Partager l'article ! Nue sous le regard - 3 (conclusion): [...] Nue elle se dirigeait vers l'escalier. Je regardais ses épaules ...
[...]
Nue elle se dirigeait vers l'escalier.
Je regardais ses épaules lisses, son dos cambré qui relevait un séant somptueux.
Ses bas noirs qui barraient ses douces cuisses.
Ses bas tâchés de sa cyprine qui vient de couler.
J'avais encore mon sexe en main, mon pantalon taché d'avoir vu ma femme jouir devant moi.
Face à moi se dressait l'homme qui venait de la prendre sur le canapé.
Son sexe, un gros membre, pendait entre ses jambes. Il dodelinait après avoir été sucé par une bouche que je ne pensais jamais devoir partager.
- Tu ne dois vraiment pas t'emmerder. Me dit-il en cueillant la bouteille de champagne et une flute.
Il but un verre d'une traite.
- Elle est bonne. J'ai tout de suite vu que c'était une chaude du cul.
Je bredouillais un mot incompréhensible.
- Des gros seins comme ça, un cul pareil... ça me donne encore envie.
Il se dirigea vers l'escalier à son tour et grimpa les marches.
- Viens. Tu vas pouvoir voir comment je vais la baiser comme elle le mérite.
Je le suivais. Après tout, j'avais donné mon autorisation et perdu mon pari.
Il se payait en nature... cependant, jamais je n'aurais pensé qu'elle aurait accepté de se faire saillir par un autre que moi.
Peut-être allait-elle le rembarrer dans les minutes qui venaient.
Au lieu de cela, lorsque nous atteignîmes notre chambre, elle était alanguie sur le lit, de côté, ses seins mis en avant.
Elle semblait poser pour un calendrier de garagiste.
Il s'approcha d'elle et se saisit d'un de ses seins.
Ses seins si beaux et si généreux...
Il le pétrissait et tirait sur le téton qui grandissait entre ses doigts
Non seulement elle acceptait mais elle semblait y prendre du plaisir.
Elle fermait les yeux, se laissant caresser la poitrine sans vergogne, se trémoussant...
J'étais sous le choc de la découvrir sous cet angle, et dans notre chambre encore en plus.
Je m'asseyais, abattu.
La main de mâle se baladait sur le corps de ma femme.
Il la caressait, saisissait ses mamelons, flattait sa nuque, glissait ses doigts sur ses épaules, sur son ventre, jusqu'à l'orée de ses nymphes scintillantes de suc.
Elle gémissait en douceur, les yeux fermés, acceptant toutes ses palpations sans la moindre retenue.
Il vint se poser entre ses cuisses et ses doigts effleurèrent le bouton d'amour.
Elle poussa un petit soupir et ses jambes s'ouvrirent sans pudeur.
Il accédait à son intimité.
Elle l'invitait à la caresser.
Sa main vint recouvrir son sexe puis il appuya sur la motte presque glabre avant d'insérer entre ses lèvres un puis deux doigts qu'elle accepta dans un grognement de contentement.
Il triturait ses tétons qui pointaient comme des mines de crayons au centre d'auréoles pourpres.
Le regard qu'il me lançait alors qu'il prenait possession de ma femme devant moi, et le sourire qui m'était destiné me surprirent.
- Assieds-toi. Regarde la faire. Me lança t-il souriant.
Avisant une chaise je m'installais et la contemplais.
Il lui prit la main pour l'emmener sur sa fente.
Elle prit le relai en me jetant un rapide coup d'œil.
Du bout des doigts elle écartait ses lèvres pour se fouiller doucement.
Ses doigts allaient et venaient sur son sexe.
Elle se malmenait, pressant sa perle avec force pendant quelques instants avant de parcourir de ses deux doigts la fente ouverte et recommencer ainsi sans discontinuer en couinant.
- Continue de te branler devant ton mec. Il aime ça.
Elle poussa un petit gémissement et son bassin ondula alors que l'écho de la voix résonnait encore dans la pièce.
Je n'avais pas refermé mon pantalon et l'érection qui me frappait était très nettement visible.
Il était auprès d'elle, la surplombant.
Il s'empara d'un sein pour venir y frotter son gland.
Son casque lisse jouait avec la pointe.
D'une main habile il vint frapper l'érectile mamelon.
Elle gloussait sous ses agissements en enfonçant trois de ses doigts dans son sexe trempé.
J'étais loin de penser qu'elle pouvait même se pratiquer de cette façon.
- C'est bien... masturbe-toi... approche tes doigts... lèche-les.
Les doigts arrivèrent près de ses lèvres, dégoulinant de stupre, brillant de son sirop corporel.
La langue puis les lèvres, elle goutait sa cyprine en posant ses doigts sur sa bouche, la langue s'enroulant autour de chaque membre tactile avant de replonger entre ses cuisses pour se caresser avec sensualité, chose qu'elle ne faisait une fois de plus, jamais.
Sa main s'était emparé des bourses qui pendaient pour les palper et les soupeser sans qu'il n'eu à lui demander.
Je découvrais ma femme sous un angle que je ne connaissais pas.
Délicatement, avec des gestes parfois stoppés sous l'intensité de sa pratique, elle lui branlait les couilles sans même s'en rendre compte.
Elle gémissait à chaque fois qu'il tirait sur une de ses grosses mamelles.
Il se redressa, elle avait les yeux clos... il passa son sexe sur sa joue...
La tête penchée elle acceptait ses caresses obscènes et ne cachait pas son plaisir.
Il n'eu rien à demander, elle ouvrit la bouche et chercha d'elle même à lécher le gland qui lui passait sur les lèvres.
Quelques coups de langue et elle l'engloutit lentement.
Tout en le suçant elle gémissait, faisant ainsi monter l'érotisme de la scène.
Sa bouche était gourmande et elle s'activait dans une fellation épique, sans cesser de se masturber à pleine main.
Jamais encore elle ne m'avait, me semblait-il, fait une telle fellation comme elle lui prodiguait.
Lui ne cessait de lui pétrir les mamelles, pour libérer la tension douloureuse qui la faisait darder comme rarement.
- Pompe bien. Suce-moi. On dirait vraiment une petite trainée.
J'étais horrifié de ce qu'il lui disait mais elle, bien au contraire, semblait s'exciter plus à chaque mot cru qu'il lui murmurait.
Sa bouche goulue aspirait et tétait la queue rude avec plus d'entrain à chaque ordre injurieux.
Ses joues se creusaient sous les aspirations... elle en voulait plein la bouche et elle l'engloutissait jusqu'à faire buter la grosse tige au fond de sa gorge. Elle le gobait comme je ne l'avais jamais imaginé.
Il lui saisit le visage et commença à la pilonner.
Elle poussait des grognements de contentement, heureuse de se faire prendre la bouche profondément.
- Tu aimes ça te faire baiser la bouche... catin.
Un gloussement lui échappa et elle prit les boules qui pendaient entre les cuisses de l'homme pour lui palper en même temps qu'elle le laissait lui mettre au fond de la gorge.
Il sortit lentement son sexe... je voyais la hampe s'extraire lentement de la bouche de ma femme, un filet de bave mélangé à la cyprine se balançait du bout du gland à sa langue qu'elle tirait encore, comme affamée de bite.
Comment avait-elle pu avaler autant de grosseur de sexe ?
Son regard était lubrique, son menton ruisselait de sa salive.
- Tu en veux encore hein ?
Elle se mordit la lèvre avant de murmurer un "ouiii"...
Il lui écarta les jambes et ouvrit ses cuisses.
Son sexe était trempé.
- Je vais te baiser sur ton lit... devant ton mec...
La scène se déroulait au ralenti.
Derrière la cuisse lisse il glissait son corps, son vit disparaissait à mon regard mais je le savais posé sur la fente qui m'appartenait.
- Tu la veux cette partie de baise...
"ouiiii ... de la baise... humm..."
- Il va regarder comment tu te fais mettre.
"Ho ouiii... "
- Garde tes bas et tes escarpins... ça fait très...
"... Très... Pute... je suis une... oui..."
Elle devenait vulgaire.
J'étais incrédule, abattu... et excité.
Il frottait son gland sur la motte, excitant le bonbon rouge de sang.
Le gros casque lisse écartait les lèvres.
- Dis-moi ce que tu veux..."
Elle poussa un gémissement, ses hanches se cambrèrent pour venir se plaquer à la tige.
"Je veux de la queue... "
Elle se frottait, son bassin ondulant sur la verge de bonne taille.
" Je veux me faire baiser...".
Elle eu un grognement et une grimace qui la laissa muette avant de pousser un profond soupir, bouche grande ouverte.
Il l'enfilait en douceur.
Elle râlait de plaisir.
Entre ses jambes il la besognait sans ralentir.
Chaque coup de reins la faisait se cabrer comme une jument sous la saillie.
- Tu es bonne à bourrer.
Ses mots obscènes m'excitaient également et je ne pu m'empêcher de me caresser à nouveau devant l'incroyable scène.
Il prit ses chevilles pour relever ses cuisses, loin, jusqu'à sa poitrine que je n'avais jamais vu aussi dardée de désir.
Elle était écartelée et je pouvais voir le mandrin qui la pilonnait.
Long et large il s'introduisait dans son vagin pour en ressortir, les lèvres montaient et descendaient au rythme des vas et vient du pieu de chair.
La coulisse se faisait sans effort.
Elle était lubrifiée et le long du manche je pouvais voir luire sa cyprine.
Il accéléra ses assauts.
- C'est bon de te baiser... ta chatte est douce à défoncer. Hum... c'est bon...
"Haaa... encore... encore !"
- Tiens ! Prends ça."
" Ha ouii ! ouiiii".
- Tourne toi... je vais te baiser à quatre pattes".
" Hummm... oui, baise moi en levrette ! "
Elle se tourna en me regardant. Son maquillage avait coulé.
Ses lèvres étaient rouges d'avoir sucées.
Il posa une de ses mains sur sa croupe et de l'autre présenta son membre qui disparut dans le bas-ventre.
Agrippé à ses hanches il la baisait sans effort.
- Tu l'aimes au fond ma queue.
"Ouii, mets la moi encore ! "
Il la saisit par les épaules et le fourra d'un grand coup.
Elle cria "Hoooo ouiiiiii" avant de râler et gémir.
Tout son corps était forcé de se livrer au forage qu'il lui donnait.
"C'est bon ! Plus fort !"
La main vint tirer ses cheveux, elle releva son visage, le sourire du plaisir se lisait sur elle.
Ses seins ballottaient en tous sens, sous les coups de butoirs violents qu'il lui mettait dans le sexe.
- Tu sais que tous tes trous sont à moi.
"Hummm...tous..."
- Je vais te mettre par derrière... dans ton beau petit cul.
"Ho...non... pas mon petit cul... "
- Si, tu vas la prendre dans le cul, comme la salope que tu es.
Son index flattait l'orifice étroit et elle se cambrait de plus en plus.
Je n'en revenais pas de la voir apprécier ce qu'elle m'avait toujours refusé.
- Un beau cul comme ça...
" Là... oui..."
Elle relevait ses hanches.
" Oui... dans mon gros cul de... de trainée vas-y ! Fourre-moi ! Fourre-moi ta queue... ta grosse queue qui me fait du bien."
- Elle écarte ses fesses la putain ! Me dit-il alors que je la voyais prendre ses fesses pour les ouvrir.
Elle offrait son anus, elle se donnait... son interdit offert à cet autre que moi !
Il posa son gland sur la rondelle et l'enfonça lentement.
Il la sodomisait lentement.
Elle qui ne voulait pas, je la regardais se donner à une autre bite que la mienne et je me branlais, n'en pouvant plus.
- Donne-moi tout.
A ses mots elle s'embrocha elle même sur le pic.
Elle poussa un râle, guttural, sauvage, reprit plus fort alors qu'il commençait à la sodomiser avec ardeur.
- Oui... tu aimes avoir une verge dans ton anus... ça te fait mouiller comme une chienne...
"Ouiii !! Ouiii ! Encule-moi ! Baise mon cul ! Déflore-moi...! Baise-moi comme une pute ! Je veux être prise ! Humm
Il l'insultait et elle y trouvait un plaisir indicible.
Ses cheveux étaient collés à son front, son dos moite ruisselait de sueur.
Il la possédait par l'arrière et elle criait de bonheur un peu plus fort à chaque fois qu'il parcourait l'intérieur de ses reins, défonçant son étroit conduit rectal.
Il ralentit le rythme de sa sodomie.
- On ne va pas laisser ton mec se branler tout seul ?!
Mes joues rougir d'être pris en faute.
Elle le regardait, grimaçante de plaisir.
- Une catin comme toi, ça aime avoir plusieurs bites en même temps...
"Hannn... haa... oui..."
- Tu vas le sucer pendant que je te défonce le cul.
"Oh..."
Elle rougit légèrement... avant de murmurer un :
"Ouiii " timide.
Il me fit signe d'approcher et, comme dans un état second, hypnotisé, je lui présentais ma verge tendue.
Elle ne se fit pas prier pour m'engloutir.
Ses lèvres me serraient, elle m'avalait et me tétait la tige telle une vorace.
Parfois sa bouche s'ouvrait en grand pour laisser s'échapper un cri alors qu'il l'enculait comme un hussard, mais elle me la reprenait aussitôt pour me sucer comme si sa vie en eu dépendue.
- Oui c'est ça... pompe lui le dard pendant que je t'enfile le fion. Tu es bien serrée, c'est bon ! Ho ce qu'il est bon ton cul !
Il ajouta une fessée à son action.
Ses yeux roulaient de plaisir, la bouche pleine, le cul remplit et les fesses rougissantes au gré des claques qu'il lui octroyait.
Un gloussement elle perdait des forces, je la soutins avant de la voir s'affaler sur le lit, jouissante.
Je m'agenouillais... elle m'emboucha avec peine le sexe devant elle.
Je levais les yeux.
Entre ses fesses, dans sa raie, disparaissait le membre de l'autre mâle.
Prise par les deux bouts ma femme gémissait et enchainaient les orgasmes en chapelet.
Les coups étaient devenus lents, puissants, elle mettait une grande application à me sucer, telle une noyée cherchant de l'air dans un tuba... ivre de jouissance.
Je sentais venir moi aussi l'embryon de ma jouissance.
- Crache ton foutre sur son visage... Et toi adorable trainée, ouvre ta bouche.
Elle me regardait.
Jamais je ne l'avais vu aussi indécente.
Dans une posture de prostituée elle avait sa bouche grande ouverte, la langue tirée... elle me branlait et je déchargeais sur son visage.
Elle était si belle, si désirable alors que je la salissais de ma jouissance.
- Je vais t'en mettre au fond moi aussi...
"Ouiii allez-y ! Tous les deux ! Souillez-moi ! Je suis votre chienne.
Sur son front, sur sa joue... je parvins à diriger mon jet gluant dans le fond du palais.
Elle léchait et déglutissait, souriante, métamorphosée par l'orgasme.
Dans ses fesses il venait de se vider, remplissant son anus de son sperme.
Il la regardait... ravi et m'invita à venir à côté de lui.
Je fis le tour pour voir de son cul sortir l'épais liquide.
Immobile, harassée, défoncée, elle reprenait son souffle avec difficulté alors que don étroitesse s'écoulait par petites vagues, le flot de sperme qu'il lui avait vidé dans l'anus.
Il remit son pantalon et alla déposer un baiser sur son front.
Elle lui sourit.
Il posa ses lèvres sur sa joue.
Dans ses yeux je voyais le plaisir et le respect.
- Je reviendrais vous rendre visite.
Elle ne répondit rien... juste un sourire.
Il me serra la main et je le raccompagnais à la porte.
- Elle est vraiment très belle. Vous avez de la chance.
- Merci. Dis-je surpris par son retour à des attitudes de gentleman.
Ma voix résonnait.
J'étais dans un état second.
- Je souhaiterais utiliser ses photos pour une exposition. M'y autorisez-vous ? Bien sur je vous dédommagerais...
Je bafouillais un "évidemment" avant de le voir s'éloigner.
Elle était là, devant moi, nue.
Je ne la voyais plus comme ma femme mais comme une nouvelle femme...
Elle me prit dans ses bras et m'embrassa.
Sa bouche avait le gout de mon sperme.
Sous mes mains je sentais son être doux se contracter à nouveau.
- Fais-moi l'amour... avec toi je ne veux pas baiser.
Sa réplique ne m'autorisait pas de réponse.
Je lui fis donc l'amour, en douceur, sans un mot... avant de nous endormir l'un contre l'autre.
A suivre...