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Il te faut quelques minutes pour te faire à ce bijou d'un genre nouveau.
Ta démarche est lente car chacun de tes pas fait osciller l'intrus qui a pris place entre tes fesses.
Accrochée à mon bras je te vois souffler et glisser des regards à droite et à gauche.
- N'aie crainte, te murmure-je, on ne voit pas ton plug.
Tu ralentis l'allure. "Je n'en peux plus". Me susurres-tu, le visage empourpré par les sensations qui se déroulent en toi.
Nous avisons alors un café et tu peines à t'asseoir sur la chaise.
- C'est nouveau et c'est étrange. Me dis-tu doucement. Des sensations qui me donnent chaud.
Je caresse ta joue, tu gardes ma main sur toi quelques instants. Tes joues sont brulantes.
- Cela te plait ?
- Je découvre et je me découvre avec vous Monsieur, c'est extrêmement plaisant.
Le silence s'installe alors que le garçon de café nous apporte la commande.
Je te regarde avec attention pour prendre la parole.
- Tu sais que je vais exiger de toi de nombreuses choses.
Je te sens t'agiter, mal à l'aise que notre conversation prenne place et lieu ici, dans un estaminet gorgé de monde.
Lentement tu acquiesces de la tête.
- J'aime sentir la force d'un homme... et j'ai toujours eu envie de me voir ainsi, alors... oui, je vais vous obéir... comme une... soumise.
Tu lâches le dernier mot dans un souffle.
Mon regard perce le tien.
Tes yeux délicatement maquillés disparaissent sous tes paupières fardées pour se rouvrir, encore plus beaux.
- Tu vas aller demander le numéro de téléphone du serveur alors que je serais parti. Je t'attends dehors dans 5 minutes.
Je me lève en négligeant ton geste qui m'implore de rester.
Tu t'immobilises devant ton verre.
Cinq minutes plus tard c'est avec arrogance que tu me rejoins, et que fièrement tu me tends un bout de papier où est griffonné un numéro de portable.
Je le prends et je le froisse avant de le jeter.
- Alors ? Te demande-je.
Nous reprenons notre promenade.
- C'était moins dur que prévu. Je lui ai demandé un autre verre, et puis je lui ai fait un sourire avant de lui demander à quelle heure il finissait. Il n'a rien dit, il est parti pour revenir avec ce papier et la note.
- Cela t'a plus de le draguer ?
- J'avoue que oui.
Je dépose un baiser dans ton cou.
- Tu es une très bonne élève. Mais je n'ai pas demandé que tu réussisses. Tu joues à la trainée. Alors tu vas être punie.
Ton regard s'affole et tu ne parviens qu'à bredouiller un "Oui Monsieur", empli autant d'anxiété que d'excitation.
Puis, nos pas nous mènent à destination.
Nous entrons dans un magasin de lingerie.
Une demoiselle nous accueille pour nous demander si nous désirons quelque chose.
Elle est petite, les yeux en amande, le teint légèrement halé, son visage fin encadré par des cheveux courts et sombres.
- Oui, mademoiselle, nous cherchons présentement des dessous, noirs.
Elle nous guide vers les nouveautés.
- Quel bonnet ?
Je saisi ton sein « j’hésite… »
Tu te raidi.
Elle sourit.
Je sens instantanément ton téton durcir dans la paume de ma main.
Elle ne sait plus ou donner du regard, passant de mes yeux à ma main, ton visage, la porte d’entrée… gênée par mon attitude et ton attitude résignée.
Ses joues rosissent, comme les tiennes, en marquant un temps d’arrêt sur ce renflement qui vient de pointer sous le tissu de ton chemisier.
- D’après vous ? Quelle taille ? Nous n’en savons rien.
- Il faudrait que je vois ce que vous avez comme dessous, c’est indiqué dessus.
Tu entreprends de déboutonner ton chemisier.
Elle nous entraine dans une cabine d’essayage, rapidement afin qu'aucun client ne te voit faire.
Lorsqu’elle découvre ton soutien gorge dont les liens ne font qu’enserrer tes mamelons en relevant ta poitrine, elle observe tes seins superbement mis en valeur et ne peut réprimer un petit soupir.
- Vous avez de beaux seins et je vais chercher ce qu'il vous faut.
Elle disparait et nous laisse seuls dans la cabine.
Le rideau tiré, j’en sors doucement sans te lâcher des yeux.
Seulement en jupe tu me fais un effet fou.
Mon sexe palpite dans mon boxer.
Je n’ai qu’une envie à ce moment là, et tu la comprends.
Doucement tu fais rouler tes mamelons sous tes doigts.
- Tu es réellement très belle… très bandante.
- Humm Monsieur… je vous donne la trique ?
- Continue de te caresser comme ça et je vais te faire tâter de mon gourdin.
Tu soupèses tes seins d'une main alors que de l'autre tu passes sur le tissu de ta jupe pour la relever et me montrer tes cuisses, de plus en plus haut.
- Et comme cela, je vous excite ?
Je n’ai pas le temps de répondre car la serveuse revient.
Elle te propose 3 sortes avec des motifs différents.
- J’ai des culottes coordonnées, propose-t-elle.
- Enlève ta jupe, ordonne-je.
Tu fais descendre le tissu pour t'offrir, nue, à son regard.
Elle remarque ton sexe rasé encadré par le porte-jarretelle.
- Vous ne portez pas de dessous ?
- Monsieur ne veut pas, et c’est mon plaisir de le satisfaire.
Tu es nue devant elle. Sans aucune gène. Elle semble surprise mais non indifférente à ton corps.
- C’est agréable n’est-ce pas ? Continue-t-elle sur le ton badin de la conversation, mais les yeux brillant en te regardant.
- Très oui, avoues-tu en baissant légèrement les yeux.
- Moi aussi j'aime être libre. Poursuit-elle.
Elle te dévore du regard.
Son pull laisse apparaitre le haut de son soutien gorge.
Je passe mes doigts sur le haut de sa bretelle.
Elle réagit instantanément par un mouvement de recul.
- Le votre a l’air très beau. Vous l’avez de disponible ? Dis-je en accompagnant mon geste de repli.
- Il n’est plus vendu monsieur, je suis désolé. Je vais voir pour quelque chose d’approchant. Me lance-t-elle sèchement.
Elle s’en va alors qu’une nouvelle cliente entre.
Tu poursuis tes essais.
Je tire le rideau pour te donner de la tranquillité, tout en restant dans l’entre-deux pour pouvoir te regarder.
- Elle t’évoque quelque chose ?
- Non, non…
- Je pense que tu mens.
- Je… elle n’est pas laide et … ses yeux lorsqu’elle m’a regardé, je me suis sentie… bizarre.
- Tu n’as jamais eu d’expérience avec une femme ?
- Non ! Tu t’empourpres à cette question qui te surprend. Jamais !
- Et tu en as envie ?
- Non, pas spécialement… ou alors je ne sais pas… peut-être… pourquoi pas, avec vous Monsieur je ne sais plus où j’en suis. Tout me parait sensuel et rien n’est tabou, tout est source de désir.
- Tu me fais vraiment bander.
Tu souris et tu remarques enfin que j’ai sorti mon sexe. De l’extérieur on ne voit rien mais devant toi, dans la cabine, tu peux observer que ma main astique le large pieu de chair.
- Viens me pomper. Le ton est sans appel.
- Oui Monsieur… avec grand plaisir.
Tu t’agenouilles et tu entreprends de me lécher.
Ta langue parcourt toute la surface de ma hampe dressée. Tu lèches avec lenteur.
Tu t’enroules autour de mes bourses et remonte lentement de la base du scrotum au haut de mon gland. Lisse et tendu tu passes ton petit bout de langue sur la surface de mon méat, je perle de désir.
- Allez, cesse de sucer comme une chienne, pompe moi maintenant.
Tu avales d’un coup mon membre.
Je frotte sur tes joues tellement tu m’entreprends avec vigueur.
- Oui, c’est bien… je te sens encore toute excitée sous le regard que cette fille avait sur toi.
Ces paroles t’incitent à user de ta langue pour me procurer des sensations plus fortes.
Largement ouverte, ta bouche permet à ta langue de venir titiller mes boules ou d’appliquer des pressions rythmées sur ma veine gorgée.
- J’aime l’idée que tu as des envies de lesbienne…
Tu accélères le rythme, la bouche pleine de mon sexe, avide.
- Je t’imagine bien sous sa langue en train de pousser des gémissements de salope.
Tu m’enfonces presque à ta gorge visiblement nettement excité par ces paroles rudes autant que la promiscuité du lieu.
- Ca t’excite de savoir que tu pourrais avoir une relation avec elle… hum ?
Tu ouvres les yeux pour me répondre lorsque tu découvres qu’elle nous observe.
J’ai ouvert le rideau pour qu’elle puisse t’admirer en position de suceuse.
Ma main t’empêche de te retirer et je te pousse au fond.
Le bout de ma queue vient frapper le fond de ta gorge.
- Avale tout. C'est ta punition.
Ce sont mes hanches qui désormais donnent le ton. Tu as refermé tes yeux et tu subis avec docilité mes assauts.
Sans me soucier de tes lèvres que je martyrise des mes coups, je te maintiens pour aller au plus profond de toi. Tu réprimes parfois quelques hauts le cœur comme mon vit s’enfile au fond de toi.
- Allez, montre-lui que tu aimes ça, fais la rêver de ta bouche gourmande.
Tu m’accompagnes, consciencieuse.
Goulue tu t’empares de mes fesses pour me gober au plus loin.
Je sens que je vais venir et je ralenti pour rester quelques instants dans ta bouche, immobile.
Tu entames quelques mouvements d’aspiration.
Tu la sens à nous regarder.
Tes agissements m’entrainent vers le plaisir… et tu ne perds aucune goutte lorsque je viens exploser dans le fond de ta gorge.
Tu aspires et déglutie avec lenteur pour profiter de chaque mouvement de contraction de mon membre.
Lorsque mon sexe sort de ta bouche, tu ne peux t’empêcher de lui jeter un regard.
A genoux, la bouche rougie, quelques gouttes à la commissure de tes lèvres, tu lui souris.
Elle te rend ton sourire.
- Vous êtes… très belle. Te dit-elle.
- Merci. Vous aussi.
Elle s’efface pour aller servir une nouvelle arrivante, le rouge aux joues.
Tu t’habilles sans un mot.
Nous payons et nous ressortons.
Tu as retrouvé des vêtements que tu avais perdus.
- Jamais avec une femme alors ?
- Non…
- Un regret ?
- Peut-être…
- Et je suis un homme.
Tes yeux brillent dans les miens.
- Hum… ça oui… et j’aime ça.
- Je sais que tu aimes ça. J’ai vu.
Je t’embrasse. Ce baiser a le gout de mon sexe. Il nous excite tous deux.
A suivre…