Après notre expérience, le chauffeur, moi, a déposé à l'attention de sa trainée un billet lui donnant quelques instructions.
Je suis particulièrement heureux de voir qu'elle a joué le jeu...
Installé tranquillement sur le fauteuil, je savoure ce moment où je l'entends arriver dans la pièce.
Je la regarde.
Elle a fait des achats.
Ses cheveux bruns tombe sur ses épaules… ondulant .
Ses yeux gris vert, une pointe de doré.
Je m’attarde sur ses lèvres en savourant mon verre posé sur la table basse.
Son, cou, ses épaules… ses seins mis en valeur par une guepière noir brodée d’or et de dentelle ocre qui s’arrete au dessus du bassin et maintiennent des bas couleur
chair par 4 liens.
Son sexe est parfaitement épilé, ne laissant qu’un bande, une frange de la largeur de son index autour de sa fente.
Mes yeux s’y posent sans aucun sourire.
Elle me sent encore un peu en colère. Le visage fermé.
Je ne dis rien... impassible, une lueur brillante dans le regard.
Elle tourne sur elle-même, rougissante, me laissant le temps d »observer son fessier.
Je lui fais signe d’approcher.
Elle vient, sans me quitter du regard, timidement, avec un sourire aux levres, émoustillée par ses achats.
Je la mate sans me priver chaque courbe, celles du cou, des seins, des hanches....
Elle se sent trop observée, disséquée, elle se tourne, me montre sa cuisse.
J’y passe le dos de mes doigts.
Elle poursuit « des résilles couleur chair ».
Je remonte jusqu’au liseret qui separe la resille de la peau, eflleur doucement cette frontiere.
Elle place son pied sur ma cuisse, l’œil petillant.
Son regard suit mes doigts et leur manege sur l’elastique.
Ja fais passer ma main d’une cuisse à l’autre.
-
Tu veux qu’on parle d’hier ? fait elle, bredouillante. « Ce garçon, enfin.. c’eetait un jouet, rien d’important. Finit-elle par balbutier.
-
Je souris et caresse l’interieur de sa jambe.
Mon silence la gene mais son corps reagit aux caresses.
Elle pince sa levre. Entre l’envie de dire la verite et… mentir pour ne pas me blesser.
-
Oui, enfin, oui, pas tout a fait… mais un peu oui. Et toi ?
-
Tu as été particulierement perverse.
-
Tu as aimé toi, je t’ai vu. J’ai essayé.. de te donner du plaisir.
-
Je sais tu as meme reussi et j’etais dans un état second.
Un sourire s’affiche sur ses lèvres alors que je lui dit avoir compris qu’il n’était qu’un jouet.
Les yeux immensément grand ... je te regarde avec tout l'amour que l'on peut ressentir dans ces cas là, une forme de soulagement complice.
Ma main glisse sur les rondeurs interieurs de sa cuisse relevée.
Elle ouvre légèrement ses cuisses.
Je vois ses lèvres se décoller, à ma vue… un souffle d’air fait fremir ses poils courts, sa peau encore sensible de l’épilation matinale.
Je sors un second billet.
-
Que me proposez vous ?
-
Streaptease, fellation, sodomie… la votre car mes fesses sont reservées.
-
Et pour plus cher ? aurai je droit de vous les prendre ?
-
Je vous propose une double penetration avec un jouet.
-
Plus cher… tous mes orifices. Ejaculation sur mon visage… entre mes seins.
Je laisse tomber un troisième billet.
Elle reste inerte, le souffle coupé par le ton employé.
Elle se met à genoux.
Elle semble décontenancé, jette un œil vers son sac contenant ses acquisitions, elle ramène ses cheveux en arrire.
J’écarte légerement les jambes.
Elle glisse ses mains sur mes genoux… me regarde… leve la tete et fixe mon entrejambe.
Ses mains s’ecartent de ma bosse naissante.
Son visage s’approche de mon sexe, à 4 pattes, les jambes écartées, elle essaie d’onduler le plus sensuellement possible, elle se sent perdue. Ses mains
tremblent.
Elle se tourne…ses fesses m’apparaissent.
Je pousse un sourire de contentement « joli petit cul ».
Elle ne dit rien devant cette nouvelle attitude.
Encouragée elle bouge d’avant en arrière.
Elle se cambre telle une chatte, creusant son dos.
La tete entre ses bras elle dandine ses fesses doucement de droite à gauche.
Elle ferme les yeux et releve son posterieur, ses levres s’ouvrent.
Cette position l’indispose… et l’excite… je le sens dans ses gestes un peu gauche et l’humidité que je vois faire luire ses levres.
-
Et qui mouille me semble t-il.
-
Elle ecarte ses jambes pour s’ouvrir a ma vue, ses reins creusés.
-
- oui, je crois que je mouille… vous etes… tout cela est tres… excitant.
-
Regardez moi a nouveau.
Elle obeit, la tete relevée, sa nuque tirée vers l’arrière.
Ses seins maintenus dans le bonnet.
J’y devine les tétons pointues sous le renflement du tissu doré.
Elle bouge ses mains pour tenter de les deloger.
Elle en maintiens un d’une main pour caresser son sein tout en dandinant des fesses.
-
Tres sensuellement oui, comme cela, c’est bien… quelle taille font-il ces beaux seins ?
-
Ils sont de taille… 85 E… un bonnet profond… sur une fine taille… ils semblent d’autant plus volumineux.
-
Cela doit vous faire deux belles mamelles lorsqu’ils… pendent.
Elle caresse le téton a travers la fine dentelle.
Elle sourit.
Je masse doucement mon sexe sous le pantalon, visiblement conquis par ses gestes.
Elle extirpe doucement un sein de son logement, puis l’autre.
Devant moi elle soupese ses deux magnifiques obus fermes au téton dur et pointu.
Elle les fait rouler dans ses doigts. Mouille son doigt et de sa salive, roule le bout.
Elle le pince, le tire vers le bas…
Je me masse plus fort.
Elle jette des regards furtifs dans ma direction.
-
Tu as l’air d’aimer ça te faire tirer les pointes ?
-
Cette nuit tu as tiré dessus… et… j’ai aimé. Un melange de douleur fine et de plaisir.
-
Approche. Donne moi ton sein. Je tends la main.
Elle approche son buste, avance un genou puis l’autre.
- c'est bien... cambre toi bien... le dos droit... fais moi voir s'il est dur et doux
Je la sens electrisée, les chairs intimes en éveil. Je devine le filet entre ses cuisses… petite source odorante.
Je saisis le bout du teton entre deux doigts.
Elle observe cette main ... cette grande main, la voir ainsi se faire caresser, prendre possession de son coprs dans ce rôle ... cela lui fait pousser un
gemissement…
Il est dur…epais…. Je fais rouler le mamelon.
Elle soupire de plaisir.
Je tire, lentement, relache et recommence… un peu plus fort.
Un petit cri de plaisir lui échappe.
Je tire en tordant doucement.
Elle gemit plus fortement, la douleur persistant apres le relachement et lui faisant prolonger son cri.
Elle ferme les yeux et sent son sexe reagir aux caresses.
Je le saisi entre trois doigts, elle se redresse, le dos droit.
Simplement retenu par le teton, je l’agite doucement.
Elle geint.
A suivre...