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La matinée du deuxième jour avait été dense.
Les concepts avaient été aussi nombreux que les éléments à analyser.
Le séminaire recommence, après la courte pause, par une conférence qui risque de nous reposer.
J'en profite alors pour rejoindre ma belle assistante dans sa chambre.
Elle se remaquille légèrement et me sourit alors que j'entre dans la pièce.
Simplement vêtue de son soutien gorge et de sa jupe, elle inspecte les ombres qu'elle porte a ses yeux.
Je ne me lasse pas d'admirer sa généreuse poitrine qui surplombe une taille échancrée qui donne le torticolis aux hommes qui la croisent.
Ses fesses bombées emplissent avec sensualité sa jupe sombre.
Je caresse doucement sa nuque.
Sa peau est douce, fraiche, satinée.
- Que puis-je pour vous Monsieur ? Me dit-elle en posant son petit matériel, adoptant le dos droit qu'elle sait que j'exige.
Mes lèvres déposent sur son cou un baiser lent et délicat.
Elle frémit.
Je lui souris dans le miroir.
Elle est radieuse.
Je lui tends alors un petit paquet.
- Je souhaite que tu portes cela cet après-midi.
De ses doigts délicats elle ouvre la boite et y découvre un petit oeuf.
Un sourire en coin elle me regarde.
- Voilà qui va égayer cette conférence.
Je l'embrasse à nouveau.
Elle écarte ses jambes sans une hésitation.
Sa jupe remonte sur ses cuisses de nylon.
Sa main vient disparaitre sous le tissu.
Elle se trémousse puis se cambre.
Je poursuis mes baisers sur sa nuque et mes mains caressent ses épaules.
Elle poursuit sa masturbation lente.
Quelques soupirs viennent m'indiquer qu'elle y prend un plaisir non feint, ses yeux dans les miens via le miroir voyeur.
Je m'empare de ses seins généreux.
Du bout des doigts je tire, au travers du tissu, les pointes raides de ses tétons.
Elle se cambre et plaque ses petites fesses rondes sur ma verge dure.
Je saisi l'oeuf.
Dans le reflet, ses yeux brillent, elle me regarde, la bouche ouverte sous les effets de sa masturbation.
L'oeuf passe sur sa joue, sur son cou... il remonte sur ses lèvres.
Elle pose sa langue sur l'objet et l'embrasse, sans me lacher du regard.
Derrière elle je la sens se cambrer et presser son séant sur mon sexe.
Nos sourires s'échangent.
Je glisse l'oeuf sous sa jupe.
Elle ferme les yeux.
Sous mes doigts se dessine sa peau, la chaleur moite de son intimité.
Je rencontre sa main qui me guide.
Au moyen de l'objet, elle me fait monter et descendre, appuyer sur sa motte excitée qui perle de suc intime.
Elle se trémousse et je fais s'ouvrir ses lèvres pour un insérer l'oeuf.
De bas en haut, l'objet lui écarte de plus en plus la fente.
De haut en bas, il la force à s'ouvrir et l'accueillir.
Le bout de mes doigts frole ses lèvres, la pointe de l'oeuf s'insinue.
Je pousse doucement vers son intérieur intime.
La pince de mes doigts écarte son sexe, faisant progresser le god ovoïde dans sa grotte.
Eve fléchie les genoux, ouvre ses cuisses, mes doigts entrent en elle, dilatant son sexe pour y placer l'oeuf dans ce nid invisible.
Elle pousse un cri qui devient muet.
Sa respiration se bloque avant de se relacher.
Mes doigts ont accompagnés le god au creux de son intimité.
Je me retire.
Elle cabre son corps d'un coup et je sens sur ma main couler la cyprine de son orgasme.
D'un mouvement lent elle bascule son visage en arrière.
Je prends sa bouche.
Nos langues s'enroulent et se cherchent, se perdent et se pressent l'une contre l'autre.
Elle a un gout délicieux, celui de l'envie.
Par petites touches de baisers je la libère.
- Monsieur, il est... au chaud.
Du dos de la main je caresse son visage délicieux.
- Tu iras te placer face à moi dans l'amphithéâtre.
Elle acquiesce, sachant que je pourrais ainsi la voir croiser et decroiser les jambes.
- Je ne veux pas que tu jouisses sinon tu seras punie.
Un hochement de tête, elle rosie quelque peu.
Je sors alors de ma poche un petit objet.
J'appuie sur un des boutons.
Elle ferme les yeux instantanément en même temps que son corps se tord et qu'elle pousse un petit cri.
- Oui, dis-je alors d'un ton plus grave, il vibre aléatoirement ou... selon ma volonté.
Elle s'installe dans l'arène de sièges face à moi.
Sans peine elle parvient à dissimuler le corps étranger qui est tapi au fond de son ventre.
Je l'allume alors.
Irrestistible, le fremissement qui envahit son sexe la fait se raidir.
Elle me jette un regard affolé.
Mes mains sur la table, elle saisit que l'objet est en mode automatique et qu'il va ainsi s'allumer de façon constante et inopinée.
Ses cuisses se croisent et se décroisent au fil de la discussion qui n'attire que bien peu mon attention.
Je la vois se trémousser face à moi.
Quelques regards en coin me font comprendre qu'elle ne parvient que difficilement à conserver une attitude respectable.
Elle se mord la lèvre, baisse la tête, passe sa main dans les cheveux, agitée alors que le temps passe.
D'un mouchoir elle éponge son front doucement et pousse un hocquet de surprise que son voisin remarque.
Les cuisses décroisées, ouvertes à en tendre sa jupe, elle reste ainsi quelques secondes avant de se ressaisir et me lancer des éclairs du fond de ses
prunelles.
Les minutes s'écoulent. Implacable le god poursuit ses vibrations insidieuses que je fais monter d'un cran en intensité.
Une main sur son front pour cacher son regard qui se crispe sous le plaisir qu'elle prend malgré elle, je la devine reprendre sa respiration avec
difficulté.
L'homme à ses côtés la questionne.
D'un signe négatif de la tête elle lui indique que tout va bien.
FIèrement elle relève le visage et se concentre sur le conférencier avant d'être assaillie par une nouvelle vague de secousses internes qui la font se cambrer en
écartant les jambes, pour tenter des les resserer, yeux clos, mains crispés sur le tour de son ordinateur portable.
La pause vient mettre fin à son supplice.
Je coupe le pernicieux oeuf avant de la retrouver dans l'ascenseur qui monte à sa chambre.
Les yeux clairs elle n'ose faire un geste.
Sans un mot nous entrons dans la chambre.
Elle se tient droite, visiblement éprouvée.
- Alors ? Questionne-je en m'approchant d'elle.
- Je suis désolé Monsieur.
Je glisse ma main sous sa jupe à la rencontre de son sexe.
- Tu es trempée.
- Excusez-moi... j'ai jouis... à plusieurs moments..
- Combien de fois ? Dis-je en flirtant avec les lèvres renflées qui montrent une excitation continue.
- Trois fois.
Je m'installe alors sur une chaise et lui impose de se mettre en position de fessée. Je sais qu'elle aime cette punition autant que moi.
Elle se penche au travers de mes jambes.
Je fais remonter la jupe lentement pour découvrir ses fesses fermes et douces que ne recouvre aucun tissu.
Entre les hauts de ses bas les gouttes de ses orgasmes sont nettement visibles.
Ma main vient s'abattre sur ses globes ronds, alternativement.
J'accompagne chaque fessée d'une caresse délicate.
Elle couine de plaisir.
Maintenue dans cette position je frolle son oeil étroit.
- Tu le mérites.
- Oui Monsieur... punissez-moi. J'ai été vilaine.
Doucement je force du bout du doigt son anus qu'elle me tend, écartant et tendant son petit cul.
Elle pousse un cri alors qu'elle sent glisser dans son trou intime la largeur froide d'un plus recouvert de vaseline.
- Haaaa ! Il m'ouvre !
Je le fais tourner doucement, et elle gémit sans retenue.
- Voici ta punition jusqu'à la fin de la conférence.
Sa jupe recouvre son entre jambe outragé.
Avec peine elle se remet debout, les joues rouges de plaisirs impolis.
A suivre...