[...]
Debout devant moi, je regarde cette femme dont les yeux m'hypnotisent.
Ses grands yeux bleus-verts, couleurs des eaux des îles, cerclés d'écailles de lunettes
noires, assemblages de contastes entre sensualité primitive et austérité monacale.
Son visage ovale, parsemé de petites tâches de rousseur, sur lequel tombent quelques mèches de cheveux flamboyants qui ont échappés à
son chignon sévère, me surplombe de haut.
Je l'admire... à 4 pattes devant elle. Entièrement nu.
Ses longues jambes fusellées, ses rondeurs de hanches, la découpe souple de sa taille mise en
valeur par la culotte de coton blanc qui cache son intimité, les formes généreuses de sa poitrine masquée par un top trop étroit, ses bras fins dont les bracelets d'or tintent à ses poignets...
tout son corps est un appel au désir.
Les pointes de ses seins tendent le tissu. Le balancement qui les agite tel un métronome, me donne le tempo de ses envies. Leur
générosité arrogante rempli le tissu qui en dévoile son ventre pâle à la peau douce.
Les doigts fins et manucurés de sa main droite viennent se poser sur le tissu de son entrejambe.
Ses cuisses légèrement écartées, elle glisse sur sa culotte. Une tache forme une ombre, signe de son humidité abondante en décore
l’intime pli.
"Approche baby". Me dit-elle.
Sa voix est une mélodie envoutante. Avec un accent irlandais son français parfait est riche de sensualité.
J'obéis. Ainsi qu'elle me l'a fait comprendre,
ainsi que je le veux.
Notre plaisir mutuel vient de prendre le chemin de la douce soumission.
Et j'obéis à ce que me demande ma maitresse, Miss Kathleen, mon ainée de presque 10 ans.
Mon visage à quelques millimètres de son entre cuisses, mes narines s'emplissent de l'odeur chavirante de son suc. J'ai envie de me
jeter sur elle pour la dévorer, mais elle m'oblige à agir selon ses désirs. La restriction, la contrainte, l'attente ne font qu'accentuer mon érection et attiser le feu qui me brule le
ventre.
J'ouvre la bouche et ma langue se pose sur le coton. La saveur de son sirop de femme me parvient enfin. Je passe mon muscle sur le
dessous souillé. Il poisse à son intimité et je peux deviner les formes de sa fente, les renflements de ses lèvres, la texture délicate de sa fine toison invisible.
Avec application je passe ma langue sur son sexe caché.
Elle recule d'un pas, me regarde d'en haut sans un sourire.
"Viens... " murmure t-elle de façon catégorique.
J'avance, docile, pour de nouveau venir lécher sa culotte et la mouille qui la souille, bien vite encore plus trempée sous l'effet de
ma langue et de ma salive.
D'en bas, je lève les yeux. Sous son top se distinguent ses seins fiers qui s'agitent et sur lesquels elle passe ses
mains.
Ses yeux sont fermés, sa bouche entrouverte... elle se tortille lentement au rythme de mes lapements sur sa féminité
suggérée.
Elle recule, m'appelle à chaque fois pour me voir avancer, le sexe en pleine érection, mes bourses glabres pendantes, la bouche
affamée de son abricot.
Après quelques minutes elle fait rouler lentement le tissu de sa culotte. Tout doucement son intimité se dévoile... La frange pileuse,
rousse, encadre des lèvres molles et ruisselantes.
Le tissu colle à son sexe. Mon visage est rouge d’envies toutes les plus osées les unes que les autres.
Au milieu de ses cuisses ouvertes, le fond de son dessous est maculé d'une épaisse poisse de cyprine.
Elle remonte ses lunettes et m’indique de venir lécher son jus étalé sur le fond de sa culotte de coton.
Docile je m'exécute. Le visage contre ses cuisses, je viens gouter son sirop féminin déposé sur le tissu tendu.
Son gout est délicieux, délicat, savoureux.
Ses mains dans mes cheveux, elle me relève le visage.
Elle a ôté son top et ses seins lourds, se balancent majestueusement au dessus de moi.
Blancs, parsemés de petites tâches rousses, ils lui confèrent une prestance inégalée. Ses mamelons sont larges, roses, en surépaisseur
de ses seins. En leurs centres elle caresse un téton long et pointé vers l'avant.
"Lape... "
Ses doigts écartent ses lèvres et me dévoilent une fente aux couleurs chatoyantes que les éclairs de l'orage extérieur rendent encore
plus mystérieux.
Mon muscle se fait large pour déguster son sexe offert. Je passe sur l'intégralité de ses lèvres trempées.
Plus étroite, ma langue s'enfouit dans son antre chaude. Je fouille, frôle, dévore...
"Hooo yes... suck... suck-me baby..." Gémit-elle.
Je lèche plus vite, mon visage plaqué à son sexe, affamé.
Son jus coule, mêlé à ma salive.
Elle gémit, grogne, ondule son bassin et frotte son bas ventre sur ma bouche qui embrasse son sexe béant.
"Hannnn suck me... sweety little dirty pig ! Haaa... ".
Je sens son corps se cambrer, sa vulve palpiter.
Ses paroles me reviennent... je suis son doux petit cochon... un vilain cochon... j'en rougis… de honte, de joie, de
ravissement.
La lumière s'éteint soudain dans un craquement d'éclair.
Mes lèvres aspirent les siennes.
Ma langue extraie son bonbon d'amour gorgé d'envie.
Je le suce, l'attire vers ma gorge. Son petit pénis féminin excité par ma langue, suçoté, tété par ma bouche gourmande et
vorace.
Elle rejette son visage en arrière, bouche grande ouverte dans un cri muet qui finit par exploser, un râle... alors que son corps se
tend.
Je déguste le jus qui coule de son corps et inonde ma bouche, dégouline sur mon menton.
Sa jouissance se prolonge, je m'affaire à lui pratiquer un cunnilingus lent et savoureux.
Je la bois. Son sirop de femme coule dans ma gorge et j’en veux encore.
Elle repousse mon visage doucement.
"Tu es vilain... je ne t'avais pas demandé de venir me faire jouir aussi vite." Sa voix est un ronronnement de chat.
Elle se recule, s'assoit dans un des fauteuils de cuir vert, ce vert irlandais à la fois chaleureux et tendre.
D'un geste de la main elle tapote ses cuisses lisses.
"Viens baby. Viens recevoir ta fessée."
A suivre…