Le blog de M.

[...]   Les cuisses largement écartées sur le lit, je mouille en abondance.   Je le sens se dresser au dessus de mon ventre sans le voir.   Ses mains viennent saisir les miennes et les plaquer au dessus de ma tête.   Je ne reconnais plus dans mon mari, cet homme qui me possède avec tant de force, silencieux.   Je regrette de m'être donné à un autre que lui... mais en même temps....    Je sens l'odeur de ma cyprine alors que je devine son sexe s'approcher de mon visage.   Invisible dans le noir quasi total de notre chambre, je l'imagine droit au dessus de moi.   ... en même temps il était d'accord... m'en veut-il d'avoir joui sous les assauts d'un autre ? Mais lui...    Son gland vient se poser sur ma bouche.   J'ouvre mes lèvres... instinctivement.   Sur ma langue il pose son gland... enfonce sa verge dans ma bouche... sans s'arrêter pour revenir en arrière...   La rondeur de son bout vient frotter sur mon palais.   Sa largeur me force à ouvrir mes mâchoires en grand.   Je serre mes lèvres pour le sentir coulisser.   Le visage coincé dans le creux des oreillers, je ne peux bouger.   ... lui... je l'ai vu... tenir son sexe dans ses mains, bander à la vue me voir me faire prendre... et se masturber pour soulager sa raideur. Alors...    Je subis la poussée de son vit qu'il enfile profondément jusqu'à buter à ma gorge.   Invisible au dessus de moi il s'arrête.   Je manque de respiration. Ma bouche ne peut s'ouvrir entièrement.   Au fond de ma gorge je sens ma salive abonder et je déglutis avec peine ce mélange humide au goût de mon sexe.   Il recule lentement.   Sous ma langue je sens la veine saillante.   J'enroule mon muscle autour de son pylône qui reflux entre mes lèvres.   La douceur de son membre velouté fait bientôt place au resserrement annonciateur de son gland.   Je caresse les petites aspérités qui entourent le casque fendu de son sexe.   Du bout de la langue je caresse la lisse rondeur jusqu'à titiller son méat et y goûter la perle de suc qui en sort.   Il s'enfonce à nouveau.   ... je m'en veux... j'ai adoré... si seulement je n'avais rien suggéré... mais c'était tellement bon...   Il joint mes mains au-dessus de ma tête, d'une main il me tient les poignets et continue de forcer ma bouche, longuement, profondément.   Je devine ses coups de hanches dans l'obscurité.   J'imagine son pieu raide entrer et sortir de ma bouche.   Je pose ma main libre sur ma motte trempée.   Il use ainsi de ma bouche, orifice satisfaisant la fellation qu'il s'autorise, plongeant au plus profond de moi qui suis incapable de résister à ses assauts.   Je me caresse sous cette posture que je n'imaginais même pas.   ... après tout il me désirait ainsi... en trainée... offerte à un autre... alors pourquoi cet air sombre ?    Mes doigts sont souillés de ma cyprine qui coule abondamment.   Lorsqu'il ôte son membre, mes mâchoires sont douloureuses, à la commissure de mes lèvres ruisselle un petit filet de salive.   Je reprends ma respiration avec force de lourdes inspirations.   Il relâche ma main et vient glisser son sexe entre mes seins.   Il se frotte.   Je serre ma poitrine pour venir l'enserrer.   Il avance et recule entre mes seins que je maintiens pour lui rendre sa masturbation plus délicieuse.   Je sens la raideur et le pieu luisant de ma salive glisser sur ma poitrine.   Il recule encore, délaissant mon buste pour mon ventre, effleurant ma fente grande ouverte.   ... nous avons flirté peut-être de trop près avec le libertinage...   D'un geste sec et inattendu il me positionne à quatre pattes.   Ma nuisette glisse, m'échappe, me laissant nue... à la disposition de cet homme.   Sur les genoux, les coudes sur le lit je ne peux pas résister à la force avec laquelle il me maintient.   Etrangement je subis ses désirs qu'il ne m'avait pas révélés avec un plaisir inédit.   ...Il me puni de l'avoir trompé sous ses yeux... et... j'aime cette nouvelle sensation... nos nouvelles sensations ?    Lorsque je sens sa verge s'enfoncer d'un coup de hanches dans ma grotte brulante, je sais qu'il exprime ainsi sa façon de reprendre possession de sa femme... cette trainée qu'il a vu se faire saillir sur le capot de la voiture.   Je crie sous la poussée violente qui écarte ma fente et vient chahuter mon vagin.   Cramponnée par les creux de mes hanches il me prend sauvagement.   Son souffle est rauque, animal.   Sa large épée malmène mon fourreau gluant de mouille.   Le visage dans le coussin c'est tel un hussard qu'il me pratique avec obscénité.   Il me tient par les cheveux, me tire soudainement en arrière.   Je hurle comme son pieu me pousse vers l'avant.   Un cri de plaisir primaire.   Il accélère la cadence, concentré sur son plaisir uniquement.   Mon sexe s'offre à ses volontés, mes muqueuses sont agitées en tout sens par les cercles qu'il impose à mon vagin par ces coups de reins.   Je manque de souffle et sens monter la jouissance.   Il recule, sort de motte.   Je me cambre, suppliante dans le noir qu'il poursuive ses manigances.   Il replace son engin dans mon sexe.   La jouissance arrive au gré de ses entrées et sorties rapides.   A chaque fois mon sexe se désemplit pour se réemplir et m'arracher un gémissement de plaisir.   L'orgasme arrive, soudain, contractant les muscles de mon vagin.   Il le sens et me pilonne une dizaine de fois jusqu'au fond de mon sexe avant de sortir...   Je récupère...   Ainsi il semble y avoir pris du plaisir et me le redonne de cette façon... surprenante... extrêmement sensuelle dans sa brusquerie.    Et je perçois alors qu'il se pose sur ma rosette.   Je lance une supplique négative.   Sa main vient claquer sur mes fesses.   Surprise par cette fessée, encore tremblante de ma jouissance, je geins, incapable de lui résister.   Le gland force mon anus étroit.   Trempé de mon jus de femme il y pénètre lentement.   Je remue mon postérieur pour empêcher une intrusion trop rapide de sa hampe trop large.   Au lieu de cela il me fait payer la sodomie que j'ai permis à cet inconnu en me forçant dans une longue poussée.   Mes doigts se crispent sur le tissu du lit.   Ma bouche s'ouvre comme mes yeux se ferment.   Un long cri muet.   J'ai l'impression que sa verge m'ouvre en deux.   Mon petit trou soumis à cette saillie contre nature je lance un hurlement.   La douleur est intense.   Il claque alors chacune de mes fesses et vient y poser ses mains.   Fermement il écarte mes globes pour reculer et venir me percer encore plus loin.   Je serre l'oreiller de mes mains et viens y poser ma bouche pour qu'il n'entende pas mes cris étouffés.   ... mon trou d'amour que je lui avais préservé... qu'il m'a défloré... et fait apprécié... il me puni de l'avoir offert à un autre...    Il poursuit ses va et vient, sans se préoccuper de mon corps qui se cambre et se tortille sous ses coups de butoirs.   Et puis le plaisir monte, incompréhensible, inexorable... au creux de mes plis sombres.   Son sexe me fait du bien et je pousse mon corps vers lui lorsqu'il ressort entièrement son gros vit raide de mon anus.   Dans le noir il ne peut admirer ma chute de reins et mon cercle intime que je sens former un rond ouvert et j'en suis presque déçue.   Alors il revient me posséder par l'arrière, me sodomisant avec une régularité de piston mécanique.   Nos gémissements se mêlent, ses ahanements et mes cris, ses grognements et mes râles...   Son bas ventre claque sur mes fesses.   Ses boules butent sur ma fente coulante de suc.   Je n'avais connu que sa verge dans mon petit cul... et... dans cette sodomie virile qu'il me pratique... j'oublie l'autre...     Entré dans mon interdit, chaque élan fait avancer mon corps qu'il ramène en arrière avec la force de ses bras afin d'y enfourner encore et encore sa virilité infernale.   Je perds la notion du temps, profitant de cette brusquerie anale... et je jouis... mon démonté par le sexe puissant de mon homme.   Il caresse son sexe sur ma fente trempée,   Il se retire.   Mes jambes flageolent.   Je souffle sans pouvoir reprendre entièrement ma respiration.   Mon corps est couvert de sueur, de mouille...   Il saisi alors mon visage et l'emmène à lui.   Il me gifle de son bâton de chair avant de le poser sur mes lèvres.   J'ouvre la bouche et je l'avale d'un trait, ses mains maintenant mes tempes, son coup de reins l'enfonçant entre mes lèvres.   Il a le goût de la cyprine que je viens d'expulser... il a le goût de sa verge... de mon étroitesse...   Je ne peux résister à la fellation qu'il m'ordonne.   Je l'aspire, le pompe avec envie... soudainement désireuse qu'il me voit telle qu'il m'a vu avec un inconnu... une trainée.   Et son jus épais vient remplir ma bouche, ma gorge.   J'avale ce sirop de corps d'homme qui est un nectar âpre et visqueux.   Il se vide entièrement et, de ma langue, je presse sa veine pour en extraire les dernières gouttes que je savoure.   Alors qu'il se retire je reprends conscience de mon corps, fourbu et sale.   Je fais un geste pour sortir du lit mais il me retient.   Je m'endors alors dans cette souillure de stupre.   Au petit matin je crois avoir rêvé cette soirée incroyable mais les courbatures et mes muqueuses me rappellent à ce bon souvenir.   La douche est salvatrice.   Je repense à cette idée démente de sensualité, à cette folie sexuelle qui fut la notre.   Sur mon bol de café fumant, un simple message : "Ce soir tu seras la trainée de notre maison... close". Suivi d'un cœur en guise de signature. Mon ventre s'embrase, ma poitrine se soulève et mon cœur palpite plus fort. Il veut continuer à jouer... j'ai des achats à faire... Mon sexe perle déjà. La journée commence bien. A suivre...
Mer 1 fév 2012 Aucun commentaire