[...]
Elle n'aurait jamais imaginé le plaisir qu'elle pouvait ressentir à
prendre en bouche un sexe d'homme.
Les mots, les images ne rendent pas l'immense plaisir qu'elle retire de
la texture qui coulisse entre ses lèvres.
Le gout inimitable d'une verge, la sensation de chaque aspérité du vit
qu'elle fait coulisser dans sa bouche.
Elle découvre un plaisir inédit et son corps réagit.
Son sexe lui semble chaud entre ses
cuisses, ses sens sont en éveils comme jamais auparavant.
Une boule de chaleur se diffuse dans son ventre alors qu'elle déguste
pour la première fois un sexe d'homme.
Elle relâche à regret le manche épais.
Un mince filet de salive relie le gland rond et pourpre à sa lèvre
inférieure.
Elle le regarde, lui, Robin, l'homme à tout faire de la maison, son
premier.
La trentaine, il est de presque 10 ans son ainé.
Mais c'est à lui qu'elle veut se donner.
Son sourire lui est destiné, ses yeux bleus brillent à le regarder la
surplomber.
"N'est ce pas que vous ne direz rien à ma... mère ?"
Il lui sourit à son tour, son regard sombre posé sur elle comme ses
mains qui caressent ses épaules dénudés et ses cheveux blonds.
"Ne vous inquiétez pas", sa voix est grave, douce et masculine, "votre
mère aussi à ses secrets que je garde."
"Ah bon ? Que voulez-vous dire ?"
Pour toute réponse il enfonce sa verge dans la bouche virginale, loin,
la privant de toute parole.
Elle s'agenouille, dandine son fessier camouflé par une jupe courte, et
accepte l'introduction profonde qui envahit sa bouche.
Elle comprend pourquoi les femmes aiment la fellation pour cette
extraordinaire sensation de pouvoir, de soumission et de saveur gustative. Un mélange qu'elle ne voudrait pas voir cesser.
La voix de Robin lui parvient comme une douce mélopée aux
oreilles.
"Votre père n'est pas toujours présent" lâche t-il un peu malgré
lui.
La verge s'enfonce dans sa gorge.
Elle manque de s'étouffer.
"Oui", continue t-il, "aspire..."
Elle tête une longue fois le manche qu'il lui offre avant de le laisser
sortir de sa bouche.
Le visage tourné vers lui elle rougit.
"Je sais... qu'il... est parfois absent... et que ma mère a des
secrets..."
Un court instant Le temps semble se figer.
C'est elle qui, n'y tenant plus, brise le silence.
"Je vous ai vu".
Devant son visage le sexe palpite.
En a t elle trop dit ? Elle se mord la lèvre, redoutant que son aveu
mette un terme à ce moment.
Qu'a t elle bien pu voir ? Sa respiration se bloque, l'esprit
confus.
"Comment cela ? Que... qu'avez-vous vu ?"
Elle approche la main de ses bourses qu'elle fait rouler
doucement.
Jamais encore elle n'avait tenu de testicules.
Glabres, elle en apprécie le velours et les mouvements internes.
"Je vous ai vu un jour, dans le jardin."
Sa voix lui semble externe à elle même.
Elle pose sa langue sur le méat du gland.
Il observe cette jeune femme, Coralie, qu'il découvre pour la première
fois sous cet angle, alors qu'il travaille ici depuis de nombreuses années.
S'affairant sur le gland, elle salive, gourmande, aspirant juste le bout
de son sexe avant de le relâcher et recommencer plusieurs fois.
Les jambes écartées, à côté de lui, elle se surprend à aimer cet
aveu.
"Vous aviez votre main à son entre cuisse..."
Il sent son érection devenir douloureuse tellement la situation
l'excite.
Aussi incroyable que cela puisse paraitre, il la voit s'exciter devant
lui, et l'en faire profiter, en lui signalant un secret qui pourrait le conduire au licenciement.
"...vous sembliez expérimenté..."
Elle poursuit, ses phrases entrecoupées de succions.
"... puis vous la... limiez doucement... c'est bien comme cela que l'on
dit ?"
Son visage fin penché vers lui, elle le regarde.
Un mélange d'innocence et de perversité.
Il gémit sous ses gestes et ses paroles.
"Oui. Et visiblement mademoiselle est aussi gourmande que
madame."
Coralie sourit largement et incline son visage, ravie de l'effet qu'elle
produit sur ce mâle, approche sa bouche des bourses pendantes.
"J'ai toujours été gourmande. Très gourmande."
Elle gobe les boules une à une.
Sa langue les roule. Elle aspire. Elle les lèche en soupirant de
plaisir.
"Robin ? Je ne dirais rien à papa... si vous me laissez regarder encore,
la prochaine fois... et si vous me faites découvrir plein de choses."
Il caresse son visage, remonte une mèche d'or sur son front.
"Hummm... coquine, vilaine... et cochonne... Je suis là pour vous
servir, je ne peux rien vous refuser". Lui lance t-il en guise de réponse.
"Ho... Robin... je ne veux pas vous forcer." Réplique t elle avec un
sourire ironique.
Il l'observe lécher consciencieusement son sexe, sa langue remontant des
bourses jusqu'au gland en suivant la veine saillante.
"Je vais te forcer moi, n'ai crainte."
Elle ouvre sa bouche pour aspirer le bout rond et le faire tourner
quelques instants dans sa bouche. La chaleur de son gland, son épaisseur la font mouiller... tout autant que ses paroles.
Elle le relâche, il est luisant de salive.
"Hummm, oui, j'aime votre rudesse".
Il caresse son doux visage.
"Madame votre mère aime bien aussi... elle en redemande".
"Ca doit être dans les gènes..." Fait-elle en faisant coulisser le mât à
pleine main.
"Je vais te montrer".
Elle passe quelques coups de langues, qui sur les bourses, qui sur le
sexe, le regard avide, posé sur le premier manche qu'elle tient de sa vie.
Il prend sa main et enserre la petite main de Coralie pour lui imposer
le mouvement de bas en haut, les pressions là où il faut.
"J'aime apprendre... j'adore que l'on m'éduque... montrez moi".
L'homme lui fait saisir juste entre deux doigts ou à pleine paume,
lentement ou plus franchement, parfois en changeant l'angle d'inclinaison du pieu dressé.
Elle s'applique, observe et essaie, et le masturbe avec de plus en plus
de dextérité.
Il lui impose les caresses du méat, les palpations de ses bourses
agitées, les caresses brulantes du pourtour de son gland...
"Tu apprends vit". L'encourage t-il.
Elle le regarde et sourit. "C'est qu'il... m'excite... je ne pensais pas
qu'en réalité il pouvait y en avoir d'aussi... large. Et si chaud..."
Robin l'oblige à faire quelques tensions vers le bas, l'agiter autrement
que par de simples monter-descendre.
"Vous aimez ? Vous me trouvez douée ?... C'est qu'elle est si bonne...
elle me donne envie..."
"Ne te prive pas" dit-il en se repoussant un peu du lit, debout dans la
chambre.
"Tu la veux encore ?"
Les yeux luisant d'envie, elle se mord la lèvre inférieure.
Agenouillée sur son lit son regard passe du visage rayonnant de l'homme
à la verge palpitante qui se dresse devant son nombril.
"Alors approche" l'invite t-il à poursuivre.
Son soutien gorge dégrafé, le chemisier à demi ouvert, sa jupe
retroussée, elle avance, féline... à 4 pattes au sol.
"Vous aimez cette position Robin ? Lorsque je suis... à 4 pattes devant
vous ?..."
Il observe les petits seins dodeliner malgré le tissu qui les engonce.
Irrésistiblement attiré par la vallée qui sépare les deux globes blancs.
"Parce que dans les livres cela m'excite beaucoup..."
Il se met à nu devant elle comme elle arrive à quelques centimètres de
lui.
"... ça me fait mouiller... Hooo... j'en peux plus."
Elle s'immobilise. Attentive. Tentant de réfréner son excitation
croissante.
"Enlève ta culotte" lance t-il tel un ordre.
Avec des gestes maladroits elle fait glisser son tissu souillé.
"Tu as une jolie petite paire de seins..."
Elle bouge... ondulant du fessier et de la poitrine.
"Je... tu... tu ne vois pas comment j'agite mon cul là ?! Je suis...
hummmm...", sa voix est à la limite de l'hystérie.
"Tu aimes les mots crus. Mets toi accroupie, et écarte bien els
cuisses... que je vois... ta chatte."
Elle rougit, de honte et de plaisir mêlés puis s'exécute sans un
bruit.
"Pas mal... bien fendue."
Elle sent son désir couler comme jamais.
D'un geste lent il ramasse la culotte.
Elle se dandine.
Il la renifle.
Elle ferme les yeux de stupeur... honteuse, un souffle d'air passe entre
ses lèvres en feu.
"Tu sens le sexe... la mouille...Enlève ton chemisier."
Elle obéit, ses tétons tendus comme des pointes de crayon.
"Débarrasse-toi de ton soutif..."
D'un geste lent elle ose se montrer devant un homme, nue.
"Hooo... jolis"
Il découvre la pleine paire de seins qu'elle révèle doucement en
écartant ses mains.
"Tu auras la même grosse paire que ta mère plus tard...
splendide".
Les yeux sont à mi clos, elle souffle fort
"Vous aimez ? Ils ne sont pas trop petits ?"
Il passe le bout de ses doigts sur la peau de velours.
"Bien profonds... doux... tendus... des tétines à croquer".
"Et vous une belle paire de couilles"
Un échange de sourire.
"Viens encore me sucer" lui ordonne t-il.
Elle s'approche souriante, ravie de s'exécuter.
"Et bouffe moi les couilles"
"Ho Robin... je ne vais pas tenir... ces mots... vous... je..."
Lentement il saisi son menton fin et relève le visage de la jeune femme
vers lui.
"Tu peux jouir. Caresse toi que je vois cela. Fais-le pour me faire
plaisir. Mais reste dans cette position."
Elle semble perdre ses moyens, son visage se détend...
Accroupie elle glisse une main sans attendre entre ses cuisses
écartées.
Ses doigts filent directement à son clitoris pour le martyriser.
Il l'encourage doucement, la félicite, l'invite à écarter ses
lèvres.
Elle gémit, gigote, se caresse, se presse, soupire... ses doigts luisant
de son suc.
Elle ré ouvre ses yeux, clairs, pour le voir s'astiquer ave lenteur en
la regardant.
Son plaisir s'en trouve démultiplié, incrédule devant cette idée qu'il
se masturbe devant elle alors qu'elle même se caresse avec force.
"Je... suis... ruisselante" parvient-elle à dire, au milieu de
soupirs.
"Tu coules..."
"Oh oui... prends-moi"
"Tu vas jouir... mais en te touchant. Et après je te prendrais."
A ces mots elle sent son corps lui échapper.
Ses souffles s'accélèrent, ses soupirs deviennent plus forts,
incontrôlés...
Elle enfonce deux doigts dans son sexe en gémissant plus fort.
Robin s'installe dans le fauteuil.
Seule au milieu de sa chambre, elle dérive vers le plaisir sous le
regard d'un homme.
Pour la première fois de sa vie elle éprouve le plaisir d'être observée
dans cette intimité inouïe.
"Tu es bien foutue".
Ce ton la rend folle... elle accélère ses geste, maltraitant sa
perle.
"Bien roulée... et tu sens bon la chatte".
Elle profite, dans cette position des plus indécente, invitante, elle se
doigte en alternance avec l'agitation de son clito gorgé de sang.
Elle ne s'appartient plus, coulisse ses doigts rapidement dans son
abricot.
"Tu es prête à jouir ?"
Elle hurle presque un
"oui !"
"Alors... viens me donner ton sexe... viens donner ta chatte à ma
langue."
Elle se redresse péniblement,
suffoquant sous les plaisirs qui s'entrechoquent.
A suivre...