Partager l'article ! Stupre caféiné.: [...] Lorsque je m'éveille tu es déjà levée. Le soleil est haut et l'odeur délicate du café parvient ...
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Lorsque je m'éveille tu es déjà levée.
Le soleil est haut et l'odeur délicate du café parvient jusqu'à moi.
Je te découvre vêtue de ma chemise ouverte.
J'admire tes mouvements avant que tu ne m'aperçoives et viennes me saluer.
Je glisse mes mains sous la chemise, il n'en faut pas plus pour que tes seins sortent généreusement du tissu et viennent se plaquer contre mon torse.
Nu, je sens ta peau brûlante pendant ce long moment de caresses qui me fait durcir.
Tu frottes ton ventre à la recherche de ma verge.
Délicatement je te repousse pour t'admirer, superbe, sensuelle, les seins en avant, voluptueux, la taille avenante, sexe lisse et offert à ma vue.
Ton regard se pose sur mon sexe en érection et un mince sourire que tu réprimes, se lit sur ton visage.
Je déguste mon café, tu tournes la cuiller dans le tien.
Quelques mots... une bonne nuit, les nouvelles du jour... mais je n'ai d'attention que pour tes seins qui se balancent devant moi.
Tes tétons saillants et la peau tendue de tes mamelles m'hypnotisent.
Tu as téléphoné à ton amie et proposée que l'on se rencontre à l'exposition d'art.
Tu n’as pas oublié ton indiscrétion et je te vois vouloir te rattraper.
Je te félicite pour avoir bien obéis et aussitôt tu rétorques que c'est ton rôle de soumise, visiblement excitée dès ce matin.
Tu viens te tenir droite à mes côtés comme je te l'impose soudain.
Tu ne rechignes pas, la tête basse, docile, les mains dans le dos.
- Tu as été obéissante. Je suis content de toi.
- Merci Monsieur.
Je savoure mon café pendant de longues secondes silencieuses.
- Le tien va être froid.
- J'attends que vous m'autorisiez à le boire.
Ta respiration est rapide. Tu es sous le feu de l'excitation et mes ordres ne font que t'enflammer un peu plus à chaque fois.
Je te regarde et laisse tomber ma cuillère au sol.
Tes yeux roulent dans leurs orbites.
- Penches-toi pour la ramasser.
Un sourire se dessine sur ton visage alors que tu te penches lentement de façon à me présenter ton séant.
J'admire les courbes de tes fesses et de tes cuisses, le galbe de tes mollets et la finesse de tes pieds.
Alors que tu entames ton redressement je pose ma main sur le bas de ton dos.
- Je ne t'ai pas dit de te relever.
Tu poses une main sur la table pour garder ton équilibre.
Mes doigts glissent sur la peau satinée de tes globes pour venir flirter avec les pourtours de tes lèvres.
Je passe sur la surface de ton sexe.
De l'index j'écarte les grandes lèvres ourlées et fermes.
Un soupir audible accompagne ma flatterie et je sens déjà perler l’humidité de ta fente.
Admirablement penchée, tu cambres tes reins pour m’offrir ton cul et ton sexe sans aucune retenue.
Je saisis entre mes doigts l'une des nymphes pour l'écarter et la palper.
Ton grognement se finit dans un gémissement sonore.
De ma main libre je tourne ostensiblement les pages d'un journal.
Je commente alors les articles tout en massant ton sexe.
Tu réponds à mes commentaires, tes phrases entrecoupées de « hoo » et de « haa ».
J'enfonce un doigt entre les parois de ton sexe. Tu es trempée.
Tu pousses pour venir t’enfoncer plus profondément.
Je ferme le journal.
- Mais ? Tu mouilles ? Dis-je comme-ci je venais de le découvrir. Est-ce la lecture qui te fait cet effet ?
- Non Monsieur... c'est... vous.
- Sois précise.
Tu déglutis, je tourne mon doigt en toi pour te fouiller plus profondément.
- Ce sont vos caresses… hummm.
- Précise, t'ai je demandé.
Tu hésites, avant de te lancer.
- Vous me masturbez en me soumettant, et ça me fait mouiller.
Je tapote sur tes fesses en te félicitant.
Un deuxième doigt vient rejoindre le premier.
Je touille ton abricot dont le suc s'écoule doucement dans un bruit de succion, accord harmonique à ton onomatopée de plaisir.
Avec lenteur je sens ton orgasme se préciser, je viens alors masser la rondelle de ton anus avec mon pouce sans y pénétrer.
Tu ondules des reins, accentuant ta cambrure.
Je branle ton sexe, tu ouvres tes cuisses, obligée de fléchir les jambes par moment tant le plaisir te submerge.
Mes doigts sont soudainement couverts d'un flot de cyprine que tu déverses en toi, dans un feulement long et doux alors que quelques tremblements te secouent.
J'ôte mes doigts de ton vagin et te demande de te relever.
Tu as les joues rouges et les yeux clairs du moment qui suit l'orgasme.
Je te présente ma main que tu t'empresses de lécher.
Entre tes doigts fins tu saisis ma main et ta bouche se fait gourmande.
Ta langue tourne et retourne pour recueillir ton jus.
Ton regard est aussi vorace que ta bouche qui suce mes doigts avec un zest d'obscénité qui n'est pas pour me déplaire.
- Ton café va être froid...
Tu hoches la tête, affirmative.
- J'ai un moyen de le réchauffer. Te dis-je en posant ta main sur mon sexe.
Entre le pouce et l'index tu cueilles ma verge et d'un geste lent et expert tu t'appliques à faire coulisser ma peau jusqu'à ce que tes doigts puissent caresser mes bourses.
- Tu l’aimes avec un nuage de lait ?
Tu te mords les lèvres avant de répondre, affirmative, que tu l’adores avec ce lait là.
Lorsqu'au bout de quelques secondes de palpation tu entames une série de vas et viens, je me cale dans le fond du siège pour te permettre de me branler à ta guise.
Ta main monte et descend, masturbant délicatement mon sexe tendu à l'extrême.
Tes doigts peinent à enserrer ma verge large dont la veine saillante se dessine nettement sur le dessous.
Décalotté, tu titilles le méat d'où sourd une goutte que tu fais tourner sur mon gland, provoquant une sensation de chaleur infernale.
A pleine main tu me saisis pour m'astiquer de plus en plus frénétiquement, usant de mon sexe comme d'un jouet.
Ton autre main prend mes couilles et les malaxe avec dextérité, non sans égarer par instants un doigt qui remonte avec insolence jusqu'à mon anus.
Il ne m'en faut pas plus pour que j'incline mon bassin vers toi, t'autorisant sans un mot à venir flatter mon cul.
Ton index cercle autour de mon orifice instantanément.
Je sais que tu apprécies cette petite perversité que je partage.
Sous le joug de tes caresses habiles, je pousse des soupirs de plus en plus forts alors que tu détends mon petit trou et que ta main m'astique le manche avec une perversité que je ne te connaissais pas.
Je grogne comme ton index me pénètre.
Tu me fouilles d'avant en arrière et ton doigt vient chercher cet endroit particulier qui me fait gémir.
Je sens dans mon ventre monter la vague de l'orgasme.
Tu le devines également, accélérant tes gestes pour accroître mon plaisir.
Enlevant ton doigt de mon cul je me retiens avec peine le temps que tu t'empares de ta tasse à café.
La pression de ta main se relâche, je gicle dans un cri lent et grave.
Le jet vient s'écraser sur la paroi du mug, stoppant net sa course folle.
Tu vides mes couilles dans ton café, pressant ma verge pour en extraire la dernière goutte de sirop blanc.
Je t’observe me palucher avec dextérité, tes yeux dans les miens, souriante et l'air ravie.
Toujours à genoux devant moi, tu touilles le moka où peine à se mélanger mon foutre épais.
Tu portes la tasse à tes lèvres et avale par petites gorgées.
La tasse claque sur le bois, vide.
Ta langue sur tes lèvres recueille les dernières traces de mon sperme caféiné.
- Délicieux. Lances-tu, avant de te relever.
Je caresse ta croupe nue.
- Monsieur... j'espère que vous avez aimé mon doigt.
Ta voix est douce, ténue, ciselée.
- J'ai adoré. Tu es douée.
- J'ai appréciée aussi.
- Et si nous allions rejoindre ton amie ?
A suivre...