Après notre expérience, le chauffeur, moi, a déposé à l'attention de sa trainée un billet lui donnant quelques instructions.
 
Je suis particulièrement heureux de voir qu'elle a joué le jeu...
 
Installé tranquillement sur le fauteuil, je savoure ce moment où je l'entends arriver dans la pièce.
 
Je la regarde.
Elle a fait des achats.
Ses cheveux bruns tombe sur ses épaules… ondulant .
Ses yeux gris vert, une pointe de doré.
Je m’attarde sur ses lèvres en savourant mon verre posé sur la table basse.
Son, cou, ses épaules… ses seins mis en valeur par une guepière noir brodée d’or et de dentelle ocre qui s’arrete au dessus du bassin et maintiennent des bas couleur chair par 4 liens.
Son sexe est parfaitement épilé, ne laissant qu’un bande, une frange de la largeur de son index autour de sa fente.
Mes yeux s’y posent sans aucun sourire.
Elle me sent encore un peu en colère. Le visage fermé.
  • Tu as vu j’ai fait des achats ce matin… une folie ! J’ai bien fait non ?
Je ne dis rien... impassible, une lueur brillante dans le regard.
Elle tourne sur elle-même, rougissante, me laissant le temps d »observer son fessier.
  • Jolie.
Je lui fais signe d’approcher.
Elle vient, sans me quitter du regard, timidement, avec un sourire aux levres, émoustillée par ses achats.
  • Cette tenue te va bien.
  • Tu trouves ? merci.
  • Tres en phase avec ce que je t’avais demandé… et… tes envies. »
Je la mate sans me priver chaque courbe, celles du cou, des seins, des hanches....
  • C’est de la dentelle fine… soignée de qualité.
Elle se sent trop observée, disséquée, elle se tourne, me montre sa cuisse.
  • Tu as vu les bas ?
J’y passe le dos de mes doigts.
Elle poursuit « des résilles couleur chair ».
Je remonte jusqu’au liseret qui separe la resille de la peau, eflleur doucement cette frontiere.
Elle place son pied sur ma cuisse, l’œil petillant.
Son regard suit mes doigts et leur manege sur l’elastique.
Ja fais passer ma main d’une cuisse à l’autre.
  • Tu veux qu’on parle d’hier ? fait elle, bredouillante. « Ce garçon, enfin.. c’eetait un jouet, rien d’important. Finit-elle par balbutier.
  • Je souris et caresse l’interieur de sa jambe.
Mon silence la gene mais son corps reagit aux caresses.
  • Cela t’a plu ?
Elle pince sa levre. Entre l’envie de dire la verite et… mentir pour ne pas me blesser.
  • Oui, enfin, oui, pas tout a fait… mais un peu oui. Et toi ?
  • Tu as été particulierement perverse.
  • Tu as aimé toi, je t’ai vu. J’ai essayé.. de te donner du plaisir.
  • Je sais tu as meme reussi et j’etais dans un état second.
Un sourire s’affiche sur ses lèvres alors que je lui dit avoir compris qu’il n’était qu’un jouet.
Les yeux immensément grand ... je te regarde avec tout l'amour que l'on peut ressentir dans ces cas là, une forme de soulagement complice.
  • J’avoue que ce rôle te va bien. Tu ne trouves pas ?
  • Tu aimes me voir en catin ?
Ma main glisse sur les rondeurs interieurs de sa cuisse relevée.
  • Catin de luxe alors. Je prends soin de mon corps.
Elle ouvre légèrement ses cuisses.
Je vois ses lèvres se décoller, à ma vue… un souffle d’air fait fremir ses poils courts, sa peau encore sensible de l’épilation matinale.
  • Combien pour une passe ? lui fais-je les yeux rivés dans les siens.
  • Cher… tres cher pour vous. Tout depend de ce que vous voulez comme… prestations ?
Je sors un second billet.
  • Que me proposez vous ?
  • Streaptease, fellation, sodomie… la votre car mes fesses sont reservées.
  • Et pour plus cher ? aurai je droit de vous les prendre ?
  • Je vous propose une double penetration avec un jouet.
  • Plus cher… tous mes orifices. Ejaculation sur mon visage… entre mes seins.
Je laisse tomber un troisième billet.
  • J’ai un petit jouet assez fin… ideal… pour les… hommes.
  • Et bien ? qu’attendez vous ?
Elle reste inerte, le souffle coupé par le ton employé.
Elle se met à genoux.
  • Que voulez vous ?
  • J’ai toujours aimé les putes de luxe. Continuais-je de meme ton calme, doux malgré l’obscénité.
Elle semble décontenancé, jette un œil vers son sac contenant ses acquisitions, elle ramène ses cheveux en arrire.
J’écarte légerement les jambes.
Elle glisse ses mains sur mes genoux… me regarde… leve la tete et fixe mon entrejambe.
  • Et bien… ondulez… ainsi à 4 pattes… faites monter mon désir.
Ses mains s’ecartent de ma bosse naissante.
Son visage s’approche de mon sexe, à 4 pattes, les jambes écartées, elle essaie d’onduler le plus sensuellement possible, elle se sent perdue. Ses mains tremblent.
  • Tournez vous… que je vous vois vous agiter. Dis –je en avalant une gorgée de liquide.
Elle se tourne…ses fesses m’apparaissent.
Je pousse un sourire de contentement « joli petit cul ».
Elle ne dit rien devant cette nouvelle attitude.
Encouragée elle bouge d’avant en arrière.
Elle se cambre telle une chatte, creusant son dos.
  • Belle croupe…
La tete entre ses bras elle dandine ses fesses doucement de droite à gauche.
  • Cambrez-vous plus.
Elle ferme les yeux et releve son posterieur, ses levres s’ouvrent.
  • Une belle chatte…
Cette position l’indispose… et l’excite… je le sens dans ses gestes un peu gauche et l’humidité que je vois faire luire ses levres.
  • Et qui mouille me semble t-il.
  • Elle ecarte ses jambes pour s’ouvrir a ma vue, ses reins creusés.
  • - oui, je crois que je mouille… vous etes… tout cela est tres… excitant.
  • Regardez moi a nouveau.
Elle obeit, la tete relevée, sa nuque tirée vers l’arrière.
Ses seins maintenus dans le bonnet.
  • Vous avez de beaux obus dites donc…
J’y devine les tétons pointues sous le renflement du tissu doré.
Elle bouge ses mains pour tenter de les deloger.
  • Vous aimez ?
  • C’est bien continuez de les caresser… j’aime.
Elle en maintiens un d’une main pour caresser son sein tout en dandinant des fesses.
  • Tres sensuellement oui, comme cela, c’est bien… quelle taille font-il ces beaux seins ?
  • Ils sont de taille… 85 E… un bonnet profond… sur une fine taille… ils semblent d’autant plus volumineux.
  • Cela doit vous faire deux belles mamelles lorsqu’ils… pendent.
Elle caresse le téton a travers la fine dentelle.
Elle sourit.
Je masse doucement mon sexe sous le pantalon, visiblement conquis par ses gestes.
Elle extirpe doucement un sein de son logement, puis l’autre.
Devant moi elle soupese ses deux magnifiques obus fermes au téton dur et pointu.
  • Oui… joue avec.
Elle les fait rouler dans ses doigts. Mouille son doigt et de sa salive, roule le bout.
Elle le pince, le tire vers le bas…
Je me masse plus fort.
Elle jette des regards furtifs dans ma direction.
  • Tu as l’air d’aimer ça te faire tirer les pointes ?
  • Cette nuit tu as tiré dessus… et… j’ai aimé. Un melange de douleur fine et de plaisir.
  • Approche. Donne moi ton sein. Je tends la main.
Elle approche son buste, avance un genou puis l’autre.
- c'est bien... cambre toi bien... le dos droit... fais moi voir s'il est dur et doux
Je la sens electrisée, les chairs intimes en éveil. Je devine le filet entre ses cuisses… petite source odorante.
Je saisis le bout du teton entre deux doigts.
  • Continue de le soupeser.
Elle observe cette main ... cette grande main, la voir ainsi se faire caresser, prendre possession de son coprs dans ce rôle ... cela lui fait pousser un gemissement…
  • Je mouille !
Il est dur…epais…. Je fais rouler le mamelon.
Elle soupire de plaisir.
Je tire, lentement, relache et recommence… un peu plus fort.
Un petit cri de plaisir lui échappe.
Je tire en tordant doucement.
Elle gemit plus fortement, la douleur persistant apres le relachement et lui faisant prolonger son cri.
Elle ferme les yeux et sent son sexe reagir aux caresses.
Je le saisi entre trois doigts, elle se redresse, le dos droit.
  • Lache le… laisse moi le tenir entre mes mains ce joli sein.
Simplement retenu par le teton, je l’agite doucement.
Elle geint.
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
[...]
 
Les cuisses largement écartées sur le lit, je mouille en abondance.
 
Je le sens se dresser au dessus de mon ventre sans le voir.
 
Ses mains viennent saisir les miennes et les plaquer au dessus de ma tête.
 
Je ne reconnais plus dans mon mari, cet homme qui me possède avec tant de force, silencieux.
 
Je regrette de m'être donné à un autre que lui... mais en même temps.... 
 
Je sens l'odeur de ma cyprine alors que je devine son sexe s'approcher de mon visage.
 
Invisible dans le noir quasi total de notre chambre, je l'imagine droit au dessus de moi.
 
... en même temps il était d'accord... m'en veut-il d'avoir joui sous les assauts d'un autre ? Mais lui... 
 
Son gland vient se poser sur ma bouche.
 
J'ouvre mes lèvres... instinctivement.
 
Sur ma langue il pose son gland... enfonce sa verge dans ma bouche... sans s'arrêter pour revenir en arrière...
 
La rondeur de son bout vient frotter sur mon palais.
 
Sa largeur me force à ouvrir mes mâchoires en grand.
 
Je serre mes lèvres pour le sentir coulisser.
 
Le visage coincé dans le creux des oreillers, je ne peux bouger.
 
... lui... je l'ai vu... tenir son sexe dans ses mains, bander à la vue me voir me faire prendre... et se masturber pour soulager sa raideur. Alors... 
 
Je subis la poussée de son vit qu'il enfile profondément jusqu'à buter à ma gorge.
 
Invisible au dessus de moi il s'arrête.
 
Je manque de respiration. Ma bouche ne peut s'ouvrir entièrement.
 
Au fond de ma gorge je sens ma salive abonder et je déglutis avec peine ce mélange humide au goût de mon sexe.
 
Il recule lentement.
 
Sous ma langue je sens la veine saillante.
 
J'enroule mon muscle autour de son pylône qui reflux entre mes lèvres.
 
La douceur de son membre velouté fait bientôt place au resserrement annonciateur de son gland.
 
Je caresse les petites aspérités qui entourent le casque fendu de son sexe.
 
Du bout de la langue je caresse la lisse rondeur jusqu'à titiller son méat et y goûter la perle de suc qui en sort.
 
Il s'enfonce à nouveau.
 
... je m'en veux... j'ai adoré... si seulement je n'avais rien suggéré... mais c'était tellement bon...
 
Il joint mes mains au-dessus de ma tête, d'une main il me tient les poignets et continue de forcer ma bouche, longuement, profondément.
 
Je devine ses coups de hanches dans l'obscurité.
 
J'imagine son pieu raide entrer et sortir de ma bouche.
 
Je pose ma main libre sur ma motte trempée.
 
Il use ainsi de ma bouche, orifice satisfaisant la fellation qu'il s'autorise, plongeant au plus profond de moi qui suis incapable de résister à ses assauts.
 
Je me caresse sous cette posture que je n'imaginais même pas.
 
... après tout il me désirait ainsi... en trainée... offerte à un autre... alors pourquoi cet air sombre ? 
 
Mes doigts sont souillés de ma cyprine qui coule abondamment.
 
Lorsqu'il ôte son membre, mes mâchoires sont douloureuses, à la commissure de mes lèvres ruisselle un petit filet de salive.
 
Je reprends ma respiration avec force de lourdes inspirations.
 
Il relâche ma main et vient glisser son sexe entre mes seins.
 
Il se frotte.
 
Je serre ma poitrine pour venir l'enserrer.
 
Il avance et recule entre mes seins que je maintiens pour lui rendre sa masturbation plus délicieuse.
 
Je sens la raideur et le pieu luisant de ma salive glisser sur ma poitrine.
 
Il recule encore, délaissant mon buste pour mon ventre, effleurant ma fente grande ouverte.
 
... nous avons flirté peut-être de trop près avec le libertinage...
 
D'un geste sec et inattendu il me positionne à quatre pattes.
 
Ma nuisette glisse, m'échappe, me laissant nue... à la disposition de cet homme.
 
Sur les genoux, les coudes sur le lit je ne peux pas résister à la force avec laquelle il me maintient.
 
Etrangement je subis ses désirs qu'il ne m'avait pas révélés avec un plaisir inédit.
 
...Il me puni de l'avoir trompé sous ses yeux... et... j'aime cette nouvelle sensation... nos nouvelles sensations ? 
 
Lorsque je sens sa verge s'enfoncer d'un coup de hanches dans ma grotte brulante, je sais qu'il exprime ainsi sa façon de reprendre possession de sa femme... cette trainée qu'il a vu se faire saillir sur le capot de la voiture.
 
Je crie sous la poussée violente qui écarte ma fente et vient chahuter mon vagin.
 
Cramponnée par les creux de mes hanches il me prend sauvagement.
 
Son souffle est rauque, animal.
 
Sa large épée malmène mon fourreau gluant de mouille.
 
Le visage dans le coussin c'est tel un hussard qu'il me pratique avec obscénité.
 
Il me tient par les cheveux, me tire soudainement en arrière.
 
Je hurle comme son pieu me pousse vers l'avant.
 
Un cri de plaisir primaire.
 
Il accélère la cadence, concentré sur son plaisir uniquement.
 
Mon sexe s'offre à ses volontés, mes muqueuses sont agitées en tout sens par les cercles qu'il impose à mon vagin par ces coups de reins.
 
Je manque de souffle et sens monter la jouissance.
 
Il recule, sort de motte.
 
Je me cambre, suppliante dans le noir qu'il poursuive ses manigances.
 
Il replace son engin dans mon sexe.
 
La jouissance arrive au gré de ses entrées et sorties rapides.
 
A chaque fois mon sexe se désemplit pour se réemplir et m'arracher un gémissement de plaisir.
 
L'orgasme arrive, soudain, contractant les muscles de mon vagin.
 
Il le sens et me pilonne une dizaine de fois jusqu'au fond de mon sexe avant de sortir...
 
Je récupère...
 
Ainsi il semble y avoir pris du plaisir et me le redonne de cette façon... surprenante... extrêmement sensuelle dans sa brusquerie. 
 
Et je perçois alors qu'il se pose sur ma rosette.
 
Je lance une supplique négative.
 
Sa main vient claquer sur mes fesses.
 
Surprise par cette fessée, encore tremblante de ma jouissance, je geins, incapable de lui résister.
 
Le gland force mon anus étroit.
 
Trempé de mon jus de femme il y pénètre lentement.
 
Je remue mon postérieur pour empêcher une intrusion trop rapide de sa hampe trop large.
 
Au lieu de cela il me fait payer la sodomie que j'ai permis à cet inconnu en me forçant dans une longue poussée.
 
Mes doigts se crispent sur le tissu du lit.
 
Ma bouche s'ouvre comme mes yeux se ferment.
 
Un long cri muet.
 
J'ai l'impression que sa verge m'ouvre en deux.
 
Mon petit trou soumis à cette saillie contre nature je lance un hurlement.
 
La douleur est intense.
 
Il claque alors chacune de mes fesses et vient y poser ses mains.
 
Fermement il écarte mes globes pour reculer et venir me percer encore plus loin.
 
Je serre l'oreiller de mes mains et viens y poser ma bouche pour qu'il n'entende pas mes cris étouffés.
 
... mon trou d'amour que je lui avais préservé... qu'il m'a défloré... et fait apprécié... il me puni de l'avoir offert à un autre... 
 
Il poursuit ses va et vient, sans se préoccuper de mon corps qui se cambre et se tortille sous ses coups de butoirs.
 
Et puis le plaisir monte, incompréhensible, inexorable... au creux de mes plis sombres.
 
Son sexe me fait du bien et je pousse mon corps vers lui lorsqu'il ressort entièrement son gros vit raide de mon anus.
 
Dans le noir il ne peut admirer ma chute de reins et mon cercle intime que je sens former un rond ouvert et j'en suis presque déçue.
 
Alors il revient me posséder par l'arrière, me sodomisant avec une régularité de piston mécanique.
 
Nos gémissements se mêlent, ses ahanements et mes cris, ses grognements et mes râles...
 
Son bas ventre claque sur mes fesses.
 
Ses boules butent sur ma fente coulante de suc.
 
Je n'avais connu que sa verge dans mon petit cul... et... dans cette sodomie virile qu'il me pratique... j'oublie l'autre...  
 
Entré dans mon interdit, chaque élan fait avancer mon corps qu'il ramène en arrière avec la force de ses bras afin d'y enfourner encore et encore sa virilité infernale.
 
Je perds la notion du temps, profitant de cette brusquerie anale... et je jouis... mon démonté par le sexe puissant de mon homme.
 
Il caresse son sexe sur ma fente trempée,
 
Il se retire.
 
Mes jambes flageolent.
 
Je souffle sans pouvoir reprendre entièrement ma respiration.
 
Mon corps est couvert de sueur, de mouille...
 
Il saisi alors mon visage et l'emmène à lui.
 
Il me gifle de son bâton de chair avant de le poser sur mes lèvres.
 
J'ouvre la bouche et je l'avale d'un trait, ses mains maintenant mes tempes, son coup de reins l'enfonçant entre mes lèvres.
 
Il a le goût de la cyprine que je viens d'expulser... il a le goût de sa verge... de mon étroitesse...
 
Je ne peux résister à la fellation qu'il m'ordonne.
 
Je l'aspire, le pompe avec envie... soudainement désireuse qu'il me voit telle qu'il m'a vu avec un inconnu... une trainée.
 
Et son jus épais vient remplir ma bouche, ma gorge.
 
J'avale ce sirop de corps d'homme qui est un nectar âpre et visqueux.
 
Il se vide entièrement et, de ma langue, je presse sa veine pour en extraire les dernières gouttes que je savoure.
 
Alors qu'il se retire je reprends conscience de mon corps, fourbu et sale.
 
Je fais un geste pour sortir du lit mais il me retient.
 
Je m'endors alors dans cette souillure de stupre.
 
Au petit matin je crois avoir rêvé cette soirée incroyable mais les courbatures et mes muqueuses me rappellent à ce bon souvenir.
 
La douche est salvatrice.
 
Je repense à cette idée démente de sensualité, à cette folie sexuelle qui fut la notre.
 
Sur mon bol de café fumant, un simple message :
"Ce soir tu seras la trainée de notre maison... close".
Suivi d'un cœur en guise de signature.
Mon ventre s'embrase, ma poitrine se soulève et mon cœur palpite plus fort.
Il veut continuer à jouer... j'ai des achats à faire...
Mon sexe perle déjà.
La journée commence bien.
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Cette histoire suit "Le chauffeur et sa trainée".
 
[...]

 

Il gare la voiture.

 

Sans avoir dit un mot il ferme portes et volets.

 

Depuis qu'il m'a vu avec cet autre que lui il ne m'a pas décroché une seule parole.

 

" Je vais... me doucher". Lui lançais-je, pour tenter de renouer le dialogue.

 

Il ne répond rien, file dans une autre pièce.

 

Je suis troublé par son comportement.

 

Le corps encore troublé par la jouissance que je viens d'éprouver, mon esprit est dans le flou.

 

A t-il détesté ?

 

L'eau ruisselle sur mon corps.

 

Pourtant nous étions d'accord...

 

Et cela semblait même l'exciter de me voir jouer la trainée devant lui.

 

Je souris malgré moi.

 

C'était... bon, je dois l'avouer.

 

Mais mon sourire disparait. Ai-je mis mon couple en danger ?

 

Je me lave, toute envie disparue instantanément.

 

N'a t-il pas comprit que je le faisais pour nous, pour lui… sous son regard ?

 

Il semblait pourtant apprécier si je m'en réfère au fait qu'il se soit masturbé en me regardant.

 

La serviette douce et chaude sèche mon corps.

 

Il faudra que l'on parle. Que je lui explique que le jeune homme dont je ne connais même pas le nom, n'était qu'un jeu, un jouet pour nous. Mais le comprendra t-il ?

 

Lorsque j'ai jouis, mon visage était tourné vers lui, comme mes pensées.

 

Je me glisse dans les draps froids.

 

Il ouvre la porte.

 

Son visage est fermé, grave, sévère.

 

Il éteint la lumière en entrant à son tour dans la salle de bain.

 

Les larmes me montent aux yeux.

 

Mes seins me semblent alors trop gros, mon corps trop... pas assez...

 

J'essuie mes yeux.

 

Le bruit de l'eau de la douche résonne dans la pénombre presque totale de notre chambre.

 

Mais est-ce encore "notre" chambre ?

 

Je me tourne du côté opposé au sien. Droite, sur le flanc, ne lui offrant que mon dos.

 

"Zut ! Il était d'accord. Je n'ai rien à me reprocher".

 

Il entre dans le lit toujours sans un mot.

 

Dans le noir complet j'attends une parole de lui.

 

Au lieu de cela il se colle à moi.

 

Sa main droite vient se glisser sous mon genou et relève ma jambe à l'équerre.

 

Surprise j'en reste muette.

 

Sur mon dos je sens la raideur de son sexe qu'il appuie contre ma peau.

 

Prise au dépourvu je laisse ma jambe remonter et sa main venir se poser sur mon sexe sans préliminaire.

 

Il me caresse.

 

Sous le geste imprévu je me cambre un peu.

 

Son autre main saisi ma nuque et il se serre à moi.

 

Ses doigts glissent sur ma fente. Son majeur entre mes lèvres alors que l'index et l'annulaire flirtent sur mes lèvres molles.

 

Les bouts de ses doigts atteignent mon clitoris pour repartir en arrière.

 

Une caresse ferme qui fait s'entrouvrir mes chairs... et... devenir instantanément humide.

 

Il se presse contre moi.

 

Sa verge est aussi dure que ses gestes sont sans équivoques.

 

Il presse ma perle à chaque remontée de ma fente.

 

Mon clitoris ne tarde pas à se gorger et chaque fois que sa main vient l'écraser un peu durement je m'arque sous le mélange d'indélicatesse et de plaisir qui monte.

 

Il remonte sa main sous ma nuisette pour atteindre mes seins.

 

Il les palpe l'un après l'autre avant de venir se saisir de mes tétons qui se dressent au centre de mes auréoles.

 

Avec une étonnante fermeté il me malaxe les seins et fait rouler mes tétines érigées.

 

Il tire mon sein.

 

Je gémis sous la douleur de ma lourde mamelle simplement tenue en l'air par mon bout.

 

Il me maintient ainsi, agitant mon sein d'une façon encore inconnue pour moi, jusqu'à m'arracher un soupir de plaisir.

 

Il me relâche. Je souffle.

 

Il n'a jamais été aussi dur avec moi.

 

Sans un mot il redescend son bras vers mon bas ventre.

 

Sa main plaquée à mon sexe, il me masse vigoureusement.

 

Je prends plaisir à ce jeu rude qu'il me pratique.

 

Son majeur entre alors sans prévenir dans mon antre brulante.

 

J'ouvre ma bouche pour laisser un soupir s'échapper sous l'intrusion profonde.

 

Il me fouille, s'enfonçant et reculant dans ma grotte, allant de droite à gauche explorer mes replis qui se nimbent de cyprine sous ses gestes sans hésitation.

 

Il ressort pour venir une nouvelle fois jouer avec mes tétons.

 

Mon sirop qu'il étale sur eux les rend plus glissant et il les malmène jusqu'à me faire pousser de petits couinements de plaisir.

 

Sa main vient saisir la mienne et, toujours sans un mot, l'amène à son sexe.

 

Sa verge est raide. J'en saisi la base entre mon pouce et mon index, peinant à en faire le tour.

 

La paume de ma main vient se refermer sur le milieu de sa hampe et je le fais coulisser, remontant vers le haut dans cette position inconfortable où ma main est à l'envers.

 

Il se laisse faire et sa main file alors à nouveau vers mon entre jambe.

 

Délicatement il extraie mon bonbon et je lâche un couinement de plaisir.

 

Je le masturbe lentement, sentant dans ma main le gland rond, sommet de son pieu d'acier.

 

Il change de position, se met à genoux sur le lit, je le saisi alors plus aisément et j'accélère mes gestes.

 

Il m'ouvre les cuisses, défaisant le drap, me plaçant sur le dos, ouverte.

 

Je palpe ses bourses du bout des doigts... deux belles boules qui pendent et que je fais rouler lentement pour sentir les olives internes.

 

Sa peau est douce, chaude.

 

Je recommence mes gestes de masturbation.

 

Sa main gauche caresse mes seins l'un après l'autre.

 

La droite effleure mes lèvres avec délicatesse, s'attardant sur ma perle qu'il fait glisser doucement.

 

Après ce moment où il a été rude je le redécouvre prévenant et attentif.

 

Je gémis, retrouvant l'homme que je connais.

 

Lorsqu'il m'enfonce trois doigts dans le vagin sans préliminaire alors que simultanément il pince un de mes seins, je m'aperçois que je viens de me tromper.

 

Je pousse un petit cri.

 

Il reprend possession de sa femme après cet autre... il me montre son côté sombre.

 

Ses trois doigts avancent et reculent, écartelant mes lèvres, provoquant à chaque pénétration qui m'ouvre, un gémissement.

 

Lorsqu'il y adjoint son pouce, formant un cône large qui me force, je crie.

 

Il me malmène.

 

Ma fente s'élargit alors qu'il écarte ses doigts lorsqu'il s'immobilise à l'intérieur de mon sexe.

 

Puis il recommence à entrer et sortir, rapidement, sans cesse.

 

Je presse son membre et le fais aller et venir plus vite à mon tour, calquant mon rythme sur le sien.

 

Les doigts enfoncés dans mon vagin il les fait s'agiter en mon intimité.

 

Il les fait sortir de cette façon... écartés... ouvrant mes chairs ruisselantes à l'extrême.

 

Je pousse un long couinement que je n'entends que dans le flou sonore que provoque le sang qui bat mes tempes.

 

Dans le noir je ne distingue même pas son corps qui me surplombe.

 

Ses mains saisissent mes chevilles.

 

Il m'ouvre les cuisses et vient se poser sur moi.

 

Son sexe dur plaqué à ma grotte gluante de mouille.

 

Il me force, ouvrant encore un peu plus ma motte sous la largeur de sa verge.

 

Son vit s'enfonce de plus en plus profondément, rapidement.

 

Je le sens bientôt buter au fond de mon vagin.

 

Je gémis.

 

Il me prend avec frénésie.

 

Alors que je lâche une petite protestation, il pose ses doigts sur ma bouche pour m'intimer le silence et m'ordonner d'obéir.

 

La pulpe de ses doigts sent le sexe... mon sexe.

 

J'ouvre la bouche alors qu'un assaut plus fort me perce le ventre.

 

Il y place ses doigts que je suce alors d'un geste machinal et presque obscène.

 

Il fourrage entre mes cuisses et j'apprécie la force dont il fait preuve pour la première fois de notre vie commune.

 

Lorsqu'il s'extraie de mon sexe en fusion, je n'ai qu'une envie... qu'il recommence à me... baiser de la sorte.

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • Le blog de M.
  • : Le blog de M.
  • : Récits érotiques sur les rives du plaisir.

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés