Le blog de M.

Je suis seule ce soir.

J’ai pourtant l’impression que tu vas venir, toi mon mari, mon amant.rose

Est-ce nos échanges mails très coquins de la journée ?

Mes aveux de papillonnage avec des inconnus sur différents sites par le biais de phrases, de textes qui me font chaud au ventre ?

Mes confidences sur mes aventures sensuelles de jeunesse ?

Le regard appuyé sur mes douces formes d'hommes croisés dans la journée ?

Je t'ai tout dévoilé, avec ce doux espoir d'aiguisier tes sens, d'éveiller tes envies...

Allongée sur le lit, appuyée sur les coudes je lis un magazine féminin.

Le ventre et le pubis plaqué contre le matelas, je cambre, je dandine des fesses, je les serre, des petits mouvements de droite à gauche, mon clitoris se frotte délicatement au drap.

Peu à peu je me rends compte que je suis en train de me donner du plaisir.

L'appartement est silencieux, seul le frottement de mon corps sur le tissu du lit vient troubler le calme rassurant de mon nid douillet.

 

Un bruit dans ma porte d'entrée.

Un voleur ? Je frémis...

Un violeur... ? Humm... serais-tu celui-ci ?

Non, je sais que c'est toi. Il n'y a que toi qui dispose des clés.

Je me cambre un peu, écartant légèrement mes cuisses pour laisser apparaître l'orée de ma vulve et son renflement lisse et épilé.

J'entends la porte s'ouvrir derrière moi.

Mon esprit t'imagine, avançant doucement dans ma chambre.

Tu me regardes dans cette position que j'imagine indécente.

Une bouffée de chaleur m'envahit.

Et s'il s'agissait réeellement d'un cambrioleur ?

Je rougis à l'idée qui me traverse... et qui me fait onduler un peu plus...

Un inconnu... ho... je ferme les yeux, faisant disparaître les sourires de papier glacé.

Il pourrait abuser de moi...

 

Sur ma cuisse se pose délicatement une main.

Je cherche à me retourner mais, fermement, la main me maintient ainsi, sur le ventre, mes fesses nues à l'air.

Hummm... je gémis doucement, je souris.

 

Par dessus mon visage vient se placer un foulard de soie qui devait se trouver au pied du lit.

Mes yeux sont ceint d'un bandeau qui te fais te défiler à mon regard.

Je ronronne.

Tu attrapes des liens de soie sur la table de chevet et lies mes poignets aux barreaux du lit.

Incapable de résister à mon désir qui s'accroît, je relève ma croupe.

Un bruit sur le sol me signale que tu viens de te retirer de la pièce et que la porte est grande ouverte.

 

J'attends, laissée dans cette position.

Les pointes de mes seins tendus

Mes pensées fantasment... « qui est donc cet individu ? ».

Je m'avoue avoir l'envie d'un inconnu, et j'aime ce jeu que tu joues avec moi.

Mon esprit bouillonne d'envies.

Excitée je me rends compte que mon intimité s'humidifie.

 

Toute à mes envies, je ressens soudainement un immense plaisir et une sensation de feu lorsque je sens ta main se poser sur le bas de mon dos.

Surprise je sursaute un peu avant de m'aggriper aux barreaux auxquels je suis attachée et soupirer de joie.

Je devine la douceur de la paume

Un souffle se fait sentir sur le haut de la cuisse.

Mes muscles se contractent.

Le dos des doigts qui forcent tout doucement pour ouvrir mes jambes.

Me sachant provocante, les fesses en l’air, je me fais volontairement complice pour notre plaisir. J’écarte légèrement les genoux pour entrouvrir mon petit nid d’amour.

Les frémissements de ma motte humide sont nettement visibles entre mes cuisses.

Je me détends.

Les doigts qui flânent sur un flanc atteignent ma poitrine, ballottante et généreuse.

Les ongles sur les auréoles, une pichenette douce sur le téton tendu.

Je gémis.

Je sens un sexe chaud reposé sur ma fesse. Il me fait l'effet d'un fer rouge.

Humm c’est ton sexe, je le devine, je le sais, je le sens, toi mon amant, mon amour de l’instant.

Une main dans le creux de mes reins. Je me cambre, presque obscène.

Elle caresse mon dos de la nuque, s’insinue dans mes cheveux, jusqu’au bas des reins.

J ne peux réprimer un gémissement et je redresse mon séant, cambré au maximum, cuisses écartée, offrant mon sexe et ma raie à mon observateur... toi.

Position terriblement indécente qui me vaut une petite tape sur la fesse.

J'en ouvre la bouche pour laisser s'échapper un gémissement.

La caresse apaisante qui flatte ma rondeur me fait couler.

Une seconde petite tape douce sur mon téton le fait se durcir et je me surprends à aimer ces petits assauts physiques.

La main palpe avec douceur mes fesses pour les écarter.

Le sexe qui repose sur moi s’insère dans ma raie, il durcit.

Deux doigts saisissent mon téton, le mamelon roule.

L’onde de cette caresse électrise mon vagin.

Je serre les fesses pour emprisonner ce glaive de chair.

La main saisit mes cheveux, tire doucement en arrière mon visage.

Je masturbe avec délicatesse par des mouvements lents du bassin ce sexe chaud et raide.

Aveuglé par le bandeau de soie noir, le pieu serré positionné entre mes rondeurs, forçant leur écartement … j’ai un doute… est-ce bien celui que je connais ?

Privé de la vue, mes sens sont décuplés, je trouve ce sexe gros … trop gros pour être le tien ?! Ou est-ce mon esprit qui me joue des tours ?

Mais non ce ne peut-être que toi. C’est toi, nul autre que toi. Mon doux désir d'envies qui me rejoint.

A moins que... Et si c’était cet homme que j’ai aperçu la veille jouant un air de jazz sur son saxo ?

Ou bien cet autre qui jouait de son beau fessier en montant les escaliers… ?

L'envie de laisser ce fantasme m’envahir me rend féline.

Le balancement de ses reins positionne son sexe contre l’étroite rosette.

Je frissonne.

Ma respiration s’accélère.

De douces et intenses sensations me font écarter davantage l’accès à mon orifice.

La main lâche mon sein, et glisse, frôle mon sexe, légèrement ourlé d’une fine franche pileuse.

Son manche dur entre mes fesses. Je gémis.

Il insinue un doigt sur les lèvres.

Mes sens en éveil de ne pas voir.

Le doigt caresse la fente humide et moite.

La seconde main revient sur mes fesses, une nouvelle petite tape … je frétille, je me cambre, je crie.

 

Et puis je sursaute.

Tétanisée. Incapable de dire un simplemot.

Une troisième main caresse ma nuque...

Je m’affole. Ohhh.

Les mains me redressent, me forcent à me mettre à 4 pattes sur le lit, poignets liés.

Je tourne la tête en tout sens pour tenter de voir à travers le tissu en pure perte.

A genoux, les mains crispées sur le haut du lit, poignées emprisonnés, je cherche, je ne comprends pas, je m’inquiète...

Un index caresse ma bouche, mes joues avec une grande douceur pour m'imposer le silence et m'apaiser.

Haletante je parviens à me calmer.

Ma langue sort timidement de ma bouche, soudainement prisonnière de mon fantasme avoué.

Je lèche mes lèvres. Je les pince entre mes dents.

Le doigt frôle ma langue. Je la sort, et lèche ce doigt qui se laisse atteindre.

Derrière moi les mouvements de bassin s’accentuent, tes mains sur mes hanches.…

La main entre mes cuisses frôle ma fente humide et moite.

Je pousse un petit cri comme mon clitoris se fait malmener.

Ma bouche ouverte se referme sur le doigt... surprise je l'avale doucement et le suce tel un ersatz de sexe, le visage de côté... aveuglée... offerte.

 

Je mouille, je coule, les fesses écartées alors que le sexe large pousse sur mon petit orifice.

La main fouille mon sexe.

Je pousse mon bassin sur le membre qui écarte ma rosette avec une résistance qui me fait crier.

L'envie me submerge après quelques instants sans un mouvement.

Je gémis.

Les doigts s'enfoncent dans ma vulve qui ruisselle sur mes cuisses pâles.

Mon anus se dilate sous la pression de ce sexe qui me parcours l'arrière train.

Un doigt en bouche, je sens une quatrième main saisir mon autre mamelon et le faire rouler, le tirer.

Je suis l'instrument d'un jeu à 4 mains... et je produis les plus beaux sons au monde... ceux du plaisir et de l'orgasme.

Je me cambre, me dandine, la croupe en l'air, enfoncée par la verge dure...

Je cherche plus... plus loin... je deviens folle d'envie, de désirs, privée de la vue et du touché.

 

Les doigts qui m'ont fouillés se posent sur ma bouche.

L'odeur m'enivre, celle de mon sexe.

Je lèche ces nouveaux doigts à la saveur si particulière.

Je goûte sensuellement, lèche de ma langue.

Les doigts entrent dans ma bouche largement ouverte.

Je salive et je déglutis, avalant ma mouille.

Les deux mains de l'homme derrière moi se saisissent de mes seins.

A chaque pincée je gémis.

A chaque gémissement son sexe rentre un peu plus dans mon petit cul rond.

Devant moi l'inconnu s'approche.

Je découvre une chaleur douce sur ma joue, dure, ferme.

Son gland me frôle.

J'ondule effrontement du bassin provoquant une pénétration profonde du manche qui me force l'anus.

J'ouvre ma bouche gourmande, telle une femme qui aime l'amour... sensuelle... garce... affolée... affolante.

Je tire la langue pour sentir ce mandrin d'homme.

Je cherche le gland invisible qui ne tarde pas à se poser sur ma langue.

Je prends conscience de... ma chance...

Deux sexes d'homme pour moi... deux pieux dressés en érection à ma vue.

Je gobe le bout entre mes lèvres affamées.

Je pousse ma bouche, il coulisse entre mes lèvres jusqu'à l'englober.

L'autre membre monte et descend dans ma brèche la plus secrète et m'arrache des gémissements étouffés par ma bouche bien pleine.

Il a bon goût... sa forme... ce n'est pas le tien...

Je mouille. Je coule, incapable de me retenir dans l'orgasme.

Une main de mâle me force à venir gober la verge chaude... loin en appuyant sur ma nuque.

 

Les sens en fusion je m'agite.

J'écarte mes cuisses, mes lèvres molles de désirs alors que le manche écarte, pousse l'entière longueur de sa virilité dans mon étroitesse.

J'ouvre grand la bouche, mon visage saisi à pleines mains.

Je suis maitrisée et je sens les coups de reins de l'homme devant moi faire s'enfoncer son sexe jusqu'à déformer mes joues et bientôt frotter contre ma gorge.

Presque écoeurée, je salive... ravie d'être ainsi prise.

 

Le sexe s'extraie de mon anus et je lâche un cri inaudible, ma bouche bien pleine.

Il se fiche alors entre mes lèvres trempées, s'enfonce dans ma vulve qui s'ouvre sans résistance, lubrifiée par mon orgasme.

Je suis prise par devant et par derrière... je crois rêver et j'ondule mon bassin pour sentir ce sexe me parcourir le sexe.

Quel cadeau.

Je sens une nouvelle jouissance monter... incroyable...

Les mains forcent mon visage à s'agiter.

L'homme devant moi use de ma bouche comme d'un orifice vulgaire.

Je me sens chienne...

Le sexe repart en arrière puis s'élance dans mon abricot.

Mon menton est trempé, mes seins douloureux, mon anus béant et mon sexe pilonné.

Une chatte en manque... voilà la pensée qui me traverse l'esprit alors que je m'agite en rythme avec les deux hommes qui me font subir les outrages les plus délicieux qu'il soit.

Ils entament un ballet de concert, entrant et sortant au même rythme.

Sur les genoux je bouge pour les accompagner, sentant mon plaisir gravir les marches de la jouissance, 4 à 4.

Je serre ma bouche autour de ce membre plus large que celui de mon homme pour simuler un vagin.

Et j'aspire à chaque poussée.

Je tourne ma langue autour de ce sexe rude et arqué.

Je sens les bourses frôler mes lèvres.

Les mains me maintiennent immobiles.

La croupe en l'air à la recherche du sexe de mon homme, les hanches saisis, je subis les assauts où son bassin claque sur mes fesses.

Je jouis.. poussant un cri en ouvrant ma bouche.

Incapable de reprendre ma respiration je gémis, la bouche encombrée de la verge qui soudainement gicle dans ma bouche.

J'avale le foutre épais qui me tapisse la gorge.

Je me fais chienne, désirable, et j'offre à cet inconnu ma bouche pour se vider.

Enfoncée avec longueur et conscience je sens le pieu fiché dans ma fente se tendre et palpiter.

Il n'est pas long à exploser et rependre son foutre chaud dans ma chatte brulante.

Nous restons ainsi quelques instants.

Je suis assourdie par l'effet de mes multiples orgasmes.

Je perçois les membres se retirer.

Les pas s'effacer vers la sortie.

Souillée, salie mais ravie, comblée, je suis laissée dans cette position.

Je m'affale à plat ventre.

Le drap est gluant de nos ébats orgiaques.

Je prends soudain conscience que mon mari vient de me voir sucer et avaler un autre que lui, sans un mot, pendant qu'il me prenait par derrière.

Mes joues rougissent.

Ma respiration se calme qu'après de longues minutes où je perçois mes cuisses devenir humides de ma cyprine qui coule, mélangée au sirop d'homme.

Je n'entends pas la porte claquer...

Surprise de moi même je les espère à revenir.

 

A suivre...

 

 

 

Mar 18 oct 2011 Aucun commentaire