J'étais fatiguée.

 

Nous fêtions le passage de dizaine d'un ami.image05

 

Et s'il avait tout prévu pour notre amusement et notre confort, je n'en étais pas moins éprouvée par cette journée et cette soirée de festivités.

 

Il y avait les amis que je connaissais depuis longtemps, ceux que je connaissais moins et enfin la grande partie des inconnus.

 

Nous avions été gâtés. En plus des activités, de la nourriture et de la boisson, il avait réservé des petits chalets autour du gite loué pour l'occasion.

 

Lorsque je regagne le chalet qui m'héberge je suis exténuée. J'ai dansé, ri, fait la folle... et un peu trop bu je dois l'avouer.

 

Heureusement qu'aucun de nous n'avait à conduire.

 

Je prends donc une douche qui me fait un bien fou.

 

Peu à peu les 2 autres chambres du chalet se remplissent et le bruit de la musique s'atténue.

 

La soirée nocturne touche à sa fin, chacun regagnant son couchage, qui en toile de tente, qui dans une maisonnette de bois.

 

L'eau coule sur mon corps.

 

Je la laisse ruisseler quelques minutes sans bouger, juste pour sentir la chaleur détendre mes muscles.

 

J'ai passé ma dizaine également il y a quelques mois... à l'époque je n'étais pas seule.

 

Mes mains massent mes seins.

 

Du haut de mon mètre 70, ma taille fine fait ressortir ma poitrine. Ce 95C parait encore plus volumineux, surtout depuis que j'ai coupé mes cheveux dans un carré mi long, aux reflets dorés.

 

Encore désirable... malheureusement pas ce soir.

 

Mais ce n'est pas grave, je n'étais pas venu pour cela.

 

Je me souris dans la glace de la petite salle d'eau avant de retourner dans la chambre, mes yeux bleus rieurs.

 

Allongée dans le lit, je pousse un soupir de contentement.

 

Enfin du calme.

 

La musique s'est complètement arrêtée.

 

Le lieu a retrouvé son calme champêtre.

 

L’éclairage de la petite lampe baigne la chambre d’une luminosité pâle.

 

Le vent souffle et je me glisse dans les draps.

 

Mes hanches recouvertes je me stoppe pour ôter mon top.

 

« Après tout, qui m’en empêche ? ».

 

Un frisson que je connais bien me parcourt.

 

Le tissu vient frôler mes tétons qui se tendent déjà alors que je les recouvre du drap.

 

Je devrais résister, résister à l'envie d'être presque nue dans une chambre que je ne connais pas mais mon esprit vient de basculer du côté de l'envie.

 

Les pièces à côté de moi sont occupées par un couple et quelqu'un d'autre et l'idée de me caresser au milieu de ces inconnus me submerge.

 

Grisée par l'alcool peut-être aussi je pose ma main droite sur mon sein.

 

Il est gonflé. Je respire déjà plus vite.

 

Avec un léger sentiment de honte, exacerbé par cette situation, je glisse mon autre main jusqu'entre mes cuisses.

 

Je vais devoir être silencieuse si je ne veux pas qu'au réveil ils me regardent d'un autre air.

 

L'excitation me gagne.

 

Massé entre mes doigts, mon mamelon durcit.

 

Je le fais rouler avec de plus en plus de fermeté.

 

Cette façon de faire me procure toujours des éclairs dans la poitrine qui descendent jusque dans mon ventre.

 

Ma main se pose alors près de mon nombril à la déclivité délicate, mes doigts se faufilent sous le coton de ma culotte presqu’aussitôt.

 

Je me cambre, réprimant un gémissement pour ne pas me faire repérer.

 

Quel plaisir de se faire du bien...

 

Quel embarras délicieux de se livrer à cette pratique solitaire dans un lieu inconnu... obligée d'être discrète...

 

Sous mes doigts qui parviennent à ma fente je sens déjà la coupable humidité qui me remplit.

 

Légèrement, je masse les renflements lisses de mes lèvres.

 

Elles sont chaudes, souples.

 

Je pince mon mamelon.

 

Je ne dois mon silence qu'à un effort suprême de ne pas émettre un petit cri.

 

Il est vrai que j'adore parler, que l'on me parle et que je suis bruyante pendant l'acte.

 

Quelques paroles me reviennent en mémoire... osées, douces, crues, aimantes... je les apprécie.

 

Mon clitoris est gorgé de sang.

 

Cela fait si longtemps…

 

J'appuie sur mon bouton d'amour jusqu'à le sentir devenir douloureux et le libérer dans un souffle profond.

 

Sensible à l'extrême il réagit sous mes doigts qui le tortillent et le malmènent.

 

Un de mes doigts s'insinue dans mon abricot fendu.

 

Ma main entièrement disparue dans mon slip en coton blanc que je sais déjà tâché de mon humeur je me masturbe avec lenteur, n'oubliant aucun de mes endroits sensibles.

 

Je rougis car je viens de me rendre compte que j'ai gémis un peu trop fort.

 

Ma main s'arrête avant de reprendre.

 

Ho... si je réveille mes voisins, je vais passer pour une perverse solitaire.

 

Mon index s'enfonce en moi à cette pensée, se frayant un passage sans effort dans mes nymphes lubrifiées de mon suc.

 

Mon bassin se lève vers l'avant, j'ondule dans le lit, résistant à trop le faire grincer.

 

Il fait cependant du bruit... je m'immobilise à nouveau, attentif aux bruits du chalet, anxieuse de ne réveiller personne, mon index ne cessant pas pour autant de percer mon vagin.

 

Un soupir de plaisir... qui n'est pas le mien !

 

J'en reste bouche bée.

 

J'écoute.

 

Un lit craque.

 

Un nouveau soupir, plus fort.

 

Devenue auditrice curieuse, je fais refluer mon index de mon sexe pour simplement caresser mon pourtour brulant.

 

Le couple d'à côté a visiblement la même envie que moi.

 

J'entends son murmure de mâle... inaudible mais qui irradie mon bas ventre.

 

Elle réplique dans un murmure lui aussi incompréhensible.

 

Quelques bruits, craquements que je n'identifie pas.

 

Une attente où je caresse mes tétines éveillées et ma grotte inondée.

 

Ils sont silencieux... discrets, à mon image.

 

Je suis un tison ardent, l’imagination et l’envie dans une tourmente de sensations.

 

S'ils savaient que je me fais du bien en même temps qu'eux... voyeurisme par l'audition.

 

C'est un sentiment nouveau qui me réjouit.

 

Leur lit craque plus fort.

 

Elle émet un "humm" éloquent.

 

J'enfonce deux de mes doigts dans mon vagin et je me malmène, poussant sur le haut de ma fente pour exciter ma perle en fusion, à l'entendre je suis dans un état second.

 

Mes cuisses s'ouvrent pour me permettre de mieux me faire plaisir.

 

Dans la pièce proche j'entends les halètements de cette femme qui a de plus en plus de mal à se retenir de gémir.

 

Je m'unis à leur rythme, mon lit oscillant avec la même régularité que le bruit de leur tête de lit sur la cloison qui nous sépare.

 

Jamais encore je n'avais éprouvé cette sensation intense.

 

Je découvre une source de plaisir inédit qui me ravit.

 

A les entendre s'unir mon envie est décuplée.

 

Je les imagine... sans me rappeler de leurs visages.

 

A certains moments c'est moi que je vois avec cet homme inconnu, pendant que je me fouille de plus en plus fort.

 

Un léger cri m'échappe.

 

Ma main lâche mon sein pour se porter à ma bouche, comme pour me museler trop tardivement.

 

Ils se sont stoppés.

 

La tension s'évanouit de mon être, certaine d'être repérée.

 

Mes doigts quittent mon intimité.

 

Je me statufie pour tenter de savoir s'ils m'ont entendue.

 

Lorsqu'après quelques instants d'angoisse je les entends reprendre, je suis rassuré.

 

Elle gémit doucement à son tour, plus longuement.

 

A la vitesse d'un cheval au galop mon corps se tend, le désir revenu, encore plus fort, plus irrésistible qu’avant.

 

Dans quelle position sont-ils ?

 

Tous mes doigts roulent et poussent sur mon haut de sexe, excitant mon clitoris tout en ouvrant légèrement mes lèvres enflées par le désir.

 

Comment la prend t’il ?

 

Des images toutes plus érotiques les unes que les autres me traversent l'esprit.

 

Je pétris mes seins voluptueux en tirant les tétons pointés vers le ciel comme des mines de crayon.

 

Leur souplesse me permet de les maltraiter, mes auréoles se targuent de quelques aspérités qui témoignent de mon état de surexcitation.

 

Un râle de mâle me fait ouvrir grand les yeux.

 

Je mords mes lèvres en imaginant un corps flou et musclé chevauchant une femme, glissé entre ses jambes relevées.

 

Mes gestes deviennent plus brusques, je gémis en écho à l'autre femme, ma complice invisible.

 

Elle pousse un "han" sonore bientôt suivi d'un autre...

 

Je rougis de son manque de discrétion.

 

Mon sexe coule avant même que je ne me rende compte que ma jouissance arrive.

 

Elle exprime son plaisir, entre retenue et fougue.

 

Je me crispe pour ne pas hurler à mon tour, mordant ma lèvre inférieure alors que le jus inonde mes cuisses.

 

Je reste ainsi, suffocante du plaisir que je me suis donné à les entendre.

 

Ma poitrine encore tendue.

 

Le drap repoussé à mes pieds.

 

Les jambes ouvertes.

 

Je retire ma main de ma culotte salie.

 

Mes voisins se calment, deviennent silencieux. Quelques bruits... des murmures...

 

Je retrouve mon calme, ma respiration se fait plus sereine et je me lève pour passer dans la salle de bain.

 

De l'autre côté de la paroi, j'entends susurrer, j'entends l'eau couler... la vie reprend ses droits.

 

Je me recouche.

 

Le lit est chaud, odorant de mon plaisir assouvi.

 

J'éteins la petite lumière, les yeux ouverts, encore sous le joug de cet énervement sensuel.

 

Le vent s'est accentué.

 

Et l'homme grogne... un "humm" aux accents pimentés.

 

Je me redresse sur un coude, ma poitrine ballotant.

 

Les grincements recommencent...

 

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]

Son mât près de mon visage, de mes lèvres, encore vacillante de mon orgasme fulgurant, je le saisie entre mes doigts fins, sourire aux lèvres, le visage illuminé d’une femme comblée … je le saisie et je le caresse tout doucement.

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Je retiens ma fougue envie de le serrer sauvagement entre mes mains et de le masturber pour en faire jaillir sa jouissance, son jus, son nectar.

Tout doucement, je caresse la hampe du bout de mes doigts, le renflement de son gland vers la base de sa hampe, je suis toutes les petites aspérités, je glisse tout le long de sa veine palpitante.

Je savoure ce moment de plénitude, l’esprit serein, apaisé, mon corps assouvi, détendu.

Je lève les yeux vers son visage fermé, il serre les dents, il retient sa jouissance.

Je devine son souffle retenu entre ses lèvres pincées.

Son envie de me voir le prendre en peine bouche est nettement visible, je le connais par cœur, je lis chaque émotion dans chacune de ses grimaces, malgré le jeu auquel il nous fait jouer, celui du client et de sa trainée.

Mais je ne bouge pas. Effrontée, provocatrice, j’entrouvre ma bouche, mais je ne l’embouche pas, je le laisse ainsi sur cette frustration, son désir en est que plus intense.

Sa grande main ferme d’homme se place à ma nuque, il caresse mes cheveux, mon front.

Il retient ses gestes, il sait que son plaisir est dans cette attente extrême ... pousser ses sensations  toujours plus loin, à la limite, sur le fil.

Mes cheveux sont mouillés de ma jouissance, de mon plaisir de sentir ses lèvres aux miennes, de sentir sa bouche aspirer mon suc dégoulinant, des fines mèches brunes sont collés à ma joue, à la commissure de mes lèvres.

Il caresse ma mèche folle, plaquée par mon plaisir, la décolle pour la placer très affectueusement derrière mon oreille.

Je lui souris, mes yeux brillant de tout l’amour que je lui porte, de tout mon ressenti, de mes sentiments les plus fous pour lui.

Mes yeux explosent de passion. Mes pupilles baignent dans des larmes prêtes à jaillir de ce trop plein d’émotion.

Je serre légèrement la hampe, applique une douce masturbation, un doux va et vient tout en fixant la prunelle de ses yeux clairs.

J’ai l’impression qu’ils n’ont jamais été aussi clairs, aussi limpides ... deux lacs dans lequel  j’aimerai me noyer et y perdre mon souffle. Dans mes mains son vit est brulant, dur... un pieu en fusion.

Mon visage s’approche lentement de son gland turgescent, violet tellement il est gonflé et gorgé de désir. Il cogne ma joue comme je masturbe sa verge.

Le méat s’échappe et luit sur ma fossette.

Le visage rayonnant, je caresse ses bourses de mon autre main, file vers ses fesses que je masse délicatement et fermement.

Il souffle fort.

Je masse par petits ronds ses deux globes musclés, doux et imberbes.

Ma main se faufile par son entrejambe, le poigné frotte ses bourses glabres.

Ses petites olives roulent dessus comme je masse sa fesse.

Je glisse mon index à sa raie, et viens lisser sa rosette, son soleil encore endolorie de mes manigances sensuelles.

Il grogne. Déglutit avec un souffle de gémissements de mâle en rut.

Je souris aux souvenirs de son orgasme cérébral, de son endurance et ténacité à ne pas exploser de son jus à ce moment là.

Son excitation est des plus élevé et intense au vue de notre accouplement des plus charnels et érotiques.

Je pétrie sa fesse, caresse son petit trou d’amour et serre son membre de mon autre main, son gland à ma joue.

Il souffle doucement, fort, son cœur tape fort dans sa poitrine.

Mes lèvres s’écartent langoureusement, je pointe ma langue avide, dirige son gland, et pointe sur sa fente rouge de désir. Je recueille de son jus d’amour, de son désir incommensurable.

Ses goutes roulent sur ma langue, je tourne sur son bout rond, je tourne tout autour, pointe à son renflement, je le suce doucement, il est tellement bon que je pourrai jouir à nouveau juste en suçant son  bâton d’amour.

Je me cambre, ondule de mon corps, la croupe offerte tout en lui prodiguant mes caresses.

Je m’enivre de son odeur de sexe que je connais parfaitement. Chaque fragrance renvoie à mon cerveau une onde de désir m’insufflant un gémissement lorsque mes papilles gustatives sont en contact direct avec son sexe.

Ce délicieux et savoureux bâton de chair que j’aime et dont je ne me lasse pas de dévorer.

Je le suce longuement, langoureusement et passionnément tout en fermant mes yeux pour bien profiter de chaque goute de son sirop, de la douceur de son désir.

Il coulisse entre mes lèvres, ma langue s’enroule autour.

Ma main quitte ses fesses pour soupeser ses boules entre mes doigts, je les roule avec délicatesse.

Ses gémissements croissants m’excitent et me poussent à encore et encore lui donner du plaisir.

Ses gémissements appellent les miens qui sortent de ma bouche, je suis comme folle, il me rend folle d’envie et de désir. Elle est loin sa trainée, sa catin, le jeu est loin, il ne reste que cette envie folle de le manger, de le bouffer, d’aspirer tout son être, son âme, son esprit, de faire qu’une et seule et même entité.

Je sens sa verge palpiter d’envie de jaillir, je sens son jus progressivement monter de sa source.

J’abandonne son gland pour lécher tout le long de sa veine, je tourne autour de sa tige, je la suce entre mes lèvres, je mélange ma langue, salive, je fais plus qu’un avec son bâton d’envie. Mon visage, ma bouche, tout mon être en communion avec lui par le biais de cette fellation intense et sans contrainte.

Mes soupirs de plaisir se mêlent et se confondent avec les siens, sa jouissance et proche.

Je le masturbe méticuleusement de mes mains glissantes, mon plaisir est tel que mes gestes sont un peu désordonnés. Sa verge, ses bourses... son souffle, son parfum... son gout, sa texture... il me rend folle.

J’ouvre la bouche en grand, son bout rond au fond de ma gorge, contre ma joue, j’ouvre au maximum de mes maxillaires, je l’embouche au plus profond à m’en étouffer.

Sa main se pose à ma gorge, il m’impose une ouverture encore plus grande. Adorable perversité qui me fait ruisseler une nouvelle fois.

Mes seins ballotant, mes tétons doublés de volume pointent effrontément.

A genou, les jambes écartées je sens mon jus couler entre mes cuisses. Je me pensais vide et je sens mon miel filer. Un fil translucide coule sur la moquette.

Je souris de me sentir ainsi intarissable, mon désir pour mon homme est intarissable, insatiable, inépuisable.

Je glisse une main à mon antre, recueille de mon jus et le mêle au sien... j’alterne mes mains et je couvre son membre de ma mouille abondante.

Je prends sa queue énorme ente mes deux mains et je le masturbe avec méthode.

Des lents va et viens se succèdent par des rapides au rythme de sa respiration.

Ses pulsations cardiaques se font proches.

Je le sens venir, il est au bord de jouir.

Je suce avec gourmandise sa veine tressaillante.

Je pointe ma langue à sa fente.

Je sens son jus monté, il démarre à sa base, sa verge se tend … et dans un cri orgasmique rauque un jet puisant blanchâtre jaillit de sa queue pour venir napper mes lèvres, une main à ma nuque, l’autre à ma joue, il me serre fort.

Ma main enserre sa fesse, mon cri de jouissance se confond avec le sien, un cri de satisfaction mêlé à la jouissance de le voir ainsi, la tête en arrière, la bouche ouverte, figé.

Un arc électrique traverse son corps. Mes reins se cambrent.

Mes chairs vaginales se contractent seules, je frissonne de se spectacle merveilleux qu’il m’offre.

J’admire les traits de son visage se déformer de plaisir, son bassin en avant, des spasmes parcourent son magnifique corps d’homme, de mâle, son sperme jaillit par saccades.

Je le pompe doucement, je le vide entièrement, je le suce et recueille tout son suc pour moi. Le fruit de son amour à mon égard. Je ne perds pas une seule goute de ce sublime cadeau, cette offrande.

Mon regard se perd dans ses yeux clairs presque blancs, le bleu du petit matin, brillants comme jamais.

Il caresse ma joue, mes lèvres blanches de son foutre, le bout de ma langue.

Et dans un doux gémissement, j’avale sa semence.

Il se place à genou, et vient lécher mes lèvres rosies et enflées, des restes de cette délicieuse crème onctueuse.

Un baiser langoureux clos cet échange des plus fous, nos langues se lèchent, nos lèvres se sucent tendrement, nos corps trempes de sueurs se collent, peau contre peau, nos effleurements sont apaisement, calment nos corps encore frissonnant...

Morphée se joint à notre duo.

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[...]

 

Elle sourit, debout devant moi.

Entièrement nue à l'exception de son porte-jarretelles qui encadre ses cuisses douces.

Ses seins majestueux accrochent les reflets rougeâtres des lumières diffuses.

La main qu'elle pose sur la courbe sensuelle de ses hanches augmente la cambrure osée qu'elle m'offre.

Les pupilles étincelantes, sa respiration courte, sa poitrine qui se soulève, ses tétons arrogants, tendus au centre de ses auréoles larges, sont autant de signes de sa sexualité exacerbée.

Les sons étouffés de notre intérieur résonnent encore de la mélodie chaude des soupirs de plaisir que nous venons d'échanger.

Elle se complait dans ce rôle de composition de trainée qui s'offre à cet homme, client, que je représente.

Je ne suis plus son mari, je suis le payeur qu'elle a toujours secrètement rêvé d'avoir, repoussant ses limites, abolissant ses barrières morales.

Sa main se pose sur son sexe.

Elle se compose un jeu de prostituée.

Entre les deux minces franges pileuses, elle glisse ses doigts qui ouvrent les chairs souples et luisantes de son sexe affamé.

Je l'observe recueillir une nouvelle fois son précieux nectar.

A genoux devant elle, mon sexe est tendu vers le ciel.

Elle le dévore du regard.

Mes jambes sont largement écartées. Mon arrière-train est encore douloureux des percées contre-nature qu'elle vient de me pratiquer.

Le gland lisse et rond, fendu avec délicatesse, se démarque de la large barre de chair par sa couleur pourpre.

Je sens ses yeux le détailler, de la veine apparente aux bourses glabres et pendantes, des aspérités formant une couronne autour de mon bout à la raideur épaisse du bâton dans son ensemble.

Son ordre ne supporte pas d'hésitation.

C'est un souffle impérieux qui me fait brûler de désir.

"Viens me lécher."

Je regarde cette fente qu'elle ouvre et écarte à quelques centimètres de mon visage.

Son odeur de femme, de sexe, me fait tourner la tête.

Mes sens sont en fusion.

J'ai envie d'ajouter le goût à cette tempête impressionniste qui me bouleverse.

Je m'approche, bouche ouverte vers sa féminité malmenée avec lenteur par ses doigts agiles sur lesquels se répand sa cyprine luisante.

"Oui, reste comme cela, à genoux".

Mes mains au sol je tends le bout de ma langue vers les renflements de son ouverture béante.

"Viens me lécher à genoux, comme mon joli chien".

Elle relève sa cuisse, pose son pied sur la table basse.

Sa fente outrageusement ouverte au dessus de mon visage.

Elle me domine et apprécie autant que moi cette nouvelle répartition des rôles entre nous.

J'avale ma salive, ma bouche meurt d'envie de découvrir la molle fermeté de ses nymphes affolantes.

"Je vais te laper"... dis-je en plongeant mes yeux dans les siens, plus clairs, plus perçants que jamais, "...laper ta belle fente".

Ma langue sortie de ma bouche je touche une de ses lèvres.

Le gonflement de son sexe enfin au bout de mon muscle buccal.

Elle pousse un gémissement instantané alors que je découvre au toucher extraordinairement suave de sa chair, la saveur délicieuse de son plaisir qu'elle exprime en coulant.

Je passe ma langue sur une des lèvres.

Délicieuse, trempée, je savoure son nectar à la fragrance enivrante.

Elle me surplombe, droite et fière.

Elle conserve la maitrise de la situation par sa position hiérarchiquement dominante.

Ses yeux glissent sur mon dos, sur mon visage, sur ma langue qui parcoure les souples lèvres écartées, l'une après l'autre.

"Tu sens le sexe." Lui murmurais-je en plongeant mon regard dans le sien.

Un mince fil de cyprine coule au fond de son sexe.

Je passe ma langue sur chacune des aspérités de ses lèvres, m'approchant du centre qu'elle maintient béant entre ses doigts.

D'un lent mouvement du visage je m'éloigne de son puits d'amour.

Un filet de mouille nettement visible entre le bout de ma langue et sa fente luisante.

"Oui. C'est de ta faute. Alors lèche." M'impose t-elle dans un soupir.

Ses joues rougissent de honte.

Son sourire s'élargit, de plaisir.

Ma langue se fait large et se plaque à sa motte.

Je ne la quitte pas des yeux.

Elle gémit, ses seins se soulevant orgueilleusement.

D'une main elle soupèse et palpe l'une de ses mamelles.

"Nettoie tout cela... petite... cochonne." S'aventure t-elle à m'ordonner.

Je m'applique entre ses lèvres ourlée d'une fine pilosité à parcourir les moindres replis.

"Oui... maitresse ?" lui réponds-je, avalant son sirop.

Consciencieux je lèche, langue large et lente.

Elle ferme les yeux et pousse des gémissements le plus silencieusement possible.

Je la vois lutter contre son désir, faire durer le plaisir, prendre de ma bouche ce que j'ai de meilleur à lui donner.

"Tu es largement ouverte".

A mes mots elle se cambre, se tortille, soupire.

"Tu es bonne à lécher".

Elle geint, pince son téton, et maltraite ses seins l'un après l'autre.

"... totalement ouverte..."

Son doigt dans sa grotte fouille l'antre brulante.

"Complètement trempée".

Elle souffle... pousse un petit cri.

J'enfonce ma langue dans sa vulve.

Je la dévore avec une envie encore jamais éprouvée.

Ma bouche embrasse son entre jambes.

Je fouille son sexe de ma langue, à la fois extrêmement lente ou vive et précise.

Je découvre ses replis secrets.

Je me délecte des doux filigranes de son intimité, à peine perceptible sous l'agilité de mon muscle.

Je déguste son sirop de femme qu'elle m'offre et m'invite à boire.

Son doigt enfoncé dans sa fente, je le lèche.

Elle me l'insère dans la bouche.

Je le suce avant d'extraire son clitoris dur et gorgé de désir.

J'aspire le bouton délicat au son de ses gémissements de plus en plus audibles.

De bas en haut, je lape son abricot fendu, pour suçoter à chaque fois la perle qu'elle confie à mes soins osés.

Son souffle devient plus fort pour finir dans un cri.

Je m'enfonce dans son vagin, le visage collé à son corps ardent.

"Hoooo ouiiiii"

Je la dévore.

Je bouffe littéralement son sexe bouillonnant.

Ma langue s'enfonce littéralement en elle.

Elle parvient à articuler..." En...core..."

Je m'applique, de plus en plus rapide.

"Con... continue... haaa...."

Ma langue se tourne en elle, j'aspire son jus qui coule de plus en plus abondamment.

"Mange ma... chatte."

Je me recule, l'admire, son corps de liane aux seins agités se cambre et ondule sous l'intensité des sensations qui l'électrisent.

Son clitoris titillé, j'entre et sort l'intégralité de ma langue de son sexe tel un membre qui la prend avec lenteur.

Très écartée, ses deux mains pétrissant sa poitrine tendue, je sens mon sexe bander à en être douloureux.

Je me place assis devant elle, ma main saisi ma verge, je ne tiens plus.

Je la lèche, je la dévore... avec avidité.

Mes doigts s'agitent sur ma verge pour lui appliquer une masturbation régulière et franche.

J'avale son jus qui coule de plus en plus.

Je me régale de la dévorer.

Elle tend son bas ventre vers moi, je m'applique, de plus en plus vite, alternant les coups de langue sur la surface de son sexe avec les succions et les pénétrations.

Un flot de jus odorant inonde son vagin.

Je le fais couler dans ma gorge.

Elle râle comme j'avale le fruit de son orgasme.

Ses mains saisissent mon visage et le force à se coller à son sexe détrempé.

Ma bouche est une mécanique démoniaque qui aspire et dévore l'intensité de sa jouissance.

Lentement elle reprend ses esprits et calme les mouvements de son corps.

J'explore son intérieur pour la nettoyer.

Je recueille les ultimes traces de son orgasmique plaisir.

Elle est en nage.

Un dernier effleurement de son ouverture avant qu'elle ne repousse ma tête pour me sourire.

"Tu es... à se damner" me murmure t-elle, les yeux plus brillants.

Ma verge entre mes doigts je ne cesse de me masturber en la regardant assouvie.

Elle flageole et s'assoit sur le fauteuil.

Sa respiration est plus lente.

"Tu es délicieuse... pour une pute". Lui dis-je alors en me relevant et en présentant mon sexe à sa hauteur.

Ses joues s’empourprent.

Ses tétons se durcissent instantanément.

Elle avance sa main encore salie de sa souillure et ses doigts fins se posent sur mon mât bouillant.

Dans un instant de silence je l'entends glousser... immédiatement excitée par cette nouvelle reprise de contrôle de ma part au jeu de la trainée.

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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