[...]
Je me levais et déjà je sentais au fond de moi l'oeuf venir froler le plug anal au travers de la fine membrane qui séparait mes deux orifices.
D'un geste lent je remis ma jupe en place.
Monsieur me regardait.
J'avais chaud.
Au creux de moi les deux objets plantés dans mon bas ventre me faisaient l'impression de m'ouvrir littéralement.
Au premier pas le god oscilla dans mon vagin, il fit tinter sourdement la boule insérée dans mon anus.
Le plug était pourvu d'un balancier interne, j'eu du mal à me retenir de gémir.
Chaque pas était source de sensations internes.
Le sourire de l'homme en face de moi me rendait fière.
Sa voix douce me parvint pour échauffer mes joues un peu plus.
- Tu seras punie si tu jouis.
Il savait qu'il me serait impossible de ne pas atteindre l'orgasme.
- Oui Monsieur.
Je m'excitais toute seule à cette seule réponse.
Le couloir me paraissait long jusqu'à l'ascenseur.
J'avais remis mes cheveux en place, refait un peu de maquillage distraitement.
Alors que certains avaient pris une pause relaxante, je m'étais faite fessée et introduire par tous les trous.
Alors que d'autres étaient concentrés sur l'idée de ne pas s'assoupir durant la conférence, j'avais le devoir de rester discrète sur les sensations qui m'habitaient.
Monsieur ralluma l'oeuf dans l'ascenseur.
Sa vibration m'envahit comme une vague.
Irresistible.
Une onde de chaleur et d'excitations de sens qui remontaient jusqu'à ma nuque, jusque dans le bout de mes pieds, de mes mains.
Je du m'accrocher à son épaule et à la barre de laiton pour ne pas m'effondrer.
Ses yeux gris dans les miens, sa main qui me retenait, il était là et cela décuplait de manière intellectuelle le plaisir charnel que je venais de prendre.
Mon sexe et mon intimité stimulés en profondeur, je sentais déjà que je mouillais.
La porte s'ouvrit et je savais que je devais retourner dans l'arène.
J'aurais pu m'enfuir comme il partait de son côté, ou enlever les objets pour ne pas avoir à risquer de subir une situation des plus génante au milieu de tous ces gens.
Bien au contraire j'entrais enivrée par le suplice secrêt qui nous liait.
Je décidais de croiser les jambes assez haut pour qu'il puisse, assis en face de moi de l'autre côté de l'arc de cercle, pouvoir à loisir poser ses yeux sur mes cuisses... et savoir que d'autres que lui pouvaient en faire autant.
M'asseoir fit bouger le plug et par la même décaler le god... plaisir délicat qui me ravi.
Je décroisais puis recroisais, insistant sur mon assise, sous le regard complice de mon maître.
La première série de vibrations me pris par surprise alors que j'écrivais. La feuille perça.
Avec peine je résistais, fermant les yeux.
Le souffle court, à peine remis de mes émotions, la seconde série me donna l'impression de m'ouvrir l'entre cuisses.
Peu à peu je perdais pied.
Les temps où les vibrations cessaient ne me permettaient pas de récupérer mon aplomb.
Je ne parvenais pas à me concentrer sur la conférencière.
Lorsque je n'avais pas les yeux clos, je sentais le sourire complaisant de Monsieur qui me redonnait la force de ne pas sortir en courant.
Mon voisin me demanda si j'allais bien.
Je repondis qu'une légère indisposition ne m'empéchait en rien de suivre de manière attentive.
Menteuse, mon cerveau reptilien avait gagné, je ne mesurais que mes sensations et mon excitation qui allait croissant.
Mon anus ne m'obéissait plus, il se dilatait sous l'effet du plaisir.
Ma fente coulait sous les trépidations exercées à ma vulve.
Je sentais mon clitoris et mes seins douloureux.
Je n'avais qu'une envie, écarter mes cuisses et me cambrer, tendre mon cul et mon sexe et crier.
Au lieu de cela je faisais des efforts herculéens pour endiguer la jouissance qui me parcourait.
Les orgasmes se succédèrent de façon perlée.
Incapable de résister, je subissais les vagues de plaisir issues des secousses internes qui irradiaient de mon bas ventre.
Le feu de mes joues n'était rien comparé au feu qui m'incendiait l'intimité.
Bouche close, du fond de ma gorge sourdaient des soupirs que je tentais d'étouffer avec peine.
La voix forte de la femme cachait au public ces gémissements impolis que je ne savais plus empécher.
Ils résonnaient en moi, à l'unisson des mouvements cahotiques et obcènes des objets rivés en moi.
Ce plaisir était source de honte.
Cette honte était source de plaisir.
Le séisme qui m'animait avait des répercussions sur tout mon être.
Une salve d'applaudissements nourris éclata.
Je poussais un petit cri libérateur qui se perdit dans l'environnement.
Les joues rouges, les doigts blancs d'avoir serré la tablette et le fauteuil, je restais assise alors que les auditeurs désertaient la salle.
Monsieur me lança un sourire m'indiquant qu'il arrêtait les vibrations.
Il me fallu quelques minutes pour me retrouver.
Mes cuisses et ma jupe étaient souillées de mes jouissances.
Je venais de prendre mon pied au milieu d'une centaine de personnes, de façon secrête, pendant plus d'une heure et demi.
Il me restait à affronter la punition de mon Maitre... instantanément je recommençait à mouiller.
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]
La matinée du deuxième jour avait été dense.
Les concepts avaient été aussi nombreux que les éléments à analyser.
Le séminaire recommence, après la courte pause, par une conférence qui risque de nous reposer.
J'en profite alors pour rejoindre ma belle assistante dans sa chambre.
Elle se remaquille légèrement et me sourit alors que j'entre dans la pièce.
Simplement vêtue de son soutien gorge et de sa jupe, elle inspecte les ombres qu'elle porte a ses yeux.
Je ne me lasse pas d'admirer sa généreuse poitrine qui surplombe une taille échancrée qui donne le torticolis aux hommes qui la croisent.
Ses fesses bombées emplissent avec sensualité sa jupe sombre.
Je caresse doucement sa nuque.
Sa peau est douce, fraiche, satinée.
- Que puis-je pour vous Monsieur ? Me dit-elle en posant son petit matériel, adoptant le dos droit qu'elle sait que j'exige.
Mes lèvres déposent sur son cou un baiser lent et délicat.
Elle frémit.
Je lui souris dans le miroir.
Elle est radieuse.
Je lui tends alors un petit paquet.
- Je souhaite que tu portes cela cet après-midi.
De ses doigts délicats elle ouvre la boite et y découvre un petit oeuf.
Un sourire en coin elle me regarde.
- Voilà qui va égayer cette conférence.
Je l'embrasse à nouveau.
Elle écarte ses jambes sans une hésitation.
Sa jupe remonte sur ses cuisses de nylon.
Sa main vient disparaitre sous le tissu.
Elle se trémousse puis se cambre.
Je poursuis mes baisers sur sa nuque et mes mains caressent ses épaules.
Elle poursuit sa masturbation lente.
Quelques soupirs viennent m'indiquer qu'elle y prend un plaisir non feint, ses yeux dans les miens via le miroir voyeur.
Je m'empare de ses seins généreux.
Du bout des doigts je tire, au travers du tissu, les pointes raides de ses tétons.
Elle se cambre et plaque ses petites fesses rondes sur ma verge dure.
Je saisi l'oeuf.
Dans le reflet, ses yeux brillent, elle me regarde, la bouche ouverte sous les effets de sa masturbation.
L'oeuf passe sur sa joue, sur son cou... il remonte sur ses lèvres.
Elle pose sa langue sur l'objet et l'embrasse, sans me lacher du regard.
Derrière elle je la sens se cambrer et presser son séant sur mon sexe.
Nos sourires s'échangent.
Je glisse l'oeuf sous sa jupe.
Elle ferme les yeux.
Sous mes doigts se dessine sa peau, la chaleur moite de son intimité.
Je rencontre sa main qui me guide.
Au moyen de l'objet, elle me fait monter et descendre, appuyer sur sa motte excitée qui perle de suc intime.
Elle se trémousse et je fais s'ouvrir ses lèvres pour un insérer l'oeuf.
De bas en haut, l'objet lui écarte de plus en plus la fente.
De haut en bas, il la force à s'ouvrir et l'accueillir.
Le bout de mes doigts frole ses lèvres, la pointe de l'oeuf s'insinue.
Je pousse doucement vers son intérieur intime.
La pince de mes doigts écarte son sexe, faisant progresser le god ovoïde dans sa grotte.
Eve fléchie les genoux, ouvre ses cuisses, mes doigts entrent en elle, dilatant son sexe pour y placer l'oeuf dans ce nid invisible.
Elle pousse un cri qui devient muet.
Sa respiration se bloque avant de se relacher.
Mes doigts ont accompagnés le god au creux de son intimité.
Je me retire.
Elle cabre son corps d'un coup et je sens sur ma main couler la cyprine de son orgasme.
D'un mouvement lent elle bascule son visage en arrière.
Je prends sa bouche.
Nos langues s'enroulent et se cherchent, se perdent et se pressent l'une contre l'autre.
Elle a un gout délicieux, celui de l'envie.
Par petites touches de baisers je la libère.
- Monsieur, il est... au chaud.
Du dos de la main je caresse son visage délicieux.
- Tu iras te placer face à moi dans l'amphithéâtre.
Elle acquiesce, sachant que je pourrais ainsi la voir croiser et decroiser les jambes.
- Je ne veux pas que tu jouisses sinon tu seras punie.
Un hochement de tête, elle rosie quelque peu.
Je sors alors de ma poche un petit objet.
J'appuie sur un des boutons.
Elle ferme les yeux instantanément en même temps que son corps se tord et qu'elle pousse un petit cri.
- Oui, dis-je alors d'un ton plus grave, il vibre aléatoirement ou... selon ma volonté.
Elle s'installe dans l'arène de sièges face à moi.
Sans peine elle parvient à dissimuler le corps étranger qui est tapi au fond de son ventre.
Je l'allume alors.
Irrestistible, le fremissement qui envahit son sexe la fait se raidir.
Elle me jette un regard affolé.
Mes mains sur la table, elle saisit que l'objet est en mode automatique et qu'il va ainsi s'allumer de façon constante et inopinée.
Ses cuisses se croisent et se décroisent au fil de la discussion qui n'attire que bien peu mon attention.
Je la vois se trémousser face à moi.
Quelques regards en coin me font comprendre qu'elle ne parvient que difficilement à conserver une attitude respectable.
Elle se mord la lèvre, baisse la tête, passe sa main dans les cheveux, agitée alors que le temps passe.
D'un mouchoir elle éponge son front doucement et pousse un hocquet de surprise que son voisin remarque.
Les cuisses décroisées, ouvertes à en tendre sa jupe, elle reste ainsi quelques secondes avant de se ressaisir et me lancer des éclairs du fond de ses prunelles.
Les minutes s'écoulent. Implacable le god poursuit ses vibrations insidieuses que je fais monter d'un cran en intensité.
Une main sur son front pour cacher son regard qui se crispe sous le plaisir qu'elle prend malgré elle, je la devine reprendre sa respiration avec difficulté.
L'homme à ses côtés la questionne.
D'un signe négatif de la tête elle lui indique que tout va bien.
FIèrement elle relève le visage et se concentre sur le conférencier avant d'être assaillie par une nouvelle vague de secousses internes qui la font se cambrer en écartant les jambes, pour tenter des les resserer, yeux clos, mains crispés sur le tour de son ordinateur portable.
La pause vient mettre fin à son supplice.
Je coupe le pernicieux oeuf avant de la retrouver dans l'ascenseur qui monte à sa chambre.
Les yeux clairs elle n'ose faire un geste.
Sans un mot nous entrons dans la chambre.
Elle se tient droite, visiblement éprouvée.
- Alors ? Questionne-je en m'approchant d'elle.
- Je suis désolé Monsieur.
Je glisse ma main sous sa jupe à la rencontre de son sexe.
- Tu es trempée.
- Excusez-moi... j'ai jouis... à plusieurs moments..
- Combien de fois ? Dis-je en flirtant avec les lèvres renflées qui montrent une excitation continue.
- Trois fois.
Je m'installe alors sur une chaise et lui impose de se mettre en position de fessée. Je sais qu'elle aime cette punition autant que moi.
Elle se penche au travers de mes jambes.
Je fais remonter la jupe lentement pour découvrir ses fesses fermes et douces que ne recouvre aucun tissu.
Entre les hauts de ses bas les gouttes de ses orgasmes sont nettement visibles.
Ma main vient s'abattre sur ses globes ronds, alternativement.
J'accompagne chaque fessée d'une caresse délicate.
Elle couine de plaisir.
Maintenue dans cette position je frolle son oeil étroit.
- Tu le mérites.
- Oui Monsieur... punissez-moi. J'ai été vilaine.
Doucement je force du bout du doigt son anus qu'elle me tend, écartant et tendant son petit cul.
Elle pousse un cri alors qu'elle sent glisser dans son trou intime la largeur froide d'un plus recouvert de vaseline.
- Haaaa ! Il m'ouvre !
Je le fais tourner doucement, et elle gémit sans retenue.
- Voici ta punition jusqu'à la fin de la conférence.
Sa jupe recouvre son entre jambe outragé.
Avec peine elle se remet debout, les joues rouges de plaisirs impolis.
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

Depuis le matin nous sommes en séminaire professionnel.

Eve m'accompagne pour ces 4 jours, sur ma demande.

Après une longue conférence et un dîner buffet sans intérêt, les travaux d'ateliers se sont lancés, ne nous laissant que peu de temps pour la bagatelle.

Le dîner arrive avant même de s'en rendre compte.

Par tablées de huit, nous parlons travail et ressentis sur cette journée.

Eve est fidèle à a réputation, froide, distante et professionnelle à tout instant.

Je souris intérieurement. S'ils savaient qu'elle ne porte pas de sous-vêtements à ma demande.

Mon voisin de table abuse largement du vin mis à disposition et très vite sa langue se délie plus que de normal.

Je vois alors son assistante se trémousser sur sa chaise.

Nous finissons à 4 devant un café trop chaud.

Il la dévisage avant de se tourner vers moi.

- Tu devrais faire comme moi, prendre des stagiaires de 20 ans. Lâche-t il soudain.

Je la regarde, elle rougit, cache ses yeux bleus sous ses mèches blondes.

Eve se ferme soudainement.

Il poursuit, la voix pâteuse.

- Elle ne peut rien dire... si elle veut que je lui signe son contrat.

Son rire gras m'indispose.

La jeune femme semble chercher une échappatoire.

Soudain sa voix ankylosée par l'alcool nous fige.

- Tu verrais... elle suce pas mal.

Je tousse un peu avant de couvrir ses paroles.

- Je vais te raccompagner. Lui dis-je.

Lentement nous prenons tous les 4 le chemin de l'ascenseur.

Sa corpulence est un handicap qui force sa chemise à bailler lorsqu'il ne se tient plus qu'à mon épaule.

Derrière moi, fouillant dans son sac, nous suit son assistante stagiaire d'une vingtaine d'années, engoncée dans un chemiser qui moule ses petits seins et une jupe stricte qui souligne des hanches d'où se dessinent l'absence de culotte confortable au profit d'un string, suppose-je.

Eve pénètre dans la cabine avant d'appuyer sur l'étage désiré.

Il poursuit ses grommellements obscènes.

Nous échangeons un regard alors que Pam, l'assistante, semble nous supplier de mettre un terme à cette farce.

- Au lieu de venir avec Icewoman ! Crache t-il en regardant Eve qui le foudroie du regard comme il poursuit sa remarque de la phrase précédente.

Eve prend alors sa voix la plus cassante.

- Je ne comprends pas comment une jolie femme comme elle, peut se faire baiser par un mec comme vous.

Il lui jette un oeil sévère avant de me regarder et ricaner.

- Tu es bien plus jeune que moi, dit-il en me regardant, c'est vrai que tu dois pouvoir t'en mettre sur le bout...

Il sort son téléphone pour me faire voir des photos prises ici il y a quelques heures où elle se tient agenouillée devant lui.

Ravi de pouvoir la faire chanter, il farfouille déjà dans son pantalon pour chercher son sexe.

Elle ouvre la porte, rouge de honte.

Je l'allonge bientôt sur son lit.

Pam défait sa veste sans nous regarder.

Nous la regardons stupéfaits.

- Je dois valider mon contrat. Murmure t-elle d'un ton las.

Un coup d'oeil vers Eve qui me sourit avant d'éteindre la lumière.

Je prends la main de la jeune femme et l'entraîne doucement vers l'extérieur.

Nous refermons la porte.

Dans le couloir sa poitrine menue se soulève sans trop savoir si elle fait une erreur ou non.

- N'ayez crainte. Vous ne risquez rien. Venez.

Elle prend un café dans la chambre que je partage avec Eve.

Ses mains peu a peu se desserrent et elle retrouve un calme plus serein dans l'ambiance feutrée qui suit cette tourmente émotionnelle.

- Que va t elle faire ? Me demande t-elle.

- Je crois que vous n'allez plus avoir de soucis.

Elle soupire.

- Si seulement c'était vrai. Je ne dis pas qu'un peu de sexe ne me tente pas, mais lui, il me dégoutte.

Je souris, savourant, assis sur le coin du lit, cette jeune femme qui sourit à son tour, le regard au dessus de sa tasse... ce regard un peu trop brillant que je connais bien.

Elle croise les jambes. Haut. Trop haut.

Je glisse un oeil gourmand sur ses cuisses qu'elle révèle à demi.

Du bout du doigt elle récupère la crème de l'expresso sur le rebord de la tasse pour le lécher rapidement.

Je caresse mon menton en la regardant dans son numéro de charme discret.

Ma barbe, naissante après cette journée, crisse alors que je lui montre dans mon attitude que je la contemple avec intérêt.

C'est le moment où la porte s'ouvre sur Eve, radieuse.

La jeune femme repose sa tasse et reprend une attitude légèrement plus digne.

- Alors ? Dis-je.

- Il ne l'ennuiera plus.

Elle nous montre quelques photos où il se trouve dans une situation telle que sa position de macho aurait du mal à le supporter s'il était vu par d'autres.

- Il n'y a pas que lui qui dispose d'un appareil. Fait-elle, refermant son portable sur l'image d'un homme ventripotent, à quatre pattes, yeux bandés, les fesses ouvertes sur une bouteille.

Elle sourit, satisfaite, sous le regard admiratif de la femme assise en face d'elle.

- Je ne sais comment vous remercier.

Eve m'observe et mon clin d'oeil lui confirme mon envie.

- Il y a ... peut-être...

Elle défait lentement le premier bouton de son chemisier en s’avançant vers celle qui, assise, semble se trémousser maladroitement.

Pam me regarde, rougit, nous sourit sans savoir quelle posture adopter.

- Tu as peur ? Lui dit Eve de sa voix douce alors qu’elle est proche d’elle.

Je décide de conserver le silence, et m'installe sur le lit pour regarder cette parade sensuelle.

Elle bredouille un "non" faible.

- Je ne veux pas te forcer... tu peux... me dire non si tu veux.

Un coup d'oeil à mon égard et l'assistante se lève pour faire face à la femme qui continue de détacher un a un les boutons de façon lente.

- Vous êtes très belle. Lui dit-elle pour unique réponse, et assentiment.

Le chemisier tombe bientôt à terre, dévoilant la forte poitrine engoncée dans un soutien gorge noir.

Les yeux de la jeune femme se fixe sur cette poitrine généreuse, comme hypnotisée.

- Ils te plaisent ?

Les joues rouges elle hoche la tête lentement, affirmative.

Ses mains fines dans les mains douces de ma soumise, viennent se poser sur ces deux obus.

Eve guide ses gestes mais la femme n'est pas longue à presser les seins voluptueux.

- Hum... dégraffe-moi. Lâche t-elle dans un soupir. tribales.jpg

Les deux mains s'en vont dans le dos et le déclic se fait entendre après quelques gestes maladroits.

Eve, les bras au dessus de la tête, lui sourit, la regardant faire

Elle passe ses mains sous les mamelles lourdes et montre dans ses gestes qu'elle n'en est pas à sa première femme.

Bien vite je vois les deux tétons aux larges auréoles se tendre sous les manoeuvres habiles des mains délicates.

- Tu es très douce. Dit une Eve au ton déjà excité.

- Tes seins sont splendides… et si gros.

- Et les tiens ?

La jeune femme serre un peu plus fort les deux mamelons, arrachant un soupir à ma soumise pour lui murmurer dans un sourire.

- Ils sont à toi.

Il n'en faut pas plus à Eve pour qu'elle détache et libère avec dextérité les deux petits seins en face d'elle.

- Je fais du 85C...

- Mais ils pointent et sont durs... bien fermes. Confirme ma douce soumise comme elle les caresse.

Leurs jeux de mains m'excitent.

Les doigts frôlent, irritent, tirent les mamelons.

Les paumes pressent, malaxent, soupèsent et pétrissent les globes avec une infinie douceur.

- J'aime les gros seins. Dit elle en tirant de façon plus forte sur la pointe érigée de la lourde poitrine.

- Ils sont à toi... mes 95D... gémit-elle.

Surplombant des hanches étroites et un séant magnifique, Eve bombe le torse sous l'effet procuré par cette femme.

Ses doigts graciles laissent bientôt place à une bouche gourmande.

Pam s'agenouille, simplement vêtue de sa jupe qu'elle relève pour être à l'aise.

Devant moi, me lançant par moment un regard complice, la jeune femme vient sucer avec gourmandise les tétons surexcités d'une Eve qui ne cesse de pousser des soupirs de plaisir.

La bouche plaquée sur le téton, elle la tête avec lenteur, les avalant l'un après l'autre, sans que ne cesse de croître l'érotisme interdit de cette scène.

Saisissant le sein de ses deux mains elle le contraint à se tendre et s'ériger.

Sa langue vient le titiller avant que ses lèvres ne l'embouchent et entame une série de sucions affamées.

- Ho... c'est divin...

- Tu es lesbienne ? Demande la jeune femme en se relevant lentement.

- Non, lui lance Eve, en posant sa main sur ma cuisse. J'aime trop la queue. Mais toi... tu m'excites.

Elle prend alors la place agenouillée pour venir lécher les petits seins qui lui sont offerts.

Sous sa langue, les bouts roses se couvrent de salive et se dressent de plus en plus.

Eve vient poser sa main sur ma jambe et remonte sur mon boxer, joignant ainsi le geste à la parole.

- Moi, dit la jeune assistante, je suis bi... dit-elle en regardant alternativement le visage de ma soumise en train de lui sucer les tétons, et sa main qui caresse ma cuisse en haut de laquelle on peut discerner l'ampleur de ma bandaison. Et, j'ai bien fait de vous croiser. Continue t-elle dans un gémissement.

- On peut remercier le gros porc. Dit Eve alors qu'elle lâche les petits seins, faisant descendre d'une main la jupe de la femme en face d'elle.

- Gros porc oui... mais tout de même un bel objet. Ricane t-elle.

- J'en connais un autre... lui murmure une Eve aux yeux flamboyants en me regardant.

Les deux femmes se sourient.

Mon sexe à l'étroit dans mon pantalon réagit instantanément au compliment.

- J'ai cru le remarquer oui. Répond-elle en me regardant, une lèvre pincée, torride.

Ses cuisses fuselées sont nues et un simple string cache son sexe que je devine humide.

Assise devant elle, Eve cesse de me caresser la cuisse pour poser ses mains sur les hanches de la femme.

Elle la caresse, plaçant ses doigts fins entre les cuisses, avançant jusqu'à la rondeur ferme des ses petites fesses nues.

Les doigts s'insinuent sous le tissu et lentement elle fait glisser le string de la jeune assistante au sol.

Celle-ci se tortille alors que son sexe nous apparaît.

Une fente fine, légèrement ourlée d’une toison courte. Un tatouage orne sa cuisse.

Sans un mot la bouche vient s'y plaquer.

La langue devient curieuse.

Pam pousse un râle plus profond.

Le visage entre ses cuisses se presse et s'applique presque sans mouvement alors que les gémissements de la jeune femme s’accentuent.

Eve enfonce sa langue au creux du sexe féminin et lui arrache des gémissements qui me surexcitent.

Lorsqu’elle relève la bouche, ses lèvres sont luisantes de cyprine.

Elle se place à genoux sur le lit, forçant la jeune femme à s’allonger.

Son sexe vient frotter les seins de l’assistante dont les tétons se dressent vers le ciel.

Les hanches dans un balancement lent viennent faire se frotter l’intimité épilée de ma soumise contre une tétine rose et dure.

Pam presse son petit sein pour le rendre plus résistants aux assauts de frottements.

Les cuisses ouvertes, Eve excite son clitoris à l’aide du téton de la femme sous elle.

Des mains fines palpent et malaxent les mamelles généreuses.

Ce spectacle de deux femmes me transporte.

Leurs sourires parfois vers moi, m’oblige à ouvrir mon pantalon pour sortir mon sexe raide.

Elle soupire fortement avant de faire redescendre son bassin vers les cuisses qui s’ouvrent pour l’accueillir.

Le suc de ma soumise a souillé le sein étroit.

Eve vient y poser sa langue et le lécher, les yeux plantés dans ceux de la femme qui subit ses attentions.

Les deux sexes fendus sont désormais en contact.

Dans une coordination d’ondulations, elles poussent simultanément un petit cri.

Leurs lèvres humides se collent, se frôlent. Elles se pressent l’une à l’autre, excitation de leurs clitoris qui s’écrasent et se tendent comme les fentes s’ouvrent et se maltraitent.

Eve rejette le visage en arrière, pousse un râle et se dresse sur ses genoux.

Elle regarde la femme aux cuisses ouvertes, au sexe sali de mouilles.

- Vient me bouffer la chatte. Lui ordonne t-elle.

Il n’en faut pas plus à la jeune femme pour qu’elle se glisse sous les cuisses de ma soumise et vienne dévorer son abricot.

Les doigts fins se joignent à la langue agile pour ouvrir et extraire la perle qui se fait suçotter.

- Hummm… tu suces vraiment bien…

La langue devient alors large et entre dans la vulve que les doigts manucurés écartent.

Le sexe béant, Eve se fait lécher sans discontinuer jusqu’à ce qu’elle soit obligée de poser ses mains devant elle, haletante.

A quelques centimètres de moi je vois son visage se contracter sous les coups de langue de l’assistante qui ne lui laisse pas un instant de répit.

Eve ouvre les yeux, me voit, se penche et ouvre la bouche sur mon sexe.

La grosseur entre dans sa bouche et il ne lui faut que quelques secondes et deux allers et retours avant qu’elle ne le relâche pour pousser un gémissement plus fort.

Elle jouit.

Son bassin se frotte sur le visage de la femme qui la déguste sans discontinuer.

- Oui ! Ouiii !

Ses gros seins ballottent à droite et à gauche dans son orgasme saphique.

Eve se fige.

Pam se positionne devant elle, assise.

- A moi de jouir par ta bouche. Lui dit-elle.

Un sourire en guise de réponse et ma belle soumise vient à son tour la gourmander.

Dévorée durant de longues minutes, les mains dans les cheveux d'Eve, Pam soupire de plus en plus intensément.

Une de ses fines mains vient se poser sur ma verge pour la caresser.

- J’aime sentir un sexe en même temps.

Je l’encourage à continuer de me branler de la sorte.

Elle me sourit et me masturbe avec de plus en plus de vigueur alors que ses cris deviennent plus rapprochés.

La bouche avide d’Eve l’explore.

Elle jouit soudainement, implorant que la langue continue encore à la bouffer.

Les pointes de ses seins tendues, elle rejette sa chevelure dorée en arrière pour une ultime secousse avant de retombée, allongée, le sexe luisant de salive et de cyprine.

Eve passe sa langue sur ses lèvres pour achever de déguster le sirop de femme qu'elle vient de faire jaillir.

- Tu es délicieuse.

La jeune femme reprend ses esprits.

- Et toi une vraie déesse. Cela faisait longtemps que je n'avais pas été aussi épuisée.

Le baiser qu'elles échangent alors est celui de deux amantes comblées.

Pam se rhabille et me lance un regard malicieux... "le séminaire n'est pas fini".

- Ma nuit non plus. Ma réponse s'accompagne d'un baiser à distance alors qu'elle disparaît derrière la porte qui se ferme.

La forme élancée d'Eve qui revient vers moi, encore dans le parfum de cette femme, n’a aucun mal à me maintenir dans un état de bandaison total.

- Oh non... la nuit n'est pas finit. Dit-elle en avançant, à quatre pattes sur le lit, les yeux gourmands.

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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