Partager l'article ! Dévorée: […] Ta jupe remonte doucement sur tes cuisses. Le frôlement de mes doigts sur ta peau me ...
Ta jupe remonte doucement sur tes cuisses.
Le frôlement de mes doigts sur ta peau me surexcite.
Elle ceint bientôt tes hanches.
Il fait si sombre que je ne distingue rien de ton corps qui se dévoile à mon regard.
Je respire ton odeur.
Je suis à genoux devant toi.
Tu sens le sexe. Ce sexe que je veux dévorer, ce fruit défendu que j'en m'en vais cueillir de ma bouche, cet abricot dont je veux sentir couler le jus au fond de ma gorge.
Ta jouissance passée et ton actuel désir m’enivrent.
Je pose ma bouche sur ton intimité et mon excitation croit.
Un léger baiser sur la périphérie de tes lèvres.
Je fais le tour de ta féminité en m’approchant de plus en plus de ta bouche sexuelle.
Du bout des lèvres je sens frémir ton sexe à mon contact.
Je m’attarde à t’embrasser doucement.
Tes doigts se crispent dans mes cheveux.
Ta respiration s’accélère. Tu te trémousses et ouvres tes cuisses pour venir plaquer ton sexe sur mon visage.
Tu te frottes sur moi, sur ma bouche qui, entre-ouverte, ne cesse d’embrasser ton sexe humide. Tu me maintiens ainsi dans cette position où tu me domines totalement.
- Lèche-moi… je veux ta langue.
Le ton ne supporte pas le refus.
Mais je n’obtempère pas à cette demande. Ma bouche continue de se poser sur toi et d’y déposer de simples baisers.
Tu me plaques à toi, ton sexe écrasé sur mon visage. De tes mains tu me forces à me frotter contre ton fruit gorgé de suc. Je suis souillé de ton humeur.
- Lèche-moi ! Bouffe-moi la chatte.
Je te repousse doucement. Tu me maintiens.
Je saisi ta main et l’emmène sur ton sexe.
Instantanément tu te caresses.
Je peux alors me dégager de ton étreinte.
Tes doigts ont déjà écartés tes nymphes et j’entends ce bruit caractéristique de ta masturbation accompagné par tes soupirs.
- Continue de te branler, te dis-je doucement, je vais te dévorer lorsque JE le voudrais.
- Oui Monsieur…
Tu acceptes avec extase ce revirement de situation, lorsque je reprends le contrôle.
Je pose ma main sur tes cuisses. Tu es écartée et ton sexe s’ouvre pour te permettre de te titiller le bouton.
Je t’entends te faire plaisir.
Mon sexe devient dur. Te savoir ainsi offerte et en train de te toucher me rend fou d’envie.
Je pose ma langue sur tes lèvres. Ton doigt se glisse vers moi et je le suce doucement.
Ma langue lape avec lenteur alors que tes gestes se font plus secs sur ton clitoris.
Tu gémis en enfonçant ton doigt dans ton sexe détrempé.
Alternativement il passe de ma bouche à ton vagin.
Mélangé à ma salive, ton jus coule dans ma gorge.
Ma langue s’agite plus vite alors que tu ralentis ton allure.
C’est toi qui écarte les lèvres de ton sexe pour me permettre de le lécher sur toute sa surface.
Sous ma langue se dessine les contours de ton orifice.
Je sens les plis, et je goute chaque parcelle de ton intimité comme s’il était un trésor, le nectar des dieux.
Large, ma langue se presse contre tes parois vaginales et, lorsque je passe sur ton clitoris, tu ne peux t’empêcher de te cambrer vers moi.
Je suis ruisselant de ta mouille.
Entre mes lèvres je saisi ta perle que tu as excité.
Je la tire vers moi. Tu pousses un cri alors que je commence à la téter.
Tu sembles avoir oublié que nous devions être discrets.
Excitée tu halètes. Quelques petits "ouii"... "ouiiii" accompagnent cette succion de ta perle.
Du bout de la langue j’irrite ton bouton tout en le suçant plus ardemment.
Je t'aspire et tes feulements se font plus rapprochés.
Je crois percevoir parfois, entre tes gémissements, quelques "c'est bon" et "bouffe-moi".
Ton clitoris se gorge et se tend dans ma bouche. Je le sens grossir, mon envie de le prendre et te posséder s'accroit.
Je me mets à te sucer sans cesse. Dans mon bas ventre ma queue palpite mais c'est ma bouche qui veut boire à ta source.
Je m'introduis plus loin dans ton sexe pour te fouiller.
Collé à ta chatte je deviens vorace. Mes lèvres et ma langue, toute ma bouche joue avec toi.
Je suis affamé et tu te laisses dévorer avec plaisir.
Tes cris sont désormais plus forts.
Sous l'agitation de ma langue tu perds contact avec la réalité.
- Je vais te jouir dans la bouche ! Ouiii !
Tes mots m'incitent à plus d'expertise et c'est de ma langue entière que je lèche ta chatte, lentement, en excitant ton clitoris de mon bout.
Mes pouces s'enfoncent dans ta béance. Tu te cabres sous leur introduction sans dire un mot, juste un râle.
J'écarte tes lèvres de mes mains.
Ton sexe est offert, écartelé comme abricot ouvert que je viens dévorer de façon indécente.
Ta vulve, ton vagin, ta perle, nul endroit n'est oublié par ma langue qui s'introduit et lèche chaque parcelle de ton sexe.
Je te sens couler par spasmes.
Je recueille ton jus odorant. Longuement tu jouis dans ma bouche.
- Je jouis... haaa oui... hannn...
Il coule dans ma gorge et je l'avale, j'aspire, je lèche pour le faire venir au fond de moi.
Tes mains plaquent ma tête à ton orifice et dans un dernier cri ton orgasme prend fin.
C'est gonflé d'orgueil que je pose ma bouche en quelques baisers sur ton sexe.
Je te sens t'amollir sur la chaise.
Entièrement souillé de ton suc je passe ma langue sur mes lèvres.
Mes joues, mon menton, tout mon visage est recouvert de ta cyprine.
Je viens t'embrasser. Je sais que tu apprécies lorsque ma bouche a le gout de ton sexe.
Notre baiser est long et lent.
Ta main vient flatter mon membre.
- Vous bandez encore Monsieur...
La lumière s'allume dans la pièce d'à côté.
Tu prends conscience de ta nudité et de la mienne.
La poignée de notre porte s'abaisse.
Tu sursautes. Nous sommes pris au dépourvu.
Si nous sommes ainsi découverts cela risque d'être très embarrassant.
Nos regards se croisent, l'appréhension s'y lit dans l'éclat de tes yeux.
Entrebâillée, la porte arrête cependant de s'ouvrir lorsque nous entendons une voix de femme déclarer : "non, ici, j'ai fermé à clé".
Nous ne bougeons plus. Mon sexe posé contre ta cuisse.
Tes jambes largement écartées.
Ma main n'a pas bougé de ton sein que j'avais saisi.
Deux statues.
Par l'entrebâillement nous voyons alors que la main qui voulait ouvrir notre pièce s'affaire désormais sous une jupe.
Devant nos yeux, la femme qui a parlé, elle, défait la ceinture de l'homme pour en extirper son sexe.
Dans la faible lueur, sans un bruit, nous nous sourions, complices de ce moment de voyeurisme que nous sommes en train de partager.
Je commence à pétrir ton sein pendant que ta main flatte mon sexe dur.
A suivre...