Partager l'article ! Ouverture en Fa majeur - 1er temps.: [...] Enfin chez moi. Le petit matin pointe déjà les lueurs claires d ...
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Enfin chez moi.
Le petit matin pointe déjà les lueurs claires de cette fin de nuit épuisante que je n'ai pas vu passer.
Je n'allume pas les lumières, préférant gouter la saveur de l'obscurité qui fut mon environnement depuis plusieurs heures.
Mes escarpins, mes clefs... sans hésitation je me dirige vers ma salle de bain.
Je retire mon pull dont la laine rêche irrite ma peau.
En le soulevant je frotte contre les pointes de mes seins qui se tendent aussitôt.
Elles ont tellement été sollicitées cette nuit...
Je fais descendre ma jupe, seule autre pièce de vêtement que je portais pour rentrer chez moi.
Mon entre jambe me fait souffrir.
Il a tellement été stimulé cette nuit...
Je souris à l'idée de ces dernières heures et sur ma joue se font ressentir les marques de foutre qui me salissent le visage.
L'eau de la douche coule sur mon corps, entrainant entre mes seins, dans la cambrure de mon dos, le long de mes cuisses, sur mon cou et mes cheveux, l'épais liquide qui maculait mon corps.
J'ouvre grand la bouche pour y faire entrer l'eau chaude.
Plusieurs minutes sont nécessaires pour faire disparaitre le gout salé du sperme qui empli ma bouche aux mâchoires meurtries.
Elle a beaucoup sucée cette nuit...
Je frotte mes seins lourds, mon ventre et mes hanches.
Oui... mes seins... généreux aux pointes dressées. Je me pétris lentement pour en éprouver la souplesse délicieuse.
Mes mains glissent sur mon sexe.
Ma perle ne parvient pas encore à regagner son logement.
Je me souviens... et mes doigts effleurent ce bouton qui se gorge instantanément.
Mon arrivée chez Monsieur...
Le bandeau qu'il me passa sur les yeux.
La musique. Tchaïkovski. Forte et envoutante, assourdissante.
Il m'avait aveuglé et le volume sonore m'assourdissait.
Je me laissais guider par ses mains jusque dans la pièce principale où il enleva mon pull et me murmura de continuer mon effeuillage.
Ravie de lui faire ce plaisir je retirais avec lenteur mon soutien gorge pour libérer mes gros seins.
Je savais qu'il prenait plaisir à me voir les caresser aussi n'hésitais-je pas à les palper et en frôler les tétons jusqu'à ce qu'ils s'excitent tout autant que moi.
Je me tournais pour lui offrir le spectacle de ma jupe qui, en descendant doucement, dévoilait mon séant où aucune culotte ne l'empêchait d'admirer ma fente et la vallée étroite de mes fesses douces.
Je me rappelle lui avoir offert un festival de positions lascives... penchée... écartée... mes mains jouant de mes mamelles et de mes lèvres, de mes cuisses et de mes fesses.
Mon doigt dans ma bouche que je faisais titiller mon clitoris, accoudée sur le bar avait du le faire devenir dur.
A quatre pattes quand j'avais écarté mes fesses pour passer mon index sur ma rosette il avait du saliver d'envie.
Lorsque je m'étais accroupie, largement ouverte, mimant un coït sauvage, je l'imaginais sourire.
Je me souviens lorsqu'il posa sa main sur ma joue pour me caresser, comme une récompense.
Je m'installais sur mes talons, assise, les cuisses écartées, accroupie, excitée comme au premier jour.
Ma main droite entre mes jambes, je me caressais, déjà humide.
De ma main gauche je cherchais ses boules glabres.
Il me présenta son sexe que j'attendais comme une récompense.
Je le léchais sans hésitation avant de l'emboucher et de le sucer.
Il était bon de l'avoir dans la bouche.
Je me rappelle la sensation de brulure lorsque je sentis une autre main se poser sur mon épaule.
Il n'était pas tout seul.
Je compris vite qu'il était avec deux amis.
Mon ventre s'embrasa instantanément.
Je venais de me livrer devant deux autres hommes.
Ils m'avaient vu dans des postures obscènes.
Ma gorge se serra.
Je m'étais dévoilée et caressée... honteuse…
Et mes mains cherchèrent leurs sexes sans même que je ne m'en rende compte.
Mon sexe suinta sous l'émotion.
Mon visage s'empourpra… excitée comme jamais.
Mes sens s'enflammaient et je souriais, satisfaite tout autant qu'incrédule.
Dans ma main droite une large hampe à la veine saillante se dessinant alors que dans l'autre main une tige plus fine formait un arc de cercle prononcé.
Je n'avais pas d'autre choix et d'autre envie que de les masturber.
Leurs mains me caressaient, cherchant mes seins, mes épaules, ma nuque.
Monsieur ôta son sexe d'entre mes lèvres.
Ma bouche avide en chercha un autre.
L'un après l'autre je les pris pour les sucer.
Parfois se glissait un doigt dans ma bouche alors qu'un sexe en sortait.
Je commençais à différencier leurs gouts, leurs textures, leurs saveurs et j'aimais toutes ces queues que je faisais aller et venir entre mes lèvres avec plaisir.
Indécente je branlais leurs couilles avant de les aspirer, de les téter et remonter lécher les glaives de chairs.
Je pompais sans discontinuer, excitée de cette situation, heureuse d'avoir l'honneur de les avoir en bouche.
Je sentais mon sexe couler.
Ils m’installèrent assise sur une table.
Un menton mal rasé se posa sur mon bas ventre et sa langue me lécha la fente.
Arc de cercle me fit un cunnilingus d'une lenteur incroyable pendant que je branlais les deux autres bites dont celle, large, de Monsieur.
Des mains pétrissaient mes seins.
Ils tiraient mes tétons tendus à l’extrême.
Je poussais des gémissements inaudibles dans l'allegro des harmonies.
Veine saillante vint à son tour me faire du bien à l'aide de sa bouche.
Il enfonçait profondément sa langue dans ma vulve pour en recueillir le jus, séparant mes parois au gré de ses allers et venues dans ma grotte intime.
Quand je reconnu le touché de Monsieur entre mes nymphes, les deux autres hommes prirent mes seins à pleine bouche.
Je caressais leurs visages comme on l'aurait fait de deux bébés voraces qui me tétaient, affamés.
Je me souviens m'être aperçue que je poussais de petits cris alors que je venais de jouir sous les manœuvres linguales de Monsieur qui me suçait le bouton.
Ils me laissèrent ainsi, les bras et les jambes en croix, sur la table en bois, me signifiant de ne pas bouger.
Mes tétines étaient en feu, mon ventre plus que braises ardentes.
J'entendais faiblement le bruit des verres qui trinquaient, allongée à plat dos sur la table.
Ils buvaient à ma santé.
Je me rendis compte que j'avais envie de continuer ce moment.
Je ne savais pas encore que j'allais prendre pendant toute la nuit... pour mon plus grand plaisir.
A suivre…