[...]
Le trajet jusqu’à mon immeuble se fait dans un silence, entre la gêne et le plaisir.

Nous prenons l’ascenseur.

Je te rapproche de moi, mes mains sur tes hanches.

Tu te laisse faire lorsque je te fais pivoter pour me tourner le dos.

Tes fesses viennent se plaquer contre moi.

La pression de mes mains t’indique quelques mouvements circulaires que tu m’offres sans hésitation.

Tes mains s’accrochent à la barre en face de nous.

Tu te penches pour mieux te frotter à moi.

Je peux désormais t’observer dans les glaces et j’ai sur ce mime de coït une vue imprenable.

Le trajet est trop court, mon sexe gonflé aurait souhaité que cela continue, et c’est dans cet état que je te fais visiter mon appartement.

-         Un verre ?

Je m’installe sur le tabouret du bar, tu te joins à moi.
Un petit sourire en coin, tu prends plaisir à mettre en valeur ta poitrine.
Tu tournes sur le pivot de ce siège, la jupe t'arrive au-dessus des genoux et tes bas reflètent les lumières diffuses d'une lampe aux multiples ampoules.

Du pied je le pousse pour te mettre face à moi.

Tu comprends mon envie et je vois tes jambes s’écarter, ta jupe se relever et se tendre…

Je peux déguster mon verre en coulant mon regard sur ton entrecuisse que je découvre peu à peu.

-         Dégrafe ton chemisier.

Avec une extrême lenteur tu ôtes bouton après bouton.

Tes mains glissent sur les pans de ton chemisier et les écartent sans dévoiler complètement tes seins.
Tu joues le jeu de l'érotisme.
                -         Debout, tourne-toi.

Tu te lèves et me tourne le dos.
Tu ondules ton bassin .

-         Relève ta jupe, cambre-toi.

Tes mains troussent ta jupe à ta ceinture. Tu dévoiles ton fessier admirable.
Lentement, tu te cambres et j’aperçois l’orée de ta vulve qui se contracte par moment alors que tu relèves tes fesses.

Tes mains s’appuient sur le bar et ta cambrure devient plus forte.

-         Ne bouge pas.

De derrière le bar je sors une petite cravache.

Je la passe contre tes cuisses.

Le toucher du cuir te fait frémir.

Avec son aide je fais glisser ton chemisier à terre, tes seins nus pendent doucement vers le sol, globes pleins et dont les tétons se dressent avec orgueil.

Je le titille du bout de ma badine, ce qui t’arrache un gémissement.

-         Tu es sensibles des seins… c’est très bien.

Tu hoches la tête.

Entre tes cuisses je viens placer le manche de cuir, de deux petites tapes je te fais écarter tes cuisses un peu plus.

Tu t'offres dans cette position indescente.
Lentement sur tes fesses, sur ta vulve je laisse flâner le cuir.

Tu halètes par moment, inspirant avec un petit « ah ».

Je sens en toi monter le désir.

Je poursuis mes attouchements discrets.

-         La cravache t’excite ?

Tu lâches un « oui » dans une aspiration.

Je fais glisser ta jupe à tes pieds.

Tu serres les cuisses pour la faire glisser, sensuellement au sol.

D’un petit coup un peu plus fort sur tes fesses je t’ordonne de rester écartée !

Tu obéis immédiatement.

-         Maintenant tu vas m’avouer ta position préférée, un lieu de fantasme et ce que tu aimes entendre lorsque tu te fais prendre. Selon les réponses, tu seras cravachée ou flattée.

Tu pousses un petit gémissement en ondulant. Je sens monter mon excitation croitre.
Mon sexe est durci et je résiste avec peine à te posséder contre le métal du bar, fasciné par ton cul splendide que tu me montre avec envie.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[…]

Un coup de téléphone et nous sommes partis dans une nouvelle direction.

Arrivés devant chez les amis mentionnés je te vois de plus en plus mal à l’aise.

-         Tu es sure ?

-         Oui… De toute façon, il ne va rien m’arriver.

Je garde le silence ce qui ne fait qu’augmenter la tension qui t’anime.

Tu te réajustes, tu tentes vainement de cacher ton absence de soutien-gorge.

C’est un couple charmant. Lui, grand, brun, est un peu plus âgé qu’elle dont les cheveux roux courent en cascade sur son chemisier.

Je te présente comme une amie.

La discussion s’installe agréablement. Je vois son regard de mâle venir sur toi. Il te détaille et il ne se passe pas une minute sans qu’il glisse un œil vers la naissance marquée de tes seins.

Ils s’éclipsent pour préparer le café et je te murmure qu’il a du remarquer ton absence de dessous.

Tu rougis.

-         Il te plait ?

Tu bredouilles quelques mots où se mêlent tout à la fois ton envie inconsciente de lui, la gène et ton envie de moi.

C’est avec un café fumant qu’ils reviennent tous les deux.

La discussion prend un tour plus sensuel sur ses sujets, passant d’une blague à quelques habitudes, pratiques ou fantasmes.

Les regards se font de plus en plus embarrassés, entre les sourires, les coups d’œil.

Elle place soudainement la main de son homme entre ses cuisses et penche sa tête en arrière. Il l’embrasse sans se soucier de nous. Et nous voyons sa main entamer quelques caresses.

Lentement il la masturbe au travers du tissu.

Tu me regardes, interdite.

Mes lèvres déposent un baiser sur tes lèvres. Nos langues se cherchent.

Ma main vient chercher ton entrecuisse nu.

Je passe sous la robe et remonte le long de ta peau jusqu’à trouver ta fente humide.

Il semble que les regarder faire à accru ton envie.
Notre échange est lent, long, excitant.

Mes doigts glissent entre tes lèvres. « Je suis mouillée » murmures-tu.

Nos bouches se séparent à regret.

Ils nous regardent.

Elle a sorti le sexe de son homme. Une de ses mains le tient fermement et le masturbe.

Tu as les jambes écartées, mes doigts enfouis dans ton sexe.

Sans t’en rendre compte tu leur offres le spectacle de ta féminité.

Je continue mes mouvements.

Tu cherches à resserrer tes jambes.

« Reste écartée… »

Tu obéis.

Tu regardes la main de cette femme que tu ne connais pas, en train de branler un homme que tu as rencontrée pour le première fois il y a peut-être une heure.
Ils te sourient tous les deux alors que tu es toi même en train de te faire masturber.
Elle penche sa tête sur le membre de son mari.

Tu fermes les yeux et te laisses aller.

Très vite je te sens venir entre quelques gémissements que tu réprimes, alors qu’eux sont dans l’action.

Entre mes doigts tu te mets à couler, ton orgasme est muet.

Tu baisses ta jupe et je te fais signe de les laisser.

Nous nous éclipsons sans les déranger alors qu’il à le visage enfoui entre ses cuisses.
Lorsque la porte se referme tu sembles perdue.
Tu tournes vers moi ton visage. tes yeux sont clairs et tes cheveux emmelès.
            -
C’était incroyable, me dis-tu. J’étais un peu gênée mais ils me donnaient envie.

- Tu as été parfaite.

- Je ne me serais pas cru capable de cela.

- Je suis sur que tu seras capable de beaucoup plus.

- Lorsque tu m’a dis de rester les cuisses ouvertes devant eux… j’étais gênée mais… excitée… Leurs regards… et ça les a incités. Humm. Tu me fais faire des folies.


A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[…]

Elle me regarde autant que je laisse mon regard s’attarder sur ses cuisses et son chemisier tendu.

La discussion s’engage dans le ronronnement de la voiture.

Elle m’avoue que la traversée de la salle sous le regard des hommes et femmes qui pouvaient la voir sans ses dessous l’avait gênée autant qu’excitée.

Je lui réplique que c’était bien le but : lui faire prendre un plaisir secret.

Elle rit un petit peu, contente d’avoir réalisé ce qu’elle qualifie d’épreuve.

Elle me demande ensuite ce à quoi être soumise engage, un peu inquiète.

Je lui explique que je serais un Maitre respectueux de sa Soumise, respectueux de sa vie privée et professionnelle. Qu’elle n’a qu’à être obéissante et dévouée.

- Et si je désobéi ou ne fais pas ce que je dois faire ? Serais-je punie ?

J’acquiesce en lui indiquant que la punition sera aussi sensuelle que l’épreuve ou la demande.

Je perçois alors une petite étincelle dans ses yeux...

Je lui indique, à sa demande, quelques exemples de choses que je peux lui faire tel que : ne pas porter de dessous pendant une journée ou gérer sa sensualité pendant une période.

- Et si je ne veux pas ?

Je lui fais alors la différence entre ne pas oser et ne pas pouvoir. Je l’inciterais toujours à oser, à se dépasser pour y prendre plaisir, jamais à lui faire faire des choses dégradantes ou qui la mette en danger…

Nous devisons encore, elle pose quelques questions afin d’éclairer sa représentation de la soumission.

- Le maitre est toujours au plus prêt de sa soumise, il n’existe que par elle et elle par lui, un lien fort se crée entre eux, indestructible car fondé sur l’expérience et le partage de secrets les plus intimes, sur le plaisir mutuel.

Elle écarte alors soudain les cuisses jusqu’à tendre sa jupe au maximum.

Le tissu remonte haut et je peux voir le haut de ses bas, là où sa peau se dévoile.

En moi une chaleur monte et s'empare de mon sexe.

- Suis-je digne, ainsi assise, d’être votre soumise ?

Je glisse une main sur son chemisier pour y défaire un bouton. Le bouton le plus près du col, afin de dégager ses seins arrogants.

- Maintenant oui.

Elle sourit puis, après un petit temps perdu dans l'observation du paysage nocturne, me fait sa demande.
- Voulez vous de moi en soumise, Monsieur ? Je serais obéissante.

Ma main vient flatter son menton.

J’arrête la voiture sur le bas côté.

- Je te prends pour soumise et m’engage à être un bon maitre. Lui dis-je en la regardant dans les yeux qu'elle ne peut s'empècher de baisser.

Un rougissement pare ses pomettes. Séduisante à se damner.

Mes doigts l’empêchent de parler, posés sur ses lèvres.

D’une main je caresse son épaule, je la dénude lentement en faisant glisser le chemisier déformé par ses tétons dressés.

Son chemisier ne tient plus guère que par la tension de ses seins.

Je prends sa nuque dans ma main, avec force, marquant son cou au travers du collier.

Elle ouvre légèrement la bouche pour réprimer un petit gémissement.

Je transforme ma pression en caresses.

Elle hasarde un bout de langue contre mes doigts, elle cherche mon accord du regard, je lui fais signe qu’elle peut continuer. Alors, lentement, elle léche puis suce mon doigt qui l’empêche de parler.

Je reprends la route, mon doigt entre ses mains et ses lèvres.

Elle s’applique comme s’il eut été la chose la plus précieuse au monde.

D’une main je lui rappelle qu’elle doit rester écartée.

Elle ne fait qu’accentuer encore plus l'ouverture de ses cuisses et bientôt je vois ses hanches commencer à onduler.

Elle frotte son bas ventre contre le siège dans un mime du coït.

Les yeux clos, tout en suçant mon doigt sa respiration s'accélère.

Elle ne s’occupe plus de la route, mes doigts glissent dans sa bouche, s’enfonçent, ersatz d’un sexe qu’elle veut et pense en elle.

Son corps se cabre, se relache et se cabre à nouveau plus fortement dans un gémissement.

Ses yeux s’ouvrent et s’éclaircissent alors qu’un petit cri lui échappe.

Elle rougit.

Je lui souris.

- Ce café, je vous l’offre chez moi ou chez des amis ?

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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