bouffe moi la chatte à n'en plus pouvoir ... j'ai chaud, je suis trempée !"

 

Ses paroles lui échappent, souvenirs de ce qu'elle a lu, vu, entendu...

 

"...Tu m'attises ! Je suis en feu !"

 

Son corps est une liane qu'il maintient alors que sa bouche et sa langue explorent son antre dans les moindres plis.

 

" Lèche moi, aspire moi, je veux entendre les bruits de sucions, je veux sentir tes lèvres sur mes lèvres, partout... hannnn..."

 

Il tête son bouton, elle manque de défaillir tellement le plaisir monte en elle.

 

" Je veux te sentir te faufiler dans ma fente, je veux bouger sur ta bouche, je veux gémir encore ouiiii..."

 

Ses lèvres sucées, son intérieur envahit par la langue et les doigts de Robin, elle sent l'excitation remonter jusqu'à sa nuque.

 

" Hooo Robin ! Bouffe-moi ! J'ai envie ! Envie de toi ! Ouiiii"

 

L'orgasme la surprend.

 

Elle se cabre, son sexe pourtant maintenu et dégusté avec une frénésie incroyable par l'homme qui lui pratique un cunnilingus depuis de longues minutes.

 

Elle tente de retenir son plaisir et le sirop qu'elle sent s'écouler... avant de s'abandonner dans les bras de la jouissance et lui offrir son offrande liquide.

 

Ouvrant les yeux vers le ciel, au centre de la roseraie, elle crie son bonheur.

 

Et Robin l’avale.

 

 

Quelques minutes plus tard les deux amants sont encore enlacés.

 

Dans les bras l'un de l'autre, sans un mot, seuls leurs yeux se croisent, leurs sourires se fondent quand leurs bouches se rejoignent.

 

"Au fait Robin... je ne t'ai pas dit pourquoi je venais." lui dit elle d'un air malicieux.

 

Il relève une mèche blonde pour la questionner.

 

"Ma mère avait besoin de te voir... tu vas être en retard." Minaude t elle tout en massant son sexe qui avait repris de la vigueur.

 

"Tu... mérites une fessée ! " lui dit-il en souriant et en remettant son pantalon.

 

Elle le regarde, admire son corps qui s'habille.

 

"Ho oui je mérite d'être punie... et toi... tu vas l'être aussi. Mais avec ce que tu m'as donné, elle va pouvoir en avoir pour un moment."

 

Il dépose un dernier baiser sur ses lèvres.

 

"Je suis toujours aux ordres de ma maitresse... et de sa fille" lui déclare t il avant de s'éclipser et répondre, très en retard, à la demande de sa patronne.

 

Elle saisit un sécateur, se coupe une rose de couleur carmin... "Une rose pour une rose" dit-elle en la humant, souriante et lascive.

 

Fin.

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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La roseraie est un endroit particulier de la villa dans lequel Robin apprécie de venir passer un moment à s'occuper des plantes qui y sont dorlotées.21

 

Dans cette vaste coupole de verre et de ferronnerie, au milieu des jardins à diverses hauteurs, il s'immerge dans l'ambiance de Jules Verne, rêvant parfois à des lieux incroyables lorsque le soleil fait flamboyer les fleurs.

 

La pluie qui s'écrase ne trouble en rien sont travail méticuleux.

 

Par des gestes précis il coupe, ôte les épines, écarte les mauvaises herbes.

 

Il est surpris lorsqu'il entend derrière lui un bruit de sécateur.

 

Tenant dans sa main l'appareil, Coralie lui sourit.

 

"Bonjour Robin ".

 

Sa voix de cristal lui fait instantanément un effet sensuel.

 

Elle porte un petit top sans manche, rose pale, un jean bleu avec une ceinture où des brillants forment des arabesques florales.

 

Ses pieds dans ses baskets, elle danse d'une jambe sur l'autre.

 

La bretelle de son top a glissée sur son épaule.

 

Il devine qu'elle ne porte aucun soutien-gorge, ce que ne démentent pas les saillies que forment ses tétons sur le tissu qui cache sa poitrine aguicheuse.

 

" Mademoiselle Coralie, bonjour."

 

Il lui rend le sourire qui illumine son visage de jeune femme.

 

Quelques questions banales sur le moment, le temps et un silence s'installe.

 

"Ma mère vous apprécie énormément" murmure t elle.

 

Elle l'observe attentivement, ce mâle brun au regard perçant, ses grandes mains habiles et son corps a la musculature fine.

 

Simplement revêtu d'un tee-shirt, ses épaules et son torse évoquent la force et l'agilité.

 

Son pantalon, parsemé de poches où il range divers accessoires, est resserré par une ceinture de tissu aux multiples fixations. Une paire de chaussures épaisses achève sa tenue.

 

Elle se mord les lèvres devant lui... son initiateur, son premier amant.

 

" Je ne vais pas vous le cacher" lui répond-il.

 

Elle lui avoue les avoir vu dans le hall ce dimanche, guettant sa réaction.

 

Loin d'en avoir honte il se rapproche d'elle et pose son sécateur.

 

Elle frémit involontairement, sentant son sexe s'ouvrir par intermittence et souiller sa culotte.

 

"Votre mère est une femme très belle, elle est aussi ma patronne. Et vous n'ignorez pas qu'elle est aussi mon amante."

 

Il voit sa poitrine se soulever, sa respiration s'accentuer.

 

Si proche d'elle, il peut en sentir le parfum délicat, rose parmi les roses.

 

"Je le sais Robin... et quand je vous ai vu la... prendre... j'aurais voulu être à sa place... J'espère qu'elle ne sait pas pour nous ?"

 

La lumière tombe sur elle et la magnifie alors que ses joues rosissent.

 

"Je ne lui ai rien dit" lui répond il, si proche d'elle qu'il sent son parfum au milieu des fragrances florales.

 

Elle lui répond d'une œillade complice, rassurée.

 

Il voit son bras nu et ses doigts fins se lever.

 

Il sent sa main délicate se poser sur son torse.

 

Il en apprécie le geste, son sexe réagissant aussitôt.

 

"Vous m'espionniez... vous avez tout vu... et... cela vous a plu ?" ose t il lui demander alors qu'elle caresse son corps au travers de son tee-shirt.

 

"J'ai tout vu... tout." Ses yeux bleus se baissent vers le sol, légèrement honteuse tout autant qu'excitée par cette situation.

 

Elle hésite à poursuivre... "Et j'ai apprécié..."

 

Elle relève les yeux, croise son regard qu'elle sait plongé dans son décolleté.

 

Instantanément ses tétons se tendent avec orgueil.

 

Il pose sa main sur la sienne, emprisonnant ses doigts dans sa main large.

 

"Et cela vous a plu ?"

 

Involontairement ses joues prennent une teinte cramoisie.

 

"Vous vous êtes caressée ?" continue t il de la questionner.

 

Elle rompt avec les yeux sombres qui l'observent et la détaillent.

 

Elle voudrait crier son plaisir d'alors et l'envie qu'elle ressent dans son ventre comme une boule de feu qui irradie tout son corps en ce moment même.

 

"Oui..." avoue t elle timidement.

 

Sa petite main dans celle de Robin, elle vient déposer un baiser sur les doigts masculins.

 

Sur sa joue, la caresse de l'homme en face d'elle la réconforte.

 

"Et j'ai tout entendu..." sourit-elle en relevant le visage, "... tous ces mots très crus..."

 

Ses yeux pétillent alors qu'elle le voit sourire.

 

Elle partage ce sourire qui la fait fondre.

 

"J'ai entendu comme elle aimait savoir que vous aviez eu une autre femme... plus jeune qu'elle..." ses mots se bousculent.

 

Il fait descendre sa main pour que celle de Coralie vienne découvrir l'ampleur du désir qu'elle a fait naitre chez lui.

 

La jeune femme continue de lui révéler, de se livrer.

 

"J'ai aimé lorsque vous lui avez tenu tête pour ne rien révéler. J'avais peur. J'avais honte..."

 

Sa voix si douce l'envoute.

 

Ses doigts posés sur l'entrejambe, elle palpe avec douceur son membre qui s'agite.

 

"Et je me suis caressée... rêvant d'être elle... et encore après, toute seule...ho... Robin..."

 

Il laisse la main de la femme masser son sexe sous le pantalon, remontant ses mains sur ses hanches.

 

Les rondeurs de ses fesses bombées ondulent imperceptiblement alors qu'il se pose sur elles.

 

"J'ai envie de vous" lui dit-elle soudain.

 

Il la contemple.

 

Ses formes mises en valeur par sa tenue qui épouse ses courbes délicieuses sont un appel à la passion.

 

"J'ai envie que vous... preniez ma bouche" poursuit elle en accentuant les palpations sur sa verge durcit.

 

De quelques années plus jeune que lui, Coralie est désirable autant que sa mère.

 

Il tente de résister...

 

Quelle sorte d'homme est-il ?

 

Il possède sa patronne, de plus de 10 ans son ainée... Et déflore sa fille de 25 ans... Mais comment résister à ces deux merveilleuses femmes qui incarnent chacune autant l'amour et le désir.

 

Elle dégrafe le pantalon et faufile sa main pour venir saisir le manche raide.

 

Elle en apprécie la forme, la dureté.

 

Il semble hésiter tout en la couvant des yeux comme un prédateur.

 

"Je suis sa proie" pense t elle avec un sentiment d'excitation supplémentaire.

 

Sous ses doigts elle caresse le sexe tendu qu'elle a vu en action.

 

Lorsqu'il lui sourit, son cœur bondit, son corps est parcouru d'un frisson de plaisir.

 

La voix est grave, chaude..." Agenouille-toi..." lui dit-il.

 

Elle a soudain le tournis mais s'exécute, refrénant ses envies d'aller vite.

 

Tout en se positionnant devant Robin, elle fait descendre son pantalon et le boxer.

 

Dodelinant devant ses yeux, le sexe devient de plus en plus roide, dressé vers le ciel.

 

L'objet de sa convoitise enfin à portée de ses doigts, de sa bouche, elle pousse un soupir de satisfaction.

 

Elle caresse le pylône de chair. Il est brulant.

 

Ses doigts glissent de la couronne du gland parsemé de petites aspérités, à la base étonnamment large en suivant la veine et les nervures qui décorent ce glaive majestueux.

 

Du bout de son index elle s'attarde sur le méat, une fine fente qui sépare le gland rond et turgescent, en le faisant s'entrouvrir délicatement à chacun de ses passages appuyés.

 

La douceur de la peau de cette pointe la fait chavirer.

 

Mais quel genre de femme est-elle pour être aussi excitée ?

 

Elle attire à elle l'homme qui baise sa mère... son ainé de quelques courtes années...

 

Mais pourquoi résister à cet homme qui la fait atteindre la jouissance.

 

Elle ouvre la bouche et avale goulument le gland turgescent.

 

Sa petite bouche aux lèvres roses s’ouvre et forme un rond presque parfait pour entourer son bout lisse.

 

Il l'observe s'affairer lentement sur le casque sensuel.

 

Elle aspire, relâche, tête avec gourmandise comme il lui a appris à faire.

 

Très vite son pieu grossit et enfle sous la pression des lèvres et de la langue agile qui flirte avec le méat.

 

Cette femme est affamée, elle le gobe, l'aspire et le tire vers elle avant de faire coulisser sa verge dans sa bouche.

 

Il caresse son front, relève une mèche blonde, la regarde et lui sourit.

 

"Hoo... Coralie... oui...continue".

 

A ces mots la jeune femme engloutie le sexe dressé, douloureux et tendu à l'extrême.

 

Il admire sa patience et la dextérité qu'elle met en œuvre pour le sucer.

 

Un peu maladroite compte tenu de la largeur de la verge qu'elle avale presque entièrement, elle compense son inexpérience par une envie sauvage.

 

Il se délecte de la petite bouche avide qui s'affaire le long de la colonne nervurée.

 

Elle prend ses invitations à continuer comme autant de récompenses et de remerciements.

 

Dans sa bouche le sexe déforme ses joues par moment, cogne contre le fond de sa gorge et la fait saliver, baver le long de la colonne.

 

Enfin elle peut le sentir pulser sous sa langue, comme dans ses pensées intimes et osées.

 

Du plat de sa langue elle presse la veine saillante d'arrière en avant puis relâche le membre viril.

 

Avec son bout de langue elle caresse le dessous du gland, s'attarde sur les replis.

 

Elle reprend sa salive et sa respiration.

 

Son menton est humide, elle l'essuie puis se saisit des bourses glabres, lourdes, pleines, qui pendent sous le cep dressé.

 

Dans ses mains elle apprécie les boules qu'elle malaxe et fait rouler.

 

Elle lèche doucement la glace de chair...

 

A suivre...

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