Le blog de M.

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Allongée sur la table basse, nue, les images les plus osées se télescopaient et ma fente mouillait malgré moi, sans aucun geste.

Toutes à ces pensées libertines en tête, je ne m'aperçus que lorsque j'eu sa verge entre mes seins, qu'un des hommes était venu s'asseoir contre moi.

Je pressais mes seins pour enserrer son vit presque sans y réfléchir, me sens exacerbés.

Il allait et venait, se masturbant entre mes grosses mamelles excitées que je resserrais autour de son membre dur.

A chaque fois qu'elle pointait vers mon visage je m'efforçais de lécher le gland offert à ma langue.

Mon visage fut tiré en arrière après quelques minutes et la large bite vint de nouveau se fourrer dans ma bouche.

J'acceptais les mouvements de piston du nouveau venu sans pouvoir ni vouloir faire un geste.

Il me baisait la bouche sans vergogne.

J'ouvrais ma gorge au glaive qui me fouaillait, lèvres serrées pour augmenter le plaisir de l'homme qui me plantait de la sorte.

Je sentis alors Monsieur venir présenter son gland devant mon ouverture vaginale.

J'étais si lubrifiée qu'il me pénétra sans forcer.

Elle s'enfonçait en moi, centimètres après centimètres, j'avais du mal à reprendre ma respiration, ma poitrine et ma bouche assaillies par deux autres verges.

Mes cuisses s'écartèrent sous le coup de rein qui me fit accueillir son sexe dans les profondeurs cyrpinées de mon vagin.

Je me cambrais sous l'assaut, ma fente outragée par la largeur qu'il me fourrait dans le ventre.

Sa queue fouillait mon sexe.

Enfin je me faisais posséder...

C'était un rêve que je ne voulais pas voir finir.

Je râlais... un sexe dans la bouche, un autre entre mes seins, le dernier dans ma chatte trempée... un train d'hommes me passaient dessus.

J'étais remplie.

Et j'en voulais encore...

Je poussais un cri de plaisir alors que l’orgasme me traversa longuement, incapable de me soulever, me tordant sous le plaisir que je prenais, plaquée contre le bois par ces trois hommes en rut qui me baisaient inlassablement.

Je reçu ma première giclée de foutre sur la joue et le front lorsque celui que je pompais retira son sexe de ma bouche pour me juter dessus.

De ma langue je cherchais ses gouttes qu'il me répandait sur le visage.

Il laissa sa place lorsque le second se répandit entre mes seins, inondant mon cou de son jus à l'odeur forte.

Monsieur sortit de mon sexe, je poussais alors un gémissement plaintif.

C'était bon...

Il prit mon visage dans ses mains et me présenta sa verge.

Bouche grande ouverte j'acceptais le foutre qu'il m'envoya au fond de la gorge.

J'avalais par gorgée, à la commissure de mes lèvres coulait son sirop qui se mélangeait à ceux des autres en sinuant sur ma peau.

L’odeur de ma chatte se mêlait à celle de leurs jus.

J'avalais ce nectar. Ravie.

Ils m'offrirent un verre.

J'avais la gorge sèche malgré le sirop d'homme que je venais d'avaler.

Je ne ressentais aucune honte à être nue sur ce bord de table, couverte de spermes, buvant une coupe de champagne sous le regard de 3 hommes qui me complimentaient.

La musique avait baissé de volume et je prenais comme des trophées les remarques qu'ils me faisaient.

Oui, j'étais "bonne", "une superbe pompeuse", "la reine de la pipe", "avec de splendides seins", "et un cul à se damner".

Je me souviens avoir rougi lorsqu'ils me complimentèrent de "sacrée belle salope".

Un doigt parcouru ma motte écartelée... je mouillais à nouveau.

Ils me retournèrent et me firent mettre à 4 pattes.

Un frisson me parcouru.

J'en avais envie autant que j'en avais peur. Ils allaient me passer dessus l'un après l'autre... et, lorsqu'un médius flirta avec mon œil étroit, je poussais un gémissement.

Chacun vint à son tour me lécher.

Je me souviens de leurs langues dans ma chatte et mon anus et de leurs doigts qu'ils me fourraient dans la vulve.

Je me rappelle le premier doigt qui força mon étroitesse, incapable de savoir à qui il appartenait.

Mon bassin s'arrondit vers eux pour leur faciliter l'accès.

J'accueillais un puis deux puis trois doigts qui me branlaient.

Ils se succédèrent l'un après l'autre et la jouissance montait en moi, irrépressible, crescendo... je criais de plaisir.

Ils me doigtèrent et me léchèrent, lapant comme des bêtes voraces, et moi je tendais mon cul, cambrée vers le haut, voulant me montrer digne de la salope qu'ils m’estimaient être, et surtout... être digne de Monsieur.

J'offrais ma croupe, je me donnais et j'en voulais encore plus.

On me fit me relever avant de me retrouver accroupie, les cuisses écartées, la chatte ouverte.

Je savais que je goutais, un orgasme interrompu.

Lorsque je pivotais pour m'allonger sur un pieu épais, me retrouvant poitrine contre torse et que l'on releva mes cuisses pour libérer largement mon cul je compris que tous mes orifices allaient être pris.

Ce furent mes premières paroles... "Baisez-moi. Partout".

J'allais être exaucée...

 

A suivre…

Mar 22 fév 2011 Aucun commentaire