[...]

 

- Bonjour. Fais-je à cet homme au caleçon sur les genoux.

Je suis rouge, je sens mes joues me trahir, mais je suis émoustillée.

Il pose son regard sur mes seins.

Un regard gourmand qui me ravi.

Je ne lâche pas du regard sa tige qu'il ne peut cacher, le caleçon sur les genoux.

Son sexe pend, encore large. Il surplombe deux boules de bonne taille.

Glabre je peux voir sa pilosité remonter en une fine colonne noire pour se mêler à sa poitrine aux petits tétons saillants.

Il me répond d’un « bonjour » machinal.

Je suis hypnotisé par ce membre ballant.

Je le vois me scruter et malgré moi mes tétons se tendent et marquent mon chemisier.

Je rougis, pivoine, honteuse… mais heureuse de l'effet que je produis sur cet homme.

Le fond sonore devient plus présent et nous rappelle à la réalité.

Une femme crie son plaisir dans l’écran.

Je m’assois dans un fauteuil, soudainement prise d'une envie presque animale.

J'ai chaud.

Mon bas ventre se contracte.

Le feu monte en moi.

- Je peux ? Demande-je sans même attendre de réponse, subitement galvanisée par ces plaisirs défendus.

« Je vous en prie. » Me dit-il en joignant le geste à la parole. « Mais qui êtes-vous ? » Fait-il alors que je croise mes jambes, haut, sur mes cuisses, admirant son corps et ses yeux gris bleus comme deux lacs de montagne.

Je ne réponds rien, ses yeux parcourent le nylon de mes bas que ma jupe montre jusqu'à leur liseret.

- Votre film est très intéressant. J’adore.

Il tourne son visage pour jeter un œil.

 

Je suis surpris par tant de culot de la part d’une femme aussi menue.

Son visage fin, son corps de liane lorsqu’elle se déplace, et ses seins ! Deux magnifiques obus qui n’ont de rivaux que ses yeux.

Suivant ce regard je la vois observer le film où l’on me voit, avec ma femme, et un autre homme.

Heureusement elle ne la connait pas...

Elle pousse une petite exclamation alors que la scène devient sans équivoque.

- Merci. Réponds-je simplement.

Sans m’en rendre compte mon sexe reprend doucement vigueur.

Sa jupe se relève, ses jambes croisées la font se relever vers le haut de ses cuisses.

Son entre jambe se dévoile. Elle pose sa main aux doigts fins sur son genou nu.

Je m’assois à mon tour dans le canapé face à elle sans arrêter le film. Cette femme accapare mon attention, titille ma curiosité et… ne me laisse nullement insensible, terriblement féminine et attirante.

- Que faites-vous chez moi ?

 

Son caleçon sur ses genoux il s’assoit face à moi, détendu.

J’ai une vue parfaite sur son sexe, amolli sur ses deux bourses.

Il ne cherche pas à se cacher.

Il est vrai que c'est moi l'intruse.

La femme dans le film amateur, pousse un gémissement... j'observe l'écran quelques instants alors qu'elle se fait chahuter.

- Je venais voir votre épouse…

Du bout des doigts je caresse l’intérieur de ma cuisse.

J'ai envie de passer deux doigts sur ma motte pour y calmer le feu qui l'anime, passer de la zone rugueuse a la zone lisse et appuyer sur mon bouton d'amour que je sens se gorger de sang.

« Ah ? Pour quelle raison ? »

- Passer un moment ensemble… faire quelques boutiques… se souvenirs de quelques moments passés.

Du dos de ma main je frôle ma jambe, de légères caresses, des vas et viens.

Il sourit.

Sa main se pose sur le manche rose de son sexe qui m’attire.

Il caresse sa verge du bout de deux de ses doigts en regardant mes seins, mes jambes.

« Elle a du partir, une urgence… infirmière… elle reviendra tout à l’heure. »

Je coule de doux regards vers son gland. Je sens ma respiration s’accélérer.

L’envie monte en moi comme je la vois monter dans son membre viril.

- Je peux attendre ici ?

Son gland frotte contre sa cuisse alors que l’érection le saisit.

« J’étais occupé, voyez-vous ».

Le ton de sa voix prend un accent coquin.

Je le regarde avec envie.

Suis-je folle de me trouver ainsi dans cette situation ?

En tout cas j'aime ce moment et mon corps en veut encore plus...

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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Dans cet ensemble de récits l'homme parle en bleu, la femme en rose.

 

 

Le salon est ombragé.

Les stores vénitiens empêchent le soleil de l’après midi de s’installer dans la pièce.

Les bruits de l’extérieur étouffés par le jardin, la porte de la baie vitrée ouverte apportent la fraîcheur de la tonnelle par une brise salvatrice.

Allongé dans le canapé, je ne porte qu’un caleçon, certain d’être seul pour une bonne partie de l’après-midi. Tout source de dérangement oblitérée, je profite de ce moment de calme estival.

Ma main flatte mon entre jambe, lentement sur le tissu.

Sous mes caresses je sens ma verge prendre de la place.

Une cuisse relevée sur le cuir du dossier, l’autre baissée à l’horizontale, j’observe avec intérêt l’écran devant moi, la bande son révélant un film au minimum érotique pour qui en entendrait des extraits.

 

J’avais retrouvée une amie d’enfance et elle m’avait indiqué de passer chez elle pour ensuite sortir et se donner un temps de souvenirs.

L’adresse en main, en l’absence de sonnette, je rentre par le portillon ouvert qui donne dans le jardin.

La porte vitrée ouverte, confiante et sure de retrouvée celle avec qui j’avais passé quelques bonnes années estudiantines, je passe la tête par l’entrebâillement.

J’ai le souffle coupé car devant moi, allongé sur un canapé, se tient un homme que je ne connais pas.

Assez grand, les cheveux bruns et courts, agréable à regarder, son corps presque nu révèle une musculature souple et dessinée, un torse légèrement velu, un profil de visage séduisant.

Sa main vient de baisser son caleçon.

Instantanément je sens la braise s’enflammer dans mon ventre.

Malgré moi je l’observe, voyeuse…

 

Je fais glisser entre mes doigts ma verge qui ne cesse de grossir et d'épaissir.

Un léger mouvement de coulisse me procure un début de plaisir solitaire.

Du bout des doigts je flirte avec mes bourses que le caleçon laisse apparaitre.

Absorbé par les images je me caresse avec délice.

Ma main glisse sous le coton tendu et je sens la chaleur douce de ma peau lisse...

Chaude de ma verge gorgée de sang.

Mon autre main vient décalotter mon gland.

Je soupir d'aise.

Lisse, pourpre, son col rétrécit, il surplombe ma tige masculine que je fais aller et venir.

- Vous êtes… seul ? Claque une voix inconnue.

Surpris je me retourne, le sexe à la main.

Une femme m’observe par la baie vitrée, à demi entrée dans le salon.

L’intruse porte une tenue estivale dont la jupe monte à mi-cuisses en dévoilant ses jambes satinées, un petit haut décolleté qui laisse apparaître la vallée profonde qui sépare ses deux seins de bonne taille.

Sa taille resserrée s’évase sur des hanches aguichantes.

Son cou gracile paré d’une petite chaîne semble vouloir attirer les baisers.

Je la détaille. Brune, les cheveux au carré, au centre de son visage souriant, ses deux yeux vert émeraude sont des joyaux qui étincellent d’un feu ardent.

- Qui êtes-vous ? Mais comment ? Fais-je en me levant d’un bond.

Elle me sourit pour toute réponse et pénètre dans mon salon, le regard rivé sur mon sexe qui dodeline devant moi, soudainement en baisse d’érection.

 

A suivre.

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[…] lacets
Les mains toujours liées aux barreaux de mon lit, les yeux bandés, allongé sur le ventre entièrement nue sur le lit, je les entends pousser à nouveau la porte de la chambre.
Ces deux hommes dans lesquels je ne parviens pas à identifier mon mari, entrent à nouveau dans la chambre où il m'a attaché.
Instantanément mon corps s’agite. Je suis prise d'un frémissement chaud qui me monte aux joues et aux tempes.
Malgré les assauts d’il y a quelques minutes, l’idée de mon mari et d’un inconnu me regardant onduler de la croupe m’excite déjà à nouveau. Alors je me trémousse... mon intimité frotte sur le tissu souillé du drap.
Je roule mon fessier, mes doigts resserrent leurs prises sur les barreaux du lit, je me cambre, pour leur offrir le spectacle d'une femme féline... d'un arrière train rond et disponible.
Toujours aussi silencieux dans l’ambiance feutrée de notre chambre ils s’approchent de moi et je sens un jeu de 4 mains venir me caresser.
Je frémis lorsque les mains glissent sur mon dos, descendent dans le creux de mes reins alors que d’autres mains remontent de mes genoux vers le haut de mes cuisses.
Incapable de discerner quels doigts sont ceux de mon homme, je me laisse faire lorsque les doigts me griffent légèrement.
Des lignes de feu embrasent ma peau sous ce contact charnel.
Je suis le piano sur lequel ils composent une symphonie affolante.
Je relève mon fessier comme une main vient le caresser, qu’une autre passe avec une extrême lenteur dans ma raie en effleurant ma rosette encore douloureuse.
Mes fesses rebondies sont massées.
Des doigts frôlent mon anus alors que la paume joue de mon postérieur.
Mes nymphes suintes au passage d'une main plus curieuse qui se faufile entre mes cuisses marbrées de jouissance.
J’étais loin d’imaginer mon mari aussi… pervers… mais j’en apprécie la révélation et j’ondule avec indécence.
Je me fais chatte, dans cette position terriblement excitante, à la vue de ces 4 yeux gourmands.
Je souris de bien être, du plaisir à venir.
Je souris d'imaginer leur phalus raide d'envies de me posséder.
Produisant quelques sons, quelques gémissements... mon être est un instrument de musique aux vibrations insolentes sous le toucher de leurs doigts.
Fermement je suis alors retournée.
Je pousse un léger cri, surprise.
Mes mains se croisent au dessus de ma tête.
J’ai l’impression d’être maintenue prisonnière de barbares assoiffés de sexe.
Ma respiration s’accélère, ma poitrine se soulève.
Je devine mes pointes dures se tendre vers le ciel au milieu de mes larges auréoles.
Les cuisses serrées, les deux hommes ont tout loisir d’observer ma fente épilée, seulement ourlée d’une mince et rase frange pileuse.
J'imagine le désir dans leur regard, je me trémousse, mes lèvres frémissent, je mouille déjà à nouveau.
Les mains se font plus fermes, sur mes hanches, sur mes seins.
Je me sens devenir chaude, humide, tremblante, sensible… l’envie monte en moi.
Et je n'oppose aucune résistance.
Je soupire de plaisir sous les caresses mâles qui saisissent ma voluptueuse poitrine.
Elles me pétrissent et font rouler mes tétons.
Les doigts tirent sur mes bouts de seins sensibles.
Je suis dévoilée, je gémis bouche grande ouverte.
Privée d’un sens, je suis à fleur de peau.
Je gémis, je me tortille, l'envie brule mon ventre.
A chaque effleurement, caresse ou pincement, je gémis, surprise, je me tortille, l'envie embrase mon ventre.
Je n'imaginais pas combien il pouvait être aussi excitant de se laisser ainsi caresser, fouiller, martyriser par des mains, privée de deux sens.
Mon supplice est divin, mon excitation grandit, j'ondule, je me cambre, je souffle .
Le matelas bouge, je sens l’un des hommes monter sur le lit.
Près de mon visage je ressens une douce chaleur et je sens l’odeur d’un sexe…
Un effleurement sur ma bouche.
Je pointe ma langue… presque malgré moi.
Rond, doux… glabre… une bourse qui n’est pas celle de mon mari.
J’hésite.
Je pose ma langue dessus.
Je la pousse doucement avant de m’en amuser.
Des pensées obcènes et contradictoires se bousculent dans ma tête. Je me fais l'effet d'une bonne suceuse.
Il doit me voir faire… et loin d’être honteuse, j’en découvre un surplus d’excitation.
J’ouvre ma bouche et je gobe cette boule qui pend au dessus de moi.
Elle roule dans ma bouche, je la suce avec appétit, gourmandise, une faim de sexe non assouvie.
Je joue de l’olive en la massant avec mon muscle, je la promène dans ma bouche... elle est douce, pleine... bien chaude.
Je connais donc à qui sont les doigts qui montent le long de mes cuisses qui s’écartent malgré moi.
Une main sur chaque jambe, les effleurements tactiles progressent et convergent vers mon sexe.
Deux doigts à droite, deux à gauche… ils se rejoignent sur mes lèvres molles et suintantes.
Ils s’enfoncent dans mon abricot juteux.
Je voudrais pousser un cri mais j'ai la bouche occupée et seul un gémissement etouffé parvient à se faire entendre alors que mes jambes sont écartées en grand, mon sexe envahit par les deux couples de doigts qui l'ouvre largement.
Les 4 doigts sont rapidement rejoins par 2 autres qui s’enfoncent et me fouillent de plus en plus loin.
Je suis offerte.
L’inconnu me présente sa deuxième bourse, je l’aspire avec envie, la force à venir dans ma bouche.
Mon sexe s’ouvre, s’écarte. Est écarté.
J’ai l’impression qu’il est béant et que tous deux peuvent en observer le jus gluant qui le tapisse.
L’inconnu au dessus de moi pose à son tour sa main sur mon bouton.
Il me masse alors que mon homme force ma motte de ses doigts.
Des petites tapes sur ma perle font qu’elle s’extraie de son logement.
Je ne réprime pas le cri de plaisir qui m’emporte.
Il me masturbe consciencieusement.
Au-dessus de moi l’homme se retire.
J’ai envie de le saisir en main… j’en suis incapable… liée par des rubans de soie… alors seule ma bouche suit son départ, comme affamée.
L’un de mes seins se fait chahuter, soulevé et tenu par le téton.
Pincé entre ses doigts la légère douleur est source d'un plaisir intense qui irradie de mon mamelon jusqu'à mon corps tout entier.
Mon sein voluptueux... agité par une force masculine qui me titille. Je mouille...
L’autre est palpé avec fermeté.
Ma fente coule, largement ouverte, écartelée par les deux mains qui la malmènent avec délice.
Je suis surprise de mes paroles… les premières de toute cette soirée.
- Oui… prenez-moi…
Je reconnais ma voix, mais en perçois une intonation inconnue.
- … baisez-moi…
Je m’abandonne à ce que je dis, presque incrédule devant le vocabulaire que j’emploie.
- donnez-moi… vos queues.
Je rougis et j’apprécie le bandeau qui m’empêche de les voir.
Derrière mon masque, je suis une autre, je me laisse aller à une soudaine passion… sensuelle… sexuelle.
L’un d’eux se glisse alors sous moi.
Je suis soulevée, déposée sur un corps que je ne connais pas.
Mes cuisses sont soudainement relevées, tenues par les genoux.
Je sens une verge se positionner entre mes jambes.
L’homme sous moi se hisse vers le haut.
Son gland vient se poser à l’orée de ma vulve humide.
Les doigts s’enfoncent à nouveau en moi pour m’ouvrir.
Une pression plus forte et le menton vient se poser sur mon épaule.
Je sens sa barbe naissante me caresser le visage alors que le bout de son sexe se glisse en moi, entre les doigts qui me maintiennent largement ouverte.
Massée de l’intérieur par les doigts de mon mari, le pieu de chair m’empale de plus en plus loin.
La verge progresse le long des doigts curieux.
Je pousse de petits cris alors que mon bas ventre est défloré en largeur.
Il retire progressivement ses doigts, me faisant apprécier la raideur chaude de l’engin qui me parcourt.
Je me cambre pour lui faciliter le passage, devinant le regard brillant de mon homme alors qu’un autre que lui me possède.
Les mains de l’inconnu saisissent mes seins.
Ceux de mon homme mes reins.
Allongée sur lui je suis en équilibre, retenu par sa verge et ses mains puissantes, le corps en offrande.
Vestale du dieu Pan... dont les adorateurs vont se repaitre.
Cette simple idée me fait fantasmer.
Ma poitrine est pressée.
Mes hanches forcées à descendre... je m'empale sur la verge de l'homme sous moi et je crie de plaisir.
On m'impose le rythme.
Je me laisse faire sous les 4 mains qui me font aller et venir autour de ce sexe que j'ai désiré.
Mes cuisses sont relevées…
Je sens les hanches masculines se glisser entre mes jambes.
J’ai un instant de peur.
Un deuxième gland se pose sur mon abricot outragé.
Je balbutie un « non »… incrédule devant tant d’audace de la part de mon époux.
Le second vit se fraie un passage dans ma petite chatte…
Les mains de l’invité lâchent ma poitrine pour venir écarter mes cuisses et permettre l’introduction du deuxième pal dans mon intimité.
Mon esprit veut refuser... trop étroite, ils vont me déchirer... mais mon corps lui ondule et se cambre pour accueillir la seconde verge.
Je pousse un cri… mélange de douleur et de plaisir extrême.
Il m’a bien préparé et j’accueille à ma grande surprise, les deux pilonnes de chair au creux de mes reins.
Lubrifiée, ils opèrent une saillie qui dépasse mes fantasmes.
Prise entre leurs deux corps, je suis immobilisée par ces deux mâles en rut qui me forcent avec de plus en plus de rythme.
Je gémis, je pousse de petits râles qui témoignent du plaisir qu’ils me procurent.
Leurs sexes à l’unisson, soudés, sont un piston large qui me remplit le bas ventre.
Je coule en abondance. Mes doigts se crispent sur les barreaux.
Dans mon cou j’entends le souffle rauque de l’inconnu.
Mes cris s’enchaînent, deviennent plus forts au rythme de leurs poussées inlasables.
Je me cabre comme une jument sous mes deux étalons.
Je jouis soudainement d’un orgasme inconnu, fulgurant, intense, parcourue par un arc électrique qui emporte mon corps, mes soupirs et mes barrières morales... dans un hurlement de plaisir.
Les deux barres plantées en moi je ruisselle autour d’elles.
Ma voix n'est qu'un long souffle orgasmique.
Avec lenteur elles se retirent.
Mon sexe me semble un trou béant, sensation contradictoire avec mon esprit qui est comblé.
Je suis vannée, extenuée.
Les mains me détachent.
Incapable du moindre effort, les deux hommes me soulèvent pour me mettre à genoux sur le lit.
Ils saisissent mes mains et les portent à leurs sexes.
Un dans chaque main.
Ils veulent que je les masturbe jusqu’à les faire jouir à leur tour.
Mes mains dans les leurs ils m'imposent des vas et vients.
Fourbue, j'obéis, branlant les deux tiges à pleine main, incapable de savoir laquelle appartient auquel.
J'agis, je les agite alternativement, puis à l'unisson.
Des mains palpent mes seins qui me semblent trop lourds.
Des doigts ouvrent mes cuisses pour effleurer ma motte meurtrie et dégoulinante de cyprine.
Une petite claque vient se poser sur mes fesses.
A genoux sur le lit, une verge dans chaque main, j'en oublie ma fatigue pour accélérer mes mouvements.
Mes doigts glissent pour découvrir quel homme est au bout de quelle queue.
Le contact avec une paire de bourses lisses me confirme que je tiens le sexe de l'inconnu dans ma main droite.
La pilosité des couilles à ma gauche me rassure sur le membre, que je ne croyais pas si large, de mon mari dans mes petits doigts, à droite.
Emoustillée par l'image que je me fais de la scène, je les masturbe en exerçant pressions et alternances de rapidité et d'extrème lenteur.
Mon cher mari me veut ainsi... il va me voir comme telle.
Lorsqu'une main se place dans mes cheveux et m'attire vers la gauche j'ouvre instantanément la bouche, prête à recevoir la semence de l'invité.
Quelques doigts viennent effleurer mes lèvres, je les lèche... ils ont le gout de mon sexe.
Ils m'imposent l'ouverture de ma bouche déjà largement offerte.
J'agite son manche de plus en plus vite.
Et le jus me surprend.
Il frappe contre ma gorge.
Les doigts me maintiennent la bouche ouverte pour permettre aux giclées suivantes d'entrer dans ma bouche sans en perdre une goutte.
Je n'avale rien, je reccueille le précieux sirop.
Epais, visqueux, je traie son vit pour en faire couler entre mes lèvres les dernières gouttes.
Alors je suis tourné à droite.
Je ne lâche pas l'autre sexe mais je me concentre sur celui de mon homme qui ne tarde pas à se vider dans ma bouche, calice de leurs nectars.
Il essuie son gland sur ma lèvre inférieure.
Ma langue se pose sur son bout fendu.
Elle est engluée dans le mélange de leurs foutres.
Je l'agite.
Ils m'observent.
Lentement je déglutis.
Le visage tourné vers eux.
J'avale l'extatique jus de leurs deux jouissances mélées.
Incrédule devant ce geste je m'apperçois que je prends plaisir à en savourer les parfums et l'image qu'ils ont devant leurs yeux.
Mon esprit voit ce que mes yeux ne peuvent voir...
Mes sens vibrent de mes agissements.
Je lâche les vits qui s'amollissent.
Immobile, les cuisses écartées, à genoux dans les draps froissés et salis, je les entends partir aussi silencieusement qu'ils sont venus.
La clé dans la porte qui se referme.
Mon mari pousse le jeu jusqu'au bout.
J'en suis ravie.
J'enlève mon bandeau mais je garde les yeux clos pour profiter encore de ce moment hors du commun.
Le lit est un champ de bataille que je change et remets en ordre... comme s'il ne s'était rien passé... les images se bousculant dans ma mémoire autant que dans mon corps.
La douche me détend.
Mon corps est exténué.
L'entrejambe douloureux, j'avance à petits pas, coulée dans mon peignoir de mousseline.
Mon mari rentre à nouveau dans la pièce.
Son regard brille en me voyant.
Engoncée dans mon peignoir, seule la vallée de mes seins est apparente.
Il flatte ma croupe sous le tissu épais et bouclé.
- Chérie tu es... splendide.
Sa voix chaude me réconforte, il ne m'a pas jugé sur mon attitude très... obcène...
- ... au fait j'ai oublié de te dire... j'ai donné la clé aux deux ouvriers ne sachant pas si tu étais là...
Ses mots me glacent soudain. Mon sourire se fige.
- .... de toute façon ils en auront besoin, puisque les travaux vont durer deux semaines.
Je ferme les yeux.
Mon bas ventre s'échauffe.
Je souris.
A suivre ?
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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