Le blog de M.

[...]kimono

 

Elle est à genoux, devant moi, son dos bien droit..

 

Simplement vêtue de son porte jarretelle qui maintient par quatre lanières sur chaque cuisse ses bas couleur peau.

 

Elle pousse un "hooo" alors que je fais rouler son mamelon dans ma main.

 

Je tire un plus fortement sur la pointe dure qui émerge comme un pic au centre des auréoles larges et roses, parsemées de petites aspérités.

 

Entre douleur et plaisir, la pression que j'exerce lui arrache un petit cri.

 

Son sexe réagit à mes caresses sur ses seins arrogants qu'elle met en avant en bombant le torse.

 

J'observe son unique vêtement.

 

De la broderie et de la dentelle extrêmement fine, des juxtapositions de voiles et de lacets à l'arrière.

 

Une qualité qui, dans cette position, la fait ressembler à une trainée de luxe.

 

Son attitude montre qu'elle prend plaisir à ce jeu que lui impose, tout en l'indisposant tout autant.

 

J'ai accentué cette sensation en laissant les billets comme si j'achetais la première venue de façon un peu dédaigneuse.

 

Sa main soutient son sein profond.

 

"Lâche-le" lui dis-je en le faisant aller de droite à gauche.

 

Elle obéit.

 

Je l'agite, sa peau sensible et fine tremble.

 

Elle gémit, uniquement maintenu par le téton, elle bombe le torse pour faciliter le maintien de son sein.

 

Je tends la main vers l'autre globe.

 

"Donne-le moi".

 

Elle le prend par dessous.

 

Ses doigts fins et manucurés le soupèsent et me le présentent.

 

Il repose, adorable, le bout saillant du disque mamelonaire.

 

Les doigts de sa main libre se crispent alors que je le saisi.

 

Je les malmène lentement, observant son corps ainsi livré.

 

Les tétons doublent de volume au gré des caresses où je prends plaisir à l'entendre pousser de petits cris et voir son corps trembler et s'agiter alors que mes pinces et mes roulements s'affirment.

 

Je les tire vers le haut... en avant.

 

Elle relève le visage en arrière et lâche un "haaaaa" sonore.

 

"A 4 pattes".

 

Elle obtempère et je poursuis mes manigances alors qu'elle relève son séant dénudé entre les pans des bretelles du porte-jarretelles.

 

Jamais encore elle n'a eu cette docilité et cette attitude.

 

Elle m'affole.

 

Ses soupirs me montrent qu'elle profite, qu'elle apprécie ce jeu un peu douloureux pour sa lourde poitrine.

 

"Hum... tu as l'air d'aimer ça."

 

Ses seins profonds malmenés elle gémit comme elle me répond.

 

"Hummm... oui..."

 

Ses yeux me fixent, ils étincellent de désir. Elle sourit.

 

Le rouge de ses lèvres qu'elle entrouvre pour laisser s'échapper un souffle de plaisir me chauffe le ventre.

 

Elle se trémousse, son sexe réagit... ses lèvres se gonflent de désir.

 

"Tu as des seins bien lourds...avec des tétons bien durs..."

 

Je donne à ma voix un certaine distance...

 

"Ils ont du en voir j'imagine."

 

Sa respiration s'accélère...

 

"Ouii... hummmm... tu les aimes mes... mamelles ?" lâche t-elle, effrontée, posant ses yeux sur mon sexe, devant elle.

 

Je les lâche brusquement.

 

Ils s'entrechoquent, pendant à nouveau de façon sensuelle.

 

Je me lève.

 

"Ne bouge pas".

 

Ma main passe sur son dos.

 

Je regarde ses fesses qu'elle cambre volontairement.

 

"Tu sembles excitée..." dis-je de ma voix la plus posée possible alors que mon corps ne désire qu'une chose : la posséder avec force.

 

Elle écarte un peu ses jambes et ses bras; visiblement sous l'influence incitante de mes mots, un petit "oui... très" soufflé du bout des lèvres.

 

"A quatre pattes... c'est une belle position, qui te va bien."

 

Ma main glisse sur sa fesse nue. Lentement je passe d'un globe à l'autre.

 

Une douceur qui évoque le satin.

 

Une souplesse ferme que je palpe.

 

Dans le silence de la pièce éclairée de lumière rouge, sa respiration résonne... sensuelle musique.

 

Elle bouge son bassin... indécente... amenant son visage vers le bas. Mes doigts suivent les lanières du porte-jarretelle.

 

Derrière elle, je jette ma chemise sur le fauteuil.

 

Dans le miroir je la vois fermer les yeux.

 

Elle savoure et ondule un peu plus ses reins.

 

"Que vas-tu me faire ?" demande t-elle faiblement ?

 

"Qu'est ce que ton... dernier client t'a fait ?". Ma réponse repose sa condition de petite trainée et ma main passe entre ses cuisses.

 

"Ho... du bien. Beaucoup de bien".

 

Elle me rend fou, elle me donne chaud.

 

Je caresse la frange épilée qui borde sa fente humide.

 

"Il était délicieusement jeune et... vigoureux" poursuit-elle.

 

Je revois cette scène où elle s'est faite chevauchée devant moi par un autre et instantanément l'envie me submerge.

 

La jalousie fait place à l'envie.

 

Son corps tel un violon devant moi, avec ses courbes osées, fait se tendre mon archet dans mon boxer.

 

Je rentre dans son jeu.

 

"Je me doute que tu as pris du plaisir à te faire prendre."

 

Je caresse son sexe remontant avec lenteur vers l'avant, mes doigts écartent les chairs de ses lèvres amollies par le désir.

 

"Dis moi ce qu'il t'a fait. Sois précise !"

 

Elle souffle, pousse un "hoooo..."

 

Avant de poursuivre.

 

"Il m'a fouillé de ses doigts".

 

"Mais encore ?"

 

"Il m'enfilait ses doigts pendant que je le sodomisais."

 

J'entre deux doigts dans son sexe brulant et trempé.

 

"Ha oui ?"

 

Je retire mes doigts.

 

La fragrance de son jus se répand dans la pièce, effluve que j'inspire avec délice.

 

Face à elle ma demande claque.

 

"Descend mon boxer."

 

Elle relève sa tête, fixe avec gourmandise mon sexe, barre large nettement visible sous le tissu.
"Tu m'as l'air experte en sodomie."

 

Ses doigts se posent sur le tissu.

 

Elle effleure ma verge avant de faire glisser mon dessous et laisser apparaitre le bâton de chair.

 

"Hummm..." fait-elle "pour la votre ? J'aime cela oui".

 

Mon sexe dodeline, surplombe deux bourses entièrement glabres.

 

Sa voix est un appel à l'excitation.

 

Je lui souris, elle relève son visage, les joues rouges, farouche.

 

"J'aime pénétrer les hommes... j'aime... sucer aussi."

 

Les mots qu'elle emploie, son attitude... elle m'affole.

 

Je m'assois sur le fauteuil.

 

Longuement je la regarde.

 

"Et entre tes... mamelles ?"

 

Elle avance à 4 pattes, féline... souriante.

 

"Tu dois savoir exciter un sexe du bout du téton... le... masturber... entre tes deux obus".

 

Elle soupèse ses seins.

 

"Je peux oui."

 

Je m'adosse.

 

Elle avance.

 

J'ouvre mes jambes, mon sexe se dresse.

 

Elle glisse ses mains sur mes genoux.

 

Le bassin vers l'avant elle remonte par le bas, ses yeux dans les miens.

 

Ma voix la fait rougir.

 

"Fais-moi voir ce que tu sais faire".

 

Ses mains sur mes hanches, ses mamelles pendantes sur mon sexe, les pointes frottent sur mes cuisses, sur mes bourses, sur ma verge tendue vers le ciel.

 

Elle dirige un de ses superbes tétons tendus vers mon gland pourpre et rond.

 

Je caresse son épaule.

 

Sa pointe contre ma pointe... elle m'effleure et l'appose dessus.

 

Elle procède de la même façon avec son autre sein majestueux, sur mon casque large et turgescent d'envie.

 

Mon sexe est dur, douloureux de se retenir.

 

Elle le regarde, salivant...

 

"Elle te plait ?" lui demande-je dans un murmure.

 

Elle place ma tige au creux de ses globes.

 

"Oh oui.... elle à l'air si... appétissante..." répond-elle en ce mordant les lèvres, d'envie.

 

Je frole sa joue... aussi douce que sa poitrine.

 

"Je vais te la faire manger. Mais pour l'instant, fais moi voir comme tu masturbes bien avec tes deux beaux obus."

 

Ma phrase la fait rougir.

 

 

A suivre…

Mar 21 fév 2012 Aucun commentaire