[...]

 

Elle ouvre la porte, un peu surprise du toquement en lieu et place de la sonnerie du portier.

Son sourire discret dans l'entrebâillement me confirme dans son plaisir de me voir.

Cachée derrière le bois, elle m'invite à entrer.bocca.jpg

Je dépose un baiser sur le coin de sa bouche.

Son parfum, fragrances florales légères, m'emplit les narines.

Sa peau douce et fraîche laisse un goût d'encore sur mes lèvres.

D'un geste malhabile elle tire sur son débardeur pour cacher vainement le bas de son ventre.

Du revers des doigts je caresse son épaule.

Le tissu est renflé par l'érection de ses tétines.

Son boxer féminin, blanc, laisse transparaître l'ombre d'un filet de mouille.

Elle rit doucement, un peu nerveusement.

-Je ne te dérange pas ? Lui dis-je.

-Du tout. Jamais.

Elle s'avance de son pas souple et félin dans le décor végétal de son loft.

Je la suis comme un chasseur suit sa proie.

Mon regard posé sur son fessier engoncé dans le tissu immaculé qui marque avec sensualité sa vallée culière.

Une zone de chair pâle ondule entre sa culotte et le bas volant de son top étroit.

Elle tourne légèrement son visage, ravie que je l'observe dans cette tenue intime.

Quelques instants plus tard nous sommes installés sur son canapé.

Sur la table basse, au milieu des orchidées et des deux tasses de thé, l'écran de son ordinateur renvoie une lueur bleue électrique qui donne à son haut rose une teinte violette dans les ombres de sa poitrine.

-Je discutais avec un... ami. Me dit-elle en poussant la machine vers moi pour me permettre de voir la fenêtre de discussion.

Assise en tailleur sur son sofa elle me lance un sourire éloquent alors que sa main se pose sur son entre jambe.

-J'aime mes caresses... murmure t-elle en joignant à ces mots de doux gestes presque imperceptibles sur le coton masquant son sexe.

Je l'observe faire.

-Ne te prive pas. Bien au contraire. Fais-je en passant mes yeux sur son corps aux formes sensuelles avant de porter mon attention sur l'écran.

La discussion qu'elle mène avec son "ami" est d'un ton érotique et je comprends mieux son état actuel.

Le contenu de leurs échanges est intime... sexuel.

Une phrase s'inscrit.

« Oui, caresse-toi... tu m'excites ».

Elle se penche légèrement pour pouvoir lire.

Presque couchée sur le côté, elle continue de frôler sa fente en me souriant.

Je pose mes doigts sur le clavier et je prends sa place pour répondre.

« Je me masse devant toi… un œil coquin vers toi».

Je la regarde, elle sourit et ses doigts accentuent leurs cercles.

Sa jambe se relève et ses cuisses s'écartent doucement.

Nous nous laissons guider par cet échange virtuel qui se ramifie dans le réel avec une douce intensité.

La réponse est rapide.

"Tu me fais devenir dur. Ecarte un peu tes jambes."

Elle obéit à cet ordre sans attendre.

Je tape une nouvelle réponse en profitant de cette position indécente qu'elle prend.

"Je fais rouler le tissu. Tu vois ma motte se dévoiler peu à peu."

Ses doigts réagissent à mes écrits.

Elle roule le haut de son boxer vers le bas.

Peu à peu le haut de ses fesses, son pubis, m'apparaissent.

« J’ai stoppé sa descente à mes chevilles… »

La réaction est immédiate sous forme d’onomatopée.

Visiblement il apprécie cette entrave conservée.

Kim aussi, si je m’en réfère à ses joues qui rosissent alors qu’elle ne quitte pas totalement le tissu.

Puis c'est son sexe qui s'offre à ma vue, légèrement ceint d'une fine toison blonde, sa fente montre des lèvres renflées, luisantes, signe d'une excitation qui se prolonge.

C'est un délice pour mes yeux gourmands.

Je la regarde frôler son entre jambe.

Un regard, elle comprend et, délicieusement habile et sensuelle, elle frotte son sexe du bout des doigts.

Son regard... son sourire alors qu'elle flatte sa fente que je devine humide et moite.

Son visage devient vaporeux...

Détendue, souriante... puis la lèvre qui se mord... la bouche entrouverte... un gémissement s'en échappe.

Les reins se cambrent.

« Masturbe toi maintenant ».

Elle n'a pas attendu cette demande pour s'exécuter.

« Je me caresse... mes doigts glissent dans ma grotte humide ».

Un sourire vers moi, ses doigts se faufilent entre les nymphes luisantes.

« Hoo... oui... je me sens devenir plus dur en te voyant faire ».

Cet homme à l'autre bout du fil éprouve les mêmes sensations que moi mais sans en profiter en vrai.

« J'ai extraie mon bonbon... et je le caresse fort d'une main ».

Elle ondule... sirène hypnotique.

Ses doigts jouent avec son clitoris rond et gorgé de désir avant de plonger dans son sexe, recueillir sa cyprine et recommencer à titiller sa perle.

Ses lèvres s’entrouvrent lorsque son index et son majeur s’insèrent dans les nymphes brillantes.

« Et ton autre main ? » Questionne l’inconnu lointain.

Elle pose sa main sur sa cuisse, caresse sa peau soyeuse, attendant ma réplique.

« J’ai envie de caresser mes seins… »

Un instant de répit.

Nous nous regardons, joueurs, comparses, complices.

« Comment sont-ils ? Je veux les voir… »

De sa main libre elle ôte son débardeur dont une bretelle pendait sur son épaule.

Lentement elle dévoile sa poitrine ferme et libre.

Ses seins sont comme deux obus, ses mamelons pointent comme des mines de crayons.

« Ils sont… amples…aux auréoles sombres… avec un téton dur… Tu aimes les gros seins ? »

Elle passe sa main sur sa poitrine offerte.

Ses gestes sont délicats, son massage s’intensifie peu à peu.

Elle soupèse les rondeurs satinées.

Elle parvient sur ses pointes et les fait rouler sous sa paume de main.

« J’adore. Caresse tes grosses mamelles… pendant que je sors ma verge, tellement tu me fais devenir dur. »

Elle pousse un gloussement alors qu'elle masturbe plus fermement son clitoris gorgé de désir.

J'ai soudainement chaud.

Elle se penche doucement vers le clavier.

Ses yeux brillent.

Sa poitrine frotte contre ses cuisses.

Ses ongles glissent sur les touches.

« Je te regarde…hummm… joli morceau. J’ai tellement envie de te voir te caresser le sexe…palper tes bourses ».

Ses joues sont roses, un petit sourire lu barre le visage.

Je défais mon pantalon, laisse tomber mon boxer au sol, libérant ma verge.

Déjà dure, elle continue de monter vers le ciel alors qu’elle continue d’écrire à son ami invisible.

« J’aime ton gland.. bien gros. Hoo… elle est épaisse… hummm ».

Sa main entre ses cuisses s’agite plus vite.

Un de ses seins ballote entre ses jambes, son téton raide bien visible.

Je pose ma main sur mon manche et entame des mouvements de bas en haut.

Elle regarde, hypnotisée, comme fascinée par ma masturbation lente que je lui offre.

De mon autre main j’ôte ma chemise.

Elle passe son bout de langue sur ses lèvres, observatrice experte.

Ma main glisse sous mes boules glabres que je malaxe doucement.

Elle se caresse avec un gémissement sourd.

Face à face nous entamons une masturbation sensuelle, nous délectant chacun des gestes de l’autre.

Une nouvelle phrase s’inscrit.

« Tu me rend fou… j’ai envie de te lécher… ».

D’un regard complice je m’agenouille, elle écarte largement ses jambes.

Ses doigts ouvrent son sexe.

J’y pose ma langue et la lèche.

Elle ondule, pousse un profond soupir.

Son goût sirupeux m’enivre, je passe ma langue sur chaque parcelle de son sexe délicat.

Son bassin gigote de plus en plus alors que je passe ma langue de plus en plus profondément… avalant sa mouille qui coule de plus en plus abondamment.

Elle gémit, saisi mon visage entre ses mains et me plaque à son sexe brulant.

Je lape, avide, avant de sucer son bonbon et lui arracher un petit cri de plaisir.

Elle me repousse doucement.

Ses doigts effleurent les touches…

« Arrête, tu vas finir par me faire jouir… »

Je l’observe, son visage empourpré… sa bouche ouverte… ses yeux étincellent.

La réponse ne se fait pas attendre.

« Ma verge n’attend que toi… »

Je m’installe sur le canapé.

Elle vient se placer entre mes cuisses, sans hésitation, sa bouche gourmande a quelques centimètres de mon sexe tendu comme un palmier.

Elle souffle sur ma verge et je frémis, me cabre sous la fraicheur.

Son visage radieux vers moi elle tape quelques mots…

« Je vais te lécher… puis je vais te sucer… J’en ai très envie ».

A son absence de paroles elle joint le geste.

Sa langue se pose sur mon gland et excite le méat d’où perle une goutte de rosée humaine.

Lentement elle descend jusqu’à la base de mes bourses avant de remonter ainsi plusieurs fois, usant de mon appareil comme d’une glace.

Ses lèvres se font douces lorsqu’elles prennent mon membre dur et le masturbent.

Je lâche un soupir d’extase.

Elle m’embouche.

Mon sexe disparaît peu a peu dans sa bouche.

Ma chair raide apparaît avant de disparaître encore et encore alors que ses joues se creusent sous le fait de sa fellation.

Entièrement en elle, avec une lenteur extrême elle me tête et je sens de petits cris m’échapper.

Ils l’encouragent.

Il écrit.

« Ho oui. Ta bouche me dévore… tu pompes avec tellement de maestria. Je suis excité comme jamais ».

 Entre deux sourires de plaisir se glisse un rictus d’amusement.

S’il savait qu’elle était encore bien plus que cela !

Je suis aux anges devant cette diablesse qui se démène de plus en plus goulûment sur moi.

Elle force ma verge à se mettre à la perpendiculaire, provoquant une contrainte source de plaisir inattendu.

Lorsque dans un mouvement de tête elle lâche mon sexe, un bruit de succion accompagne mon gémissement et le retour du membre contre mon bas ventre.

Elle passe sa langue sur ses lèvres roses.

D’un regard vers l’écran elle s’applique sur sa dernière phrase avant de couper et de venir sur moi.

Alors que nous entamons une étreinte d’amants, je ne peux m’empêcher de repenser à ce qui termina sa communication avec son ami inconnu.

« Je te laisse, je suis trempée et… mon sex-friend arrive ».

Nos corps dansent alors l’un dans l’autre au rythme du ventilateur… jusque tard dans la nuit.

 

A suivre…

 

 

 

 

 

-Tu aimes ? me demande t elle soudain.

Mon sourire lui suffit, elle accélère et grogne de plaisir, accentuant la courbe sensuelle de sa croupe.

Nous oublions l’écran, l’homme sans visage, et j’extraie ma verge devant ses yeux brillant.

-J’adore. Lui susurre-je à l’oreille en m’approchant.

Sa main passe de ses seins à mon sexe…

 

Par Maitre - Publié dans : Kim & Mr
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[...] Femme-nue-dans-la-piscine.jpg

Notre fin de séminaire se clôtura de façon incroyable.

Le dernier jour avait été éprouvant.

Il n'y avait plus dans l'hôtel que quelques personnes, touristes inconnus de passage, nous devions partir le lendemain.

Monsieur m'invita à passer notre dernière soirée sur place.

Je n'avais pour tout vêtement qu'un peignoir, et mon collier.

La piscine n'était ouverte que pour nous.

Il y avait fait dresser et servir le dîner.

Il s'agissait d'une pièce immense aux décors antiques qui faisaient penser à Atlantis.

Les lumières douces oscillaient entre le bleu et le rouge.

Il n'y avait aucune fenêtre et nul ne pouvait nous voir.

Une table de bois précieux, quelques chaises longues en teck, des bougies parfumées au parfum envoûtant.

Nous étions seuls dans ce temple aquatique...

Lorsqu'il ferma la porte, je dénouais mon peignoir.

Le repas était délicieux et le champagne l'accompagnait avec classe.

Je me plongeais dans l'onde, il m'y rejoignait, sans aucun complexe.

Nous étions nus.

Il me faisait du pied, détaillait mes formes, mes tétons saillants, la courbe de mes hanches...

Je scrutais les rondeurs fermes de son fessier, l'arc épais de son sexe, la fine toison de son torse...

Il n'y avait pas de honte à nos actes, nos faits, nos gestes.

Je me caressais avec la coupe glacée, puis du bout des doigts avec le liquide alcoolisé et pétillant.

Mes seins se gonflèrent lorsque le cristal se posa sur ma fente.

Mes lèvres étaient enflées, mon clitoris sortait de son logement, gorgé.

Il vint boire cette boisson, versée dans mon calice intime et je poussais mon premier gémissement.

A partir de ce moment, mon excitation ne connu pas de décrue.

Il me posséda la première fois dans l'eau, contre la paroi de la piscine alors que nous nagions, jouions tels des adolescents.

Je me rassasiais de son large sexe et j'en voulais encore.

L'ambiance intimiste m'électrisait.

Embouché, je le suçais par la suite alors qu'il était assis sur le bord de l'eau à me regarder.

Lorsqu'il glissa dans l'eau, mes doigts s'agrippèrent à ses fesses

Privée de mes sens, immergée, je le pompais comme si son vit eut été un tuba.

Il ressortait de l'eau avant de m'y replonger.

J'étais un poisson pris à l'hameçon... ce fut la fellation la plus folle de ma vie, j'y mis tout mon coeur jusqu'à ce qu'il explose dans ma gorge.

J'avalais son sirop d'homme comme je ne le faisais pas à mon mari, avec délice.

A l'aide d'un glaçon il titilla mes seins jusqu'à l'orgasme, usant de ses doigts habiles, de sa langue agile.

Vorace, il me dévora... de plus en plus bas...

Ses mots étaient tendres, ses gestes doux et ses caresses patientes.

Il me fit jouir ainsi plus d'une fois, passant de mon orifice coulant à celui, plus étroit, que je lui offrais sans concession.

La seconde fois qu'il s'enfonça en moi, ce fut sur un vaste bain de soleil de teck.

Il me couvrit lentement, avec douceur.

Mon corps était un brasier.

Ses allers et venues en moi me transportèrent une nouvelle fois vers l'orgasme.

Je ne réprimais plus mes cris de bonheur.

C'est à ce moment là qu'il ôta mon collier.

Ce qu'il me murmura alors, sans cesser de me prendre, me fit l'effet du sable qui fuit sous les pieds.

Ma soumission prenait fin, mais notre relation perdurait, plus forte, complice, sans qu'il ne soit plus besoin d'artifice.

J'eus peur, puis le vertige de pouvoir continuer ou non, sans restriction.

Ce fut comme une lumière qui m'envahit alors que la vague de plaisir roulait dans mon ventre jusqu'à mon cerveau.

Je venais de réaliser mon imago.

Je lui offris ma croupe, lui ordonnant de me prendre en levrette.

Ce contraste de l'ordre et de la position m'enflamma encore plus.

Il acquiesça à ma demande, me chevauchant au rythme de mes exigences.

Lorsque j'ouvris mes fesses pour qu'il me sodomise, je coulais sans discontinuer.

Il s'enfonça dans ma rosette, me faisant sucer son doigt qui me masturbait et me fouillait.

Chacun d'entre nous pouvait prendre le pas sur l'autre, au gré de nos envies.

Je me redressais devant lui et lui imposait de me nettoyer.

A genoux, il léchait, lapait nos sirops mêlés qui marbraient mes cuisses, alors que j'écartais ma fente gluante.

Il vint à ma hauteur et nos baisers avaient ce goût intense de la jouissance.

Le dessert fut tout aussi sensuel...

Je finis allongée sur la table à me faire déguster, puis je pris son manche en bouche avec force chantilly.

Il ne me laissait aucun répit, je n'en voulais aucun.

Je glissais sur son pieu, m'empalant en gémissant.

Il me forçait à sa convenance.

Je le prenais en bouche pendant qu'il me mangeait l'abricot.

Dans cette ambiance hors du temps, seuls nos plaisirs comptaient.

Je ne sais le nombre de fois où son foutre jaillit, ni la fréquence de mes jouissances qui s’enchaînaient en cascade.

Le petit matin arriva trop vite.

Je jetais un dernier regard vers ce temple dédié à Poséidon qui était devenu, l'espace d'une nuit, celui d'Eros.

Sur l'eau flottait mon collier.

Avec lui, je laissais derrière moi un rôle de transition.

J'eu l'impression d'être au bord d'une falaise, devant un abyme vertigineux.

Monsieur me prit la main.

Il serait là, toujours.

A l'abysse sans fond se substitua une vallée vierge, luxuriante, riche de plaisirs épicés et de désirs à découvrir.

Je marchais à ses côtés.

Je savais ce que j'étais, ce que je voulais.

Je ne le suivais pas, j'étais à sa hauteur.

Il ne serait plus « Monsieur »… juste Adam.

L'avenir s'annonçait sensuel...

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]rose

Quelques alcôves séparées par des tissus épais... chacune donnant sur une pièce centrale par le biais d'une large baie vitrée sans teint.

Les occupants des niches peuvent observer l'intérieur sans être vus, sans voir les autres observateurs, et s'adonner à des caresses intimes en toute discrétion.

Des murmures et rires montrent que certains de ces salons privés sont occupés.

Je mène Eve jusqu'à l'ouverture basse qui lui permet d'entrer dans la petite pièce centrale.

Les murs sont cernés de vitres d'où ne lui parviennent aucun reflets, ni visibilité sur l'autre côté du miroir.

Une table étrange est fixée au sol. Sa surface est capitonnée, et deux sortes d'étriers aux ' angles lui donne un confère un côté arachnéen.

- Je suis prête Monsieur. Me dit-elle comme je l'interroge du regard.

Elle déboutonne son chemisier.

Je tourne autour d'elle, attentif, gourmand, excité.

Ses seins lourds apparaissent alors dans la lueur rougeoyante de la pièce.

Tendus au milieu de ses auréoles pourpres, ses tétons ressemblent à des petits doigts qui pointent le ciel.

Les murmures se sont tus dans les alcôves. Elle se sait observée.

Elle s'allonge sur la table.

Son ventre nu puis sa poitrine voluptueuse plaqué sur la surface lisse et fraîche.

- Applique tes pieds dans les étriers.

Elle obéit et se rend alors compte que le réglage de ceux-ci la force à se cambrer et révéler son séant.

Mes doigts saisissent le bas de sa jupe, je la remonte.

Elle pousse un profond soupir où se mêle la honte et le plaisir de se voir découverte et offerte aux regards d'inconnus invisibles.

Troussée, je laisse le tissu sur la courbure de ses hanches.

Ses cuisses ouvertes montrent sa vulve lisse aux lèvres humides d'excitation. Sa perle intime est sortie de son capuchon et apparaît gorgée de sang, d'envie, comme un bonbon de tentation.

Ses fesses remontées et rebondies luisent dans l'ambiance sensuelle de cette pièce hors du temps.

Du bout de mes doigts je passe sur sa nuque, sur son dos, suivant l'échine jusqu'à la raie de ses fesses que je descends pour remonter après avoir flirté sur la fente trempée.

Elle s'empare des poignées qu'elle n'avait pas encore utilisées, affermissant sa position comme je m'aventure encore dans son abricot sensible.

Lentement j'introduis un doigt.

- hoooo

Je la fouille avec tendresse.

- Tu aimes le sexe n'est-ce pas ?

- Ho ouii Monsieur.... soupire t-elle alors que je la caresse en profondeur.

- Et devant des inconnus.

- Hummm encore plus... Je suis très très vilaine... je mérite... hoooo

Deux de mes doigts l'explorent.

Je touche avec habileté les nymphes, les presse et les malmène.

Son bassin se cambre aux limites de son indécence. Ses mains accrochées aux poignées.

- Tu vas l'être punie. Ne t'inquiète pas.

Je la masturbe alors avec un rythme plus soutenu.

Sous mes doigts coulent sa cyprine.

Elle gémit et me supplie de poursuivre alors que mes doigts la quittent.

- Haaa Monsieur ! Encore...

Je la laisse dans cet état, allongée sur le ventre, fesses en l'air, sexe offert aux regards.

Elle ondule malgré l'absence dans son bas-ventre, ne pouvant empêcher son corps de répondre physiquement à son désir de chair.

Après quelques minutes je reviens devant elle.

Son bassin ne se trémousse plus mais elle a conservée la pose, sage, soumise.

- Monsieur... Elle me sourit, contente de me revoir.

Son visage se fige lorsqu'elle sent deux mains se poser sur ses hanches.

- Voilà ta punition.

Sans un mot, elle me regarde, les yeux grands ouverts, bouche muette.

Je la vois grimacer alors que l'homme derrière elle entre son sexe en elle.

Elle ferme ses yeux, son visage se tord.

Je la vois avancer lentement puis reculer comme les coups de reins qu'il lui donne se font plus rapides et profonds.

Elle pousse un gémissement et me supplie des yeux.

- Tu vas prendre... comme tu as jouis. Lui dis-je en caressant sa joue du dos de ma main.

L'homme derrière elle ne fait aucun bruit, se contentant de la forcer sur ma demande.

- Je l'ai choisi. J'espère que sa verge te plait.

Dans un souffle elle parvient à murmurer un "je vous préfère".

Un liquide chaud vient lui inonder le dos. Il vient de jouir sur elle.

Je la sens se détendre et me sourire avant de déchanter car une nouvelle verge l'empale.

Je la sais plus longue que la première.

Elle doit la deviner également.

Le nouvel inconnu la bourre avec plus de vigueur, profitant du passage créé par le précédent.

Elle grogne, tendant son bassin vers le ciel sous la pression des mains de l'homme.

- Ce n'est que le deuxième... de ta punition.

Elle me regarde, affolée, venant de comprendre que 4 suivants doivent patienter.

Les cuisses ouvertes elle subit les assauts violents de cet individu qui ne parle pas.

- Haaa ouiii ! Finit-elle par lâcher alors qu'il la baise avec force.

Ses yeux roulent dans ma direction, je dépose un baiser sur son front moite, relevant une mèche cuivrée.

Je vois dans son regard la complicité, le plaisir. Elle sait qu'ils ne sont pour moi, pour elle, que des objets. Ce ne sont pas des hommes auxquels elle va plaire, ils ne sont que des sources de plaisirs pour nous deux.

Le dernier coup de reins la projette en avant. Son sirop d'homme se joint aux premières giclées. Le liquide blanc coule sur ses flancs.

C'est en tendant sa croupe qu'elle accueille la troisième verge.

Ondulante autour du pieu, l'homme n'a qu'à poser ses mains sur ses fesses. Elle s'empale sur le manche dur de celui qu'elle ne voit ni n'entend. Attentive à son plaisir et à l'étincelle qui brille dans mes yeux, alors qu'elle se fait saillir à nouveau, je l'observe grimper les échelons de l'orgasme.

Elle feule avant de gémir.

Elle jouit, les nymphes écartelées par une verge inconnue, ainsi qu'elle pourrait le faire devant moi sous l'effet d'un godemiché.

Le mâle derrière elle poursuit sa besogne avant de s'extraire de son vagin coulant et projeter son foutre à son tour sur son dos.

Son regard se pose sur les vitres amorphes. Elle devine sans les voir les spectateurs de son orgie.

Son sourire se fige comme un 4eme individu au sexe plus large la prend alors dans cette levrette interminable.

- Non, il ne suffit pas que tu jouisses... Tu as eu 6 orgasmes...

Mes mots claquent. Elle devine le nombre de participants avec exactitude.

- Je suis allé les choisir dans els loges qui t'entourent... certaines de leurs femmes te regardent...

Elle crie alors qu'il la bourre sans ménagement.

Ses mains agrippent les poignées.

Fermement maintenue par des mains puissantes, la verge la ramone de façon régulière, profonde, et lui arrache des gémissements de plus en plus forts.

- Il... va... me... faire... jouir.... encore... haaaaa....

Il n'a cependant pas cette chance, son jus venant s'étaler sur la nuque douce d'une Eve en chaleur.

- Encore ! Allez ! ouiiiiii !

Une 5eme queue vient de la pénétrer.

Large, elle se cambre alors que le manche plonge en elle.

- Ouiii ouiiii !

Nos regards ne se détachent plus.

- Hooo ouiii Monsieur... c'est bon ! hummmm

Je vois l'homme s'activer, concentré sur son ouvrage.

Il besogne sa fente avec expertise.

- Hooo... salaud... vous me faites jouir à nouveau ! haaaannn

Ses yeux se troublent, elle pousse un râle de plaisir.

Ses cheveux collent à son front.

Je pose mes lèvres sur les siennes, étouffant son orgasme dans un baiser.

Sa langue me cherche, nos muscles s'enroulent.

La texture délicieuse de ses lèvres sur les miennes me fait un effet fou.

Sans un bruit, l'homme unit sa semence à celle de ses prédécesseurs.

Eve m'embrasse avec envie et désir.

Notre baiser ne cesse pas lorsque l'ultime homme-objet vient la percer à son tour.

Mes mains sur ses joues, je savoure ce moment hors du temps où nos bouches ne font qu'une, où notre passion se concrétise dans un baiser d'amants fous.

Ses phalanges se contractent.

Son corps n'est pas utilisé par d'autres, nous utilisons d'autres corps.

Elle ouvre grand la bouche sous la queue qui la défonce.

Son cri encourage son assaillant.

Il la baise longuement, tenant fermement ses hanches, propulsant son sexe épais dans son vagin ruisselant de cyprine.

Nous échangeons quelques mots tendres, qui n'appartiennent qu'à nos murmures.

Pourfendue par le glaive de chair qu'il enfourne entre ses cuisses, elle me susurre son plaisir et son envie de ma verge dans son abricot outragé.

Ses paroles se gravent en moi "Prenez-moi Monsieur, baisez moi comme jamais... Je suis à vous."

Lorsque la jute vient napper une nouvelle fois le dos ma belle Eve, elle se cambre pour m'offrir son sexe.

Je l'embrasse avant de caresse sa joue, sa bouche de mes doigts. Elle me sourit, le visage rouge du plaisir interrompu qu'elle vient de subir.

Je passe alors derrière elle.

Je l'entends... son "haaa ouiii... Monsieur..." qui témoigne de son envie.

Ma verge se pose sur sa fente.

Ouverte, ruisselante, outragée, je viens frotter son clitoris, la faisant réagir instantanément.

Aucun des six hommes qui viennent de lui passer dessus n'avait le droit à autre chose que la fourrer.

Je la masturbe de mon sexe. Elle se trémousse.

Mes mains glissent vers l'intérieur de ses cuisses marbrées de son jus.

J'enfourne ma verge dans ses chairs lubrifiées.

Mon gland disparaît, suivit de mon pieu qui ouvre ses muqueuses et la fait pousser un râle rauque.

Mes mains sur ses fesses, cramponnées à ses hanches, je m'enfonce en elle.

Elle pousse son corps en arrière pour m'accompagner.

Sans aucune retenue elle s'empale sur moi comme je la force au plus profond de son vagin, ses envies exacerbées par les regards lubriques qu'elle sait posés sur elle.

Combien de personnes l'observent en ce moment, le cul en l'air, baisée de plus en plus profondément, le dos couvert de foutres divers, ses épaules, son cou, les côtés de ses seins ruisselant de ces jus mélangés.

Je la baise comme elle le mérite, alternant lenteur et rythme plus rapide, oscillant en elle, parcourant son intimité.

Je la défonce, là où les autres l'ont préparées, punie, je la récompense de mon sexe, centré sur sa jouissance proche.

Son corps se cabre, se tord, se noue, son vagin se contracte, ma verge lui répond, elle couine de bonheur dans son orgasme lent, parcourue par ma vigueur.

J'explose en elle.

Elle crie.

Je me vide dans son intimité.

Elle coule autour de moi.

Mon regard se trouble.

Sa voix est faible.

Je reste un peu en elle.

Elle est immobile.

De derrière les vitres sans teint nous parviennent quelques applaudissements.

Je baisse sa jupe sur son cul nu.

Elle se lève, je la soutiens, incapable de marcher, le sexe outragé.

Nous sortons dans le couloir sombre puis l'Agora et enfin l'extérieur où la brise lui fait relever le visage vers moi.

- Monsieur... vous êtes... hummm... adorable... me glisse t-elle dans le taxi qui nous ramène à l'hotel avant de s'endormir sur mon épaule.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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