Partager l'article ! La villa - Soir de Bridge - 3: [...] Elle s'approche du lit. Sans un bruit, ses pieds sur le tapis, elle ondule ...
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Elle s'approche du lit.
Sans un bruit, ses pieds sur le tapis, elle ondule des hanches.
A 40 ans passées il l'admire, elle, sa patronne, entièrement nue et extrèmement sensuelle.
Sa lourde poitrine aux larges mamelons se balance à chaque pas.
En haut de ses cuisses, son sexe bordé d'un court et étroit duvet brun attire son regard. Ses lèvres sont ammolies par la percée qu'elle vient déjà de subir.
Elle lui sourit, énigmatique, le visage légèrement penché. Il mesure sa chance d'avoir un tel employeur.
Sur la jambe musclée de Robin repose sa verge large.
Elle l'admire, lui, l'homme à tout faire de la maison, celui qui fait presque partie de la famille tellement il est là depuis longtemps et qu'il maintient la villa en ordre. C'est son amant également. Elle a oubliée depuis quand... peut etre un an ou deux... trois peut-être. Et son mari n'en sait rien.
Il a la peau hâlée par les travaux du jardin, les muscles saillants et fins.
Ses yeux noirs l’observent et la détaillent, elle en joue et accentue sa démarche féline pour l'envouter de ses charmes.
Elle grimpe sur le lit, à 4 pattes, l'envie chevillée au corps.
Sur son épaule quelques gouttes d’eau perlent encore de la douche qu’elle vient de prendre.
Elle respire le parfum du savon.
Il la dévore du regard, sa bouche aux lèvres pleines, les minces ridules aux coins de ses yeux et… cette paire de seins qu’elle fait frôler sur son torse.
Le bout des tétons, érigés, effleurent sa peau.
La poitrine, volumineuse, pend de façon envoutante.
Il l'admire. Il sent le désir monter en lui. Il la convoite.
Elle place un bras de chaque côté du corps de l’homme et poursuit ses caresses particulières à l'aide de sa poitrine.
Elle oscille de droite à gauche, descend sur ses abdominaux légèrement velus.
Sa voix est un murmure.
- Tu es encore tout sale…
Elle inspire.Ses mamelons effleurent l'homme.
- Et tu sens le sexe… encore tout couvert de ton foutre et de ma mouille… J'adore...
Les pointes de ses seins viennent frotter contre la verge qui se tend de plus en plus.
- .... SI tu savais comme... ça m’excite.
Il la laisse agir, profitant de ce moment de massage extraordinaire. Un duo de cercles aux pointes de mamelons.
Au dessus d’eux, comme un dais de velours, le tissu du lit à baldaquin forme un cocon.
Il ne dit rien, la laisse parler.
Elle remonte, ses tétons revenus sur son torse.
- J’ai été vilaine… de t’avoir parlé si durement cet après-midi. Et de t’avoir laissé dans une situation très inconfortable…
Les yeux clairs de sa patronne scintillent de milles feux alors que sa poitrine passe sur son corps dans un ballet lent et stimulant.
Il relève une mèche de cheveux qu’il lui place derrière l’oreille.
La peau de sa joue est si douce.
Elle incline le visage légèrement pour chercher à effleurer de sa bouche le bout de ses doigts.
- Vous êtes pardonnée madame.
- Tu es un chou…
Elle remonte son torse pour venir mettre à quelques millimètres du visage de Robin, les mamelons roses et tendus.
- Même pour avoir dit de ta … « conquête »… que c’était une "petite pute" ?
Au-dessus de lui, elle le surplombe de toute sa stature.
Il n’est nullement impressionné, bien au contraire, il lui rend son sourire.
Ce mâle la fait chavirer à chaque fois qu’elle le voit.
Jamais encore il n’était venu dans son lit conjugal mais l’envie était trop forte ce soir. Elle le voulait à elle, elle le veut entièrement.
Son corps est en feu, à nouveau… Elle suinte, elle le sait.
- Je mériterais d’être punie non ? Même si je suis jalouse d’elle, je la tolère si tu me reviens.
Des envies obscènes lui traversent l’esprit. Des idées qui la font s'enflammer.
Il pose sa main sur son bras.
Sa peau de satin est un délice au toucher.
Il sent qu’elle a envie de plus de masculinité mais il la fait languir.
Son membre s’agite, durcit, grossit.
- C’est vrai que vous n’avez pas été très polie.
Elle ronronne en le regardant, sa bouche légèrement entrouverte sur sa langue.
« Si elle savait qu’elle parle de sa fille... ma "conquète" », pense t-il sans rien laisser paraitre.
Elle se penche sur lui, sa poitrine se pose sur son torse.
- C’est que je n’ai pas l’habitude que l’on me résiste. D’habitude les gens me font des courbettes, me parlent très gentiment, sont… si obséquieux avec moi…
Il entend sa voix se casser sous le joug de l’excitation qu’il perçoit grimper en elle.
Elle dépose des baisers sur son front, sur ses joues.
- Alors que j’ai envie… d’être… malmenée…
Elle embrasse son oreille.
- De m’entendre dire des choses crues... que mes seins sont... gros...
Sa bouche parcourt son menton en une trainée de baisers légers.
- Que… j’ai un cul de cochonne… qui mériterait d’être fessé…
Elle suçote le lobe de son autre oreille.
- Que je ne suis bonne… qu’à être baisée…
Le bout de sa langue lèche l’intérieur de l’oreille de Robin dans une attitude perverse.
Du creux de ses reins jusqu’à sa nuque est montée une décharge électrique, une bouffée de chaleur, qui a enflé au fur et à mesure qu’elle devenait plus avide de luxure.
Elle pose sa main sur le sexe de son employé et le découvre de nouveau raide. Il bande comme un cerf. Elle avale sa salive avec difficulté, imaginant déjà les outrages qu'il va lui faire subir.
Elle l’enflamme.
Ses gestes, ses paroles, ces mots crus ne font qu’attiser le feu qui le consume.
Il reste troublé par cette femme, si guindée, polie, BCBG en société, et si différente lorsqu’elle est avec lui.
Il remonte sa main vers le cou gracile et lui indique la direction à prendre.
Elle se laisse faire et lèche sans plus attendre le vit qu’elle force à se lever.
Avec des gestes lents et habiles elle masturbe la base de son sexe tout en englobant bientôt l’entière largeur.
Elle le suce avec gourmandise, malaxant, tournant sa langue, enveloppant le gland… elle aspire, elle pompe, les yeux fermés, concentrée sur son œuvre.
Il gémit de plaisir.
Ses cuisses s’ouvrent pour lui permettre de le gober encore plus loin.
- Viens t-empaler. Lui ordonne t-il soudain.
Elle ouvre de grands yeux.
Il vient de la tutoyer… et de lui donner un ordre.
Elle abandonne le sexe désormais luisant de salive.
Dans sa bouche lui reste le gout de sperme et de cyprine dont il est recouvert.
Elle s’affole.
Ses genoux enjambent Robin et elle pose sa fente sur le pieu raide qu’il maintient droit vers le ciel.
Sans un effort il entre dans son puits ruisselant.
- Tu es tellement large et mouillée que ça rentre tout seul.
La voix rauque et sourde qu’il emploie la fait chavirer.
Elle tend ses fesses pour faire progresser le piton dans sa motte.
Elle remonte et descend lentement, glissant toujours plus profondément…
Ses parois s’écartent et le sexe la possède.
Elle gémit, embrochée jusqu’à la garde.
- Danse sur moi maintenant. Allez, bouge ton gros cul.
Il la voit rougir et le regarder d’un air ravi.
Elle entame une lente oscillation du bassin.
Sa vulve se contracte pour aspirer son manche planté en elle.
Il accompagne les mouvements d’ondulation.
Soudés l’un à l’autre son glaive est emprisonné dans le plus bel étau qui soit.
Il flatte ses seins. Elle semble faire la danse du ventre sur lui, aspirant son pieu turgescent dans son écrin brulant.
Sa motte entièrement remplie, assise sur lui, elle en a les yeux mi-clos.
Une pichenette du doigt sur son téton tendu le fait bouger, roide et pourtant sensible.
- Tu as une sacrée belle paire de loches…
Elle ouvre la bouche et laisse s’échapper un « haaaann » sourd.
De la paume il presse les deux seins l’un contre l’autre.
Une petite claque sur l’un d’eux… un son mat… auquel elle répond par un gémissement.
- Caresse-les tes grosses mamelles.
Elle pose ses mains instantanément sur sa poitrine et la malaxe.
- Ha oui… mes grosses mamelles.
Empalée sur Robin, elle passe d’une fesse sur l’autre pour sentir le sexe vigoureux la pénétrer jusqu’au fond de son vagin.
De ses doigts elle tire les tétines dures qui pointent vers l’avant.
Les paroles de son amant la brulent au fer rouge du plaisir.
- De vrais pis de vache…
Elle remonte sur ses genoux et se laisse entièrement glisser autour du sexe.
Sa comparaison est une insulte qui la fait réagir par un écoulement plus important.
Elle pousse de petits cris.
- Tu sais que tu es bandante ma grosse salope ?
Concentrée elle parvient à ne pas jouir dans l’instant.
Haletante elle n’ose plus bouger.
Elle résiste à ces mots crus qui lui chahute l’intellect.
- Relève toi que je vois ta chatte. Elle doit être bien trempée maintenant.
Réprimant une grimace, elle se redresse et la verge quitte son sexe.
A genoux au dessus de son ventre, elle a les cuisses marbrées de cyprine.
Il pose ses pouces dans la fente et, par un geste lent, les éloigne, il ouvre ainsi son sexe.
Elle geint, son corps en sueur se cambre vers l’avant.
Délicatement il écarte les grandes lèvres l’une de l’autre et révèle son intimité dans toute sa béance.
Il les fait rouler dans ses doigts.
Elle halète, incapable de se retenir.
- Ta moule est baveuse… tu me coules sur le ventre comme une vraie cochonne.
- Haaa Robin… arrête… je vais…
Il maintient sa fente grande ouverte.
- Branle-toi devant moi.
Sa voix claque dans la chambre mais elle n’hésite pas un seul instant et pose sa main sur son clitoris.
Sa chatte est en feu, le moindre effleurement la fait crier et gémir.
Deux doigts… elle se masse à deux doigts.
Sa perle est totalement sortie de son logement, excitée comme rarement, offerte à la vue de son amant.
Elle dégouline.
Son sirop de femme lui échappe.
Elle jouit.
Ses doigts accélèrent.
Elle sent les pouces forcer sa vulve et lui élargir le sexe.
Elle pousse un râle.
- Tu jouis ma belle salope ! Lui dit-il.
Elle se tend, pose une main derrière elle, son bassin vers l’avant, se cambre et reste fente en avant, à couler sans retenue entre ses doigts poisseux.
Les halètements succèdent aux gémissements.
Son corps devient plus lourd et elle est prise de tremblements avant de s’asseoir sur le ventre de Robin.
- Je n’en n’ai pas fini avec toi.
Elle frémit.
Il peut tout lui faire. Elle veut tout.
A suivre…