[…]

Tu commences à me raconter ton aventure.

Comment il t’a charmé un soir de sortie avec une amie.

Comment tu n’as pas su résister à l’envie qui couvait en toi.

Au fur et à mesure de tes paroles je sens mon désir monter.

Tu me parles de tes ébats dans les bras d’un autre et, loin de m’agacer, tes détails, les scintillements dans tes yeux, m’excitent.

Tu t’en aperçois et tu décides d’écarter légèrement tes jambes.

Je peux distinguer l’orée de ton sexe dans l'ombre du tissu.

Ma verge me fait mal tant elle est tendue.

De tes mains tu saisies les pans de ton kimono et les relèves.

L'extrême haut de tes cuisses s’en trouve dévoilé, avec lenteur, nacre que je devine soyeuse.

Tu mentionnes quelques pratiques qui t’ont plu et je vois que ces évocations un peu osées font croitre en toi le désir.

Tes jambes s’agitent, puis s’écartent largement.

-  Je suis une vilaine fille ? Me demandes-tu soudain, un petit sourire aux lèvres.

Je t’invite à poursuivre ton récit.

Tu obtempères, alors que d’une main tu caresses ta cuisse et de l’autre tu défais ta ceinture de satin rouge.

Le sang monte à mes tempes, je sens battre mon cœur et palpiter mon sexe entre mes cuisses.

Tu es en train de me faire un strip-tease, assise, et peu à peu tes propos deviennent un peu plus crus.

Le tissu s’ouvre et libère tes seins majestueux.

Tu les soupèses, tu les caresses.

Tes mains passent sous les globes blancs et tes doigts viennent enserrer tes tétons dressés.

Ta poitrine orgueilleuse me fascine.

Lentement une de tes mains descend sur ton ventre.

Elle arrive entre tes cuisses et se pose sur le haut de ton sexe.

Frôlant avec délicatesse la petite touffe de poils courts qui orne ta fente, tu passes le bout de tes doigts sur ton sexe, ils ouvrent les lèvres et viennent chercher ton clitoris.

Ta respiration se fait plus saccadée. Ton récit marque quelques pauses.

De ton médius tu excites ta perle.

Je la vois, rouge, gorgée de sang.

Sur le bout de ton doigt roule une goutte de ton nectar d’amour.

Ma main s’est posée sur mon pantalon et masse doucement mon sexe trop à l’étroit.

La bosse est ostensible et je ne la cache pas.

Tu poursuis tes caresses.

Ton majeur pénètre sa première phalange en toi. Un petit gémissement t’échappe.

Tu enfonces ton doigt, intégralement dans ton fruit fendu, alors que tes doigts pincent tes seins.

Après quelques vas et vient, tu retires ton doigt. Il luit de ta cyprine.

Tu le portes à tes lèvres. Le bout de ta langue vient le lécher, puis avec gourmandise tu savoures dans ta bouche cet ersatz de sexe pendant que ton autre main entame quelques caresses tout aussi délicates dans ton entre jambe.

- J’aime me caresser devant toi. Me dis-tu. J’aime ton regard. C’est mal ?

- Cela mérite surement une fessée. Te réponds-je.

Mon envie est à son paroxysme, je me demande si je n’ai jamais été aussi dur.

Tu viens avec félinité te placer en travers de mes cuisses. Tes mouvements sont sensuels et lorsque tu penches ton visage vers moi tu me murmures un « Oh, Monsieur, je suis vraiment vilaine… et mon Plug me fait mal quand je suis assise ».

Je relève le satin rouge et dévoile ta croupe. Splendide.

Je te félicite pour ton fessier superbe. Mes mains le caressent, avec lenteur je palpe la peau de tes fesses, douces, souples. Je les pétris et m’attarde autour du bijou planté en leur milieu.

Tu gémis quelques peu lorsque je le fait osciller.

Instantanément tu écartes les cuisses pour le libérer. Mais il reste bien en toi et je peux m’amuser avec lui.

Je vois que mes gestes sont démultipliés par la bille qui oscille dans la tige de métal.

Tu lâches une parole assez crue.

Ma main s’abat aussitôt sur une de tes fesses.

Surprise tu relèves la tête et me cherches des yeux. Je te souris.

- Vilaine fille.

Tu te détends et tends vers le haut ta croupe. Offerte.

Une deuxième fessée vient te marquer.

- Continue de te confesser.

- Oui Monsieur. Réponds-tu sans une hésitation.

Tu m’avoues t’être caressée récemment.

Ma main caresse puis claque doucement sur tes globes.

Tu m’avoues avoir eu des envies de la femme que nous avons croisée.

Ma main s’abat avec plus de force, pour ensuite flatter l’endroit meurtri.

Tu me déclares avoir eu des envies avec d’autres hommes que moi.

La fessée est doublée et te surprend. Les caresses n’en sont que plus appliquées et délicates.

Tu m’avoues avoir envie d’être prise, d’avoir envie de sexe, de me prendre en bouche, de te faire forcer… d’être soumise.

Les fessées, petites claques ou gestes plus rudes, ne cessent de décupler tes gémissements et tes soubresauts.

Ta voix est forte, tu en oublies ta retenue naturelle.

- Je suis ta chienne... Baise-moi.

Tes mots résonnent en moi. J’en ai envie, sentant ma verge perler sous le tissu.

-  A genoux. Te demande-je.

Tu obéis, docile.

Tes yeux scintillent.

Tes seins orgueilleusement tendus, tu te cambres.

-  Le dos droit.

Tu t’exécutes, docile.

Je sors la cravache. Tu me souris largement.

-  Baisse les yeux.

Tu fixes le sol.

La pointe de la cravache glisse sur ton cou, passe entre tes seins, caresse les pointes, s’attarde sur chacun d’elles et les fait se durcir. Elles se tendent sous les passages du bout de cuir. Ta poitrine se soulève sous le désir.

Je suis désormais debout et je fais le tour de mon élève soumise tout en la caressant de ma badine.

Le long de ton dos, sous tes seins, la cravache erre pour finir sur ta croupe.

Cambrée tu es légèrement écartée sous l’effet du bijou.

Le bout de cuir glisse entre tes fesses, tu te contractes mais ne peut empêcher l’objet de glisser le long des parois de tes fesse et de venir toucher le cristal.

Tu pousses un petit cri.

Je réitère le supplice qui doit te paraitre bien agréable car peu à peu les cris se fondent en gémissements.

Tes mains posées sur l’accoudoir tu offres ta croupe à ma cravache.

Je la descends pour flirter avec le renflement de ta vulve.

Tu te trémousses et tentes de te donner un peu plus en ondulant.

-  Redresse-toi.

Mes paroles sont sèches. Dures comme le gris de mes yeux qui t’observent.

Tes yeux sont embués. Je vois le désir et la jouissance mêlés.

Tu réagis aussitôt et te tiens droite.

Je m’assieds en face de toi.

- Tu es une bonne élève. Très bonne.

- Merci Monsieur.

Le cuir vient caresser ton sexe.

Tes yeux se ferment. Ta langue passe sur tes lèvres.

-  Tu es obéissante.

Je titille ton clitoris du bout de la badine.

Tu te trémousses et bascules ton bassin vers l’avant. Je peux ainsi admirer ton sexe qui glisse sur le manche noir.

-  Tu es aussi très douée pour le sexe.

La cravache frotte désormais l’ensemble de ta fente comme pourraient le faire mes doigts.

Ta respiration est forte. Tu halètes. Tu te glisses le long de la fine hampe.

-  Tu es très bandante.

Tes yeux s’ouvrent et tu me souris.

Tu découvres la laisse que je fais pendre devant toi.

Tu bascules la tête en arrière pour m’offrir le collier afin que je t'attache.

Le déclic te laisse à genoux, nue et liée.

Tu glousses doucement "Oui. Comme une chienne".

Je me dirige vers la chambre.

Tu me suis, en laisse comme un animal docile.

Je suis surpris car, au lieu de te lever, tu restes à genoux. A quatre pattes pour me suivre.

Tu vois ma réaction et tu en tires une intense satisfaction.

Je m’arrête, interdit.

Tu viens t’asseoir, en posant ton visage contre ma cuisse, tes mains posées sur mes cuisses.

-  Suis-je la chienne que vous désiriez éduquer Monsieur ?

Je relève une de tes mèches de cheveux, ma main caresse ton visage. Tes lèvres légèrement maquillées, les ombres à tes yeux.

- Je vais te dresser. Te dis-je en te gratifiant d’un baiser sur le front.

Le chemin jusqu’à la chambre se fait par petits coups de badine sur tes fesses. Chaque claquement te fait tortiller du cul avec indécence.

Tu écartes les cuisses et ta démarche cambrée me rempli d'envies et de satisfaction, visiblement partagés.

Arrivée dans la chambre je te libère de la laisse.

Tu te réinstalles, droite.

Ma cravache reprend sa masturbation et après quelques instants je la porte à ta bouche. Le bout de cuir est luisant de ton suc.

Tu n’hésites pas pour lécher du bout de la langue les gouttes que tu avales, tes yeux plantés dans les miens.

Je me déshabille sous ton regard.

Entièrement nu tu découvres l’effet que tu m’as fait, mon sexe est décalotté, le gland turgescent est lisse de la tension qui l’habite.

Tes yeux passent de mon visage à mon sexe, de mes fesses à mes bourses.

Je m’allonge sur le lit.

- Viens me rejoindre.

Tu te glisses jusqu’à moi.

Tu viens te serrer près de moi. Ton corps respire le sexe et l’envie. Les pointes de tes seins se plaquent à mon torse.

Nos lèvres se touchent.

Je prends ta bouche.

Tu m’offres ta langue.

Tu as le goût de ton nectar délicieux.

Mes mains saisissent tes fesses et je te plaque à moi. Ton sexe se colle au mien. Tu ondules avec douceur, tu te frottes contre moi.

Nous nous embrassons avec douceur.

Tu te tournes pour me faire dos et mes doigts glissent entre tes cuisses à la recherche de ta fente.

Ma bouche collée à tes épaules, je respire ton odeur, délicate fragrance qui emplie mes narines.

Je trouve ton sexe, tes lèvres sont largement ouvertes et trempées.

Tu prends ma verge entre tes doigts et la force à se placer à angle droit, sur l’orée de ton sexe.

Tu ondules le bassin pour profiter de la double masturbation de mon sexe contre ta vulve et mes doigts sur ton clitoris.

De ma main libre je viens saisir tes seins. Souples et ronds je les malaxe.

Tu pousses quelques soupirs.

La pointe entre mes doigts, je les fais rouler, je les tire vers l’avant.

Tu gémis.

Je te sais sensible des mamelons et je profite de la situation.

Tu te penches légèrement, cuillère sensuelle, et bientôt, seules tes fesses sont notre point de contact.

De mes doigts j’écarte ta vulve, je m’introduis sans effort tant tu es lubrifiée.

Deux doigts qui te fouillent.

Ils élargissent ton ouverture et s’enfoncent.

Quelques onomatopées et tes mains saisissent mes hanches.

Je guide mon sexe vers l’entrée du tien.

Je m’immisce. Le gland dilate ton orifice. Je glisse en toi avec lenteur.

Par instant je m’arrête pour t’entendre haleter. Je poursuis mon introduction.

Je viens frôler tes parois. Dans cette position, tous les deux sur le côté, tu ne fais que profiter sans effort de mon mandrin qui te perce un peu plus loin à chaque seconde.

Je m’enfonce en toi une ultime fois.

Mes bourses viennent claquer sur l’entrée de ta vulve. Tu ouvres la bouche sans un cri. Je ne t’ai encore jamais percée de toute ma hampe. Tu te cambres, acceptation physique de ma grosseur.

Et j’entame de lents vas et vient. Mon pieu de chair glisse dans ton fourreau humide. Presque jusqu’à sortir je m’enfonce à nouveau au fond de toi pour encore repartir, limant l’intégralité de ton intérieur sensible.

Me main vient titiller ton clitoris.

- Oui !

Ton premier mot depuis que je viens de te posséder complètement, il claque dans l’air comme ma badine sur tes fesses.

Il m’incite à accélérer. Mes assauts se font plus rapides.

Je sens ton dos devenir moite.

Mes coups de reins s’enchainent.

Je te vois trembler et perdre pied.

Tes membres deviennent fébriles. Mes doigts sont couverts de ton jus. Tu viens de jouir mais ton corps en veut encore.

Mes mains te saisissent les hanches pour un assaut plus violent.

-  Ouiii ! Oh !

Lentement je te soulève pour placer ton fessier vers le ciel.

- Hum… oui… baise-moi !!

Je te pilonne lentement.

Mes mains écartent tes fesses lorsque je donne un coup de reins plus rude.

Tu gémis, je viens de te percer au plus profond.

- Hoo ! Vas-y. C’est bon.

Tes fesses sont largement ouvertes, le bijou oscille dans son logement, ton sexe écartelé se fait parcourir de toute la longueur de ma verge.

Tu deviens grossière et mon plaisir s’en trouve décuplé.

- Bourre-moi.

Je te baise avec plus de force.

De longues minutes ou nos gémissements et nos désirs sont communs.

Je saisi tes épaules pour te prendre avec plus de force.

Tu t’effondres sur le lit, seul ton cul est tendu.

C’est avec quelques petites claques sur tes fesses que je t’achève alors que quelques tremblements te parcourent.

Ta jouissance est forte. Tu n’es que souffles rauques.

D’une main je saisi ta nuque, de l’autre ta croupe et je ne cesse de te pénétrer jusqu’à ton ultime soupir.

Mes bourses se contractent comme mon vit va et vient dans ton orifice détrempé.

Je t’accompagne d’un jet puissant qui te rempli et m’arrache un cri.

Quelques instants nous restons ainsi, figés, mon sexe planté dans le tien.

Puis, je nous repose sur le côté.

Tu ruissèles autour de mon sexe.

Je t’embrasse dans le cou.

Nous sommes trempés de sueur.

Heureux.

Et le sommeil de fin d’après-midi accompagne nos endormissements, mêlés.

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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