[...]

Mes mains sur le tapis, mes genoux au sol, je perçois avec plus d'intensité ma respiration qui s'est accélérée malgré moi.
Le toucher du tissu sous mes doigts me semble fait de fleurs.
Je perçois l'environnement dans les teintes rouges de la lumière diffuse.
Mon salon prend une dimension qu'il n'a jamais eu.
Nu, à quatre pattes, mes sentiments se bousculent entre le vertige et confinement.
Sa voix claque.
"C'est bien comme ça. Écarte un peu plus les jambes".
Ma femme m'oblige, dans son rôle de traînée de luxe.
Le sang bat mes tempes.
Mon sexe est douloureux tellement cette situation m'excite.
Sa main caresse mon dos avec la délicatesse qui la caractérise.
Glissant sur mes genoux, j'ouvre mes cuisses.
Je sens mon postérieur se dévoiler.
Elle frôle mes reins.
Je me cambre instinctivement et tends mon bassin vers le haut.
Mon indécence me surprend.
Je sens ma verge palpiter sous mon corps qu'elle caresse... de la nuque aux fesses...
A mes côtés elle me regarde.
Ses yeux étincellent. Deux diamants verts piqués d'étoiles.
Elle incline son beau visage.
Elle observe mon sexe, raide, légèrement pendante à angle droit de mes bourses glabres.
Du bout des doigts elle forme des ronds sur mon fessier lisse.
Mes boules me semblent lourdes.
Son regard est gourmand...
Ses ongles prennent la suite de ses frôlements tactiles.
"Un beau soc..." murmure t elle en remontant le long de ma colonne vertébrale.
Je me cambre sous les griffures légères.
Son geste redescend...
Un soupir m'échappe.
"Une belle queue."
Je suis surpris de son langage, de son attitude.
Aussi, lorsqu'elle glisse mon doigt dans la raie de mes fesses, je ne peux m'empêcher d'onduler, de réagir, soudainement pris d'envies folles, en chaleur... agréablement soumis.
Je lève mon bassin.
Elle se place derrière moi.
Sans même m'en rendre compte mes cuisses s'ouvrent un peu plus.
L'a t 'elle remarqué ?
Dans le reflet d'une glace je la discerne, ses tétons tendus se distinguent nettement sur sa poitrine lourde, tout comme sa main qui s'agite entre ses cuisses.
Elle descend le long de la vallée de mes fesses pour érafler ma rosette plissée d'un ongle délicat avant de faire frémir mes bourses.
Sensation incroyable où je gémis.
Elle pose sa main sous mes sacs bien pleins et les soulève.
Elle me soupèse, en mesure le lourd contenu.
J'écarte mes jambes pour lui permettre de me saisir les couilles.
Son visage se penche... salive... entre mes globes coule un filet de liquide.
"Ho...." lâche-je alors qu'elle me parcourt de son doigt, "... oui".
Elle remonte sa salive tiède de son index qu'elle tient raide et simule une verge d'homme, fine... curieuse.
"Tu en veux encore ?".
Sa voix est chaleureuse, légèrement brisée par l'émotion.
"Oui... encore..."
Un second filet vient m'inonder.
Le bout de son doigt joue avec mon petit orifice interdit avant de flatter mes bourses sur lesquelles elle étale sa bave en me massant à en gémir.
Doucement elle les fait rouler dans sa main.
Son doigt se fait raide, dur, inquisiteur sur mon anus.
Je bande comme un cerf...
Elle presse mes boules, les agitent.
Je geins.
Lentement son index force mon entrée.
"Haaaaa" Le petit cri m'échappe.
Elle sourit, me masse.
Je pousse mes fesses vers elle, introduisant son doigt de quelques millimètres supplémentaires dans mon antre étroite.
Par petites touches, elle tourne sa première phalange dans l'ouverture palpitante.
Elle la sent se détendre, s'assouplir... se donner... me donner.
Sa seconde main, chaude, humide de ses gestes solitaires vient faire rouler les olives de mes couilles alors qu'elle enfonce par petits allers et retours sa seconde phalange en moi.
Elle me masse.
Je ne sens plus le moelleux du tapis.
Je ne perçois plus les objets, les murs, les couleurs.
Perdu dans ces sensations intenses, je m'abandonne à ses gestes, enivré par le plaisir.
Sa main fraîche, à plat, remonte sur ma verge brûlante.
Tout mon corps ondule aux rythmes de ses manoeuvres.
Elle entame une masturbation lente pour reprendre mes boules dans le creux de sa main, mon membre saisit entre son pouce et son index, à sa base, avec une dextérité et une maestria... une expérience que je ne lui connaissais pas.
Je baisse ma tête, submergé par les envies.
"Hooo... c'est... haaa....".
Ma voix semble loin... extérieure... autre. C'est celle d'un homme qui prend un plaisir fou.
"Tu aimes ça ?" me dit-elle en tournant son index autour de mon oeiller pour s'arrêter en son centre.
Je me fige.
"Oui."
Je sens mon anus s'ouvrir et se fermer, l'extrémité de son doigt au bord de ce gouffre intime.
Elle sourit à ma respiration rapide avant de baisser son visage et pointer sa langue à mon petit trou.
La pointe musculaire en effleure les pourtours.
Un délice de sensations tourbillonnantes.
Elle passe sa langue sur l'ouverture.
Lentement.
Puis de plus en plus rapidement avant de s'arrêter.
"Et ça, tu aimes ?"
Je grogne de plaisir avant de pouvoir répondre.
"Oui... lèche-moi... mange-moi encore.".
Elle insinue sa langue.
"Ha oui... tu as l'air d'apprécier".
Elle glisse son doigt à la suite de sa langue.
A genoux derrière moi, les jambes écartées je la vois onduler de la croupe.
"J'aime te bouffer le cul" murmure t-elle de façon perverse.
Elle me surprend par son registre de langage osé.
Son index se fait curieux et m'empêche de relever sa phrase.
Il entre, s'immobilise avant de se retirer et recommencer.
Chaque pénétration et sortie me fait l'effet d'un éclair qui parcourt mon corps des cuisses à la nuque.
Elle accélère ses poussées, malaxant mes boules.
Mes bras ne me soutiennent plus, je pose les coudes au sol en expulsant un cri alors qu'elle enfonce son doigt profondément.
Elle caresse ma hampe, soulageant les tensions qui l'habite.
"Tu... es... douée... haaaa..."
Je la distingue observer mon cul offert, ouvert, mes couilles saisies à pleines mains, la verge tendue.
Images d'un sensualité exacerbée, indécentes.
"Je ne sais pas qui est le plus cochon des deux". Fait-elle en bougeant son index enfoncé en moi.
Je relève mon visage dans un cri sourd comme elle écarte les plis sombre de mon intimité.
"C'est toi... la cochonne". Tente-je de lancer dans un acte de défi.
Elle ressort rapidement et je peux souffler.
Je l'entends saliver et cracher sur son doigt.
Et je sens deux doigts me forcer.
"Ha oui ? C'est moi la cochonne ?".
Sa voix est surexcitée.
Elle écarte les chairs, les assouplis, bouge, tourne sans omettre de masser mes bouses, les écrases avec délicatesse pour faire aller et venir les noyaux brûlants.
Je ne suis plus qu'animal.
Elle crache sur mon cul à sa disposition.
Mon corps se raidit... se tend... mon coeur s'emballe.
Elle me perce avec largeur de ses deux doigts fins et doux.
Je pousse un cri, incapable de me retenir.
Elle écarte ses doigts, les ouvre, entre doucement en appuie sur ma verge.
Le cri devient muet.
Mon anus écarté, elle s'immobilise quelques instants avant d'entamer un mouvement circulaire.
La bouche grande ouverte, je parviens soudain à émettre une râle de bonheur où la douleur à fait plaisir à un plaisir inédit.
Je n'ose pas faire un seul mouvement.
Percé, elle entre et sort avec dextérité de mon tabou chaud et emplit de sa salive.
Elle cogne dans le pli de sa main.
J'halète, incapable de contrôler mon plaisir obscène.
Elle m'agrandit, ravie de me fouiller de ses pseudos verges tout en me masturbant sans cesse.
Mon visage va de droite à gauche.
"Alors... qui est le plus cochon ? Ou la plus cochonne ? Tu cries. On croirait entendre un..."
Je subis ses manigances perverses.
"C'est... moi... Tu me fais crier comme un cochon que je suis."
"Oui. Tu es mon cochon..."
"Je suis ce que tu veux... hooo... continue".
Elle saisit mon sexe, le maintien fermement dans sa main, le serre et le masturbe doucement.
"Tu es ce que je veux...".
"Haaaa ! Oui.. branle-moi en même temps".
"Tu es délicieux... tes fesses aussi". Elle ponctue sa phrase d'une masturbation plus appuyée.
"Tu aimes mon cul ?! Et... ma queue ?!"
"J'aime te voir ouvert sous mes doigts. Le cul en l'air, sodomisé. Tes chairs écartelées... comme... une..."
Je cède à ce qu'elle désire entendre...
"Comme ta cochonne".
Elle rit doucement.
Je grogne, me cambre.
"Tu t'ouvres comme une petite femme..."
Elle pose un troisième doigt.
"Non... ho non..."
"J'adore te percer... te transpercer... te lécher... te défoncer".
Elle l'enfonce.
Mon cri est guttural.
"J'aime te sodomiser".
Sa main astique mon manche de plus en plus vigoureusement.
"Non ! haaa... hummm... oui ! Encore ! Ho oui !"
Sa main lâche mon glaive pour se figer dans son vagin.
"Tu aimes toujours petite cochonne ?"
"Oui... j'aime te sentir dans mon cul".
Elle recueille rapidement son jus pour venir en enduire ses doigts qui entrent et sortent de mon anus désormais béant.
"Et tu sens combien je mouille ?"
"Ha oui... tu te branles en même temps, c'est... hum... délicieux".
"Tu m'excites trop, je ne peux pas tenir !"
Sa voix se casse.
Son sirop en moi favorise l'intromission rythmée et large.
A son intonation je sens qu'elle succombe peu à peu à l'orgasme croissant.
"Viens me goûter... mes nymphes sont prêtes à ce que tu me lèches. Je coule".
J'entends le bruit sensuel de ses gestes intimes alors qu'elle recueille des filets de son jus et les approche de mes lèvres.
J'ouvre la bouche.
"Goute. Goute combien je... mouille pour toi".
J'y pose mes lèvres en douceur, je lèche et je lape.
Doucement, puis avec plus de vigueur, d'envie, comme je me délecte de sa cyprine délicieuse et odorante.
"Ha oui ! Lèche !! Lèche ma fente !" ordonne t-elle en se plaçant devant moi, debout, extirpant ses doigts de mon anus endolori.
A suivre...
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[…]Bonbon

 

Osés, mes mots la surprennent.

 

Elle bouge son buste, ma tige entre ses seins.

 

Elle essaye de s'appliquer, visiblement de plus en plus excitée par ce jeu où je suis dur avec elle.

 

Appliquée, elle me montre un côté d'elle même que je ne connais pas.

 

"Je vais essayer... de me montrer à la hauteur."

 

Dans sa voix douce, le tremolo de la crainte de représailles sensuelles se mèle à la vibration de l'espoir de telles sanctions.

 

Ses mains viennent aux flancs de ses seins pour serrer fermement ma tige de chair.

 

Je l'encourage alors qu'elle fait coulisser lentement mon pieu dans la vallée comprimée de sa poitrine pâle.

 

"Lourds..."

 

Mon sexe coulisse, le gland sortant à chaque mouvement.

 

"Confortables..."

 

Dans la douceur chaude, les ombres lumineuses la rende sublime, ses yeux brillent d'envie.

 

Je tente de la choquer de nouveau..

 

"J'ai quelques amis qui aimeraient en profiter je suis sur."

 

Ses cheveux cessent de chatouiller mes cuisses, elle s'arrête, surprise, relève son visage pour me fixer.

 

"Pardon ?" fait-elle incrédule.

 

Je pose ma main sur sa nuque.

 

" Tu as très bien entendu".

 

J'affermi ma prise sur son cou.

 

"Des... des amis ? Mais..."

 

Je décide de porter un nouveau coup.

 

"Ne me dis pas que tu n'as jamais eu deux hommes à la fois ?"

 

Dans son regard je lis l'incrédulité et la surprise totale.

 

Elle bredouille faiblement une réponse négative.

 

"Je suis sur que cela te plairait".

 

Je replace une mèche de son front derrière son oreille à la boucle dorée.

 

"Je ne sais pas trop si j'aimerais" fait-elle, frémissante.

 

La main de ma nuque tire doucement ses cheveux pour plonger mes yeux dans les siens.

 

Ils brillent soudain...

 

Ses mains resserrent mon sexe.

 

Elle pince ses lèvres... indécise... indécente.

 

"Si... si vous le désirez... j'aimerais... vous aimeriez ?"

 

Je relâche ma prise et appuie sur sa nuque pour unique réponse.

 

Instinctivement sa bouche s'ouvre à proximité de mon gland.

 

"Ouvre bien grand.. je vois que tu as l'habitude."

 

Elle obéit et engouffre le gland gorgé à chaque allée et venue entre ses seins aux pointes dures.

 

Je force son visage a descendre... sa bouche a accepter mon vit que je maintiens droit pour qu'il s'enfonce dans sa bouche.

 

Le membre coulisse entre ses globes.

 

Elle lèche le bout.

 

Elle soupire de plaisir, salive autour, sa bouche forme un joli rond.

 

Elle se régale de la douceur de mon bout.

 

"Hooo... tu as une bouche faite pour ça..."
Mes mains saisissent ses seins... je les écarte...

 

"Englouti-le... adorable trainée".

 

Elle gémit.

 

Je la regarde, bouche ouverte, de plus en plus largement pour m'accueillir, ma verge disparait peu a peu entre ses lèvres ourlées de rouge.

 

"Tes lèvres sont douces... serre les bien... et continue... de me sucer."

 

Elle le retire de sa bouche pour reprendre sa respiration et dans un grognement de joie, l'embouche, ses lèvres tendues sous la largeur de la glace qu'elle tente d'avaler.

 

Je relève ses cheveux pour mieux l'admirer.

 

"Une bonne suceuse dis donc. Tu apprécies cela d'avoir une verge en bouche."

 

Son visage penché, le gland se devine dans sa joue déformée.

 

Le rose lui vient aux joues.
L'intensité du plaisir me gagne.

 

Elle tente de maintenir ses seins au plus près de mes bourses.

 

Je l'aide... ses mamelons frottent... sa bouche salive... ses soupirs successifs manifestent son plaisir.

 

"Tu es une gourmande..."

 

Elle accentue son mouvement.

 

"Une petite goulue..."

 

Elle aspire mon membre en l'extrayant de sa bouche.

 

Le rouge à lèvre a disparu.

 

Sa voix est sensuelle...

 

"C'est votre... queue... elle est.... si bonne."

 

Son visage s'empourpre à ses propres paroles.

 

Je lui souris.

 

"Oui ? Je savais que tu aimais pomper. Continue."

 

Son regard brille.

 

"Oui... douce, raide, bien épaisse... elle vibre dans ma bouche... c'est bon."

 

Elle s'active, désireuse de bien faire.

 

Je la laisse agir... elle avale mon gland, le tête, poussant ma tige à entrer dans sa bouche.

 

"Tu aimes les belles verges."

 

"Oh oui... j'aime".

 

"Lèche-moi. Je veux te voir user de ta langue sur ma queue... lentement... "
.Je l'observe avec attention. Surexcité par ce nouveau lien entre nous...

 

Elle sort sa langue, bien large, à l'extrême pour lécher tout le long de la hampe.

 

"Oui... allez lèche... partout".

 

Elle rejoint mes bourses, passe sa langue de la base de ma verge jusqu'en haut de mon vit tendu vers le ciel.

 

Elle enroule sa langue autour de mon gland puis repars vers la naissance de mes boules glabres.

 

Son empressement témoigne de son excitation.

 

Mes jambes largement écartées pour lui permettre de pouvoir me lécher à ma guise, elle lèche chaque pouce de mon sexe.

 

Elle lape mon méat.

 

"C'est bon là ? Je fais bien ?"

 

"C'est bien, tu es douée."

 

"Ha oui ?"

 

Sa langue reprend ses manigances sur mon vit.

 

"Tu lèches comme..."

 

"Comme ?"

 

Elle me regarde, la langue large qui remonte sur ma veine saillante.

 

"Comme une vraie chienne."

 

Elle part du bas, me fixe de ses yeux superbes, et remonte lentement en agitant la pointe de sa langue sur mes fines aspérités, les joues rouges de ma qualification.

 

Je caresse ses épaules, ses bras nus.

 

"Ha oui ?"

 

"Ouiii".

 

Je pousse un gémissement.

 

Elle ouvre sa bouche et avale mon gland.

 

"Je vois que tu aimes ça".

 

Elle grogne en ondulant des fesses.

 

"Et ton petit cul qui s'agite..."

 

Elle le remue un peu plus, faisant progresser mon sexe dans sa bouche.

 

Elle salive, montant et descendant, active et gourmande.

 

Sentir cette verge raide de désir entre ses lèvres la rend euphorique.

 

"Tu me baves sur les bourses... ça coule... entre mes cuisses... cochonne".

 

J'appuie le dernier mot.

 

Elle lève les yeux, surprise, son bassin cesse ses mouvements.

 

"Nettoie..."

 

Pour les rabaisser... et lécher."

 

"Nettoie... cochonne".

 

Docile, elle lèche goutte après goutte, avec douceur et lenteur.

 

Je bascule mon bassin vers l'avant.

 

"Lèche bien partout."

 

Un regard un peu perdu... toute petite entre mes cuisses musclées, docile.

 

Je décide de la rassurer.

 

"Montre-moi ce que tu sais faire avec ta jolie langue".

 

Elle lèche dans les replis de mes bourses chaudes.

 

Je remonte doucement mes genoux.

 

Sa langue se faufile vers mon interdit.

 

Elle y hasarde un délicieux coup de langue rapide.

 

Puis, doucement, juste de la pointe, elle remonte vers mes boules.

 

Sa langue se fait alors large et les comprime légèrement.

 

"Oui... partout... c'est bien. Tu comprends bien. On voit que tu as l'habitude..."

 

Elle s'affaire.
"Normal... pour une trainée". Lâche-je en lui souriant.

 

Elle me rend mon sourire.

 

Sa langue cherche mon petit trou si doux.

 

Mes mains l'aident à y avoir accès en relevant mes jambes.

 

Sombre, légèrement boursouflé, elle pointe, pénètre sa langue sans l'orifice palpitant, la retire pour la faire entrer de nouveau.

 

Presque allongé sur le dos, je subis avec délice cette intrusion intime.

 

Je lui offre mon intimité, j'ondule dans un souffle.

 

Ses mains en appui sur l'arrière de mes cuisses, elle l'ouvre doucement.

 

Sa salive coule sur moi, m'humidifie.

 

je lâche un soupir.

 

"Hooo... c'est bon !!"

 

Elle entre sa langue plus profondément.

 

Je me tends sous l'intrusion.

 

Son muscle tourne en moi, élargit mon antre secrète.

 

"Humm... oui... mange-moi..."

 

Elle navigue de mon petit trou d'amour vers mes bourses.

 

L'une de ses mains vient caresser ma verge.

 

Elle me masturbe doucement contre sa joue.

 

Ses doigts se rapprochent de mon nid d'envie... une caresse... un effleurement sur mon petit orifice qui se détend sous le passage de ses doigts fins.

 

Elle recule son visage dans un souffle chaud.

 

Sa main monte et descend sur mon sexe.

 

Ses doigts n'en font pas le tour, elle l'agite.

 

Elle me regarde en cette position...

 

Offert...

 

Les jambes de part et d'autre du fauteuil, sur les accoudoirs.

 

Elle porte un doigt à sa bouche, salive dessus.

 

Je souris.

 

Elle recueille... suffisamment de salive.

 

Je la regarde fixement.

 

L'envie contre nature m'envahit.

 

Elle déverse l'humidité de sa bouche sur les plis sombres.

 

Le bout de son index s'y glisse, juste à l'entrée.

 

Je grogne un "oui"...

 

Elle agite l'entrée de mon anus.

 

Elle tourne son doigt pour le retirer, le sucer et le remettre.

 

Sans un mot.

 

"Hooo vraiment très cochonne".

 

Elle me sourit et dépose de nouveau sa salive, largement pour y glisser une phalange.

 

Je me cambre un peu.

 

Son doigt pénètre plus loin.

 

Je pousse un petit cri, mélange de douleur et de plaisir.

 

J'ondule sous ses gestes.

 

"Mets-toi à 4 pattes".

 

Sa voix me surprend.

 

Le ton est ferme, sans contestation possible.

 

Je l'observe. Ses yeux parsemés d'étoiles.

 

Et j’obéis.

 

 

A suivre…

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[...]kimono

 

Elle est à genoux, devant moi, son dos bien droit..

 

Simplement vêtue de son porte jarretelle qui maintient par quatre lanières sur chaque cuisse ses bas couleur peau.

 

Elle pousse un "hooo" alors que je fais rouler son mamelon dans ma main.

 

Je tire un plus fortement sur la pointe dure qui émerge comme un pic au centre des auréoles larges et roses, parsemées de petites aspérités.

 

Entre douleur et plaisir, la pression que j'exerce lui arrache un petit cri.

 

Son sexe réagit à mes caresses sur ses seins arrogants qu'elle met en avant en bombant le torse.

 

J'observe son unique vêtement.

 

De la broderie et de la dentelle extrêmement fine, des juxtapositions de voiles et de lacets à l'arrière.

 

Une qualité qui, dans cette position, la fait ressembler à une trainée de luxe.

 

Son attitude montre qu'elle prend plaisir à ce jeu que lui impose, tout en l'indisposant tout autant.

 

J'ai accentué cette sensation en laissant les billets comme si j'achetais la première venue de façon un peu dédaigneuse.

 

Sa main soutient son sein profond.

 

"Lâche-le" lui dis-je en le faisant aller de droite à gauche.

 

Elle obéit.

 

Je l'agite, sa peau sensible et fine tremble.

 

Elle gémit, uniquement maintenu par le téton, elle bombe le torse pour faciliter le maintien de son sein.

 

Je tends la main vers l'autre globe.

 

"Donne-le moi".

 

Elle le prend par dessous.

 

Ses doigts fins et manucurés le soupèsent et me le présentent.

 

Il repose, adorable, le bout saillant du disque mamelonaire.

 

Les doigts de sa main libre se crispent alors que je le saisi.

 

Je les malmène lentement, observant son corps ainsi livré.

 

Les tétons doublent de volume au gré des caresses où je prends plaisir à l'entendre pousser de petits cris et voir son corps trembler et s'agiter alors que mes pinces et mes roulements s'affirment.

 

Je les tire vers le haut... en avant.

 

Elle relève le visage en arrière et lâche un "haaaaa" sonore.

 

"A 4 pattes".

 

Elle obtempère et je poursuis mes manigances alors qu'elle relève son séant dénudé entre les pans des bretelles du porte-jarretelles.

 

Jamais encore elle n'a eu cette docilité et cette attitude.

 

Elle m'affole.

 

Ses soupirs me montrent qu'elle profite, qu'elle apprécie ce jeu un peu douloureux pour sa lourde poitrine.

 

"Hum... tu as l'air d'aimer ça."

 

Ses seins profonds malmenés elle gémit comme elle me répond.

 

"Hummm... oui..."

 

Ses yeux me fixent, ils étincellent de désir. Elle sourit.

 

Le rouge de ses lèvres qu'elle entrouvre pour laisser s'échapper un souffle de plaisir me chauffe le ventre.

 

Elle se trémousse, son sexe réagit... ses lèvres se gonflent de désir.

 

"Tu as des seins bien lourds...avec des tétons bien durs..."

 

Je donne à ma voix un certaine distance...

 

"Ils ont du en voir j'imagine."

 

Sa respiration s'accélère...

 

"Ouii... hummmm... tu les aimes mes... mamelles ?" lâche t-elle, effrontée, posant ses yeux sur mon sexe, devant elle.

 

Je les lâche brusquement.

 

Ils s'entrechoquent, pendant à nouveau de façon sensuelle.

 

Je me lève.

 

"Ne bouge pas".

 

Ma main passe sur son dos.

 

Je regarde ses fesses qu'elle cambre volontairement.

 

"Tu sembles excitée..." dis-je de ma voix la plus posée possible alors que mon corps ne désire qu'une chose : la posséder avec force.

 

Elle écarte un peu ses jambes et ses bras; visiblement sous l'influence incitante de mes mots, un petit "oui... très" soufflé du bout des lèvres.

 

"A quatre pattes... c'est une belle position, qui te va bien."

 

Ma main glisse sur sa fesse nue. Lentement je passe d'un globe à l'autre.

 

Une douceur qui évoque le satin.

 

Une souplesse ferme que je palpe.

 

Dans le silence de la pièce éclairée de lumière rouge, sa respiration résonne... sensuelle musique.

 

Elle bouge son bassin... indécente... amenant son visage vers le bas. Mes doigts suivent les lanières du porte-jarretelle.

 

Derrière elle, je jette ma chemise sur le fauteuil.

 

Dans le miroir je la vois fermer les yeux.

 

Elle savoure et ondule un peu plus ses reins.

 

"Que vas-tu me faire ?" demande t-elle faiblement ?

 

"Qu'est ce que ton... dernier client t'a fait ?". Ma réponse repose sa condition de petite trainée et ma main passe entre ses cuisses.

 

"Ho... du bien. Beaucoup de bien".

 

Elle me rend fou, elle me donne chaud.

 

Je caresse la frange épilée qui borde sa fente humide.

 

"Il était délicieusement jeune et... vigoureux" poursuit-elle.

 

Je revois cette scène où elle s'est faite chevauchée devant moi par un autre et instantanément l'envie me submerge.

 

La jalousie fait place à l'envie.

 

Son corps tel un violon devant moi, avec ses courbes osées, fait se tendre mon archet dans mon boxer.

 

Je rentre dans son jeu.

 

"Je me doute que tu as pris du plaisir à te faire prendre."

 

Je caresse son sexe remontant avec lenteur vers l'avant, mes doigts écartent les chairs de ses lèvres amollies par le désir.

 

"Dis moi ce qu'il t'a fait. Sois précise !"

 

Elle souffle, pousse un "hoooo..."

 

Avant de poursuivre.

 

"Il m'a fouillé de ses doigts".

 

"Mais encore ?"

 

"Il m'enfilait ses doigts pendant que je le sodomisais."

 

J'entre deux doigts dans son sexe brulant et trempé.

 

"Ha oui ?"

 

Je retire mes doigts.

 

La fragrance de son jus se répand dans la pièce, effluve que j'inspire avec délice.

 

Face à elle ma demande claque.

 

"Descend mon boxer."

 

Elle relève sa tête, fixe avec gourmandise mon sexe, barre large nettement visible sous le tissu.
"Tu m'as l'air experte en sodomie."

 

Ses doigts se posent sur le tissu.

 

Elle effleure ma verge avant de faire glisser mon dessous et laisser apparaitre le bâton de chair.

 

"Hummm..." fait-elle "pour la votre ? J'aime cela oui".

 

Mon sexe dodeline, surplombe deux bourses entièrement glabres.

 

Sa voix est un appel à l'excitation.

 

Je lui souris, elle relève son visage, les joues rouges, farouche.

 

"J'aime pénétrer les hommes... j'aime... sucer aussi."

 

Les mots qu'elle emploie, son attitude... elle m'affole.

 

Je m'assois sur le fauteuil.

 

Longuement je la regarde.

 

"Et entre tes... mamelles ?"

 

Elle avance à 4 pattes, féline... souriante.

 

"Tu dois savoir exciter un sexe du bout du téton... le... masturber... entre tes deux obus".

 

Elle soupèse ses seins.

 

"Je peux oui."

 

Je m'adosse.

 

Elle avance.

 

J'ouvre mes jambes, mon sexe se dresse.

 

Elle glisse ses mains sur mes genoux.

 

Le bassin vers l'avant elle remonte par le bas, ses yeux dans les miens.

 

Ma voix la fait rougir.

 

"Fais-moi voir ce que tu sais faire".

 

Ses mains sur mes hanches, ses mamelles pendantes sur mon sexe, les pointes frottent sur mes cuisses, sur mes bourses, sur ma verge tendue vers le ciel.

 

Elle dirige un de ses superbes tétons tendus vers mon gland pourpre et rond.

 

Je caresse son épaule.

 

Sa pointe contre ma pointe... elle m'effleure et l'appose dessus.

 

Elle procède de la même façon avec son autre sein majestueux, sur mon casque large et turgescent d'envie.

 

Mon sexe est dur, douloureux de se retenir.

 

Elle le regarde, salivant...

 

"Elle te plait ?" lui demande-je dans un murmure.

 

Elle place ma tige au creux de ses globes.

 

"Oh oui.... elle à l'air si... appétissante..." répond-elle en ce mordant les lèvres, d'envie.

 

Je frole sa joue... aussi douce que sa poitrine.

 

"Je vais te la faire manger. Mais pour l'instant, fais moi voir comme tu masturbes bien avec tes deux beaux obus."

 

Ma phrase la fait rougir.

 

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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