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Elle vient d'atteindre l'extase, la jouissance.
Dans ses yeux les éclats de lumière des lampes de son salon sont un kaléidoscope reflétant le plaisir intense qu'elle vient de prendre.
Son intimité encore douloureuse de l'intromission contre nature qui vient de lui arracher un cri et son abricot ruisselant, elle accepte docilement de se
placer à 4 pattes et satisfaire à la demande de son amant.
Elle relève sa croupe, offrant une vision stupéfiante de son corps ondulant, de son étroit anneau toujours entrouvert, de ses lèvres molles
suintantes...
Elle imagine cette scène et son esprit s'envolle de nouveau.
La main de Robin se pose sur le bas de son dos et elle réagit instantanément en écartant ses cuisses.
Il sait qu'elle peut jouir une seconde fois juste après son premier orgasme.
D'une main ferme il flatte le fessier généreux aux courbes douces qu'elle lui donne.
Son vit est une branche raide et gorgée d'envie innassouvie.
Sa main s'en saisit à la base et le pose sur la fente trempée de suc féminin.
Après deux petits mouvements destinés à faire s'ouvrir les lèvres souples, il l'enfourne sans ménagement et la fourre jusqu'à la garde.
Elle se crispe, son visage se serre, elle lâche un "hoo ouiii" qui se perd dans un souffle alors qu'elle sent le sexe s'immobiliser au fond
d'elle.
Les mains caressent ses hanches, des mains mâles et habiles.
Elle se laisse faire, remplit, attentive aux contractions de l'appendice qui s'agite en elle.
Son fourreau lubrifié est une puit de sensations délicieuses.
Elle le sent plus attentif à son plaisir d'homme qu'au sien.
Il la chevauche, accentuant son mouvement de balancier.
Une force tranquille qui entame un va et vient profond, qui accélère, faisant refluer et avancer le pieu inflexible comme un piston mécanique.
"Hoo. Que vous êtes bonne ! " Dit-il en poursuivant ses allers et retours.
Il sait que ce langage va la révéler, que ces mots crus vont attiser les braises pour enflammer son corps.
Ses mains maintiennent fermement les sublimes hanches.
Elle se tend à cette appellation.
"Prends-moi comme une chienne. Tu es un salaud de baiser une étudiante dans mon dos". Lâche t-elle, encore perturbée par la révélation de son
tourmenteur.
Le pubis vient cogner sur ses fesses.
"Elle pourrait être ma fille... ". Dit-elle sans se rendre compte de la portée de sa phrase.
"Si vous saviez comme elle a pris" lui répond-il, du ton du mâle dominateur qui la fait chavirer à chaque fois.
Robin, cet homme a sur elle une emprise qu'il ne soupçonne heureusement pas.
Cette candeur et cet orgueil de coq, tout ce que son mari n'a plus.
A ces mots il la fouaille de plus belle, jusqu'à la faire gémir de nouveau.
Il la saisit par les épaules pour la forcer à venir s'écraser contre lui à chaque coup de butoir qu'il assène avec une vitesse accrue.
Son pylone s'enfourne, ressort presque entièrement pour de nouveau écarteler les chairs féminines.
Il la domine de tout son corps musclé.
Derrière elle, il la prend ainsi qu'elle la exigée... "oui... comme une chienne".
Le ton de ses gémissements lui indique qu'elle suffoque de plaisir.
Les mouvements de son corps lui révèle qu'elle grabit de nouveau les marches vers la jouissance.
Sa gorge étouffe ses mots. Ses cris rauques, des râles, sont entrecoupés de silences pendant lesquels elle cherche à reprendre son souffle.
La grosseur du sexe de Robin déforme les parois de son vagin, sa vulve pulse à l'unisson.
La voix grave la surexcite.
"Elle a criée..." lui dit-il ce salaud qui la baise en lui racontant ce qu'il a fait à une autre.
Et elle transpire, sa cabre comme une chatte, incroyablement heureuse de cette situation.
Son sexe grossit, une éponge de sang aussi dure qu'une pierre.
Il la sent s'abandonner, s'affaler sur le sol, ses bras ne la retiennent plus.
Elle se laisse prendre, possédée, cambrée, malmenée.
Il en tire un plaisir décuplé et décide de la sauter comme un hussard.
Une fureur presque bestiale...
Elle lâche prise.
Des coups de reins qui la font progresser sur le tapis..
"Tiens ! Prends ! Prends ça ! " lui murmure t-il à chaque fois qu'il la perce au plus profond de sa grotte.
Elle voudrait encore plus de grossierreté mais est incapable d'articuler...
Le frollement sur sa nuque, elle accepte la main qui tire ses cheveux vers l'arrière et le force à se tordre comme un arc.
Un soupir lui échappe.
"Il te reste encore de l'entrain !" parvient-elle à lui dire.
La réponse lui fait arriver une première bulle de jouissance...
"C'est une vraie princesse. Mais là, j'ai la reine des salopes."
Un animal... en rut...
"Oui... je suis ta reine... haaaaa !"
Les perles de jouissance s'enfilent l'une après l'autre.
Un orgasme perlé qui la fait haleter.
Il la sent hocquetter et prendre son pied.
"Tu jouis encore..."
Il lime encore quelques secondes jusqu'à la voir se détendre dans ce moment d'extase ultime.
Il se retire vivement.
"Humm. Madame... approchez".
Le corps de sa patronne se retourne vers lui.
Ses deux obus magnifiques sont lourdement tendus.
Ses yeux sont clairs.
Sa peau semble aussi nacrée que le collier minéral qu'elle porte autour du cou.
Il a le sexe à la main comme un sabre recourbé, une épée en croissant.
Elle lui sourit.
Elle aime le ton qu'il met dans ses phrases, un ordre de fer dans une mélodie de velours.
Sans se faire prier elle vient gober la verge trop grosse.
Sa bouche forme un rond large.
Doucement, elle le fait progresser jusqu'à sa gorge, puis recule et le suce avec joie.
Le cri qu'il pousse la ravit.
Elle ouvre la bouche en grand et tape le sexe sur sa langue.
La base entre ses doigts, elle l'agite pour le masturber méthodiquement.
"Avalez tout" lui lance t-il avant d'onduler du bassin contre sa langue.
Elle, la maitresse de maison, les yeux grands ouverts vers lui, la bouche souriante lorsque les giclées lui maculent le front, lui tapissent la gorge,
elle tire la langue, lèche, nettoie le foutre épais.
Elle ouvre en grand sa bouche pour lui montrer son jus d'homme
Il l'observe, repus d'avoir explosé de désir.
Le front et la joue enduits de sirop, il lui sourit, assentimment à ce qu'elle avale par gorgées.
"C'est délicieux." fait-elle en se léchant les lèvres.
Ses yeux brillent.
Elle presse la base du sexe qu'elle tient pour en faire sourdre l'entier nectar.
"J'espère avoir répondu à vos attentes Madame ? Vous servir est... un plaisir."
En nage, elle est en apesanteur.
Entre ses doigts le sexe s'ammolit lentement.
Ses jambes sont en coton et elle accepte la main tendue pour se relever.
"C'était parfait Robin. Tout simplement parfait. Comme d'habitude."
Il dépose un baiser sur sa joue comme une récompense pour un plaisir partagé.
Nue, elle laisse errer sa main sur le torse de son amant.
L'éclat de son alliance luit.
Elle souffle...
"Hoo... dans quel état je suis..."
Elle hasarde un dernier regard sur le membre ballotant.
"Il me faut aller me coucher avec... mon mari. A demain Robin. Reposez-vous. Soyez en forme."
Il l'observe s'éloigner, monter l'escalier, entièrement nue.
Ses hanches se balancent de droite à gauche.
Sans un regard vers lui alors qu'elle referme la porte de la chambre.
"Bonne nuit madame", murmure t-il dans le vide du salon.
Son corps récupère de la tension qui vient de l'habiter.
Dans l'ombre du couloir, un autre corps se détend et sourit.
Coralie referme la porte de sa chambre... les doigts encore souillés d'avoir vu et entendu Robin et sa mère.
Le feu encore en elle, elle murmurera encore son prénom avant de trouver le repos.