Partager l'article ! Indiscrétions obscènes.: [...] Elle voulait de la discrétion, sous la table. Je me souviens de son murmure et de son souffle dan ...
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Elle voulait de la discrétion, sous la table.
Je me souviens de son murmure et de son souffle dans mon cou lorsqu'elle m'avait dit cela.
Aussi, lorsque nous sommes allés rencontrer, pour la première fois, sa meilleure amie, je savais que j'allais agir en ce sens, sans la prévenir à
l'avance.
Assis côte à côte sur nos chaises, nous devisons de tout, de rien, avec notre hôte qui découvre mon visage pour la première fois, après en avoir
entendu parler bien souvent semble t-il.
Leur complicité est palpable, elles se connaissent et n'est pas surprise de me voir comme si elle me connaissait déjà. Elle en profite pour me
détailler avec le regard de quelqu'un qui veut se faire une idée sur ce qui lui a été mainte fois énoncé.
Lorsque nous nous dirigeons vers la table, je dépose un petit baiser sur les lèvres de ma délicieuse soumise.
Notre hôtesse sourit, ravie de notre connivence et de notre entente.
Aimable et prévenante, elle ne remarque pas ma main qui se glisse sous la table pour effleurer la cuisse de ma complice.
Celle-ci se fige une fraction de seconde, me glisse un regard où je devine la surprise mais aussi une étincelle d'amusement coquin..
A peine ne sommes nous plus sous le regard de la femme qui nous reçoit que je me penche vers ma délicieuse amante pour lui murmurer "discrétion,
sous la table".
Ses pommettes rosissent et un petit sourire lui vient, si léger qu'il peut passer inaperçu à qui ne connaît pas son visage.
Et ses cuisses s'écartent doucement pour me permettre de frôler l'intérieur de ses jambes, douces, lisses sous sa robe d'été bleue nuit.
Lorsque ma main remonte sur la table, pour participer au repas, c'est mon genou qui frotte contre le sien.
Et puis, régulièrement je passe mes doigts, sous le bois de cette table accueillante, effleurant de plus en plus haut, son entrecuisse.
Dépourvue de culotte comme il se doit, de par sa condition, je peux effleurer à loisir ses lèvres bientôt humides.
Cette situation, cachée, l'excite au plus haut point, comme elle ne me laisse pas de marbre.
Mes doigts, que je suçote, mine de rien, à la vue de tous, tout en poursuivant notre discussion, ont le goût si onctueux de son plaisir.
Elle reste jambes ouvertes, accessible à tout instant pour mes doigts lorsque je peux glisser ma main sous la table sans que mon geste ne soit
analysé comme suspicieux.
Alors que nous nous retrouvons seuls une minute, le temps que notre hôtesse s'absente, je sors de ma poche un petit objet et le pose sur la jambe
chaude de ma charmante voisine.
Elle baisse le regard et découvre la forme ovoïde, blanche, que je dirige vers son entrejambe.
Ses yeux s'ouvrent un peu plus à l'unisson de sa bouche. Je sens qu'elle voudrait refuser.
Elle tourne la tête vers la porte, guettant l'arrivée à tout instant de son amie qui pourrait nous surprendre.
Je présente l'œuf sur sa fente...
Ses yeux se ferment et elle bascule son bassin pour accepter l'intrusion du gode impoli dans son sexe gluant, sans un mot.
Elle avale sa salive et tente de conserver une attitude digne alors que mes doigts la fouillent délicatement, élargissant son sexe pour installer
l'œuf au creux de ses reins.
Un gémissement lui échappe cependant, que je clos d'un baiser où nos langues s'entremêlent et que je place en elle le godemichet au creux de son
vagin.
Alors que ma main, quitte son entrecuisse, nous nous retrouvons de nouveaux tous réunis pour la suite du repas.
Je la sens onduler, s'approprier la présence de l'intrus dans son bas ventre.
Machinalement je joue avec mon téléphone.
Un coup d'œil vers elle, elle comprend subitement.
L'œuf répond à mes doigts qui pianotent sur l'écran tactile.
Parfaitement invisible, par simple effleurement je fais vibrer plus ou moins fort le fond de son antre féminine.
Le premier vrombissement la fait sursauter.
Un petit mot d'excuse et un sourire, elle se reprend.
Elle passe sa main dans ses cheveux bruns, chatoyant dans la lumière, visiblement troublée par la tournure des événements et la masturbation intime
que je peux lui imposer à tout moment.
Nos regards se croisent.
Je lis en elle, dans son âme.
Le trouble dans ses yeux, reflet d'une tendresse infinie, d'une affection que je partage avec elle.
Je ne cherche plus à être son Dom, son Maitre inflexible... je la comprends, elle est cette partie que j'ai cherché et toujours désiré, que j'ai,
qu'elle m'offre.
Appréciée pour ce qu'elle est, dans sa complexité, dans ses attentes, dans sa fragilité, sa force, sa féminité.
Réconfort, source d'inspiration, d'espoirs. A la fois calmant et à l'origine de ses désirs, de ses fantasmes, des ses orgasmes... Je veux lui être
indispensable. Être son écho.
Son aimant.
Son amant.
Son Autre.
Acceptée car elle est celle que je veux, l'Unique.
Quelque soit les ordres que je lui donne, quelques soient mes exigences, ils sont animés par l'intensité de mes ressentis, et elle les accepte par
ce qui nous lie au-delà des envies, bien au-delà...
L'objet vibre de nouveau, plus fort, et ses yeux s'ouvrent d'un coup.
La bouche entrouverte, elle se concentre pour ne pas pousser un petit cri.
Son amie la regarde d'un air surpris, puis d'un petit rire, fait une allusion bienvenue à la boisson qu'elle nous a servi.
Notre hôtesse lui évoque aussi ma présence à ses côtés, et la discussion devient en sous-entendus, amusante et source d'éclats de rire.
Nous rions de concert et le repas se prolonge.
La discussion est amicale, détendue.
De mes doigts, je joue avec l'application de l'œuf.
A mes côtés, elle se trémousse parfois, mais son contrôle est efficient.
Ajustant ses trémoussements avec quelques gestes, cohérents avec les sujets que nous évoquons, elle parvient admirablement à donner le
change.
Sauf à remarquer que ses joues sont plus roses qu'à l'habitude.
Je souris, fier d'elle.
Un question vient alors abruptement.
Notre hôtesse désire savoir pourquoi nous nous vouvoyons.
J'allais enclencher une autre vitesse, plus intense... mais mon action s'immobilise.
Ma complice rougit d'un coup.
En face de nous, son amie reste en position interrogative, comprenant qu'elle vient de toucher un point sensible de notre relation.
Je lui explique qu'il s'agit, d'une part, d'une source de plaisir dans notre relation de chaque instant, un respect et un érotisme
latent.
Lorsqu'elle soulève la question de "l'autre part", un trémoussement agite mon amante qui me regarde de ses yeux de biche.
Je lui donne alors l'autorisation, sous forme de possibilité, de dévoiler la raison première, ou seconde.
Ses joues s'empourprent encore plus.
Elles avaient déjà évoquées, toutes les deux, qu'elle était adepte des relations D/s, aussi ce n'est qu'une demi surprise lorsqu'elle énonce qu'elle
est "ma soumise" et que ce vouvoiement est également un témoin de cette relation.
Son interlocutrice semble heureuse qu'elle ait trouvé "un maitre". Même s'il me semble soudainement, à leurs regards complices, qu'elle était déjà
au courant de nos liens.
Ma joie monte de plusieurs crans lorsqu'elle réplique que je ne suis pas "un maitre", mais "Son Maitre".
Le silence qui s'installe entre nous trois est étrange.
Intense et palpable, une nappe de complicité et de connivence a pris corps.
Les regards se croisent, se parlent, se comprennent.
Elle nous félicite, et sirote son verre en nous regardant par dessus le cristal.
C'est l'occasion que je saisis pour actionner le gode intimement fiché dans son vagin.
La secousse qui tinte dans son bas ventre la fait se cabrer instantanément.
Elle mime le geste de se lever pour débarrasser la table, interrompue par la maitresse de maison qui s'en charge.
Les vibrations, plus amples, continuent.
Ses mains posées à plat sur la table, elle respire, tente de garder son calme.
L'absence de son amie, pour retirer la vaisselle et préparer le dessert, lui permet de laisser transparaitre le plaisir que je lui inflige à
distance. Sa bouche s'ouvre, ses yeux roulent.
Une légère supplique... qu'elle n'en peut plus... que son excitation est au seuil de l'orgasme.
Je dépose un baiser sur son front, sur ses lèvres et lui avoue être ravie et très excité de cet état qui est le sien.
Elle me déclare être totalement en chaleur, folle d'envies les plus perverses.
Une idée me vient... indécente.
Je déboutonne mon pantalon et en extraie ma verge qui ne tarde pas à enfler et se dresser devant les yeux gourmands de ma douce amante.
Elle semble hypnotisée avant de se rendre compte, de se souvenir, que nous ne sommes pas seuls.
Je la rassure en lui indiquant que son amie connaît déjà sa condition de soumise, et que je veux qu'elle sache que c'est une réalité... en tout
lieu... et tout instant.
Sans plus un mouvement, incrédule, elle m'écoute.
Ses joues sont incandescentes.
Ses yeux me fixent, grands ouverts, totalement incrédule à ma demande.
A cet instant elle peut refuser, elle le sait, et je suivrais son refus...
Au lieu de cela, elle s'abaisse.
Elle est à genoux.
Son regard se lève par dessus ses lunettes. Elle me sourit de ce sourire qui me fait fondre.
Sa bouche accueillante, baveuse, engloutis mon membre d'un seul geste avide.
Déformée par ma queue, elle ondule, sensuellement, gourmande et tournée sur notre plaisir.
Elle accepte, elle m'accepte en elle, sur elle. Totalement. Malgré la situation gênante.
Elle accélère comme pour me prendre plus loin, vite, avant que son amie ne revienne.
Ma main cueille sa nuque et j'appuie son visage vers moi.
Ses lèvres s'ouvrent un peu plus lorsque la base épaisse vient s'écraser contre sa bouche.
Elle comprend que je ne vais pas la laisser agir vite... qu'elle va être exhibée dans sa position de soumission, dans cette position de chienne
vorace.
Entre quelques soupirs de plaisirs, témoins de sa fervente dévotion à cette fellation, je la sens avoir chaud... couler... agenouillée à même le
sol.
L'œuf ne cesse de la faire se trémousser.
Les vibrations s'enchainent, je perçois la fragrance de son parfum de sexe... envoutant.
En rut, frémissante, en chaleur, elle me suce plus lentement, levant ses yeux vers moi. Un regard que j'adore, que je connais bien, celui de ses
envies de sexe.
Elle en oublie , elle accepte, que notre hôtesse puisse être dans un rôle de voyeur.
Et c'est bien ce que fait la femme qui, revenue discrètement, s'est immobilisée, m'a sourit et s'est installée dans un fauteuil, sans un bruit, pour
ne pas nous déranger.
Silencieuse et discrète, elle ne ne perd toutefois pas une miette de la performance que ma délicieuse soumise, son amie, lui permet
d'admirer.
J'écarte légèrement la table pour que le "spectacle" soit bien visible.
Ma complice déploie des trésors d'expertise... passe sa langue sur la tige large, excite le bout de mon gland avant d'exciter le méat.
Elle embouche et fait disparaître mon sexe au fond de sa gorge, sans un regard vers l'observatrice indiscrète.
Chacun de ses gestes, chacune de ses succions, sont faites pour que je prenne plaisir, et que je sois fier d'elle au regard de la femme qui nous
observe. Je le sens... je le sais.
Cette dernière s'est assise en tailleur sur son fauteuil.
Elle a glissé ses doigts sous sa jupe et je la vois qui se masturbe, les cuisses écartées, vigoureusement comme si cet instant éphémère allait
disparaître avant qu'elle n'ait eu le temps de jouir.
La bouche qui me pompe magistralement s'ouvre pour laisser échapper un petit cri de plaisir.
Le gode enfoncé en elle lui fait onduler du bassin.
Elle gémit en avalant profondément mon vit gonflé d'orgueil de la voir si enfiévrée.
Son visage se révulse soudainement, elle peine à garder mon sexe en bouche.
Son rythme s'arrête quelques instants.
Dans un effort surhumain, elle me regarde et, silencieuse, je la vois prendre son pied, atteindre la jouissance, les lèvres arrondies de la forme de
mon soc, de petites larmes aux coins des yeux.
De sa gorge monte un cri étouffé, rauque, animal.
Elle jouit la bouche pleine.
Elle avale sa salive, reprend sa respiration, difficilement, entravée par la présence de ma verge.
Je lui souris et caresse son visage avant de remettre mon membre couvert de salive, dans mon pantalon.
Je l'aide à se relever.
Elle a soudain conscience de l'entière réalité de la scène.
Hésitante sur la conduite à tenir, elle vient se coller à moi. Elle se pelotonne contre moi, grelotte, semble prête à éclater en
sanglots.
Mes bras l'entourent, protecteurs et présents lorsqu'elle en a le besoin.
Son amie a le visage pourpre, elle reprend elle aussi contact avec l'instant et se réajuste.
Je me lève et la remercie pour son accueil, afin d'éviter que la gène ne s'installe et crée un malaise.
Elle nous remercie "pour tout" et félicite mon amante pour sa chance.
Ma délicieuse amante bredouille un merci et tente un mot d'excuse que son amie arrête, arguant d'une compréhension toute naturelle et d'un plaisir à
la voir être bien avec un homme.
Quelques instants plus tard nous sommes lovés au creux de l'intimité de l'habitacle de la voiture. Un mélange de pleurs et de sourires naissent
simultanément.
Je suis si fier d'elle, de ce qu'elle a accepté de révéler, de réaliser.
Elle est, à son tour, de façon surprenante, très fière d'avoir été exposée dans sa condition et ravie que je la présente sans honte ni gène, dans ce
qu'elle est de plus intime, à son amie la plus chère.
Mes bras ne sont pas assez grands pour l'enlacer autant que je le souhaiterais.
Nos lèvres se cherchent, se trouvent, dans un baiser langoureux, riches de plaisirs, de désirs et de sentiments intenses.
A suivre...